gouttelettes de lumière
ruisselez en moi
joyeusement
• • • •
droplets of light
flow inside me
merrily
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
gouttelettes de lumière
ruisselez en moi
joyeusement
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droplets of light
flow inside me
merrily
AU LOIN – ANDRÉE CHEDID
Sous l’explosion des armes
Les terres ne cessent de gémir
Les cris de la bête
Lacèrent les saisons
Le corps s’arrête
Le sang durcit
Visages et mains stagnent
Sous les plis de la mort
Ici
Enlacé d’ombres vertes
Et de fêtes
Le plaisir
Ruisselle
Sur les épaules de l’été.
Joli Ossiane. Merci.
Merci pr Andre Chedid, l image et le haiku fort tendre.
C est joli
Mais comme c est joli
Komm komm douceurs
La théorie du ruissellement appelle esprit critique
à l’épreuve des faits , tant il y a un champs de diffraction
trop éclairés ou pas assez sur le sujets , plein les mirettes
mais pour certains sans être dégoutés ils n’auront que des miettes
ce n’est pas une question de calcul et per équationnement
seulement ni même de certains éclaboussements
ni même de partage de gâteau et de simple fractionnement
mais la matière comme les institutions et organisations
captent et retiennent souvent l’essentiel et à terre restent les miettes
–
@ Thierry : ???
–
Désolée mais j’arrive toujours pas à comprendre tes divagations …
–
@ Ossiane (^-^)
–
ombres et lumières
va-et-vient temps incertains
contes d’un soleil
–
Il est tres bezu cet haiku.
Sous un arbre
La sieste
Mais comme çà fait du bien
On est deux , Thierry, moi pas comprendre non plus. Mais est ce su on prut comprendre un mot, il faut levivre pr savoir.
Degoulinis de feuilles
Les cuicuis en cascades
Bonheurs
L’économie ne coule pas de source et la théorie inspirée de la nature qui puise dans le ruissellement non plus au point qu’elle s’est égarée seule dans ses propres méandres.
Sous la voûte de verdure
A l’abri du monde
Laisser venir les rêves.
Bourrache désolé , je ne suis pourtant pas le roi de la métaphore , mais il m’arrive de mettre les points sur les i
Anthéa m’a compris elle , je parle de la société et du modèle du ruissellement faussement évident et trompeur
de certains gouvernants et pendant ce temps là la pauvretré s’accroit
j’essaierai d’être plus clair et moins allusif dans mes circonvolutions locutives mais c’est comme l’humour , c’est très personnel l’expression on écrit au moins autant pour se convaincre de ce que l’on croit ou pense, à un moment donné, en le mettant noir sur blanc mais ça n’est pas forcément du domaine de l’évidence pour d’autres et je le regrette en tant qu’ancien enseignant et éducateur sportif , sans doute mon oral est il plus direct et concret, quand aux divagations je te laisse la responsabilité d’employer ce vocable , mais ce n’est pas très charitable.
no more comment
Je vs lis et souris Monique et Thierry….
Ah tenter de mettre des mots pr eclairer c est loin d’être fastoch…
Ah le pouvoir des mits mal, pas, trop, pas assez ..compris
Ah rien ne vaut un face à face direct…
L’arbre s’etend de toutes ses feuilles
Ouvre les yrux la lumière jaillit
C’est quand même son miracle
Un arbre
Tiens donc…
Cela tombe bien….
Je me relis et vois des fautes de frappe
Merci de rectifier Ossiane, avant la parution
Delicieux haiku, merci Ossiane
j’atterris aujourd’hui
et ruissèlent en moi
mille gouttes de mots
l’arbre symbole de vie
porte en lui notre histoire
pommier d’Eve et d’Adan
ginkgo aux mille écus…..
qu’en est-il aujourd’hui
pour chacun d’entre nous
les mots d’Andrée Cheddid
saisissants de vérité
sur l’ici et l’ailleurs
nous disent la disparité
Très heureuse de tous vous lire merci pour les mots de chacun.
La disparité effrayante
Impossible d’accepter
Que des bébés sans familles
Que des enfants dans les guerres
Que des fragilent soient oubliés
On ne peut changer le monde
Mais on peut rendre heureux
J’aime beaucoup ce poème d’Andrée Chédid, qui me suit:
“Je m’égarais parfois
Dans l’écume des images
Je me noyais parfois
Dans le grouillement des mots
Me redressais parfois
Au levain d’une parole
Et renaissais parfois
A la flamme d’un seul mot”
Andrée Chédid
Tres joli et si juste….merci pr le partage de Andree Chedid Jo.S.
A mon tour d offrir une pepite flamme.
Pas de Foyer pour 10 jours au moins
Et l immense Joie ce matin
De le deposer en voiture
Son choix car ses pieds fatigués faut croire
Et quels Bonheurs
Quand la toto se pose
Une travailleuse Esat assise
Quel beau sourire pour l accueillir
Il s illumine
La maman que je suis….sa journée belle
Dans l’aura des mots
une grande reconnaissance
à tous les poètes
qui chantent autant qu’ils dénoncent
ce que la vie nous apporte
un arbre qui balaie l’horizon du regard
et le sol autour de lui mais pas au hasard
dans une pénombre changeante
Ruissellent les gouttes de pluies lumières
Le sol prend vie et donne vie
Un tapis si joli son délicat son être
Quand la lumière
en pastilles, éclabousse
le reste du monde.
et si le vent souffle
c’est la brise de la pastille
pas révolutionnaire en soi
Merci pour ton humour
Bientôt l’anniversaire
de la brise de la pastilles!!
Kiki prend la pastille le 14 cette année ?
Un saule pleureur qui rit
C’est quand m’aime
Plus Jo.li
Et je relis ton haïku qui est vraiment très frais, Ossiane.
Solide sur ses racines
Ses feuilles l’éventaillent
Quand des temps douloureux
Merci Jos il faut faire preuve de solidité et de solidarité
même dans l’humour qui secrète nos humeurs
un saule pleureur ne fait pas pleurer
mais quand le saule est mi haut
alors son ombrage est vraiment avenant
et en plus on peut passer dessous
sans se faire fouetter par les branches
Les cheveux gras qui tombent au ras
forment écran mais sans crans
et s’ils vont souvent vers le bas
il leur arrive de se relever
Rideau venté et inventé
lumière tamisée sans Tamise
on ne va pas doubler ta mise
mais au jeu des passions
avec cet arbre pas de pression
et surtout pas d’oppression
la voie est ouverte et claire
la claire voie qui jamais n’indiffère
le saule joue son solo ce n’est pas du pipeau
et le son dans les branches
fait que l’on se penche
écoutons les ramures se frotter
une belle idée va trotter
c’est un voile qui s’agite
et qui fait qu’on cogite
il y a tant à dire sur le saule
il touche presque le sol
mais nous relie en esprit
si on renversait ce pare soleil il ferait une magnifique vasque
pas capable de nous expliquer toutes ses frasques
comme celle de ne pas rechercher la lumière en pointant vers le ciel
mais si la pesanteur l’a emporté pour la variété qui porte les larmes
c’est sans doute que dans son expression c’est une vraie arme
par rapport à ses congénère qui eux se dressent fièrement
lui il a choisi la méthode pendentif et ne s’en porte pas plus mal
il a des concurrents en matière d’ombrage comme le catalpa
mais celui ci produit des « haricots » et ses pousses sont d’une rectitude
alors oui le tropisme solaire prend des formes si diverses
dans ce monde végétal ou les arbres sont finalement récents
que donnera leur évolution avec les changements qui nous pendent
au derrière ?
Si la double nature de la lumière est assurée
avec la mécanique ondulatoire
on se dit que a lumière partout se fraie un chemin
Franges d’Young du lycée ou pas
les ondes se rencontrent et se combinent
annihilent la notion de ligne droite
mais si tout cela a été bien mesuré
ce n’est pas dans le cambouis des garages
pourtant cette notion très tôt vulgarisée
résiste encore à certains esprits chagrins
une double nature comme c’est étrange
c’est oublier que corpuscule et ondes
matière est lumière sont deux aspects de l’énergie
ils peuvent s’échanger et passer de l’un à l’autre
pas des des conditions ordinaires certes
reste la beauté inattendue de cet infra monde
vers lequel nous nous penchons toujours
prêts à percer les secrets du nano (nanno en allemand au 19éme siècle)
reprendre la citation de richard Feynman
« il y a tant de choses en bas »
et ce rappeler que tout n’est qu’affaire d’échelle
celle des émotions et de la beauté est intemporelle
Matin de juillet
Le soleil ruisselle
À tout vent
Le rideau de la vie ruisselle de larmes
elles ne sont pas toutes visibles
cachées dans la retenue
des promesses non tenues
des déceptions parfois risibles
qui pourraient vous envoyer aux carmes
On nous parle de fatigue liée à la situation
d’extrême lassitude mais au moins vivons nous
tandis que les images chaque jours défilent
qui nous montrent le sort effroyable
de populations abandonnées ou sacrifiées
Le vent balaie mais le courant proche anime
et dans le double miroitement s’organise
un spectacle mouvant qui prend source
Le saule pleureur vit sa vie
Elle le regarde
Emu
Le saule pleureur vit sa vie
Elle le regarde
Emue
(…) »Puis dans un éclat de feuilles
Embrasser l’espace
Résister aux orages
Déchiffrer les soleils
Affronter jour et nuit »(…)
Andrée Chedid dans tant de corps et tant d’âme
Affronter le pire parce qu’il n’y a d’autre chemin que celui que nous impose la vie, prendre au passage tous ces petits instants où la lumière nous offre un moment de répit pour un peu de chaleur : les reflets du soleil au travers des branches, une mélodie sous les doigts d’un guitariste, le sourire d’un regard que l’on croise…
Mzis comme c est joli, Monique.
Cela me parle vraiment
Dans la moindre des choses
Chaque seconde sa prise
Quand elle est sa jolie
Sa bonne sa fort paisible
La bonté d un instant
Un regard, un sourire
Chaque beauté offerte
Est une raison de VIVRE
Merci Monique pour ce partage.
Comment exprimer tant de choses en si peu de vers…
Si fait Joss c’est le propre d’une sensibilité hors pair qui magnifié les émotions et sensation et nous les agrandit au point d’en ouvrir grand les yeux et de béer d’aise devant des vérités si pures et évidentes pour qu’elles nous sautassent enfin au yeux. Et puis André chedid quelle référence. La famille est en deuil d’ailleurs. Une lignée d’artistes exceptionnelles comme on en voit peu
Toujours un bonheur d’ouvrir cette page et Thierry tu as raison Andrée Chedid est une référence en poésie comme l’est Philippe Jaccottet que je lis actuellement sous le titre « Taches de soleil ou d’ombre » un titre évocateur comme l’est « La promenade sous les arbres » où j’avais noté cette phrase : « La lumière est une puissance inouïe, et je pense que nous l’aimons plus que tout (…) s’il n’y avait ici ces peupliers pour l’accueillir et s’en éclairer, que saurions nous de la lumière ? (…). » n’est-ce pas là Ossianele thème de ta note si lumineuse ?
Perles de lumière
tel parfum au goût de miel
en éclats de joie
J.Os à l’instant dans la Préface de « Textes pour un poème suivi de Poèmes pour un texte 1949-1991 » de mars 2020 en Poésie Gallimard , Préface signée Mathieu Chedid je lis ces mots qui corroborent parfaitement votre dernier commentaire :
« Ce si peu de mots vers tant de profondeur, c’est comme un puits de vérités sans fond, qui mène vers « ce plus loin dont on ne sait le nom ». Il y a là un art à la fois volatil et dense qui ouvre sans cesse, invite à « la traversée sensible », à lire le monde et la vie comme on lit un visage au fond du visage : « Ce n’est pas en une fois/Que je saurai ton visage/Ce n’est pas en sept fois/Ni en cent ni en mille » Mathieu Chedid et mots d’Andrée Chedid, sa grand-mère
Somptueux!
Comme j zime bos partages, je n ai pas le temps de lire, ma vie est si remplie.
Si joli sur la lecture d un visage merci Monique.
Quel magnifique poème , lire la vie et un visage aimé…
un grand projet !
Merci pour ce partage qui illumine ma matinée et…
sûrement ma journée!
C est joli jo.s
Et je repete
« Lire la vie
Et un visage aimé »
Jo.s
Quel delicieux voyage
Que ses pages de vie
Et sur la toile d été
Un visage aimé
Annick
Il m’arrive assez fréquemment de rencontrer au cours de mes lectures, des passages qui sont juste incroyablement en accord soit avec des pensées présentes ou eues récemment (exemple ce matin dans mon jardin) et comme aujourd’hui en lisant Jaccottet en accord avec certaines photos (celle de Ossiane notamment) ou images perçues en promenade
« (…) cette lumière d’opale qui luit sur les feuilles comme autant de gouttes d’eau (…) ». P.Jaccottet
ou encore
« (…) je recommençais à voir étinceler dans les arbres des étoiles déliées de leurs constellations familière(…) »P.Jaccottet
Huppe fasciéé ce matin dans l’allée du jardin
Papillons, bourdons et abeilles dans l’agapanthe
Petites perles bleues du ciel à portée de la main
Soleil en transparence sur les feuilles du tilleul
Et juste le chant des oiseaux et l’odeur des fleurs
pour habiter ce silence d’une douce lumière.
Que l’été soit doux pour tous avec ou sans vacances.
Joue Vence comme Provence
et Mistral gagnant
mais les arbres ne sont pas
la réserve de carbone infinie
l’UE y croit mais l’Amazonie
en produit du CO2 c’est odieux
le changement c’est pas pour demain
c’est hélas tout de suite et nombreux
sont ceux qui s’en rendent compte
un peu tard mais mieux vaut tard
il est encore temps d’agir
sans agiter les lampions de la peur
devant les pions que nous sommes
l’argent va à l’argent et si pour une fois
il allait enfin massivement à la nature
OUI La Nature, c’est tellement Essentiel !
Il m’arrive assez fréquemment de rencontrer au cours de mes lectures, des passages qui sont juste incroyablement en accord soit avec des pensées présentes ou eues récemment (exemple ce matin dans mon jardin) et comme aujourd’hui en lisant Jaccottet en accord avec certaines photos (celle de Ossiane notamment) ou images perçues en promenade
« (…) cette lumière d’opale qui luit sur les feuilles comme autant de gouttes d’eau (…) ». P.Jaccottet
ou encore
« (…) je recommençais à voir étinceler dans les arbres des étoiles déliées de leurs constellations familière(…) »P.Jaccottet
Huppe fasciéé ce matin dans l’allée du jardin
Papillons, bourdons et abeilles dans l’agapanthe
Petites perles bleues du ciel à portée de la main
Soleil en transparence sur les feuilles du tilleul
Et juste le chant des oiseaux et l’odeur des fleurs
pour habiter ce silence d’une douce lumière.
Que l’été soit doux pour tous avec ou sans vacances.
Les images sont violentes
la réalité encore plus cruelle
où que le regard se porte :
il y a misère et souffrance !
bien peu d’éclats de lumière
même si nous savons tous
qu’il y a toujours quelque part
un coin de ciel bleu,
mais qu’il s’appelle : espoir
ou qu’il s’appelle la chance,
reste que le malheur est bien là
et peu d’armes pour le combattre
dans l’instant là où le mal fait rage !
Pour ne pas sombrer dans le désespoir
Laissons entrer dans nos cœurs
Un peu de raison, un peu de bon sens
Pour œuvrer dans l’encore possible
De pouvoir freiner cette hécatombe
En se posant quelques questions
En tant que responsable soi-même !
Je sais ce sont des mots mais Thierry a raison de sonner la clochette d’alarme, la poésie a sa place dans ce monde qui chavire
–
pluies indomptables
coeur au bord des larmes
vies anéanties
–
Encore plus de 100 personnes disparues à retrouver … et tous ceux qui n’ont plus RIEN pour survivre !
–
Mais la solidarité s’organise…
–
Je vous lis et j apprecie
Quelle horeur
Que les beaux de vie
Disparaissent et laissent
L Humain vide de tout
Et parallèlement
La vie elle continue
Comme si de rien n’était
Pour certains
Quand la vie dégouline des clairs
C est tellement bon
Elle peut ruisseler tellement de noirs
Quand son frere autiste
La soeur jumelle peut aller mal
En souffrances faut croire
Pour donner des chagrins puissants
Aux parents accablés encore et encore
J’aime chaque printemps
ce tendre recommencement.
J’aime le soleil timide
qui caresse mes feuilles.
J’aime la plénitude de mes branches
comme pour vous embrasser.
J’aime le chant de la rivière
qui me berce….
Éternel retour vers la beauté
et le chant des sirènes
Bain de lumière et de rêves :
c’est un espace de survie.
car si la vie est un enfer,
qui pourrait le nier aujourd’hui,
il l’est, pour nombre d’entre nous,
les mots sont peut-être un tremplin
pour tenter de sauver
ce qui peut encore l’être
La vie vaut bien que l’on se batte
même si… même si…..
Une phrase d’Hölderlin revient souvent dans les propos des philosophes, contre-versée aussi, mais qui pourrait cependant accréditer mes mots :
« Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve » Hölderlin
Merci Monique, un fort partage….j espere que croîtra aussi ce qui sauve.
Une famille c esr tellement difficile
De se vivre soudés
A en entendre beaucoup
Alors dans un vécu en autisme
La vie guide au clash familial
De famille éclatée
Chacun y va de sa paroisse
D avour ete emoecge de vivre
Chacun y va de sa paroisse
D avoir été empêché de vivre
Dire parfois peut libérer
Aucun moyen de survie
n’est à soustraire
en écho viendra peut-être
les mot qui réconfortent
afin d’aider à retrouver
la force d’être et le sourire
Il fait chaud prenons soin de nous et soyons prudents
Puis holderlin avoir raison , le péril climatique s’étale sous nos yeux comme ces pluies diluviennes et son cortège d’horreurs mais la transition climatique ne rapporte pas assez alors on y consacre deux pour cent des sommes mobilisées pour la reprise économique, repoussant le grand bouleversement à plus tard , qui a dit que l’homme savait s’adapter à toutes les situations ? C’est un crevé coeur et une faute contre les générations futures que manquer de largeur de vue pour non anticiper mais se battre contre ce qui est va se poursuivre inexorablement , dérèglements, récoltes fichues, moussons dévastatrices, inondations , glissement de terrain on parle des Kiribati mais on n’en est pas aussi loin que l’on croit.
Rentable et raisonnable ne font pas bon ménage, certains dont les affaires prospèrent , de la misère ne se soucient guère ni par là-même des conséquences désastreuses à venir (la montée des eaux en est un exemple Thierry en effet et pas que !, ) Le bilan risque d’être désastreux, il l’est déjà nous le voyons….
à moins que…. à moins que…
Sur ce sol qui le nourrit
et lui offre tant de beauté
l’Humain se réveille
face à toutes ces catastrophes
avant le « trop tard »
Non ce langage n’est pas suranné ! Il y a des gens sérieux et intelligents, les solutions existent j’ose y croire, c’est juste une autre façon de voir et d’envisager le monde
Où est l’intelligence collective Monique, nous faisons la guerre à notre planète en pillant et gaspillant des ressources finies
les multinationales et les fonds de pension font (et ne défont pas) la pluie et le beau temps, les marchands d’armes se frottent les mains mais l’armée rouge met la main à la pâte dans le Henan où la pluie qui tombe est millénale , sale temps pour la population des berges des grands fleuves, il y en a beaucoup en Chine presque autant qu’en Russie si on tient compte du Mékong .
