Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
ma main a tremblé
l’éclair blanc du vertige
ma vue se brouille
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
ma main a tremblé
l’éclair blanc du vertige
ma vue se brouille
oscilloscope d’un instant
variations de tension
sur fond de bleu Klein
plis de lumière
qui se troublent et s’envolent –
en fusion
Coup de foudre et soudain vie
eau lance des motions
des frissons liliaux troublent
un calme au coeur de Klein
aucun rempart aux ondes
et le poul s’accélère
j’ai perdu mon pare-feu
et en nage je me noie
dans le bleu éléctrique
Foudre
Un éclat
éclaire
le torrent
renversé
Dans un reflet
du ciel
Le nuage
est tombé
tout nu
dans l’eau
bleutée
où on le voit encore
–
Dans le pli de l’eau
Le murmure d’un secret
Bref et transparent
–
Coups de foudre
Un coup de la foudre inattendu zèbre la nuit
Le ciel s’éclaire avant qu’éclate le tonnerre
Comme le lièvre hors du sillon le cerf en fuite
le cœur bondit s’emballe et saute dans la poitrine
Avec une fumée bleue une lueur a jailli
Déchirant le silence avec un claquement sec
Quand la poudre a parlé tout au bout du fusil
Crachant le feu avant que ne siffle la balle
Que retombe la mitraille comme tombe la pluie
Le cœur est dans l’effroi le froid qui paralyse
Pour juger de sa peur il manque d’analyse
Il est souvent sujet à des tourments sans cause
A des émois violents et parfois il explose
voilà à quoi toute une vie le cœur s’expose
Alain
à fleur d’eau étrange
j’ai effacé ses empreintes
les goélands plongent
très fort, Alain,
belle matinée pour chacun…
il est très beau ton haïku, Ossiane, je savoure…
sur la surface lisse et marbré de l’eau, que le soleil étincelant diaprait
Dans le berceau de l’aube, j’écoutais le ronflement de la nature endormie ;
C’était une heure propice à la rêverie ; aux songes, aux chimères.
Une heure ou certains pensent que le monde peut nous appartenir.
Je pense plutôt que c’est l’instant nous semblons Etre une note
Mystérieuse…sur la partition cette symphonie pastorale du monde.
Note si grave et parfois si légère, !
Je fus surpris par coup de feu qui transperça la quiétude des lieux.
Une nué d’oie sauvage désordonnée s’éparpillait dans un tonnerre de battement d’aile
Des chiens de chasse prolongeaient ce grondement de leurs aboiements.
Et la terre tremblait sous leurs courses effrénées.
Les buissons était froissés par le passage des chasseurs ;
Peu à peu cette meute sauvage s’éloigna ; ce fracas se transforma, En rumeur,
en murmure, pour n’être plus qu’un friselis au milieu de la brume.
Le soleil rougeoyant étalait ses larmes de lumière, sur l’étang immobile.
Dans le ciel azur
Il pleut des hallebardes
Le sang est d’encre
…
une belle continuité dans tes photos … un magnifique triptyque … bravo
Belle semaine
Coups de foudre
Quand il reçoit la foudre
Le cœur est à recoudre
Cela pose un problème
Difficile à résoudre
Cela s’attrape comme la teigne
Pas d’herbes mis en poudre
Aucun médicaments
Ne soignent les cœurs qui saignent
Quand le cœur bat très fort
Et tout le tremblement
Il faut par un poème
Traduire les sentiments
Car qu’on aime le corps
Est comme un instrument
Alain
Merci Annick Bisous
Reste là-haut dans le ciel
Le passage d’un orage,
Une trainée de poudre,
Calligraphie d’une égratignure
Avec la plume d’un éclair
Dans l’encre blanche des nuages.
L’eau dans ses reflets
A dispersé la grisaille,
Et sur le bleu du ciel,
Quelques bribes d’écriture
Comme un pinceau chinois
Sur un voile de soie
Pour inscrire le mot fin
Aux intempéries du passé.
