Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Des pas suspendus
à la surface des choses
je flotte sans ailes
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Des pas suspendus
à la surface des choses
je flotte sans ailes
Les pieds nus dans l’eau
au long de la rivière
decouvrent la gué
nos coeurs retenus
appâts rances frelatés
flotter sans zèle
un pied levé, suspendu,
léger vertige,
hésiter, choisir, poser,
délicatement.
Ma liberté encadrée.
Je fais la planche, juste sous la surface surface tranquille, en apnée.
amarré basse, languettes dispersées
travées acheminées, émergeant du bleu
j’amorce une traversée
On joue à saute-mouton d’une pierre à l’autre, celui qui tombe dans l’eau aura un gage, au gué? yes, au gué!
en tireté mosaïque, pas entarté chronique
je relie des points sans poser de virgules
et au milieu, tant bien que mal, je circule
Lamelles assemblées, ne tiennent pas conciliabule
convergent bien orientées, montrent la voie
ouverture assurée
Rêve de sable
Au fil de l’eau et du vent
Mes pas s’envolent
A un pied, 2 pieds ou à cloche pied…
Pour démarrer dans la vie
suffit de se hisser sur une fesse
ou bien à 4 pattes
au sol bien accroché.
Puis quand l’assurance vient
monter d’un cran
sur ses 2 pieds.
Apprendre à courir
c’est une drôle d’histoire
mais quand arrive le temps
c’est tout naturel.
Les escaliers ne sont plus un problème
quand après les heures
les minutes ou le métro
il faut attraper.
Puis arrive le temps de se poser
Si dans son ventre
la vie a commencé.
Se baisser, pour donner la main
à la petite main
qui tout en bas
réclame un soutien.
Un jour il faut savoir apprivoiser
un chemin plus simplifier
et des traces au sol
sont tout indiquées
pour ceux qui avec une canne
continu l’avancée.
La vie et la nature
sont a toute portée
de ceux qui veulent avancer.
Un rêve ailé
la nuit sans entraves
un vol non battu
les Compagnons de la Marjolaine
Qu’est-ce qui passe ici si tard,
Compagnons de la Marjolaine ?
Qu’est-ce qui passe ici si tard,
Gai ! gai ! dessus le quai ?
C’est le chevalier du gué,
Compagnons de la Marjolaine,
C’est le chevalier du gué
Gai, gai, dessus le gué.
Que demande le chevalier,
Compagnons de la Marjolaine,
Une fille à marier…
N’y a pas d’fille à marier…
On m’a dit qu’vous en aviez…
Ceux qui l’ont dit s’sont trompés…
Je veux que vous m’en donniez…
Sur les onze heures passez…
Les onze heures sont passées.
Si tu vas au gué
un passage périlleux
plus d’un y tombe
Land art ?
les esquilles
du bois menu
forment tranches fines
sur le sable grenu
l’eau automnale
à la démesure
d’un croisi croisé
de calques écarquilleurs
de bonnes ouvertures
en la pensée matudinale
de notre livre d’heurs
Très belle expo de planches de surf paléolithique…
avec ces images me viennent ceci bien différents je vous l’accorde
http://meuse.ardennes.over-blog.com/article-22288535.html
« La forme, c’est le fond qui remonte à la surface », Victor Hugo
avec ces images me viens ceci…
bien différents je vous l’accorde
http://meuse.ardennes.over-blog.com/article-22288535.html
« La forme, c’est le fond qui remonte à la surface », Victor Hugo
je franchis les jours
entre réalité et reve
je suis un réalirêveur
reflet d’un coeur meurtri
___
Interrogation
Tarots multicolores
Suivre la chance
___
Marc, « réalirêveur », c’est tout joli !
son pied coule au gué
s’allonge nu et pas sage
bruisse à son nuage
El la pensée pleut sur le monde
A gué les soulèvements et les idées
Pour reformuler l’homme et son vide.
Bonne journée
Je suis invitée!
Damier d’eau bleue
J’avance mes pions jaunes
Pour vivre ailleurs
Mais aussi, l’incontournable Georges
« Il suffit de passer le pont
C’est tout de suite l’aventure…………. »
En souvenir d’une grande dame qui s’est battue contre l’apartheid :
http://fr.youtube.com/watch?v=Pygqt0uwnuc
Pas à pas je glisse vers Toi
Surface glissante et grisante « sans fond »puisque virtuelle !! marc
Attention à la chute … au gué au gué jeandler
Venise en ce moment semblable au jardin d’OSSIANE
AA
Traces d’une civilisation disparue……..
Faut-il « reformuler l’homme et son vide »?????
Belle définition ,Perline
Et encore tant de choses à dire …………….
