52 réflexions sur « Foudre »

  1. Coup de foudre et soudain vie
    eau lance des motions
    des frissons liliaux troublent
    un calme au coeur de Klein
    aucun rempart aux ondes
    et le poul s’accélère
    j’ai perdu mon pare-feu
    et en nage je me noie
    dans le bleu éléctrique

  2. Foudre
    Un éclat
    éclaire
    le torrent
    renversé
    Dans un reflet
    du ciel
    Le nuage
    est tombé
    tout nu
    dans l’eau
    bleutée
    où on le voit encore

  3. Coups de foudre

    Un coup de la foudre inattendu zèbre la nuit
    Le ciel s’éclaire avant qu’éclate le tonnerre
    Comme le lièvre hors du sillon le cerf en fuite
    le cœur bondit s’emballe et saute dans la poitrine

    Avec une fumée bleue une lueur a jailli
    Déchirant le silence avec un claquement sec
    Quand la poudre a parlé tout au bout du fusil
    Crachant le feu avant que ne siffle la balle

    Que retombe la mitraille comme tombe la pluie
    Le cœur est dans l’effroi le froid qui paralyse
    Pour juger de sa peur il manque d’analyse

    Il est souvent sujet à des tourments sans cause
    A des émois violents et parfois il explose
    voilà à quoi toute une vie le cœur s’expose

    Alain

  4. sur la surface lisse et marbré de l’eau, que le soleil étincelant diaprait
    Dans le berceau de l’aube, j’écoutais le ronflement de la nature endormie ;
    C’était une heure propice à la rêverie ; aux songes, aux chimères.
    Une heure ou certains pensent que le monde peut nous appartenir.
    Je pense plutôt que c’est l’instant nous semblons Etre une note
    Mystérieuse…sur la partition cette symphonie pastorale du monde.
    Note si grave et parfois si légère, !
    Je fus surpris par coup de feu qui transperça la quiétude des lieux.
    Une nué d’oie sauvage désordonnée s’éparpillait dans un tonnerre de battement d’aile
    Des chiens de chasse prolongeaient ce grondement de leurs aboiements.
    Et la terre tremblait sous leurs courses effrénées.
    Les buissons était froissés par le passage des chasseurs ;
    Peu à peu cette meute sauvage s’éloigna ; ce fracas se transforma, En rumeur,
    en murmure, pour n’être plus qu’un friselis au milieu de la brume.
    Le soleil rougeoyant étalait ses larmes de lumière, sur l’étang immobile.

  5. Dans le ciel azur
    Il pleut des hallebardes
    Le sang est d’encre

    une belle continuité dans tes photos … un magnifique triptyque … bravo

    Belle semaine

  6. Coups de foudre

    Quand il reçoit la foudre
    Le cœur est à recoudre
    Cela pose un problème
    Difficile à résoudre

    Cela s’attrape comme la teigne
    Pas d’herbes mis en poudre
    Aucun médicaments
    Ne soignent les cœurs qui saignent

    Quand le cœur bat très fort
    Et tout le tremblement
    Il faut par un poème

    Traduire les sentiments
    Car qu’on aime le corps
    Est comme un instrument

    Alain
    Merci Annick Bisous

  7. Reste là-haut dans le ciel
    Le passage d’un orage,
    Une trainée de poudre,
    Calligraphie d’une égratignure
    Avec la plume d’un éclair
    Dans l’encre blanche des nuages.
    L’eau dans ses reflets
    A dispersé la grisaille,
    Et sur le bleu du ciel,
    Quelques bribes d’écriture
    Comme un pinceau chinois
    Sur un voile de soie
    Pour inscrire le mot fin
    Aux intempéries du passé.

  8. Le coup de foudre
    C’est si bel
    Et si fol
    A la fois
    Cela déterre l’être
    En l’accrochant si fort
    L’être terre ses blessures
    Ne cesse d’y penser
    Le corps s’envole en ciel
    Et plane sur les beautés

  9. Un regard……..puis un autre…….la main transpire……le coeur se palpite….les jambes gondolent….le bord d’un meuble tenu….les pores à fleur de peau..l’oeil se vibre…la totale hors maîtrise….un coup de foudre si puissant..

