Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Faille
coulées blanches
l’écume voyageuse
de marbre
40 réflexions sur « Faille »
De la faille au séisme
un clash
un accident
la terre se meut
les hommes meurt
où est la porte de secours
la panique se propage
où sont les marches
pour remonter
à la surface
y en a-t-il
meurent
Pas le canal de Corinthe
pas de feuilles d’Acanthe
une civilisation qui défaille
et des experts qui sans avoir failli
enregistre sur cette riche terre
des intensités pharamineuses
toujours sur la brèche à courir
après des dangers qui se rapprochent
la rencontre devait avoir lieu
comment dire que c’est un moindre mal
une catastrophe naturelle
la nature est cruelle
qui ne fait pas dans le détail
et dans la falaise humaine entaille
profondément, largement, nuitamment
Comment refermer les failles avant qu’elles nous brisent tout entier ?
Tsunamis
L’océan furieux a submergé les terres
La vague meurtrière n’a rien laissé debout
Surpris dans leurs maisons ou pris par leurs affaires
Beaucoup d’hommes ont péris prisonniers de la boue
Peu on put fuir à temps, cernés de toutes parts,
Le rouleau compresseur de la vague ennemie
Les maisons sont tombées telles des châteaux de cartes
laissant la vue d’enfer que laisse un tsunami
Des images qui rappellent d’autres documentaires
De villes et de villages disparus de la carte
Des pays dévastées et ruinées par les guerres
Alain
De pays dévastés et ruinés par les guerres
La violence de l’eau
Qui s’engouffre dans les failles
La peur et l’horreur
Devant la force de la Nature
L’être se marche son humble
–
Boum … un arc de ma terre … fait boum … et de peur, mon coeur fait … boum-boum !
« Où donc se situe MA faille ? » aurais-je dû écrire.
(Que fais-je … ou ne fais pas … pour que ce foutu monde aille mieux …).
–
Savoir trouver l’espoir et faire ensemble déjà au sein de nos territoires ..
Je vous invite à regarder ce superbe portail EKOPEDIA, http://fr.ekopedia.org/Portail:Accueil
« trouver, produire et partager les ressources dont nous avons besoin pour transformer nos territoires ».
Et de visiter le site du Mouvement Colibris, mouvement pour la terre et l’humanisme.
« La pierre n’a point d’espoir d’être autre chose qu’une pierre. Mais, de collaborer, elle s’assemble et devient temple. » Alexandre de Saint-Exupéry
Bonne journée
Merci Bourrache et Nath pour vos mots,
vous êtes de bien jolis rayons de soleil!
A la faille des mondes
Tendre son oreille en corps
Fermer les yeux son fort
L’oiseau chante merveille
Et humble de cette offrande
Marcher son coeur vaillant
De sa belle endurance
Donner la main au temps
je vous embrasse chacun, et vous souhaite une douce journée,
Le Printemps à l’Ouest naît de son magique,
les jonquilles s’ouvrent un peu plus, les tiges des tulipes grimpent,
le gazon lui fait son petit fou dans l’herbe verte,
tout cela incite à renifler énormément, tellement,
cette jolie naissance, encore,
*comme c’est bon, la bonté de la vie,
quand elle se pare belle, toute simple de son doux,
quel bel tapis merveilleux où le petit coeur gambade son âme amoureuse.
qu’est ce qu’elle est jolie cette phrase de St Exupéry,
et je la cite, à nouveau, Nath, sans me lasser, merci!
« La pierre n’a point d’espoir d’être autre chose qu’une pierre. Mais, de collaborer, elle s’assemble et devient temple. » Antoine de St Exupéry
j’espère ne pas avoir écorché cette magnifique phrase, si haute vue jolie,
j’ai navigué de la phrase à la mienne, avec ma tite mémoire de moi, et comparer de là en là, est un sport de patience, que je n’ai guère en relecture qui m’est difficile, à me relire, relire, copier….j’aime tellement la pensée de l’instant, mais bon, c’est une tare aussi, je dois bien l’avouer….SOUIRE GEANT!
et youps, j’avais oublié une virgule après Mais,….
SOURIRE DE PRINTEMPS!