Alors Guerre à la guerre où guerre à l’humanité des ploutocrates qui se gobergent de leurs exploits spatiaux !
Merci pr vos ecrits
Ouvrir les yeux
Pour rêver
Tout n est pas que noir
Pourtant cette planète sale
De tant d Inhumanités
L égocentrisme règne joyeusement
Les rêves font du bien
Comme se laisser aller
A vivre un bord de Loire
En Août plutôt Septembre
Pour cueillir des joyaux naturel
La Nature si belle non cadenacé
Par des bétons
Bain de vie
Tu me délasse
Et m embrassea
Par tes beautés
En Humanité
Tu me delasseS
Et m embrasse
N’oublions pas de regarder
Malgré la colère et la peur
L’abeille qui butine
Le papillon qui virevolte
La feuille qui tremble
La fleur qui s’ouvre
Les nuages qui passent
Le soleil qui se couche
…………………………………………..
N’oublions pas de voir
L’ami qui nous tend la main
L’enfant qui nous regarde
N’oublions pas la beauté du jour,
Les petits instants de bonheur
Car rien n’empêche tout cela
……………………………………………..
J’ai vu trop de ciels noirs
De mots de désespoirs
Trop entendu pleurer
Trop vu souffrir aussi
Trop passé mon temps
A vouloir comprendre
……………………………………………………….
Devant ce spectacle de marionnettes
Je me demande souvent
Si je ne perds pas mon temps
Ce temps précieux d’une courte vie
……………………………………………………..
Consciente des responsabilités
De chacun au regard du monde
J’ai choisi de m’appesantir
Sur la beauté qui nous entoure
Même persuadée de l’utopie
Que ce choix implique
Chacun son rôle selon ses moyens
……………………………………………………………
Je réitère qu’avec de la patience
De l’amour et un zeste de raison
Tout est encore possible
D’aller dans le bon sens.
Sans pour autant laisser planer
Les illusions de l’impossible !!!
………………………………………………………..
Je prends les mots les plus simples
Pour exprimer des sentiments sincères
L’heure n’est pas au faste et métaphores
L’heure est préoccupante
mais ne masque en rien la beauté
et la richesse qu’est la Vie, la nôtre
et celle de tous qui vivent sur notre terre !
…………………………………………………………………….
« Usons du poème pour ce qu’il est : un arrêt dans la fureur, un silence dans le vacarme, une béance dans le flux ininterrompu, une profondeur dans la surface, une latence dans l’immédiat, une lenteur dans la frénésie. » J.P. Siméon (dans La poésie sauvera le monde)
Qu est ce que j aime ton partage , Monique
Oui, la beauté elle sauve tellement dans ce monde si souvent inhumain.
Nature indomptable
L homme une goutte d’eau
Emporté par la nature
Que cet été vous soit le plus doux possible malgré tous les événements tragiques
Bises à ossiane et à chacun.
Merci Marc
Merci Monique pour ce partage
La force des mots
qui transmettent
force et émotions
et qui nous relient…
Merci Marc et Jo.S
Les mots gentils
La beauté belle
Une carapace tendre
Forte et impermeable
Les durs de vie
Glissent sur l être
Le parfument des sens
Bons et vivants
Quelques mots de vous Thierry, Bourrache, Anthéa, Jo.S, Marc, Annick et tous les lecteurs dans l’ombre pour des échanges salutaires, ces rendez-vous chez Ossiane forment un lien entre nous tous ; petits bains de nature mais aussi d’amitiés partagées dans ce monde où se côtoient l’ombre et la lumière, où l’eau n’est pas toujours le miroir des rêves, où l’été balaie trop souvent de ses flammes le vert de nos forêts , un monde fait de joies et de peines, amenés que nous sommes parfois à se mettre en condition de survie pour ne pas trop pleurer, pour ne pas trop souffrir et se voir impuissants quand ce que vous avez de plus cher au monde disparaît sans que rien n’ait pu l’éviter. Le soleil continue de briller, l’eau de couler, la nature de vivre dans ce temps qui pourtant pour certains s’est arrêté…
Exact Monique
Et quand le temps s est arrêté prcertains, elle peut faire fort mal cette vie qui continue, depuis la niit des temps…
Alors on se replie abandonné par elle…
Et un jour inedit, la vie offre son coeur encore, et on la suit, amoureux de la vie bonne et belle…
Pas de bain de foule, ni de fool , un ordre certain ou un certain ordre règne sur la toile
qui montrent que nombreux sont rassemblés pour regarder vers cette belle étoile
Lui autiste va mieux
Cela peut-être chouette
Mais comme sa jumelle
Accapare l attention
La souffrance est là
A un âge avancé
Le souci de mourir
Laisser l enfant autiste
Et quand deux soeurs
Devenues égocentrées
Comment le laisser seul…
Impossible de se rejouir
Comme il va mieux …
La souffrance est massive
Isolement
Je te lis Annick et c’est bien sûr complexe et tellement impossible de trouver les mots si ce n’est le mot Amour ce sentiment qui t’habite et qui te guide mais qui, comme tu l’écris n’enlève ni la souffrance ni l’inquiétude que cela génère, c’est pourquoi il faut saisir les moindres petits instants dans ce qu’ils ont de réconfortants c’est peu sans doute mais c’est énorme aussi, c’est un peu le but de ce petit mot ce soir pour toi.
Le moindre souffle
Un joli simple
Ce regard tendre
Une main complice
Un verre de vin
Du bon fromage
Une fleur pétales
L’amitié belle
Des bulles de splitch
A s’ennivrer
Quabd Aimer reste
Ce qu’il y a de plus beau
Si jolie partition
Merci Monique
Belle après midi
Que dit l’haïku d’Ossiane si ce n’est le langage imaginaire de l’arbre, si près des mots de l’âme…
Est-ce que les arbres pleurent
des gouttes de pluie ou sang de bois
l’eau et la sève coulent sur les feuilles
jusqu’à ce que le tronc devienne noir
c’est alors que le soleil séchant les larmes
laisse apparaître son faisceau de lumière
On en appelle à la lumière
Son chaque jour de vie
Quelques fois qu’on serait non voyant
Les mots de François Cheng me laissent croire que le regard n’est pas seulement le miroir de l’âme mais aussi celui de la beauté réfléchissante que chacun peut projeter à l’entoure, que l’on essaie de traduire ici par les mots et Ossiane également à travers ses photos.
« Oui un mystère, les yeux, les tiens
Ils ont été donnés pour voir,
Voici qu’eux-mêmes ils donnent à voir !
Faut-il croire qu’ils sont donnés
Pour égaler la beauté qu’ils captent ?
Que la lumière qu’ils reflètent
Doit être par eux transfigurée ?
Que tous les dons qu’ils ont reçus
Doivent devenir don à leur tour ?
Brûlant mystère du Regard premier ! »
François Cheng dans « La Vraie gloire est ici »
C est toujours merveilleux ce que tu partages, Monique. Merci.
Je n ai pas l energie et assez d attention pour lire un livre ds son entier. Et lire tt ce que tu écris m apprend.
Ma vie fort pleine invivo sans travailler en extérieur prend bp de tps, et ensuite il m est vital de me ressourcer sans rien avoir à faire, ni tv, ni livre, juste à me laisser flotter …une musique des fleurs beaucoup seule…
Merci encore pour tes transmissions précieuses.
Merci Ossiane pour les photos, ce livre d âmes à coeurs ouverts.
Monique pourrais tu me faire passer ton email STP , le mien est jamint@wanadoo.fr
Il y a en ce moment des séries d’histoires familiales dans le monde et cette semaine elle est consacrée au couple Andrée chedid et Louis Selim , instructif, curieux
Chères toutes et tous , je suis brisé par ce que je vois et entends sur les ondes
une pensée pour les femmes et les enfants, les vieillards aussi, afghans
il n’ y a pas de fumée sans feu, tout cela couvait sous la cendre
mais peut on se satisfaire de cette manière à des maitres abjects de rendre
un pays certes si sauvage mais à découvrir entre chiens et loups
je suis en train d’écrire un article sur le sujet , même si je connais mieux
l’histoire et la géographie du Kurdistan, ici le cimetière des empires
et la base arrière des djihadistes de tous poils reste un champs de ruines.
je reprend le synopsis de l’ouvrage de Atiq Rahimi « Terre et cendre » paru en 2010
« Un pont, une rivière asséchée dans un paysage désolé, la guérite d’un gardien mal luné, une route qui se perd à l’horizon, un marchand qui pense le monde, un vieillard, un petit enfant, et puis l’attente. Rien ne bouge ou presque. Nous sommes en Afghanistan, pendant la guerre contre l’Union soviétique. Le vieil homme va annoncer à son fils qui travaille à la mine qu’au village tous sont morts sous un bombardement. Il parle, il pense : enfer des souvenirs, des attentes, des remords, des conjectures, des soupçons… C’est une parole nue qui dit la souffrance, la solitude, la peur de n’être pas entendu. »
après son prix Goncourt en 2008 avec Syngué Sabour , pierre de patience en perse !