AA du matin
Succession, enfilade et dédale
pas de pédales douces ni amères
sur les à coups chaotiques du temps
et quand à toucher le fond
sans même faire un bond
concentré même sans élan
yeux écarquillés, presque écartelé
il est bon d’oser et pas d’isoler
pas appâts qui nous attirent d’aile
flottant dans un coma minérale mi rebelle
un chemin de dessine qui mes yeux décille
mais contre toute évidence
mon coeur balance
Pour répondre à bonbonze « vive la nouvelle vague »
Surjection de la conscience
induction de l’espérance
mouvement de l’enfance
Loin des tumultes et remugles
sans désinence abstinence
entamer un pas de danse
le gué remémore
de tous les pas disparus
rien n’est apparu
ivre d’eau sans arrêt
rien ne bouge à l’incertain
des formes dépassées
+ ou – Jean Tardieu
déclinaison
la vie est pourtant agréable mais souvent je perd pieds!
certain jours ne sont pas géable, alors je reste à quai!
devant les sentiments si glabres parfois je (ne) suis pas gaie!
quand j’entrevois des galbes si beau ( les gondoles), mon coeur s’égai!
Inclinaison
Quand le guépard…la tristesse vient (d’une lampe oui mais d’où ça ?)
Du côté de Montparnasse la gaïté est plus forte…serait ce le paradis éperdu
Guetteur d’une rive à la décrue subite vite je m’active
Il n y a pas de gué
Pour trasverser ton regard
Toujours j’y plonge
La semaine s’annonce belle … quelle forme, tous !!!
Coucou, Neyde, et bouquet de ternures.
De la trombe à la tombe plus d’un pas les séparent
mais ce qui était léger et presque hospitalier
va devenir fougueux et fangeux à souhait
Gué…rison, dans les trames de la raison je met mes pas
clochant, sautant, vibrionnant dans les marques d’estime
je me fend d’un assaut qui me vient de l’escrime
Thierry : t’as rechargé tes piles pendant le W.E. ???
_
Clin d’oeil et sourire, hein !
_
planches échouées sur la sable
sans perdre les sens
à petits pas mesurés
tendre vers l’essentiel
plancher et savourer
ces mots jetés sans ailes
la flotte des traversées
porte des sens cachés
jouer à la marelle
entre vents et marées
oh ciel et terre
que de mystère
Tension entre ciel et terre
scansion entre clapotis et cliquetis
sans aile je suis perdu
http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/scansion/
je ne connaissais pas … merci, Thierry, de rythmer notre aujourd’hui …
Chers ami(es) bonjour !
eeeeeeeeeeeeee
Les touches
Eclatées,
Eparpillées,
Dispersées :
Les blanches…
Les noires…
Dansent
Dans l’azur
Sur un air
Très pur
Sur un pied
Sautiller
De touche
En touche
Une marelle
Si belle
De la terre
Jusqu’au Ciel
Palet glisse
Sur la surface lisse
Sitôt poussé
Bientôt arrivé
Trop fort poussé
Dans l’eau
Est tombé !
PLOUFFFF !
Et les notes
S’envolent
Sans ailes
Dans les airs
Jouent un air
Irréel
Sur les touches
Blanches
Et Noires
Flotte
Le temps
Suspendu
eeeeeeeeeeeeee
Envoléeeeeees de Biseeeeeeees
Au gué vive la rose et le lilas
ce n’est pas toujours source de tracas
quand le ciel ouvre le torrent
Au gué au gué, vive la rose et le lilas
c’est le début des tourments
et alors il faut attendre grand fracas
au gué au gué au gué, vive la rose et le lilas
>Merci, Bourrache, pour le souvenir…
Dans le long chemin du temps
Mes pas suspendus à tes rêves
Mes bras qui enlacent ta fièvre
Ma bouche baignée de tes lèvres
Au gué je navigue sur ton coeur
Sans ailes, tu portes mon bonheur!
Bisous à tous
et sous les nuages blancs
opus incertum sur l’eau
les pas du passeur
à Gué-rande
il est une fleur bleue
qui flotte sans ailes
sur une marelle
aux sens cachés
par le mystère
A Gue…rnica ce n’est pas de l’arnica qu’il faut
pour penser les plaies d’un massacre
du coup ces pierres insérées recélent plus qu’un secret
opus incertain
————
la gai pride
un gué prude
————-
un gué happant le reflet
————–
le croirez vous
je n’irais pas par quatre chemins,
je vous dirais tout sans détour
car je n’ai pas l’habitude de biaiser,
ni de tergiverser à outrance;
je vois tout de suite vos louvoiement
et votre manière de finasser
et vous observe vous tortiller,
en essayant de temporiser,
vous etes vraiment rusé;
vous me donnez le tourni,
car vous n’avez pas envi d’entendre,
vous préferez que j’atermoie sans fin
pour retarder notre conversation
ne dites rien, vous ergoteriez
et j’en oublierais ce que j’ai a vous dire…
qu’est ce que j’avais à vous dire déjà;
voilà vous etes content, ca vous rend gai
j’ai perdu le fil de ma pensée,
ha! je vous saurez gré de ne pas rire
vous me faites harranguer à n’en plus finir;
je vous salut, malgré votre arogance
….
en apparté
y’a vraiment des gens qui ne sont pas capable d’entendre ce que j’ai à leur dire…
clin d’oeil Bourrache
Quel beau bouquet de ternures je reçois chez moi!