Faille sismique, simiesque, faille dans la marée (tsunami), faille dans les centrales nucléaires japonaises (Tepco)…
Tout cela a « failli » ou est arrivé. La photo, la vidéo en garderont trace jusqu’au tremblement final qui les effacera peut-être elles-mêmes.
Failles
Bien des hommes défaillent sans même crier aïe
Dès que perle du sang tout au bord d’une entaille
(la vue du sang fait peur comme un épouvantail)
Sang qu’aspire un suçon ou que sèche une paille
Au tréfonds de chaque être il existe des failles
Des regrets des remords pour qui le temps travaille
Une force capable de bouger des murailles
De renverser des murs de gagner des batailles
Comme on lie le greffon à une petite entaille
Comme on couvre la terre juste après les semailles
Les blessures se ferment quel qu’en soit la taille
Et la vie sans arrêt ouvre de nouvelles failles
Cela fait bien des années que j’ai abandonné les produits KKBeurk que nous font miroiter les pubs et que j’ai renoué avec « les amis » qu’utilisait ma maman…
Quand j’y pense, suis pas si mauvaise que ça … juste une petite pierre pour un futur (???) temple…
–
Perce neige
Pour combattre le froid pour supporter l’hiver
trop longtemps j’ai vécu sans qu’un rayon me touche
comme un amant heureux je retrouve la lumière
recevant de mon astre un baiser sur la bouche
Alain
OUI merci Bourrache, cela peut toujours servir,
j’ai lu ton partage avec intérêt vif,
belle journée de bientôt le Printemps, bientôt..
Cette prise m’évoque le féminin, faille d’amour, de vie, et de naissance …
–
« Il n’y a que FAILLE qui m’aille » …
(encore une pub mensongère !!!)
C’est pas que le PLAISIR de la moutarde me monte au nez… mais …
–
Heu … désolée, Laurent … c’est pas grave, j’vais me soigner.
Et me tailler avant d’avoir 0/10 sur mon bulletin de fin de semaine.
–
Clin d’oeil et sourire aux moussaillons.
–
–
… et à not’ Capitaine.
Surtout.
–
toi alors, Bourrache, je t’embrasse,
doucement avec le temps, je clapote le petit clavier, c’est un jour aéré, gai, en moral, sans faille de purée de pois, il y a des jours comme ça, où tout paraît possible…..bien plus simple….le sautillis aide c’est vrai à voir la vie ses possibles.
CLIN D OEIL SOURIRE ET PETITE BOUGIE, Bourrache!
Cette eau a grignoté la roche
C’est la partie visible de l’oeil
En invisibles un pont solide
Pour traverser les impossibles
A se serrer de bels émois
La vie son jour dans ses possibles
C’est contourner les difficiles
Pour ne pas se mourir vivant
D’être empêché de partager
Ensemble
Son lopin de terre en Oeil Ouvert
La faille nous heurte, c’est la faille hit
on défouraille à tout va mais le fossé s’accroit
le dialogue Nord Sud sans être au point mort
et ces murs qu’on érige pour repousser les migrants
il y a un point de rupture , où bien on partage
mais là c’est révision sauvage et restrictions pour tout le monde
ou bien on bétonne et là c’est dino buzzati
la faille est partout et chacun la fuit
elle nous consumme et nous consomme
il y a les faillis et les faydits
il y a les petits malheurs et les grandes souffrances
les grandes espérances et les bonheurs en lambeaux
il y a Lampedusa et il gattopardo
qui guette le retour du guépard
et va ouvrir une nouvelle fresque garibaldienne
sur les bords extrêmes de la péninsule italienne
alors un monde en déroute et qui s’encroute
ou bien des hordes d’hommes et de femmes jeunes
le gap est un cap, pas un promontoire
il faut promouvoir le mouvement et l’émancipation
adieu les tyrans de pacotille qu’on largue par les écoutilles
écoutez les peuples et leurs aspirations
Au fait merci Bourrache et Annick. Le site auquel j’ai fait fait référence indique aussi plein de trucs…
En regardant bien la faille, je vois un oiseau qui commence à déployer ses ailes (le nuages) ou un personnage dansant.