« Dans la mythologie perse, il s’agit d’une pierre magique que l’on pose devant soi pour déverser sur elle ses malheurs, ses souffrances, ses douleurs, ses misères… On lui confie tout ce que l’on n’ose pas révéler aux autres… Et la pierre écoute, absorbe comme une éponge tous les mots, tous les secrets jusqu’à ce qu’un beau jour elle éclate… Et ce jour-là on est délivré. «
Ni bain , ni douche , pas de sainte n’y touche
on suffoque il faudrait presque du bouche à bouche
mais ce n’est pas cela qui est la pierre de touche
on n’a pourtant pas trop essayé ni tiré de cartouches
face aux évolutions globales et locales
certains ne peuvent se résigner à laisser sur la touche
les sources nécessaires à leur développement
ainsi la houille est elle une épine dans le pied
pendant que le gaz part dans toutes les directions
l’hydrogène aux entournures de par sa volatilité
évidemment ce n’est pas comme en 1900 la fée électricité
Le climat a bon dos, le crime aussi contre mère nature
nourris au sein il y a si longtemps on ne s’en soucie
plus assez comme si nos actes de consommation
n’agissaient pas comme une sommation sur un système
à bout de souffle et qui ne peut retrouver de respiration
tant il est nécessaire de faire plus, plus vite sans se soucier
de ce que sera le cout final, le coup final porté aux jeunes générations
certains ayant eu leur ration de plaisirs en tous genres sur terre
disent ou pensent bine haut « après moi le déluge »
et sans se déjuger observent les pluies diluviennes
les torrents impétueux et ce cycle de l’eau qui ne tourne plus rond
c’est à vous empêcher de dormir ou bien faire de grands bonds
L’espèce soit disant supérieure a dégradé au delà de toutes limites
tant de lieux et de merveilleux sites
c’est à croire comme au moment des fièvres
de la tulipe au charbon, en passant par la baleine ou l’or noir
sans parler du gold rush que le mot d’ordre de Guizot
implacablement répété « enrichissez vous » pouvait encore avoir un sens
le bateau coule, comme les larmes d’impuissance et de nuisance
il n’ y a pas de sos et pas d’embarcations de secours
tous dans la même galère avec une seule solution
une révolution dans les esprits pour revenir animistes
et espérer enfin doper un peu notre optimisme
–
Y aurait-il une fin au bloc d’Ossiane ?
–
–
Heu … » blog »
Ben, j’ai la réponse puiske mon commentaire apparaît …
–
Bonjour Bourrache
Oh non j’espere que non Ossiane est presente depuis trop longtemps et sait l’importance qu’a pris son blog au fil des annees. Nombreux je pense aime s’y attarder. C’est seulement le temps des vacances et pour d’autres de tristes évènements dans leur vie qui les maintiennent momentanement en silence, je suis de ceux la mais reste presente. Bonne fin de vacances et bon courage à ceux qui traversent des moments difficile. L’arbre pleure ses feuilles mais repartira au printemps toujours plus beau. Laissons faire le temos.
….le temps
Hehe je passais poser quelques mots, mes amis…
Hé tu me fais sourire Bourrache. Merci.
Merci Monique pour tes si justes mots .
Merci Thierry que j avais lu, et digéré lecontenu plus grave.
Mais telle est la vie, grave et c est bon de se saouler de son leger, sans modération.
Le vecu en autisme devient plus simple….maudit Covid qui a tué tant d etres de chairs et d esprit.
Il sourit rit…à accompagner avec plus de distance…j apprecie max…déjà…l ecriture interieure me reberce c est déjà çà….je vous embrasse chacun.
Bel arbre tu me tiens chaud
Sous ton ombre
Qui me donne à voir la lumière
Pendant l’été
Flâner, regarder
Engranger des images
qui resteront en mémoire
et alimenteront
notre imaginaire
le reste du temps….
Comme c est joli Jo.S
L été fait le plein son grenier
Dès qu il peut
On ne sait pas à l avance
Si un hiver à croquer dur
Ou à mâchouiller tendre ses épis
Les temps sont douloureux
Chaque instant vaut encore plus
Son pesant de vie infiniment precieuse
Car quoi de plus beau que de manger la vie
Dans ses pepites tendres belles complices
Arbre mon bel arbre
Vieille branche
Tu as dans tes feuilles
Ce langage unique
Qui n’appartient qu’à toi
Mon précieux complice
Du tant de temps
De belles images qui deviennent familières et qui nous donnent cette force nécessaire pour vaincre, ce sont ces images là et cette poésie pure et saine qui nous permettent d’avancer, elles font référence à la beauté, tremplin nécessaire pour nous accompagner sur le chemin parfois difficile de la vie.
Régénération
prouesses de la nature
étincelles d’espoir
Reprise pour beaucoup, bon courage à tous
Un arbre
Un seul
Le mien
Sont beaux tes mots, Monique, merci.
J entendais avant hier….le monde des bisounours…
Pourtant la poesie qui szuve est tant sans un chouya d etre bisounours…
Merci Ossiane
Si peu la voit LA VIE.
Je vous embrasse de brl anniversaire d être.
Eh oui Annick c’est encore entre autre, dans les mots que nous retrouvons la quintessence poétique, (les mots de Baudelaire dans les fleurs du mal « Car j’ai de chaque chose extrait la quintessence, tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ») celle qui nous guide sur les pentes escarpées d’une vie imprévisible et parfois cruelle, c’est encore, et toujours, dans la beauté que nous puisons la force, la volonté et le courage…
« Il nous faut regarder ce qu’il y a de beau… » chantait Jacques Brel
Une pluie de diamants sur l’herbe verte
gouttelettes éphémères dans le soleil levant
ce n’est pas un songe ce n’est pas un mirage
juste quelques larmes de joie et d’espoir
dans la renaissance lente et féconde
en écoutant le chant timide d’un oiseau
C est super beau ce que tu ecris Monique…je te lis une fois encore…eblouie…
merci Annick comme moi tu aimes ce qui guérit l’âme et le cœur des vicissitudes de la vie !
Il a suffi d’un orage et d’une pluie
pour que s’illuminent les feuilles de l’espoir !
Dans le retour encore hésitant du soleil,
chaque nuage qui passe et qui s’attarde çà et là
me rappelle que le ciel n’est pas toujours bleu !
Mais rien n’empêchera demain les oiseaux de chanter
quelques notes abandonnées sur les cordes d’une guitare
Tres joli Monique,
Oui, j aime la vie qui guerit d’une vie si impossible pour beaucoup de gens…
Quand on pense avoir trouvé les sparadraps et les baumes magiques ….c est bon de devenir son petit soignant itinérant pr soi pr d autres dans les méandres de la vie.
Goutelettes de lumière
Ruisselez en moi
Joyeusement . Ossiane
Goutelettes de noir
Glissez sur moi
Tristement. Annick
Des petits enfants des rayons de soleil
Et savoir qu ils repartent dans le Nord
Pour un travail sur Bruxelles
Dans 9 mois c est un deuil si éprouvant
Bien plus encore quand notre fils autiste…
L esprit de famille a disparu bien trop
Tellement de personnes isolées Abandonnées à leurs tristes sorts
Quand l Humanité fout le camp
La Vie décampe du monde avec un petit m
–
Il s’en est allé ce jour notre barde wallon et fier de l’être … Il a écrit et chanté tant de merveilles.
–
« Femmes et hommes », Julos Beaucarne
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
Ne vous laissez pas attacher
Ne permettez pas qu’on fasse sur vous des rêves impossibles
On est en amour avec vous
Tant que vous correspondez au rêve que l’on a fait sur vous,
Alors le fleuve Amour coule tranquille
Les jours sont heureux sous les marronniers mauves
Mais s’il vous arrive de ne plus être
Ce personnage qui marchait dans le rêve
Alors soufflent les vents contraires
Le bateau tangue, la voile se déchire
On met les canots à la mer
Les mots d’amour deviennent des mots couteaux
Qu’on vous enfonce dans le cœur
La personne qui hier vous chérissait,
Aujourd’hui vous hait.
La personne qui avait une si belle oreille
Pour vous écouter pleurer et rire
Ne peut plus supporter le son de votre voix
Plus rien n’est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir
Est-ce aimer que de vouloir que l’autre
Quitte sa propre route et son propre voyage ?
Est-ce aimer que d’enfermer l’autre
Dans la prison de son propre rêve ?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
Ne vous laissez pas rêver par quelqu’un d’autre que vous-même
Chacun a son chemin qu’il est seul parfois à comprendre
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Si nous pouvions être d’abord toutes
Et tous et avant tout et premièrement
Des amants de la Vie
Alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs, ces éternels mendiants
Qui perdent tant d’énergie et tant de temps
À attendre des autres, des signes, des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la Vie
Tout nous serait cadeau, nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie et dans sa peau
À chacun sa texture, son tissage et ses mots
–
Bonne journée à tous.
–
Bel hommage bourrache
merci
Un poete, un chanteur, un humaniste dont les mots et la voix sonnaient en harmonie, l’ecouter c’etait comme ecouter un ami, un frère qui parle juste, qui parle vrai Merci Bourrache
Tres tres beau partage merci Bourrache.
Quand on est amant de LA VIE
On laisse à ceux qu on aime le volant de leurs vies….ainsi soient ils…
Le papa accablé pour son fils retrouve des joies de vivre…
Une vie c est sacré
Dans son chacun sa vie
Sans attendre de l autre
Juste en vivant soi-même
Au plus près de la vie
Et en parents d un autiste
La vue pure a jailli
Alors on sait où est la vie
Sans en perdre une miette
Juste LA VIE à se donner d aimer
Est jolie ses froufrous
Amoureuse de LA VIE
Même si parfois si rude
Merci Ossiane, Bourrache, Thierry, Monique…on l aime tant La VIE en VIE
La « Vie ! » Merci Annick de nous soumettre tes réflexions si précieuses avec autant de force.