Le coup de foudre
C’est si bel
Et si fol
A la fois
Cela déterre l’être
En l’accrochant si fort
L’être terre ses blessures
Ne cesse d’y penser
Le corps s’envole en ciel
Et plane sur les beautés
Un regard……..puis un autre…….la main transpire……le coeur se palpite….les jambes gondolent….le bord d’un meuble tenu….les pores à fleur de peau..l’oeil se vibre…la totale hors maîtrise….un coup de foudre si puissant..
Bonjour la Compagnie !
Orages chez vous ?
Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z Z
Ma pauvre Ossiane
A force de parcourir les vignes
Entre raisins blancs et raisins noirs
Voici que tu t’es un peu trop attardée
En plein cœur de la cave !
Sans prendre garde,
Tu es tombée dans le « foudre »
Plus qu’un tonneau,
Encore mieux qu’une barrique
Une véritable piscine
D’au moins 160 000 litres !
Capacité vertigineuse…
Le vin bleu a encore frappé :
Pas étonnant que tu voies trouble !
Allez, un petit coup de main
On te tire de là, sans trembler
La prochaine fois
Evite les temps d’orage
Avec éclairs et foudre
Pour tomber dans le foudre !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Foudre_(r%C3%A9cipient)
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee
Le lien n’est pas bien passé !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Foudre_(r%C3%A9cipient)
Re biseeeeeeeeeeeees
Encore pas bien passé, mais comme vous êtes malin(e)s,
un copier/coller de l’adresse
vous conduira sur le bon chemin !
Z
Est-ce une plume d’oiseau qui dans l’eau nous fait signe
Ou le reflet dans l’eau de la nage d’un cygne
Est-ce un éclair d’orage qui zèbre la nuit sombre
Ou bien la mince carène d’une lune vagabonde
Est-ce un trait à la craie sur un morceau d’ardoise
ou quelques coups d’épée qui dans l’azur se croisent
est-ce un trait de lumière qui roule sur les ondes
ou le souriant portrait de la belle Joconde
est-ce un nuage de lait qui dans la nuit se fond
Comme des notes au piano en musique se fondent
Alain
Foudroyé mais pas soudoyé
ma main a griffé la surface des choses
pour des histoires pas à l’eau de rose
et les événements ont étincelé
torrent de feu, torrent d’acier
qui anime et rallume le brasier
ce n’est pas de la fulgurite
je n’ai pas pêté de durite
juste un court circuit
qui provoque à peine la rupture
et boucle la ceinture
Cernés de bleu
Ces signes énigmatiques
En vestiges aériens
Transcendent le ciel
Livre ouvert sur l’espace
Idées lumineuses et savantes
Légères comme des plumes d’oiseaux
Tranchantes comme des lames d’acier.
Du vent au vin,
Je vins au vent
Je ne suis pas devin
Mais à trop fréquenter les foudres
Quelle main n’en viendrait pas à trembler
Je ne suis pas de vin
Mais fréquentant les foudres
J’ai gagné en esprit
Je suis pas divin
Ne sais manier les foudres
Alors, tends-moi la main
Alors c’est moi,
Jupiter,
Qui te tends la main,
Roi du tonnerre
Maniant foudre et éclairs
Du haut du ciel :
Avec un bon verre de vin
Sans trembler de la main,
Première leçon de divin !
http://etc.usf.edu/clipart/1400/1447/zeus_1_lg.gif
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee
Le coup passa si près
que mes cheveux dressés
encore longtemps après
gardérent la marque du cyprès
la langue de feu s’étira
les oreilles bourdonnérent
rien qui l’annonça
pourtant passagére
l’odeur d’ozone
régnait sur la zone
Quand le foudre sent le soufre
ce n’est pas forcément affaire de malin
mais pour ce qui est du salin
il faut assainir de vapeurs suffocantes
avant que ne s’engouffrent
des humeurs plus roides
bien sur cela peut peut monter à la tête
à condition de faire l’athlète
aussi inspirer profondément
avant que de glisser dedans
Pour le divin attendre le divan
la compagnie d’un cigare
une vitole de choix
un nectar de roi
Eclair rouge et brûlant
pour zébrer mon coeur de tourments
Et si le ciel est si bleu de tes mots d’argent
ma main tremble des lendemains
sans fins
Bonsoir foudroyant réellement……AA
Bonsoir amis passagers et poètes, bonsoir Ossiane et merci pour cette belle image où le ciel bleu griffé de blanc laisse malgré les mains tremblantes et l’impression de vertige, une note d’espoir, c’est bien connu, après l’orage vient le beau temps.
