Origine / Origin

Origine / Origin

la voie du départ

happée par ton regard bleu

j’en retiens la source

 

• • • •

 

departure way

struck by your blue eyes

I remember the source

 

51 réflexions sur « Origine / Origin »

  1. Tu es là et posée
    Je te regarde t’entends
    Tu me manques
    De plus près
    Mais déjà tu es là
    Dans ce trou de ciel bleu
    Vers lequel je m’envole
    Et mon imaginaire
    Me guide vers où je vais
    Ton oasis m’apaise
    Mon ami de ma vie
    Il y a ces rencontres
    A l’origine de tant
    De découvertes sur soi

  2. Nos mots se sont presque croisés, Monique,
    oui,
    mais si on savait où on va, ce ne serait pas la vie,
    la vie à l’origine nous apprend à aller, sans savoir,
    juste comme cela, ou mûrement pensé,
    rien n’est connu d’avance,
    penser son trop peut se tromper
    comme il peut avoir raison de voie choisie,
    comme ne pas réfléchir peut se tromper de voie,
    ou bien choisir,

    la vie c’est aussi une chance, ou une malchance, c’est ainsi…

    et puis des voies toutes belles, qu’elles semblent, désenchantent,
    et c’est une voie si rude, qui délivre, finalement…

    alors, se lâcher vivre tout simplement, un peu prudent, et voir ce qui se passe…
    ou ne se passe pas…

    douce soirée.

  3. Oui Annick, la vie une Aventure, bonne soirée à toi aussi

    Jacques Brel
    « L’aventure commence à l’aurore
    A l’aurore de chaque matin
    L’aventure commence alors
    Que la lumière nous lave les mains
    L’aventure commence à l’aurore
    Et l’aurore nous guide en chemin
    L’aventure c’est le trésor
    Que l’on découvre à chaque matin
    Pour Martin c’est le fer sur l’enclume
    Pour César le vin qui chantera
    Pour Yvon c’est la mer qu’il écume
    C’est le jour qui s’allume
    C’est le blé que l’on bat
    L’aventure commence à l’aurore
    A l’aurore de chaque matin
    L’aventure commence alors
    Que la lumière nous lave les mains
    Refrain———————————
    Tout ce que l’on cherche à redécouvrir
    Fleurit chaque jour au coin de l’oubli (?)
    La grande aventure il faut la cueillir
    Entre notre église et notre mairie
    Entre la barrière du Père Machin
    Et le bois joli de monsieur le Baron
    Et entre la vigne de notre voisin
    Et le doux sourire de la Madelon
    Refrain————————————–
    Tous ceux que l’on cherche à pouvoir aimer
    Sont auprès de nous et à chaque instant
    Dans le creux des rues dans l’ombre des près
    Au bout du chemin au milieu des champs
    Debouts dans le vent et semant le blé
    Pliés vers le sol saluant la terre
    Assis près des vieux et tressant l’osier
    Couchés au soleil et buvant la lumière »

  4. Brusque éclaircie comme un puits de lumière bleue
    Espoir dans les sombres nuées
    Belle composition Merci Ossiane

  5. Un intarissable chagrin
    Jailli de mon coeur,
    Horizon trop lointain
    D’un possible bonheur,
    Je pleure tes mots
    Sur nos confidences.
    Les souvenirs à flot
    Coulent en errance
    Je sombre, à l’abandon,
    Loin d’une rive d’amour
    Qui porterait ton nom
    A l’aube de chaque jour.

  6. Départ

    Quand nous quittons l’île à regret
    Sur le bateau du retour
    La place de choix est sur le pont arrière,
    Vue sur le paradis qui s’éloigne
    Le sillage bouillonnant de colère
    Perdant de vue le petit rond de terre
    Le regard ne quittant plus l’horizon
    Déroulant le film des souvenirs

    Que dire du vrai départ
    Celui du petit nid douillet de l’enfance,
    Le Regard est alors dirigé vers l’avant
    Dos tourné aux enfantillages,
    La route tracée d’embûches ignorées
    Vers un paradis qui risque d’en être point
    Si ce n’est ce goût de liberté
    Où s’inscrivent les premières lignes de la vie.

    L’âme fait la différence
    Et la boussole tournée vers le bonheur
    Risque alors souvent de perdre le nord.

