dauphin du bleu
cabré sur la vague
tes doux embruns
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dolphin of blue
reared on the wave
your soft spray
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
dauphin du bleu
cabré sur la vague
tes doux embruns
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dolphin of blue
reared on the wave
your soft spray
La forme des nuages laisse notre imaginaire peupler le ciel c’est bien connu mais toi Ossiane c’est en regardant le faste et la beauté des vagues que tu dessines pour nous à la surface des eaux tout un monde aquatique fabuleux, tu es merveilleuse !
Quelle force, quelle puissance
celui qui fend les flots
dans le fracas des vagues
et laisse à la surface des eaux
des milliards d’étoiles
Seule Ossiane a la réponse, regardez bien cette photo elle est faite d’eau et de rêve et c’est pourquoi nous pouvons y voir un superbe dauphin !
C’est est très joli
De mots
De vue
Oui j y vois un dauphin
Coucou ossiane un pas en avant un pas en arrière. ..
Coucou Monique
Je pense à toi en ces temps de Noël quand quelqu’un(e) on y pense si fort on aimerait le faire rentrer boire un thé avec les beautés en lumières du petit séjour devant le bois qui s attendrit.
Quels six mois si pleins avec peu de souffles.
Le temps retrouve plus de zen de clartés des espoirs après de gros désespoirs dans un * on verra bien vers quels printemps l hiver il mène.
Oui Annick tu es gentille, et c’est un peu de chaleur qui fait du bien avec ou sans thé :)) quand le temps qui passe laisse plus encore de vide et de manque dans le cœur et qu’on n’y peut rien changer. Alors il nous faut regarder ce qu’il y a de beau, comme le chantait Jacques Brel. et continuer à vivre avec sa peine en cherchant la joie qui aide à vivre. je pense à toi également Annick merci.
sur les fonds turquoise
l’écume rêveuse
effleure un dauphin
dans le sillage étonnant
des envolées moussent
a t on la mer aux trousses
plongé dans le strass
l’hippocampe se cabre
sous les doux reflets
–-
éclat dans l’ivresse
au cœur d’un monde aquatique
la beauté s’inscrit
Elle surgit sans cesse
tout au fond de notre cœur
la vague à l’âme
les étoiles sur sa crête
sont de virtuelles étincelles
Chevelure au vent
indomptable et sauvage
son cri me déchire le coeur.
———————————–
—bonjour à tous..rare son mes passages..mais un plaisir de flanner et de vous lire..
un havre de beauté et paix…des nom, prénom connus ou inconnu. une pensée à bourrache
et toujours les fidèles monique thierry Annick..jo.s jacline fred MioModus Maria-D Arlette A
regard MTO et tant d’autres encore.
et Ossiane sans qui cette aventure inoubliable n’existerai pas. le monde est beau parfois…et si merveilleusement représenté ici …
toujours un immense plaisir
Bonjour Marc. Merci de votre commentaire si juste et bienveillant.
Oui nos plumes sont différentes mais nous partageons tous le sentiment qu’ici
le monde est beau, que nos yeux sont dans le merveilleux et que l’on y respire
un air tellement léger et salutaire…
Merci pour vos processus Marc et Jacline et chacun que Marc cite et tous les autres leurs plumes ici…
Toutes ces années en amours…
Merci Ossiane pour cet ouvrage si plein de matières de vie de chacun…
Je vous embrasse
Il m agace ce correcteur rapide…
Lire…Merci pour vos présences. ..
J’aime quand ainsi reviennent sur la crête d’une vague les mots des copains de bord que l’on n’oublie pas pour avoir partagé ensemble nombre de poèmes et d’échanges, bonjour Marc merci pour cette petite escale parmi nous.
dans un cri d’écume
sur le bleu de l’océan
la vague fulminante
Merci Marc pour ce message…
Ossiane nous invite à exercer notre imaginaire dans l’écume des vagues..
Y voir un hippocampe, un dauphin… une licorne…
Comme inventer des histoires, partir dans le monde des contes..
Un pause bienfaisante dans une grisaille ambiante .
de vagues en vagues
les mots s’enroulent se déroulent
l’écume du temps
mille particules de rêve
disparaissent dans les embruns
Sur un toi…une elle..un être…épouser le temps et ses battements..penser à l’année des passés..se glisser dans l’avenir frémissant..avec ses sourires..ses promesses et ses mots apaisants…Poser un fil d’or entre deux hêtres..pour joindre le passé et le présent..suivre décembre et les couleurs de l’instant..attendre l’année qui va naître..Le fil tangue le cœur battant..Sur les feuilles qu’on caresse..s’emmêlent le soleil..la douceur..les lettres..le vent..et les vœux du nouvel an..
Vous retrouver Pierre.b dans ces jolis mots chargés d’espoir et de lumière, en petites touches sensibles quelle belle surprise, quel agréable cadeau.
Merci de ce retour et de ne pas avoir oublié les bons moments que tu as passés ici, Marc. Très touchée que cette aventure poétique t’ait apporté de bonnes choses dans ta vie ♥
Joie de retrouver les petits points de suspension de Pierre. b qui viennent nous bercer pour terminer l’année en douceur. Merci pour ce texte riche de tendresse et de bienfaisante légèreté. Tu nous redonnes ESPOIR Pierre, merci ♥
Et que dire de Monique, Annick, Thierry, Jacline, Jos, Fred qui tiennent toujours la barre en beautés après tout ce temps et par tous les temps ? Que vous êtes héroïques, formidables et que vous avez un coeur énorme de générosité et d’intelligence. Vous êtes toutes et tous de belles personnes qui diffusez du positif autour de vous, douce année à vous !
Formidables retrouvailles qui n’épuisent pas le sujet
même contrits et bousculés par la vague traitresse
nous avons bien basculé dans un nouveau cycle
et tant de souvenirs reviennent des échanges
que c’est grande joie de tous vous lire
à l’heure des étrennes
voici bien remplie notre tirelire
et c’est vrai que si certains ce sont fait rares
leur présence n’en est que plus appréciable
allez vous êtes tous formidables
et ce n’est que bonheur cet instant ci
La vague roulait gros comme un chagrin
et on ne parlait plus du tout de crachin
on n’aurait pas vu ici nageoires de requin
il s’était égayé partout le menu fretin
mais à s’y frotter sans être à Etretat
évitant tous les rochers même en chocolat
j’ai pensé aussi à certains mauvais pas
dont on ne se tire pas comme cela
oui le vent forcit et la mer du coup grossit
les hauts fonds restent des pièges
et pas de Poséidon le siège
une fois bu la coupe d’amertume
ça y est c’est dit le large je hume
attendant la corne de brume
dans ces parages inhospitaliers
toujours il faut aller par paliers
et montrer aux éléments
qui est le tôlier
quitte à froisser
pourtant devant le déchainement des éléments
on ne peut que s’incliner comme la proue dans les creux