Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Au bord de la nuit
théâtre de lumières
la mémoire d’un jour
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Au bord de la nuit
théâtre de lumières
la mémoire d’un jour
Hommage au soleil si généreux en ce mois de février
_____
Coucher du soleil
L’ambre aux vertus bienfaisantes
Les couleurs du soir
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Auprès de mon ambre, je vivais heureux…
Ah non, c’est pas ça !!
…douceurs de couleurs ambrées
glisse le soleil du jour
dans les lueurs de la nuit…
___
Coulée de lave
Lave le jour, attend la nuit
Miel et chocolat
___
Le rideau tiré
l’ombre s’étend et gagne
les jours s’enfuient
Passant chez Brigetoun, cet extrait de Tourgueniev:
« A peine sortis du bois, nous nous arrêtâmes et fermâmes l’un et l’autre à demi les yeux malgré nous : en plein devant nous, au sein d’un nuage comme chauffé au rouge, un énorme soleil pourpre était en train de se coucher. Toute une moitié du ciel flamboyait, rougeoyante ; des rayons rouges et obliques effleuraient les prés, jetant un reflet vermeil même sur le côté des ravins qui étaient dans l’ombre, posaient sur la rivière des touches de plomb incandescent… »
Merci Brigetoun de cet emprunt de ce soleil en gloire sur les bords de Loire.
comment regarder après Tourgueniev !
Quand le noir va engloutir
le rouge, l’or, le mordoré,
sous l’oeil du bleu qui se veut témoin,
à l’écart du combat,
inconscient de sa paleur nouvelle,
son effacement,
insensible et inéluctable
> Merci Brigetoun pour la capture de cet instant. Tes mots, pour ces rayons crépusculaires, irradient.
Et voilà…
Tu te barres
Un départ annoncé
Certes
Un doux au revoir
Certes
Sans Choix
Un état de fait
Attends encore un peu
Juste un peu
Que je m’engloutisse une fois encore
Dans la saveur de Toi
Juste une fois
Que tu dévores mille fois encore
La saveur de Moi
A jamais
Sans Choix
C’est la Loi
Tu te barres
Laissant là..
Mon cœur, mes sens et le reste…
Le manque me ronge déjà
Sens en ébullition
Dans la nuit glaciale
Restera gravée
Au fond de mes tripes
La mémoire de Nous
Il est sur les bords de la Loire
Des couchers flamboyants
Qui lentement nous plongent dans la nuit
Et quand tout est fini
Un frisson encore sur l’eau persiste
comme au ciel un rose lointain.
Présence
Absence
Réminiscences
Les souvenirs du jour hantent
Ma mémoire
Ils glissent, nuages ténèbres
Ombrés d’ambre
Sur le ciel de ma conscience.
Reflets étranges!
Sur l’abat-jour de la nuit
Le soleil couchant embrase
Le ciel d’une tendre mélancolie,
Se transfigurent mes rêveries
Elans de vie qui me sourient
Colliers d’opale cerclés d’étoiles
Songes gorgés d’envie
Pourpre, féerie
Le soleil couchant
Enluminures d’espoir!
Le pourpre et le sang
Effusions , transfiguration!
Dans le ciel embrasé
Une fusion couleur métal
Songes et réminiscences
Onirisme et évanescence
L’aube douce qui s’enfuit
M’électrise de frénésie
Et rigole de plaisir
L’infini
Belle journée…le soleil sourit dans le midi
Ambre,
ambre solaire,
sur ma peau,
douce et volupteuse sensation……
bonne journée a tous…..
Ciel d’orgue
D’où monte un requiem
La paix de l’âme
***
Belle journée à tous
Bravo Ossiane c’est beau et reposant
C’est superbe….
Ambre Solaire
Bronzage éphémère
D’un Ciel de Rêves
J’ai quitté la Galerie,
Grimpé le colimaçon
D’un escalier sans fin
Et du sommet
De la plus haute Tour de guet :
«Anne, ma sœur Anne,
Ne vois tu rien à l’horizon ? »
—–Je ne vois qu’un soleil
—–Distribuant sa poudre d’or
—–Sur la toile du ciel
« Anne, ma sœur Anne,
Que distingues tu par delà l’horizon ? »
—–De la forêt environnante
—–Quelques ombres dansantes
—–et les feuilles frémissantes
« Anne, ma sœur Anne,
Qu’aperçois tu au dessus de l’horizon ? »
—– Des nuages échevelés
—– Parcourant nonchalamment
—– Leur chemin vers la nuit d’été
La journée fut si belle,
Quelle animation !