  7. je suis toujours émue de vous lire,
    c’est fort beau marie,
    bonjour à vous et aux habitués de joli album de vie…

  8. L’origine est ordonnée
    l’origine est or donné
    mais le cordon ne se coupe pas ainsi
    l’origami est tout plié
    l’origine n’es pas oubliée
    enfin le mythe fondateur y contribue
    c’est là l’un de ses attributs
    dans le zéro indien
    nait un océan bouillonnant de chiffres
    à l’origine de l’abcisse
    on ne sait s’il y a une mantisse
    le sens est là
    la pente s’amorce
    l’histoire se corse
    la vie tient à une écorce

  9. Une trouée superbe et de circonstance
    qui abolit le temps et raffermit la volonté
    un signe ancien, un triangle bleuté

  10. C’est bête de tout simple
    Si facile de lever son petit nez
    Et quand une trouée de ciel bleu
    Le coeur bat un peu plus content
    Et de suite on voit un peu plus clair
    Une touche de bleu le regard s’ouvre

    Et c’est une magie de vie

    Que la lumière au bout de ses yeux
    Emerveillés encore et c’est bien

  11. De l’origine à cet instant présent
    Parcours sinueux fait de circonvolutions
    De spirales et de nœuds à démêler
    Le chemin est long et chargé d’aventures
    Toutes les saisons, paysages traversés
    Rencontres, séparations, drames et adieux
    Façonnent et endurcissent l’âme
    Mais au fond du cœur parfois malmené
    Reste une émotion inébranlable
    Qui donne à la vie sa beauté et sa puissance.

  12. Singularité de l’origine d’où tout est issu
    Altérité de l’origine d’on nous provenons tous
    Vérité de l’origine qui est une point de sens absolu et concentré

  13. La force du silence
    Le bruit de l’eau
    Et cette forme étrange
    D’un bonheur vécu
    Soudain noyé de larmes
    Emotions mêlées de frissons
    Dans l’au-revoir d’un départ
    Nouveau plongeon dans la solitude
    Un silence du ressenti
    D’un cœur qui bat trop fort
    Dans ce passage de l’avant à l’après
    Trop lourd d’un savoir indéniable
    De liens aux nœuds serrés
    Qu’il faut dénouer
    Dans le courage du présent
    Et l’espérance d’un retour

  14. va, ne te retourne pas
    la vie c’est devant
    même lourd d’expériences et de souvenirs
    le présent est perceptions et ressentis
    le présent est corps
    la météo du jour n’est jamais la même
    ça coule entre nos doigts
    en notre coeur en notre psychisme
    et l’esprit a son mot à dire
    à la proue de l’embarcation
    la tendresse
    la relation
    l’échange de bons procédés
    l’amour du temps qui passe
    qui ne reviendra pas
    et qui toujours naît à nouveau
    avec le jour qui poind
    un 13 février 2013
    plein de secondes à vivre !
    ………………… et à se dire

  15. Au début était le verbe !
    mais ontologiquement tout est il inclu
    dans l’événement primordial
    qui peut penser à son big bang cordial
    chaleur et concentration rien n’est du
    pas de réplique acerbe

  16. Origine du temps
    origine de la vie
    origine de la matière
    il y a matière à réflexion
    passer de la singularité
    à l’universalité
    mais entre temps…

  17. Les origines – la création
    Création – créer – poésie
    Poète -celui qui crée
    Il est à l’origine
    Du dire la beauté
    Du dire la vérité
    Du dire les mots
    Du dire la pensée
    Du dire ce qui se voit
    Ce qui ne se voit pas
    La poésie – le chant de l’âme
    Le poète est le créateur
    Non celui de l’univers
    Mais celui qui l’habite poétiquement.

  18. C’est une chaise qui a créé le monde :

    au commencement, il n’y avait que des chaises.

    Elles s’ennuyaient.

    Faisons-nous un homme, dit une chaise,

    un homme qui posera son séant sur notre siège,

    qui s’appuiera contre notre dossier,

    qui nous changera de place,

    qui nous polira, nous cirera, nous caressera.

    Cette chaise-là pensa l’homme si fortement que l’homme fut.

    Et l’homme, enfant de la chaise, vit de plus en plus assis.

    Géo NORGE – Les chaises –

    Origine ? … Création ? … Habitation poétique ?