  10. Bonjour la Compagnie !

    Orages chez vous ?

    Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z

    Ma pauvre Ossiane
    A force de parcourir les vignes
    Entre raisins blancs et raisins noirs
    Voici que tu t’es un peu trop attardée
    En plein cœur de la cave !

    Sans prendre garde,
    Tu es tombée dans le « foudre »
    Plus qu’un tonneau,
    Encore mieux qu’une barrique
    Une véritable piscine
    D’au moins 160 000 litres !

    Capacité vertigineuse…
    Le vin bleu a encore frappé :
    Pas étonnant que tu voies trouble !

    Allez, un petit coup de main
    On te tire de là, sans trembler
    La prochaine fois
    Evite les temps d’orage
    Avec éclairs et foudre
    Pour tomber dans le foudre !

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Foudre_(r%C3%A9cipient)

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee

  11. Z

    Est-ce une plume d’oiseau qui dans l’eau nous fait signe
    Ou le reflet dans l’eau de la nage d’un cygne

    Est-ce un éclair d’orage qui zèbre la nuit sombre
    Ou bien la mince carène d’une lune vagabonde

    Est-ce un trait à la craie sur un morceau d’ardoise
    ou quelques coups d’épée qui dans l’azur se croisent

    est-ce un trait de lumière qui roule sur les ondes
    ou le souriant portrait de la belle Joconde

    est-ce un nuage de lait qui dans la nuit se fond
    Comme des notes au piano en musique se fondent

    Alain

  12. Foudroyé mais pas soudoyé
    ma main a griffé la surface des choses
    pour des histoires pas à l’eau de rose
    et les événements ont étincelé
    torrent de feu, torrent d’acier
    qui anime et rallume le brasier
    ce n’est pas de la fulgurite
    je n’ai pas pêté de durite
    juste un court circuit
    qui provoque à peine la rupture
    et boucle la ceinture

  13. Cernés de bleu
    Ces signes énigmatiques
    En vestiges aériens
    Transcendent le ciel
    Livre ouvert sur l’espace
    Idées lumineuses et savantes
    Légères comme des plumes d’oiseaux
    Tranchantes comme des lames d’acier.

  14. Du vent au vin,
    Je vins au vent

    Je ne suis pas devin
    Mais à trop fréquenter les foudres
    Quelle main n’en viendrait pas à trembler

    Je ne suis pas de vin
    Mais fréquentant les foudres
    J’ai gagné en esprit

    Je suis pas divin
    Ne sais manier les foudres
    Alors, tends-moi la main

  15. Le coup passa si près
    que mes cheveux dressés
    encore longtemps après
    gardérent la marque du cyprès
    la langue de feu s’étira
    les oreilles bourdonnérent
    rien qui l’annonça
    pourtant passagére
    l’odeur d’ozone
    régnait sur la zone

  16. Quand le foudre sent le soufre
    ce n’est pas forcément affaire de malin
    mais pour ce qui est du salin
    il faut assainir de vapeurs suffocantes
    avant que ne s’engouffrent
    des humeurs plus roides
    bien sur cela peut peut monter à la tête
    à condition de faire l’athlète
    aussi inspirer profondément
    avant que de glisser dedans

    Pour le divin attendre le divan
    la compagnie d’un cigare
    une vitole de choix
    un nectar de roi

  17. Eclair rouge et brûlant
    pour zébrer mon coeur de tourments
    Et si le ciel est si bleu de tes mots d’argent
    ma main tremble des lendemains
    sans fins
    Bonsoir foudroyant réellement……AA

  18. Bonsoir amis passagers et poètes, bonsoir Ossiane et merci pour cette belle image où le ciel bleu griffé de blanc laisse malgré les mains tremblantes et l’impression de vertige, une note d’espoir, c’est bien connu, après l’orage vient le beau temps.
    _____

