16 réflexions sur « Epure »

  1. Merci Olvier, bienvenue;) Et un grand merci également à tous ceux de passage qui ont laissé leurs mots de gentillesse à mon encontre dans les billets précédents. Si le coeur vous en dit, mêlez-vous aux vétérans poètes de cet espace, vous serez bien accueillis. J’adresse un signe d’amitié chaleureux aux passagers qui veillent indéfectiblement sur ce pont depuis des années;) Bonne soirée à tous!

  2. Bonsoir et merci Ossiane de ta douce présence ce soir
    ___

    Juste quelques lignes
    Tracées au pied des Cévennes
    La rigueur esquissée
    ____

    Un petit air de presque chez moi, là où dans la garrigue avoisinante , la nature capricieuse et aride dessine sur un ciel qui pourrait bien être bleu l’épure d’ une ramure dénudée et sans artifice prête à affronter les rigueurs du temps au coeur d’une végétation coriace, les racines ancrées dans un sol ingrat.

  3. Selon les circonstances, une nouvelle façon de voir, un nouveau regard, une autre image

    Pour un renouveau
    Un passage en noir et blanc-;)
    Les traits accentués

    Très bonne idée Ossiane

  4. il est là
    et bien là
    cela reste essentiel
    juste des jours d’hiver
    c’est pas toujours le printemps
    la vie est ainsi faite
    de labeurs et de joies
    pour le moment
    il dort se repose s’active
    dans ses racines profondes
    son printemps sera lui
    car il aime la vie
    du plus profond de son être

  5. Admirable photographie Ossiane , l’arbre me fait penser au tableau de Caspar David Friedrich « l’arbre aux corbeaux « . J’aime beaucoup la poésie qui se dégage de tes articles ,merci de ton accueil bienveillant !

  6. Quand il en fuse un au nez charbonneux et que
    son trait noirci donne en élévation un profil décharné
    le plan n’est pas complet mais fait de contraste et d’ombre
    et la projection de cette figure fantomatique
    fait paraître redoutables ces centaines de mains tendues
    la pureté n’est pas exclue mais l’âme est elle révélée
    quand si nu s’insinue le doute qui ronge
    ton bois tourne encore et visse sans viser

  7. « L’hiver ajoure, abstrait, stylise, élimine
    jusqu’à ne plus offrir au regard et au rêve
    qu’une simple écriture cursive de la réalité,
    portée d’une interprétation infinie. »

    Ph Trévedy

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