Ecumes 22 / Foam22

ÉCUMES 22 / FOAM 22

il neige
les souvenirs s’effacent
l’horizon s’éclaire

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it’s snowing
memories fading
horizon brightening

68 réflexions sur « Ecumes 22 / Foam22 »

  1. « Nous cheminons vers le sens dans la mesure où nous habitons en poète sur la terre »
    Hölderlin

    l’hiver du silence
    dans le blanc, le dénuement
    la transcendance

  2. Quand on aime en amour
    On aime tout simplement
    A s étonner d aimer
    Un périple au long cours
    Passé futur allègent
    Le plus lourd du présent

  3. Il y les vagues de vie
    Chacune sa singulière
    Celle qui cingle la face
    De vérité féroce
    Celle si douce câline
    Qui bien être tellement
    Les pages d une vie
    Son livre destin vécu
    A le viser foufou
    Rempli d émotions pures
    Dans les êtres et les pleurs
    Rubans de soi precieux

  4. Quand lest mots se délivrent
    Dans une vague si tendre
    Cet instant en beautés
    Des plus magiques à vivre

    Bel temps son chaque jour vers Noël de cette année.

  5. Bonjour amis du pont
    Monique a toujours le chic pour trouver une citation particulièrement adaptée
    nous ne peinons pas à l’adopter surtout pour un tel chantre

    l’écume de ceux qui éructent me rappelle la bave aux lèvres des coureurs de plusieurs lièvre à la fois
    la mousse est dans les apparences pour ceux qui la brassent avec dextérité mais pour quel résultat
    quand il y a de la neige sur l’écran j’ai toujours peur d’un problème de réception comme autrefois , il fallait alors tourner l’antenne pour trouver le meilleur gain et évacuer les grains

    confettis tristes d’avant la fête
    ne remue pas la tête
    chevauchons de la vague la crête

  6. qu’il est loin qu’il est loin …l’horizon
    qui pourrait nous donner
    un semblant de raison
    quand ce ne sont qu’oraisons
    vivant nous nous dressons
    le gifle ne fait qu’aviver
    la douleur si proche de pamoison

  7. Non ce n’est pas de la poudre aux yeux
    les flocons floquent un paysage en loques
    pendant ce temps nous battons la breloque
    ou plutôt le pavé et cela sans désemparer
    la réaction est sans doute une absolue nécessité
    quand les inégalités représentent un système odieux

  8. Il neige
    Les souvenirs s effacent
    L horizon s éclaire ……………Dixit Ossiane

    Il neige
    Les souvenirs renaissent
    Ma petite fille chérie

    Il neige
    Le présent tellement lourd
    Isolement en maternelle

    Il neige
    L avenir sa marche rude
    Quand la grand mère sait

    Il neige
    Mère avant d être grand mère
    D un combat en autisme

    Il neige
    Quand l handicap une seconde fois
    Dans la même famille

    Il neige
    Les souvenirs offrent leurs regards
    L horizon se ferme et aussi s ouvre

  9. Une fin d année
    Le temps des fêtes
    Pour tellement
    Ici c’est calme
    Son raplaplat
    Les énergies usées
    Sans cesse à retrouver
    Pourquoi ces sens
    Qui n ont pas de sens
    La vie toute simple
    C’est tellement bon

  10. Parce que parfois les vœux n’ont plus sens, s’abstenir semble être une sagesse mais l’espoir reste une petite offrande d’amour qui fait tant de bien à tous. Alors à Ossiane et à vous tous, de tout cœur, mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année.

    Chant de silence
    entre mots et flocons
    fond de brume

  11. Dessiner sans trembler la ligne d’horizon
    Choisir sans douter les mots les plus beaux
    Offrir en partage des voeux d’Amour et de Paix.

