Vos poèmes du mois de Novembre 2012 …

Si vous voulez bien déposer vos poèmes composés à partir des titres de notes du mois de Novembre sur la page des commentaires … Monique inaugure en beauté cette publication ! Merci à vous et à vous plumes !

Etrange effet de BRUINE sur le paysage
Comme le VŒU réalisé
D’un voyage au pays des étoiles.
La RESPIRATION coupée par l’émotion
A la vue d’une lueur comme UN APPEL DE PHARE
Astre géant au cœur de la nuit
« Phare » le mot s’impose et prolonge le rêve
PHARE OUEST, far-west, PHARE AWAY
PHARE BEHOND,  Phare du bout du monde……
Le délire, l’évasion où les jeux de lumière
Insensiblement nous entraînent
Loin, très loin au-delà de l’horizon.

 

9 réflexions sur « Vos poèmes du mois de Novembre 2012 … »

  1. J’avais un voeu formé
    de suspendre ma respiration enchantée
    pour que cesse la bruine sur la contrée
    j’avais croisé le destin
    lui faisant quelques appels de phare
    pour non pas sceller l’avenir
    mais bien le prévenir des risques
    avec cet esprit pionnier et conquérant
    que rien n’arrête quand gonflent les vents favorables
    j’avais un tropisme le phare ouest
    pas seulement épris de chevauchées
    repoussant sans cesse les limites
    au delà du monde visible
    ce qui faisait monter aux lèvres
    que décidément phare away
    alors from LA ou ailleurs
    tout cela dépassait mon entendement
    phare beyond , mais j’avançais résolument

  2. J’aime lire ces poèmes du mois!
    On a fait école!
    Monique, bravo! ta plume toujours belle et attirante!
    Thierry, avec émotion je vois ton adhésion à ce jeux de mots!

  3. Le phare east n’est pas breton mais il y a des caps à passer
    en route pour la mer noire, le pont euxin sans le tocsin , l’Hellespont
    les Dardanelles, la mer de Marmara, à la corne d’or on s’embouche sans embuches
    puis le détroit dernier passé sans denier sur les yeux, après le mythe de Noé revenu
    en mémoire , le mont Ararat en vue et l’Elbrouz sans frousse, on file vers Bakou
    où on exploite encore à Bas coups comme des casse pieds la Caspienne ce qui occasionne
    au Caucase proche des frissons âgés mais pas orgiaques.
    Mais voilà que nous roulons vers Aral qui n’en peut mais et qui râle presque avec le coton ouzbek qui lui mangé ses rives et fait rouiller ses bateaux de pêche.
    Une steppe kazakhe plus loin, sans tourner casque ni cosaque, laissons le soin à l’Ataman d’y mettre bonne ordre,nous pensons aux cavaliers de Kessel et aux nécropoles à tumuli mais nous passons l’Oural et ses contreforts, puis dans la Sibérie occidentale parcourons des verstes sans changer de veste, avant de faire relâche au lac Baïkal à ne pas confondre avec le Balkhach du kazakhstan.
    Avant de rejoindre Vladivostok et les rives de l’amour, nous faisons station à Irkoustsk
    sur les traces de Michel Strogof sans déguster de boeuf stroganof , et décidons de remonter vers la Kolyma et les ex goulags.
    Une épopée éprouvante et pleine d’épouvante, que le cinéma nous a montré entre derzou ousala et le portrait de Kotchak amiral blanc.

    Sans faire contrepoids je voulais faire contrepoint et faire entendre la douce musique slave celle des embâcles et des débacles, des obstacles aussi !

  4. Quand la BRUINE arrive sur mon Coeur
    et les ombres y se nident
    je fais un VOEU,
    d’embrasser l’infini de notre amour.
    Ma RESPIRATION rapide bâtit un nuage
    que couvre l’APPEL DE PHARE.
    Mais,
    Qu’importe le phare et son appel,
    soit Il le PHARE OUEST,
    le PHARE AWAY
    le PHARE BEYOND,
    si j’ai
    le phare de tes yeux?

  5. Telle une bruine sensible
    Son bel appel de phare
    Du phare ouest là bas
    De phare away joli
    Et de phare behond
    Des douces respirations
    La mer fait voeu son être

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *