Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Loge
arcs-en-rêve
villa romantique
lac enchanté
31 réflexions sur « Loge »
les dalles pieds nus
elle laisse choir les voiles
la vigne fleurit
Loge ou Loggia, de la logia larga afghane qui réunit en assemblée les tribus éparpillées pour un concilium à la llonga de mar qui est la criée catalane où s’élabore le succulent suquet et où les étals regorgent de rape, la lotte qui nous met la gueule de travers et les papillotes en joie avant même que de la faire dans son jus dégorger calmement.
De loge de charbonnier qui dans la forêts des Carnutes semble caduque mais a laissé son nom à une belle étendue dans le Pithiverais à la loge de la cantatrice tentée par le grand large et qui largue les amarres dans un crescendo optimo.
De la loge du maçon sur les chantiers des cathédrales où se partagent les secrets opératifs au glissement sémantique qui voit des hommes épris de liberté partager des travaux plus spéculatifs.
Ouverte sur le monde mais souvent fermée sur l’indicible, lieu d’émois où se concentre le moi la voilà livrée aux quatre vents.
Le lierre ne grimpe pas
Le temps ets arrêté
Et c’est bien
Ici ce vit le tant sans âge
Dans la loge ravie
Qui regarde vers devant
Et serre son instant
Ce miracle de vie
De se sentir vibrant
bel jour!
des vues à rencontrer, de la marche à se faire du bien, quand la belle énergie est revenue, c’est bon d’en profiter,
le hamac c’est pour ce soir entre deux bois en clématites qui grimpent, c’est d’un fort bel charmant…
je me suis embrouillé les pinceaux, c’est la joya larga
un peu largué quoi mais pour les éloges y a de quoi faire !
Pardonné Thierry -;)
____
Rêveries poétiques
Sur les bords du lac
En ce paysage romantique
Où Stendhal venait
Peut-être en cette loge
Goûter la fraîcheur
Et vivre des émotions intenses
Ces lieux sublimes
Où tous les styles littéraires
Semblent pouvoir se rencontrer
Tant il y a une aura de poésie,
Matière à rêver
A regarder à entendre
Matière à chanter
Un écrin, une loggia
Un parfum de bonheur.
Chacun dans sa vie
Connait des lieux semblables
Où la mémoire s’installe
Comme en un sanctuaire
Une cabane, une pagode
Elles deviennent palais
Des lieux où résonnent des voix
D’où émanent des ondes
D’où fleurissent des songes
Des lieux où l’on aime revenir
Où l’on voudrait sans cesse revenir.
____
Partant du francisque laubja on voit bien l’effet contractif et sifflant et si l’allemand laube signifie tonnelle ce n’est pas par hasard, de sorte que d’abri en tribune, on peut imaginer une pièce ouverte sur l’extérieur, voire même en élévation qui surplombe et manifeste la préséance pour de hauts personnages.
Haut perchés en tout cas pour mieux dominer l’espace et les événements, spectateurs particulièrement favorisés et dont le regard plongeant attire les vivas ou les quolibets.
Qu’à cela ne tienne les hommes de pouvoir tiennent aux manifestations de celui ci et on ne les déloge pas facilement de leurs avantages et privilèges.
Quand à en faire l’éloge on imagine fort bien la proximité d’un patio, histoire de paseo et aussi de s’élever pour attendre ce sommet dont la vue est si prometteuse et les abords si dégagés.
« francique » Thierry et non francisque si je peux me permettre tout en te disant bonsoir
Dans cette définition de la loge pour reprendre tes mots :
« d’abri en tribune, on peut imaginer une pièce ouverte sur l’extérieur, voire même en élévation
Haut perchés en tout cas pour mieux dominer l’espace et les événements, spectateurs particulièrement favorisés et dont le regard plongeant attire les vivas ou les quolibets. »
et pour ainsi revenir à ces lieux de rêve ou de contemplation, j’ai pensé en te lisant à cet abri..loge… cabane… refuge, guet voilà j’ai enfin fini par trouver le mot juste, que l’on trouve en forêt de Chambord pour observer les biches et les cerfs, endroits féeriques même s’il n’y a pas toujours de biches ni de cerfs, c’est un endroit privilégié qui n’ayant rien de comparable à cette loge d’une villa du lac de Côme, garde cet attrait du lieu en ce parc merveilleux où les souvenirs ennoblissent encore plus ces endroits de rêve. Ensuite belle est la part faite aux poètes !
___
En ce lieu étrange
L’émotion est à son comble
Ailleurs, hors du temps
___
Je reste un moment encore dans cette « loge » pour y trouver le calme, le repos dans le silence et la beauté
Oh pardon j’ai écrit à la hache mais je me suis coupé !
ceci clôt le vice quand on ne se relit pas on relie mal à propos
et on perd deux têtes d’un coup
-;)
Qui n’aimerait pas
Se trouver au petit matin
A contempler de cette loge
Le lac à peine sorti de la brume
Et sur les rives encore endormies
Deviner les contours
Des demeures et des jardins
Voir se profiler les grands arbres
Spectres de la nuit qui s’enfuit
Prolonger mille rêves jolis
Laisser doucement
Le jour dévoiler ses splendeurs
Dans la douceur et le silence
Ecouter poindre les premiers sons
Sortis des profondeurs de l’aube
A l’orée des grands lacs ?
Comment imaginer l’eau trouble, quand on a un horizon si limpide
comment laisser s’insinuer le doute, quand on a trouvé un guide
comment trouver le temps long, quand rien ne s’écoule comme rapide
il est des lieux bienfaisants qui chemin faisant nous apportent
joie,sérénité et beauté
contemplant enfin ce qui n’a pas de fin nous ne saurions rester sur notre faim
si c’est notre destin d’être aux premières loges alors tant mieux
abrités, protégés mais exposés à la vue nous rendons ce que nous recevons
ce n’est ni un fardeau ni une astreinte, c’est un merveilleux cadeau
Où se logent mes pensées jamais dépassées par la splendeur du paysage,
dans quels endroits résident elles, ne dévoilant qu’à grand peine le minimum ;
dans cet affleurement du doute et du regret comme si c’étaient trésors qui ne se partagent guère et que dans la veine aurifère on s’acquitte comme on peut et on se quitte un peu.
Les feuilles remuent des lys
La bise se fait si tendre
Doux coulis son sublîme
Le hamac tend sa toile
Entre les clématites
Dans sa loge de vie
Qui se vit de belles aises
La vie a tout ses sens
Entre les bras des songes
De doux rêves son intime
Dans la loge ouverte aux quatre vents
Le soleil s’étire en révérence
Les hirondelles vont et viennent
Libres comme les regards
Se promenant sur les eaux
Fond d’écran en panorama
D’élégance et de bon goût
Le romantisme flirte avec le beau
La vie n’est pas plus belle
Mais la beauté nous offre
Un temps de repos salutaire
Qui fait que l’on s’attarde
En ce lieu intime et divin
Pour y trouver peut-être
Le piment du bonheur.
C’est vrai Annick, le temps s’est arreté.
C’est comme ça que je me sens regardant cette série de photos.
Je regarde le passé avec les yeux du présent.
On peut remémorer notre vie, seulement en restant dans cette loge regardant les eaux, les vieilles maisons, les arbres centenaires.
Ossiane,
Merci pour partager avec nous ces photos.
Que de murmures enchantés
douces paroles
devant tant de beauté
Les ans font l’Homme
Les enfants la femme…ah je ne fais que traverser la loggia avec mes gammes ):
Instant délicat
Dernier arceau d’un rêve
Sublimation.
De la loge
se contemple le silence
les hauts
les bas
d’une rivière lasse
De la loge
se mesurent les vies denses
J’ai peine et conjugue la souffrance
souvenir
errance et nos enfances
sable mouvant
de nos noyades
l’eau n’a emporté que toi
et je vis
De la loge,
les spectacles ne s’offrent plus qu’en gris
Caresses du temps sur tes joues Lou
Je retente un commentaire disparu sur cet espace aux configurations nouvelles :
Au bord du lac, dans le matin clair
Lorsque l’eau frétille au souffle de la bise
Et qu’un rayon de soleil éclaire le jour
A peine entendons-nous le clapotis
Des vagues contre les remparts de pierre
Un voile de brume s’élève au-dessus de l’eau
Le jour peut commencer le rideau est levé
Sur le balcon dominant la grande baie
On attend comme dans un conte de fée
Princes et princesses en costumes de fête
Nous ouvrir les portes de leur monde magique
Féerie de beauté qui transcende la réalité du jour
En un rêve extraordinaire toujours plus beau
Chaque paysage lorsqu’il dépasse l’imaginaire
Devient le théâtre d’une infinie splendeur.
Promenade vers un ailleurs, l’instant de répit.
Etre aux premières loges
tenue de soirée
et gants blancs
ça marche ! Extraordinaire, après un énième changement dans les blogs du Monde.
Bonsoir Ossiane. Merci de tes conseils.
Une belle géométrie.
Bonsoir à tous,
Merci pour tous ces beaux commentaires déposés sur les dernières notes, j’ai toujours autant de plaisir à les découvrir, une petite fenêtre de beauté durant le travai qui m’accapare toujours beaucoupl. Il y a des allées et venues sur le pont et même du Brésil; je voudrais saluer tous ceux qui passent, entrent, sortent ou reviennent.
Aujourd’hui est un nouveau jour, Les blogs du Monde ont revêtu de nouveaux habits comme le laisse entendre Pierre. Nous avons enfin une nouvelle plateforme pour éditer nos blogs. Au premier abord, il me semble qu’elle est plus complète, plus rapide et plus fiable que la précédente, je croise les doigts pour que ça marche comme sur des roulettes. Je vais essayer de publier une nouvelle note avec la nouvelle interface.
Pour répondre à Pierre, je suis ravie de t’avoir dépanné et que tu puisses enfin nous voir; tu semblais si malheureux;) La version de WordPress que nous avions était vraiment ancienne et dépassée; elle n’était pas adaptée à Internet Explorer 9. Suite à cette version 3 de WordPress, je te conseille d’essayer de naviguer avec IE9 sur les blogs du Monde si tu ne l’as pas désinstallé histoire de voir si ça marrche à nouveau.
Bonne soirée, je vous embrasse amicalement!
Ossiane
et je vous lis, pas certaine que mes mots passent, deux envois pas atterris, hier et aujourd’hui..
C’est joli
Comme c’est beau
Se parcourt le regard
Comblé devant la grâce
Ô temps tu es merveille
Quand tu t’offres ton bel
Je dépose un baiser
Dans la loge son lieu
Où l’instant vit se vit
Au plus près
Un jardin secret
Le lierre vit son rêve
Au plus près
Hello Alice 😉
Longue vie à vous. Doucement le courant emporte la douleur, la mort d’un proche est souvent une épreuve …
« Arc en rêve »
retrouver comme l’oisillon qui apprend à voler
l’usage de ses ailes.
Merci pour la loge et pour le joli « arc en rêve » Ossiane .
Bonjour à l’équipage.
Lamé de carpes
Sous les rayons de lune
Le lac miroitant
Que ne suis-je dans les eaux
Argentées à ondoyer?
Sur la porte de la loge :
A temps si on l’a concis aire jeu aidant laisse cas lié
A tension lacs ont six airs je est dans laid ce Kali yeah !
Attends scions la con cierge et dent lait se caillé
pfffff ! …. possibile : è pericoloso sporgersi !
les dalles pieds nus
elle laisse choir les voiles
la vigne fleurit
Loge ou Loggia, de la logia larga afghane qui réunit en assemblée les tribus éparpillées pour un concilium à la llonga de mar qui est la criée catalane où s’élabore le succulent suquet et où les étals regorgent de rape, la lotte qui nous met la gueule de travers et les papillotes en joie avant même que de la faire dans son jus dégorger calmement.
De loge de charbonnier qui dans la forêts des Carnutes semble caduque mais a laissé son nom à une belle étendue dans le Pithiverais à la loge de la cantatrice tentée par le grand large et qui largue les amarres dans un crescendo optimo.
De la loge du maçon sur les chantiers des cathédrales où se partagent les secrets opératifs au glissement sémantique qui voit des hommes épris de liberté partager des travaux plus spéculatifs.
Ouverte sur le monde mais souvent fermée sur l’indicible, lieu d’émois où se concentre le moi la voilà livrée aux quatre vents.
Le lierre ne grimpe pas
Le temps ets arrêté
Et c’est bien
Ici ce vit le tant sans âge
Dans la loge ravie
Qui regarde vers devant
Et serre son instant
Ce miracle de vie
De se sentir vibrant
bel jour!
des vues à rencontrer, de la marche à se faire du bien, quand la belle énergie est revenue, c’est bon d’en profiter,
le hamac c’est pour ce soir entre deux bois en clématites qui grimpent, c’est d’un fort bel charmant…
je me suis embrouillé les pinceaux, c’est la joya larga
un peu largué quoi mais pour les éloges y a de quoi faire !
Pardonné Thierry -;)
____
Rêveries poétiques
Sur les bords du lac
En ce paysage romantique
Où Stendhal venait
Peut-être en cette loge
Goûter la fraîcheur
Et vivre des émotions intenses
Ces lieux sublimes
Où tous les styles littéraires
Semblent pouvoir se rencontrer
Tant il y a une aura de poésie,
Matière à rêver
A regarder à entendre
Matière à chanter
Un écrin, une loggia
Un parfum de bonheur.
Chacun dans sa vie
Connait des lieux semblables
Où la mémoire s’installe
Comme en un sanctuaire
Une cabane, une pagode
Elles deviennent palais
Des lieux où résonnent des voix
D’où émanent des ondes
D’où fleurissent des songes
Des lieux où l’on aime revenir
Où l’on voudrait sans cesse revenir.
____
Partant du francisque laubja on voit bien l’effet contractif et sifflant et si l’allemand laube signifie tonnelle ce n’est pas par hasard, de sorte que d’abri en tribune, on peut imaginer une pièce ouverte sur l’extérieur, voire même en élévation qui surplombe et manifeste la préséance pour de hauts personnages.
Haut perchés en tout cas pour mieux dominer l’espace et les événements, spectateurs particulièrement favorisés et dont le regard plongeant attire les vivas ou les quolibets.
Qu’à cela ne tienne les hommes de pouvoir tiennent aux manifestations de celui ci et on ne les déloge pas facilement de leurs avantages et privilèges.
Quand à en faire l’éloge on imagine fort bien la proximité d’un patio, histoire de paseo et aussi de s’élever pour attendre ce sommet dont la vue est si prometteuse et les abords si dégagés.
« francique » Thierry et non francisque si je peux me permettre tout en te disant bonsoir
Dans cette définition de la loge pour reprendre tes mots :
« d’abri en tribune, on peut imaginer une pièce ouverte sur l’extérieur, voire même en élévation
Haut perchés en tout cas pour mieux dominer l’espace et les événements, spectateurs particulièrement favorisés et dont le regard plongeant attire les vivas ou les quolibets. »
et pour ainsi revenir à ces lieux de rêve ou de contemplation, j’ai pensé en te lisant à cet abri..loge… cabane… refuge, guet voilà j’ai enfin fini par trouver le mot juste, que l’on trouve en forêt de Chambord pour observer les biches et les cerfs, endroits féeriques même s’il n’y a pas toujours de biches ni de cerfs, c’est un endroit privilégié qui n’ayant rien de comparable à cette loge d’une villa du lac de Côme, garde cet attrait du lieu en ce parc merveilleux où les souvenirs ennoblissent encore plus ces endroits de rêve. Ensuite belle est la part faite aux poètes !
___
En ce lieu étrange
L’émotion est à son comble
Ailleurs, hors du temps
___
Je reste un moment encore dans cette « loge » pour y trouver le calme, le repos dans le silence et la beauté
Oh pardon j’ai écrit à la hache mais je me suis coupé !
ceci clôt le vice quand on ne se relit pas on relie mal à propos
et on perd deux têtes d’un coup
-;)
Qui n’aimerait pas
Se trouver au petit matin
A contempler de cette loge
Le lac à peine sorti de la brume
Et sur les rives encore endormies
Deviner les contours
Des demeures et des jardins
Voir se profiler les grands arbres
Spectres de la nuit qui s’enfuit
Prolonger mille rêves jolis
Laisser doucement
Le jour dévoiler ses splendeurs
Dans la douceur et le silence
Ecouter poindre les premiers sons
Sortis des profondeurs de l’aube
A l’orée des grands lacs ?
Comment imaginer l’eau trouble, quand on a un horizon si limpide
comment laisser s’insinuer le doute, quand on a trouvé un guide
comment trouver le temps long, quand rien ne s’écoule comme rapide
il est des lieux bienfaisants qui chemin faisant nous apportent
joie,sérénité et beauté
contemplant enfin ce qui n’a pas de fin nous ne saurions rester sur notre faim
si c’est notre destin d’être aux premières loges alors tant mieux
abrités, protégés mais exposés à la vue nous rendons ce que nous recevons
ce n’est ni un fardeau ni une astreinte, c’est un merveilleux cadeau
Où se logent mes pensées jamais dépassées par la splendeur du paysage,
dans quels endroits résident elles, ne dévoilant qu’à grand peine le minimum ;
dans cet affleurement du doute et du regret comme si c’étaient trésors qui ne se partagent guère et que dans la veine aurifère on s’acquitte comme on peut et on se quitte un peu.
Les feuilles remuent des lys
La bise se fait si tendre
Doux coulis son sublîme
Le hamac tend sa toile
Entre les clématites
Dans sa loge de vie
Qui se vit de belles aises
La vie a tout ses sens
Entre les bras des songes
De doux rêves son intime
Dans la loge ouverte aux quatre vents
Le soleil s’étire en révérence
Les hirondelles vont et viennent
Libres comme les regards
Se promenant sur les eaux
Fond d’écran en panorama
D’élégance et de bon goût
Le romantisme flirte avec le beau
La vie n’est pas plus belle
Mais la beauté nous offre
Un temps de repos salutaire
Qui fait que l’on s’attarde
En ce lieu intime et divin
Pour y trouver peut-être
Le piment du bonheur.
