Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Vive, elle dévale
silencieuse, elle s’étire
ronde, elle s’éclaire
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Vive, elle dévale
silencieuse, elle s’étire
ronde, elle s’éclaire
Le ruisseau tari
e-motion matinale
l’eau chante ce soir
La Lumière de l’automne
Éclaire de son faisceau
Le ruisseau qui chantonne
Les feuilles sur le sol
Rougissent d’émotion
Puis entament la danse
Et le bois applaudit
heureux de leurs présences
Electronic motions et une nouvelle page s’inscrit comme par magie avant l’heure attendue!
C’est bien des tours de parachute d’Ossiane ça ! bisou à la fée ! 😉
M’emporte l’eau courant vers des points inconnus
Des DO, des MI, raisonnent sous le feuillage mouillé
NO n, ce ne sont que notes, envolées, disparues
D’une sonate en pleine nuit trop de lumière en moi
Et des coins de pénombre, où j’y ai bien trop froid.
Je ne hais pas encore,les haies qui nous séparent
Je vais suivre les eaux,vers l’aval, l’eau est claire
Il y a des muses absentes dont la musique est douce
et le coeur transparent à s’imbiber de vert.
Recoin paisible dans la lumière mouvante
Auréole, oscille de la valse de nos vies
Toujours trop tard,enraciné dans les serments
Notre amour s’en va s’assoupir, après la rupture
Le parc est silencieux et nos coeurs trop bavards.
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Petit saut en parachute et Grand bonsoir à tous !
OOOOoooooO
OOOOooooooooooOOooooo
OOOOOOOOooooooooooooooooOOO
OOOOOOoooooOooooOOOOOOOOOOOOOOOOoooo
OoooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOOoooooooooooooOO
OOOOOOOOOOOOOooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOooooo
OooOOOOOOOOOOOOOOOOooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOooooooooo
OooooooOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOSOOOoooooooooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOSOooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOooooooooooooooooooOOOOOOOOOoooooooooooooooooooOOOOOOOOOOOOOOOOoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
Me voilà de retour après des allées et venues, une bonne lessive avec plein de mousse et puis le plaisir de découvrir votre inspiration moussue, vos mots croisés, vos cœurs croisés, vos gazouillis, vos scoubidous, vos roudoudous dans ma croisée 😉
>>>Aspe, c’était cet été au mois d’août 😉
Merci et bienvenue à vaggelis vlahos, Fabien, Eleonora, véronique, dilgo, aux revenants, aux fidèles moussaillons de l’équipage, aux absents déserteurs pour tous vos mots si gentiment déposés et qui font le bonheur de tous les lecteurs de passage et de la maison.
Bises pas piquantes vers vous 😉
Bonne soirée !
Ossiane
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En ses mouvements et ses trajectoires
L’eau délaye fond lave nos illusions
A coté du clapotis clair et joyeux
Elle invite au bourbier et à la mort
La lune féconde sa menstrues de lumière
un écrin richement sombre
entourant, enveloppant comme un trésor
une tache de terre enluminée
précieuse de la lumière
qui est venue la chercher
à travers toutes ces couches
d’ombres bruissantes
C’était le jour des lavandières
C’est la fin mais encore demain
Je flânerai vers ton amont
Je longerai la berge stable
Avec toute l’absence qui m’accable
Et mon regard cherchant le tien.
C’était le jour des lavandières
Laveuses de nos sables aux diamants
Poussiéreux paniers aurifères
On s’est croisés dans la lessive
De nos esprits dans leur shampooing
Entre un clapotis d’eau et des bulles de savon
Bastringue de nos enfances
Éclaboussées de bleues
L’eau fume, elle tue mes vers
Sur des draps sales à laver.
Sois blanc.
Bonsoir Ossiane, avec toi suivons pendant ce week-end d’automne, ce petit sentier qui longe le ruisseau, écoutons tranquillement couler l’eau, chanter les oiseaux, respirer le sous bois, craquer les écorces et humons à grandes bouffées l’odeur de la terre mouillée laissant cet espace alimenter nos rêves et nos inspirations.
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Un rayon qui s’attarde
Dans la trouée des grands arbres
Le bain d’une nymphe
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Bon week-end et Bonne soirée à tous et regardez bien, peut-être verrez-vous près de la rivière la nymphe endormie de Théodore Chassériau
Cet espace de lumière me semble bien être la trace de son passage dans la rivière, elle est depuis allée rejoindre sa toile.
Lumineux. C’est beau.
Bon we Ossiane, je t’embrasse.
Nymphe
Sauvée des eaux troubles
Son dos nu apparaît sous l’épaisse chevelure
Dont les pointes touchent ruisseau
Métamorphose parmi les pierres moussues
Et les gerris dansants
Ah! surprise d’une peau lumineuse dans un rond de lumière.
e-tourdi par tant de beauté mais pas e-stourbi
on se laisse emporter par l’énergie communiquée
et celà fait tache, s’étend
e-motions
i-movies
En noir et blanc
Domino.
Cornes de lune pleine
Céleste reflet croissant
Funèbre embarcation
Porte de brume pour Reine
Funeste secret passant
Zèbre de points, pions.
Odyssée nocturne
Chant de sireine
Maelström zébré
Sisyphe domino
Miette de point
Ado minot, point noir, apnée juvénile
tuba, mon coeur, grand flot, lippu
La lune ici demeure sur l’eau
Berceau des vivant plaisir de lait
Navigation en vaisseau fantôme
Sombre au sein du POiNtS secret
inexorable, nous dévalons vers le futur
inévitable, nous remontons le passé
incontournable, nous franchissons le présent
l’instant est cet intersice abyssal
qui nous met sans cesse en porte à faux!
bon week end à vous tous
Ossiane enfin sorti de la mousse
Des passants…le charme est rompu
Fougère, étale ton feuillage
Que j’y cache mon printemps.