Peut-il y avoir une joie intacte
dans le présent qui vous assaille
et s’en prend à ce que vous avez
de plus précieux au monde : la Vie
……………………………………………………..
Sagesse aux yeux de Confucius
ne rien voir, ne rien dire, ne rien entendre
se soustraire à toute implication
quand le mal ronge autour de vous,
Le peut-on vraiment sans ombres ?
Le bonheur c’est la petite fleur
qui fleurit dans le jardin
au milieu des ronces et des lianes
c’est vrai ! mais pour combien de temps !
apportera-t-elle son petit lot de joie ?
les épines sont là, sur le roncier des jours…
Il faut du courage pour que s’épanouisse
un semblant de beauté dans le chaos
trop souvent imprévisible de la Vie.
mais il est vrai que chacun a besoin de joies, petites ou grandes pour vivre ; ainsi se mettre en quête de bonheur est parfois vital ! Il suffit parfois d’un sourire il est toujours bon conducteur en ce domaine ! Je vous souris
Comme le temps avance
Il ouvre les yeux plus grands
Ce qui permet de voir
Les invisibles de vie
Qu’est ce qu’on peut être naïf
En fondant une famille
La vie révèle tellement
Par les épreuves du temps
Et je te lis Monique, tu dis juste, je partage.
Un sourire oui c est une grâce de vie, comme la voix de l amitié, de la chaleur de l Humain vivant.
C est bon de partir son petit panier de sourires à donner et de le remplir avec ceux qu on reçoit .
Je vous souris aussi ce soir, un joli sourire rempli des sourires 1000% d hier de mon petit fils de 4 ans, sa soeur de 6 ans et demi les siens sont déjà plus trafiqués, et le sourire de leur petit frere de 7 mois si rempli de toute son innocence….d une telle gravité .
Ahhhhh si la vue était un sourire quotidien pour chacun…a
….annick
Bonjour aux amis du Blog
un bain de foule pourquoi pas
mais si possible de jouvence
sans aller à Florence
admirer le quattrocento
du moment que tout avance
il n’est jamais trop tôt
pas seulement pour monter
sur de fragiles tréteaux
une relaxation dans la nature
et pas un moussaillon dans la mature
pour ce qui est du maintien en forme
Dimanche au championnats de France
Masters d’athlétisme ai lancé
disque et marteau sans être le clou
d’un spectacle réjouissant
jusqu’à ….85 ans
On s’épanouit mais on ne s’évanouit pas
le sport ça garde alerte malgré l’attrition
et c’est bon pour le moral avec la poèsie
et désolé d’avoir déserté ces temps ci
mais je pense fort à vous et d’abord
à notre Hôtesse
Oh oh salut l’athlète, le grand silence ne signifie pas pour autant attrition (merci je ne connaissais pas ce mot -:) mais il est vrai que la poésie est une dérive obligée qui est en ce qui me concerne, aussi importante que le sport (entre autre) car le terrain est vaste, le mien étant très adapté à mes capacités il est sans aucun doute pour tous un atout essentiel pour le bien être.
Il est vrai que notre « Capitaine » voit parfois son navire au port et les moussaillons à quai mais les escales font aussi partie du voyage … au diable la galère…prenons le temps de respirer…la vie n’est pas toujours la croisière dont on rêve !
Bon week-end à tous et toutes mes amitiés à Ossiane
L entends tu respirer
L arbre se vit ses feuilles
Et en fée un album
Un all bonne magique
La vie ses invivables
Sont des passages oh si
Parfois si longs dans l âme
L essentiel reste belle
Cette retombée magique
Qui inonde le sol
Lumière indescriptible
Dans le coeur son intime
Je reste muette
Dans les brumes du vieillissement
Dans les méandres du devenir
Dans les angoisses d’une sécurité perturbée
Dans le constat d’un changement de personne
Ni la même, ni une autre
La mémoire qui flanche
De nouveaux mécanismes
Des phrases reviennent
Les souvenirs restent intacts
pour deux mamies dans le désarroi
tout devient difficile
Un témoignage bouleversant et combien touchant Jo.S dans ce constat si perturbant et déstabilisant, se sentir à l’écoute et si impuissant bien souvent. Je comprends cela tellement.
La chaleur aidant
juste un rayon de soleil
en lueur d’espoir
Merci jo.S et monique.
Revenir sur les mots d’Andrée Chedid , ils sèment en nous ces étincelles de lumière comme brillent en nous celles de l’automne .
« Ce jour-là
J’étais arbre, j’étais source
J’étais herbes j’étais pierre
J’étais toi j’étais nous
…………………………………….
Au fond des fonds de nous
Les étangs du silence
Répandaient dans nos veines
La seule réponse à tout. » Andrée Chedid
Une pensée pour chacun, voyageurs qui passez ici et pour Ossiane vers qui je reviens toujours dans un esprit serein.
Gouttelettes de lumières
Ruisselez en moi
Joyeusement
Un tel besoin de joies
Une fille quitte Vertou
Dans une semaine
La seconde et ses 3 enfants
Dans 8 mois
Dira aurevoir à Nantes
Le père en souffrances
Ne voit plus l une pour le moment
Trente cinq ans si égocentrée
On se retrouvera seuls au monde
Mais où il va le monde?
A son déclin il est
L’humanité fout le camp
Bientôt la fin des aides
Pour panser les fragiles
Le soleil généreux
Brille la peau du coeur
De millefeux intérieurs
Un Automne baume au coeur
Si lumineux de vues
La direction s éclaire
La vie , ce long poème
qui use de métaphores
par sagesse et réserve,
qui use de silence
par discrétion et respect,
puise ses mots dans le vécu
pour faire jaillir tant il se peut
des éclats de soleil
aux couleurs d’or et de lumière.
C’’est un travail long et délicat
malgré les outrages de la vie,
c’est une petite fleur qui pousse
au milieu d’un champ d’orties…
… au cimetière
La palette des couleurs
Le chant des fleurs
C est beau, Monique, je suis souvent charmee par tes mots. Merci.
Très beau texte Monique
Comme un tableau impressionniste
Tout en nuances et sensibilité
Merci
Merci Annick et Jo.S vos mots me touchent et me confortent en ce que le partage peut avoir de riche au delà des mots.
La beauté ne peut engendrer la tristesse à nous de s’en imprégner, elle éclaire nos vies…
L’automne , ce chemin qui nous conduit vers l’hiver n’en reste pas moins un chemin longé de merveilles et de lumières et si les jours semblent plus courts ils n’en sont que plus beaux dans l’apothéose des couleurs du ciel aux couchers du soleil.
« En Automne
Le soleil brille à hauteur d’oeil
Il trésore l’esprit avant l’hiver nu »
Annick
« Gouttelettes de lumières
Ruisselez en moi
Joyeusement »
Ossiane
Bonsoir aux passagers de l’Oeil ouvert, une petite pensée Ossiane.Leïla
https://youtu.be/w_6QdrfjVTs
L’homme assis sans passé, mille présents, sans futur
Son coeur est si froid comme le marbre d’un gisant
C’est la lumière, dans un regard qui doute, à fixer le fond du puits
Tout s’éclaire dans la nuit.
Bonsoir Leïla, plaisir de te lire et des mots forts qui posent questions…
Nietzsche écrit :
« Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou »…et mille présents peuvent rendre fou, de là à trouver la lumière , ce serait parvenir à trouver la vérité et là… je doute…. mais bon consulter Descartes et Pascal pour que tout s’éclaire dans la nuit peut-être ! sourire !
Tres joli Monique
Et avec l âge
Etre certain se vit
Et cela rend…
Ahhhh folies de tête
Mais comme on ne voit
Qu un monde si fou
On se trouve encore
A sa place d abrutie
De VIE
et oui Annick, le monde est ce qu’il est et chacun a du mal à trouver comment réagir…
Quelquefois Bourrache partageait son admiration pour Julos Beaucarne, j’apprends avec un certain décalage, sa disparition avec une grande émotion , poète et chanteur, celui qui disait : « je n’aurais pas le temps de lire tous les poèmes du monde… » laisse des textes et des chansons d’une grande valeur humaine, d’un regard pertinent sur le monde… oui je suis émue….
Oui je sui emue
Donc je suis vivante
Quand le soleil sur les feuilles mouillées offrent aux arbres ce relent de chaleur malgré le frou-frou d’une bise glaciale sur les branches qui se dévêtissent, c’est un spectacle grandiose, euphorisant et lumineux
Belles demoiselles
qui se dandinent au vent
cuivre bronze et or
toutes les feuilles s’illuminent
en derniers signes d’adieux
Spectacle éphémère mais tellement beau qu’il redonne à chacun l’envie de s’émouvoir, un moment d’extase qui fait du bien, c’est un cadeau de l’automne, un cadeau de la vie, un cadeau de la nature qui met de la couleur dans le présent ! Bonne semaine à tous !
Quand vient l’automne
Les parterres sont couverts
d’un épais manteau de feuilles
et colorent de rouille la terre gelée
Un tapis d’humus peu à peu se tisse
laissant aux matins frileux l’ambiance
d’un hiver qui s’annonce sur les prairies
par des petites touches de perles blanches
Le monde peu à peu se referme sur lui-même
les mots se resserrent et s’immobilisent soudain
les corps s’emmitouflent pour se protéger du froid
C’est le temps d’un retour sur soi, d’un besoin de silence
C’est peut-être tenter de donner des réponses aux pourquoi
si comprendre s’avère donner l’espoir d’un futur plus raisonnable
le scenario d’une vie n’est pas écrit d’avance, il se joue jour après jour
avec ses imprévus, ses drames, dans un paradis où se mêlent tout à la fois
la beauté et l’horreur, les joies et les peines, l’amour et la haine partout au monde
alors les mots sont comme des petites graines qui attendent le printemps pour germer
à condition d’avoir la patience d’attendre et préparer pour eux le meilleur terreau possible
Ce n’est pas gagné d’avance, car il nous appartient de jouer les bons pions sur l’échiquier de la vie !