Et ce cadeau d’ambre et de
Lumières dorées
Un t-bonheur à savourer…
Sans modération !
J’ai redescendu l’escalier…
Regagné mon ciel de lit…
Et plongé voluptueusement…
Dans mes rêves étoilés….
Biseeeeees Ambréeeeeeeeees
Citrons citrine
Superbe collier d’ambre
Ciel en euphorie
Voltige d’anges
Nuages en cadence
Ballet céleste
Sur tes formes généreuses et rondes
L’irremplaçable éternel matin du monde
Diffuse fécond sa douce lumière blonde,
Lumineuse, Invisibles et chaudes ondes.
Comme une infatigable ritournelle !
Il rend la nature merveilleuse et belle
A l’orée de l’interminable hiver
et l’à part d’une douce lumière
Les senteurs de la nuit s’exhument
Subtiles et délicates, elles parfument
Le visage encore endormi de ma terre.
Tu frissonnes! un vent frais parcours l’air!
Tu enfiles ta somptueuse robe de nuage!
j’entends battre rapidement ton cœur
je décèle en toi une irrépressible peur
Mes yeux amoureux, perçoivent un présage.
Tu caches ton angoisse et ta terreur
Mais tu te couvre d’une pâle blancheur !
Inconséquent l’homme ce féroce animal
Te harcèle, te maltraite, te fait mal !
oubliant que tes si beaux atours
pourraient bien disparaître un jour
et laisser place à une éternelle nuit
détruisant à jamais cette si belle vie !
pensée vers Neyde
bonne journée à chacun
l’opercule se ferme
en cette fin de jour
de mise à l’écart
inéluctable
il n’est de regard qu’inné
il n’est de Luc que l’Evangile
et de table que l’assiette posée
inéluctable
l’opercule
au tappe-cul des visions coloriées
table sur de belles pensées à venir.
c’est magnifique Marc,
en méforme depuis hier soir,
je vous relis avec plaisir,
et quel beaux textes tu nous offres.
L’infini
L’infini comme tu es joli
Je te regarde ton horizon
Mon regard polisson
Te serre et te cambre tes ondes
Tu es mon si bel monde
Je t’aime toi mon ciel
Mon baiser goût de miel
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http://www.dailymotion.com/relevance/search/henri%2Bsalvador/video/x4d291_henri-salvador-hommage-le-lion-est_music
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Bourrache,
As tu des problèmes quand tu envoies un commentaire avec un lien ?
Ca passe direct ?
Parce que moi, c’est prison directe…
J’ai tout essayé… rien n’y fait…
chaque lieu,chaque maison, chaque individu, à sa propre odeur, son propre parfum.
Toi, ton linge, ta maison, tes draps, les draps dans lequels nous nous sommes tendrement endormis, au bord de la nuit, sentaient l’ambre, comment pourrais je l’oublier……
Christineeee : je n’ai jamais aucun problème mais, moi, mes papiers sont en ordre et je ne suis pas surveillée par les R.G., la C.I.A, le F.B.I, le K.G.B et les Israëliens …
Je disais il y a peu de jours, si j’étais un peintre je peindrais le ciel………….
Beaucoup de poètes ont écrit sur cet instant magique qu’Ossiane appelle si joliment « Au bord de la nuit »
Camus disait :
« Ces courts instants où la journée bascule dans la nuit peuplés de signes et d’appels secrets….. »
_____
Lorsque vient l’instant
Où le jour s’éloigne
Et la nuit s’installe
J’aime ces dernières lueurs du jour
Quand le soleil doucement sur l’horizon
Déploie ses multiples couleurs
Allant du rose au vermillon
Du mauve à l’ambre dorée
Du bleu turquoise au gris bleuté
Coups de pinceaux
Sur la toile du ciel
Courts moments d’émotion
A la fuite du jour
J’aimerai pouvoir arrêter le temps
Ce temps qui précède la nuit
Dans son instantané de beauté.
___
Et Jacottet écrivait :
« J’essaie de ressaisir encore ce moment : c’est la profondeur inconnue de la nuit qui n’est pas encore là et la hauteur inconnue du jour qui n’est pas encore enfui….. »
Je suis un peu groggy aujourd’hui, pardonnez-moi si mes idées ne sont pas toujours très claires;-)
>Monique :
Bonjour Monique, nous sommes très gâtés soleil, c’est vrai. Le printemps avant l’heure, la température en moins. Ton haïku et ton beau poème pictural me font du bien 😉 J’aime ces moments de fracture entre deux mondes surtout losque le passage se fait en douceur.