Mon coeur est dans le tien
Dont un pan vers l’aval
S’en va rejoindre la mer.
➻➸➻➵➺☁☁☁☁☁☁☁☼♰❍Noyés⩫
♫La musique retentit ♬♩
⚀,⚁,⚂
L’eau est dans le bois
⚃,⚄,⚅
Mon coeur roue motrice.
Trépassant la larme est nue
Fou je gère l’étale mouillage
Que s’y cache mon instant
Mon cœur gros est dans le tien
Don que le dieu Pan en vers avale
S’en va rejoindre l’océan amer
Alignement de dominos noyés?
L’âme muse en notes retentit
?;?;?
Le halo est dans le sous-bois
?;?;?
Ton cœur troue les mots tristes
Ton corps roue de tristes maux
Sur la femme, ton autre
Au sein de la demeure
Je ne suis que le jardin fertile
Avec des consonnes en verdure
Et mes voyelles lessivées
Se suspendent à la corde raide
Le linge n’est pas doux
Trame rèche de ma cinglante décision
Au vent qui passe.
http://www.youtube.com/watch?v=0s7okeHS8iY
« Vive, elle dévale
silencieuse, elle s’étire
ronde, elle s’éclaire »
Belle énigme….
Digne du Père Fouras !
Qui aura la clé de la solution ?
Biseeeeeeeeeees énigmatiqueeeeeeeeeees
L’eau du ruisseau pardi!
Aurais-je un bon point Christine?))
Elle est claire comme une ronde qui ne demande pas main cette chanson qui s’étire et dévale vive le cours de la vie!
Christineeeee, pas facile à déchiffrer même tournée dans tous les sens, j’aurais essayé ! 😉
Monique, j’ai vraiment respiré à fond en lisant tes premiers mots dans la page. Ils font du bien et on y est. Merci
Bise de WE à l’équipage
___ ___ ___
Passage dans un champs qui sculpte dans le passé les mots d’un horizon.
Il est perdu le temps qui pleure sous les étoiles pourtant les émotions traversent les gorges nouées et les ruisseaux gémissent sous la force des flots.
Non Leila, pas l’eau ce serait trop facile ! Et pourtant !!
Silencieuse l’eau, Leila ? Allez Ossiane lui aura ordonné de se taire pour l’occasion 😉
dans une flaque d’eau!
Tu as le bon point et je retourne dormir plutôt que de divaguer
Bien des ombres mais de la paix capturée qui joue à ne pas se laisser prendre dans les flash solaires du petit-ruisseau en sous-bois que défendent hardiment les lances des frondes de fougère-scolopendre. Amitiés de passage, JP
Lou,oui, l’eau, là… ))
Soleil☀ sous l’oeil bleu d’Ossiane!
Lou et Leïla !
Je pense comme vous que ça doit être l’EAU !
Non seulement vous aurez un bon point,
Mais aussi une image !
Alors, je vous donne de quoi cogiter encore pour le week-end !
Les autres aussi peuvent participer, c’est même fortement recommandé !
…
Et l’eau « lourde », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « claire », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « calcaire », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « boueuse », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « pétillante », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « écarlate », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « de vie », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « de boudin », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « bénite », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau « forte », qu’est ce qu’elle fait ?
Et l’eau de « Javel », qu’est ce qu’elle fait ?
…
…
Bon, je stoppe ici…
Mais si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas !
rebiseeeeees à l’eau de lavandeeeeeeeeeeeeee parfuméeeeees d’eau de Cologneeeeeeeee
et l’eau ferrugineuse ? graine de semeuse
et l’eau douce ? marin d’eau douce
et l’eau plate ? Lance Amstrong
et l’eau d’Issey ? Ulysse
mais l’eau racle la gorge quand vient la nuit, mon ami Georges,
c’est bient0oooooT Halloooowiiiinn !
Vive le Gin !
et l’eau tarie, mon amie… (Clap, Clap)
Et le mari
De gin se saoûle
Quand en vacances sa femme
Plate comme une eau douce
Envie boueuse? les mains bénites
En eau d’boudin sera la fin.
Le cours du pas de terre
Se coule en ondes douces
Qui parfois se clapotent
Comme le courant de la vie
Traverse la pénombre
Toute de noir vêtue
Pour connaître un bel jour
Une lumière en torche
Doux cercle auréolé
Doux pesant d’or vermeil
Si l’eau dort…
mais si elle a de l’audace
et se transforme en bleue,
ne devient-elle pas de sucre
entre les dents d’un amant aux anges…
sisi le sid…..
Oh zut, deux doux, c’est doudou non?
et l’O de Vie ?
Eau la la
L’eau se déguise à ce que je vois !
l’eau est ville américaine quand elle est Eau Claire
en auto car elle se met à l’anglais
en chateau (d’eau) bien sûr
en pierre précieuse quand elle est pâle ( opale)
Sacrée O temps d’Halloween, elle vit jolie sans se soûler
Bises à tous
L’eau de vie
Est château
Dans les yeux des amants
Une histoire d’O bénite
Par la passion nouvelle.
l’ô de vie est tourments
Et coeurs au diapson
Ô de cru, mise à nu
Des corps et de l’esprit
Aux anneaux enchaînées
La chair en don de soi
mais ce n’est que de vie
Que l’eau parle ce soir
L’ô de vie est caresse
Et sourire poésie
ça te va Ossiane?))