Merci mon amie
Bises
Le rêve oblique
et nos pas se dérident
Géométrie du monde
Les inondations
c’est de saison…
au gué vive la rose…
Belle zenitude !
Déjà dit …..
Nepas vouloirdire
Ne pas savoirce qu’on veut dire
Ne pas pouvoir ce qu’on croit qu’on veut dire
Et dire toujours ou presque… Samuel Becket
En réponse à Marc et ses tergiversations
AA
Au gué j’ai attendu ma Mie
Ses pas pressés, sous un ciel pâle
Des nuages blancs , ombraient l’eau claire
Tranquilles, immobiles, mes ilôts
En pierre de taille,quinconces de rêves éveillés
Dormaient tranquilles.
Ossiane, ton ouvrage (photos, haïkus…) me permet de ne pas perdre mes neurones, j’espère que tu seras encore là à l’hiver de ma vie.) Merci.Vous êtes tous sympa et très vifs de la plume.
Bonbonze, tu me fais rire!!! ma grand-mère serait scandalisée de lire ton blog))))
C’est sûr, Marc, au milieu du gué il faut avancer ou reculer
sinon on risque bien de se mouiller…les pieds ;)))
Bonjour Ossiane. J’aime beaucoup l’idée du damier à Haïkus. Puis-je vous proposer celui-ci:
Je joue contre joue
La pêche et l’abricot mûr
Pulpe assoiffée
Je collectionne les damiers; tenez, pour le vôtre:
Mort criminelle
La prison de mes rêves
Ma dame noire
Quelle bonne idée que ce damier! Y aurai-je une petite place?
Brune aux yeux verts
Cherche grand blond distingué
Pour jeu de dames
C’est original ce damier de haïkus! S’il vous reste une case de vide…
Fumer virtuel
Sans feux verts de croisement
Avant l’arc-en-ciel
Hajimemashite! Bravo pour tous ces haïkus qui sont très appréciés dans mon pays. En voici un que j’ai fait pour votre damier:
Le bol est très rond
Lune de lait sans crème
Petit pain grillé
Buenas tardes Ossiane! Un pitit Aïecul rien qué pour toi…
Si Yé soui toro
De fuego çé bien sour
Amouré dé vous
Ach! Sehr schön zette idée. Bitte, wollen sie ein grosse Haïku für ihre Dame?
Gnädige Mädchen
Gai au gai au gai au gai
Ya, Nur eine Tanz
Vraiment j’ai hâte de voir l’effet que ça fait ce damier! Serai-je le dernier à y mettre mon image?
En treize-dix-huit
Tirage papier de soie
Au bout du rouleau
Et,
en grec,
en russe,
ça donne quoi ???
En passant par hasard, je tombe en émerveillement sur votre site; nous aussi nous pratiquons beaucoup le Petteia mais je n’aurai pas eu l’idée de remplacer les pions par des haïkus. Comment faites-vous pour les déplacer sans vous blesser? Je vous en offre un au cas où il vous en manquerait.
Ποικιλόθρον’ ἀθανατ’ Ἀφρόδιτα
πότνια, θῦμον
μή μ’ ἄσαισι μηδ’ ὀνίαισι δάμνα
…
Immortelle Aphrodite en ton trône irisé,
Enfant de Zeus, tramant tes tours, je t’en supplie,
N’afflige pas mon coeur de douleurs ni d’ennui, …
Et en javanais bourrache ?
Aprés cette avalanche rythmée
sourire 😉
… va avoir du mal à le caser, Ossiane, ce pion-là,
en lopin sur son damier…
Pardonne moi, chère Sapphô, d’avoir tripatouillé ton poème. Je n’osai espérer que tu fréquenterais ce lieu. En voulant faire Haïku, pour mieux te plaire…
Immortelle Aphrodite en ton trône irisé,
Ô, toi ma souveraine
N’afflige pas mon coeur de douleurs ni d’ennui,
Thierry : j’ai comme l »impression de reconnaître ce multilinguiste aux multiples noms…
( l’aime bien faire ça de temps en temps…)
Twâ, tusé sêki ?
Tristan et Iseut
A deux ont passé le gué
Sans aucun mensonge
а некоторые для того, чтобы поглядеть на дочку их, Марью Гавриловну, стройную, бледную и семнадцатилетнюю девицу. Ossiane, Она считалась богатой невестою, и многие прочили её за себя или за сыновей.
Снег валит клоками
Чёрный вран, свистя крылом
Вьётся над санями
Désolée, Hippo, mais paraît qu’ils se sont disputés pour la traduction.
cfr. :
http://www.portique.net/spip.php?article180
__
Bon, je m’attaque aux autres dessins …
___
Bonchour! Che m’appelle Chean-Paul. Che cherche après l’haïku que ch’avais préparé chuste pour le damier d’Ochiane. Fé peut-être Bourrache qui me l’aura caché? Elle est avec Pouchkine, ou bien Anacchagore, d’après che qu’on m’a dit. Mon haïku, ch’était à peu près cha:
Che chante touchours
Le chour et la nuit, chi chi
Chur mon chemin- ein
Ché beau, hein?
Chean-Paul : ch’ai un dentichte ekchtra. Chon adrèche … ?
_
Quant à Joukovski, là, il m’a eu …
Les seuls dessins que j’ai reconnus, c’est 1850-1854
mais je sais vraiment pas à quoi ça correspond.
Bravo !
___
Ché horreur des dentichtes!
Che préfère aller chez Choukovsky.
Il parle couramment anglais. Ché Alicch et Chrichtinne qui me l’ont dit.
The snowstorm
Horses gallop through the plain
Trampling the deep snow…
There, to the side is God’s church
Visible alone.
………………………
Suddenly a blizzard’s all around
The snow hurls down in flakes
The black crow whistling its wings
Sweeps low over the sledge;
The prophetic moan cries sorrow!
The hastening horses
Peer into the dark distance
Their manes rising in fear.
Finalement, il est très gai che chite de l’Oeil-oufert! Chais-tu qui chan occupe?
Et la lumière fut :
http://home.freeuk.net/russica2/books/pushk/metel/snow.html
Merci Ossiane de bien baliser le parcours, parfois je crains de m’égarer, je t’emboite le pas pour ne pas me perdre, de la photo à la poésie, de la poésie à l’art pictural, beau cheminement, la voie est ouverte.
___
Quelques mots errants
Sur l’écume du verbe
passeront à gué
Sur les pas des lettres
Quelques pensées en dédale
Trouveront leur chemin
Sur l’eau et sur terre
Quelques pas disséminés
Chemin d’illusion
Toutes nos idées
de pas en pas japonais
Un tableau magique
___
Amis, bonne soirée à tous
ﺳﻤﭐﺉ ﭐﺳﻣﺮ
ﻳﭐ ﺣﺒﻲ ﻠﻤﭐ ﭐ ﻠﻫﻮﻱ
ﺳﻛﺮ ﻭ ﻣﺮﭐﺮ
Un haïku en arabe:
« Mon ciel roux
Ô mon amour! Pourquoi l’Amour
Est sucre et amertume? »
Et quelques notes pour passer votre nuit en doux rêves :
http://fr.youtube.com/watch?v=0mSHQgpeCbQ&feature=related
Bonne nuit à tous.
Pour ceux qui veulent le lire littéralement ça se dit:
Sa/ma/ i / asmar/
Ya/Houbbi /Lima/lhawa/
Sou/kkar/wa/ma/rar/
J’ai respecté la règle du 5-7-5 hein?))
Désolé Bourrache, mais je n’ai pas de tels dons
chai chuchpaid n’aiche bas !
et je n’ai pas la moindre idée
Au fait elle est polie ct’iréne qui flotte sur l’eau
Ah Thierry tu me fais rire, mais wèsque vous allez chercher tout ça?)
Leïla très joli ton haïku et dans son texte et dans sa calligraphie merci, je me le suis mis de côté, signé biensûr.
petit haïku réservé à la 5ème image que j’aime beaucoup
____
Palace dallé
d’ardoise et de feuille d’or
Un voyage sacré
___
Thierry, dans le creux de l’oreille (et tu le diras à personne, hein !) :
Bernard et moi, nous conversions…
Oh, Sage-Monique … douce et belle nuit.
(Parfois, je me dis que t’es trop … sage…
… s’éclater … à nos âges … ça fait un bien fou !
A la viertuellement, bien sûr !).
_
Biz à tous.
_
Milliers d’Haïkus
Dès qu’on a le dos tourné
Descendent du ciel
Le damier bientôt
En grand manque de cases
N’y suffira pas
Prévoir un damier
De plus en plus aggrandi
Pour caser amis
Biseeeeeeeeeees du soir !
La Sagesse Bourrage? ah la Sagesse !Je ne sais pas si je suis Sage au sens philosophique du terme, car qui prétendrait être Sage serait sans doute bien prétentieux, mais je ne pense pas que l’on puisse être trop sage avec un petit « s » et ne t’inquiète pas Bourrache, je suis convaincue que les petits excès et dévergondages à tout âge n’entravent en rien la sagesse, ils seraient plutôt signe de bonne santé tout simplement.
Je suis sage, un cygne
Sur le damier de Babel
Caresse au passage.
Baiser, oh! pas sage
Dévergondage à tout âge
Sous l’eau d’une fontaine.
Eau calme et limpide
Vent rugissant de l’hiver
La pierre ne craint rien.
Morceaux de pain sec
Suspension de pain rassis
Polystyrène noir.
C’est l’ONU sur le blog d’Ossiane?
Tout le monde veut parler sa langue.
Je vais parler la mienne.
Leila,
peux-je traduire ton haiklu Arabe pour le Portugais\/
Je pense que tu vas dire OUI, c’est pour ça que j’ai déjà fait la traduction.
Bien sur, suivant la traducion que tu as fait en Français.
Ah! meu roseo céu,
Meu amor, porque o amor
É fel e açlucar?
Aux nus la pensée sombre
Aux nus l’homme habillé
De son fardeau plein d’ombres
Avec des cloches passées
Qui sonnent à tinter faux
Dans son présent pressé
De se faire avenir.
Ô nu est l’homme en pleurs
Habillé de son coeur
Il flotte dessus les cieux
Étalés par un ange
Racontez-moi l’histoire
Dit l’ange, pour m’endormir,
La Lune a caressé
La nuit avec des plumes,
Sans bruit, les pas de l’homme
Se sont faits satellites
Tournoyant sur des flots
Perpétuels cerceaux…liquides.
Et la lumière jaillit
Sous la pierre endormie
La pluie coule en rigoles
Ses gouttes sous les roues volent
Et chantent l’hiver venu.
Dans la rue désertée
Seule la voiture passée
Et la gouttière musique
Rappellent le temps qui glisse
Dans les mitaines d’amour
Dans les cœurs attendris
Par un feu qui crépite.
Silence, la nature bruit
Dormez, la pluie circule
Elle s’ennuyait au ciel
Ici, elle vient bercer
Quelques inconditionnels
Du soir éteint.
Leila ne dors-tu jamais ?
Comment arrives-tu à rester alerte eet vive de jour comme de nuit?
Bernard si c’est toi le haiku multilingue aux multiples auteurs, on aura vraiment réussi à t’enfermer dans le damier des haikus!!
Au gué au gué me fait fredonner Brassens
http://www.jukebo.com/georges-brassens_videos_corne-aurochs_3u58v.html?idtp=0
sinon
Traverser à gué l’ombre bleue des eaux vives
Où s’endorment les bruits et les lattes épuisées
le sable palpite encore du passage dessiné
et le courant salue des Ophélies l’esprit
Bisou l’équipage, merci pour émotions, sourires et rires 😉
Hello du matin les Amis
N’y comprend plus rien ?????
ai du me trompé de site
Waouh !!! un vent tourbillonnant souffle par içi
Bravo tout de même pour ce déchaînement linguistique!!!!!
Pas le temps …à bientôt AA
A Gué…méné, je me suis fait emmené
et sans faire l’andouille on m’a presque pendouillé
comme saucisse de gendarme en baton enroulé
A Gué…rande, je n’ai pas tenu un stand
la note était salée et j’étais vaseux
pas au point de racler…le fond de mes proches
A Gué…ridon, je cherchais à voir les plis de surface
qui signalent les angoisses, je n’ai vu que du lisse
façon miroir dans la coulisse
Interdit de gué
je m’efface
me gomme du damier
ma voix ne compte pas
voter blanc
c’est le comble de l’ange
on m’a coupé les ailes
j’en ai mal au haïku
mais je m’assoie dessus
comme je suis poli
aime les choses lisses
en suspens je vous laisse
à pa-pa-pa, à pa-pa-pa, à pas-pillon
de nuit
de jour et de folie
A gue—tter les étoiles
J’ai un torticolis
Ô gué, ô gué, ô gué
J’ai le coeur en folie ))
Gué—pard je cours vers lui
Me fais guêpe pour piquer
Parfois sa douce folie.
Amour, guê—pier d’abeilles
Au venin de serpent
Gué—ret pour coeur en veille
Alors je te dis NON!
Guérir d’un amour mort
A peine né en ciel roux
Sur sable d’oasis.
Alors je fais le guet
Sentinelle de ma NUIT.
Coucou Lou, la nuit je compose et je m’oublie dans la musique! ))
Mets – toi
en chemin
il n’est pas
une pierre
où trouver le repos
pas une chose
une pensée
un geste
où pouvoir s’arrêter
http://www.youtube.com/watch?v=XXnp1AQaZdc
Fait table rase
Oh désert géomètre
Au ciel s’envolait
L’oiseau roux blessé
Par une fronde au cœur de sable
Désert de regrets.
