31 réflexions sur « Loge »

  1. Loge ou Loggia, de la logia larga afghane qui réunit en assemblée les tribus éparpillées pour un concilium à la llonga de mar qui est la criée catalane où s’élabore le succulent suquet et où les étals regorgent de rape, la lotte qui nous met la gueule de travers et les papillotes en joie avant même que de la faire dans son jus dégorger calmement.

    De loge de charbonnier qui dans la forêts des Carnutes semble caduque mais a laissé son nom à une belle étendue dans le Pithiverais à la loge de la cantatrice tentée par le grand large et qui largue les amarres dans un crescendo optimo.

    De la loge du maçon sur les chantiers des cathédrales où se partagent les secrets opératifs au glissement sémantique qui voit des hommes épris de liberté partager des travaux plus spéculatifs.

    Ouverte sur le monde mais souvent fermée sur l’indicible, lieu d’émois où se concentre le moi la voilà livrée aux quatre vents.

  2. Le lierre ne grimpe pas
    Le temps ets arrêté
    Et c’est bien
    Ici ce vit le tant sans âge
    Dans la loge ravie
    Qui regarde vers devant
    Et serre son instant
    Ce miracle de vie
    De se sentir vibrant

    bel jour!
    des vues à rencontrer, de la marche à se faire du bien, quand la belle énergie est revenue, c’est bon d’en profiter,
    le hamac c’est pour ce soir entre deux bois en clématites qui grimpent, c’est d’un fort bel charmant…

  3. je me suis embrouillé les pinceaux, c’est la joya larga
    un peu largué quoi mais pour les éloges y a de quoi faire !

  4. Pardonné Thierry -;)
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    Rêveries poétiques
    Sur les bords du lac
    En ce paysage romantique
    Où Stendhal venait
    Peut-être en cette loge
    Goûter la fraîcheur
    Et vivre des émotions intenses
    Ces lieux sublimes
    Où tous les styles littéraires
    Semblent pouvoir se rencontrer
    Tant il y a une aura de poésie,
    Matière à rêver
    A regarder à entendre
    Matière à chanter
    Un écrin, une loggia
    Un parfum de bonheur.
    Chacun dans sa vie
    Connait des lieux semblables
    Où la mémoire s’installe
    Comme en un sanctuaire
    Une cabane, une pagode
    Elles deviennent palais
    Des lieux où résonnent des voix
    D’où émanent des ondes
    D’où fleurissent des songes
    Des lieux où l’on aime revenir
    Où l’on voudrait sans cesse revenir.
    ____

  5. Partant du francisque laubja on voit bien l’effet contractif et sifflant et si l’allemand laube signifie tonnelle ce n’est pas par hasard, de sorte que d’abri en tribune, on peut imaginer une pièce ouverte sur l’extérieur, voire même en élévation qui surplombe et manifeste la préséance pour de hauts personnages.

    Haut perchés en tout cas pour mieux dominer l’espace et les événements, spectateurs particulièrement favorisés et dont le regard plongeant attire les vivas ou les quolibets.

    Qu’à cela ne tienne les hommes de pouvoir tiennent aux manifestations de celui ci et on ne les déloge pas facilement de leurs avantages et privilèges.

    Quand à en faire l’éloge on imagine fort bien la proximité d’un patio, histoire de paseo et aussi de s’élever pour attendre ce sommet dont la vue est si prometteuse et les abords si dégagés.

