Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Dédale
jardin secret un lacis de passages l’ombre visitée
23 réflexions sur « Dédale »
Des dalles , oui mais en pente
en recherche de message
et celui qui l’ éreinte
n’a pas plus d’étreinte
mais de bien hauts bossages
là où se crée la voie vient la rente
Passage décisif
Chercher son chemin
Trouver sa voie
Dans les méandres de la vie
Dans les lacis conventionnels
Dans les passages lassants
Déchiffrer les labirynthes annoncés
Se laisser porter par ses passions
Pour quel choix?
Pour quel avenir ?
Mon fils passe le Bac, il a du faire des choix Post bac……………………..
Merci Ossiane pour ces superbes photos,
j’admire la construction, la puissance d’évocation
elles trouvent aujourd’hui un écho inattendu…………
Dans le dédale de mon esprit
Je n’ai pas tout compris…
le Bac, des épreuves. Mais aussi une poursuite d’études à envisager.
Une moulinette des priorités de choix de formations post bac par voie informatique.
Pas toujours évident à 18 ans.
Sujet bien terre à terre…
Détale, déballe, pédale
le voyage est toujours dans le chemin
on peut s’ensauver à toute jambe
ouvrir tout grand sa malle
redoubler d’effort sur le cycle
C’est émouvant
le passage du temps
Bel amour
au plus près jardin secret
Tes virages
ont le sens dans tant de sens
D’une rencontre
qui se vit chaque jour
Et les mains
rejointes remercient le temps
comme l’image est jolie, elle murmure tout bas ce qui ne se dit pas, mais qu’il est bon de dire, dans le creux de l oreille, dis dis le moi…chuchote le mur de lierres….le pas virage tendre..le temps son dous secret qui mérite qu’on l’aime….
Un délectable instant qui se joue des lumières
indépassable lieu en recherche de dieux tutélaires
dont l’auteur jamais ne se mine en topiaire
un lieu qui nous oblige à chercher sans espoir
une sortie que rien n’allège même le soir
à ne pas se frotter même contre des ridoirs
il est certes fort orné sans montrer ses tiroirs
de balustres enlevées comme d’un promontoire
étroit et secret il en remontrera des histoires
Je cherchais mon chemin sous de drôle d’ombrages
je ne croyais pas plus à l’outrage du temps
qu’à la possibilité de trouver enfin une issue
mais cette quête était propice à chercher en tout sens
et là vers où mes pas me guidaient j’avançais circonspect
que de mystères en somme et de caches abritées
comment arbitrer entre plusieurs issues
que rien ne distingue en première apparence
y a t il un fil même invisible de la taille d’un cil
qui pourrait mettre sur la piste et orienter vers la sortie
je me cogne et je déraisonne, les heures s’additionnent
il ferait bon trouver en fait, car l’exit excite la sourde peur
dans ce glacis glaçant me tout voici contrit
et pourtant pris à revers à vouloir exaucer
trop vite ce qui prend du temps
et tend vers l’infini
Partir
Suivre le chemin
Rester
Se perdre en chemin
Ouh ouh il n’y a plus personne
le pont serait il désert, en tout cas il est muet
le labyrinthe est certes une énigme
Merci Ossiane de nous régaler de cette serie en noir et blanc
qui fait grand effet et dont le piqué est vraiment génial
ça donne envie de s’y frotter
bonsoir à l’équipage et à la revoyure
Là si tu visites le dédale
pour le jardin secret
alors déroules le fil d’Ossiane
l’ombre sera Persée
Et le cœur traversé.
jusqu’à ce que la mort nous sépare
Bien niché tout profond
Il vague ses états d’âme
Au plus près de l’aimer
Son bel jardin secret
douce journée pour chacun.
Le coeur se sinue Là
Il bat palpitations
Serré au plus profond
Il se sent rassuré
C’est bien bon d’être aimé
Marcher tout de plein son réel
là tout simplement marcher
Main dans la main
Peut être même pas
Quand les ondes se serrent de telle force
Avancer de son simple
Muet de n’en pas revenir
Que d’être là son présent doux posé
Chemin sans issue
Dédale où mon coeur se perd
Dans l’ombre souhaitée
Je vais m’en aller
Là où je suis moi
Je vais m’en aller
Loin de ce monde
Que je côtoie
Dédales de l’immonde
Je vais m’en aller
Silence de l’émoi.
Tu vas t’en aller toi
mais que vais je faire
sans toi
on ne peut reculer
devant toutes les limites
même si on n’imite
personne
ça paraît bien étroit
en recherche de droits
c’est du Kafka
ce monde labyrinthique
où l’homme s’égare
qui perd le fil
de sa pensée
et de sa vie
qui évite
de se projeter
d’anticiper
un futur pas souriant
tout faire et tout avoir
ici et maintenant
et pour les autres
à venir
quel avenir
ne pas couper le fil
seulement le cordon
pas sanitaire uniquement
la valse des générations
fait vaciller le système
Ariane appelle son frère
c’est le tort qui la mine
c’est l’espoir qui l’anime
Dédale et le mot dure
a perdu tout repère
Le ciel de tes yeux
A fermé les paupières
et tes mots sonnent
Dans la nuit vide
Bonjour,
Seul moyen efficace pour sortir du Dédale: prendre de la hauteur…
Son fils l’avait bien compris… mais, à vouloir s’élever trop haut, il se brûla les ailes…
Et plus dure fut sa chute…
Alors sachons aussi profiter des méandres que la vie nous propose !