>bonbonze :
;-))
>aspe :
Joli coucher de soleil poétique ! merci !
>Bourrache :
Miam ! Le chocolat a le vent en poupe, la faute à sabine 😉 Un bel haïku gourmand !
>Pierre :
Superbe extrait ! Des lieux qui t’inspirent, comme je te comprends ! La lumière est belle là-bas. Ton poème est magnifique, à fleur de peau.
>brigetoun :
Bravo Brigitte, beaucoup de passion dans tes mots. Tu pars en beauté de la couleur pour aller vers des sensations beaucoup plus abstraites.
>nigra :
Coucou nigra 😉 J’aime tes mots et évocations. La crudité de certaines expressions fait rejaillir d’autant plus la sincérité des sentiments. C’est brut, c’est vrai, c’est beau.
>Claudie :
Bravo Claudie, un magnifique tableau poétique paré de lumières et de choses précieuses. Douceur et frissons de plaisir. Comme ces images se prêtent bien à ton style d’écriture ! Merci pour tes beaux haïkus célestes.
>sabine :
Ta poésie est toujours très délicate et sensible, faite des petits ressentis du quotidien. J’aime !
>maria :
Superbe haïku ! Le spectacle prend de l’ampleur avec la montée de la musique. Bises.
>Christineeeeee :
Tu te fais le relais de mes progressions photographiques 😉 Merci pour ces belles dérivations énivrées 😉
>marc :
Bravo marc, c’est splendide ! Quelle belle idée d’avoir personnifié ce ciel. Sensualité, doucuer, rondeur, amour baignent tes mots. Je note aussi que tu as écrit tout en vers 😉
>regard :
Tu as un style d’écriture bien à toi 😉 Tu t’appuies sur la réalité pour la décrypter en pensées mystérieuses. Poète de l’âme es-tu ?
>Annick :
Tu es bien hardie en poésie, Annick 😉 Cet infini t’a-t-il tant séduit 😉 Merci pour la générosité de tes sentiments.
Bientôt tu vas quitter ton collier d’ambre !
Moi je vais te retrouver ma chambre.
Je me couche et éteint la lumière ;
Avant de dormir je fais une prière ;
Pourvoir me lever à nouveau sous le même ciel,
Et profiter de ces soirées aux camaïeux de miel !
Tu me rejoins dans notre alcôve secrète
Je te vois au travers de ma fenêtre !
Maintenant je découvre ta robe de nuit !
Des perles d’argent et d’un médaillon y sont Sertît !
Je m’endors serein, rêvant calmement au lendemain ;
heureux, je saisirais ce nouveau jour avec entrain
Et embrasserais tes heures, avec un plaisir certain !
conscient que je te quitterais à regret sur le chemin!
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Nouveaux commentaires sur:
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https://blog.ossiane.photo/2008/02/11/descente/
https://blog.ossiane.photo/2008/02/08/treve/
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Et bé, si tout le monde est malade, moi je vais aller me coucher, après ce sublime coucher de soleil!
Ossiane, Annick, et les autres, à la diète: tisanes au thym!
Une journée qui finit
C’est un peu de vie qui s’en va
Très doucement, imperceptiblement
Une nouvelle journée reviendra demain
Où peut être pas
Car tout peut changer vite ici bas
Un coucher de soleil peut vous extasier
Et puis le lendemain vous laisser indifférent
Car la présence des êtres chers qui nous entourent
Modifient notre perception des choses…
Gloire éphémère
D’ un soleil d’éternité
Plaisir éphémère
De nos yeux passagers
–
Le ciel en haut
Et ses humeurs
Chagrines
La terre profonde
et ses lignes sauvages
entre –deux un nuage
Plein de contentement
de promesses en l’air
Flottant sur une ligne d’or
Une aile penchée
Sur un eden austère.
Une nuit un jour
Brodés de passions
Contraires
Et le ciel ébloui
Entre deux bleus profonds
n’y voit qu’une étincelle.
Patiente.
–
Christine est en prison et moi j’ai failli passer à la trappe…nigaud>)))
–
Bonne soirée Ossiane et tous (des nouvelles…?)