Histoires d’O !
« BravEAU » LES FILLES !
Ossiane, tu peux préparer tes images !
Est-ce Ovide qui vient ce soir au fil de tes pas, nymphe des eaux et fille de l’Océan, sortir sa lyre des flots où fut sauvé jadis le pauvre Hésiode par de fiers dauphins ?
Au coeur du sous-bois, je crains la vouivre et je veux vivre sur la plage des mots qui roulent à l’ombre du saule pleureur dans le ruisseau aux secrets vers les sources de notre mémoire.
Et Narcisse vint se pencher dans la lumière de l’onde, oubliant Echo dont les murmures se noyaient au pied d’un charme…
L’eau de vie vide ma bouteille de son brouillard
Et m’invite au château d’eau de la Loire
L’ histoire d’O bénite se transforme en eau du Gange
l’ô de vie est Mississipi attention au lit
Et cœurs au diapason des ponts de la Seine
Ô de cru, mise à nu du Nil ça me plait d’Egypte
L’ô de vie est caresse au Rhin et au foie
Dissoute en quelques gouttes hips il en reste plus
L’eau de mort remplit ton corps de son fuel
Et te tends un linceul pour draper tes fantasmes
L’eau de source est marée, noire à engluer l’oiseau
Les coeurs résonnent faux et la raison raisonne
A briser les tympans, à momifier les reines
De l’Égypte ancienne, sur le Mississipi du Nil envahi
De crocodiles et de vainqueurs vaincus
Dissous en gouttes humaines pour renaîte eau d’javel
Drap blanc.
Vive les mots!
Coucou Ossiane,
désolée, j ai quitté l’écran avant ton Ô de vie,
Tu es mon Ô de vie
Mon Ô de Là de toi
Que l’Ô coule paisible
Si serrée contre tÔi
TÔn goutte à goutte
Réanime mon sÔuffle
Quand il n ‘est plus
Ma vie dedans sa gÔutte
Aime les mots d’amÔur
Ceux que l’Ôn ne dit pas
Car Ôn le vit vraiment
Dans son ciel étÔilé
Chaque jour bien bel jÔur
.
je do
o de vie
ode pluie
o de l’air
ode mer
o de rOche
ode rOse
o de neige
aude sOurce
.
http://www.dailymotion.com/relevance/search/cry%2Bfor%2Byou/video/x1betx_bob-marleyforever-loving-jah_music
.
eau d’eau vive faite de frémissante rives
aux ombrages des caresses
ta joie frisson donne à la lumière sa promesse d’eau
J’aime aussi les lotions
qui vous courent sur la peau
se nichent dans les sillons
pârent et fument
quand on se met en eau
on retrouve sa nature
plongé dans le grand seau
avec pour seule véture
les sensations du corps
affleure alors de l’eau
la vie inexctricable
l’O rage qui ternit les images
l’O tage qui atteint les rivages
l’O cage qui ensevelit les sages
l’O page qui mouille les messages
l’O carina qui conduit l’aréopage
l’O rphéon qui amuse le village
l’O rthopédiste qui dévide les bandages
O tite qui se masque à l’oreille
O pération qui compte la tentation
O stentation qui se montre à tout va
L’eau de vie pourrait être eau de poésie
si je laissais totalement divaguer mon esprit
l’eau de vie ce pourrait être l’étincelle sublime
dans un mouvement ample qui racle et qui élime
L’eau de vie c’est trop souvent l’eau de feu
celle dont on croit benoitement qu’elle ranime
L’eau de vie une recette chasse spleen
pour tirer des conséquences de sa sobriété
L’eau de vie c’est de l’eau blanche parfois raide
qui vous met sur une planche le poul vif
L’eau de vie c’est un coup à finir à l’aspirine
tant elle bat dévorante sur vos tempes
L’eau de vie c’est seulement si ça vous tente
mais c’est une rampe pour un prompt décolletage
L’eau de vie c’est traitre et ça vous assassine
rendant à son rythme les mots en borborygme
L’eau de vie ça conserve les fruits et les airelles
ça vous donne des ailes mais pas de parachute
L’eau de vie ça détend comme une soupape
mais ça ramollit même les neurones du pape
L’eau de vie ça se brandit comme un trophée
ça fait pousser dans la nuit des cris de joie
L’eau de vie ça nettoie, ça purge et tue les vers
pourvu que ça nourrisse la rime
L’eau de vie ça festoie, ça festonne, ça résonne
ça étonne aussi en cercle quand ça tourne
L’eau de vie ça infuse et ça diffuse mais ça n’élargit
pas la vue, ça rétrécit même les membres engourdis
L’eau de vie ça fouette et ça arrache, ça dégage
mais ça engage…sur une voie saumâtre
Eau de pare faim qui remplit l’estomac
Eau de ventre qui baigne le foetus
Eau de l’oreille interne qui donne l’équilibre
Eau de jouvence qui remonte le temps
Eau de jouissance qui rafraîchit les sens
Eau régale qui dissout l’or
Eau frugale qui tient compagnie
Eau de rosée qui est le vertige de nos nuits
Eau de pluie qui finit dans un puit
Eau de songe qui berce nos rêves
B Eau de l’air joue avec le vent cause avec les nuages
Et lu art comme la mer te berces de ses étoiles
L’eau tréamont pleure des vagues de cristal
La fontaine laisse jaillir le torrent affable
Eyre de l’écriture l’eau coule en maudits vins
Olympe de poètes et jeux de parachutes
Des champs Du charme de l’eau nait mot lierre
Enfants de l’esprit même où le génie s’écoule
Vous devez bénir l’heure de votre destinée
Inari d’ondes folles et d’ivresses languissantes
Et d’émotions la source reflète le soleil
pardon pour les entorses à la conjugaison, « te berce » est préférable et tient debout sans s.