Dans l’alphabet des lattes
se jouent des lits les mots
et passent papillons
paons de nuit ou monarques
ou même pas latins
et pas tati et pas tata
Pas sable et pas dans l’eau
La vie danse vide de sens
Et le silence coule
Dans des prières muettes
Pas nois pas bleus pas blancs
La moderne percée
Ou le sable surveille l’eau
renversant ironique l’enchantement
Lou y es-tu?
Je mets mon dentier…
A pas de Lou, tu t’approches.
Prend garde Lou!
Je pourrai te croquer.
Lou y es-tu
J’écris pour aimer!
Prends-garde Loup
Chaperon, damier
Pour pattes blanches.
Où est Lou ? Lou aurait-elle peur du Loup ?
Ne vous dérangez pas, je ne fais que passer.
__
Sur le miroir du ciel
Feuilles mortes et planches baladines
Quinconce de formes
Dans le désordre organisé
Les yeux regardent sans comprendre
Mais le sensible est en éveil
Géométrie au service de l’art
Couleurs au parfum des sens
Rêves en bouquets de mots
Et de pas à pas les pieds
Pénètrent dans le tableau
En équilibre à la surface de l’irréel.
___
Bernard, rien de mieux pour commencer la journée qu’un bon rire! Merci 😉
Lou phoque ou lou garou , c’est loup qui croque et pas l’inverse!
les pas pillons eux volètent dans le damier.
Monique voyons Lou c’est loup… tout de même 😉
un poeme de saison
Reçois sur ton cœur si aride de tendresse
Mes baisers qui sans cesse ruissellent
Et ne laissent à gué aucune parcelles ;
Laisse toi immerger par mes caresses ;
Noie, Tes soupirs et ton triste passé,
Dans cette pluie chaude et diluvienne
Et que tes larmes amères antédiluviennes
soient adoucies par cette fougueuse marée
Bois l’orage de mes lèvres inextinguibles
il reflète et submerge de mon amour ,
les craquelures, interstices fragiles
de ton corps meurtri par les jours
crois en ce déluge violent de douceur
il puise son bouillonnement dans mon cœur
se nourrit et s’accroît de ton bonheur
pour grandir et mourir d’un amour éternel
complainte
Suis un soldat du gué
pas gai mais triste
ma belle m’a largué
en sautant par dessus le gué
ô gué ô gué
on me dit qu’elle est gai
alors que je suis triste
mon coeur est aux aguets
de l’autre côté du gué
ô gué ô gué
elle rit pour me narguer
ah!dieu !que je suis triste
l’âme tout’ déglinguée
suis prisonnier du gué
ô gué ô gué
je pense à me flinguer
tellement je suis triste
j’ai mal à divaguer
en regardant le gué
ô gué ô gué
Par sa beauté drogué
ô!quel souvenir triste!
j’l’avais pourtant baguée
un matin près du gué
ô gué ô gué
Suis un soldat du gué
pas gai mais triste
ma belle m’a largué
j’irai me noyer loin du gué
ô gué ô gué
Coucou Lou c’est fou ! mais biensûr ! on dit bien qu’il faut se méfier des eaux dormantes mais je n’ai pas peur des loups, certains savent se faire aimer.
____
Sur le sable et l’ocre
Une fresque aux reflets d’or
Le Chemin des songes
_____
Amichel au gué au gué pagaie 😉
___
Lou ne craint pas Vieux Loup.
Chaque soir, tout en tendresse,
Lui retire ses dents,
Les pose dans un verre transparent
Au trois-quart rempli d’Ô,
Ajoute la miracle pastille
Qui rendra éclatant,
Dans le matin naissant,
Le sourire de l’ange blanc.
Tout ça, c’est pas du pipeau !
Je la vois là, je la vois Lou
Quand, juste avant le grand saut
Dans sa nuit,
Elle dorlote le dentier de Papi
(déjà assoupi…).
___
Un exemple de passage à gué ( ou à gois , c’est selon ) l’heure des marées ou l’humeur des vagues ( bon ils ont aussi construit un pont , simple précaution pour les distraits et les imprudents )
http://www.photoslagarde.com/vendee/vendee-images/gois-noirmoutier.html
Eva revint sur l’île, l’île de Noirmoutiers
Elle put , à marée basse, de loin apercevoir
La chaussée empierrée, les pavés gris du Gois
Formant un liseré , un sinueux passage
Qu’elle empruntait avant, avec son compagnon.
Elle vint du continent, vers l’île, un jour, heureuse
La dame revit sa vie, en haut face à la mer
Laquelle se retirait, dans un léger murmure
Découvrant des vasières et des grèves sablonneuses
Que des pêcheurs à pied creusaient pelle à la main
Ils cherchaient des trésors, l’enfant, des coquillages.
Sur cette île de Vendée, bras dessus, bras dessous
Un pont à marée haute, un guet à marais basse
Les amoureux s’aimaient d’une tendresse infinie
Passant d’un lieu à l’autre, entre les marais salants.