Anges de miel,
glissant entre drapés d’ombres et velours de lumière,
vous dessinez les derniers plis du jour.
Et les hommes, en vos ondes légères,
se perdent, éblouis,
délaissant un instant l’espace de leur guerre
pour goûter l’ambre des arabesques
aux calices des nuits.
🙂 pour tous
…..
claudie, couleur infini et beauté
johal la beauté du monde et de tes mots peuvent faire des miracles
alix c’est magnifique
annick toujour de très belles images
« Mon regard polisson
Te serre et te cambre tes ondes »
Très touchée Marc, merci
Bourrache :
Après tout ce que tu m’as dit plus haut, je ne vais plus oser montrer le bout de mon nez dehors !
Quant à mes papiers, j’en ai fait un gros tas…. avec un gros caillou dessus pour ne pas qu’ils s’envolent… on ne sait jamais…
Bon, pas de prison pour aujourd’hui, je n’ai pas de lien en magasin pour le moment. Peut être demain ?
J’ai encore des trucs à essayer…
Biseeeeees du soir
A vous partageeeeeer
amicalement entre tous
>marc, fin analyste..et poète de l’amour
Merci pour la couleur de ma palette
Au soleil couchant
Nous roulions heureux
Week-end enivrant
D’être tous les deux
Nous sommes arrêtés
Sur l’aire de repos
Sale et fatiguée
Tout nous semblait beau
Nous avons dîné
Quelques raviolis
Le cœur si léger
Et tu m’as souri
Ambre crépusculaire
et parure téméraire
qui cambre le jour
sans un petit détour
un si subtil coucher
qui sublime les pensées
l’horizon se découpe
sur fond noir
irradiante beauté
qui surprend
fixe l’espace d’un instant
les songes perdus de l’enfant
Adieu au jour
bel astre charmant
qui nourrira la nuit
tandis que gagne l’ennui
mais puisque tu es là
je te conjure
ranime encore l’espoir
demain de te revoir
> Ossiane; merci de ce feu dévorant qui ranime la paleur, beau choix de palette
touchée par tes mots, Marc.
t’es bel de cette palette
qui n’appartient qu’au ciel
chaque soir différent
dans son habit de scène
les yeux éclaboussés
devant tout ce mystère
du soleil en plein ciel
qui chaque soir se couche
et chaque matin se lève
… la grande main lunaire
dresse dans sa toile obscurcie
un désordre illusoire
volupté
des parfums
draps à la chaleur enveloppée
de nos corps liés
méandres du fleuve
qui nous berce
volupté
éclairée par cette lueur ambrée
puis tes jeux de mots
jeux des choses
s’efforcer
a être
pour s’évanouir en fumée
dans le brouillard
lumineux qui s’évapore
dans la pointe du jour…
___________
étoile
multitude
la sensation de l’équinoxe …
pluriels féminins
femme ventouse
à l’âme
des partances …
___________________
pour toutes les gourmandes de chocolats…
hummmmmmmmmmmmmmmmmm, gourmandise quand tu nous dévores…
_________________________________________________________________________
l’étoile
traverse
une fève de
……………Cacao – – –
—————————————————————————————————–
courage, et pensées pour Neyde, beaucoup de soleil dans son coeur…
DE LA PART D’OSSIANE:
Désolée Aspe, je poste mes commentaires dans les tiens. Mon logiciel de blog n’accepte plus les miens et je ne suis même pas dans la boîte à spams!!!
Incompréhensible!!!! Inimaginable !!!!
Pour ceux qui voulaient savoir, je n’ai reçu aune nouvelle de Neyde. Je pense qu’il va falloir attendre plusieurs jours.
>marc :
Ce ciel embrase ton esprit 😉 Bonne nuit avec de beaux rêves.
>Pierre :
Je préfère miel citron 😉
>rachel :
Romantique poème en vers, rachel 😉 Ces raviolis m’ont amusée 😉 Le dernier est superbe. Des choses toutes simples qui provoquent l’émotion. Merci à toi.
>MTO :
Belle opposition entre l’éphémère et l’éternité ! Nous ne sommes que de passage. Bises vers toi.
>Alix :
Tes poème sont toujours très beaux et très justes. Un souffle magique de poésie plane au-dessus de nos têtes 😉 Bises.
>johal :
Ma-gni-fi-que ! Tu as l’art de te projeter hors du ciel pour nous faire rêver à d’autres mondes. Merci !
>manon/véronique :
coucou 😉
>Aspe :
Volupté, sensualité, féminité émanent de tes poèmes 😉 Le chocolat a quelque chose à y voir ; je crois 😉 Merci pour la beauté de tes mots.
de la part d’Ossiane
Ossiane :
tu t’auto emprisonnes !!!!!!!!
C’est trop fou !!!
Coucou Christine,
Pas d’autre moyen que de m’inviter bien au chaud dans ton commentaire;-)
Impossible de poster! Quand j’appuie sur Envoyer, le message est épédié mais il n’y a rien à l’arrivée sur la page et ni dans les spams!!!
Un truc de dingue!!! Je crois que j’ai le même problème que Véronique qui s’échine à trouver des solutions pour pouvoir poster.
Je vais envoyer un mot au Monde
Bonne nuit et bon repos à tous
___
Soleil d’Or et d’Ambre,
Large ruban de velours
Entre ciel et terre.
Planent les nuages
Le silence suspendu
Aux rayons du soleil
C’est la fin du jour
Mes yeux se ferment dans le noir
Viennent les doux rêves.
___
Dans la vallée des châteaux de Loire, quand le soir descend et transforme le fleuve en un ruban de fils d’or, sur lequel glissent mes rêves les plus doux… je crois que je dors déjà sur un banc de sable!
trés rapidement, avant d’aller à au boulot.
Le jour se léve, le ciel couleur ambre change petit à petit de couleur, aujourd’hui il laisse plaçe aux nuages, nuages en forment de coeur, rouge passions, des milliers de bisous tombent, il nous envellopent de douceur, d’amour, mais aussi d’amitiés, la journée vas être tendresse, et amour……
bonne st valentin à tous et toutes.
bises.
Mémoire de ce jour,
Cela fait tout juste 1 an que j’avais osé écrire qq mots sur ton blog, Ossiane.
Je ne voulais pas passer cette date sans te faire coucou.
Je retrace ce parcours durant cette année, et je voulais te remercier à ciel ouvert, pour la richesse de tes échanges sur ton blog comme en privé.
Ils m’ont donné la pêche, l’élan, et le confort de ne pas me sentir seule dans ma démarche artistique.
Je n’ai pas toujours le temps de déposer mes écrits, mais je suis toujours présente pour vous lire.
Alors continuons!
Et pour cette journée adoptons » la zouff » attitude dans ce théatre de vie et de lumière qu’est ce blog!!
je souproudre sur vos mots du jour,
une poignée de tendresse
une pincée de délicatesse
couvrir d ‘un voile d’amour,
laisser mûrir les sentiments
et déguster lorsqu’ils sont bien rosés.
Bonne fête aux blogueurs du coeur!
Lambeaux de cuivre
Le ciel va s’éteindre
Le jour s’endormir
***
Belle journée à vous et bonne fête à tous
LARME DE SOLEIL
Le poème est un bijou d’ambre
Poussière contenant en son sein
Les réfractions insensorielles
Les rayons verts de la matière
Rien ne dépasse des cadavres de mots
Reliefs de mise en valeur
Du substrat solide de lumière
Qui réverbère les arômes innocents
D’ambre en ivoire les pendentifs
Boucles d’oreille d’un présent insouciant
Poussières d’or
En ce ciel
Qui émerveille
Oeil de tigre
Puissance infini
A Feu de vie continu
Eclaire les tréfonds
Force de ses rayons
Perce le mystère
A ciel ouvert
Une esquisse
Une lame de fond
Pleine du jour et de la nuit
Soulève une vie endormie
Goût d’absolu
une fois n’est pas coutume un petit conte.
Il était une fois deux êtres de nature très différente. Lui, le ciel, était d’humeur changeante, inconstant ; insaisissable ; proche du firmament, qu’il regardait en rêvant. Oubliant parfois de regarder le présent juste à coté de lui, à portée de main. Elle la terre, encrée dans la réalité, d’apparence solide elle gardait en son cœur un bouillonnement près à modifier les certitudes les plus encrées. Dans le silence du crépuscule, ils se mêlaient parfois. Alors se produisait une explosion de couleurs, provoquant des gerbes d’ombres et de reflets. Plus tard dans le souffle de la nuit il était impossible de les distinguer tant la fusion les unissait. La terre féconde reçût la semence du ciel, et donna naissance à la nature et aux animaux. Après les avoir nourris de l’intérieur. L’harmonie semblait être parfaite. Les animaux et la nature grandissaient Et jouait parfois proche du ciel, à d’autres moments près de la terre ;Souvent ils se blottissaient entre les deux. ils trouvaient en chacun un équilibre propice à leurs éveils, à leur bien être.