_____
L’éclair a traversé leur ciel
Et l’orage sur eux s’est abattu
Quelques secondes ont suffit
Pour réduire à néant
Tout un espoir construit
A coup de coeur à coup de sang
A peine le temps de voir
La foudre avait tout ravagé
Dans un bruit d’enfer
Le monde est devenu noir
Dans leurs yeux, des larmes de pluie
Dans leur coeur les griffes de l’orage
Ils savent depuis lors
Que plus rien ne sera comme avant
Même si le ciel généreux
S’est revêtu de bleu
Les stigmates du drame
Hanteront leur mémoire
La foudre a déchiré leurs rêves.
____
Beaucoup n’oublieront jamais, Nîmes, Vaison la Romaine, mon village, la foudre et toutes ses conséquences…..
La foudre éclatait et jonchait le sol de mille zébrures
le ciel noirci avait décidé de ces cinglantes parures
dans ce déchaînement lumineux le feu claquait sec
et sous la force irradiante tous se clouaient le bec
depuis les temps les plus anciens le feu fut ainsi apporté
à portée de main surtout pour les moins peureux
il enflammait autant les esprits que les végétaux
donnait à penser à la puissance visible des irréductibles
qui du haut de l’olympe faisaient sauter les fusibles
sans plomb à Sounion que seraient ils devenus
sans être fourbe la foudre ne prévient pas
à la vitesse de l’éclair elle jaillit
et nous voici assaillit
par le feu céleste
qui jamais de la peur
ne nous déleste
à celui qui déteste
autant se boucher oreilles
et voiler les yeux
car venant des cieux
un bombardement intense
incendie avec constance
quand le sol sablonneux est touché
profond dans le sol s’enfonce le trait
et si muni de patience et d’une pioche
on réussi à extraire au point d’entrée
alors une fulgurite apparaît
Un coup de tonnerre
La foudre s’abat
Le coeur ce bel
Se fissure un peu plus
Puis un jour il s’explose
Toute l’électricité
Dont la vie l’a chargée
belle journée pour tous.
1…2….3….4…..il te suffit de compter les secondes…entre flash et vacarme…tu vois il s’éloigne…l’horizon clignote…la lumière vacille….il s’est posé de l’autre côté de la terre…il ne reviendra pas…Elle arrive…elle glisse sur tes paupières…sur ta joue…tes lèvres… elle se perd dans ton cou…entre tes seins…Tu es trempée…la pluie ne va pas cesser…on s’abrite….1….2….3…4..tu entends…c’est le temps qui nous quitte…le silence installé…Ma main tremble…un « éclair blanc du vertige »…soie blanche abandonnée…Tu frissonnes..tu es nue…mon coeur se brouille…
pierre b, c’est très très joli,
cela donne beaucoup de fraicheur à mon départ de matin éreintant de speed,
mais je me pars un bord de mer me cueillir, coquillages, cris des mouettes, les perles d’eau sur les chevilles, le sable à toucher, sans foudre, rien que de la poudre douce en oeil, joli de vie, tendresses de l’air, cet été da sa bout de fin, c’est bon de le vivre…..
Eclairs
Est-ce une plume d’oiseau qui dans l’eau nous fait signe
Ou le reflet dans l’eau de la nage d’un cygne
Est-ce un éclair d’orage qui zèbre la nuit sombre
Ou bien la mince carène d’une lune vagabonde
Est-ce un trait à la craie sur un morceau d’ardoise
ou quelques coups d’épée qui sous l’azur se croisent
est-ce un trait de lumière qui roule sur les ondes
ou le souriant portrait de la belle Joconde
est-ce un nuage de lait qui dans la nuit se fond
Comme des notes au piano en musique se fondent
Alain
La rivière
Quand elle court la rivière
Elle accroche le soleil
Dans les plis de sa robe
ALain
arlettart le lien vers ton site ne fonctionne pas ?