    Bonne Année 2019, à toi Ossiane, aux amis du pont et aux visiteurs

  12. Une autre page s’est ouverte, la deux-mille-dix-neuvième qui ne demande qu’à rencontrer la beauté et l’amour, la fraternité et la solidarité, l’intelligence aussi, puisse-t-elle être un peu teintée de ces couleurs rares. Tu fais partie chère Ossiane de ceux et celles qui apportent cette touche qui embellit le monde. Merci, et belle année créative. Je t’embrasse.

  13. Bonne année à notre capitaine qui tient toujours fermement la barre
    et à tous ses hardis moussaillons
    un petit texte pour vous toutes et tous

    Parlez-moi d’amour, dites moi des choses tendres

    Ce n’est pas le vertige
    mais bien la tige verte qui vous est offerte
    qui exprime en cette occasion
    ce que ne peut offrir la raison
    quand du cœur sourdent jusqu’à la pâmoison
    dans l’âme ainsi ouverte
    les plus pures sentences
    issues d’une noble essence
    et si ce n’est pas dans l’aisance
    car les sentiments ne se confient
    du moins trouvent ils dans cette expression
    qui ne saurait confiner à l’expulsion
    une explosion de désir révélé
    pourtant il en est qui se méfient
    des paroles trop faciles
    face aux corps graciles
    abandonnez vous un instant
    au rêve bien vivant
    ce qui peut susciter une aversion
    va t il ressusciter la commune passion
    alors oui ma dame cette rose est pour vous
    pourvu que vous y soyez sensible
    et rien dans ce que je dis n’est indicible
    je ne vous vois point comme une cible
    pas plus qu’un but votre conquête m’est
    c’est au plus au point un véritable sommet
    une apothéose même qui revêt
    maints atours
    sans demander de vertu un brevet
    alors de grâce acceptez cette rose
    en témoignage profond et réel
    de mes sentiments sans bornes
    qui ainsi votre beauté ornent

  14. Je ne sais de quelle couleur est la rose
    mais les mots qui émanent de ce poème
    ont un parfum d’amour à ne s’y méprendre
    la poésie a cet avantage d’oser les mots
    qui atteignent le cœur avec délicatesse
    que la belle qui l’aggrée en soit charmée.

  15. Vos mots sont si délicats, Thierry…Je vous en remercie. ..
    Monique tu parles encore fort juste…Et je te cité. .. » que la belle qui lui agrée en soit charmée  »
    Elle en a de la chance…

    Levivre délicatesses
    Dans le bon pur d aimer
    Cet ancien deux mille dix neuf
    Annick

  16. Rigolo mon correcteur vient de ecrire …ancien…
    C’est est vrai qu il a quatre jours …2019

    Levivre délicatesses
    Dans le bon pur d aimer
    Cet an deux mille dix neuf

  17. C’est mon correcteur ou mon écran de téléphone brouillé. …Par les baisers de mes petits enfants pour leurs parents avec whatsap…lors de leurs deux jours ici…

  18. la rose est d’argent Monique, donc blanche en héraldique
    et l’heureuse élue est mon épouse
    nous aurons bientôt trente années d’union

  19. Quel beau présent que ce poème Thierry. Il nous en fallait de 15 jours pour fêter nos 50 ans d’union, la vie en a voulu autrement, la vie parfois comme la rose a des épines qui blessent. J’ai beaucoup aimé votre poème si délicat : que cette rose « d’argent » brille longtemps encore dans vos yeux à tous les deux.

  20. C’est tendre de vous lire Thierry et Monique

    Pour moi la rose qui m est offerte se nomme Autisme et sa tige en épines peut faire tellement mal…
    Que dans ce combat lourd en couple on fait ce qu on peut on tente d avancer le plus possible en énergies pour l autonomie en progrès de notre fils….Dix ans necessaires de vies séparées pour le gîte pour pas se mourir et rester vivants en cherchant des voies belles ..
    Et voilà qu une nouvelle lutte pour apporter le maximum de vie d ouvertures aller chercher les capacités a commencé depuis un an et demi avec notre petite fille….Depuis dix mois sous un toit recommun.
    Notre union parfois bancale parfois vidée parfois débordante d’énergies parfois tendre délicate parfois abrupte parfois assommée parfois inespérée . …Sous toutes les formes d’amours. ..La vie décide tellement dans un parcours difficile.