Le ‘vide’ parle parfois.
Poitrine ouverte
au vent du large
inspiration
Tous les mots du monde, parmi les plus doux, les plus beaux ne sauront venir à bout d’une peine qui vous prend par surprise, menaçante, envahissante, injuste dont la raison ne parvient à justifier le courage qu’il faut avoir pour la vaincre si ce n’est l’amour assez fort qui vous permet de résister.
____
Dans ma joie de vivre
Une faille s’est ouverte
La peur s’y infiltre.
____
Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville, et je sais pourquoi.
l’éternel retour :
noyé dans l’eau de mer,
mon coeur faillit
Je t’embrasse, Monique. Douceurs.
Merci Annick sincèrement merci, les douceurs je les prends elles calmeront peut-être mes angoisses et mes peurs comme je voudrais qu’elles réconfortent tous ceux qui souffrent, je sais c’est utopique mais je le voudrais vraiment.
Merci Monique,
alors chacun entend tes mots,
et déjà je t’envoie du soleil d’ici, des jonquilles leurs jaunes, un air tendre, la paix alentour, le petit bois son charme, cela doit faire un gros bouquet de troncs jolis à placer dans un big vase invisible,
place le au centre de ta table, le calme des arbres fait un tel bien. Il serre, il niche, il console, et il envole de belle liberté.
Tendresses.
Oui, douceurs et tendresses, des caramels aux sucs bons à sucer sans modération…sourire!
Entre des rocs leurs noirs
Sa petite plage tranquille
La mer vient s’y baigner
Loin du large ses vagues
Elle est à cet endroit
Si douce de ses ondes
Le sable sa roucoule
Coquillages polis
Un crabe se marche droit
C’est un petit paradis
Abrité des vents forts
Loin de tout un regard
La vie se contente de se vivre
Et comme cela fait du bien
L’être son tout de haut
Frustré empêché de
Souffre de ne pas pouvoir
Alors il vit son ciel
–
Monique : …………………………………………
(tu y pèches ce que tu veux et surtout tout ce dont tu as besoin !).
Amitiés (et bougies).
–
prisent par la faille
les morues la gueule ouverte
boulottent l’écume
prises
Tu dis juste, Bourrache,
le plus joli cadeau qu’on puisse faire,
c’est le laisser choisir par l’autre, lui seul sait ce qui lui manque…
Je t’embrasse, Monique, et vous de chacun.
Annick, Bourrache et vous tous êtes très intentionnés et cela me touche beaucoup, une brèche s’est ouverte et j’ai laissé mes mots se déverser dans ces flots, les remparts qu’on croyait solides parfois cèdent c’est humain, oser dire c’est quelque fois accepter de poser les bagages un peu trop lourds, reprendre son souffle pour mieux repartir , vous m’y aidez, merci. Peut-être que certains s’étonneront de me voir parler ainsi, je n’ai pas perdu le sens des valeurs encore moins fermé les yeux sur les malheurs du monde, mais le hasard veut qu’on y ait chacun sa part.
oui, Monique,
c’est vital d’oser dire dès que c’est possible, de poser ses vallises,
parfois tant est trop lourd,
et puis accepter une main, sourire devant un cadeau,
c’est tellement bon de vie, dans ses partages Humains.
et que oui, sans jamais oublier les malheurs terribles pour certains en ce monde, il arrive un jour ou soi même en chagrins, on a besoin de pleurer, on a envie de se laisser dorloter,
et c’est bien de son Humain d’être tout simplement qu’Humain.
Douce nuit.
Biz clin d’oeil et tite bougie, comme le dit si bien Bourrache,
à qui j’emprunte ses mots! heu? m en veux pas, hein, Bourrache! bises à toi.
Vous avez allumé une petite flamme en mon coeur, c’est doux
Bonne nuit et encore merci Annick et Bourrache, j’ai puisé en vous un peu de chaleur.
