Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
voyage au long cours
escales en archipel
route de saphir
◊ « NOTES« , un poème d’Alain écrit sur cette publication … un nouveau poème mis en musique et interprété par son ami Jean-Marie Djibedjan. Cliquez ici pour lire son poème en même temps.
rêves de cactus
entre les sapins je crie
les flocons dérivent
C’est un voyage au très long cours
Une passerelle entre hier et demain
C’est un chemin bordé d’amour
Aux contours parfois incertains
J’ai détesté certains chemins
Ou tu t’étais aventuré
J’ai méprisé celles qui se cachent
Sous des niaiseries dissimulées
Tu n’as pas suivi certaines voies
Où je m’étais emprisonné
Faut il s’approcher des abimes
Pour comprendre ce qu’on veut vraiment
Pour approcher, toucher les cimes
Faut il parfois souffrir autant
C’est un voyage au long cours
Et j’aime quand tu me tiens la main
Merci Ossiane pour l’invitation.
mais où est la bonne adresse
un espace, l’horizon dressé
du bleu océan pour effacé
route dans le rouge lasse
Par ici
………………….!µ
…………………/!\
………………../-!–\
………………./–!—-\
………………/—!——\
……..______/___!!_____\ô_
……….\_°____°___°_____/D
wwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww
des rêves en bleu,
guidés par des nuages
calmes et opulents,
mais une flèche,
discrète,
aventureuse,
s’en va à la poursuite
d’un avion
Itinéraire ou aventure, circonstances du chemin ou les aléas de la vie, à la croisée des routes quand la nuit tombe et que le ciel est si sombre, qu’il n’y a plus ni lune, ni étoile du berger et qu’il faut avancer…sait-on qu’elle est la bonne direction ? Sait-on ce qui conduit nos pas ? Si nous savons ce que nous fuyons, savons-nous ce vers quoi nous allons ? Vers quel horizon, vers quel pays, vers quel demain ?
_____
Serait-ce un mystère ?
Quel hasard guide nos pas ?
Destinée étrange.
_____
Bonne fin de soirée et bonne nuit avec pourquoi pas de beaux rêves de voyages vers des contrées de rêve.
ma route
route sans fin
mille et mille refrains
chants du vent sur la piste du bout des mondes
http://www.kennethwhite.org/geopoetique/
Oooohhh ce bleu………
Où?
merci aspe pour le lien sur la géopoéthique, et sur Kenneth White, j’ai retenu cette petite phrase :
« ….il ne faut jamais perdre le contact entre l’idée et la sensation, la pensée et l’émotion… »
______________________________________________
I………………………………………………………I
I..v……………V…………………………………….I
I…….v……………………………………………….I
I…..v…………\…………………../………………..I
I…………………..\…….+…../…………………….I
I………………………….)I)…………………………I
I……………………..\…)-I-)…/…………………….I
I………………………._)_I_)_ ………………………I
I____________________…\I/…___________________I
I…..-……-…..~…~…~..~°~……-…..-…..-………..I
I……………………..~.~..~..~..~……………………I
I………………….~.~..~…~.~..~….~……………….I
I…….~…..~…..~….~….~….~.~…~…..~…….~…..I
I______________________________________________I
Oh mon bateau oh oh oh !
Où partir?
Route du zéphir
Direction à suivre
Décision à prendre
Chemin du désir, toujours
Escales en archipel du coeur, encore….
Bonne journée, à tous, quelque soit votre voyage…intérieur.
J’irais là-bas, j’irais là-bas
Si l’on me dit, si l’on me dit
Que là où l’azur aime la mer
Là où les vagues fendent les cœurs
Et les nuages, ce lit de vers
Ces draps blancs froissés de nos vies
Suivent mes couleurs, suivent mes regrets
Je trouverais un peu de lui.
J’irais là-bas, j’irais là-bas
Aux Marie-Galantes ou ailleurs
Scruter les îles de l’archipel
Où la haute mer crie qu’il m’oublie.
Je braverais en mon voyage
Les terres du silence et le Monde
Angoissant des grandes profondeurs
Qui de houle en houle nous remue.
Où mène la route, large turquoise
Qui noie mes papiers cerfs-volants?
Si d’aventure vos mâts plus grands
Que la cime d’un cœur obstiné
Percevaient d’un oeil maritime
M^me l’ombre de son navire errant
Dites-le moi, dites-le moi.
Où est-il?
Je l’attends à la croisée des routes
Sous les étoiles de l’espérance
Sous la lune des marées puissantes
Qui claquent en vers mes écritures
Je l’attends à la croisée des routes
En quel pays, quel lendemain
A t-il choisi de rêver?
Où est-il?Je l’attends,ici
Si près des colères de la mer
Si près des eaux bleues apaisées
Sous le bleu du ciel et de l’eau
Se demande-t-il où je suis
Ce que je deviens tout là-haut
Sur les terres du Nord où le gris
Supplante le bleu et ses embruns?
Où est-il?Je l’attends,ici
Au pays de mes doutes
Si près des colères de mes vers
Si près des encres bleues apaisées
Sous le bleu du ciel et de l’eau
Au pays de mes doutes
Au pays de ma route
Son cœur de lave
Mon cœur indigo
Où est-il?
Où?
Nuages
Personne ne les dirige mais le vent les oriente,
Aussitôt nés ils se rassemblent comme les moutons
Et comme les bulles dans les Bandes Dessinées ils savent
Qu’ ils sont Prédestinées à ne garder que des paroles.
Alain
Voile
Elle n’oppose pas la force face au vent turbulent
Elle est comme le sourire d’une mère pour son enfant
Elle se laisse conduire dans toutes les directions
jusqu’à ce qu’il s’endorme entouré d’affection
Alain
Brsie marine
du sable qui s’écoule des vagues qui s’écroulent
une force impalpable qui pousse à la paresse
des lignes courbes qui vous retiennent par des caresses
Un parfum d’aventure comme une voile sur l’océan
Alain
Le bleu danse et frémit au son du vent
Qui caresse le dos des îles attentives.
Le chemin qui y mène ne se trace qu’en rêve.
elle est jolie cete image,
belle journée pour chacun’e’…
Où
se met
en place
à
partir
du
moindre
mot…
Qui?
se distingue
par son
indécision
Quand?
est superflu
Autre toute
autre
est le
POURQUOI
de chaque chose
La vraie question
sans doute…
–
Beau wekend
T’es ou?…juste pour me rassurer..pour savoir si tu vas bien..peu importe le pays..la ville..la distance..la direction..Je veux pouvoir vivre un peu dans ses pensées..Pourquoi ?..sourire..juste pour savoir si le soleil est sucré..quelle est la couleur de ses mots..ou se trouve le fil qui relie les pensees..si…
hou hou !
–
Flèches – en azur –
amstramgram-choix-d’une-voie-et-
pic-et-colégram
–
Coucou !
Croisée des chemins
Chacun suit le sien
Toujours tout droit
Sans regarder derrière soi
Et devinez ce qui arrive
A jouer à ce petit jeu là ?
Au bout d’un long moment
Tout le monde se retrouve…
AU POINT DE DEPART !
La roue tourne…
Comme le hamster dans sa roue en folie
Beaucoup de chemin parcouru
Mais toujours au même point
A l’arrivée –
Mais OU tout cela va-t-il mener ?
Biseeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee
Où étais tu ?
Où es tu ?
Où seras tu demain ?
Tu n’appartiens
Ni n’appartiendras
Jamais à personne
Je le sens
Je le sais
Je le veux
Dis,
Me donneras-tu
Des nouvelles pour Noël ?
http://www.youtube.com/watch?v=iTkHyNrJpnU
Déjeuner en paix,déjeuner en paix………..merci bambourea
mais où?!
bise du vent
Vers ou souffle le vent aujourd’hui ?
Il souffle ,
Du nord-est , vers le sud ,
Il porte avec lui ,
Ton souffle bienveillant,
Je le sens.
Bien avant Noel ,
J’accrocherai des guirlandes ,
Sur des fils que tu verras.
Je sais faire ça
Tu sais lire ça
Ou que tu sois
Ou que je sois
Où que tu sois, là où je suis
La poésie sur fil de soi
Fenêtre sur le monde, lumière de l’instant
Rubis, corindon, un rêve étoilé
Un saphir de lune, une lumière d’argent
Le chemin est clair, bordé de cœurs bleus
Où va l’oiseau blanc sa traîne faite de rêves?