Magnifique Monique
Comme adapté à ce que je vis
Merci infiniment pour ce partage
Une ode à la patience et à l’espoir d’un mieux……
Merci pour vos mots Monique et Jo.S.
Si on la savait à l avance sa vie
Souhaiterions lavivre?
La vie c est son chemin
Sans savoir à l avance
Et c est bien mieux comme ça
La vie vers ses possibles
Faut-il encore Jo.S que ces Odes portent leur échos sans être anéantis par le courant de la vie d’aujourd’hui….et au moins que la beauté soit pour calmer les angoisses !
Le ciel serait-il jaloux en cet automne de la splendeur des arbres ? Il déploie depuis ce matin une palette extraordinaire de teintes et nous offre ce soir un spectacle de lumières flamboyantes
Ciel aux mille couleurs
les feuilles s’envolent au vent
dans un froid glacial
le mistral mène la danse
le soleil allume le feu !
Bonne et belle semaine à tous malgré certains silences qui je l’espère ne sont pas signe de mal-être
Le mal-être revient
Souvenirs de Décembre 2020
Décembre 2021 tout aussi triste
Compliqué en mère père adulte autiste
Très compliqué a nouveau
Avec un an de plus
Sans jamais voir
Le bien-être s’installer non stop
Alors silencer n importune personne
Gouttelettes de lumière
Ruisselez en moi
Joyeusement
Ossiane
Quand un autiste en joies
Des rictus sourires
C est un sapin de Noël
Annick
ces sourires comme des pépites
brillent et illumine ton cœur
les imaginer c’est les recevoir
comme le plus beau des cadeaux
Ces sourires comme des pépites
brillent et illuminent ton cœur
Les imaginer c’est les recevoir
comme le plus beau des cadeaux
l’émotion fait oublier les règles de grammaire 🙂
« Tout ravit mon œil. La course des nuages (…) le vol des oiseaux qui écrivent des phrases sur la page du ciel (…)
Ce n’est pas tellement que mes yeux se tiennent grands ouverts. C’est plutôt qu’ils deviennent Œil ouvert (..) ils brûlent de l’inépuisable appétit de toujours découvrir quelque chose de nouveau. » Sylvain Tesson dans ÉNERGIE VAGABONDE p.577
Ce n’est pas moi qui le dit mais j’aime beaucoup -)
Comme c est joli, Monique. Merci pr le partage.
Leur maison est vendue
Ils partent loin dans 7 mois
Mon coeur en chagrins
De voir partir mes 3 petits choux
Il volera avec les oiseaux encore plus
Escaladera le ciel
Mon vieux chêne à serrer
La vie peut faire tant mal
Lumières du ciel
Saoulez moi en coupes pleines
Jamais la distance
ne brisera tous les liens
patiemment tissés
l’amour toujours vous revient
c’est la loi du boomerang
Il faut juste s’adapter, cela prend du temps, beaucoup de temps mais l’amour toujours est le plus fort
Merci Monique
pour ces partages poétiques
et ces paroles toujours apaisantes…
Merci Jo.S
Desolee Monique, ma plume lourde en cette fin d annee, elle a lu, apprécié et s est tue. Decembre en silences.
Tant de recueillements devant ce monde fou inhumain.
Desolee encore Monique.
A mesure qu on grandit
Le regard s’éclaire
La vie semble étrange
Un peu d’apaisement, ca fait du bien https://longbull13.wordpress.com/2021/12/15/sur-le-toit-du-palais-damour-julie-dratwiak/
Pensées
La poésie d’aimer
Dans ce monde absurde
Transpire des bonheurs
Deux mille vingt deux
Ruisselle en eux
Joyeusement
Présenter ses voeux pour l’année 2022 alors que l’année 2021 est sans fin…que les gestes barrières n’ont rien d’éphémères..que les masques de papier ont enfoui nos sourires et nos contrariétés..que passeport rime avec pass-sanitaire..
De l’année nouvelle espérer que le vaccin sur les variants va l’emporter..que la fatigue et les doutes vont se dissiper..que les équipes médicales vont être reconnues et récompensées..
Ne pas se réjouir mais s’inquiéter d’un temps estival en plein hiver..de la disparition du permafrost en terres glacières..de ces âmes meurtries ou solitaires..des traversées entre la France et l’Angleterre..
« Il n’est de lendemain à espérer qu’avec le bonheur du jour présent »
L’année 2022 sera donc celle des plaisirs simples…celle d’un matin qui emporte la lumière..d’un livre sous la couette découvert..d’un sourire à la lisière…On voyagera entre anniversaires et gestes ordinaires…on se laissera surprendre par le passage du facteur et d’un cadeau offert..on chérira tous les êtres qui nous sont chers..on sera séduit par la douceur de la mer..on redécouvrira le ciel et ses terres singulières..on passera de clairière en clairière..on confiera ses rêves à un chêne centenaire..
On donnera au temps présent les couleurs de l’avenir….
pierre.b
Une pensée particulière à Ossiane..Maria-d..Marie et à toutes celles et tous ceux qui sur ce Blog ont..il y a quelque temps déposé de très gentils messages à mon attention..Je n’avais pas répondu car je ne me rappelle plus sur quelle page je m’étais posé…
Pierre.b, merci d exprimer si bien.
Comme aucune projection possible, on se contente de la chance de vivre un instant présent tout joyeux ou calme ou tendre ou rien qu en goût de la vie douce.
Gouttelettes de VIE
Ruisselez en ce monde
Le plus du plus possible
Merci à tous et à toutes pour votre indéfectible présence poétique et humaine ici ! Pardonnez de vous avoir délaissés ces derniers temps mais j’ai eu quelques soucis de vision qui sont en passe d’être réglés.
Bienvenue à Pierre-B et Annick, les deux premiers de l’an neuf 🙂
Je m’associe totalement à ta perception des choses, Pierre, merci.
De ces épreuves, nous grandissons en sagesse et humilité. Il y aura toujours des sujets d’inquiétude à prendre en compte et à régler. Mais désormais, nous avons tous compris que nous sommes vulnérables et que la vie toute simple est une chose précieuse à protéger. Le bonheur du présent et des petites choses du quotidien, à relire les écrits de Philippe Delerm qui remettent les choses à l’endroit et à leur place. Et bien sûr, cette incontournable solidarité collective du vivre ensemble à laquelle il faut rendre hommage plutôt que se déchirer.
Bon courage les amis pour ce mois de janvier encore difficile, gardons le coeur plein d’espoir et de confiance en la vie qui avec ses hauts et ses bas, nous forge et nous fait grandir dans l’altérité.
Douce année 2022 ♥
Ossiane
Merci Ossiane, pour ton album qu Humain…j espere que ta vue se retrouve…sans la vue on passe sa vie sans rien voir….
Bien sûr il y a le covid
Mais surtout les petits enfants
A préserver le plus possible
Sur la planète entière
Et quand les adultes inconscients
Quittent une région paisible
Cherche une maison près du métro
Pour vivre leurs jobs à eux, égoïstes
C est du chagrin, surtout de l impuissance
Les enfants suivent les parents
10mn à pieds 6mn de metro vers l’ecole
Dès Septembre
La folie
Quand à 10mn à pieds cette année
Ce monde qui court
File vers sa dégringolade
Pas de diplôme
Que du bon sens de VIVRE
Pour sauver des enfants
C est une prière bien plus
« » »La vie toute simple est une chose à protéger » » »…je te cite chère Ossiane
Quel plaisir de vous lire Pierre, vos écrits expriment vraiment le ressenti de cette période si particulière…
Mettre des mots sur nos inquiétudes et notre recherche d’évasion. Merci .
Quel plaisir de vous lire Ossiane, j’espère que ce problème se réglera au plus vite dans l’année 2022. Ce blog continue et qu’il dure encore longtemps !
Quel plaisir de vous lire Annick, fidèle au blog, toujours semant des bulles d’espoir.
Une bonne année 2022 à tous les lecteurs et participants.
Une année 2022 chaleureuse et créative.
Bonjour à tous et tellement heureuse de vous lire et partager avec vous ce lieu d’écriture, je te remercie tout particulièrement Ossiane de nous ouvrir ta porte malgré toutes les difficultés qui se se présentent à toi, et te souhaite de retrouver au plus vite solution à tes problèmes.
Il nous arrive de laisser place au « silence »… il contient toutes les pensées du monde, ne retenons que les bonnes (il en va du choix de chacun et du sens de nos responsabilités) en espérant que cette nouvelle année « 2022 » ne soit pas galère et laisse en nous un parfum de douceur et des conditions de vie meilleures et acceptables pour tous outre les évènements imprévisibles et parfois douloureux de la vie.
Un épais brouillard
recouvre parfois le monde
puis, vient le soleil
Et un poème de François Cheng en ce 3 janvier 2022 :
« Lorsque nous nous parlons
Le rêve est à portée
Lorsque nous nous taisons
Le rêve demeure intact
Apprenons à recueillir
Tout instant qui advient :
Sente gorgée de soleil
Grisée de lune, clairière… «
Merci à vous jo.s, Monique
Dans ces temps
Prisonnier
On se gorge d un rien
Sol couvert de gel
Tapis d’argent ce matin
au soleil levant
plantes, arbres se reposent
dans le silence hivernal
Comment être à la fête
Quand des Humains
Qui fuient des pays de terreurs
Arrivent dabs des pays Inhumains
Qui les chassent en indésirables
Le coeur qui voit qui sait
Ne peut s’endormir
Qu’en pensant plus fort encore
Aux injustices du monde
Pourtant tant d’argent gaspillé
Prière du soir
Gouttelettes de lumière
Ruisselez en moi
Comme vous pouvez
Tant de détresses sur terre
Chaque jour est une surprise, c’est le propre de l’impermanence comment ne pas s’en émerveiller comme étant là un cadeau inattendu !