De la faille au séisme
un clash
un accident
la terre se meut
les hommes meurt
où est la porte de secours
la panique se propage
où sont les marches
pour remonter
à la surface
y en a-t-il
meurent
Pas le canal de Corinthe
pas de feuilles d’Acanthe
une civilisation qui défaille
et des experts qui sans avoir failli
enregistre sur cette riche terre
des intensités pharamineuses
toujours sur la brèche à courir
après des dangers qui se rapprochent
la rencontre devait avoir lieu
comment dire que c’est un moindre mal
une catastrophe naturelle
la nature est cruelle
qui ne fait pas dans le détail
et dans la falaise humaine entaille
profondément, largement, nuitamment
Comment refermer les failles avant qu’elles nous brisent tout entier ?
Tsunamis
L’océan furieux a submergé les terres
La vague meurtrière n’a rien laissé debout
Surpris dans leurs maisons ou pris par leurs affaires
Beaucoup d’hommes ont péris prisonniers de la boue
Peu on put fuir à temps, cernés de toutes parts,
Le rouleau compresseur de la vague ennemie
Les maisons sont tombées telles des châteaux de cartes
laissant la vue d’enfer que laisse un tsunami
Des images qui rappellent d’autres documentaires
De villes et de villages disparus de la carte
Des pays dévastées et ruinées par les guerres
Alain
De pays dévastés et ruinés par les guerres
La violence de l’eau
Qui s’engouffre dans les failles
La peur et l’horreur
Devant la force de la Nature
L’être se marche son humble
–
Boum … un arc de ma terre … fait boum … et de peur, mon coeur fait … boum-boum !
Tic-tac … tic-tac … l’éclair … c’est l’orage … et l’bon dieu …
Fric-frac … fric-frac…
« fric-fric-fric-fric », … c’est là qu’ le fric nous conduit … et glou-glou … glou-glou…
Et le monde entier fera boum-boum.
http://www.youtube.com/watch?v=moPbM7Co8CY
Où donc est LA faille ?
–
–
Ma question est mal posée.
« Où donc se situe MA faille ? » aurais-je dû écrire.
(Que fais-je … ou ne fais pas … pour que ce foutu monde aille mieux …).
–
Savoir trouver l’espoir et faire ensemble déjà au sein de nos territoires ..
Je vous invite à regarder ce superbe portail EKOPEDIA, http://fr.ekopedia.org/Portail:Accueil
« trouver, produire et partager les ressources dont nous avons besoin pour transformer nos territoires ».
Et de visiter le site du Mouvement Colibris, mouvement pour la terre et l’humanisme.
« La pierre n’a point d’espoir d’être autre chose qu’une pierre. Mais, de collaborer, elle s’assemble et devient temple. » Alexandre de Saint-Exupéry
Bonne journée
Merci Bourrache et Nath pour vos mots,
vous êtes de bien jolis rayons de soleil!
A la faille des mondes
Tendre son oreille en corps
Fermer les yeux son fort
L’oiseau chante merveille
Et humble de cette offrande
Marcher son coeur vaillant
De sa belle endurance
Donner la main au temps
je vous embrasse chacun, et vous souhaite une douce journée,
Le Printemps à l’Ouest naît de son magique,
les jonquilles s’ouvrent un peu plus, les tiges des tulipes grimpent,
le gazon lui fait son petit fou dans l’herbe verte,
tout cela incite à renifler énormément, tellement,
cette jolie naissance, encore,
*comme c’est bon, la bonté de la vie,
quand elle se pare belle, toute simple de son doux,
quel bel tapis merveilleux où le petit coeur gambade son âme amoureuse.
qu’est ce qu’elle est jolie cette phrase de St Exupéry,
et je la cite, à nouveau, Nath, sans me lasser, merci!
« La pierre n’a point d’espoir d’être autre chose qu’une pierre. Mais, de collaborer, elle s’assemble et devient temple. » Antoine de St Exupéry
j’espère ne pas avoir écorché cette magnifique phrase, si haute vue jolie,
j’ai navigué de la phrase à la mienne, avec ma tite mémoire de moi, et comparer de là en là, est un sport de patience, que je n’ai guère en relecture qui m’est difficile, à me relire, relire, copier….j’aime tellement la pensée de l’instant, mais bon, c’est une tare aussi, je dois bien l’avouer….SOUIRE GEANT!
et youps, j’avais oublié une virgule après Mais,….