  19. Voix des poètes
    Vois les rimes qui s’arriment aux quais des brumes instantanées
    Et ces prosodies qui s’enchaînent pour montrer le cuir tanné
    C’est que le poète hésite il a tant voyagé et tant à dire
    Ce ne sont point les cuivres ni les vents qu’il convoque
    Mais l’imaginaire entier qui est loin d’être un tout venant
    A haute voix il fait ses choix et ne laissera rien tomber
    Ce n’est pas dans ses habitudes d’avoir le torse bombé
    Non il est écoute et retour, réflexion pour pavillon ouvert
    Il lance au vent, laisse traîner persuadé d’ensemencer les nuages
    Pourtant jamais il n’a cherché à être plus que ça à la page
    Intemporel il est qui ne veut pas cesser se faire entendre
    Qui ne se résout pas au silence et voudrait encore lancer
    Quelques cris qui mobiliseraient et lanceraient dans l’action
    A son phrasé inimitable il a ajouté quelques fioritures
    En guise de ratures pour ne point trop égratigner les sens
    Il est d’essence et devine dans ses ontologies l’origine
    Pourtant sans dévoiler plus qu’il n’est nécessaire
    Il laisse chacun s’emparer librement des mots et jouer
    Parce que son plaisir c’est juste de semer mais pas ses poursuivants
    Il n’est ni messie ni prophète encore moins oracle
    Quand il racle sa voix et son esprit pour en faire jaillir
    Les derniers restes qui seraient coincés faute de miracle

  20. Tu nous gâtes THIERRY avec ce texte merveilleux qui donne des aspects très justes de la poésie, elle est généreuse, humble, désintéressée, construite, fondée, argumentée, adaptée, intemporelle, ciblée, jolie et enjolivée, peaufinée, discrète, attirante voir plaisante ou amusante, détachée, altruiste…… bref tu l’auras compris , je trouve cet écrit sympa.

    Comme je trouve parfaitement bien trouvé le poème de Norge que nous offre BOURRACHE, j’ai récolté je ne sais où ce petit commentaire à propos de Géo Norge :
    « Si la poésie consiste à créer, à l’aide des mots, des univers autres que celui que nous
    croyons connaitre, Norge nous invite aussi à prendre ces mots dans nos mains : il nous montre comme ils sont faits et nous voyons qu’il n’y a là effectivement, que des mots.

    Que des mots !!!… mais parfois quels mots!!!!….

    Comme ceux de REGARD ce matin au réveil, auxquels je joindrai ces petits mots de David Thoreau lu ce matin dans la moelle de la vie :
    « Quel peut être le sens de la lumière du jour si elle n’est pas le reflet d’une aube intérieure ? A quelle fin le voile de la nuit est-il retiré si le matin ne révèle rien à notre âme ?

    Des mots également si beaux comme ceux si intimes de MARIE :
    …. »Loin d’une rive d’amour
    Qui porterait ton nom
    A l’aube de chaque jour »
    Ils prennent chez moi une grande résonnance, merci Marie pour ce poème en forme de confidence.

    Résonnances aussi dans la sensibilité d’Annick avec ses mots puisés dans cette capacité à saisir la vie dans ce qu’elle offre d’amour, de tendresse et de richesse.

    Et ce petit passage toujours discret d’ARLETEEART pour évoquer son ressenti face à la beauté et à la qualité de ce que nous offre OSSIANE, NOTRE CAPITAINE avec tant de magnificence.

  21. c’est un bien joli radeau, que notre planche de bois, en scène de nos doigts…j’aime vous lire vraiment, et tenter de vous entendre au plus juste, c’est si difficile de capter ce que le poète dit…
    et comme c’est beau ce qu’il dit, le poète, mon petit coeur se soulève, aime, rejoint, serre, la beauté d’être,
    merci à vous de chacun, parfois je me tais pour laisser place à d’autres, mais comme c’est bon de vous lire, vous, ensemble, chacun…

    merci Monique, pour ce joli partage encore…
    et mzi pour tes mots sur moi, je suis émue, encore une fois…
    je passe ma vie à être émulsionnée…sourire…

    je vous embrasse, et vous balance chaque hamac…sourire…

  22. L’émulsion /émotion Annick ce sont des choses non miscibles mais admissibles
    pas de mise en solution possible , pas une solution juste un ressenti
    mais la mayonnaise ou la vinaigrette ne sont pas de celles que l’on regrette
    d’avoir gouté comme l’aigrette qui ceint le cimier mais ne sent pas le f…..