A des fiançailles déchiffrer l’aveu
Que murmure le vent au lointain rivage
Photos et images, un silence parfait.
Cap sur l’outre-mer le cœur envasé
Cayenne sur la côte, plages où paresser
Quand pleurent les saisons l’Amour océan.
La mer danse l’écume des mélancolies
Je guette le vent doux frère des alizés
Elles n’ont jamais vu gronder d’ouragans
Que dans mon p’tit cœur, la baie intérieure
Le vent passait doux, petite voix volcan
Caresser la dune, danser sous sa plume
Et s’accrocher dessus le mât du voilier
De nos r^ves fous et de nos voyages
Je suis l’enfant qui baisse les bras fatigué
Qui frappe la mer à coup de pierre de révolte
Coule, coule, toi fureur qui m’envahit
Les feuilles mortes, il n’y en a pas… ici
D’où es tu, Où vas tu, pas aux Vanuatu
un rien têtu, mais t’es tu donc tu
dans cette immensité qui ponctue
où sont ces destinations idylliques
aux noms aux consonances mirifiques
la route des possibles est bien grande
ouverte aux vents et aux courants
affronter la traversée n’est pas une formalité
alors qu’il me soit permis de penser
à un ami , jean paul, qui accomplit sa destinée
parti qu’il est affronter au loin les alizés
le loch ça file, comme s’affile la vague
mais en guise de saphir je préfère le Bombay
ça peut être tonic avec quelque chose qui pique
A la croisée des mers et des ciels, il n’y a que les nuages,
Ils vont jamais semblables circulant sans cesse
Allant du nord au sud ou d’est en ouest ;
On ne sait d’où ils viennent, on ne sait où ils vont
Voyageurs légers sans bagages, ils parcourent le monde,
Ils savent sans pancarte où ils se délesteront
Et s’ils viennent du sud en route vers le nord ils choisiront escale
Là où on les attend désespérément sans plus y croire
Ou, sans vergogne, arroseront abondamment et sans discernement
Pour avoir voyagé sans destination dans toutes les directions.
Ils vont inlassablement blanchir la page bleue du ciel
Ou pis encore noircir les chemins empruntés.
Lorsque le ciel est beau, le soleil resplendissant,
Les nuages romantiques ne peuvent s’empêcher
De verser à l’horizon leurs petites larmes de bonheur
Une façon pour eux d’unir les eaux du ciel et de la mer
Et de se dire peut-être, et bien voilà, ainsi le monde est beau.
J’ai vu un drôle d’arbre au bord de la mer
-Ah oui Où ça ?
Là bas, Il avait des branches on aurait dit des pancartes
-Ah oui Comment ca ?
A la place des feuilles, il poussait des mots
-Ah oui et quels mots ?
La Havane, Cayenne, Marie galante…..
-Ah oui et encore ?
Escale, archipels, et plein de mots en partance
-Ah oui où ça ?
Au delà des mers et des Océans
-Ah oui et jusqu’où ?
Eh bien je crois jusqu’au bout de mes rêves
-Oh alors tu m’emmènes avec toi dis ?
Prends place si tu veux sur mes ailes
Ferme les yeux et si tu entends la mer pleurer ses bleus
Chante plus fort que sirènes d’Ulysse
Et j’invoquerais les cieux de nous bercer pour mieux rêver
Bon Monique, j’ai plus d’inspiration… c’est juste pour sourire!)bisou.
Sans avoir besoin d’être bercée je crois, je m’en vais rejoindre tout là bas le pays des rêves bleus bisou à toi aussi Leïla
Se perdre entre mots et distances, au long, long cours!
Bonjour du matin
Voici une question que je me suis souvent posée :
Mais………………….
OU……………………
Sont passées………..
Mes clés ????????????????
Et vous ?
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
Quand son âme
Lève son envie de vivre
De multi bras
Lui montrent des voies
Et le petit coeur d’un cap
Lui murmure tout bas
Son bel de choix
De son âme à soi
Bonne journée à tous en ce dimanche, où le vent a l’air de vouloir enfin se calmer, une seule envie aller me balader, reste à savoir où !
