Embouchure / Mouth

Embouchure / Mouth

le bras tendu

le signe du delta

à la rencontre

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arm outstretched

sign of the delta

confluence

47 réflexions sur « Embouchure / Mouth »

  1. Que tes mots font plaisir Ossiane et d’autant plus ce soir où nous restons dans le domaine du merveilleux, de l’extraordinaire , nous sommes à l’embouchure d’un immense progrès qui nous conduira vers un savoir inimaginable et qui sait, je l’espère nous fera avancer de façon monumentale sur le chemin de la connaissance et de nos origines. Oui j’ai toujours prôné la beauté elle est là dans une toute autre dimension ce n’est pas du rêve, ni quelque autre légende mais une réalité qui m’éblouit.

  2. Comme c’est joli
    Cela frissonne de
    *levivre
    La vie
    Comme c’est grand
    C’est délicat
    Une main qui se tend
    Une autre qui accepte

    Demain
    Comme c’est grand
    Ses miracles de *levivre
    Précieux si rare si fort

  3. Dépasser le delta des alluvions
    Et par cette embouchure béante
    Se jeter vers cet horizon infini
    Drainant derrière soi les vestiges du passé
    S’ouvrir à l’immensité offerte
    La peur au ventre de marées en marées
    A contre-courant trop souvent
    Laissant sur son passage éparpillés
    Les galets ramassés sur le chemin de la vie
    Petits cailloux d’un petit poucet égaré
    Creusant son sillon entre des berges instables
    Mêlant ses eaux douces parfois amères
    Aux eaux profondes du grand large
    Une aventure à risque pour une rencontre avec l’inconnu
    Afin d’ atteindre qui sait quoi parmi nos rêves chimériques
    Ou bien connaître tout simplement le bonheur d’être libre.

  4. Joli Jo.S « Se fondre dans l’immensité  »

    J’écrivais ce matin sur un blog ami parlant de la nature :

    Se fondre tout en elle
    Jusqu’à s’y confondre
    S’immerger de ses couleurs
    Et s’y sentir bien

    Il y a comme une communion qui va au-delà du regard, un ressenti jusqu’au plus profond de soi face à la beauté
    « …la beauté nous bouleverse. Il est des beautés pleines d’une lumineuse douceur qui, soudain, par-dessus ténèbres et souffrances, nous remuent les entrailles….nous happent…. » F. Cheng

  5. quelle est cette main qui vient nourrir cette bouche
    et dans le flot reconstitué en fait une pierre de touche
    si tout n’est pas entrainé par la force du courant
    au moins reste t il dans le lit les plus gros des galets
    mais la vallée alluviale alimente de plus que des illusions
    et ce déversent aussi alors le plus gros des passions
    diluées mais pas noyées elle viendront grossir la réserve
    là où tout s’accumule dans ce qui n’est pas encore un cloaque

  6. yahhh, ce fut une journée si pleine bien trop mais grasse d’infos, car si n’aime pas aller à l’après midi dansante, mon fils a bien voulu aller préparer la salle, et puis avec son pique nique, partager à table avec d’autres, même si souvent isolé dans le sas d accueil, ainsi fait…

    BP DE RICHESSES A ENTENDRE, yahh, comme on eu l’incommensurable à
    levivre dans le Nord, en structure au top. COMME DES PARENTS ET LEURS ENFANTS ONT SOUFFERT ET SOUFFRENT DE MAUVAISES PRISES EN CHARGE, ici!!!!

    ALORS je vais vs lire entendre que ce soir…je vous embrasse! même si ko… MAIS BIEN EN BIEN ËTRE D’AVOIR FAIT …

    CAR EN MON COEUR JE SOUHAITE TANT AIDER LES PERSONNES EN SITUATIONS DE HANDICAP, et atteindre l’Etat sa puissance en argent.

    C’est un rêve, mais j aime rêver, et rendre le rêve réel…

    je vs lis..

  7. comme c’est joli, Monque, yahhhh!

    comme j’aime vous lire,

    Le monde est plus que fou
    Il est méchant et abandonne
    Ceux les fragiles les besoins d’aides
    Alors si une main deux plusieurs
    Cela donne des forces vives
    *Y croire y croire encore
    *levivrelevivrebel
    Comme c’est goûteux de vie

    je vous embrasse, mon île, mon il au plus près.

  8. …la beauté nous bouleverse. Il est des beautés pleines d’une lumineuse douceur, qui soudain, par dessus ténèbres et souffrances, nous remuent les entrailles…nous happent… F Cheng

    je vous cite F.Cheng, et remercie Monique de vous citer…

  9. comme c’est délicat, MioModus,
    et même si vous le savez déjà que j’aime votre sensibilité,
    je vous le dis encore…
    ma plume aime se frissonner ses duvets contre vos mots…

    Du bleu du vert
    De si doux de bel tendre
    Le moussu calme
    Silence ses frissons
    Les ondes Là
    Palpitent

  10. Hola ! Bonjour Françoise contente de te lire

    S’en aller vers le grand large
    Prendre cette voie qui s’ouvre
    Pour aller n’importe où
    Seule à la dérive avec mes rêves
    Vivre au soleil, à la lumière
    Cueillir sur chaque vague
    Une poignée de rires
    Voir à l’horizon s’ouvrir
    Mille promesses, mille espoirs
    Sortir de la pénombre
    De cette voie où je m’enlise
    Glisser vers cette immensité
    Goûter la saveur du bonheur
    Même si l’horizon doit être
    A quelques petites encablures
    Si c’est là que je suis bien
    J’avance et glisse en toute sérénité
    Vers ce pays de merveille
    Pourvu que j’aie le goût de rire
    Et boire à la beauté jusqu’à plus soif
    Promeneur sans répit en bonheur investi
    Toujours poussée vers de nouveaux attraits
    Avec la force de poursuivre, la force d’être
    Et le désir constant de belles découvertes
    De belles et chaleureuses rencontres.