A l’accident de la lumière
A l’évènement de l’onde
Parcourir le monde
En substance un photon
Qui caresse ta paupière
Puis fond comme flocon
La rivière
c’est la vie qu’elle exprime toujours en mouvement
sa transparence cache
La profondeur des sentiments
bien qu’elle semble indifférente
aux rives où elle aborde
il arrive bien souvent qu’en colère elle déborde
C’est qu’elle est animée par un souffle puissant
Qui la force d’avancer et toujours en dansant
Dans son habit de scène scintillant de paillettes
Elle réjouit les cœurs et fait tourner les têtes
Son existence l’entraîne à connaître le monde
Et sa beauté éclaire sa route vagabonde
Alain
Alain, c’est joli :
« Quand elle court la rivière
Elle accroche le soleil
Dans les plis de sa robe »
Bonjour à tous en ce jour d’automne, bien ensoleillé et presque chaud. Un ciel bien bleu sans trace d’aucun tourment, qu’elle est agréable cette arrière saison où les adieux à l’été se font en douceur. En pensée avec toi Annick au bord de l’eau !
Dans le ciel d’Ossiane :
_____
La ligne brisée
L’instantané de l’éclair
L’effet de surprise
____
oui Monique je suis de ton avis je trouve cette phrase d’alain très belle
pierre b on a envi de compter avec toi …
bonjour vers chacun
Ossiane belle suite
pourchassant des tramways bleus
dans les ruelles de ta pluie
jungle
Kaléidoscope
des foudres
]]]:: jungle
ondulante
à la surface d’une flaque
graphique inachevé
des circulations
météorites des pulsions
éclairs flamboyants des fuites
la foudre en passe de tenir au creux de sa main
notre frayeur
énigme
somptueuse
et provocante
tu t’enflammes pour un rien
superbe!
j’en suis troublé.
éclectique blues.
« La rivière accrocheuse de soleil » d’Alain s’est retrouvée prisonnière de la belle en dentelle …..
Merci pour ton passage « Au gré des jours »
Je lis en ce moment, « La peur » de Stephan Zweig
Et voici un passage qui m’a interpellé, c’est exactement, un lien avec la photo « la foudre »!
« L’obscurité était un gouffre béant et horrible, des nuages s’avançaient, qui bâtissaient avec une hâte frénétique de noires murailles, et l’on entendait comme un mugissement entre ciel et terre. La lourde et persistante chaleur était emportée par ce courant sauvage, tout s’agitait, se mouvait, se déployait, c’était comme une fuite rapide d’un bout à l’autre du ciel, et les arbres solidement enracinés dans la terre, geignaient sous le fouet cinglant et invisible de la tempête. Soudain l’horizon fut divisé en deux par une lueur blanche : un éclair fendit le ciel jusqu’à la terre. Puis le tonnerre éclata avec une telle force qu’on eut dit que le ciel s’effondrait dans l’abîme. J’entendis remuer derrière moi. La femme s’était brusquement éveillée. L’éclair lui avait fait ouvrir les yeux. Troublée elle promena autour d’elle un regard effaré. « Qu’y a-t-il ? », dit-elle. « Où suis-je ? » La voix n’était plus du tout la même qu’avant. »
(Stefan Zweig La peur)
C’était un passage qui m’a interpellée, avec un e!
Merci Jo.S Je suis une inconditionnelle de Zweig et craignant que ma mémoire me fasse défaut je suis allée jeter un coup d’oeil dans la bibliothèque et non effectivement je n’ai pas lu « la peur » merci je vais m’empresser de me le procurer, sur ma pile d’attente il y a « Lettre d’une inconnue » de Zweig ma dernière acquisition de cet auteur.(j’ai attendu volontairement pour le lire, c’est très particulier sur le thème de la passion)
Le passage sur la foudre est en parfaite harmonie avec la note du jour, quel plaisir lorsque l’on fait des rencontres comme celle là au cours de ses lectures.