  6. « francique » Thierry et non francisque si je peux me permettre tout en te disant bonsoir
    Dans cette définition de la loge pour reprendre tes mots :
    « d’abri en tribune, on peut imaginer une pièce ouverte sur l’extérieur, voire même en élévation
    Haut perchés en tout cas pour mieux dominer l’espace et les événements, spectateurs particulièrement favorisés et dont le regard plongeant attire les vivas ou les quolibets. »
    et pour ainsi revenir à ces lieux de rêve ou de contemplation, j’ai pensé en te lisant à cet abri..loge… cabane… refuge, guet voilà j’ai enfin fini par trouver le mot juste, que l’on trouve en forêt de Chambord pour observer les biches et les cerfs, endroits féeriques même s’il n’y a pas toujours de biches ni de cerfs, c’est un endroit privilégié qui n’ayant rien de comparable à cette loge d’une villa du lac de Côme, garde cet attrait du lieu en ce parc merveilleux où les souvenirs ennoblissent encore plus ces endroits de rêve. Ensuite belle est la part faite aux poètes !
    ___

    En ce lieu étrange
    L’émotion est à son comble
    Ailleurs, hors du temps
    ___

    Je reste un moment encore dans cette « loge » pour y trouver le calme, le repos dans le silence et la beauté

  7. Oh pardon j’ai écrit à la hache mais je me suis coupé !
    ceci clôt le vice quand on ne se relit pas on relie mal à propos
    et on perd deux têtes d’un coup

  8. Qui n’aimerait pas
    Se trouver au petit matin
    A contempler de cette loge
    Le lac à peine sorti de la brume
    Et sur les rives encore endormies
    Deviner les contours
    Des demeures et des jardins
    Voir se profiler les grands arbres
    Spectres de la nuit qui s’enfuit
    Prolonger mille rêves jolis
    Laisser doucement
    Le jour dévoiler ses splendeurs
    Dans la douceur et le silence
    Ecouter poindre les premiers sons
    Sortis des profondeurs de l’aube
    A l’orée des grands lacs ?

  9. Comment imaginer l’eau trouble, quand on a un horizon si limpide
    comment laisser s’insinuer le doute, quand on a trouvé un guide
    comment trouver le temps long, quand rien ne s’écoule comme rapide

    il est des lieux bienfaisants qui chemin faisant nous apportent
    joie,sérénité et beauté
    contemplant enfin ce qui n’a pas de fin nous ne saurions rester sur notre faim
    si c’est notre destin d’être aux premières loges alors tant mieux

    abrités, protégés mais exposés à la vue nous rendons ce que nous recevons
    ce n’est ni un fardeau ni une astreinte, c’est un merveilleux cadeau

  10. Où se logent mes pensées jamais dépassées par la splendeur du paysage,
    dans quels endroits résident elles, ne dévoilant qu’à grand peine le minimum ;
    dans cet affleurement du doute et du regret comme si c’étaient trésors qui ne se partagent guère et que dans la veine aurifère on s’acquitte comme on peut et on se quitte un peu.

  11. Les feuilles remuent des lys
    La bise se fait si tendre
    Doux coulis son sublîme
    Le hamac tend sa toile
    Entre les clématites
    Dans sa loge de vie
    Qui se vit de belles aises
    La vie a tout ses sens
    Entre les bras des songes
    De doux rêves son intime

  12. Dans la loge ouverte aux quatre vents
    Le soleil s’étire en révérence
    Les hirondelles vont et viennent
    Libres comme les regards
    Se promenant sur les eaux
    Fond d’écran en panorama
    D’élégance et de bon goût
    Le romantisme flirte avec le beau
    La vie n’est pas plus belle
    Mais la beauté nous offre
    Un temps de repos salutaire
    Qui fait que l’on s’attarde
    En ce lieu intime et divin
    Pour y trouver peut-être
    Le piment du bonheur.

  13. C’est vrai Annick, le temps s’est arreté.
    C’est comme ça que je me sens regardant cette série de photos.
    Je regarde le passé avec les yeux du présent.
    On peut remémorer notre vie, seulement en restant dans cette loge regardant les eaux, les vieilles maisons, les arbres centenaires.
    Ossiane,
    Merci pour partager avec nous ces photos.

  14. Les ans font l’Homme
    Les enfants la femme…ah je ne fais que traverser la loggia avec mes gammes ):

  15. De la loge 
    se contemple le silence
    les hauts
    les bas 
    d’une rivière lasse
    De la loge
    se mesurent les vies denses  
    J’ai peine et conjugue la souffrance 
    souvenir
    errance et nos enfances    
    sable mouvant 
    de nos noyades
    l’eau n’a emporté que toi
    et je vis
    De la loge, 
    les spectacles ne s’offrent plus qu’en gris

     

  16. Je retente un commentaire disparu sur cet espace aux configurations nouvelles :

    Au bord du lac, dans le matin clair
    Lorsque l’eau frétille au souffle de la bise
    Et qu’un rayon de soleil éclaire le jour
    A peine entendons-nous le clapotis
    Des vagues contre les remparts de pierre
    Un voile de brume s’élève au-dessus de l’eau
    Le jour peut commencer le rideau est levé
    Sur le balcon dominant la grande baie
    On attend comme dans un conte de fée
    Princes et princesses en costumes de fête
    Nous ouvrir les portes de leur monde magique
    Féerie de beauté qui transcende la réalité du jour
    En un rêve extraordinaire toujours plus beau
    Chaque paysage lorsqu’il dépasse l’imaginaire
    Devient le théâtre d’une infinie splendeur.
    Promenade vers un ailleurs, l’instant de répit.

  17. Bonsoir à tous,

    Merci pour tous ces beaux commentaires déposés sur les dernières notes, j’ai toujours autant de plaisir à les découvrir, une petite fenêtre de beauté durant le travai qui m’accapare toujours beaucoupl. Il y a des allées et venues sur le pont et même du Brésil; je voudrais saluer tous ceux qui passent, entrent, sortent ou reviennent.

    Aujourd’hui est un nouveau jour, Les blogs du Monde ont revêtu de nouveaux habits comme le laisse entendre Pierre. Nous avons enfin une nouvelle plateforme pour éditer nos blogs. Au premier abord, il me semble qu’elle est plus complète, plus rapide et plus fiable que la précédente, je croise les doigts pour que ça marche comme sur des roulettes. Je vais essayer de publier une nouvelle note avec la nouvelle interface.

    Pour répondre à Pierre, je suis ravie de t’avoir dépanné et que tu puisses enfin nous voir; tu semblais si malheureux;) La version de WordPress que nous avions était vraiment ancienne et dépassée; elle n’était pas adaptée à Internet Explorer 9. Suite à cette version 3 de WordPress, je te conseille d’essayer de naviguer avec IE9 sur les blogs du Monde si tu ne l’as pas désinstallé histoire de voir si ça marrche à nouveau.

    Bonne soirée, je vous embrasse amicalement!

    Ossiane

  18. et je vous lis, pas certaine que mes mots passent, deux envois pas atterris, hier et aujourd’hui..

    C’est joli
    Comme c’est beau
    Se parcourt le regard
    Comblé devant la grâce
    Ô temps tu es merveille
    Quand tu t’offres ton bel
    Je dépose un baiser
    Dans la loge son lieu
    Où l’instant vit se vit
    Au plus près

  19. Hello Alice 😉
    Longue vie à vous. Doucement le courant emporte la douleur, la mort d’un proche est souvent une épreuve …

    « Arc en rêve »
    retrouver comme l’oisillon qui apprend à voler
    l’usage de ses ailes.

    Merci pour la loge et pour le joli « arc en rêve » Ossiane .
    Bonjour à l’équipage.

  20. Lamé de carpes
    Sous les rayons de lune
    Le lac miroitant
    Que ne suis-je dans les eaux
    Argentées à ondoyer?

  21. Sur la porte de la loge :
    A temps si on l’a concis aire jeu aidant laisse cas lié
    A tension lacs ont six airs je est dans laid ce Kali yeah !
    Attends scions la con cierge et dent lait se caillé
    pfffff ! …. possibile : è pericoloso sporgersi !

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