Confiance / Trust

Confiance / Confidence

amer blanc

de pleine conscience

tu diffuses la lumière

 

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white landmark

mindfulness

you diffuse light

 

38 réflexions sur « Confiance / Trust »

  1. Un joli arrêt sur image Ossiane, tout en clarté pour une belle escale en poésie à travers tes mots.Je t’embrasse, tu es vraiment super.

    Une incandescence
    Un havre de réconfort
    Au cœur du sensible

  2. Je regardais le phare blanc
    Je le trouvais très blanc! Trop blanc ?
    Je regardais la mer toute bleue
    Je la trouvais très bleue! Trop bleue ?
    Je regardais la côte déserte
    Je la trouvais très nue! Trop nue ?
    Je regardais le ciel gris et bleuté
    Je le trouvais très pâle! Trop pâle ?
    Mais confidence pour confidence
    Je m’amusais bien sur
    Rien n’est jamais trop
    Quand c’est beau, si beau !
    Et mon regard de haut en bas
    De bas en haut allait suivant la verticale
    Entre le ciel et l’eau passant par le phare
    M’écriant : – Mais c’est beau, c’est trop beau tout ça !!!

  3. tel un chromo
    en partance pour la lune
    il se fit ambidextre
    une main pour les marins
    la paume de l’autre dans les nuages
    une main dans le marais des origines
    l’autre en ascencion vers plus grand que soi
    une à démêler le tien du mien
    et l’autre en exaltation du tout

  4. Une alchimie de pierres blanches
    En son écrin de roches veloutées
    Ici tout semble incroyablement en place
    Posé par des doigts de fée pour l’éternité
    Aucun murmure, aucun mouvement
    Paysage statique en position de veille
    Au cœur des eaux tranquilles et sombres
    Une aura de douceur dans un théâtre de paix
    Même les nuages restent discrets à l’horizon
    Il transparaît comme une accalmie contagieuse
    Où la perfection semble s’être installée
    Pour accueillir le silence comme un dieu
    Confiance sereine dans ce panorama bien dessiné
    Une symétrie pour un reposoir sans prières nécessaires
    Ralliement autour d’un phare sécurisant
    Au pied duquel l’eau murmure à peine
    Quelques sons d’une musique aux sonorités étranges
    Comme une invitation aux confidences
    Qui laissent dans la voix quelques tremolos d’émotion
    Impressionné par le silence, la sérénité,
    Un certain dénuement, une beauté raffinée

  5. Comme nous aimerions parfois augmenter la puissance du sens des mots
    Pour laisser éclater toute la force qui fusionne au fond de nous
    Mélange de colère et d’objectivité comme autant de rêves et de folies
    Nous aimerions changer la couleur des choses pour donner plus d’éclat à la vie
    Bousculer, déranger, réveiller sans rien abîmer ce qui pourrait encore nous exalter
    Avec pour bâton de pèlerin, la beauté, le silence, la musique et la tendresse

  6. Avant on avait confiance
    Totalement comme ça
    A un mot, à un sourire
    Totalement
    Puis la vie a trahi
    Si fort de fort de chagrins denses
    La confiance est partie
    Totalement
    Puis elle est revenue
    Sinon le goût de *levivre
    Semble impossible trahi de légèreté
    Totalement
    Mais la confiance plus jamais comme avant
    Elle sait comme un être peut dévier
    Se perdre faire mal oublier
    Totalement
    Alors la confiance refait son nid
    S’entoure tour à tour de grave et de léger
    On ne peut être tout méfiant
    On ne peut être tout confiant
    Totalement

    Mais cet être sage devenu
    Qui cherche à voir
    Et quand *levivre se donne
    Quand un être le surprend l’émeut
    Il partage ce moment dans l’instant
    Sans rien à voir de plus
    Juste dans le plaisir d’être ensemble

    Alors peut être qu’on est encore trompé
    Qu’on sera encore déçu
    Qu’importe
    Ensemble c’est nécesssaire aussi
    Car tout seul cela mène
    A perdre confiance en soi
    Ensemble et son seul construisent
    Et font grandir son chaque jour
    Au risque gros d’être déçu si fort
    A perdre pieds le goût de *levivre

    Quitter ses peurs avoir confiance

  7. j’aime bien ta phrase, Monique:
    Avec comme bâton de pélerin, la beauté, la musique, le silence et la tendresse…
    c’est fort bon tout cela de *levivre…

    Leila, j’aime tes mots,
    moi aussi, cela m’est arrivé de ne plus avoir confiance, si trahie par la vie,
    et puis incapable de faire confiance encore en la vie même,
    et puis j’ai retissé de l’étoffe de confiance, sinon, j’étais out…on verra bien…

  8. Il faut ne faire confiance en personne, cela semble être une règle d’or que la vie nous apprend mais est-ce que les règles d’or sont faites pour être suivies ? ça reste une question ; car en cet autre il y a l’ami et l’amitié et que serait l’amitié sans la confiance ? Le monde n’est pas fait que de trahison heureusement, mais oui, c’est vrai, il faut être vigilent, apprendre à connaître les autres, à se connaître aussi soi-même, apprendre à être prudent mais ne pas pour autant ne pas aimer car aimer c’est vivre et on ne vit pas sans prendre de risques.