    Monique tu es une grande rassembleuse, j’allais écrire entraineuse mais ma plume s’est tue
    ployée sous la peur de commettre un impair
    Ce ne fut qu’un des rares textes qui vint ces derniers temps
    et que j’aurais eu mauvaise grâce à ne pas partager avec vous

    sur le navire il fait toujours aussi bon naviguer de concert (ça conserve)
    merci Ossiane d’être…à l’origine de tout cela

  23. Pour vous remercier je m’y suis mis et voilà

    Monter à bord des mots sur une mer démontée
    Presque en pièces détachées pour montrer son détachement
    Oh tout symbolique celui qui s’applique ici bas encore
    Mais ne pas seulement rêver de leur musique pour les faire battre
    Leur confère un pouvoir étonnant et parfois celui du combat
    La plume transformée en épée qui va de taille et puis d’estoc
    Et qui fait que d’émotion on défaille sans mine d’escroc
    Manœuvrer dans les courants et garder un cap secret
    Celui d’associer et d’inviter chaque lecteur à humer la phrase
    Certes ce peut être assorti de surprises de taille
    Pas toujours douces ni innocentes mais efflorescentes
    De ci de là des mots rebiquent, rebelles qui ne veulent se conformer
    Il faut accepter que parfois tout ne soit point au carré
    Les feuillants et les feuillantines en seront quittes
    On ne parlera pas véritablement de festin
    Sans chercher à assortir ce qui tient lieu de destin
    Mais ces amuse bouche nourrissent l’âme
    Qui en sourdine s’affaire et à laquelle confère
    Dans l’entrelacs délicat de quelques fioritures
    Une soudaine aisance bien loin de la constance
    Non décidément que n’y tiens plus, elle m’échappe
    Cette régalade et comment dissimuler ma déconfiture
    Ce n’est pas que mes propos dégoulinent
    Uniquement de bons sentiments assortis
    Mais tandis que vivace mon esprit mouline
    Je prépare la chute et quelques amortis


  24. Les maisons quand vient la nuit
    lèvent l’ancre à l’inconnu
    des voyages immobiles.

    Sans le savoir, les dormeurs
    sont aux ordres des fantômes :
    Capitaine et gens de bord.

    Tous les feux sont allumés
    et l’équipage navigue
    vers le rêve et les clochers.

    Par temps calme ou par tempête,
    les maisons, quand vient le jour,
    au port sont toujours rentrées.

    Géo Libbrecht « Les maisons quand vient la nuit »

    hamac au fond du couloir, première porte à gauche ou celle de droite …

    mes gens, dormez et rêvez heureux

    ^_^

  25. je me pouffe en te lisant, ton *ça conserve, Thierry, je ris…merci!
    et puis, c’est vrai que la poésie donne vie, elle laisse ce bleu au fond des yeux, et ils deviennent pépites de vie…pourquoi s’user pour l’argent quand la richesse est là, au fond de ses prunelles à se partager ses humeurs…
    c’est bon d’être en santé, l’oeil gai, pour se donner à d’autres moins chanceux, c’est bon de leur donner des bouts de vie, c’est bon de voir les gens heureux…

    tout au fond du couloir, Bourrache, heinhein…

    OSSIANE MERCI POUR PERMETTRE CE RASSEMBLEMENT DE VRAIS FOUS DE VIE!

    merci pour chaque partage que mes neurones boivent tendrement, parfois en crackyoupsboum, il y a des textes légers et des textes lourds,
    comme la vie, *levivre!

    je vous embrasse,

    et j’embrasse aussi, notre cher Olivier, (carpediem. typepad ) qui a déposé ses mots ici aussi, dans ton joli album, Ossiane, merci pour cet immense album vivant.

  26. Regarder les circonvolutions des nuages
    Déceler ce petit coin de ciel bleu
    S’y engouffrer comme en un refuge
    L’issue , l’élévation, la fuite inespérée
    Vers les retrouvailles inattendues de l’intime de soi
    Afin de dissoudre les nébuleuses trop grises de l’âme
    Puiser aux sources du réconfort pour trouver
    Sur les lèvres d’un nuage le baiser d’un dieu
    Dont le sourire s’apparente au soleil

  27. Sortie par le haut
    altus
    pas de hale mais un chemin continu
    vers la lumière
    un parcours pas sans surprise
    en route vers une obra maestra
    un chef d’oeuvre
    toujours viser plus haut
    déjeté
    en hyper-extension
    on vise un but
    inaccessible
    le parfum de parfait
    senti de loin
    mais des efforts
    successifs

  28. Une trouée de bleu
    Appelle la mer
    Qui déjà suit
    Mais qui suit l’autre en vérité
    C’est une rencontre hasard de vie
    Ou destinée
    Et les complices apprécient
    De donner de la lumière