    L’éclair a traversé leur ciel
    Et l’orage sur eux s’est abattu
    Quelques secondes ont suffit
    Pour réduire à néant
    Tout un espoir construit
    A coup de coeur à coup de sang
    A peine le temps de voir
    La foudre avait tout ravagé
    Dans un bruit d’enfer
    Le monde est devenu noir
    Dans leurs yeux, des larmes de pluie
    Dans leur coeur les griffes de l’orage
    Ils savent depuis lors
    Que plus rien ne sera comme avant
    Même si le ciel généreux
    S’est revêtu de bleu
    Les stigmates du drame
    Hanteront leur mémoire
    La foudre a déchiré leurs rêves.
    ____

    Beaucoup n’oublieront jamais, Nîmes, Vaison la Romaine, mon village, la foudre et toutes ses conséquences…..

  19. La foudre éclatait et jonchait le sol de mille zébrures
    le ciel noirci avait décidé de ces cinglantes parures
    dans ce déchaînement lumineux le feu claquait sec
    et sous la force irradiante tous se clouaient le bec
    depuis les temps les plus anciens le feu fut ainsi apporté
    à portée de main surtout pour les moins peureux
    il enflammait autant les esprits que les végétaux
    donnait à penser à la puissance visible des irréductibles
    qui du haut de l’olympe faisaient sauter les fusibles
    sans plomb à Sounion que seraient ils devenus

    sans être fourbe la foudre ne prévient pas
    à la vitesse de l’éclair elle jaillit
    et nous voici assaillit
    par le feu céleste
    qui jamais de la peur
    ne nous déleste
    à celui qui déteste
    autant se boucher oreilles
    et voiler les yeux
    car venant des cieux
    un bombardement intense
    incendie avec constance

    quand le sol sablonneux est touché
    profond dans le sol s’enfonce le trait
    et si muni de patience et d’une pioche
    on réussi à extraire au point d’entrée
    alors une fulgurite apparaît

  20. Un coup de tonnerre
    La foudre s’abat
    Le coeur ce bel
    Se fissure un peu plus
    Puis un jour il s’explose
    Toute l’électricité
    Dont la vie l’a chargée

    belle journée pour tous.

  21. 1…2….3….4…..il te suffit de compter les secondes…entre flash et vacarme…tu vois il s’éloigne…l’horizon clignote…la lumière vacille….il s’est posé de l’autre côté de la terre…il ne reviendra pas…Elle arrive…elle glisse sur tes paupières…sur ta joue…tes lèvres… elle se perd dans ton cou…entre tes seins…Tu es trempée…la pluie ne va pas cesser…on s’abrite….1….2….3…4..tu entends…c’est le temps qui nous quitte…le silence installé…Ma main tremble…un « éclair blanc du vertige »…soie blanche abandonnée…Tu frissonnes..tu es nue…mon coeur se brouille…

  22. pierre b, c’est très très joli,
    cela donne beaucoup de fraicheur à mon départ de matin éreintant de speed,

    mais je me pars un bord de mer me cueillir, coquillages, cris des mouettes, les perles d’eau sur les chevilles, le sable à toucher, sans foudre, rien que de la poudre douce en oeil, joli de vie, tendresses de l’air, cet été da sa bout de fin, c’est bon de le vivre…..

  23. Eclairs

    Est-ce une plume d’oiseau qui dans l’eau nous fait signe
    Ou le reflet dans l’eau de la nage d’un cygne

    Est-ce un éclair d’orage qui zèbre la nuit sombre
    Ou bien la mince carène d’une lune vagabonde

    Est-ce un trait à la craie sur un morceau d’ardoise
    ou quelques coups d’épée qui sous l’azur se croisent

    est-ce un trait de lumière qui roule sur les ondes
    ou le souriant portrait de la belle Joconde

    est-ce un nuage de lait qui dans la nuit se fond
    Comme des notes au piano en musique se fondent

    Alain

  24. A l’accident de la lumière
    A l’évènement de l’onde
    Parcourir le monde
    En substance un photon
    Qui caresse ta paupière
    Puis fond comme flocon

  25. La rivière

    c’est la vie qu’elle exprime toujours en mouvement
    sa transparence cache
    La profondeur des sentiments
    bien qu’elle semble indifférente
    aux rives où elle aborde
    il arrive bien souvent qu’en colère elle déborde
    C’est qu’elle est animée par un souffle puissant
    Qui la force d’avancer et toujours en dansant
    Dans son habit de scène scintillant de paillettes
    Elle réjouit les cœurs et fait tourner les têtes
    Son existence l’entraîne à connaître le monde
    Et sa beauté éclaire sa route vagabonde

    Alain

  26. Alain, c’est joli :
    « Quand elle court la rivière
    Elle accroche le soleil
    Dans les plis de sa robe »

    Bonjour à tous en ce jour d’automne, bien ensoleillé et presque chaud. Un ciel bien bleu sans trace d’aucun tourment, qu’elle est agréable cette arrière saison où les adieux à l’été se font en douceur. En pensée avec toi Annick au bord de l’eau !

    Dans le ciel d’Ossiane :
    _____

    La ligne brisée
    L’instantané de l’éclair
    L’effet de surprise
    ____

  27. oui Monique je suis de ton avis je trouve cette phrase d’alain très belle

    pierre b on a envi de compter avec toi …

    bonjour vers chacun

    Ossiane belle suite

  28. pourchassant des tramways bleus
    dans les ruelles de ta pluie
    jungle
    Kaléidoscope
    des foudres
    ]]]:: jungle
    ondulante
    à la surface d’une flaque
    graphique inachevé
    des circulations
    météorites des pulsions
    éclairs flamboyants des fuites
    la foudre en passe de tenir au creux de sa main
    notre frayeur
    énigme
    somptueuse
    et provocante
    tu t’enflammes pour un rien

  29. « La rivière accrocheuse de soleil  » d’Alain s’est retrouvée prisonnière de la belle en dentelle …..
    Merci pour ton passage « Au gré des jours »

  30. Je lis en ce moment, « La peur  » de Stephan Zweig
    Et voici un passage qui m’a interpellé, c’est exactement, un lien avec la photo « la foudre »!
    « L’obscurité était un gouffre béant et horrible, des nuages s’avançaient, qui bâtissaient avec une hâte frénétique de noires murailles, et l’on entendait comme un mugissement entre ciel et terre. La lourde et persistante chaleur était emportée par ce courant sauvage, tout s’agitait, se mouvait, se déployait, c’était comme une fuite rapide d’un bout à l’autre du ciel, et les arbres solidement enracinés dans la terre, geignaient sous le fouet cinglant et invisible de la tempête. Soudain l’horizon fut divisé en deux par une lueur blanche : un éclair fendit le ciel jusqu’à la terre. Puis le tonnerre éclata avec une telle force qu’on eut dit que le ciel s’effondrait dans l’abîme. J’entendis remuer derrière moi. La femme s’était brusquement éveillée. L’éclair lui avait fait ouvrir les yeux. Troublée elle promena autour d’elle un regard effaré. « Qu’y a-t-il ? », dit-elle. « Où suis-je ? » La voix n’était plus du tout la même qu’avant. »
    (Stefan Zweig La peur)

  31. Merci Jo.S Je suis une inconditionnelle de Zweig et craignant que ma mémoire me fasse défaut je suis allée jeter un coup d’oeil dans la bibliothèque et non effectivement je n’ai pas lu « la peur » merci je vais m’empresser de me le procurer, sur ma pile d’attente il y a « Lettre d’une inconnue » de Zweig ma dernière acquisition de cet auteur.(j’ai attendu volontairement pour le lire, c’est très particulier sur le thème de la passion)
    Le passage sur la foudre est en parfaite harmonie avec la note du jour, quel plaisir lorsque l’on fait des rencontres comme celle là au cours de ses lectures.
    Bonne fin de soirée à tous.