    Belle année en amours pour vous.

  21. merci Monique
    je comprends ce que cela puisse susciter en vous des échos
    si les pavés étaient jetés de pétales de rose au moyen age
    pour le passage des grands et des puissants
    l’offrande par un chevalier d’une rose d’argent est une tradition
    du fin amor et Hugo de hoffmansthal librettiste de l’opéra de Strauss
    « le chevalier à la rose » ne s’y est pas trompé pourtant d’autres préférent
    le rouge sang de la rose
    je vous embrasse affectueusement et vous remercie encore de votre
    présence fréquente sur ce blog qui donne sens et intérêt

  22. merci Annick

    votre franchise me désarçonne si souvent
    et je chois de mon beau destrier 🙂
    mais à tout bien choisir
    votre compagnie est des plus agréables

    désolés si je me fais rares ces derniers temps
    la rumination est parfois nécessaire
    pour sublimer les moments pénibles…

  23. Les jours s’egrainent
    D’heures volées au temps qui passe
    De miettes de vie
    A l’horizon d’espérances
    D’un crépuscule d’hiver

  24. J aime tes mots Monique

    Ils me parlent ce soir de retour de un mercredi après midi avec les petits enfants. …

    Ses curiosités en oeil ouvert pour lui
    Gommettes pate à modeler livres pour eux
    Des jeux et des jeux
    Mes éclats de rires qu ils déclenchent
    Des purs plaisirs
    Même si parfois dur de me relever
    On y met la gomme en amour
    Et comme elle est douceur tendre
    En intérieur profond. ..
    Cette caresse Là

  25. Des enfants à aimer
    C’est tellement simple
    Une enfant à accompagner
    Plus et encore plus
    Comme ça mine de rien
    Mais comme c est épuisant
    De longs temps de repos essentiels
    Grands intenses pour envisager
    D aimer encore se depasser
    Pour offrir le goût de la vie
    A mes deux petits enfants

  26. « qui logera nos rêve sous les paupières des étoiles » . L.S Senghor

    J’égrène mes jours
    comme une âme naufragée
    ma désespérance
    dans cette comédie
    orchestrée sans appel

    Chaque jour qui passe
    est un cadeau de la vie
    de pleine conscience
    fait de chance et de raison
    je me dois de l’apprécier

    L’amour, la beauté
    Souverains inégalables
    tenants de l’espoir,
    ils volent à notre secours
    vers un demain plus serein.

    « Quelle plate bêtise de toujours vanter le mensonge et de dire: la poésie vit d’illusions: comme si la désillusion n’était pas cent fois plus poétique par elle-même! Ce sont du reste deux mots d’une riche ineptie. » Flaubet

  27. parce qu’il manque sans doute un petit rayon de soleil dans mon ciel gris……

    Parfum étrange de poésie
    dans les embruns d’une tempête
    qui réitère sans cesse ses vagues
    chargées d’écumes putrescibles
    nuages qui passent et repassent
    déposant sur nos visages
    les brumes sombres du chagrin
    les yeux emperlés de larmes
    Parfum étrange de poésie
    au goût amer des mots
    au goût âpre de la vie.

  28. C’est bon
    De sortir de ses chagrins
    De vivre sa vague de vie
    De serrer les beautés
    De laisser glisser le plus lourd
    De picorer son petit chemin
    De se laisser emporter le nez
    De réchauffer chaque instant
    C’est bon de bon