___
Suivre le vol d’un oiseau
Se laisser emporter par le vent
Partir droit devant soi
Sans savoir où l’on va
Se sentir libre, l’esprit léger
Le coeur ouvert à l’aventure
Curieux de voir et de connaître
Ne plus savoir où est le rêve,
Où est la réalité tant on est heureux !
Aller là où on a envie de chanter.
______
Le petit oiseau de toutes les couleurs
by Gilbert Bécaud
Ce matin je sors de chez moi
Il m’attendait, il était là
Il sautillait sur le trottoir
Mon Dieu, qu’il était drôle à voir
Le p’tit oiseau de toutes les couleurs
Le p’tit oiseau de toutes les couleurs
Ça f’sait longtemps que j’n’avais pas vu
Un petit oiseau dans ma rue
Je ne sais pas ce qui m’a pris
Il faisait beau, je l’ai suivi
Le p’tit oiseau de toutes les couleurs
Le p’tit oiseau de toutes les couleurs
Où tu m’emmènes, dis
Où tu m’entraînes, dis
Va pas si vite, dis
Attends-moi!
Comm’ t’es pressé, dis
T’as rendez-vous, dis
Là où tu vas, dis
J’vais avec toi
On passe devant chez Loucho
Qui me fait Hé! qui me fait Ho!
Je ne me suis pas arrêté
Pardon, l’ami, je cours après
Un p’tit oiseau de toutes les couleurs
Un p’tit oiseau de toutes les couleurs
Sur l’avenue, je l’ai plus vu
J’ai cru que je l’avais perdu
Mais je l’ai entendu siffler
Et c’était lui qui me cherchait
Le p’tit oiseau de toutes les couleurs
Le p’tit oiseau de toutes les couleurs
Où tu m’emmènes, dis
Où tu m’entraînes, dis
Va pas si vite, dis
Attends-moi!
Comm’ t’es pressé, dis
T’as rendez-vous, dis
Là où tu vas, dis
J’vais avec toi
On est arrivé sur le port
Il chantait de plus en plus fort
S’est retourné, m’a regardé
Au bout d’la mer s’est envolé
J’peux pas voler, dis
J’peux pas nager, dis
J’suis prisonnier, dis
M’en veux pas
Et bon voyage, dis
Reviens-moi vite, dis
Le p’tit oiseau de toutes les couleurs
Bon voyage!
Reviens vite, dis!
Bon voyage!
J’ai savouré vos écrits aux humeurs vagabondes.
Un régal, aprés café noir et tartine beurrée.
Bonne journée à tous, la mienne commence par vos mots, sous les nuages et les alizés, devant la mer et ses archipels………………….
et si on allait faire un petit tour
où ça, où ça….
http://www.youtube.com/watch?v=DgTOP1M-72s&feature=PlayList&p=FDEFA052E408DF94&playnext=1&playnext_from=PL&index=23
rimbaud :
« …choisirai-je le Nord
ou le Pays des Vignes ?.. »
MIGRATION
Où vont les grands oiseaux
Qui traversent le ciel ?
Nicher dans les roseaux
Vers des pays couleur de miel ?
Mon cœur est un oiseau en cage
Qui s’évade quand pensif je les suis
Leur vol est pour moi un message
Qu’en rêve je déchiffre la nuit
Partir au loin du quotidien morose
Ailleurs où le soleil de l’océan surgit
Dans un envol de flamants roses
Et se couche le soir quand le lion rugit
Où vont les grands oiseaux
Qui traversent le ciel ?
Au delà des mers froides et grises
Vers des lacs où souffle une légère brise ?
Dans l’océan d’azur aux vagues de nuages
Leurs ailes dans le vent sont des voiles
Ils emportent avec eux au passage
L’envie de suivre aussi la route des étoiles
Leur traversée n’est pas de tout repos
Les plus faibles souvent succombent
Et on verra blanchir leur os
Quand la neige d’hiver leur fera une tombe
Où vont les grands oiseaux
Qui traversent le ciel ?
Retrouver le jardin des délices
Vers des îles aux fortes odeurs d’épices ?
