Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Pause
dans la lune un mouton dans l’espace l’homme qui rêve
34 réflexions sur « Pause »
Homme
Laisse toi approcher
De tes bels rêves
Plus près
Plus près en corps de toi
Serre le plein d’égards
Il te fait vivre tu sais
Ce rêve en tout profond
Il te dorlotte t’aime
Ton rêve au creux de toi
Car déjà il est toi
Et sans soi on n’est rien
Alors comme c’est bon
D’être en vie tellement
Au plus près bords de rêves
Aime toi lui en toi
Une image s’expose
Un regard se pose
Une âme suppose
La parenthèse
Le temps qui lui appartient
l’orée du monde
Mure réflexion
Paysage de rêve
Remords ou regrets
Et toujours l’Arrêt
sur Image, et le Temps :
Moutons d’Infini !
**(l’image des moutons d’infini est à Léo Ferré. C’est la fin de la chanson « la mémoire et la mer »)
Triste mélodie
De rondes et de pauses
Silences , soupirs.
Les pensées s’envolent.
A la rambarde du ciel,
Le monde est si loin !
Super article! j’en parlerai à mes clients
Dessine-moi un mouton
ne sois pas dans la lune
mais sur ma petite planète !
Là-bas appuyé à la balustrade
Se tenait rêveur, immobile,
Le regard flottant sur les eaux
Un homme, le temps arrêté
L’âme et le cœur en silence
Tandis que glissent les nuages
La nature retient son souffle
Offre au monde une trêve.
« (…) Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours ! (…) Lamartine
S’il te plait dessines moi un mouton !
Céleste mouton
Joyeusement déboule
L’homme rêveur
Au belvédère accoudé
Ne voit rien arriver
En ouvrant mon carnet d’or je retrouve ce si beau poème de William Blake écrit ici par Monique le 13 Novembre 2008 !!!! il correspond je trouve à cette belle image d’Ossiane
« Dans un grain de sable voir un monde
Dans chaque fleur des champs le paradis
Faire tenir l’infini dans la paume de la main
Et l’éternité dans une heure »
Le rêveur au bord de l’eau pense peut- être aussi ..
Pensées vers tous Arlette
comme c’est joli de reciter ses mots à William Blake,
merci Arletteart!
c’est tellement bon de vivre ainsi,
en trouvant en se laissant prendre par la vie son petit, et voyager dedans des périples des rêves des beautés des amours de la vie tant son bel!
Un pas son doucement
Les mains cachent ses yeux
Le silence se vit
Et quand il se retourne
Son rêve devant lui
Reflets argentés
Perdre le fil des pensées
Douce évasion
Une magnifique sensation d’espace. Tu nous fais respirer.
Faut il faire un topo sur la pause
ou aborder la tropopause
l’anthropopause serait elle à l’anthropocène
ce que la pause est à la cène
bien sur il y a la magnétopause
et aussi l’héliopause
ce sont des espaces
de transition calme
ou la cessation le dispute à la sécession
faut il demander un café
sans jamais prendre la pose
ni demander à Pausanias
à qui il a mis la pâtée à Platées
bien sûr il y a l’andropause
qui calme les ardeurs
mais qui appuie sur le bouton
quand la nuit nous rêvons
J’ai ouvert ce matin le grand livre de l’amitié, j’y ai lu des mots qui rassurent, petite pause dans le quotidien, j’ai marché dans le vent, le soleil était timide mais il était là, même si les eaux du lac sont grises, le reflet des nuages laisse une lueur blanche et légère et c’est joli.
____
Bonne et belle journée à tous
Les doigts se posent la balustrade
Et déjà s’envolent leurs cordes
Qui se remplissent de douces notes
Un nuage en accords fait un clin d’oeil
Ô temps de recevoir ce doux coulis mirage
Quel bel rêve joué en accords de mots tendres
Aimer son fil du jour est un bel passe temps
Qui remue de belles ondes rend vivant
Comme c’est beau le rêve son éveille
Le regard son perdu tellement retrouvé
Dans le ciel bel présent qui offrande tellement
Doux jour de Printemps tendre pour chacun!
bonjour Monique!