Mais on sentait parfois entre le ciel et la terre une confrontation ; s’élevaient alors des grondements assourdissants, des éclairs de colères, et le pluie tombait comme des hallebardes. Et un vent de folie soufflait dévastant sur passage le fruit des jours paisibles. Laissant parfois un paysage dévasté; des torrents de larmes dévalaient à la surface ou pire coulaient comme des rivières souterraines enfermées à jamais.
D’autres jours un brouillard opaque empêchait la terre et le ciel de se voir ; Alors un silence s’installait et chacun restait à sa place, De l’aube au crépuscule on ne distinguait qu’un gris uniforme qui envahissait tout l’espace ; Plus ou moins sombre selon l’intensité de la brume.
Et la nuit s’installait comme une couverture froide. Silencieuse. D’un noir inquiétant; presque irréel. Même les étoiles ne réussissaient pas à pénétrer ce mur invisible.
Mais l’aube lumineuse surgissait promptement apportant chaleur et lumière dans le petit matin ambré. Alors le paysage reprenait ses couleurs lumineuses; Et les jours coulaient comme une source minérale. Essentiel à l’équilibre. les nuages se dissipaient laissant l’amour inonder le ciel et la terre. Les oiseaux reprenaient leurs chants mélodieux,; les ruisseaux , leurs musiques légères. les feuilles bruissaient sous la chaude bise . Et les vagues sur la grève
Rythmaient le temps comme un chef d’orchestre.
L’histoire ne dit pas ce qui advint de cette histoire entre le ciel et la terre. L’avenir est science qui dépend de tellement de paramètres qu’il est impossible à quiconque de prévoir ce qu’il en sera demain. Mais l’important est peut être de regarder tous les jours les signes du ciel et de la terre, de savoir les interpréter, et permettre ainsi d’anticiper les cataclysmes Irrémédiables.
C’est fort joli, Marc.
Douce flamme
*****Ambre et pure
Se couche
*****Au firmament
Et deux petits
*****Coeurs amants
La regardent
*****Se regardent
Et le coin
*****De leurs yeux
Coulent une larme
D’ambre à eux
De l’or liquide
Coule dans le ciel
Pour nourrir
En lumière
Nos rêves éternels
Et l’or doucement
Se fige, laissant
Dans son sillage
Pépites et paillettes
En éternels reflets
Observez
Patiemment
Le coucher du soleil…
Il arrive parfois,
Très très très rarement,
De surprendre un instant
La magie du rayon vert !
« Selon une légende écossaise, le rayon vert confère à ceux dont il a frappé les yeux le pouvoir de lire clair dans les sentiments et les cœurs. »
Mon mari l’a vu une fois !
Biseeeeeees verdoréeeeeees
Si vous voulez voir des photos de rayons verts, allez visiter les images en ligne sur internet…. Il y en a de très belles !
Je ne mets pas de lien….
Pour éviter la prison…
et vous laisse visiter
cette curiosité atmosphérique
comme vous l’entendez !
METeo du jour :
Grand Beau !
+ VENT chez moi !
Biseeeeees ventéeeeees
Véronique, Ossiane, moi-même… qui d’autres ???
Même combat !
Monde de Blog
Monde de Bogues
Pas de Blagues
On veut juste
Bloguer
sans faire
Floc !
Douce flamme
*****Ambre et pure
Se couche
*****Au firmament
Et deux petits
*****Coeurs amants
La regardent
*****Se regardent
Et le coin
*****De leurs yeux
Coule une larme
D’ambre à eux
j ai juste corrigé une faute, merci.
>Monique :
La nuit a dû être bonne vu la teneur de ton beau poème velouté 😉
>sabine :
Tu démarres très fort le matin 😉 Belle journée d’amour pour toi.
>fanou :
Comme c’est gentil de venir signaler l’anniversaire de ton premier commentaire sur le blog 😉 Si je comprends bien, le blog est aussi un espace thérapeuthique 😉 Ca me fiat très plaisir qu’il en soit ainsi aussi. Lecture silencieuse ou pas, l’essentiel est d’être toujours là. Je ne connaissais pas la « zouff attitude » 😉 Tout plein de tendresse vers toi ainsi que beaucoup de créativité dans ce que tu entreprends.