Bonne fin de soirée à tous.
Pas un foudre de guerre, encore moins va t en guerre
j’en ai vu de toutes les couleurs ce soir sur un écran
et si le feu est destructeur il peut aussi faire succèder
à une apocalypse une résurrection au moins du noir et blanc
encore sonné par tant d’images, des plus rudes et violentes
de celles qui créent des chocs et provoquent des incidentes
comme si à mes pieds l’éclair était soudainement tombé
rien n’est plus tout à fait pareil, le monde est différent
de cette couleur de la vie et de la mort retrouvée
de tout ce sang éclaboussé il faut savoir regarder
et détacher du temps l’infernal déroulement
Quelle chance de lire de si jolies choses !
Merci !
Tonnerre de Brest et bleu acier
dans les remous digités
ce n’est pas de la voltige en biais
En quelques secondes, la foudre
Le ciel se fend sous nos yeux
Lacéré, traversé de lances blanches
Partage des airs en quelque sorte
Revenons au sujet, l’image
Aucun miracle, aucune légende
N’en déplaise à Jupiter
A l’aigle maudissant la terre
Le ciel s’est ouvert
En déflagration tonitruante
S’en suit un long silence
Je viens de visiter (figure-toi que je ne l’avais jamais fait!!!) ta toute première note…
J’ai vu que les passagers de l’Oeil Ouvert flânent aussi par-ci, par là, feuillettent l’album au gré de leur fantaisie, et y sèment leurs grains de poésie.
Sans se soucier du temps.
C’est bien.
L’Oeil ouvert se dévore à pleines dents, mais se savoure, aussi, lentement, tanquillement.
Et quand on y a goûté…. Mmmmmm! On y revient toujours…
Phalanges lumineuses
Parmi des nuages d’orage
Une explosion d’air
Tonnerre de Brest
Électron libre
La peur se brise
Après l’aveu
Lumière
Avalanche de mots
Collision des cœurs
Violence du bleu
A l’âme.
Un calme repos de bleu,
Déchiré d’un fouet clair,
La lassitude est en liesse.
Coup de foudre au pays des écureuils
Lui
Pour cueillir un baiser
Sur sa bouche gourmande
Pour cueillir un baiser
Qui sentait la noisette
Pour cueillir un baiser
je lui fis la causette
Afin d’apprivoiser
ses beaux yeux en amande
Ensemble
sur la branche d’un pin là où la cigale scie
sur la branche d’un pin il s’était assis
il venait tous les jours faire des acrobaties
Avec de bons copains remplis de facéties
Avec ses mots à lui il a chassé l’ennui
L’amour nous a uni et la tristesse a fui
Elle
Depuis que dans son œil
Comme dans le fond d’un puits
Un grand éclair a lui
J’ai su que c’était lui
Le charmant écureuil
Dont je rêvais la nuit
Son récit m’a séduit
Partout il me conduit
Ensemble
sur la branche d’un pin là où la cigale scie
sur la branche d’un pin où il s’était assis
il venait chaque jour faire des acrobaties
Avec de bons copains remplis de facéties
Avec ses mots à lui il a chassé l’ennui
L’amour nous a uni et la tristesse a fui
Alain
.
En coup de vent…
Bienvenue et merci pour le joli haïku, vlinder !
Heureuse de te retrouver Anne-marie, tu fais partie de ces passagers;-) J’espère que tu vas bien !
Coup de foudre de vous lire et de vous retrouver presque tous, émotion à fleur de peau, un grand merci pour tout !
Bises !
Ossiane
.
Monique,
Je réponds, un peu tard.
« La peur » est un recueil de 6 nouvelles de Zweig.
Le texte est tiré de : » »la femme et le paysage »
Délicieuses histoires ébauchées, l’imagination du lecteur fait le reste.
Contente de trouver un écho à mon message.
Bonne soirée, au plaisir de te lire, ainsi que les habitués de l’Oeil Ouvert.
Clin d’oeil à Ossiane.