    C’eston bon de bon de bon
    D aimer le vivre
    Son temps compté

  29. Tais toi vague de tristesses
    Quand un jour ses cumuls
    On repousse tout chagrin
    Et cueille à foison les meilleurs
    Épuisée encore ce soir
    Ma petite fille chérie
    Ton TE D qui te fait toi
    Ne me fait plus souffrir
    Mon coeur est pour ton frère
    Comme pour toi ma chérie
    Sans impossibles espoirs
    Juste ma main dans la tienne
    D une main c est pour toi
    Mon autre pour ton petit frère
    Faudrait pas rajouter
    D autres difficultés
    C’ en est bien trop déjà
    Lassitude va t en
    Demain c’est ma journée
    Avant soirée nuit petit matin
    A les vivre en autisme
    Avant de vous retrouver
    Mes tendres petits chéris
    Mercredi après midi
    Tard sa fin de soirée

  30. ….comme une explosion
    elle vous prend pleine figure
    la vague à l’âme
    tout ruisselle et dégouline
    dans un roulis incessant

    avant que ne se calme cette fureur venue des entrailles à l’aurore d’une accalmie…

  31. Au large le blues
    Poignées de larmes au vent
    nuages d’amertume
    dans la tempête et le froid
    se fondent à l’horizon

    comme un bateau ivre à la crête des vagues, ainsi vont les peines chahutées par le temps…

  32. ce n’est pas un bateau en détresse, c’est un bateau qui danse à la crête des vagues sur la mélodie de MioModus, dans les étincelles de vie de Jo.S….parce que lorsque les mots sont à la couleur du temps, il est peut-être bon de leur redonner un peu d’éclat…

    « Il suffit de quelques lignes souveraines et modestes, et le ciel change de couleur il y a comme un parfum de résurrection qui réveille le sens et apaise le cœur. Les mots vont bien au-delà d’eux-mêmes, et leurs échos nourrissent l’esprit qui était en proie aux longs ennuis, et qui s’éveille enfin donnant les images salvatrices. »
    J.P. SIMEON dans la poésie sauvera le monde.

  33. C’est très bon les mots de Simeon que tu partages, Monique. Les mots c est quelque chose et c’est d autant plus précieux quand les maux de la vie.

    Merci Miomodus Jo.S pour vos écrits.

  34. Je ne peux tout retenir
    de ce flot de mots qui s’envolent
    et se noient dans mes souvenirs
    ils s’engouffrent dans les vagues
    s’engloutissent et se perdent
    adieu les mots, adieu
    jamais je ne retrouverai
    ni le chant, ni le sens puissant
    qui m’avaient tant émerveillés
    tout va trop vite, tout fout le camp…
    on ne retient rien… tout passe…
    et pourtant parfois juste un mot
    égaré, retrouvé, un miraculé !
    rallume la flamme du passé.

  35. Merci Monique, de partager les mots de J.P. Simeon.

    « Je m’égarais parfois
    Dans l’écume des images
    Je me noyais parfois
    Dans le grouillement des mots.
    Me redressais parfois
    Au levain d’une parole
    Et renaissais parfois
    A la flamme d’un seul mot. »
    Andrée Chédid

  36. Je vous lis jo.S…
    En lisant et relisant je trouvais tes mots si forts, Monique. …
    Coquine de tes oublis de préciser

    Merci pour les mots partagés jo. S
    Merci de m apprendre je n ai pas et plus l énergie pour lire des écrivains aussi précieux. Ma vie pas choisie si pleine
    Bel week

    Annick

  37. Je te rassure Annick il n’y a aucun oubli de ma part mes mots m’appartiennent totalement et vous n’imaginez pas mon bonheur ce matin en lisant ce poème d’Andrée Chédid dont les pensées et les mots sont si extraordinairement proches et en harmonie incroyable avec les miens. Merci jo.S j’aimerais savoir si c’est possible de quel recueil sont ces vers? merci.