  9. j’adore tes mots, Monique, je pense idem, je pourrais les faire miens, mais ils sont de toi,

    et je te relis, avant d envoyer, quelquefois qu un truc que je ne pense pas m’aurait échappé…

    et pr ma petite décortication; sourire!

    – cette rêgle d’or la vie a tenté de me l’apprendre fort tard, si protégée dans ma vie en autisme en bulle chaude..et de vrais Humains dans le Nord…et d’amitiés vraies..
    -l amitié sans confiance, ah cela fait rire, c’est impossible
    -il faut sans aucun doûte d’abord commencer par se connaître soi même et être prudent c’est vrai

    – j’adore ta dernière phrase:
    mais ne pas pour autant ne pas aimer car aimer c’est vivre et on ne vit pas sans prendre de risques

    et pourtant quand on a été fort trahi, blessé,
    dans un temps plus ou moins long, parfois si lourd de douleurs,
    on est tenté de se dire *cette fois je n aimerai plus, stop, car on souffre trop pr souhaiter prendre le risque de souffrir encore,

    et puis, il faut bien admettre, qu’aimer c’est délicieux, et que cela reste bon de prendre le risque de faire confiance,

    je me suis souvent demandée comment font ceux qui n’aiment pas…comment sont ils en eux?! seuls si seuls!…me semble

    je t ’embrasse Monique,

    et puis AIMONS NOUS LES UNS LES AUTRES!

    et puis qd on va mieux, on s’ouvre, on aiume encore, et tant pis si on souffre encore…mais si on ne souffre plus c’est mieux! SOURIRE!

    et puis comment on peut se retenir d’aimer, qd on aime aimer…

  10. Oui Annick elle est parfois bien surprenante la vie, mais c’est ainsi que l’on apprend à se connaître et à connaître les autres, il arrive aussi parfois qu’on ait de bonnes surprises.
    Bonne nuit Annick garde ce cœur si plein d’amour, il y a toujours quelqu’un autour de nous qui en a soif et prêt à recevoir et à donner.
    Je t’embrasse.

  11. la confiance c’est comme la confiture
    on y met le doigt, on goutte, on apprécie
    et on referme le pot
    on s’y fiance
    sans se marier
    la confiance ça se tient par l’anse
    avec un beau panier d’osier par en dessous
    ça transporte
    ça porte de porte en porte
    la confiance permet le lien qui lie et se lit là
    entre nous
    pour peu que l’on mette le doigt dans le pot de confiture
    etc …

    je vous embrasse, avec affection et confiance, Leïla, Monique et Annick

  12. construite sur la base de la confiance
    si bien pointé du regard
    mais
    où donc est passé l’ami ?


  13. Posé sur son sol
    Il veille
    L’oeil ouvert
    Loin
    Fort loin
    Si loin
    En au delà

    j’avais posé des mots, Regard, puis volatilisés, j’en ai reglissés…merci à vous.

  14. pour peu que l’on mette le doigt dans le pot de confiture…
    ……
    et qu’on s’y laisse prendre
    non seulement par gourmandise
    mais par passion des mots
    qui laissent sous chaque lettre
    perler la douceur espérée
    pour peu que l’on mette le doigt dans le pot de confiture
    etc…

  15. Confiance pourrait être confidence
    mais confit dans la danse
    et le tournis en prime
    à quoi tout cela rime ?
    alors se confier
    c’est convier
    à un partage
    sans égal
    la marque de confiance
    entrer dans la confidence
    en qui l’avoir
    en qui l’ose
    ankylose
    il y a de l’abandon
    oh pas de souveraineté
    de parcelles de secrets
    les murmures
    la confession
    cela confère
    une autre dimension
    avec la foi
    dans l’autre
    le transforme t on
    en tombeau
    le secret taire
    un entre deux périlleux
    pourtant c’est bon
    de ne pas tout
    garder pour soi
    que fait on
    avec le psy
    si ce n’est lui confier
    nos tourments
    et nos peines
    dans une mise
    en abime

  16. merci Thierry et Monique, pour vos mots confiés…

    La confiance
    Peut être
    Que trahi
    Au plus profond de soi
    Est la pire des blessures
    Elle perd le goût de la vie
    L’abîme est son profond
    Mais il faut remonter
    Encore avoir confiance
    C’est une nécessité
    Tout en se protégeant
    Y’a pas que des hypocrites
    Des preneurs de bontés
    Il y a ces Humains tels
    Que rencontrer un jour
    Un, deux, ou plusieurs
    Cela redonne de la vie
    Ses parfums se ressentent
    La confiture sa tendre
    Son petit doigt osé
    Qui se trempe encore
    Car vivre c’est aimer

  17. ahlala quelle image, quelle rubrique…Ossiane, le mlot CONFIANCE…

    et si tout simplement
    la confiance c’est la vie
    car devenir méfiant
    c’est se blinder bien trop
    la vie elle transperce
    par les pores de la peau
    et tant pis si le risque
    d’être encore son déçu
    la déception aussi
    fait partie de la vie
    et faut *grandir encore
    quand on se trouve mûr

    chaque jour la confiance
    déçue ou sa précieuse
    c’est de la vie de la vie
    et encore de la vie
    pour l’oser et l’apprendre

    je souhaite à chacun, un chemin, en confiance,
    car il porte en lui, paix, bonheurs,
    simplicité des êtres tels qu’ils sont,
    et chacun vaut le coup de lui faire confiance,
    et si il nous trahit, on peut rebrousser chemin,
    aucun lien ne se crée pour faire souffrir l’autre

    CONFIANCE belle confiance
    parfois tu abuses trop
    mais tu restes jolie ta naïve Humaine
    qui pense encore parfois que le monde est gentil
    certains le sont vraiment,
    et comme c’est bon de *levivre!

    Bon, Ossiane, CONFIANCE, c’est un roman fleuve de nos milliards de vies!

  18. Il y a la confiance en soi
    qui se construit par le lent apprentissage
    le tissage des mots et des actes
    ces sortes de pacte
    qu’on noue avec la société
    mais qui impliquent
    au plus profond
    cette confiance est elle bien mise
    et déposée
    pas comme une marque
    en tout cas d’infamie
    c’est une condition nécessaire
    pour pouvoir avancer
    pas à pas
    sur le chemin
    de la vie
    je prend de l’assurance
    je vois qu’on approuve
    rien ne réprouve
    c’est une épreuve
    une vraie ascèse
    pas ascétique
    ni acétique
    la vie n’est pas
    toujours acide
    on peut être rincé
    par des épisodes
    peu glorieux
    où il pleut sur l’égo
    mais si on ne se mouille pas
    par des essais
    des erreurs
    alors comment construire
    la confiance et le reste
    on s’immobilise
    se paralyse
    non je retrouve
    avec la foi
    et ma bonne étoile
    de l’estime
    de l’énergie
    de la motivation
    je ne suis pas un pion
    je suis moi
    j’en suis fier
    je me corrige
    mais j’essaie aussi
    de changer le monde
    par de modestes actions
    et mes mots sont des baumes
    sur des plaies
    c’est ça qui me plait
    dans la vie
    des envies
    mais pas de l’envie
    le secret du bonheur
    penser aux autres
    mais ne pas s’oublier
    comme un obscur soutier
    qui manque de soutien
    qui lâche son maintien

  19. On est plus que fiancé avec sa vie
    c’est une histoire qui dure
    qui enfle et qui régresse
    qui moutonne par vagues
    successives
    jamais ivre de ses succès
    apprenant de ses erreurs
    bâtissant à force d’échec
    pas de tour imprenable
    on en a dans son sac
    la diagonale du fou
    qui fait prendre
    les chemins de traverse
    et les pions pas soumis
    qui ne sont pas des chiffres
    des soufre couleurs
    qui ne porteraient qu’un blason
    blasé à dieu ne plaise
    mais aussi basé
    sur du véridique
    on s’applique
    on s’implique
    la lumière viendra t elle
    on n’est pas mural
    ni même immuable
    tout change
    et nous avec

  20. …superbes élucubrations de vérités, d’humour et d’amour, une école de la vie à travers les mots !