Eva frémit de froid, l’hiver enveloppait la rue
Un écran de grosse pluie l’incitait à courir
Mais elle laissa les gouttes frapper sa peau mouillée
Et ferma les paupières levant la face aux cieux
Trop heureuse de rester au fond des souvenirs.
Passer le gué
Sans se mouiller les pieds
(ou très peu)
et sans pavés japonnais
Faut l’faire !
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Biseeeeeees au guéééééééééé
A l’oued rien de nouveau!
Désert de rouille et de citrouille.
Avant la pluie, après la pluie,
mis bout à bout, à cloche-pied,
dans ce dédale,
bon gré, mal gré,
trois mots s’égarent,
un pion se perd
sur le damier.
Ah leilala, lalaleila……………………………………
« toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. »
http://imalbum.aufeminin.com/album/D20050819/126000_FOVU4X4DDCZW5SDS2N5HXHHFQJDZMA_32824_734336494_vieux_h140400_l_H164101_L.jpg
Hélène,de jolis souvenirs lorsqu’à pied nous passions du continent à lîle de Noirmoutier, de Beauvoir sur mer à la Barbatre, quatre kilomètres jalonnés de balises pour se réfugier en cas d’imprudence. A cette époque, où le pont n’existait pas, les balises étaient en parfait état, mais attendre perché en attendant la marée ou qu’un bateau vienne vous chercher, ne devait pas être du plus grand confort. Enfant, ce passage avait un goût d’aventure, car nous n’avions pas la notion du temps, nous avions l’impression d’accomplir un exploit en prenant un risque énorme et la peur de voir les eaux se refermer sur nous. J’ai la souvenir de l’avoir traversé plusieurs fois, mais lorsqu’il ne faisait pas beau, c’était pour nos petites jambes assez impressionnant ; je suppose que nous en avions aussi peur que du loup garou et ne devions pas trop nous attarder à chercher des coquillages.
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De planches en planches
Nous ne nous goiserons* pas
Dans l’eau miroitante
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goiser signigie ne pas se mouiller les pieds, d’où le nom du passage du Gois
je rectifie c’est : ne pas se goiser qui signifie ne pas se mouiller
Sur la plage des Dames, Eva, joyeuse hier
Tissait une belle histoire, le calme de l’endroit
Aux rêves d’avenir offrait l’or de la dune,
Etalée, fine, plus bas, vers le bois de la Chaize
Le vent les emportait vers un large lumineux
L’eau calme berçait les barques amarrées sur la plage.
Voir la mer un matin, accrochés au rocher
S’asseoir tout près du ciel, toucher presque les oiseaux
En vol plané, rieurs, sur le port de l’Herbaudière,
Port de pêche, port de plaisance, des bateaux à quai
Chalutiers ou vieux gréments, tristes ou restaurés.
La saline inondée, couvait sous l’eau de mer
Elle patientait humide attendant son saunier
Qui couvrit les oeillets et les chemins d’argile
Aux beaux jours printaniers, il vidangeait ces aires
Nettoyait à la main des marais peu profonds.
La fleur de sel brillait, écumée à la lousse
Perlant sous divers vents, vents de terre, vents de mer
Fine et légère, un peu rosée , subtile et parfumée
La fleur de sel séchait, blanchissant sous la brise
S’unissant amoureuse, au fenouil ou au thym
Aux algues, aux salicornes, qu’on goûtait en croquant.
Le sel dans les salanges, les marins sur un banc
Causaient près des cabanes, de l’huître, de l’Océan
A marée basse, au loin, on voyait l’épaisseur
Des bouchots alignés face à la Guérinière.
Quelques rares bourrines en guise de patrimoine
Des landes et des villages, des champs de pommes de terre
Au sud les plages de sable, vues des embarcadères
Etaient brodées d’une ligne, les moulins de la cour
Dont un vivait sans ailes, nommé moulin d’Amour.
« Tournez ailes du moulin, tournez à la Barbâtre
Monuments historiques et douceur insulaire
Beau moulin de la Fosse, et moulin de la Plaine
Dressés pour les marins comme des chandelles lointaines.
Eva reprit sa route cheminant vers le Nord
La pluie cessa ses pleurs et le soleil timide
Eclaira les ruelles du village du Vieil
Bordées de roses trémières et de boules d’hortensias.
Qu’il semblait triste le cimetière des vieux bateaux
A la coque rouillée reposant sur la vase
Le vent secouait des drapeaux et ça et là
Des margelles d’eau, dentelées de rochers brisés
Où des étoiles de lumière se reflétaient
Dans le couchant sur les marais salants.
On va bien finir par le franchir, ce gué !
Un pied sur un pas
L’autre pied sur l’autre pas
D’une rive à l’autre
… pour arriver de l’autre côté…
Qu’est ce qui nous attend, de l’autre côté du gué ?
Suspense….