  38. Après une petite recherche sur Internet je m’aperçois que j’ai cité ce poème de Andrée Chedid sur l’oeil Ouvet en 2010 et à mon grand regret sans donner le titre du recueil, (livre de bibliothèque sans doute) car il ne figure pas sur « au coeur du coeur » poèmes choisis que je possède. Je doute que ma mémoire après tant d’années me soit aussi fidèle ! -:)) même égaré au fond de mon subconscient ! Bon dimanche à tous

  39. Son week foyer et déjà lectures et écritures prennent prennent leurs aises…pourtant ce matin le jeune homme autiste avec ses parents à la roche Bernard ses pierres son soleil ses cafés et cet après midi une heure de galette au foyer…
    Quand hier son aller retour Seul ses deux cafés pris Seul sur la place….Mais comme ça c est bon de fort après nos efforts de parents de palpites de coeurs …
    Pour qu il en arrive là…Avec les efforts de pros depuis l enfance…

    C’est Janvier sa grosse vague
    Remplit de belles matières
    Un bel début d année
    Rien est à comparer
    Avec les angoisses en autisme
    Pour un mois de Décembre
    Les oiseaux chantent
    Plus de lumières les jours plus longs
    De vague en vague
    Et comme c est bon la crête des vagues
    Plutôt qu Être mort dans le plongeon épave
    Vivent les meilleurs à les serrer

    Désolée Monique. ..Je n avais pas relu assez loin derrière.
    Comme quoi je n en finis pas de me tromper et c’est bien ça la vie …De le découvrir son chaque instant…De se bouger de se remuer d oser regarder de plein tel que même si les larmes même si c’est rude….Les légers se pointent ensuite. ..Chaque temps pour son tant.

    Annick

  40. Bonjour
    J’ai lu et relu les mots de Monique, ce poème d’Andrée Chédid m’est revenu en mémoire.
    Je n’en connais pas l’origine, je l’avais recopié dans un carnet parce j’aimais ce texte, son contenu, sa mélodie. A sa relecture, je l’aime toujours!
    Bonne journée.

  41. « poussières d’étoiles »*
    une galaxie d’amour
    sans les trous noirs !

    * non sans penser à Hubert Reeves biensûr !

  42. paillettes dans le soleil
    au gré du vent dans les branches
    sèment la bonne humeur
    la pie sur le néflier
    offrande du yin et yang

  43. En sourdine
    Montent les cantiques
    Que se chante l’océan
    Quand il rencontre
    Un continent.
    E. Guillevic (Accorder. Poèmes 1933- 1996)

  44. Merci Jo.S pour cette musique qui s’entend en lisant ces mots de Guillevic poète aux idées fortes il a su mettre un trait d’union entre l’homme et la nature.

  45. qu’est ce qui fait un tout sans faire de trous et parle à tous…et toutes bien sûr
    plus qu’un atout la confiance qui relie et agrège sous forme d’arpèges
    donnant dans l’harmonie , cas par cas, mais pas un en cas pour fine bouche
    dans ces périodes de tensions et d’éclatements savoir rassembler
    serait le bien le plus précieux si l’on veut continuer de faire société

    reprenant valéry c’est sans doute se nier de l’intérieur ou mal se connaitre
    que de croire que nous sommes si différents

    merci aux braves qui tiennent le flambeau bien haut dans la continuité et la fidélité

  46. Étoiles de printemps
    sur la pelouse explosent
    Perles d’améthyste

    Il faut comme l’oiseau qui chante oser les mots et les offrir sans prétention pourvu qu’ils émanent du cœur.

  47. Vaste monde
    à la hauteur
    des rêves
    qui nous entourent.

    Foule sur le sol –
    éparpillement.

    Reflets du temps sur le brise-lames.

  48. Je viens de découvrir un poète et philosophe qui influença Nietzsche, Ralph Waldo Emerson dans un livre de Charles Pépin (la confiance en soi) et devant ces innombrables images de vagues étincelantes d’Ossiane j’ose imaginer tous ces reflets qui ont brillé dans le regard de chacun et je vous donne cette petite phrase d’Emerson :
    « Accrohe ton charriot à une étoile »
    et j’ai envie de dire accrochez vos mots en poésie pour faire rejaillir comme celui de MioModus quelques scintillants poèmes aussi brillants que des étoiles. « La poésie sauvera le monde » écrit Jean-Pierre Siméon.

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