Des dalles , oui mais en pente
en recherche de message
et celui qui l’ éreinte
n’a pas plus d’étreinte
mais de bien hauts bossages
là où se crée la voie vient la rente
Passage décisif
Chercher son chemin
Trouver sa voie
Dans les méandres de la vie
Dans les lacis conventionnels
Dans les passages lassants
Déchiffrer les labirynthes annoncés
Se laisser porter par ses passions
Pour quel choix?
Pour quel avenir ?
Mon fils passe le Bac, il a du faire des choix Post bac……………………..
Merci Ossiane pour ces superbes photos,
j’admire la construction, la puissance d’évocation
elles trouvent aujourd’hui un écho inattendu…………
Dans le dédale de mon esprit
Je n’ai pas tout compris…
le Bac, des épreuves. Mais aussi une poursuite d’études à envisager.
Une moulinette des priorités de choix de formations post bac par voie informatique.
Pas toujours évident à 18 ans.
Sujet bien terre à terre…
Détale, déballe, pédale
le voyage est toujours dans le chemin
on peut s’ensauver à toute jambe
ouvrir tout grand sa malle
redoubler d’effort sur le cycle
C’est émouvant
le passage du temps
Bel amour
au plus près jardin secret
Tes virages
ont le sens dans tant de sens
D’une rencontre
qui se vit chaque jour
Et les mains
rejointes remercient le temps
comme l’image est jolie, elle murmure tout bas ce qui ne se dit pas, mais qu’il est bon de dire, dans le creux de l oreille, dis dis le moi…chuchote le mur de lierres….le pas virage tendre..le temps son dous secret qui mérite qu’on l’aime….
Un délectable instant qui se joue des lumières
indépassable lieu en recherche de dieux tutélaires
dont l’auteur jamais ne se mine en topiaire
un lieu qui nous oblige à chercher sans espoir
une sortie que rien n’allège même le soir
à ne pas se frotter même contre des ridoirs
il est certes fort orné sans montrer ses tiroirs
de balustres enlevées comme d’un promontoire
étroit et secret il en remontrera des histoires
Je cherchais mon chemin sous de drôle d’ombrages
je ne croyais pas plus à l’outrage du temps
qu’à la possibilité de trouver enfin une issue
mais cette quête était propice à chercher en tout sens
et là vers où mes pas me guidaient j’avançais circonspect
que de mystères en somme et de caches abritées
comment arbitrer entre plusieurs issues
que rien ne distingue en première apparence
y a t il un fil même invisible de la taille d’un cil
qui pourrait mettre sur la piste et orienter vers la sortie
je me cogne et je déraisonne, les heures s’additionnent
il ferait bon trouver en fait, car l’exit excite la sourde peur
dans ce glacis glaçant me tout voici contrit
et pourtant pris à revers à vouloir exaucer
trop vite ce qui prend du temps
et tend vers l’infini
Partir
Suivre le chemin
Rester
Se perdre en chemin
Ouh ouh il n’y a plus personne
le pont serait il désert, en tout cas il est muet
le labyrinthe est certes une énigme
Merci Ossiane de nous régaler de cette serie en noir et blanc
qui fait grand effet et dont le piqué est vraiment génial
ça donne envie de s’y frotter
bonsoir à l’équipage et à la revoyure
Là si tu visites le dédale
pour le jardin secret
alors déroules le fil d’Ossiane
l’ombre sera Persée
Et le cœur traversé.
jusqu’à ce que la mort nous sépare
Bien niché tout profond
Il vague ses états d’âme
Au plus près de l’aimer
Son bel jardin secret
douce journée pour chacun.
Le coeur se sinue Là
Il bat palpitations
Serré au plus profond
Il se sent rassuré
C’est bien bon d’être aimé
Marcher tout de plein son réel
là tout simplement marcher
Main dans la main
Peut être même pas
Quand les ondes se serrent de telle force
Avancer de son simple
Muet de n’en pas revenir
Que d’être là son présent doux posé
Chemin sans issue
Dédale où mon coeur se perd
Dans l’ombre souhaitée
Je vais m’en aller
Là où je suis moi
Je vais m’en aller
Loin de ce monde
Que je côtoie
Dédales de l’immonde
Je vais m’en aller
Silence de l’émoi.
Tu vas t’en aller toi
mais que vais je faire
sans toi
on ne peut reculer
devant toutes les limites
même si on n’imite
personne
ça paraît bien étroit
en recherche de droits
c’est du Kafka
ce monde labyrinthique
où l’homme s’égare
qui perd le fil
de sa pensée
et de sa vie
qui évite
de se projeter
d’anticiper
un futur pas souriant
tout faire et tout avoir
ici et maintenant
et pour les autres
à venir
quel avenir
ne pas couper le fil
seulement le cordon
pas sanitaire uniquement
la valse des générations
fait vaciller le système
Ariane appelle son frère
c’est le tort qui la mine
c’est l’espoir qui l’anime
Dédale et le mot dure
a perdu tout repère
Le ciel de tes yeux
A fermé les paupières
et tes mots sonnent
Dans la nuit vide
Bonjour,
Seul moyen efficace pour sortir du Dédale: prendre de la hauteur…
Son fils l’avait bien compris… mais, à vouloir s’élever trop haut, il se brûla les ailes…
Et plus dure fut sa chute…
Alors sachons aussi profiter des méandres que la vie nous propose !
C’est beau un méandre…
http://www.cen-auvergne.fr/IMG/jpg/Queuille_-_Meandre_de_Queuille_-_GG_CEPA.jpg
Je découvre votre site. Et c’est très doux !
Merci… beaucoup !
Silas