C’est vrai Annick, le temps s’est arreté.
C’est comme ça que je me sens regardant cette série de photos.
Je regarde le passé avec les yeux du présent.
On peut remémorer notre vie, seulement en restant dans cette loge regardant les eaux, les vieilles maisons, les arbres centenaires.
Ossiane,
Merci pour partager avec nous ces photos.
Que de murmures enchantés
douces paroles
devant tant de beauté
Les ans font l’Homme
Les enfants la femme…ah je ne fais que traverser la loggia avec mes gammes ):
Instant délicat
Dernier arceau d’un rêve
Sublimation.
De la loge
se contemple le silence
les hauts
les bas
d’une rivière lasse
De la loge
se mesurent les vies denses
J’ai peine et conjugue la souffrance
souvenir
errance et nos enfances
sable mouvant
de nos noyades
l’eau n’a emporté que toi
et je vis
De la loge,
les spectacles ne s’offrent plus qu’en gris
Caresses du temps sur tes joues Lou
Je retente un commentaire disparu sur cet espace aux configurations nouvelles :
Au bord du lac, dans le matin clair
Lorsque l’eau frétille au souffle de la bise
Et qu’un rayon de soleil éclaire le jour
A peine entendons-nous le clapotis
Des vagues contre les remparts de pierre
Un voile de brume s’élève au-dessus de l’eau
Le jour peut commencer le rideau est levé
Sur le balcon dominant la grande baie
On attend comme dans un conte de fée
Princes et princesses en costumes de fête
Nous ouvrir les portes de leur monde magique
Féerie de beauté qui transcende la réalité du jour
En un rêve extraordinaire toujours plus beau
Chaque paysage lorsqu’il dépasse l’imaginaire
Devient le théâtre d’une infinie splendeur.
Promenade vers un ailleurs, l’instant de répit.
Etre aux premières loges
tenue de soirée
et gants blancs
ça marche ! Extraordinaire, après un énième changement dans les blogs du Monde.
Bonsoir Ossiane. Merci de tes conseils.
Une belle géométrie.
Bonsoir à tous,
Merci pour tous ces beaux commentaires déposés sur les dernières notes, j’ai toujours autant de plaisir à les découvrir, une petite fenêtre de beauté durant le travai qui m’accapare toujours beaucoupl. Il y a des allées et venues sur le pont et même du Brésil; je voudrais saluer tous ceux qui passent, entrent, sortent ou reviennent.
Aujourd’hui est un nouveau jour, Les blogs du Monde ont revêtu de nouveaux habits comme le laisse entendre Pierre. Nous avons enfin une nouvelle plateforme pour éditer nos blogs. Au premier abord, il me semble qu’elle est plus complète, plus rapide et plus fiable que la précédente, je croise les doigts pour que ça marche comme sur des roulettes. Je vais essayer de publier une nouvelle note avec la nouvelle interface.
Pour répondre à Pierre, je suis ravie de t’avoir dépanné et que tu puisses enfin nous voir; tu semblais si malheureux;) La version de WordPress que nous avions était vraiment ancienne et dépassée; elle n’était pas adaptée à Internet Explorer 9. Suite à cette version 3 de WordPress, je te conseille d’essayer de naviguer avec IE9 sur les blogs du Monde si tu ne l’as pas désinstallé histoire de voir si ça marrche à nouveau.
Bonne soirée, je vous embrasse amicalement!
Ossiane
et je vous lis, pas certaine que mes mots passent, deux envois pas atterris, hier et aujourd’hui..
C’est joli
Comme c’est beau
Se parcourt le regard
Comblé devant la grâce
Ô temps tu es merveille
Quand tu t’offres ton bel
Je dépose un baiser
Dans la loge son lieu
Où l’instant vit se vit
Au plus près
Un jardin secret
Le lierre vit son rêve
Au plus près
Hello Alice 😉
Longue vie à vous. Doucement le courant emporte la douleur, la mort d’un proche est souvent une épreuve …
« Arc en rêve »
retrouver comme l’oisillon qui apprend à voler
l’usage de ses ailes.
Merci pour la loge et pour le joli « arc en rêve » Ossiane .
Bonjour à l’équipage.
Lamé de carpes
Sous les rayons de lune
Le lac miroitant
Que ne suis-je dans les eaux
Argentées à ondoyer?
Sur la porte de la loge :
A temps si on l’a concis aire jeu aidant laisse cas lié
A tension lacs ont six airs je est dans laid ce Kali yeah !
Attends scions la con cierge et dent lait se caillé
pfffff ! …. possibile : è pericoloso sporgersi !