>Maria :
Merci pour le bel haïku cuivré, je t’embrasse en or pailleté.
>gmc :
Merci pour ce beau poème lumineux et précieux.
>Annick :
Flamme, larme, ambre, amour précieux aussi. Merci à toi.
>Véronique :
Comme c’est bien senti cette évocation de l’œil de tigre en regardant le ciel ! Je mets un lien vers cet œil pour que vous vous fassiez une idée. Bravo véronique !
>marc :
Tu m’impressionnes avec la grande quantité de poèmes ou textes que tu déposes sur chaque note. Tu mords la poésie à pleines dents et ne t’assouvis jamais. C’ets vrai, ces spectacles solaires invitent à retourner aux origines de la terre et à s’interroger sur ce que nous faisons là. Merci pour ta belle inspiration.
>Christineeee :
Jolie évocation de cet or liquide qui coule en douceur comme le rythme de tes mots. Merci beaucoup pour ta plume inventive.
Ca remarche pour moi aujourd’hui, va-t’en comprendre…. Mais je continue à vous soutenir 😉 Bises chaleureuses.
>Claudie :
Je me joins de tout cœur à tes pensées, Claudie. Neyde aimerait faire de la poésie sur cette photo. Toujours pas de nouvelles, il va falloir attendre un peu. Je t’embrasse.
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Nouveau commentaire d’un revenant;-)
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https://blog.ossiane.photo/2005/11/03/2005_11_aboutissement/#comments
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Ambre est mon soleil , la vie m’émerveille…
–
L’horizon est tombé
En reflets mordorés
Vague de paillettes
–
Bonne soirée ….
Lorsque les senteurs d’été n’embaumeront plus mon cœur
Lorsque les chants des oiseaux me laisseront indifférent
Lorsque la chaleur de mon corps ne sera que tiédeur
Lorsque mon amour des chats sera proche du néant
Alors je pourrai m’éteindre
Sans regrets
Sans regrets aucun
Belle journée, sous un ciel au bleu sans nuance, les fleurs s’y laissent prendre en cette fin d’hiver, sous les chaudes caresses du soleil.
___
Je guette les adieux du soleil
Lorsqu’il jette sur le fleuve
Les derniers reflets d’ambre.
Quelques nuages s’attardent
Dans le jour qui s’endort.
Qu’elle est douce cette heure
Entre chien et loup
Où chacun se replie.
Le jour s’efface
Le soleil s’éclipse
La terre se couvre d’ombre
Le ciel peu à peu se voile
La vie fait place au silence de la nuit
Cet instant magique
Est le plus beau moment
Il appartient ni au jour, ni à la nuit
Il nous est offert avec magnificence
MAGNIFIQUE Monique,
Un coucher de soleil
En habits de lumière
Un spectacle en plein ciel
En pas improvisés
Un chaque soir tout neuf
En surprise grandiose
http://fr.youtube.com/watch?v=5n6Tr3-aArU
Bonsoir Annick et merci.
J’ai souvent l’occasion d’admirer des coucher de soleil sur le Rhône ou sur la mer, et sur la Loire lorsque j’étais jeune. Je suis fascinée et amoureuse des coucher de soleil, ils ont le pouvoir de m’apporter une réelle sérénité. Le plus beau fut un coucher de soleil à Belle Île, une cinquantaine de personnes ou plus, je ne sais admirait ce spectacle grandiose de la nature dans un silence impressionnant. Ce sont de beaux moments dans la vie qui sont offerts à tous, il suffit de lever les yeux et de savourer ces instants éphémères.
Le soleil louche
Un baiser de l’amour
Et leur lèvres se rapprochent
Se cherchent et puis se trouvent
Et le soleil radieux se terre dans la mer
Pour laisser le doux lit intime aux bels amoureux
Et les deux amoureux se découvrent lumières
Il fait jour en plein noir le soleil se réveille
Et cligne de son oeil avec dame la lune
Qui pudique délicate ferme ses yeux
Pour leur laisser rien qu’à eux deux
Leur unique leu pur leur baiser
Leur baiser se propage
Les ondes vaguent le rivage
Les coquillages froufroutent tendres
Leur souffle se fait rare sous l’ambre de leur ciel
Les poissons se syncopent l’eau a le goût de bon miel
Et eux, juste eux en eux, sous l’ambre de leur nuit, se vivent
Et l’ambre se vaporise encore et en corps, en beautés
L’air se fait gaz rare l’amour fait respirer si bel
Un coque en dérive accoste le rivage
Cueille les amoureux étourdis
Les guident sur leur île
Pour se vivre de bel
Et
Vois
Là
Qu’
Une
Île
Une
Pépite
Ile
Devint
Feu
D’artifice
Car
Un
Baiser
Un
Bel
Laisse
De
Si
Bels
O
O
O
o
o
O
O
O
O
bele nuit douce et tendre au pays de cett ile…
Annick
Quel beau moment d’intimité et d’amour si fort , au creux de la nuit, dans le mitan du lit, sous l’oeil discret de la lune.