Tout monte vers la lune mais mon tout ne fais pas un monde
on n’a pas essayé d’envoyer d’ovins sur notre satellite
pourtant dès qu’on a pu on a testé mais seulement en vol sub orbital
ou en circuit complet des souris et des chiens, des singes aussi
ondule l’écho au fil de l’eau…
Pour toi Annick un petit bonsoir sensible à ton petit clin d’oeil de ce matin et à tous une bonne nuit.
Il est tard je laisse aller mes rêves à la dérive, à cette heure, plus de nuages blancs dans le ciel, les eaux du lac sont enfermées dans leur écrin de velours noir et les monts ont revêtus leur robe de nuit. Le promeneur solitaire s’en est allé. Tout dort, tout se repose, le temps d’une nuit, le temps d’une pause.
Tout n’oppose pas la terre et la lune
on vient même de découvrir
que leur contenu en eau interne
serait du même tonneau
ah si les nuages pouvaient monter jusqu’à elle
et la couronner de félicité
faire virer son gris blanc au bleu
la pause appelle le ressourcement
un inter-temps qui n’obère rien
ondule l’écho au fil de l’eau
pause repose dépose ose aime
résonne l’écho de l’eau
de l’o om mmm…
Au lac, à son image,mes yeux qui contemplaient,
Ne pouvant s’arrêter aux limites physiques
Bien au-delà des monts, des villas ,des reflets,
Mon esprit emporté en l’ espace volait
De moutons en nuages où je te retrouvai.
Est il nécessaire d’appuyer sur pause pour que tout s’arrête et que dans la fixité du moment
on puisse s’appuyer sur la stabilité des images ayant chassé le mouvement
est il souhaitable de manier le balai sans être sorcier pour faire voltiger les moutons
est il possible d’entamer un ballet pour éviter de s’endormir en ayant la tête dans la lune
est il concevable sans être hébété d’imiter Panurge quand ça urge et de faire bééééé
Faut il se faire tondre la laine sur le dos ou se conduire en troupeau
pour se faire cadrer l’image a besoin de limites et d’une belle composition
et peut on être la risée de cratères qui ne sont pas vaseux
C’est dans un élancement que le balancement trouve son élan
c’est dans une joie pensive qu’en esprit on se transporte
mais Cyrano déjà et bien d’autres avant lui avaient désiré
ce voyage et le voyaient comme un accomplissement
Méliès faisait un clin d’oeil à un astre éborgné
tous se tournaient avec des yeux scrutateurs
vers ce qui passait pour un havre de Bonheur
pourtant Galilée avait commencé à en percer quelques secrets
mais la route était longue et il fallu faire preuve de courage et de témérité
ainsi le rêve se mua en réalité
quoiqu’en dise Karel
La pause est une cause juste même si pendant ce temps la de relâche un peu lâche
on se lâche tout en cultivant l’art du si qui lance, un conditionnel inconditionnel pour qui veut en profiter pleinement et vibrer en écho à tout ce que donne la nature de beauté et de générosité
alors oui on peut bien lâcher prise dans la brise qui efface le doute et soigne les fatigues par un temps de repos ou repose l’esprit et ou chacun à sa dose pour se remplir d’air frais et d’énergie avant que de repartir de plus belle sans se départir d’un optimisme inaltérable.
Eh oui Thierry quand la fiction devient réalité ou quand l’imaginaire ne fait que transcender le réel Karel sait tout ça ainsi que ce Galilée si contre-versé à son époque, alors rêvons qui sait si le rêve ne sera pas le point de départ de grandes et belles idées. Une pause vaut peut-être de tenter laisser l’esprit vagabonder aux frontières du raisonnable, et si c’était là dans la réflexion passive, dans l’inconscient de nos cervelles que se trouvent les solutions à tous nos problèmes ? Alors la pause aurait doublement sa raison d’être, au delà du simple repos ou de la douce contemplation.
Pierre plate
Ricoche,vole sur l’eau.
Ainsi, mes pensées
Sur la dure surface
De la réalité
hou ! que se trouvent leS solutionS merci de corriger
merci pour tout Ossiane, jamais bien loin notre Capitaine, je t’embrasse.
Le capitaine au travail, pas de trêve pour lui;) Je t’embrasse, Monique!
coucou d’ascencion, dans le ciel …TENDRES PENSEES.