Pour couper votre vin, amis viticulteurs, une seule solution. Utilisez l’eau Pinel…
Oh, mon Capitaine, l’horloge de l’Ô … pas encore en parure d’hiver ?
http://fr.youtube.com/watch?v=MaPUxDD5jXs
__
Bon dimanche à toi, Ossiane, et à tout l’équipage.
(encore sous la couette … ? Quant à Lou, elle va aller s’y blottir…)
Le vin coupé d’eau, pourquoi pas de limonade pour une jacqueline ou un limé
qui permet d’éliminer plus aisément, quand à mélanger vin …et eau de vie
on peut faire du diboulard ou du communard mais ça fait ribouldingue et tout le bastringue.
La vie est couette quand on gagne une heure l’an pour une nuit qui n’en finit pas et pourtant la brume se disperse, les paysages se découvrent et le soleil nous honore de sa présence.
Salut aux matinaux pas encore recalés mais toujours décalés.
Clair obscur,
Je n’aime rien tant que la fêlure,
Qui lézarde le mur
De sa résistance…
Sombre et pâle,
Fragile et pur comme un cristal,
Transparent, idéal,
Quand j’y pense…
Et je me tiens,
Ni trop près ni trop loin,
Passager clandestin
D’un rêve incertain
Je sais qu’il ne va pas vraiment
Bien,
Je n’attends
Rien,
Je lui tends
Juste la main..
Il a fermé à double tour
Pour pas souffrir, pour pas pleurer,
Car il croit que l’amour peut tuer..
Clair obscur,
Je n’aime rien tant que la blessure
Protégée par le mur
De ses apparences…
Sombre et pâle,
Coupant et dur comme un métal,
Mon ange, comme tu fais mal,
Quand j’y pense…
Et il se tient,
Toujours à mi-chemin,
Du rejet, du besoin,
De ce qui l’atteint
Je sais qu’il ne va pas vraiment
Bien,
Je n’attends
Rien,
Je lui tends
Juste la main…
Il ouvrira sa porte un jour
Pour voir le ciel, pour respirer,
Et l’amour entrera sans frapper
Françoise HARDY – Clair-Obscur
On s’absente un moment et on retrouve un équipage divagant une bouteille à la main. Et le capitaine n’est pas le dernier ! comme toujours (sourire) Je n’étais pas perdue Lou mais j’ai du affronter une perte terrrible……. Et oui ! ma dernière dent n’est plus.
Moi qui avait toujours eu la DENT dure j’ai perdu de ma DENT sité. Mais comme dirait Monsieur DENT tition : Une de perdue………et bien vive le dentier.
quelle forme, Lou,
et bien belle chanson de F. Hardy, Alice,
bon dimanche d’automne.
Oui Lou c’est tout à fait ça!
Tu écris vaaaachement bien Thierry)).Je te course, tu me courses
Fée de neige noir d’esprit
Voile au vent,fée au lit
Ombre, éclipse$
Fée de toile
Peintre d’infortune
Volant, volage
Fuis, fuis suis beau mirage
Je connais le secret
Des lumières tamisées
Des ombres sur les coeurs
Cache-cache entre lui et moi
Cache-cache de nos esprits
Cache, cache ce quotidien
Que je ne saurais voir
Sans te remettre droit
Sur le sentier de sources
L’eau de source
Eau douleurs
Fleurs d’eau et beau de l’air!))
http://www.youtube.com/watch?v=4G5Pmfk1vkM
Quelqu’un connait-il un remède anti-rimes?
elle est terrible de déchirement cette vidéo, leila, de clair obscur.
Bonjour rachel je compatis le mon dentier aussi , mais c’est pas drole car la mastication est une fonction vitale, pas de bol 😉
C’est beau alice , rien n’est n’est tout blanc ni tout noir, mais c’est oscillatoire
et on alterne les passages, supérieur ou subalterne.
Tu crois leïla, moi je ne fais rien d’autre que suivre les émotions justement du moment, sans forcer et attendre, parfois je force la dose (pas de ce que vous croyez, j’étais parfaitement sobre cette nuit).
Pour la créme anti rime l’appliquer par vagues successives et surtout laisser agir
une nuit entière, si au réveil ça se termine toujours intime alors appliquer une deuxième couche pour éviter que rapplique les suppliques implicantes et parfois urticantes qui sont de cruelles sécantes. ;)))
la vie de blanc, de noir, de gris,
mais pour certains plus de noirs de gris que de blancs,
et pour d’autres, bien plus de blancs, juste des petits noirs,
la vie cette loterie pur laquelle on prend un ticket quelquepart, un jour, pour se baigner dans un ventre, avant de se nicher un berceau tendre ou une paillasse de crasse, la vie,
la vie c’est comme ça,
et c’est pourquoi la vie, quand on peut la saisir, c’est bon de la serrer, l embrasser, se donner, s’envelopper de ses elixirs de bontés qui rendent la vie vivante,
et c’est tellement beau un être vivant de vie à se donner s’offrir.
bon dimanche pour chacun, il est 10 H 21, d’un 26 Septembre 2008, et c’est quelquechose, non? BISES Ossiane, et chacun!
sur la dvd de Leila, merci Leila, séquence émotions….
Seule elle se couche le soir
Sa pensée est en lui
Il la rejoint sa nuit
Elle se lève le suit
Et quand il est couché
Elle le serre aussi
Ces deux là savent vraiment
Qu’être ensemble fait du bien
Par la pensée déjà
Car ils sont séparés
Et se marchent côte à côte
En regards face à face
Si douce complicité
Tel naturel de vrai
Une osmose si grande
En belle liberté
Sans cadenas verrou
Juste le bonheur d’aimer
Et quand parfois la larme
Le désir tel de serrer
La pensée elle serre fort
Embrasse cajôle tendre
En bel bonheur d’aimer
En attendant le jour
Des douces retrouvailles
bises de belles e motions à chacun, bel coucou Ossiane! je pars mon dimanche en dehors!
Oui annick c’est bien vrai
alors pour toi ce matin et pour vous tous
bises à ossiane qui dans l’O de vie
a distillé des propos alambiqués
qui ont alimenté la colonne
des effets divers.
« Une vie plus loin »
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Kiril Kadiiski a écrit « qu’est-ce que la vie humaine: des efforts parfois vains mais toujours avec le dessein secret de laisser une trace dans le monde »
Cette puissante mise en perspective de ces parcours individuels qui s’inscrivent dans des trajectoires incertaines, des arabesques folles, des lignes brisées et parfois en pointillé n’est pas que le reflet de l’inanité individuelle à marquer au meilleur sens du terme les esprits et les lieux.
C’est vrai que la logique pictogrammique dans laquelle la civilisation nous a inscrit contribue à faire du témoignage aussi simple que l’apposition d’un contour de main la révélation pour demain aussi d’un existence certes précaire mais signifiante et qui se veut signifier pour les temps futurs que des êtres pensants ont posé un regard et plus que celà sur ces signes et symboles qui soulignent d’un trait la briéveté de l’existence mais rythment en longues stances picturales la réalité d’une vie de labeur.
Cela coûte assurément parfois d’exister en tant que tel ou du moins de parvenir à se faire reconnaître pour ce que l’on est. Mais de ces tentatives souvent maladroites il reste au moins cet essai pour construire non une fiction mais un début de réalité autour de soi.
Certes à quoi cela sert il de tracer et de graver sans relâche des inscriptions dont on ne sait exactement pourquoi ni qui pourra trouver un quelconque intérêt à les décrypter.
Pourtant il y a dans cet entêtement, cet acharnement une logique de la volonté et une projection de l’être qui se veut dire et espérer que peut être
son identité cartographiée sera reçue et comprise comme un message d’espoir venu duy fond des ages à défaut de représenter le summum des sages.
000
Inspiration depuis les écrits de Kiril Kadinski:
Vie humaine, efforts divins,
Traces incertaines, dessin posthume.
Folle envolées des sentiments
Lignes en suspens dessus le ciel
Azur pour l’un, suie pour bien d’autres.
Regard fugace, main pour la trace
Des grottes humaines dans nos cavernes
De neurones,à explorer.
Vies de labeur, vies de douleurs
Empreintes de coeurs comme une requête
Gazelle dans l’ocre du Sahel.
Une vie d’ascète, immobile
Qui a fini de recourir
Aux billets verts et aux remous
De l’ascension vers des empires.
Autour de soi, monde marathon
Une heure nouvelle,métrages de vies
Aussi courts que longue est la vie.
Écrire, écrire pour respirer
Écrire la main qui peint les murs
Trace claire-obscure de nos destins
Entre deux coeurs, une âme soeur
A décrypter en marche, en vol
Sur tous les sentiers et chemins
Dessous la mousse, dans l’eau des LA
Sonnés par le chant des sirènes
Des êtres fous , des rois, des reines
Des âges tendres de nos histoires
De la préhistoire de nos temps
Dans la mare eaux câlines. (zavé pas eu envie de dire dans la mare aux canards?))
Ah leïla les écrits de kiril kadiiski qui est bulgare se limitent aux parenthèses
après c’est votre serviteur qui a agité sa lance à phosphore.
un autre texte sur la descencion des empires
000
« Marées d’équinoxe »
Un Monde ancien s’agite et se débat, il ne veut pas mourir et a cessé de nourrir toute une frange de cette population interlope qui n’en pouvait de se goberger et de se rouler non dans la fange mais dans le stupre et la luxure.
C’est la stupeur qui a succédé à l’euphorie et des lendemains qui déchantent de gueule de bois en coiffure iroquoise avec cette arête qui est devenue instable et des étalons de la finance qui n’en finissaient pas de piaffer dans les stalles mais vont devoir se résoudre au peu de grain à moudre qu’il va leur rester pour l’instant.
Les grands tumultes en rouleaux puissants ont poussé leurs avantages, faisant tâches et s’étendant au loin sans qu’un quelconque horizon puisse se découvrir ni que l’on y puisa des certitudes et une assurance certaine que le rebond est là.
On n’en finit pas de jouer au yoyo, les nerfs sont incandescents, les plaies purulentes et les « kings of the world » en ont rabattu, perdant de leur superbe pour affronter une mer démontée où tous les éléments du décor passés par-dessus bord, flotte encore lamentablement alentours.
Combien de débours et de débines après ces années de combines et qui pourrait présager du futur et envisager l’avenir sereinement sans se faire dévisager sèchement pour cause de naïveté confondante.
Le bloc des égoïsmes va-t-il enfin fondre devant ce coup de chaud qui en a refroidi plus d’un, leur mettant la puce à l’oreille et la pustule aux fesses.
Beaucoup nous ont déçus par leur pusillanimité qui craignait trop les inimitiés et se sont complus dans le silence, d’évidence la danse commençait à peine et ce n’est pas la bourrée car ils se sont fait rembarrer.
000
Peu importe qui écrit ce qui attire le regard.Les mots se partagent.Seuls les mots se partagent.L’argent se donne.ça coule de source comme les sons de la nature…humaine
http://www.youtube.com/watch?v=UT8P22UCnhA
écrire
http://www.youtube.com/watch?v=-0uulx0_Geg
eau de vie me fait penser a cette chanson
http://musique.fluctuat.net/autour-de-lucie/femme-a-l-eau-de-vie-t120094.html
je n’ai pas trouvé la video
écrire
c’est rechercher la lumière, en passant au milieu des ombres
c’est se mettre en lumière, pour que les ombres disparaissent
pour certains c’est aussi chercher la lumière pour faire triompher l’ombre
écrire
c’est témoigner
de ce qui c’est passé
pour ne pas oublier
pour ne pas être oublier
pour se libérer d’un passé qui nous enserre
un passé que l’on ne peut taire
un passé que l’on ne peut dire
écrire pour pardonner
écrire écrire encore écrire
écrire pour ne pas fuir
pour ne pas mourir
dans le regard des autres
écrire pour prévenir
pour sonder l’avenir
pour modeler l’avenir
écrire pour transmettre
le peu de chose que nous connaissons
écrire pour donner des émotions
tout simplement pour partager
se nourrir des autres sans les manger
écrire pour explorer la terre
pour sonder l’infini et l’univers
écrire pour s’approcher de l’inconnu
écrire pour chercher le meilleurs qui est en nous
écrire pour vivre plus intensément
les plus petits instants du présent
écrire pour aimer et se faire aimer
écrire pour enfin renaître
écrire pour ne pas disparaître
écrire pour ne plus avoir peur
écrire pour être et ne plus paraître
écrire pour être
bonne journée
merci thierry et leila pour toutes vos textes
merci alice pour ce texte
bonjour annick, rachel, Bourrache, bonbonze, Lou, aspe, Ossaine…
bonne fin d’après midi
e-motions
Gémis l’eau et murmure,
Vocifère ses colères
Clapote au pied sans vair
Abreuve l’amour mystère
Muette, parlant en vers
Roule l’eau sous mes frondes
Fougère assoiffée du sous-bois.
Eau si lourde à boire dans les cuves
Pour course à la bombe atomique
Explosion de nos vies, quotidiens
Ronronnants, absurdes
Raison d’amour
Comptine de vie
Eau claire de la Tune
Mon âme mis veto
Près de moi la lune
Pour décrire mes maux.
En couche calcaire
En eau boueuse
En joie, bonheur
D’eau qui pétille
Sceaux écarlates
Missive d’oublis
Et l’ô de vie?
Eau, fond du puits
Eau douce
Et miel de madeleines
Eau, puits tari
BravEAU, la vie!!
La lumière plantée dans mes veines
En pluie, circule, bruyant laser
Eau de pluie, qui meure et s’enterre
En pleine vie de ses soucis
Eau de mer, suis vers l’océan
Le dauphin qui glisse d’un regard
Pour dire la vie!, l’eau! c’est pas tard
Eau de roche, j’accoste, un rivage
Eau de rose, un parfum surnage
Eau de rosée, e-motion et drames
D’eau de neige,de la source qui fuit
Eau de rage, mes baisers sauvages
Parvis d’eau pour sirène avide
d’abysses.
Et la vague oscille pour rimer
Au couchant avec mes matins blancs
De mousse et de rosée,
Osmose de bulles au corps,
Frissons dans les couleurs,
Supplique d’amour fou,
Improbable mais intime
Fée, l’écritoire; la plume et la trace à gommer
De la fée et du roi à l’amour Eau-pinel!
Ecorchés.
http://www.youtube.com/watch?v=aPkcfBSRryI
L’ange et le démon
Que serions-nous
Si l’un était noir
Et l’autre vêtu de blanc?
Voix et voie de plume libre
Griffonnant la route de vos chemins
Chemins de nos écrits volages,
Mutins, rebelles et porc-épic.
J’écris ma bouteille d’oxygène
Où bulle la musique, clapotis
Où je m’évanouis sereine.
L’eau emporte eau, ruisseau de maux,
Ruisseaux de vains récits, corps sains
Esprits malades à suturer
Les peaux ruisselant de leur sang.
Écris,
Écris, si tu ne sais tu me le dictes
Et tes paroles s’envoleront
Sur les épingles de mon jardin.
L’eau de pluie lavera mes sirènes
Son jus courcircuitera pour me faire taire
J’écrirais quand m^me bouche fermée,
Me levant la nuit,mince plus d’encre! plus de papier
Griffonne donc sur un Sopalin, un PQ, une feuille de dessin,
C’est plus dur, l’épreuve est un sein
D’où coule l’amertume de nous-mêmes
En ribambelle de mots séchant
Sur les talus,berges incertaines
Du ruisseau où la nymphe au bain s’étale
Et ses cheveux ondulent
Attirés par le courant frais qui court vers l’aval de nos mains
Pente douce, bonheur, tu viens enfin
A la croisée de nos destins
Murmures de nos deux vies.
On crève par manque d’images qui fait quoi pour qui c’est presque secondaire tout fou le camp si chaque époque ne donne pas le reflet de son âme à travers la production de ses artistes. En inventant l’argent (une représentation) les marchands jouent avec ce besoin d’image qu’a l’homme et l’argent travesti tout , Jeff Koons en est un parfait exemple. Amen
L’homme de pouvoir allait bientôt retrousser son dhoti pour nous montrer son cul; l’homme de la rue a baissé son pyjama pour nous montrer son cul; et nous, la classe moyenne allions nous incliner devant le miroir, baisser nos pantalons de prêt-à-porter et regarder notre cul… Mais pour finir, il ne resterait plus que nous tous, exhibant notre cul. Pour finir, il ne resterait qu’une confédération de culs.