Un jour j’irai là-bas
où l’infini ouvre ses portes
là mon désir m’emporte
avec les nuages nomades
loin des ports loin des rades
où les rêves éveillés
et les amours ensoleillés
ne sont pas des mirages
pour un coeur en voyage
Un jour j’irai là-bas
chercher un ciel nouveau
pour parler avec les oiseaux
le vent gonfle les voiles
je reviens vers mon nid d’étoile
je rentre à la maison
derrière l’horizon
adieu terre étrangère
où la haine me désespère
Un jour j’irai là-bas
c’est pas si loin que ça
la vie y conduit pas à pas
la vague mène au rivage
l’âme après le naufrage
je vole vers ce pays étrange
avec des ailes d’ange
et de vos yeux les pleurs
pour moi seront des fleurs
quand je serai là-bas !
Notes
Blanche, noire, ronde ou croche
La musique nous rapproche,
Nous sommes sœurs sur la portée
Chacune à sa valeur
Chacune à sa durée
Nous ne sommes pas des billes, ni des bulles irisées
Nous savons faire tourner les sphères des jupes des filles
Tant qu’elles se croient aux îles sous les vents alizés
Car nous sommes comme l’encens, le musc ou la vanille
Do ré mi fa sol la si
Obéissantes au métronome
Bach, Mozart, Debussy
Amants des galaxies
Ont pour nous des yeux d’astronomes
A peine nous naissons que nous disparaissons
En laissant dans les airs comme un parfum de roses
Pour faire danser les brunes les rousses et les blondes
Nous inventons des rondes qui font le tour du monde
Si mi la ré sol do fa
Pour traverser les mers
Chopin, Schubert, Ravel
Comme des caravelles
Nous ont donné des ailes
Comme le vent berceur qui fait danser les palmes
Nos sons portent le calme aux âmes qui réclament
Nous rapprochons les hommes des bras tendres des femmes
En réchauffant les cœurs comme ferait une flamme
Blanche, noire, ronde ou croche
La musique nous rapproche,
Nous sommes sœurs sur la portée
Chacune à sa valeur
Chacune à sa beauté
Alain
Vogue la musique sur son radeau de notes
Gémissant , se traînant, malheureux naufragé
Elle s’écrit quand la mer
Houleuse au quai des brumes
Vocifère pour briser les vagues qui l’abîment.
Vogue ma musique parfois dans les prairies
Le coeur endolori, à peine s’il sourit
S’évade en cavalcades
Allant de songe en songe
S’égarer sans issue
Continuel nomade.
Vogue ta musique
Laisse la me draper
Devenir mon asile
Mon île, ma liberté.
Cueillez-moi des bouquets
De sons que je m’abreuve
A écouter vos oeuvres
Vos sensibilités.
Dans la musique on noie
Nos révoltes qui grondent
Nos soucis qui attristent
La grammaire du calvaire
L’ombre aux cheminées sans feu.
Je ne sais comment lire
Des partitions brûlées
Vont-elles assoupir
L’amour que j’ai pour elle
Fille blonde couleur de miel
Jeune femme brune au désir
A dire, lire et écrire
Elle suça tout mon sang.
Vampire!
tu es dans la basilique st Pierre à Rome.
ou en France. Ouessant?
Vague à l’âme dis-tu ?
D’où te viennent ces idées saugrenues
Qui planent et occupent ton ciel ?
Faut-il que le passé s’incruste
Jusqu’à la fin des temps. ?
Chasse au delà des nues,
Au delà des frontières et des mers
Tout ce qui pourrait encombrer ton ciel,
Recouvre d’un voile de ciel bleu
Les nuées sombres et menaçantes
Qui masquent la ligne d’horizon,
Balise les lendemains prometteurs
Ceux qui conduisent à l’allégresse,
Jette l’ancre aux havres qui pulvérisent
Les orages destructeurs contre un soleil radieux.