  21. Oui ce matin c’est staccato
    saccadé
    pas sac au dos
    c’est toto matic
    l’écriture est guidée
    téléguidée même
    mais pas lugubres
    pas de mauvais génies
    ni incubes ni succubes
    les plus lents, les sucres
    pour tenir la distance
    et la mettre
    entre soi et la vie
    de l’avis
    de tous
    les blessures
    jamais ne se referment
    on est couturé
    mais pas obéissants
    pas le doigt
    sur la couture
    laver riter
    un rite pas sage
    de passage
    un peu de tendresse aussi
    les mots sont des travers…sains
    où il fait bon se tendre
    je n’ai pas d’aversion
    pour les inversions
    soyons nous même
    cela nous réussi si bien
    pas travestir le désir
    pour atteindre le plaisir
    l’acmé et pas l’acné
    pas se dorer la pilule
    pas hululer puisque la vie est chouette !
    pas pulluler
    puisque la vie est spontanée
    du moins en apparence

  22. Non tout est construction
    tout est artificiel
    mais les bases comptent
    comme la basse cour
    on peut lisser sa plume
    et faire ses ergots
    si sur la fange
    on se démène
    nous sommes le produit
    de nos interactions
    pas un cerveau sur patte
    parfois lent et embrumé
    mais un échangeur
    un routeur
    qui bruite et bruisse
    de ces mille mots
    de ces mille morts
    échangés
    dérangés
    engrangés
    nous sommes la somme de nos peurs
    et ce qui nous assomme
    nous le rejetons
    pas faux jetons
    nous regardons
    les sauvageons
    sans être tuteur légal
    demain nous échappe déjà
    le futur ne nous appartient pas
    place aux jeunes
    faisons leur confiance
    pourquoi nous décevraient ils ?

  23. Armer son flanc
    sans tirer de conclusions hâtives
    parce que dans la confusion
    le have et le havre ne se conjuguent pas toujours
    une conscience à la peine
    pas capitale
    pour capitole érigé
    mais quel fardeau
    que de devoir
    tenir la main bien haut
    pour inonder le paysage
    de quelques lumières
    chèrement acquises

  24. Monique
    le travail pendant la veille
    jamais ne cesse
    le cerveau ne s’arrête pas
    il n’a de cesse
    dans sa plasticité
    de construire
    et de confronter
    on peut s’affronter
    pour conforter
    je préfère réconforter
    car un cordial
    est toujours bien venu
    quand il touche au coeur le sujet

  25. à chaque confidence un astérisque
    c’est à tes risques et périls que tu te livre
    ouvert comme une bible
    tu donnes au déchiffrage
    le code et la formule
    mais crains parfois l’outrage
    de ce qui émascule
    pointé en majuscule
    les hi et les han
    mais pas de bucheron
    alors oui tu coures
    plus que désagréments
    si tu laisses dans la nature
    de trop intimes relents
    et qui grimpe dans la mature
    découvre tes flancs
    à ainsi s’exposer
    on va perdre sa tranquillité
    pour vivre heureux
    vivons caché
    afin de ne pas tout
    gâcher

  26. La nature de l’homme est si complexe
    Les mots sont si riches de sens et de contre sens
    Que même derrière les confidences
    Nous ne saurions percer les mystères de la pensée
    Les mots sont les gradins qui nous permettent d’atteindre
    Mais sont tout autant des paravents
    Où l’intime reste bien caché, préservé.
    Il faut atteindre des lieux ainsi nus
    Pour offrir aux vents, au ciel et à la mer
    Des confessions en toute confiance
    Haut et fort et sans réticences

  27. yaouh, jolis mots vous deux!

    Le ciel pour confident
    En confiance sacrée
    Car lui il sait peut être
    Ce qu’on ne peut savoir
    C’est après son vécu
    Qu’on y voit quelquechose
    Des confiances en la vie

  28. Quand l’image est si belle
    L’envie d’y revenir vous tient
    Une gourmandise, une rencontre, un appel
    Chaque regard est une redécouverte
    Une impression nouvelle
    L’œil s’attarde, le paysage se savoure
    Devient un tableau dans lequel on entre
    Une histoire semble vouloir se créer
    Entre l’image et soi, une approche particulière
    Une harmonie vient de naître dans le silence
    Entre les éléments naturels et la blancheur du phare
    Les contrastes des couleurs entre le ciel et l’eau
    Le regard et l’émotion entretiennent cette atmosphère
    Apprivoisent le lieu pour s’y reposer, s’en imprégner
    La beauté a atteint son but celui de nous amener à cet état
    Où la contemplation apporte la sensation d’un réel plaisir
    Les mots y trouvent alors les bonnes résonances
    Et l’haïku s’inscrit dans ce même registre de beauté.

  29. Jamais les images ne remplaceront l’approche réelle avec la nature, l’imaginaire aura beau être intense je ne parviendrai jamais à atteindre l’impression que l’on doit avoir devant un si bel endroit, le rêve reste le rêve il manquera toujours l’essentiel : le contact

  30. Le contact avec la réalité
    La vie à l’état pur
    Le rêve ne comble pas
    Ou juste un peu
    Il peut frustrer bien trop
    Et faire tant de mal
    Quand un vécu bien être
    Charme sa page de vie

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