Tarun J. Tejpal Loin de Chandigarh
Retour de promenade où tout l’être s’est imprégné de toute la magie automnale, l’esprit s’est baigné de silence et d’émotion…
___
Rouille et bleu ardoise
Quand la rivière s’enflamme
La palette du poète
L’effet de miroir
Dans le courant du ruisseau
L’empreinte d’un ange
Un reflet d’argent
Où s’accroche la lumière
Dans l’ombre bleutée
Le rêve, l’émotion
dans l’intimité du lieu
Au rythme de l’ « Ô »
Bonne fin de dimanche, le temps semble ne pas avoir le même rythme aujourd’hui, la pendule traine ses aiguilles. Nous allons à pas lents dans la froide saison.
Me revoili me revoilou comme dirait Leila.
Eau saut du lit, Je vous rejoins et vous m’en faites traverser des é motions, du gai au grave…
Allez, je garde rires et sourires pour la journée!
Quel plaisir de retrouver notre Bonne vieille Rachel.
Dommage pour ta dent, elle t’allait si bien (Unique, éclatante, une fixe incontournable qui nous manquera bien! (sache toutefois que cette photo que tu avais postée restera gravée dans nos coeurs ! )
Moi, tu sais, je prends soin de la mienne, enfin ce qui m’en reste, je garde le dentier pour les grandes occasions 😉
Cela dit sur le pont et quand je suis seule le soir, au rythme où vont vin et eau de vie, je l’aurais vite perdue aussi 😉
Bisou à l’équipage,
quand les mots coulent à flot, pas besoin de barrage.
A vot santé
Je ne t’avais pas vu passer Monique, tu laisses un sillage de sérénité bien agréable après toi. Bonne fin de journée 😉
merci Lou et bonsoir, cette sérénité qui transparaît à travers mes écrits est certainement due à ce beau soleil aujourd’hui sur la France, et à ce petit air de vacances avec cette impression d’avoir une plage de temps libre plus importante, pourtant ce n’est qu’illusion.
Il y eut les fêtes
Secrètes
Eternelles
Précédant le rite d’initiation
Le cérémonial
Fondamental
L’attribution d’un visage
Sans nom
Il y eut les doutes
Délibérés
Les combats singuliers
Qu’il fallu
Confirmer
Il eut l’inconfiance
Eprouvée
En toutes lieux
Sans défiance
Puis il y eut
Quelques secrets
Tenus
Qui nous rendent muets
Et qui résonnent
Sous nos doigts
J’ai constaté que Marc s’était emmelé les doigts en écrivant le prénom du capitaine. Cela m’a inspiré cette bêtise.
Ô saine Ossiane
S aine je ne sais (hi hi hi)
S eraine (je l’espère)
I mbibée (d’eau de vie ?)
A ccoutumée (non j’rigole)
N éanmoins…..
E panouie
Je suis en manque d’inspiration totale et ça dure. C’est chaque année pareille à cette période. Je souffre du manque de soleil et de luminosité. Ça passe au bout d’un moment. Heureusement que tes photos nous ramènent l’été et que vos écrits respirent bon la vie.
Emotion cette semaine en entendant les paroles de Sœur Emmanuelle. Quelle femme ! Quelle joie de vivre et quelle humanité. Cela fait du bien dans ces moments où le monde ne tourne pas rond. Bonne soirée à tous. Chapeau et merci à toi Thierry pour tes connaissances infinies et ta gentillesse ; Bises à TOUS……
Monique, j aime ta ballade en partage…
La toto aime le bel automne
Elle sifflote les feuilles
Regarde les nuances en tons
Mélancolie douce en son coeur
Elle pétarade doucement
Un champignon entre les dents
Son amoureux sur le genoux
Lui fait des calins dans le cou
Et de son bleu elle passe au rouge
Dans de si belles héhé mOtiOns
Photos magnifiques, textes qui laissent rêveur…..ce blog est une bulle d’ O xygène…je reviendrais m’ évader par ici plus souvent . belle découverte!
C’est excellent Annick. La toto qui pétarade un champignon entre les dents et l’amoureux sur les genoux. Je trouve ça bien écrit et on sourit en imaginant la scène.
Dis moi Annick ! c’était un champignon hallucinogène (sourire)
Elle changera pas la Rachel, et toi Annick non plus tes hé hé motions sont contagieuses!
Bonsoir la compagnie !
De retour de rando en Ariège,
à la rencontre d’un lac ensoleillé (on a eu chaud !)
où l’O miroitait si joliment,
avec des reflets très ondulants
Qui auraient beaucoup plu à Ossiane,
je m’aperçois que vous avez
bigrement bien travaillé
pendant mon absence !
Je n’ai pas encore tout lu…
Mais tout le monde y a mis
son petit grain d’O de Vie
De folie et de magie !
Ossiane,
Tu vas pouvoir préparer
Une MONTAGNE d’images !
Biseeeeeeeeeees éclabousséeeeeeeees
E-motions qui inspirent aux mots des passages tendres
E-motions enthousiastes communiquées sonores
L’horizon est bouché et pourtant on en rêve
Dans ce temple de l’image où défilent des fantômes
L’être fragile ou mort engagement et cris vains
Nous restons sur la grêve dévastés et perdus
Dénoncer ne sert plus qu’à remplir le papier
Quelles valeurs pour quels droits que reste-il encore
Existent quelques pensées résistent quelques sourires
Eviter de sombrer en suspens c’n’ est pas nuire
un zanpignon mmhhhh delizious, rachel…..
zé c’qu’j’m’dis, lou, mes bêtises arrivent toujours à percer ma couche de calcaire, alors faut croire qu’j’changerai zamais d’aimer me bidonner…et quand on se voit, lou, on invite les fantômes, chiche!