  32. Pas un foudre de guerre, encore moins va t en guerre
    j’en ai vu de toutes les couleurs ce soir sur un écran
    et si le feu est destructeur il peut aussi faire succèder
    à une apocalypse une résurrection au moins du noir et blanc
    encore sonné par tant d’images, des plus rudes et violentes
    de celles qui créent des chocs et provoquent des incidentes
    comme si à mes pieds l’éclair était soudainement tombé
    rien n’est plus tout à fait pareil, le monde est différent
    de cette couleur de la vie et de la mort retrouvée
    de tout ce sang éclaboussé il faut savoir regarder
    et détacher du temps l’infernal déroulement

  33. En quelques secondes, la foudre
    Le ciel se fend sous nos yeux
    Lacéré, traversé de lances blanches
    Partage des airs en quelque sorte
    Revenons au sujet, l’image
    Aucun miracle, aucune légende
    N’en déplaise à Jupiter
    A l’aigle maudissant la terre
    Le ciel s’est ouvert
    En déflagration tonitruante
    S’en suit un long silence

  34. Je viens de visiter (figure-toi que je ne l’avais jamais fait!!!) ta toute première note…

    J’ai vu que les passagers de l’Oeil Ouvert flânent aussi par-ci, par là, feuillettent l’album au gré de leur fantaisie, et y sèment leurs grains de poésie.

    Sans se soucier du temps.

    C’est bien.

    L’Oeil ouvert se dévore à pleines dents, mais se savoure, aussi, lentement, tanquillement.

    Et quand on y a goûté…. Mmmmmm! On y revient toujours…

  35. Phalanges lumineuses
    Parmi des nuages d’orage
    Une explosion d’air

    Tonnerre de Brest
    Électron libre
    La peur se brise
    Après l’aveu

    Lumière
    Avalanche de mots
    Collision des cœurs
    Violence du bleu
    A l’âme.

  36. Coup de foudre au pays des écureuils

    Lui
    Pour cueillir un baiser
    Sur sa bouche gourmande
    Pour cueillir un baiser
    Qui sentait la noisette
    Pour cueillir un baiser
    je lui fis la causette
    Afin d’apprivoiser
    ses beaux yeux en amande

    Ensemble
    sur la branche d’un pin là où la cigale scie
    sur la branche d’un pin il s’était assis
    il venait tous les jours faire des acrobaties
    Avec de bons copains remplis de facéties
    Avec ses mots à lui il a chassé l’ennui
    L’amour nous a uni et la tristesse a fui

    Elle
    Depuis que dans son œil
    Comme dans le fond d’un puits
    Un grand éclair a lui
    J’ai su que c’était lui
    Le charmant écureuil
    Dont je rêvais la nuit
    Son récit m’a séduit
    Partout il me conduit

    Ensemble
    sur la branche d’un pin là où la cigale scie
    sur la branche d’un pin où il s’était assis
    il venait chaque jour faire des acrobaties
    Avec de bons copains remplis de facéties
    Avec ses mots à lui il a chassé l’ennui
    L’amour nous a uni et la tristesse a fui

    Alain

  37. .
    En coup de vent…

    Bienvenue et merci pour le joli haïku, vlinder !

    Heureuse de te retrouver Anne-marie, tu fais partie de ces passagers;-) J’espère que tu vas bien !

    Coup de foudre de vous lire et de vous retrouver presque tous, émotion à fleur de peau, un grand merci pour tout !

    Bises !

    Ossiane
    .

  38. Monique,
    Je réponds, un peu tard.
    « La peur » est un recueil de 6 nouvelles de Zweig.
    Le texte est tiré de : » »la femme et le paysage »
    Délicieuses histoires ébauchées, l’imagination du lecteur fait le reste.
    Contente de trouver un écho à mon message.
    Bonne soirée, au plaisir de te lire, ainsi que les habitués de l’Oeil Ouvert.
    Clin d’oeil à Ossiane.

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