il neige
les souvenirs s’effacent
l’horizon s’éclaire
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it’s snowing
memories fading
horizon brightening
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
il neige
les souvenirs s’effacent
l’horizon s’éclaire
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it’s snowing
memories fading
horizon brightening
« Nous cheminons vers le sens dans la mesure où nous habitons en poète sur la terre »
Hölderlin
l’hiver du silence
dans le blanc, le dénuement
la transcendance
les souvenirs s’en vont
le présent s »ennuie
l’avenir transcendé
Quand on aime en amour
On aime tout simplement
A s étonner d aimer
Un périple au long cours
Passé futur allègent
Le plus lourd du présent
Se baigner le regard
De pluies étincelantes
Qu on en oublie le dur
Ébloui par le beau
Il y les vagues de vie
Chacune sa singulière
Celle qui cingle la face
De vérité féroce
Celle si douce câline
Qui bien être tellement
Les pages d une vie
Son livre destin vécu
A le viser foufou
Rempli d émotions pures
Dans les êtres et les pleurs
Rubans de soi precieux
Une image de vie
Quand son précieux moment
Cela remplit une vie
Quand lest mots se délivrent
Dans une vague si tendre
Cet instant en beautés
Des plus magiques à vivre
Bel temps son chaque jour vers Noël de cette année.
Bonjour amis du pont
Monique a toujours le chic pour trouver une citation particulièrement adaptée
nous ne peinons pas à l’adopter surtout pour un tel chantre
l’écume de ceux qui éructent me rappelle la bave aux lèvres des coureurs de plusieurs lièvre à la fois
la mousse est dans les apparences pour ceux qui la brassent avec dextérité mais pour quel résultat
quand il y a de la neige sur l’écran j’ai toujours peur d’un problème de réception comme autrefois , il fallait alors tourner l’antenne pour trouver le meilleur gain et évacuer les grains
confettis tristes d’avant la fête
ne remue pas la tête
chevauchons de la vague la crête
qu’il est loin qu’il est loin …l’horizon
qui pourrait nous donner
un semblant de raison
quand ce ne sont qu’oraisons
vivant nous nous dressons
le gifle ne fait qu’aviver
la douleur si proche de pamoison
Non ce n’est pas de la poudre aux yeux
les flocons floquent un paysage en loques
pendant ce temps nous battons la breloque
ou plutôt le pavé et cela sans désemparer
la réaction est sans doute une absolue nécessité
quand les inégalités représentent un système odieux
Il neige
Les souvenirs s effacent
L horizon s éclaire ……………Dixit Ossiane
Il neige
Les souvenirs renaissent
Ma petite fille chérie
Il neige
Le présent tellement lourd
Isolement en maternelle
Il neige
L avenir sa marche rude
Quand la grand mère sait
Il neige
Mère avant d être grand mère
D un combat en autisme
Il neige
Quand l handicap une seconde fois
Dans la même famille
Il neige
Les souvenirs offrent leurs regards
L horizon se ferme et aussi s ouvre
Une fin d année
Le temps des fêtes
Pour tellement
Ici c’est calme
Son raplaplat
Les énergies usées
Sans cesse à retrouver
Pourquoi ces sens
Qui n ont pas de sens
La vie toute simple
C’est tellement bon
Parce que parfois les vœux n’ont plus sens, s’abstenir semble être une sagesse mais l’espoir reste une petite offrande d’amour qui fait tant de bien à tous. Alors à Ossiane et à vous tous, de tout cœur, mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année.
Chant de silence
entre mots et flocons
fond de brume
Dessiner sans trembler la ligne d’horizon
Choisir sans douter les mots les plus beaux
Offrir en partage des voeux d’Amour et de Paix.
Bonne Année 2019, à toi Ossiane, aux amis du pont et aux visiteurs
Une autre page s’est ouverte, la deux-mille-dix-neuvième qui ne demande qu’à rencontrer la beauté et l’amour, la fraternité et la solidarité, l’intelligence aussi, puisse-t-elle être un peu teintée de ces couleurs rares. Tu fais partie chère Ossiane de ceux et celles qui apportent cette touche qui embellit le monde. Merci, et belle année créative. Je t’embrasse.
Bonne année à notre capitaine qui tient toujours fermement la barre
et à tous ses hardis moussaillons
un petit texte pour vous toutes et tous
Parlez-moi d’amour, dites moi des choses tendres
Ce n’est pas le vertige
mais bien la tige verte qui vous est offerte
qui exprime en cette occasion
ce que ne peut offrir la raison
quand du cœur sourdent jusqu’à la pâmoison
dans l’âme ainsi ouverte
les plus pures sentences
issues d’une noble essence
et si ce n’est pas dans l’aisance
car les sentiments ne se confient
du moins trouvent ils dans cette expression
qui ne saurait confiner à l’expulsion
une explosion de désir révélé
pourtant il en est qui se méfient
des paroles trop faciles
face aux corps graciles
abandonnez vous un instant
au rêve bien vivant
ce qui peut susciter une aversion
va t il ressusciter la commune passion
alors oui ma dame cette rose est pour vous
pourvu que vous y soyez sensible
et rien dans ce que je dis n’est indicible
je ne vous vois point comme une cible
pas plus qu’un but votre conquête m’est
c’est au plus au point un véritable sommet
une apothéose même qui revêt
maints atours
sans demander de vertu un brevet
alors de grâce acceptez cette rose
en témoignage profond et réel
de mes sentiments sans bornes
qui ainsi votre beauté ornent
Je ne sais de quelle couleur est la rose
mais les mots qui émanent de ce poème
ont un parfum d’amour à ne s’y méprendre
la poésie a cet avantage d’oser les mots
qui atteignent le cœur avec délicatesse
que la belle qui l’aggrée en soit charmée.
agrée
Vos mots sont si délicats, Thierry…Je vous en remercie. ..
Monique tu parles encore fort juste…Et je te cité. .. » que la belle qui lui agrée en soit charmée »
Elle en a de la chance…
Levivre délicatesses
Dans le bon pur d aimer
Cet ancien deux mille dix neuf
Annick
Rigolo mon correcteur vient de ecrire …ancien…
C’est est vrai qu il a quatre jours …2019
Levivre délicatesses
Dans le bon pur d aimer
Cet an deux mille dix neuf
C’est mon correcteur ou mon écran de téléphone brouillé. …Par les baisers de mes petits enfants pour leurs parents avec whatsap…lors de leurs deux jours ici…
la rose est d’argent Monique, donc blanche en héraldique
et l’heureuse élue est mon épouse
nous aurons bientôt trente années d’union
Quel beau présent que ce poème Thierry. Il nous en fallait de 15 jours pour fêter nos 50 ans d’union, la vie en a voulu autrement, la vie parfois comme la rose a des épines qui blessent. J’ai beaucoup aimé votre poème si délicat : que cette rose « d’argent » brille longtemps encore dans vos yeux à tous les deux.
C’est tendre de vous lire Thierry et Monique
Pour moi la rose qui m est offerte se nomme Autisme et sa tige en épines peut faire tellement mal…
Que dans ce combat lourd en couple on fait ce qu on peut on tente d avancer le plus possible en énergies pour l autonomie en progrès de notre fils….Dix ans necessaires de vies séparées pour le gîte pour pas se mourir et rester vivants en cherchant des voies belles ..
Et voilà qu une nouvelle lutte pour apporter le maximum de vie d ouvertures aller chercher les capacités a commencé depuis un an et demi avec notre petite fille….Depuis dix mois sous un toit recommun.
Notre union parfois bancale parfois vidée parfois débordante d’énergies parfois tendre délicate parfois abrupte parfois assommée parfois inespérée . …Sous toutes les formes d’amours. ..La vie décide tellement dans un parcours difficile.
Belle année en amours pour vous.