Les nuages suivent leurs cours
Pour aller où le vent les mène
Ils passent sans savoir où ils vont
Se laissent porter par le courant
Et le temps déplie son tapis singulier
Sa majesté le temps il passe
Et vite vite dis moi où
Te retrouver mon bel de coeur
Te serrer fort dans le cours du temps
Pendant qu’on est vivants
Où
Pour arriver au bal
Qu’organisent les étoiles
Suivre la croix du sud
ou la grande ourse
L’éternelle jeunesse
Y danse avec ivresse
Avec rien dans les poches
Tel un clochard céleste
Sans plus de précision
Tel un aristoloche
Comme serpente la vigne
Laissez courir vos lignes
Les mots donnent l’adresse
Et la destination
Alain
Soudain j’ai eu le mal de mère,
Rivage d’origine inconnue
Le passé saison éphémère
Le présent papiers méconnus
J’ai cherché l’enfant exprimé
Sous les épaules d’un trentenaire
Je suis né sous X et je vois
Mon A B Cédaire comme une voie
Acte de naissance, enfance volée,
Port en pleine mère, baie dévoilée.
Soudain j’ai eu le mal de mère,
Rivage d’origine inconnue
Le présent saison éphémère
Le passé papiers obtenus
Soudain j’ai eu le mal de mère
Je désirais être reconnu.
Pensée amicale à tous.Leïla.
Bises leila et bonne journée.
c’est bô Leila,
Où
Dis moi où
Et le Cristal
1234
Ou
La formule1
Tout speed
De ralenti
Bel être
Dis le moi où
Le cristal c’est bel
Les 26
27 28
Quel bel où de vie
A se vivre belloû
-Dis-moi quand? Dis-moi où?
-C’était un jour pluvieux
L’enfant coursait la pluie
Emprisonnait ses gouttes
Pour écarter l’ennui
Une enfant le suivait
Avec dans ses rubans
Leur amour cerf-volant
………….
-Dis-moi quand? Dis-moi où?
-C’était un jour plus vieux
Oui, j’étais revenu
En ces endroits d’enfance
Avec plus de silence
Beaucoup moins d’insouciance
Revisiter les lieux
………………
-J’étais un vieux monsieur
Elle, était vieille dame
………………
-Dis-moi où? C’était où?
-Le plancher craque
Comme de vieux os
Bruit qui claque
Bois qui craque
Goutte qui tombe
Sur un pas de porte
Le souvenir m’emporte
…………..
-Dis-moi où? C’était qui?
-C’était entre mer et dune
Dans la baie des géants
C’était l’ amie d’enfance
Moi pirate malicieux
……………..
A ces mots, grand-père s’endormit
Rejoignant ses rêves,assis.
……………
J’ai croisé vieille dame
J’ai croisé vieux monsieur
Leur enfance dans leur âme
La jeunesse dans leurs yeux
C’était en bord de mer
C’était un jour pluvieux
C’était un jour…plus vieux.
Douce pensée Nathalie, tendresse Annick.
http://www.youtube.com/watch?v=HEQVdnMrv70
Dis moi quand? dis moi où? c’est où?
Je te relis Leila, merci pour tes mots, et la vidéo.
Ce 5 Février à cette heure, ohlaohla de vie sans douceurs, pour certains,
une femme ne peut accepter d’e suivre la voie de son destin mené par le tyranisme despotique qui souhaite soumettre et asservir. et prend l existence de l être
il est beau ce mot LIBERTA.
Liberté
Pour pas se mourir
Juste pour respirer
Encore aimer
De bel aimer de vrai
Sans se forcer
Encore moins feindre d’aimer
La liberté de se vivre
Tout simplement
Quand des efforts de tant
Pour maintenir la barre
Longtemps
Et quand épuisé de tellement
Se vibrer sur son île jolie
En douceurs, avec l’essentiel
Sans rien exiger, ni se gaspiller d’énergies
En inutiles conflits
Dans des matériels de luxe ridicule
C’est bon
De penser se vivre d’amour et d’eau fraiche
En serrant fort de fort
Ses valeurs de vie
Au plus profond
Vivre pour respecter l’autre
Et se faire respecter
Enfin
Liberté
Où
Au plus profond de son âme
Belle de jolie
En vie charnelle
Elève un peu atypique, passionné de pierres :
« Merci, Maîtresse, pour « la route de saphir »
— Tu sais, Elève, ce n’est pas moi qui l’ai écrit.
— Oui, je sais, c’est Ossiane. Alors il faudra la remercier pour la route de saphir. »
Voilà, c’est transmis … et, hier, dans la pièce de théâtre, Barbanègre la pieuvre dévoilait ses pierreries, et Elève de dire à tous : « Vous savez les saphirs de la route de saphir. »