Homme
Laisse toi approcher
De tes bels rêves
Plus près
Plus près en corps de toi
Serre le plein d’égards
Il te fait vivre tu sais
Ce rêve en tout profond
Il te dorlotte t’aime
Ton rêve au creux de toi
Car déjà il est toi
Et sans soi on n’est rien
Alors comme c’est bon
D’être en vie tellement
Au plus près bords de rêves
Aime toi lui en toi
Une image s’expose
Un regard se pose
Une âme suppose
La parenthèse
Le temps qui lui appartient
l’orée du monde
Mure réflexion
Paysage de rêve
Remords ou regrets
Et toujours l’Arrêt
sur Image, et le Temps :
Moutons d’Infini !
**(l’image des moutons d’infini est à Léo Ferré. C’est la fin de la chanson « la mémoire et la mer »)
Triste mélodie
De rondes et de pauses
Silences , soupirs.
Les pensées s’envolent.
A la rambarde du ciel,
Le monde est si loin !
Super article! j’en parlerai à mes clients
Dessine-moi un mouton
ne sois pas dans la lune
mais sur ma petite planète !
Là-bas appuyé à la balustrade
Se tenait rêveur, immobile,
Le regard flottant sur les eaux
Un homme, le temps arrêté
L’âme et le cœur en silence
Tandis que glissent les nuages
La nature retient son souffle
Offre au monde une trêve.
« (…) Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours ! (…) Lamartine
S’il te plait dessines moi un mouton !
Céleste mouton
Joyeusement déboule
L’homme rêveur
Au belvédère accoudé
Ne voit rien arriver
En ouvrant mon carnet d’or je retrouve ce si beau poème de William Blake écrit ici par Monique le 13 Novembre 2008 !!!! il correspond je trouve à cette belle image d’Ossiane
« Dans un grain de sable voir un monde
Dans chaque fleur des champs le paradis
Faire tenir l’infini dans la paume de la main
Et l’éternité dans une heure »
Le rêveur au bord de l’eau pense peut- être aussi ..
Pensées vers tous Arlette
comme c’est joli de reciter ses mots à William Blake,
merci Arletteart!
c’est tellement bon de vivre ainsi,
en trouvant en se laissant prendre par la vie son petit, et voyager dedans des périples des rêves des beautés des amours de la vie tant son bel!
Un pas son doucement
Les mains cachent ses yeux
Le silence se vit
Et quand il se retourne
Son rêve devant lui
Reflets argentés
Perdre le fil des pensées
Douce évasion
Une magnifique sensation d’espace. Tu nous fais respirer.
Faut il faire un topo sur la pause
ou aborder la tropopause
l’anthropopause serait elle à l’anthropocène
ce que la pause est à la cène
bien sur il y a la magnétopause
et aussi l’héliopause
ce sont des espaces
de transition calme
ou la cessation le dispute à la sécession
faut il demander un café
sans jamais prendre la pose
ni demander à Pausanias
à qui il a mis la pâtée à Platées
bien sûr il y a l’andropause
qui calme les ardeurs
mais qui appuie sur le bouton
quand la nuit nous rêvons
J’ai ouvert ce matin le grand livre de l’amitié, j’y ai lu des mots qui rassurent, petite pause dans le quotidien, j’ai marché dans le vent, le soleil était timide mais il était là, même si les eaux du lac sont grises, le reflet des nuages laisse une lueur blanche et légère et c’est joli.
____
Bonne et belle journée à tous
Les doigts se posent la balustrade
Et déjà s’envolent leurs cordes
Qui se remplissent de douces notes
Un nuage en accords fait un clin d’oeil
Ô temps de recevoir ce doux coulis mirage
Quel bel rêve joué en accords de mots tendres
Aimer son fil du jour est un bel passe temps
Qui remue de belles ondes rend vivant
Comme c’est beau le rêve son éveille
Le regard son perdu tellement retrouvé
Dans le ciel bel présent qui offrande tellement
Doux jour de Printemps tendre pour chacun!
bonjour Monique!