Annick
merci Monique
je comprends ce que cela puisse susciter en vous des échos
si les pavés étaient jetés de pétales de rose au moyen age
pour le passage des grands et des puissants
l’offrande par un chevalier d’une rose d’argent est une tradition
du fin amor et Hugo de hoffmansthal librettiste de l’opéra de Strauss
« le chevalier à la rose » ne s’y est pas trompé pourtant d’autres préférent
le rouge sang de la rose
je vous embrasse affectueusement et vous remercie encore de votre
présence fréquente sur ce blog qui donne sens et intérêt
merci Annick
votre franchise me désarçonne si souvent
et je chois de mon beau destrier 🙂
mais à tout bien choisir
votre compagnie est des plus agréables
désolés si je me fais rares ces derniers temps
la rumination est parfois nécessaire
pour sublimer les moments pénibles…
A frange de vie
des gouttelettes de givre
glace de l’hiver
renaître au printemps
de l’illusion fait vivre
pétales de fleurs
à l’horizon des jours
Les jours s’egrainent
D’heures volées au temps qui passe
De miettes de vie
A l’horizon d’espérances
D’un crépuscule d’hiver
J aime tes mots Monique
Ils me parlent ce soir de retour de un mercredi après midi avec les petits enfants. …
Ses curiosités en oeil ouvert pour lui
Gommettes pate à modeler livres pour eux
Des jeux et des jeux
Mes éclats de rires qu ils déclenchent
Des purs plaisirs
Même si parfois dur de me relever
On y met la gomme en amour
Et comme elle est douceur tendre
En intérieur profond. ..
Cette caresse Là
Des enfants à aimer
C’est tellement simple
Une enfant à accompagner
Plus et encore plus
Comme ça mine de rien
Mais comme c est épuisant
De longs temps de repos essentiels
Grands intenses pour envisager
D aimer encore se depasser
Pour offrir le goût de la vie
A mes deux petits enfants
« qui logera nos rêve sous les paupières des étoiles » . L.S Senghor
J’égrène mes jours
comme une âme naufragée
ma désespérance
dans cette comédie
orchestrée sans appel
Chaque jour qui passe
est un cadeau de la vie
de pleine conscience
fait de chance et de raison
je me dois de l’apprécier
L’amour, la beauté
Souverains inégalables
tenants de l’espoir,
ils volent à notre secours
vers un demain plus serein.
« Quelle plate bêtise de toujours vanter le mensonge et de dire: la poésie vit d’illusions: comme si la désillusion n’était pas cent fois plus poétique par elle-même! Ce sont du reste deux mots d’une riche ineptie. » Flaubet
Flaubert
parce qu’il manque sans doute un petit rayon de soleil dans mon ciel gris……
Parfum étrange de poésie
dans les embruns d’une tempête
qui réitère sans cesse ses vagues
chargées d’écumes putrescibles
nuages qui passent et repassent
déposant sur nos visages
les brumes sombres du chagrin
les yeux emperlés de larmes
Parfum étrange de poésie
au goût amer des mots
au goût âpre de la vie.
C’est bon
De sortir de ses chagrins
De vivre sa vague de vie
De serrer les beautés
De laisser glisser le plus lourd
De picorer son petit chemin
De se laisser emporter le nez
De réchauffer chaque instant
C’est bon de bon
C’eston bon de bon de bon
D aimer le vivre
Son temps compté
La vague s écrase
Si doux roulis
Offre du ciel bleu
Amour eux de vie
Tais toi vague de tristesses
Quand un jour ses cumuls
On repousse tout chagrin
Et cueille à foison les meilleurs
Épuisée encore ce soir
Ma petite fille chérie
Ton TE D qui te fait toi
Ne me fait plus souffrir
Mon coeur est pour ton frère
Comme pour toi ma chérie
Sans impossibles espoirs
Juste ma main dans la tienne
D une main c est pour toi
Mon autre pour ton petit frère
Faudrait pas rajouter
D autres difficultés
C’ en est bien trop déjà
Lassitude va t en
Demain c’est ma journée
Avant soirée nuit petit matin
A les vivre en autisme
Avant de vous retrouver
Mes tendres petits chéris
Mercredi après midi
Tard sa fin de soirée
….comme une explosion
elle vous prend pleine figure
la vague à l’âme
tout ruisselle et dégouline
dans un roulis incessant
avant que ne se calme cette fureur venue des entrailles à l’aurore d’une accalmie…
Aux veines de l’océan
Je livre ma mélancolie
Les flots me répondent
Sur une mélodie infinie…
Un océan de larmes
quand la tristesse fige
les étincelles de vie
sitôt éteintes.
