Ecumes 9 / Foam 9

ÉCUMES 9 / FOAM 9

dauphin du bleu

cabré sur la vague

tes doux embruns

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dolphin of blue

reared on the wave

your soft spray

22 réflexions sur « Ecumes 9 / Foam 9 »

  1. La forme des nuages laisse notre imaginaire peupler le ciel c’est bien connu mais toi Ossiane c’est en regardant le faste et la beauté des vagues que tu dessines pour nous à la surface des eaux tout un monde aquatique fabuleux, tu es merveilleuse !

    Quelle force, quelle puissance
    celui qui fend les flots
    dans le fracas des vagues
    et laisse à la surface des eaux
    des milliards d’étoiles

    Seule Ossiane a la réponse, regardez bien cette photo elle est faite d’eau et de rêve et c’est pourquoi nous pouvons y voir un superbe dauphin !

  2. C’est est très joli

    De mots
    De vue

    Oui j y vois un dauphin

    Coucou ossiane un pas en avant un pas en arrière. ..

    Coucou Monique
    Je pense à toi en ces temps de Noël quand quelqu’un(e) on y pense si fort on aimerait le faire rentrer boire un thé avec les beautés en lumières du petit séjour devant le bois qui s attendrit.
    Quels six mois si pleins avec peu de souffles.
    Le temps retrouve plus de zen de clartés des espoirs après de gros désespoirs dans un * on verra bien vers quels printemps l hiver il mène.

  3. Oui Annick tu es gentille, et c’est un peu de chaleur qui fait du bien avec ou sans thé :)) quand le temps qui passe laisse plus encore de vide et de manque dans le cœur et qu’on n’y peut rien changer. Alors il nous faut regarder ce qu’il y a de beau, comme le chantait Jacques Brel. et continuer à vivre avec sa peine en cherchant la joie qui aide à vivre. je pense à toi également Annick merci.

  4. Elle surgit sans cesse
    tout au fond de notre cœur
    la vague à l’âme

    les étoiles sur sa crête
    sont de virtuelles étincelles

  5. Chevelure au vent
    indomptable et sauvage
    son cri me déchire le coeur.

    ———————————–

    —bonjour à tous..rare son mes passages..mais un plaisir de flanner et de vous lire..

    un havre de beauté et paix…des nom, prénom connus ou inconnu. une pensée à bourrache

    et toujours les fidèles monique thierry Annick..jo.s jacline fred MioModus Maria-D Arlette A

    regard MTO et tant d’autres encore.

    et Ossiane sans qui cette aventure inoubliable n’existerai pas. le monde est beau parfois…et si merveilleusement représenté ici …

    toujours un immense plaisir

  6. Bonjour Marc. Merci de votre commentaire si juste et bienveillant.
    Oui nos plumes sont différentes mais nous partageons tous le sentiment qu’ici
    le monde est beau, que nos yeux sont dans le merveilleux et que l’on y respire
    un air tellement léger et salutaire…

  7. Merci pour vos processus Marc et Jacline et chacun que Marc cite et tous les autres leurs plumes ici…
    Toutes ces années en amours…
    Merci Ossiane pour cet ouvrage si plein de matières de vie de chacun…

    Je vous embrasse

  8. J’aime quand ainsi reviennent sur la crête d’une vague les mots des copains de bord que l’on n’oublie pas pour avoir partagé ensemble nombre de poèmes et d’échanges, bonjour Marc merci pour cette petite escale parmi nous.

    dans un cri d’écume
    sur le bleu de l’océan
    la vague fulminante

  9. Merci Marc pour ce message…

    Ossiane nous invite à exercer notre imaginaire dans l’écume des vagues..
    Y voir un hippocampe, un dauphin… une licorne…
    Comme inventer des histoires, partir dans le monde des contes..
    Un pause bienfaisante dans une grisaille ambiante .

  10. de vagues en vagues
    les mots s’enroulent se déroulent
    l’écume du temps

    mille particules de rêve
    disparaissent dans les embruns

  11. Sur un toi…une elle..un être…épouser le temps et ses battements..penser à l’année des passés..se glisser dans l’avenir frémissant..avec ses sourires..ses promesses et ses mots apaisants…Poser un fil d’or entre deux hêtres..pour joindre le passé et le présent..suivre décembre et les couleurs de l’instant..attendre l’année qui va naître..Le fil tangue le cœur battant..Sur les feuilles qu’on caresse..s’emmêlent le soleil..la douceur..les lettres..le vent..et les vœux du nouvel an..

  12. Vous retrouver Pierre.b dans ces jolis mots chargés d’espoir et de lumière, en petites touches sensibles quelle belle surprise, quel agréable cadeau.

  13. Merci de ce retour et de ne pas avoir oublié les bons moments que tu as passés ici, Marc. Très touchée que cette aventure poétique t’ait apporté de bonnes choses dans ta vie ♥

  14. Joie de retrouver les petits points de suspension de Pierre. b qui viennent nous bercer pour terminer l’année en douceur. Merci pour ce texte riche de tendresse et de bienfaisante légèreté. Tu nous redonnes ESPOIR Pierre, merci ♥

  15. Et que dire de Monique, Annick, Thierry, Jacline, Jos, Fred qui tiennent toujours la barre en beautés après tout ce temps et par tous les temps ? Que vous êtes héroïques, formidables et que vous avez un coeur énorme de générosité et d’intelligence. Vous êtes toutes et tous de belles personnes qui diffusez du positif autour de vous, douce année à vous !

  16. Formidables retrouvailles qui n’épuisent pas le sujet
    même contrits et bousculés par la vague traitresse
    nous avons bien basculé dans un nouveau cycle
    et tant de souvenirs reviennent des échanges
    que c’est grande joie de tous vous lire
    à l’heure des étrennes
    voici bien remplie notre tirelire
    et c’est vrai que si certains ce sont fait rares
    leur présence n’en est que plus appréciable
    allez vous êtes tous formidables
    et ce n’est que bonheur cet instant ci

  17. La vague roulait gros comme un chagrin
    et on ne parlait plus du tout de crachin
    on n’aurait pas vu ici nageoires de requin
    il s’était égayé partout le menu fretin
    mais à s’y frotter sans être à Etretat
    évitant tous les rochers même en chocolat
    j’ai pensé aussi à certains mauvais pas
    dont on ne se tire pas comme cela

    oui le vent forcit et la mer du coup grossit
    les hauts fonds restent des pièges
    et pas de Poséidon le siège
    une fois bu la coupe d’amertume
    ça y est c’est dit le large je hume
    attendant la corne de brume

    dans ces parages inhospitaliers
    toujours il faut aller par paliers
    et montrer aux éléments
    qui est le tôlier
    quitte à froisser

    pourtant devant le déchainement des éléments
    on ne peut que s’incliner comme la proue dans les creux

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