Ecumes 7 / Foam 7

ÉCUMES 7 / FOAM 7

fleur de sel

crêtes d’étincelles

murmure inlassable

• • • •

flower of salt

crests of sparks

tireless murmur

16 réflexions sur « Ecumes 7 / Foam 7 »

  1. Avant que la vague soit vague, elle est simple ondulation poussée par les vents, elle surgit soudain haute, grande et puissante avant de venir s’écraser avec fracas ; elle semble être éphémère vouée à mourir sur les rochers, mais elle renait continuellement plus belle encore, toujours et toujours, élément infatigable de l’océan, émergence des profondeurs, force insoupçonnable sans cesse renouvelée. C’est dans les eaux noires, noir comme la nuit que des milliers d’étoiles pourtant sans cesse rejaillissent. Combien voudraient pouvoir avoir la force d’une vague afin de déchirer le voile sombre de nos jours et faire renaître sur nos visages le sourire et la joie enfouis au plus profond de nous-mêmes.
    ___

    En milliers de grains
    sur les vagues virevoltent
    les étoiles d’eau
    d’explosion en explosion
    une beauté scintillante
    ___

    À tous une bonne semaine même si bonnets et gants sont de rigueur !

  2. Ils sont beaux tes mots, Monique

    La vie ses vagues telles
    Parfois il faut un surf
    Parfois masque de plongée
    Parfois un sous marin
    Ou encore l’avion
    Ou encore ses perles joies
    Ou encore larmes rudes
    La vie ses vagues telles

  3. Pouvoir Véronique se laisser enivrer d’une joie pure et vraie, quelle belle espérance , c’est sans doute Annick savoir surfer sur la bonne vague….

    Effleurer la vie
    boire le parfum de l’iode
    jusqu’à l’ivresse

  4. Mon petit chéri tes yeux tes mots
    Les arreuh et tes doigts qui cherchent à toucher
    Toi ton franc sourire qui s’ouvre
    Tes mots dits plus forts la maitresse dit que tu as parlé

    Pour la première fois

    La nutritionniste une psychologue ce matin
    Pour la séparation pour le jeune homme autiste
    Et elle préfère le mot changement à celui de séparation

    Cette maison près de la Brière
    Pour le Printemps
    La vie qui allège comme c’est bon

    Reste pourtant après la remontée dans le Nord
    Un deuil qui laisse encore et plus encore
    De la méchanceté rien que çà c’est déjà pas rien
    C’est trop de trop, en plus du décès

    A repartir vers Nantes le gaz allumé sous les endives
    Une chance le destin un flash de se poser la question
    Mais ai je éteint ensuite?

    Il était bien ouvert allumé le brûleur
    Rappel de l’explosion avec l’huile de la friteuse

    Il y a dix ans

    Nouvelle revie encore
    Sans explosion cette fois
    Rien que le goût de la vie
    Vivre *levivre ses bons
    Tant pis pour les méchants
    Qui capturent les joyeux

    Sans vagues à l’âme
    Juste de la vie

  5. On a surfe la vie
    Deux fois en une quinzaine
    En danses en amitiés
    Comme cela fait du bien
    Le corps qui sen envole
    Patine son léger
    Quand il suit la munique
    Ses sens palpitent le coeur
    D’ondes belles et bonnes
    La musique sa vie
    Quelle belle partiton
    Quand on se vit dedans

  6. Lorsque la beauté est ressentie de tout son corps, il y a métamorphose… vague sur l’océan, montagne dans la brume, neige sur les sommets, forêt en automne, nuages dans le ciel, sourire d’un enfant, œuvre d’art.. quelle qu’elle soit, l’âme prend le relai …

    Dans l’intensité
    la beauté s’éthérise
    jusqu’à l’anesthésie
    dans le confort d’un ailleurs
    l’âme se laisse emporter

    Bon et beau week-end en espérant à tous ces moments de grâce à portée du regard, à portée du cœur qu’importe la couleur de votre ciel.

  7. Bel week Monique

    Et comme je me relis je rectifie. ..

    Le corps qui s en envole
    Patine son léger
    Quand il suit la musique
    Mais comme c est joli
    Le glouglou d un enfant
    Ses petits yeux tous ronds
    Au dessus de la tétine
    Son lait doux de la vie

  8. De poussières d’eau
    la vague éclate et se meurt
    dans l’intemporel
    avant de n’être plus rien
    et pourtant inoubliable

  9. Vague de mes passions
    Donne à mon coeur ses forces
    Par chaque perle de vie
    Éclabousse moi encore
    De tes vues leurs jolies
    Ouvre moi le regard
    Pour en aider des autres
    A regarder profond
    Plus loin que le bout du nez
    Une lanterne en dedans
    Qui permet de voir un peu
    C est déjà plus que rien
    On ne peut pas tout voir

  10. quand la vague dévastatrice
    n’a plus cet effet spectaculaire
    d’une beauté grandiose
    que l’océan vomit son écume
    sur les plages désertes et glacées
    il y a comme un vent de terreur
    où la peur, l’effroi et la crainte
    anéantissent l’effet contemplateur
    qu’ont le humains devant la mer
    la nature a elle aussi ses revers
    ses coups de gueule et ses colères

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *