Eclat de mer / Glow of the sea

Eclat de mer / Glow of the sea

nuages gris d’acier

éclair de mélancolie

folle arabesque

 

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steel gray clouds

flash of melancholy

mad arabesque

 

28 réflexions sur « Eclat de mer / Glow of the sea »

  1. En toute légèreté
    le flot de l’éternité
    une Vie inspirée

    Se laisser prendre
    par la grande traversée
    l’ultime voyage réalisé

    brise bleue sur la demeure
    l’éclat du silence

  2. A même les sens
    la force de la brise marine
    m’emporte dans un autre temps.

    Tout mon être se réveille
    dans ce fracas
    si doux à mon oreille.

    Couleur de vie,
    éclat des lunes
    une porte pour l’infini.

  3. Merci Ossiane pour cette immersion dans ce paysage romantique aux couleurs fabuleuses ; derrière ton haïku traits et volutes se dessinent comme un tableau en toile de fond.
    ____

    Dans cette gamme si nuancée de bleus
    Toute une harmonie s’inscrit
    Entre le ciel, la mer, les monts
    Et cette mélancolie de l’âme
    Qui reçoit toutes les vibrations
    Des éclats scintillants de lumière
    D’une nature si belle et si douce
    Qu’elle semble retenir
    Tous les mystères de la beauté.

    Dans ce décor spectaculaire
    Aux frontières du dépaysement
    Nul ne peut rester insensible
    Aux charmes d’un tel paradis
    Sans plonger corps et âme
    Dans une rêverie délicieuse
    Frisant le vague à l’âme complaisant
    Où le bonheur trop intense
    Trouble autant qu’il émeut.
    ____

    Beau week-end à tous et je sais le bonheur de ceux qui ont la chance d’aller se promener dans de tels lieux sublimes.

  4. D’une nature si belle et si douce
    Qu’elle semble « contenir »

    De même cela pourrait être une gamme si nuancée de « gris » mais j’y vois plus un bleu-gris -;)

  5. Chouette voilà un endroit pour poser mes ailes :-). Si je peux me permettre ?…

    Je ne sais plus par quel vent je suis arrivée ici il y’a de cela quelques jours, mais quel plaisir à découvrir ce bel espace !
    Des photos subtiles, sensibles, de fin haïkus, des mots ciselés, merci Ossiane pour ce beau partage.
    Je vois une belle communauté autour de vous…j’ai bien envie d’y traîner mes plumes…

    Bon je ne suis pas habituée aux haïkus, l’inspiration me fait défaut en plus en ce moment…c’est comme les marées, vous devez sans doute connaître tous cela ; là je suis à marée basse voire la mer étale 🙁

    De vague en vague
    Je moissonne
    Là, le chant du ciel

  6. oui, Monique, cette chance encore de marcher auprès d’elle, la mer, ce jour,
    et comme c ‘est bon, c’est vrai…de convalescence accélérée…

    doux soir…

  7. Elle frissonne sous la caresse du soleil
    Indifférente aux menaçantes brumes
    Danse que la brise emporte
    Bonsoir Fidèlement à vous

  8. et je me relis,
    le bonjour Mouette…

    Mélancolie tu fais si mal
    La mer est belle
    Laisse les tranquilles

  9. Eblouie par tant de lumière
    Je me suis évadée loin du monde
    Egarée dans le mouvement des vagues
    Contemplant inlassablement
    Le paysage bleuté des flots marins
    Ballotée dans le tourbillon des eaux
    Oubliant le temps, taisant les mots
    Immergée dans la contemplation
    Toujours insatiable à tant de beauté
    Le cœur en équilibre loin des rumeurs
    Figée dans le silence intense
    Des flashs d’étoiles plein les yeux
    Laissant flotter sur cette mer
    Un souffle complaisant d’admiration
    Une parenthèse salutaire
    Dans la grisaille ambiante de l’hiver.

  10. Je ressens comme un frisson
    Sous les embruns de la mer
    De mes yeux jaillissent des étincelles
    Puisées dans les reflets du soleil
    Il y a le bruit incessant des vagues
    Et mon âme chante avec la mer
    Je n’ai pas besoin de croire en l’éternité
    Elle est contenue dans mes pensées
    Elle englobe l’immensité de la mer
    Elle se goûte par ce tout petit peu
    Car le temps n’a plus de temps
    C’est autre chose d’indéfinissable
    Toutes les teintes s’harmonisent
    Sur le miroir des lames brisées
    Il y a la mer, le ciel, les nuages
    La lumière qui danse sur les eaux
    Un horizon lointain qui m’entraîne
    En un état qui ne connaît pas de nom
    Où les formes, les odeurs, les bruits
    Le mouvement de l’eau, les jeux des couleurs
    Inventent un nouveau monde incroyable
    Qui va bien au-delà de mes rêves
    C’était un soir de ce mois de janvier
    Un cadeau de la vie tout simplement
    Non pas près de ces îles lointaines
    Mais sur les bords de la méditerranée
    Juste avant la tombée de la nuit
    Au pied des monts et des vallons.

  11. je t’embrasse, Monique,
    oui, JEAN, Ossiane et son blog, Ô de Ô de poête son souffle, quand la le monde tel le tue…Ossiane et ses matelos, clinique sur un radeau…sourire…
    je vous embrasse!

  12. Merci matelots qui défendez cet espace avac tant de chaleur et qui diffusez la lumière de vots mots avec tant de beauté, bonté et sincérité 🙂 Bien à vous tous et bienvenue aux petits nouveaux!!

  13. coucou Ossiane,
    tu t’es juste glissée entre ma relecture d’hier, ôlala les fautes d’hyperémotions..
    et puis ma lecture de tes mots pour JEAN…

    allez, je me corrige, mais reste incorrigible…sourire…

    quand LE monde tel le tue…
    Ossiane et ses matelots…
    j’étais tentée de mettre un ^ à matelot; merci Ossiane d’écrire sans fautes…sourire d’une incorrigible et je redis…

    tendresses pour vous de chacun…

  14. Le rond rose
    Décline
    La mer
    Qui n’est que le reflet
    Du ciel
    Reste là
    Le soir s’avance
    Et le reflet s’incline
    Je me décline ce mot:
    Coquillage

  15. C’est beau Vincent, je m’incline si je puis me permettre, aimé également mon passage vers chez…

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