Escale d’un jour
vers l’improbable rencontre
scruter l’horizon
A l’orée d’une saison
L’intemporel rendez-vous
Cycle des saisons
le long des branches
les bourgeons sont là !
Sur le pommier du Japon
les toutes premières fleurs.
« Chaque expérience de beauté, si brève dans le temps tout en transcendant le temps, nous restitue chaque fois la fraîcheur du matin du monde » François CHENG dans Cinq méditations sur la beauté.
Après avoir lu le commentaire d’Aspe dans la page « Impermanence » d’Ossiane du 25 mai 2011, ainsi revisitée et dont la photo est paisible, comme intemporelle, dans cet aura de brume, je note par hasard dans « Les lendemains » de Melissa de Costa – que je suis en train de lire (non sans une certaine émotion), à propos du « concept d’impermanence » ceci :
« la vie n’est qu’une succession d’évènements transitoires, un bouillonnement d’impermanence. Même le soleil, la montagne, la terre sur laquelle nous vivons sont en changement constant. (…) Accepter que tout est impermanent est un premier pas vers la cessation de la souffrance »
S’interroger et à méditer…
Merci encore une fois Monique pour tes partages
Déjà celui de François Cheng
Et puis sur l impermanence que je partage si fort.
A cet âge certain
Qui mène vers la fin
L impermanence si précieuse
Ressentir si fort le goûteux de la vie
Et ne plus absorber tous les toxiques de vie
Accepter comme elle se donne la vie
Et le plus difficile
C est levieillir à deux
Chacun change et compose à sa façon
Les dernières années
De l ouvrage de sa vie
Si beaux tes mots du 1er Fevrier 15h23, que j etais restee sans voix…pour te laisser toute la place.
Gouttelettes de lumières
Ruisselez en moi
Joyeusement
Ossiane
Mais que oui
Elles ruissellent sur toi
Ton album si vivant
Annick
La nature sans cesse nous émerveille…. elle renaît, et chaque fois l’émotion est toujours aussi grande, elle sort doucement des vicissitudes de l’hiver encore un peu fragile mais toujours aussi belle pour qui sait garder confiance, patience, courage et fidélité…
Une renaissance
dans les caprices du printemps
retour du bourdon
*Ce Printemps 2022
Les horreurs de la guerre
Et de tant d autres sur terre
Un monde d injustices* Annick
*Gouttelettes de lumière
Ruisselez en moi
Joyeusement * Ossiane
Des prières vers le ciel
Pour qu il délivre la Terre
Du mal qui règne en maître
Ah Monsieur Hölderlin , vous parleriez aujourd’hui non pas de la beauté mais de la laideur de ce monde, la poésie se voudrait être un chant dont les mots les plus beaux nous émerveillent, qu’en est-il du chant des armes ?
Un soleil éteint
dans les branches de la guerre
le froid de l’horreur
dans le regard des enfants
le miroir de la terreur
Ce ne sont pas les mots que j’aime écrire….
Merci Monique
J aime tant la beauté, mais la réalité ne permet plus… TANT de SOUFFRANCES sur terre….
Sanguine languide mais sans guide
La terre est rouge de sang
mais ce n’est pas l’hématite
qui suspendue comme les clématites
nous ferait sortir du rang
La terre est gourmande des hommes
qui parfois tombent comme des pommes
la gravité de la situation n’échappe à personne
pour qu’un fâcheux garde sa pseudo couronne
La terre tremble de tous ses membres
quand les bombes explosent au sol
détruisant les villes et mettant des aérosols
mortels en suspension dans leurs antres
La terre est noire et pourtant blanche
dans ce printemps commencé tambour battant
les portes du temps grincent avec les planches
sous les coups de boutoir des combattants
La terre est sale et presque immonde
quand la marée des assaillants monte
qui de ravages en dérapages
prétendent de l’histoire tourner la page
La terre est chargée de souvenirs
depuis les fosses communes de babi yar
jusqu’aux exactions des séides du tsar
en se demandant quel peut être l’avenir
La terre souffre comme le souffle des canons
quand les impacts soulèvent des gerbes
ce sont presque déjà celles des futurs morts
alors qu’ à peine poussent les herbes
La terre s’émeut et puis s’ébranle
voyant les pas apeurés des fuyards
qui cherchent leur salut ailleurs
Un partage émouvant de jamin où les mots ont une forte résonance , bruit de fond d’une harmonie qui déchire et qui fait mal, des mots qui explosent et meurtrissent et qui disent ce qui se passe chez les hommes du XXIème siècle ! Ça fait mal !!!
Bonsoir Monique , jamin c’est moi, Thierry , je suis très mal psychologiquement depuis le 23 mars, j’en ai oublié mon anniversaire de mariage , la mort de ma maman il y a 4 ans et je surveille cet acte historique sans entractes, qui me déchire le coeur et me mets la tête en lambeaux.
Ca me fait du bien de vous ouvrir mon coeur qui saigne et de me sentir si inutile alors que je sentais des choses mauvaises s’ourdir dans le silence , une telle concentration de troupe c’était pas possible , quand l’Otan fait de grandes manoeuvres avec cinq fois moins de troupes. J’ai écrit des textes depuis un mois , je n’ai pas eu l’audace, le courage de les soumettre à notre Hôtesse qui est toujours bien occupée. On ne reconstruit pas un pays, qui plus est encore amputé, comme ça , le chiffrage est de 500 milliards d’euros , mais peut être irais je faire le maçon dans ce pays de désolation , relisons les grands auteurs du 19 éme siècle mais aussi Ossip Mendelstam et anna Akhamtova sans oublier Gogol !!!
Merci Thierry, je ne suis pas étonnée de te retrouver sous cette signature et comprends fort bien ton désarroi, nous le sommes tous et la situation actuelle n’est pas faite pour nous ouvrir les portes de l’entendement et de l’espoir. Je tiens à ce que ce site L’Oœil Ouvert, qui m’a profondément aidée dans des moments extrêmement difficiles, reste un lieu de réconfort et de poésie sereine La présence d’Ossiane nous manque assurément mais je sais son attachement à ce lieu de partage et d’échanges et les mots ont leur importance. Elle reste avant tout le Capitaine de ce « navire » et je lui redis mon amitié, ma reconnaissance et ma confiance. Merci pour les références littéraires et suis vraiment contente de te lire, mais veillons à rester l’esprit ouvert sans sombrer dans le désespoir.
Oui merci Monique de me reconnaitre , et de me reconnaitre comme des vôtres même si je me suis parfois vautré de manière malséante dans des moments difficiles où la peinture des émotions est intense , fulgurante.
Il y a des moments dans la vie où il faut mettre en pause sans prendre la pose et assommer de prose , l’espoir ce n’est pas l’espérance , il y a trop d’attente et d’incertitudes, et on peut essayer de viser plus loin mais pas dans le temps long de Braudel et des annales non plus mais jamais brutalité ne doit être pris pour banalité, je ne me résous pas à accepter ce spectacle qu’on croyait peut être d’un autre temps pour ne pas s’être assez intéressé à Grozny et à Alep ! Depuis bientôt 15 ans le site d’Ossiane a souvent fait partie de mon quotidien et m’a permis de mettre à plat idées et sentiments pour mieux continuer et aller de l’avant. C’est une chance énorme en plus de l’infinie richesse poétique , picturale que de pouvoir méditer à voix ouverte , pas des voies d’eau uniquement , sur la surface des flots onduleux . De rien Monique hier soir encore comme la nuit avancée ne permettait pas le sommeil j’ai repris le superbe atlas historique en plus de 500 cartes qui fut primé et reste un support exceptionnel pour relire l’histoire en marche et en comprendre certains aspects. Grattaloup a fait une exégèse formidable. Mais oui c’est l’oeil ouvert en bien grand que nous devons affronter les turpitudes du monde qui va et vient balloté par les tressautements de l’histoire et sa toujours grande imprévisibilité.
Je me tais maintenant par décence et en souvenir de la résistance ukrainienne héroïque , et pourtant …
Je ne sais plus de quoi ce je ne sais quoi est fait
Il y a du vent et de la pluie qui ne sont pas signes d’ennui
et puis la froideur encore extrême de ces contrées
qui du printemps à l’orée
ne peuvent montrer sur des surfaces immaculées
plus pour longtemps hélas
ces images qui nous glacent
un spectre pour un sceptre
et des autocars, des trains et des voitures
dans une nouvelle débâcle
qui n’attend pas du gel la fin
ces enfants et ces femmes, ces vieillards hagards
ces regards vides sur la patrie chérie
et puis les bruits terribles qui viennent
il ne s’agit pas de prendre la route de Vienne
Chacun et chacune pense aux siens
les villes n’en sont plus
les bâtiments ravagés par les projectiles
non ce n’est pas une année avec un mois bissextile
mais de la civilisations les restes érectiles
jamais ne paraitrons futiles
les fusils aux assauts fous et aux relents macabres
collés contre un arbre, une palissade , une encoignure
c’est faire fi du risque mortel et des engelures
la mort rode , la faim frappe et les rides se creusent
à hauteur d’homme c’est là que se lit et se lient la détermination
de ces femmes et hommes frère d’arme
cela fait longtemps pourtant qu’à sonné l’alarme
depuis la Crimée est perpétué le crime
et dans le Donbass s’acharnent sur des carcasses
un ordre nouveau pour un équilibre meilleur ?