  29. Vouloir connaître l’origine de chaque chose
    Vouloir connaître l’essence même des choses
    Vouloir avoir l’intelligence de discerner le vrai du faux
    S’expliquer le pourquoi du comment
    Avoir recours aux penseurs, à de nombreux penseurs
    Qu’ils soient scientifiques, philosophes ou théologiens
    Et ne plus voir au milieu des nuages
    De quelle couleur est le ciel
    C’est parfois se perdre un peu
    Dans la confusion totale des courants de pensées
    Qui cherchent l’origine du monde
    A partir d’un grand chaos
    Ou d’une puissance divine
    Un amalgame entre le rationnel et le divin
    Qui, depuis des temps lointains
    Pour faire la part de chaque chose
    Mélange l’humain et le surhumain
    Au travers de mythes et légendes…
    Alors je regarde ce petit coin de ciel bleu
    Ces nuages, cet Océan, ces montagnes
    Et me laisse emporter curieuse mais humble
    Dans ce mouvement perpétuel sans âge
    Où le rêve et la beauté m’offrent
    Une partie des réponses aux questions que l’on se pose
    Avec l’humilité suffisante de ne pas pouvoir tout comprendre.

  30. Gnose
    même sous hypnose
    je n’ose y penser
    indicible est l’infini d’en soph
    facteur de tourments
    il n’y a pas de tournant
    la ligne droite
    est infinie
    rien n’est pleinement décidable
    car on ne dispose jamais de toutes les données
    la vérité c’est que la vérité n’existe pas
    et la rationalité reste désespérément limitée
    sous influence nous sommes
    sous influence nous resterons
    mais les biais sont nombreux

  31. Sagesse est reconnaissance des limites
    en tenir compte c’est ne pas s’exposer
    à de graves déconvenues qui irritent
    sagesse c’est sur les choses poser
    une regard tolérant alors qu’imitent
    des actes plus anciens comme éternel
    recommencement

  32. Partir…
    « Il n’est rien de plus beau que l’instant qui précède le voyage, l’instant où l’horizon vient nous rendre visite et nous dire ses promesses »
    Milan Kundera dans la vie est ailleurs.

    « L’homme , s’il est sage, est un voyageur qui s’étonne d’exister, qui s’interroge sur le chemin ainsi que sur le terme et sur le sens du voyage »
    Pierre Pêju dans l’idiot de Shanghai.

    « Errant, errant
    à quoi puis-je ressembler ?
    Une mouette des sables
    entre terre et ciel »
    Poème de Du Fu cité par F.Cheng dans Et le souffle devint signe – Portrait d’une âme à l’encre de chine.

    Beau week-end à tous allez à l’encontre des fleurs, messagères du printemps.

  33. j’aime beaucoup vos textes, qui disent fort bien,
    que on ne peut pas tout savoir,
    et j’ajoute aussi que c’est si bon de se contenter de ne pas se poser de questions, se laisser aller à soi…

    et puis c’est bon de lire ces citations d’auteurs, Monique, merci encore pr le partage…

    Goûtons à l’éveil du Printemps
    La Nature gigote c’est délicieux
    L’oeil se penche pour la saisir
    Cette feuille verte d’un bulbe
    Qui monte grimpe son ciel

    doux week.

  34. Et si Annick il faut se les poser les questions, le problème n’est pas dans les questions mais dans le fait qu’on ne trouve pas les réponses à ces questions, mais le fait de se les poser est déjà un pas vers les résolutions à ces questions.

  35. Oui le questionnement et le doute raisonnable
    sont d’importants moteurs pour ne pas faire de sur place
    après à quoi ça avance la maïeutique
    sans doute à poser un autre regard sur le monde
    en ayant fait un pas de côté

  36. Bonsoir à tous,

    Pardonnez ce long silence et absence, je suis nomade … des déplacements à gauche et à droite et de gros problèmes techniques sur mon ordinateur qui m’ont empêchée d’accéder aux outils dont j’ai besoin pour publier ces articles! Les avaries sont en voie de réparation mais que de temps et d’énergie perdus!!

    Et toujours vos beaux poèmes et commentaires qui fleurissent en nombre, beauté et intelligence les parterres de l’Oeil Ouvert … et sans oublier vos pensées toujours touchantes et aimables à mon égard … comme toujours je suis émue … merci pour tout, j’espère que de votre côté, vous tirez aussi des bienfaits de ces partages … bonne soirée à vous, bises!

  37. vous dites plus juste que moi, Monique, et Thierry,
    c’est vrai que inévitablement, la vie amène à se poser des questions,
    et c’est plus vrai de dire, que tant pis si parfois son souvent on n’a pas la réponse,
    au moins on se cogite de bulles de neurones…sourire…
    et puis c’est bon aussi au fil du temps, de se poser les bonnes questions, et laisser sur le chemin, les questions qui servent pas à grand chose si on a la réponse…
    on se ménage ses méninges avec le chemin qui avance…sourire!

    coucou, Ossiane,
    moi aussi des soucis d’ordi, trois pannes…il a trop poaimé…

    doux soir.

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