Tout monte vers la lune mais mon tout ne fais pas un monde
on n’a pas essayé d’envoyer d’ovins sur notre satellite
pourtant dès qu’on a pu on a testé mais seulement en vol sub orbital
ou en circuit complet des souris et des chiens, des singes aussi
ondule l’écho au fil de l’eau…
Pour toi Annick un petit bonsoir sensible à ton petit clin d’oeil de ce matin et à tous une bonne nuit.
Il est tard je laisse aller mes rêves à la dérive, à cette heure, plus de nuages blancs dans le ciel, les eaux du lac sont enfermées dans leur écrin de velours noir et les monts ont revêtus leur robe de nuit. Le promeneur solitaire s’en est allé. Tout dort, tout se repose, le temps d’une nuit, le temps d’une pause.
Tout n’oppose pas la terre et la lune
on vient même de découvrir
que leur contenu en eau interne
serait du même tonneau
ah si les nuages pouvaient monter jusqu’à elle
et la couronner de félicité
faire virer son gris blanc au bleu
la pause appelle le ressourcement
un inter-temps qui n’obère rien
ondule l’écho au fil de l’eau
pause repose dépose ose aime
résonne l’écho de l’eau
de l’o om mmm…
Au lac, à son image,mes yeux qui contemplaient,
Ne pouvant s’arrêter aux limites physiques
Bien au-delà des monts, des villas ,des reflets,
Mon esprit emporté en l’ espace volait
De moutons en nuages où je te retrouvai.
Est il nécessaire d’appuyer sur pause pour que tout s’arrête et que dans la fixité du moment
on puisse s’appuyer sur la stabilité des images ayant chassé le mouvement
est il souhaitable de manier le balai sans être sorcier pour faire voltiger les moutons
est il possible d’entamer un ballet pour éviter de s’endormir en ayant la tête dans la lune
est il concevable sans être hébété d’imiter Panurge quand ça urge et de faire bééééé
Faut il se faire tondre la laine sur le dos ou se conduire en troupeau
pour se faire cadrer l’image a besoin de limites et d’une belle composition
et peut on être la risée de cratères qui ne sont pas vaseux
C’est dans un élancement que le balancement trouve son élan
c’est dans une joie pensive qu’en esprit on se transporte
mais Cyrano déjà et bien d’autres avant lui avaient désiré
ce voyage et le voyaient comme un accomplissement
Méliès faisait un clin d’oeil à un astre éborgné
tous se tournaient avec des yeux scrutateurs
vers ce qui passait pour un havre de Bonheur
pourtant Galilée avait commencé à en percer quelques secrets
mais la route était longue et il fallu faire preuve de courage et de témérité
ainsi le rêve se mua en réalité
quoiqu’en dise Karel
La pause est une cause juste même si pendant ce temps la de relâche un peu lâche
on se lâche tout en cultivant l’art du si qui lance, un conditionnel inconditionnel pour qui veut en profiter pleinement et vibrer en écho à tout ce que donne la nature de beauté et de générosité
alors oui on peut bien lâcher prise dans la brise qui efface le doute et soigne les fatigues par un temps de repos ou repose l’esprit et ou chacun à sa dose pour se remplir d’air frais et d’énergie avant que de repartir de plus belle sans se départir d’un optimisme inaltérable.
Eh oui Thierry quand la fiction devient réalité ou quand l’imaginaire ne fait que transcender le réel Karel sait tout ça ainsi que ce Galilée si contre-versé à son époque, alors rêvons qui sait si le rêve ne sera pas le point de départ de grandes et belles idées. Une pause vaut peut-être de tenter laisser l’esprit vagabonder aux frontières du raisonnable, et si c’était là dans la réflexion passive, dans l’inconscient de nos cervelles que se trouvent les solutions à tous nos problèmes ? Alors la pause aurait doublement sa raison d’être, au delà du simple repos ou de la douce contemplation.
Pierre plate
Ricoche,vole sur l’eau.
Ainsi, mes pensées
Sur la dure surface
De la réalité
hou ! que se trouvent leS solutionS merci de corriger
merci pour tout Ossiane, jamais bien loin notre Capitaine, je t’embrasse.
Le capitaine au travail, pas de trêve pour lui;) Je t’embrasse, Monique!
coucou d’ascencion, dans le ciel …TENDRES PENSEES.