Biseeeeeees du soir
PS ! J’enrage…. j’ai le micro qui « rame » : il traîne à afficher les pages web… grrrrrr. Et pourtant, on l’a soigné, supprimé le vilain virus… et tout et tout…
Mais ça rame encore !
Le gois n’est pas aux abois
mais ça va faire dégoiser
ce morceau de pavés
Leila, serais-tu de Noirmoutier ? tous ces noms qui sonnent doux à mon oreille, en te lisant je me retrouve quelques années en arrière dans des lieux de vacances que j’ai tant aimés et ton poème me fait revivre ces moments avec grand plaisir. Je n’y suis pas retournée depuis mon enfance et je me revois traversant les marais, et je me revois au bois de la Chaize, à la Guérinière , c’était hier!!!!….
rehello un peu tardif, bises Leila, Christineeee, Thierry , Monique
Pas pions et papiers
Volètent dans le damier
Pare à l’aile des dames
Tes pas perdus au vent
Edmond de monde entier
qui pas à pas pâlit
page blanche ou pas d’ange
Dans les pans d’un sourire
Gai rire et gué tapant
Excusez -moi, Edmond dentier 😉 mais j’adore vot’ nom et je suis sûre que Rachel aussi.
Il parait que vous aidez le monde entier, ça tombe bien, j’habite pas à 2 pas. Avec Rachel, on a juste besoin de … dentiers. Bourrache en a trouvé un ce matin mais c’était pas le bon, c’était celui de pappy russe! Alors depuis ben
on est aux aguets, on cherche dans l’eau des pas perdus…
Bon je file en dent sans car j’ai assez divaGUÉ
.
Au gué, au gué, c’est très gai… la suite chaises en folie 😉 Le blog en voit de toutes les couleurs et toutes les nationalités! C’est très tendance en ce moment Ca patauge!
Quelle avalanche de poèmes tous plus beaux les uns que les autres pour traverser le gué qui doit nous mener vers d’autre rivages! Ca se bouscule au portillon 😉 Un grand bravo à vous tous !
>Pas du land-art, pierre, juste quelques pas posés pour faire beau et pour surfer au contemporain;-)
>Coucou François et feu roméo ! Et le jeu du damier, vous le faites ?
>Leila, je serai là bien sûr;-) Fais quand même lire le blog à ta grand-mère, je pense qu’elle s’habituera à tous ces éclats de vie inattendus parfois;-) Ton joli flux de poésie est interrompu, comment fais-tu ?
>ne t’inquiète pas Monique, je veille au grain;-)
>Christine, il me manque une dizaine de cases à remplir pour un damier de 64 cases. pas trop mal, non? Courage pour ton micro qui « rame » !
>Bienvenue à PRISMATIC et à Jo.S que je remercie pour ses premiers pas gracieux de poésie;-)
Ah oui et puis j’oubliais … bien le bonjour à tous ces habitants un peu coquins de la planète qui viennent se proposer pour écrire leur poème;-)) Ils m’ont beaucoup amusée;-) Je les accepte ! Ce sont des copains et des copines à toi bernard ?
Allez zou… je fille publier la nouvelle note… bonne nuit à tous, à demain!
Ossiane.
Nouveaux commentaires:
https://blog.ossiane.photo/2008/10/31/haiku-calligramme-octobre-2008/#comments
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des vagues calmes dans le passage des étranges
paroles
pour un rire
gué
entre demain et toujours
ombres fuyantes des soleils des mondes
pas obligés de l’errance parfaite
Quiètude entre aube et crépuscule
Quelques barques de briques
Et les silences s’étirent
SOS…………………………………..
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> Ossiane
__ …______ 2 camarades tombés hier au cachot ne sont toujours pas ressortis _ STOP
…____…. Sans nouvelles d’eux dans les prochaines heures je mets la BP à tes trousses ainsi que la BJD _ STOP
Un jour, Ossiane nous a dit qu’elle ne pouvait plus tirer les pauvres qui étaient tombés au cachot !!
J’en connais quelque chose !
Maintenant, je fais très attention.
Mais peut-être il y a encore de l’espoir
Edmont : quand je clique sur ton lien d’hier à 22 H 31, une page immaculée s’étale sous mes yeux.
Est-ce donc à ça que ressemble un ange … blanc ???
Oui Bourrache; c’est à cause du carré blanc: avant 22h, s’abstenir…
Tu peux sortir ta loupe >>>
http://imalbum.aufeminin.com/album/D20050819/126000_FOVU4X4DDCZW5SDS2N5HXHHFQJDZMA_32824_734336494_vieux_h140400_l_H164101_S.jpg
Le sol
Nu
réverbération de la pierre
attente verticale
passage
vibrations des gloires
sans indifférences
le jour intact
s’incline vers la mer
et le sable s’efface
dans l’océan
soluble et inégal