Faire passer l’émotion de ces après midi d’automne, où les couleurs, l’eau, le ciel,les rayons du soleil, nous laissent dans cet état de bien-être, comme on peut le ressentir sur ces petits chemins qui bordent les rivières et où l’été la fraîcheur et la lumière environnante atteingnent notre sensibilité comme nous le fait si bien ressentir Ossiane à travers ses images, impression qu’elle accentue avec les couleurs de son calligramme. je vous donne à lire ce petit texte de Mallarmé que je trouve plein de charme et d’une grande délicatesse.
« Mon âme vers ton front où rêve, Ô calme soeur,
Un automne jonché de taches de rousseur,
Et vers le ciel errant de ton oeil angélique
Monte, comme dans un jardin mélancolique
Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’Azur!
-Vers l’Azur attendri d’Octobre pâle et pur
Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie :
Et laisse, sur l’eau morte où la fauve agonie
Des feuilles erre au vent et creuse un froid sillon,
Se traîner le soleil jaune d’un long rayon. »
Ok, Annick sur le pont un de ces soirs ! l’eau de vie les réanimera pour nous 😉
Bisou en couleur
hick de hick, lou!
Entre deux phrases romantiques, un petit sourire vient poindre délicieusement au coin de mon oeil, avec Lou, Annick, Christine et Rachel à qui je dis bonsoir et bienvenue à Marielle
c’est joli, Monique,
j’aime bien l’Automne, j’aime cette douceur, je me ressens une feuille toute fofolle qui se laisse séduire par la bise du vent et se laisse emporter en le suivant, et puis s’envole si haut, et s’évanouit sur un doux tapis de mousse, mmmh, c’est tendre l’automne, cela fait des petits matelas pour se préserver du froid, et puis les arbres des claviers à ciel ouvert qui musiquent de si belles mélodies,
aujourd’hui encore, j’ai aimé tant regarder des chênes s’automner doucement, et c’était beau et si grand, un spectacle de milliardaire, éblouie par la Nature encore,
alors je vous partage un bout de mon jour, d’ailleurs, j’avais allumé quatre bougies qui dansaient l’automne en tout dedans….
Humm Annick c’est si agréable de te lire et de te sentir si proche et si communicative si pleine de cette envie de vie et d’amour. merci Annick, j’aimerai rencontrer beaucoup de gens comme toi, quelle chance nous avons de t’avoir avec nous.
heu? c’est qui Annick, Monique! si elle est là c’est parce que vous de chacun, vous êtes superbe’s’….BISES!
hein? Ossiane elle est superbe pour rassembler de belles âmes à plumes telles, j’aime tant vous lire!
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Bel coucou à tous et un grand merci;-)
Une note qui a recueilli beaucoup de commentaires!
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Emotions, émotions de vous lire dans ces sous-bois. Plein de choses à se mettre sous les pupilles. Pas trop envie de m’en aller de là. J’espère que je ne vous lasse pas trop, si oui dites moi et je passe à autre chose;-)
L’eau ronde, comme c’est bizarre;-) J’ai pensé à la lune et au soleil et vous avez pensé à plein d’autres eaux… très drôle parfois;-))
Bienvenue rachel avec ou sans dent, imbibée ou pas ;-))
Bonjour et bienvenue à Marielle!
La bise à tout le monde!
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Ossiane
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Bises à toi lou d’amérique;-) Etonnant ton poème à moustiques, à goujats, à goujons et à mufles;-) Je n’ai pas vu tout ça;-)
Ossiane
Je reprenais juste le « goujat » de Marc qui m’avait amusée car je n’avais pas vu de goujat non plus !
un petit poisson las de la terre ferme
Plouf, traversée de la rivière
Sur la tête est-ce un lit de lumière ?
Si tu rejoins l’Océan Indien
Gare au pêcheur ou à la nasse
et aussi aux marins
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Bonsoir et bienvenue Nory, merci beaucoup pour ce beau poème. Une jolie façon d’interpréter ce rond dans l’eau. A bientôt.
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L’Hyper-emotivité
L’Hyper-emotivite qu’est-ce-que c’est en réalité ?
Elle est en moi, je n’y peux rien c’est ainsi !
Le mal-être des artistes, je dis Stop, c’est fini !
Sentiments excessifs, Emotions disproportionnées.
Actions et paroles exagérées mais aussitôt régrettées
Cordes sensitives parfois incompréhensibles
Passion immodérée le plus souvent indicible
Il reste le son et les mots pour pouvoir s’exprimer !
Etre différent ce n’est pas toujours facile
Pris dans notre bulle, on se sent vite esseulés
Souvent, se raccrochant à des détails futiles
A fleur de peau, on s’emballe c’est la vérité !
Difficile de vivre ainsi mais on peut se contrôler
Nos actes ne reflètent jamais nos sentiments profonds
A aimer de trop quelqu’un on se retrouve ainsi rejeté
Paradoxe vital que l’on peut maîtriser, c’est ma conviction !
Il est plus facile pour moi de composer des musiques
Maîtriser cette dernière est une bonne chose paraît-il ?
Don divin octroyé par je ne sais quel imbécile
Offrant mon art, je m’agrippe alors à ce nouveau sens thérapeutique !
Chris