Pourtant tout cela se fait sous le signe de la terreur
c’est un jeu de black jack commencé à 5 heures
pas de prières ou si peu pour les morts
Je vous lis Monique et Thierry, avec emotions
Je vous rejoins tant dans des pensees similaires
Le 24 Fevrier 2022
La vies s’est fracturée
Dans des milliards de têtes
Plus encore!
Il a eu 35 ans ce jour d’enfers
Commencés pour l Ukraine
Quand cela devait être
La fin d un parcours de 35 ans
A fond les manettes en autisme
Pour savourer qu en joies
Et cette guerre de plus
Si près
A chargé les têtes de desespoirs
Trop de personnes souffrent, meurent
Tellement d enfants prives d enfances gaies
Ce monde est fou
Gardons le precieux de la VIE
Qui nous a été confié
Pour rendre d autres…VIVANTS
Je t embrasse Ossiane ton Oeil ouvert genereux
Je vous embrasse les matelots
Ne sombrons pas
Notre canot de sauvetage fort de nos âmes bonnes
Prenez bien soin de vous
Annick
Libres comme l’air , pas si sûr !
Il y a l’azur et lasure , l’un rassure et l’autre couvre mais dans la beauté immanente du ciel qui chaque jour se montre, éteignant les chandelles qui par milliards éclairent d’une lumière quasi invisible nos nuits , il n’ y a pas que le risque de voir des nuages s’amonceler à l’horizon puis déferler au gré des vents en nappes épaisses et parfois bien sombres.
Mais la gente ailée qui n’est pas de légende peut elle se maintenir dans les grands souffles d’air qui déstabilisent le moindre passereau au poids si faible , même les grands rapaces nocturnes ou pas vont essayer de planer sans être rabattus sur des falaises abruptes où il est périlleux de se poser.
Mais au delà de la transparence et de la légéreté du fluide si peu dense où dansent harmonieusement ces nuées miraculeuses qui s’accordent et agissent de concert sous la baguette habile et mystérieuse d’un chef invisible qui définit ces cibles au jugé.
Pourtant en quête d’éclaircies on sait bien que sur des thèâtres militaires ce sont les oiseaux en premier qu’ils font taire, qui se terre , pas tel le serpentaire même si ce sont autre chose que des serpents venimeux qui s’activent la haut, des projectiles aux trajectoires complexes remplissent l’air de fumées et provoquent des cendres même si d’habiles chasseurs peuvent d’en bas parfois les descendre.
Ah la propulsion à réaction provoque la raréfaction même si les plantons sont de faction, ils sont planqués car tout est au hasard dans un certain périmètre dont on ne sait qui va périr ou bien survivre .
Ces engins, agents de mort et de destruction auxquels il est difficile de faire obstruction sont lancés sur instructions express de faire table rase (tabula rasa ) pour imposer un nouvel ordre, celui du silence ( pas celui des agneaux mais des oiseaux ) .
Aux descendants lointains et sans dents des dinosaures et autres plésiosaures ou archéoptéryx il faut craindre l’essor de ces boules enflammées qui percent de sifflement aigus les confins du domaine.
Le poète en son coeur
Il le sait que la vie
Rien que la vie en vie
Bain de Printemps
Qui détache et rince
Des trop noirs de l’hiver
Tendre 1er Mai pour chaque équipier.
Il faudrait un mot comme vert mais
Jaune
Des feuilles d’acacia sans ventouse
Presque traversées plus que baignées
Par la lumière du soir d’été sans bouger
Ou même bougeant un peu comme si la
Lumière faisait bouger plus que l’air le
Soir
Dans un jaune vert donc
Un peu comme le triangle du toit
Sur la haie des fusains l’autre jour
Mais
L’acacia d’un vert moins lisse
Pétale plutôt que feuille.
Antoine Emaz, extrait de Ras,éditions Tarabuste, 2001 .
Des feuilles d’acacia sans Vent , désolée je ne me suis pas relue et impossible de corriger.
Un long silence mais que de pages à regarder au long de toutes ces années, encore merci Ossiane de garder ce blog ouvert pour quelques escales de pure bonheur.
Merci Ossiane
Merci Monique
Oui des » escales de pur bonheur » je te cite Monique et mes yeux se mouillent…
Merci Annick d’avoir corrigé « pur bonheur »et de te lire est pure émotion -:))
Bonne fête à toutes les mamans et une pensée intense pour tous les enfants qui n’ont plus de maman à qui dire bonne fête .
Je partage encore une fois tes mots, Monique. Chaque enfant devrait avoir une maman…
Plus tragique, que lumineux Juin sur notre terre en ce monde n’est pas rayonnant cette année….
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Qu’il faut de volonté, de courage et de sagesse pour garder aujourd’hui l’esprit clair !
Oui de plus en plus difficile de garder sa tête dans un monde où les pires deviennent quotidiens.
Je disais hier que courage et volonté sont si essentiels…
Et pourtant de gros épuisements peuvent entamer volonté et courage si intimement liés.
Des clés pour dormir, récupérer, sont bien plus virales encore. Le sommeil et la detente nourrissent en énergies vitales la volonté et le courage .
Lire des ckes pour dormir, recuperer, slnt bien plus viTales encore.
Sorry!
Magnifique
Juste un petit mot
une présence
un regard
Merci Monique.
Un clignement des yeux
Si doux poème dedans
En VIE délicatesses
Il y a un an, en ce même mois où l’été s’annonçait dans la lumière avec en toile de fond les mots d’Andrée Chedid qui mettait l’accent sur des mondes parallèles , j’aurais tellement voulu trouver les mots osant l’espoir et non sombrer dans l’ombre de nos avenirs… mais pour autant, ne laissons jamais se perdre la poésie et la beauté qui se doivent immortels même dans un monde parfois en survie !
Un nouvel été
bains de chaleur et d’orages
le monde s’interroge
Merci Annick et bel été si possible pour toi et tous les passagers de l’Oeil Ouvert
Merci Monique,
A mon tour je te souhaite ainsi qu aux lecteurs et plumes de l’oeil ouvert…un bel été…comme pour chacun sur terre…ce serait tellement beau …une vie douce pour chacun.
Bel été Ossiane invisible si présente dans ses pages.
Un album extraordinaire d attention, de patience, de douceur, d amour , de beaux ecrits spontanés partagés.
Je vous aime chacun.
Annick
Comme toi Annick je n’en doute pas nous aimerions tellement voir revenir Ossiane sur ces pages, nous lui souhaitons le meilleur et j’ose lui dire à bientôt Ossiane.
Merci Monique
Je suis remerciante qu Ossiane m ait accueillie sur son bateau si palpitant d âmes vivantes .
Belle soirée en poésie douce dès que c est possible.
Le 2 janvier 2022 le temps a suspendu son vol…il s’est posé sur les mots d’Ossiane et il attend…il attend un battement d’ailes..un rayon de soleil..le murmure du vent…un baiser volé….une invitation au voyage…Sur un fil d’argent ..entre deux commentaires..mille pensées déposées..on cueille dans le creux de sa main les photos d’hier et on imagine les naissances à venir…Le 2 juillet 2022 l’été offre à l’oeil ouvert les champs des possibles…une ouverture sur la mer…la douceur retrouvée..des raisons d’espérer..J’aimerais découvrir sur ces pages une nouvelle photo…une pluie de signes..des lettres en mouvement..des visiteurs oubliés…
Je suis émue, pierre. b, je rêve à des chefs d’états qui sans régner, sont touy simplement heureux devant des vies simples et heureuses, qu en amours de la vie….mais c est un rêve …un si beau rêve..et celui de voir une nouvelle photo d Ossiane…
merci pierre.b pour ces mots si profondément ressentis mais qui sont signe d’une fidélité dont Annick fait preuve.
Des mots qui disent l’absence
d’un vide une espérance
de ce si long silence
l’écho d’une présence
Petite bouteille à la mer par dessus le bastingage, notre amitié profonde à Ossiane.
Comme ils sont beaux tes mots qui rebondissent après ceux de pierre.b, Monique.
Toute délicatesse
Une amitié profonde
Son beau baiser volé
Il y a l’ordre du bain aux origines obscures mais en cette saison de fréquentation des pédiluves où la chaleur s’empare des corps et des esprits , il est plus facile de garder les pieds au frais que la tête froide.
Tant de nouvelles censément inquiétantes troublent le peu de quiétude qui nous reste et dans le silence estival s’élancent les festivals par monts et par vaux.
Le silence est il significatif de pause et de repos, sans aucun doute mais peut on s’alarmer complétement, je ne sais , nous souhaitons tous, ceux qui fréquentent ce blog depuis si longtemps qu’il puisse continuer à semer des graines d’espoir et de beauté et nous aider à exprimer nos émotions.
Une pensée forte pour Ossiane mais aussi des souvenirs amicaux avec les moussaillons.
Bonjour,
En ombres et en lumières.
Quel bel univers photographique, un régal de sens et de sensibilité, pour l’âme et les yeux.
Un grand bravo pour cette poésie.
Parce qu’une amitié virtuelle s’est tissée au cours de toutes ces années faisons confiance à notre cœur et retrouvons ce bonheur de nos partages pour notre amour de la beauté des images et de la poésie. Bonne rentrée à tous et à notre généreuse et brillante artiste osons émettre l’espoir de vous retrouver bientôt sur ce site en mots et en images si intensément attendus
La fenêtre s’est ouverte
laissant entrer la lumière
et les couleurs de l’automne
Le monde accablé d’horreur
fait parfois place au silence
mais que reviennent les mots
dans l’effervescence attendue
et la joie des retrouvailles
Heureuse de retrouver la page
après plusieurs tentatives
Heureuse de revoir les images
Que ce blog vive
Encore….