Annick…
Un baiser de mots tendres, parfaitement partagés aux creux de la nuit, comme des lèvres qui se trouvent dans les frissons passionnés tremblants émus d’une première fois…
Annick :
Grande forme on dirait hier soir ! Ca va mieux ? J’aime beaucoup tes poèmes : en plus d’être beaux, ils sont très « graphiques » et originaux !
…
Monique :
Pour ceux qui aiment les couchers de soleil, nous sommes bien servis pour le
w. end !
Biseeeeees matinaleeeeees
Coucou monique, aspe et christineeee, vos mots son tant…merci.
Oui cela va, Christineeeeeee, cela va mieux….bisesssss!
vos mots sonT tant.. c’est mieux,
et puis..aussi..froufroutent tendrE…
et puis leur unique, leuR pur, leur baiser….
mes doigts quand ils se laissent aller se déballent et s emballent, impossible de stopper.. SOURIRE ET BISE!
Merci Bruno, Alix, aspe, Monique Annick, sabine pour la beauté de vos mots que je découvre toujours avec un immense plaisir. Pardonnez mon absence mais je n’ai pas la grosse forme physique ces derniers jours. J’espère que tout va rentrer dans l’ordre ce week-end. Bises à vous tous.
Il s’est levé tôt pour faire son reportage sur le candidat socialiste de Lattes. Tu sais, cette petite commune, il à les étangs puis la mer, et les oiseaux bien sûr. Je ne sais pas ce qui distingue le jour de la nuit, peut-être l’aube ou le crépuscule qui les adosse, et je lui ai dit, ton interview c’est bien mais je t’ai donné le nom d’un personnage, c’est le nom d’un de mes personnages, c’est celui qui fait de l’auto-stop dans le ciel inconnu là-haut. Va le voir. Et, il est sorti se promener dans la réserve des oiseaux se disant qu’au fond, pourquoi pas les couleurs du matin, tu vois, pourquoi pas mélanger avec la politique. Après tout, on en sait rien ce que c’est mélanger dans la réalité les choses on peut pas savoir, tant qu’on a pas essayé sur la palette, qu’on dit que c’est la rétine de l’expérience. Tout ce que je sais c’est qu’il est sorti. On ne sait toujours pas de quoi sa mémoire est devenue nouvelle, même pas si elle est devenue nouvelle de quelque chose, peut-être, ça me donne des idées pour mon roman, en tout cas.
Merci Ossiane de tes mots, de ton soutien,
Merci Marc de tes pensées
Merci Claudie, j’ai reçu le soleil dans mon coeur.
C’est une déduction, parce que je n’ai vu pas ton com. Où est-il?
Merci à tous qu’ont demandé de nouvelles.
Christineeeeeee, où sont les rayons verts? Je veux les voir.
Ossiane,
J’aime beaucoup ta photo.
Le soleil couchant – c’est l’heure de l’angoisse humaine …
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Quand je vois le soleil se coucher
Une petite douleur naît dans coeur
Sur nous. la nuit vient se pencher
Sera le jour suivant, un peu meilleur?
>Neyde:
Un tel couchant ne me fait pas le même effet que toi, Neyde. Comme ton poème est bien senti! Un grand merci d’être là!
La mandarine
Dès qu’une mauvaise injure jaillit comme un couteau
Lui ouvre une blessure qui commence à saigner
l’âme court se réfugier tout au fond de sa chambre
comme une petite lumière qui fait trembler les murs
Et une larme roule sur sa peau, couleur d’ambre
Alain
La nacre
la mince feuille de papier qui reçoit tous nos mots
Est cuite comme le verre dont on fait les émaux
brûlante comme la cire qui coule à chaudes larmes
Ambrée comme la sève qui tombe en gouttes des arbres
Scintille comme la nacre qui pare les coquillages
Alain