Un jour / One day

Un Jour  / One Day

je lancerai mes rêves

je dessinerai mes ailes

je danserai la vie

 

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I’ll toss up my dreams

I’ll draw my wings

I’ll dance life

 

27 réflexions sur « Un jour / One day »

  1. Bonjour à vous,

    Très émue de lire les 82 commentaires!!!
    Touchée aussi de vous voir toujours si présents et si impliqués dans la vie de ce blog!!

    L’été s’effiloche, la reprise sonne la cloche … j’espère que vous avez pu prendre de bonnes respîrations pendant ces deux mois …

    Sachons encore profiter du vent léger, des derniers beaux jours en chaleur douce, des belles lumières subtiles qui nous éclairent à l’intérieur …

    Bienvenue sur cette nouvelle note, chers amis de l’Oeil Ouvert; je vous souhaite une belle journée ! Bises à tous!

  2. Bonjour Ossiane et heureuse de te retrouver sur cette note aux accents de douceur, de légèreté et de joie de vivre.
    _____

    Aux portes de l’automne
    J’introduirai mes rêves
    Regards de nostalgie
    Légèreté de libellule
    Couleurs de papillon
    Sur les fleurs de l’été
    Douce envolée
    En flâneries sucrées
    Je glanerai un jour encore
    Ce parfum de volupté
    Dans le ciel azuré
    Je volerai comme les anges
    Chanterai comme l’oiseau
    Sous la ramée dorée
    Des arbres du jardin

    _____

    Dernières rêveries douces et légères avant la reprise d’un rythme moins tranquille pour beaucoup et à qui je dis bon courage pour la rentrée.

  3. A quoi rêve-t-il? Son avion de papier il s’y cramponne tournant comme une toupie c’est lui qui va s’envoler!

  4. Un jour , un jour – Jean Ferrat

    « Tout ce que l´homme fut de grand et de sublime
    Sa protestation ses chants et ses héros
    Au-dessus de ce corps et contre ses bourreaux
    A Grenade aujourd´hui surgit devant le crime

    Et cette bouche absente et Lorca qui s´est tu
    Emplissant tout à coup l´univers de silence
    Contre les violents tourne la violence
    Dieu le fracas que fait un poète qu´on tue

    Un jour pourtant, un jour viendra couleur d´orange
    Un jour de palme, un jour de feuillages au front
    Un jour d´épaule nue où les gens s´aimeront
    Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

    Ah je désespérais de mes frères sauvages
    Je voyais, je voyais l´avenir à genoux
    La Bête triomphante et la pierre sur nous
    Et le feu des soldats porte sur nos rivages

    Quoi toujours ce serait par atroce marché
    Un partage incessant que se font de la terre
    Entre eux ces assassins que craignent les panthères
    Et dont tremble un poignard quand leur main l´a touché

    Un jour pourtant, un jour viendra couleur d´orange
    Un jour de palme, un jour de feuillages au front
    Un jour d´épaule nue où les gens s´aimeront
    Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

    Quoi toujours ce serait la guerre, la querelle
    Des manières de rois et des fronts prosternés
    Et l´enfant de la femme inutilement né
    Les blés déchiquetés toujours des sauterelles

    Quoi les bagnes toujours et la chair sous la roue
    Le massacre toujours justifié d´idoles
    Aux cadavres jetés ce manteau de paroles
    Le bâillon pour la bouche et pour la main le clou

    Un jour pourtant, un jour viendra couleur d´orange
    Un jour de palme, un jour de feuillages au front
    Un jour d´épaule nue où les gens s´aimeront
    Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche »

  5. sous le soyeux lumineux de la frondaison
    l’être androgyne s’essaie aux signes libératoires
    de la pente de la pelouse

    la branche traversière
    boa propitiatoire
    étage le bas du haut

    le banc hexagonal
    embase du clocher arbustif
    convoque le promeneur au silence

    caresse immense et déliée
    la main enveloppe d’un sourire
    le coeur de ceux qui aiment

  6. « la main enveloppe d’un sourire
    Le coeur de ceux qui aiment » regard

    Je sais le sourire être le baiser de l’âme, je ne sais qui l’écrit mais comme les deux vers ci-dessus écrits par regard je les garde inscrits comme un petit joyau au fond de mon coeur.

  7. On s’est promené entre travail et rentrée,laissant la routine sur le bord des routes.Par chance, nos écrans timbres-poste se sont allumés .petites veilleuses éclairant nos nuits . Surprise!Il fallait deviner les images mais les mots de la liseuse nous enchantaient allumant dans nos coeurs des lumières brillantes et de précieux sourires sur nos visages.

  8. un jour en appelle un autre
    mais il ne sont jamais pareils
    on peut humer benjoin et salsepareille
    consommer triticale et épeautre

  9. Nous y venons comme attirés
    Enclins à y trouver la quiétude
    Un coin de repos et de silence
    Une lumière tamisée mais claire
    Dans l’odeur d’herbes sèches
    Mêlées aux senteurs des écorces
    Un rendez-vous presque obligé
    Près des grands arbres familiers
    Seul avec sa solitude et le silence
    Toutes les branches connues
    Dressent un halo sécurisant
    Que l’on regarde sans voir
    Ou que l’on voit sans regarder
    Baldaquin de nos rêveries
    L’esprit est ailleurs et s’évade
    Vers de plus amples horizons
    Lieu de rencontre avec soi-même
    Dans cet environnement coutumier
    Où nos pas nous ont guidés un jour
    Sans le moindre pressentiment
    Qu’il deviendrait l’incontournable
    Chemin menant à la félicité
    Piste d’envol vers les hauteurs
    Point de ralliement des sentiments
    Demeure intime ou le cœur est à nu
    Loin de tous les regards indiscrets
    Où la nature sans réticence lui prodigue
    Tous les bienfaits d’un jardin enchanté.

  10. Merci encore Ossiane de nous offrir cet espace d’échange sur ton blog si beau dont les images et les textes ne peuvent que nous inciter à vouloir prolonger le rêve. je t’embrasse.

  11. Un jour peut être, je signerai une trêve
    avec mes démons que je démonterai
    je démontrerai alors ma détermination

  12. Un jour je convoquerai sylphes et elfes
    pour entamer une ronde enchantée
    dans ce mouvement endiablé
    nous aurons plus que des sourires échangés

  13. « Un jour , un beau jour, nous couperons l’eau claire à un baton d’encens. Des portes s’ouvriront, nous ouvrant à nous-même. » Ainsi finit le conte , le conte d’une veillée au pays de Liban.

  14. Un jour, tu verras, on se réveillera
    mais il sera trop tard
    on aura bien gâché notre terre
    épuisé les ressources
    vécu au dessus de nos moyens
    pollué à coeur les biotopes
    transformé le climat
    tout ça pour la pseudo richesse de quelques nantis

  15. Bonjour Ossiane,
    Je me rends à visiter votre blog depuis quelques années déjà, c’est toujours le même enchantement, paix et sérénité y règnent, les photos sont sublimes..
    Mes respects.
    Oxo.

  16. Un jour ,
    Les poules auront des dents.
    Je saurai, qui j’étais , qui je suis.
    Avec le sourire des poules ,
    Je partirai , ou je resterai ,
    Mais ,
    Je te verrai.
    Un jour ,
    Meme s’il n’y a plus de poules,
    Je serai , je saurai.
    La route est longue, que la route est longue…
    Mais vivant.
    Encore.
    Encore.
    ….
    M’entends tu ?
    M’entends tu ?

    Du tréfonds de tous tes silences ,
    Moi oui.
    Je t’entends.
    Je l’attends.
    Cet instant ou nous saurons
    Ou nous saurons toi et moi.

    Ou nous serons , toi , et moi.
    Ou nous serons toi et moi.

    Pas longtemps , pas longtemps.
    Car le voyage a été long déja, et , n’est pas terminé.

    Il a creusé ta peau cathédrale
    il a recroquevillé ton corps
    il a usé , déja , presque tout.
    Presque n’est pas tout.

    Pendant que poussent
    Les dents des poules,
    le voyage continue.

    Un sens
    Un instant
    juste
    juste
    juste pour moi,

    Une dernière fois
    Une première fois

    Sans larmes .
    Nous nous présenterons délarmés.
    Nous oublieront détraqués
    Nous oublieront traqués
    Nous oublieront truqués

    Juste pour nous,
    Te dis je,
    Un jour ,
    Nos vrais sourires .

  17. Comme c’est joli, Fauki, si fort de fort de vie…

    Un jour l’un accroche ses ailes
    Et s’envole
    Instants de grâce au plus près
    L’autre lié encore reste cloué au sol
    Quand la roue tourne
    Que le voilà déchaîné
    Le premier harcelé baillonné amputé
    Se lamente en silence
    Comme la vie sa triste
    Quand à deux bel ensemble
    La vie ne permet pas
    Plaque l’un des deux au sol
    Comme si l’état de grâce
    C’est encore pour après

    Alors d’ultimes efforts
    Glue colle forte d’espoirs
    Quatre ailes se donnent à être

    Viens donne moi la main
    On court à perdre haleine
    On se vertige le vide
    Et happés par le ciel
    La vie la vie la vie
    Dans son réel son ciel

  18. Danser ses rêves tel un oiseau, décoller vers les nuées
    Planer dans la brise
    les bancs attendent les promeneurs
    Vole Vole mon coeur
    La vie sera plus douce
    Belle rentrée
    Arlette

  19. Juste un tour par ici
    je ne sais pourquoi ..

    Un appel silencieux
    Une lecture qui touche

    Juste pour nous
    Te dis je
    Je reviendrai

  20. L’arbre par ses entrailles
    Hurla si fort si haut
    Que l’amour a couru
    Des yeux son aveuglé
    Paralysé de naissance
    Une main empêchée
    De serrer ce bel tronc
    La vie son ainsi faite
    De sacrifices immenses
    On aime de force telle
    Et elle nous empêche
    D’aimer de vrai de réel
    Alors le rêve emporte
    Permet de rester en vie
    Plutôt que succomber
    Dans des drames successifs

  21. Il en est souvent ainsi
    Le blues, l’angoisse ou la tristesse
    Appelez-le comme vous voudrez
    Il vous tombe sur les épaules
    Et pour beaucoup avec raison,
    Comme un fardeau trop lourd
    Un jour pas comme les autres
    Où vous auriez eu envie
    De vous évader de prendre l’air
    Mais la charge trop importante
    Vous empêche de vous envoler
    Vous voilà cloué au sol
    Sans vraiment savoir comment
    Vous tirer de ce mauvais pas
    Même le temps vous abandonne
    Il fait gris l’horizon est bouché
    Et ne pas se relever c’est renoncer à demain
    Ne plus entendre les oiseaux qui chantent
    Faire de l’ombre les cloisons d’une tombe
    C’est ne plus fouler le sol de la forêt
    Ne plus écouter les vagues sur les rochers
    Ne plus sentir le parfum des fleurs
    Oublier le bleu du ciel et les nuages roses
    La couleur du soleil la beauté de la terre
    Ce serait oublier que là-bas
    Un ami vous attend sous un arbre
    Avec ses mots, son sourire
    Et cette main tendue qui soulage,
    Qui entraîne, qui console, qui encourage
    Vous donne toute la force nécessaire
    Pour aller déposer ce fardeau qui vous pèse
    Et vous aider à comprendre que rien
    N’est jamais trop lourd, il suffit peut-être
    De prendre le temps de voir comment
    Comment un jour on se surprend
    A pouvoir venir à bout de l’impossible.

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