Au large le blues
Poignées de larmes au vent
nuages d’amertume
dans la tempête et le froid
se fondent à l’horizon
comme un bateau ivre à la crête des vagues, ainsi vont les peines chahutées par le temps…
ce n’est pas un bateau en détresse, c’est un bateau qui danse à la crête des vagues sur la mélodie de MioModus, dans les étincelles de vie de Jo.S….parce que lorsque les mots sont à la couleur du temps, il est peut-être bon de leur redonner un peu d’éclat…
« Il suffit de quelques lignes souveraines et modestes, et le ciel change de couleur il y a comme un parfum de résurrection qui réveille le sens et apaise le cœur. Les mots vont bien au-delà d’eux-mêmes, et leurs échos nourrissent l’esprit qui était en proie aux longs ennuis, et qui s’éveille enfin donnant les images salvatrices. »
J.P. SIMEON dans la poésie sauvera le monde.
C’est très bon les mots de Simeon que tu partages, Monique. Les mots c est quelque chose et c’est d autant plus précieux quand les maux de la vie.
Merci Miomodus Jo.S pour vos écrits.
La vague sa submerge
Alors l envol se vit
Je ne peux tout retenir
de ce flot de mots qui s’envolent
et se noient dans mes souvenirs
ils s’engouffrent dans les vagues
s’engloutissent et se perdent
adieu les mots, adieu
jamais je ne retrouverai
ni le chant, ni le sens puissant
qui m’avaient tant émerveillés
tout va trop vite, tout fout le camp…
on ne retient rien… tout passe…
et pourtant parfois juste un mot
égaré, retrouvé, un miraculé !
rallume la flamme du passé.
Merci Monique, de partager les mots de J.P. Simeon.
« Je m’égarais parfois
Dans l’écume des images
Je me noyais parfois
Dans le grouillement des mots.
Me redressais parfois
Au levain d’une parole
Et renaissais parfois
A la flamme d’un seul mot. »
Andrée Chédid
Je vous lis jo.S…
En lisant et relisant je trouvais tes mots si forts, Monique. …
Coquine de tes oublis de préciser
Merci pour les mots partagés jo. S
Merci de m apprendre je n ai pas et plus l énergie pour lire des écrivains aussi précieux. Ma vie pas choisie si pleine
Bel week
Annick
Je te rassure Annick il n’y a aucun oubli de ma part mes mots m’appartiennent totalement et vous n’imaginez pas mon bonheur ce matin en lisant ce poème d’Andrée Chédid dont les pensées et les mots sont si extraordinairement proches et en harmonie incroyable avec les miens. Merci jo.S j’aimerais savoir si c’est possible de quel recueil sont ces vers? merci.
Après une petite recherche sur Internet je m’aperçois que j’ai cité ce poème de Andrée Chedid sur l’oeil Ouvet en 2010 et à mon grand regret sans donner le titre du recueil, (livre de bibliothèque sans doute) car il ne figure pas sur « au coeur du coeur » poèmes choisis que je possède. Je doute que ma mémoire après tant d’années me soit aussi fidèle ! -:)) même égaré au fond de mon subconscient ! Bon dimanche à tous
Son week foyer et déjà lectures et écritures prennent prennent leurs aises…pourtant ce matin le jeune homme autiste avec ses parents à la roche Bernard ses pierres son soleil ses cafés et cet après midi une heure de galette au foyer…
Quand hier son aller retour Seul ses deux cafés pris Seul sur la place….Mais comme ça c est bon de fort après nos efforts de parents de palpites de coeurs …
Pour qu il en arrive là…Avec les efforts de pros depuis l enfance…
C’est Janvier sa grosse vague
Remplit de belles matières
Un bel début d année
Rien est à comparer
Avec les angoisses en autisme
Pour un mois de Décembre
Les oiseaux chantent
Plus de lumières les jours plus longs
De vague en vague
Et comme c est bon la crête des vagues
Plutôt qu Être mort dans le plongeon épave
Vivent les meilleurs à les serrer
Désolée Monique. ..Je n avais pas relu assez loin derrière.
Comme quoi je n en finis pas de me tromper et c’est bien ça la vie …De le découvrir son chaque instant…De se bouger de se remuer d oser regarder de plein tel que même si les larmes même si c’est rude….Les légers se pointent ensuite. ..Chaque temps pour son tant.
Annick
Bonjour
J’ai lu et relu les mots de Monique, ce poème d’Andrée Chédid m’est revenu en mémoire.
Je n’en connais pas l’origine, je l’avais recopié dans un carnet parce j’aimais ce texte, son contenu, sa mélodie. A sa relecture, je l’aime toujours!
Bonne journée.
sous le vent
et puis tout s’est mis en mouvement
flocons d’écume
« poussières d’étoiles »*
une galaxie d’amour
sans les trous noirs !
* non sans penser à Hubert Reeves biensûr !
ecus me rendent heureux
comme autant de piécette d’argent
doublons ou maravédis
paillettes dans le soleil
au gré du vent dans les branches
sèment la bonne humeur
la pie sur le néflier
offrande du yin et yang
idées noires sous le soleil
se fondent dans la lumière
un panache en camaïeu
C’est joli une vague
Qui éclabousse d étoiles
Ses petits yeux miragent
Ô temps la voir sa belle
La vie ses petits miracles
Dans le creux de ses mains
Une vague sa douche
Qui nettoie le coeur lourd
Et donne des ailes au temps
En sourdine
Montent les cantiques
Que se chante l’océan
Quand il rencontre
Un continent.
E. Guillevic (Accorder. Poèmes 1933- 1996)
Merci Jo.S pour cette musique qui s’entend en lisant ces mots de Guillevic poète aux idées fortes il a su mettre un trait d’union entre l’homme et la nature.
qu’est ce qui fait un tout sans faire de trous et parle à tous…et toutes bien sûr
plus qu’un atout la confiance qui relie et agrège sous forme d’arpèges
donnant dans l’harmonie , cas par cas, mais pas un en cas pour fine bouche
dans ces périodes de tensions et d’éclatements savoir rassembler
serait le bien le plus précieux si l’on veut continuer de faire société
reprenant valéry c’est sans doute se nier de l’intérieur ou mal se connaitre
que de croire que nous sommes si différents
merci aux braves qui tiennent le flambeau bien haut dans la continuité et la fidélité
Je suis une épave
Se dit mer
J en ai trop remué
Ma vie
Étoiles de printemps
sur la pelouse explosent
Perles d’améthyste
Il faut comme l’oiseau qui chante oser les mots et les offrir sans prétention pourvu qu’ils émanent du cœur.
Vaste monde
à la hauteur
des rêves
qui nous entourent.
Foule sur le sol –
éparpillement.
Reflets du temps sur le brise-lames.
Je viens de découvrir un poète et philosophe qui influença Nietzsche, Ralph Waldo Emerson dans un livre de Charles Pépin (la confiance en soi) et devant ces innombrables images de vagues étincelantes d’Ossiane j’ose imaginer tous ces reflets qui ont brillé dans le regard de chacun et je vous donne cette petite phrase d’Emerson :
« Accrohe ton charriot à une étoile »
et j’ai envie de dire accrochez vos mots en poésie pour faire rejaillir comme celui de MioModus quelques scintillants poèmes aussi brillants que des étoiles. « La poésie sauvera le monde » écrit Jean-Pierre Siméon.
Lire les sens
C’est donner naissance