SOURIRE DE PRINTEMPS!
Faille sismique, simiesque, faille dans la marée (tsunami), faille dans les centrales nucléaires japonaises (Tepco)…
Tout cela a « failli » ou est arrivé. La photo, la vidéo en garderont trace jusqu’au tremblement final qui les effacera peut-être elles-mêmes.
Failles
Bien des hommes défaillent sans même crier aïe
Dès que perle du sang tout au bord d’une entaille
(la vue du sang fait peur comme un épouvantail)
Sang qu’aspire un suçon ou que sèche une paille
Au tréfonds de chaque être il existe des failles
Des regrets des remords pour qui le temps travaille
Une force capable de bouger des murailles
De renverser des murs de gagner des batailles
Comme on lie le greffon à une petite entaille
Comme on couvre la terre juste après les semailles
Les blessures se ferment quel qu’en soit la taille
Et la vie sans arrêt ouvre de nouvelles failles
Alain
–
Nath (et celles que cela interpelle) :
http://raffa.grandmenage.info/post/2006/04/24/Sommaire___Le_grand_m%C3%A9nage_dans_la_maison__guide_d_entretien_%C3%A9cologique_
Cela fait bien des années que j’ai abandonné les produits KKBeurk que nous font miroiter les pubs et que j’ai renoué avec « les amis » qu’utilisait ma maman…
Quand j’y pense, suis pas si mauvaise que ça … juste une petite pierre pour un futur (???) temple…
–
Perce neige
Pour combattre le froid pour supporter l’hiver
trop longtemps j’ai vécu sans qu’un rayon me touche
comme un amant heureux je retrouve la lumière
recevant de mon astre un baiser sur la bouche
Alain
OUI merci Bourrache, cela peut toujours servir,
j’ai lu ton partage avec intérêt vif,
belle journée de bientôt le Printemps, bientôt..
Cette prise m’évoque le féminin, faille d’amour, de vie, et de naissance …
–
« Il n’y a que FAILLE qui m’aille » …
(encore une pub mensongère !!!)
C’est pas que le PLAISIR de la moutarde me monte au nez… mais …
–
Heu … désolée, Laurent … c’est pas grave, j’vais me soigner.
Et me tailler avant d’avoir 0/10 sur mon bulletin de fin de semaine.
–
Clin d’oeil et sourire aux moussaillons.
–
–
… et à not’ Capitaine.
Surtout.
–
toi alors, Bourrache, je t’embrasse,
doucement avec le temps, je clapote le petit clavier, c’est un jour aéré, gai, en moral, sans faille de purée de pois, il y a des jours comme ça, où tout paraît possible…..bien plus simple….le sautillis aide c’est vrai à voir la vie ses possibles.
CLIN D OEIL SOURIRE ET PETITE BOUGIE, Bourrache!
Cette eau a grignoté la roche
C’est la partie visible de l’oeil
En invisibles un pont solide
Pour traverser les impossibles
A se serrer de bels émois
La vie son jour dans ses possibles
C’est contourner les difficiles
Pour ne pas se mourir vivant
D’être empêché de partager
Ensemble
Son lopin de terre en Oeil Ouvert
La faille nous heurte, c’est la faille hit
on défouraille à tout va mais le fossé s’accroit
le dialogue Nord Sud sans être au point mort
et ces murs qu’on érige pour repousser les migrants
il y a un point de rupture , où bien on partage
mais là c’est révision sauvage et restrictions pour tout le monde
ou bien on bétonne et là c’est dino buzzati
la faille est partout et chacun la fuit
elle nous consumme et nous consomme
il y a les faillis et les faydits
il y a les petits malheurs et les grandes souffrances
les grandes espérances et les bonheurs en lambeaux
il y a Lampedusa et il gattopardo
qui guette le retour du guépard
et va ouvrir une nouvelle fresque garibaldienne
sur les bords extrêmes de la péninsule italienne
alors un monde en déroute et qui s’encroute
ou bien des hordes d’hommes et de femmes jeunes
le gap est un cap, pas un promontoire
il faut promouvoir le mouvement et l’émancipation
adieu les tyrans de pacotille qu’on largue par les écoutilles
écoutez les peuples et leurs aspirations
Au fait merci Bourrache et Annick. Le site auquel j’ai fait fait référence indique aussi plein de trucs…
En regardant bien la faille, je vois un oiseau qui commence à déployer ses ailes (le nuages) ou un personnage dansant.