  11. Ils coulent de source
    A l’embouchure des eaux
    Les mots de l’amour
    Et drainent sur leur passage
    Toute la beauté du monde

  12. A la presqu’île des sens
    Le silence caresse les dunes
    La vie demeure, la nuit de lune
    Et deux êtres dansent, dansent…

  13. Coule coule
    La vie s’écoule
    Du fleuve de la vie
    La Vie

    De la Vie
    Une rencontre
    Cool coule
    La Vie s’écoule

    Toute vie est rencontre
    Vivre au grand air au grand jour
    S’efface le rêve
    Vibre l’ouvert

    Chemin de vie
    Roucoulade des petits cailloux
    A ciel découvert
    Inspiration à vivre l’ouvert

    S’étendre du bleu au vert
    Du fond à la forme
    Ressentir et tendre vers
    Le rien attendre

    Entre voir
    Juste l’instant
    Chemin de vie
    Roucoule la Vie

  14. le bleu ne noie pas le vert
    le bleu libère ce qui n’est pas hiver
    le bleu conduit et déverse soir et matin
    le bleu n’éconduit que celui qui fait le malin
    le bleu fixe et pourtant déroule son ruban
    le bleu tressaille et montre les bancs
    le bleu fige et vire au blanc

  15. Le delta parait plus lumineux
    sans attirer le mauvais oeil
    le delta ne plane pas mais s’étale
    que l’eau paresse alanguie c’est une chose
    mais que l’eau paraisse rajeunie et vivifiante
    s’en est bien une autre

  16. Petite son humble reflet doux
    Elle avance sa goutte
    Dans l’océan si grand
    Et sa larme de joie
    Habitée de tellement
    Déborde en raz de marée
    Tendre ses roucoulis
    Ses pépilles d’amour
    La vivent sa précieuse
    La petite bulle d’elle
    Et certains tremblent devant
    Elle est déterminée
    Par son Humanité
    *Et les deux êtres dansent, dansent…

    * dixit MioModus

    heu? m’suis permise de vous piquer une phrase, MioModus,

  17. Le verdoiement est une conséquence des tourments
    qui agitent le mélange des eaux et pendant que fend
    le courant au milieu des sphaignes et autres mousses
    on n’imagine pas qui pourrait se lancer à nos trousse

  18. Si chatoiement des eaux il y a c’est que les miroirs
    loins d’être fixes bougent en tous sens et balaient
    avant même que de se diluer dans l’immensité
    apportent leur lot d’éclats au travers de la diversité
    et point besoin pour trier tout cela de claies
    seul suffit le sens qui courant nous mène à l’abreuvoir

  19. Quand le petit ruisseau
    Devient rivière
    Rempli de rencontres riches
    Il rejoint l’océan
    Sa bouteille à la mer

  20. Influence et congruence
    les bras tendent les mains
    prolongent les lendemains
    et le delta est fait de doigts
    qui palmés ou ramifiés dispersent
    la multiplicité des influences
    ce ne sont pas des sons qui percent
    mais bien dans ces boyaux étroits
    où s’accélèrent et s’érodent
    les berges qui hébergent
    toute une vie grouillante
    dans les remous bouillonnants
    qui n’effraie que les impatients

  21. L’œil ravit se frissonne
    Il voit de la lumière
    Une brasse encore une
    Ferme les yeux un temps
    Pour *levivre en tout Là
    Ce merveilleux instant

  22. La rencontre d’un ciel
    Fait de mille pépites
    Donne le vertige à l’âme
    Troublée par la vue d’être

  23. Les rivières s’écoulent et déversent inlassablement
    Leurs chansons continuelles dans les flots
    Des notes sourdes et cristallines s’entrechoquent
    Inexorablement au fil du temps le long des berges
    Petites gouttes entremêlées chargées d’histoire
    Qui de leur source s’avancent vers cette immensité
    Dans cet estuaire béant, bras ouverts sur la mer
    Un voyage, une rencontre, un retour, cycle perpétuel
    D’eaux pures et claires qui s’alourdissent en chemin
    Et se perdent pourtant légères et douces dans les nuages
    Moments de vie, moments changeants comme le temps
    Dans l’évolution du cycle entre tempêtes et accalmies
    Petites particules d’instants qui nous filent entre les doigts.

  24. @ Annick, Quelques jours de retard mais ce n’est que te rajeunir:) pour te souhaiter un bon anniversaire et te souhaiter surtout de garder toujours ta fraîcheur et ta jeunesse dans ton coeur.

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