Le ‘vide’ parle parfois.
Poitrine ouverte
au vent du large
inspiration
Tous les mots du monde, parmi les plus doux, les plus beaux ne sauront venir à bout d’une peine qui vous prend par surprise, menaçante, envahissante, injuste dont la raison ne parvient à justifier le courage qu’il faut avoir pour la vaincre si ce n’est l’amour assez fort qui vous permet de résister.
____
Dans ma joie de vivre
Une faille s’est ouverte
La peur s’y infiltre.
____
Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville, et je sais pourquoi.
l’éternel retour :
noyé dans l’eau de mer,
mon coeur faillit
Je t’embrasse, Monique. Douceurs.
Merci Annick sincèrement merci, les douceurs je les prends elles calmeront peut-être mes angoisses et mes peurs comme je voudrais qu’elles réconfortent tous ceux qui souffrent, je sais c’est utopique mais je le voudrais vraiment.
Merci Monique,
alors chacun entend tes mots,
et déjà je t’envoie du soleil d’ici, des jonquilles leurs jaunes, un air tendre, la paix alentour, le petit bois son charme, cela doit faire un gros bouquet de troncs jolis à placer dans un big vase invisible,
place le au centre de ta table, le calme des arbres fait un tel bien. Il serre, il niche, il console, et il envole de belle liberté.
Tendresses.
Oui, douceurs et tendresses, des caramels aux sucs bons à sucer sans modération…sourire!
Entre des rocs leurs noirs
Sa petite plage tranquille
La mer vient s’y baigner
Loin du large ses vagues
Elle est à cet endroit
Si douce de ses ondes
Le sable sa roucoule
Coquillages polis
Un crabe se marche droit
C’est un petit paradis
Abrité des vents forts
Loin de tout un regard
La vie se contente de se vivre
Et comme cela fait du bien
L’être son tout de haut
Frustré empêché de
Souffre de ne pas pouvoir
Alors il vit son ciel
–
Monique : …………………………………………
(tu y pèches ce que tu veux et surtout tout ce dont tu as besoin !).
Amitiés (et bougies).
–
prisent par la faille
les morues la gueule ouverte
boulottent l’écume
prises
Tu dis juste, Bourrache,
le plus joli cadeau qu’on puisse faire,
c’est le laisser choisir par l’autre, lui seul sait ce qui lui manque…
Je t’embrasse, Monique, et vous de chacun.
Annick, Bourrache et vous tous êtes très intentionnés et cela me touche beaucoup, une brèche s’est ouverte et j’ai laissé mes mots se déverser dans ces flots, les remparts qu’on croyait solides parfois cèdent c’est humain, oser dire c’est quelque fois accepter de poser les bagages un peu trop lourds, reprendre son souffle pour mieux repartir , vous m’y aidez, merci. Peut-être que certains s’étonneront de me voir parler ainsi, je n’ai pas perdu le sens des valeurs encore moins fermé les yeux sur les malheurs du monde, mais le hasard veut qu’on y ait chacun sa part.
oui, Monique,
c’est vital d’oser dire dès que c’est possible, de poser ses vallises,
parfois tant est trop lourd,
et puis accepter une main, sourire devant un cadeau,
c’est tellement bon de vie, dans ses partages Humains.
et que oui, sans jamais oublier les malheurs terribles pour certains en ce monde, il arrive un jour ou soi même en chagrins, on a besoin de pleurer, on a envie de se laisser dorloter,
et c’est bien de son Humain d’être tout simplement qu’Humain.
Douce nuit.
Biz clin d’oeil et tite bougie, comme le dit si bien Bourrache,
à qui j’emprunte ses mots! heu? m en veux pas, hein, Bourrache! bises à toi.
Vous avez allumé une petite flamme en mon coeur, c’est doux
Bonne nuit et encore merci Annick et Bourrache, j’ai puisé en vous un peu de chaleur.