Danse

Danse

Corps de déesse, arabesques de tes bras, mon ciel enlacé

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite

Corps de déesse
arabesques de tes bras
mon ciel enlacé

Le long du rivage corse…

120 réflexions sur « Danse »

  1. Samba

    Comme le soleil qui visite les palmes
    Verse de l’or pour sucrer les fruits verts
    La danse réchauffe les corps qui réclament
    La musique fait oublier la misère

    Refrain
    Vivre entre ciel et terre sans bas ni haut
    Le soleil et le vent pour partenaire
    La samba vous transporte dans les airs
    Le Brésil tout entier suit le tempo

    Dans un monde sans couleur sans idéal
    La musique apparaît comme une étoile
    Dans les bals populaires les femmes babillent
    Sous le regard des hommes qui déshabille

    Comme des arbres bougent dans la lumière
    La samba est une île baignée de rimes
    Où les corps bougent au rythme de la mer
    Qui se danse dans la rue des heures entières

    Alain

  2. Un haïku de rêve, Ossiane..et des photos en noir et blanc insolites..pour le rivage corse

    Serpente mon corps
    Dans un élan gracile
    Folle étreinte

    Belle journée!

  3. Bonjour la compagnie !

    Eeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Une petite fée,
    Egarée sur le sentier escarpé
    Face à la mer
    Qui tanguait
    Le long des golfs clairs
    Eut soudain
    Une

    IDEE !

    Un bel arbre en effet
    Jouait de ses longues branches
    Dans le vent qui soufflait
    En balayant la forêt

    PETIT COUP DE BAGUETTE MAGIQUE !
    Hop !

    Curieux arbre ici dressé,
    Sur la pointe,
    Tu danseras,
    De tes longues branches
    Comme souples bras
    Au rythme du vent
    Tu te laisseras bercer

    http://accel6.mettre-put-idata.over-blog.com/280×389/0/56/80/59/images-1/images-2/Arbre-femme-qui-danse.jpg

    (à suivre)

  4. Puis-je voir la nature et seulement la nature ?
    Avec mes yeux d’homme, dis, est-ce possible ?

    Ne pas voir l’arabesque des danseuses
    Délicieuses dans l’arbre qui s’étire ?
    Ne pas voir le berceau de la mer,
    Miroir de soleils impétueux ?

    Avec mes yeux d’homme, dis, est-ce possible ?
    Puis-je voir la nature et seulement la nature ?

    *Merci Ossiane pour tes belles photos !
    *Nous sommes deux Claudie, semble t-il à parcourir ces pages ! Je n’en ai jamais rencontré autant que cette année ! Salut à toi, homonyme !

  5. (PARENTHESE :
    Ben zut, le lien ne marche pas !
    petit jeu en passant : retrouvez l’image cachée !
    En copiant le lien sur word, ça marche chez moi !)

    Donc après cette parenthèse,
    voici la suite !

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Progressivement,
    Comme par miracle,
    Les feuilles perdirent leurs couleurs
    Le noir et le blanc
    Synthétisèrent les mouvements
    Une transformation
    Se réalisait…

    http://4.bp.blogspot.com/_h6kxlco15o0/RreqofXBxfI/AAAAAAAAArM/jgKuVix8eGc/s400/femme-arbre.jpg

    (à suivre)

  6. cet haiku est superbe, Ossiane,
    mais Claudie le tien est si bel aussi….mmmhhhh, des sucres d’orge si doux…

    et je vous lis, rêveuse attendrie ce jour, les doigts se reposent, ils dansent leur oeil en lectures…

    beau lundi de fin Juillet pour chacun, le soleil est revenu….

  7. Un petit coucou…à Claudie n°2…et un merci à Annick

    C’est la valse des Claudie…..

    Bises à toutes et tous ..et, dansons!!

  8. Ce jour des épousailles
    Le ciel ses tissus bels nuages
    Drapés cousus d’étoiles
    Allumées de plein jour
    Caresse le bel arbre
    Qui accepte l’invitation
    S’en suit une danse
    Corps à corps accords
    L’arbre enveloppé de nuages
    Le tout se volant le bel ciel
    Aérien léger vol de belle vie
    Amoureux enlacés tendres

  9. De jour
    L’arbre semble là
    Mais dès que la nuit tombe
    Ses branches souples s’agitent
    Elles vont chercher l’étoile
    Celle qui brille au firmament
    Et la méditation
    Une étoile en plein coeur
    Attendrit l’air de nuit
    Que le noir éblouit
    Rejette son habit sombre
    Et vertge ses mille bougies

    ( hein, Bourrache?! )

  10. De jour
    L’arbre semble là
    Mais dès que la nuit tombe
    Ses branches souples s’agitent
    Elles vont chercher l’étoile
    Celle qui brille au firmament
    Et la méditation
    Une étoile en plein coeur
    Attendrit l’air de nuit
    Que le noir ébloui
    Rejette son habit sombre
    Et vertIge ses mille bougies

    ( heu? leur vertige m’a troublée! sourire!)

  11. Elle ondule au gré du vent, dans une danse sans fin
    Sa chevelure de feuilles, frissonne et s’agite

    Ses bras balancent, entre misral et tramontane
    Ses mains se tendent, pour effleurer les nuages

    Au coeur de l’écorce, un palpitement régulier
    comme une horloge,lui donne vie

    En passant, tout prés, vous pouvez l’entendre murmurer
     » Ciel, si doux, si bleu,accepte mes caresses , enlace moi »


  12. Christineeeee : 9,9/10 pour ton coloriage !

    Par contre, Marc pourra pas dessiner l’aile lisse de son hélico … faut que je lui trouve aut’ chose.


  13. Mon carnet de bal est encore bien rempli … mais je frise l’épuisement.

    Nous DANSErons encore demain … si vous le souhaitez …

    Belle, bonne, douce, tendre nuit à tous.

  14. OHLALA, quelle lecture m attend,
    je venais écrire, j’ai le souffle coupé, quoique,
    allez je laisse mes doigts pianoter de vie…..

    J’ai en vie de danser
    Ce soir
    Tour à tpur
    De me serrer au plus près
    Et puis de me laisser virevolter
    Me laisser emporter
    Par le chant de la danse

  15. En descendant le côteau
    En fin d’après midi
    La toto belle gaie
    La musique dans ses oreilles
    Elle chantait
    Se trémoussait ses hanches
    Elle se disait si bien ici
    Et que c’est juste parce qu’elle aime
    Ses aimés du Nord
    Sinon, danser ici est tellement bon
    Elle jongle avec les pierres
    Se hamacke un rayon
    Boit une goutte de pluie
    La vie ici
    C’est de la vie

    bon, je vais vous lire……..sourire…Heu Bourrache t as sorti ta boîte de bougies?! sourire!

  16. HEU, J’zuis saoûle de rires, Bourrache, toi alors!
    et le ciel dehors si douce invitaition,
    allez youps je saute de mon second,
    v’en’fête pas,
    j’ai des ailes!
    sourire!

  17. je sais déjà que mes lectures, mes écritures vontme manquer en ce futur temps de vacances,
    mais c’est peut être bon de laisser ses petits doigts se reposer, parfois….
    La tite cervelle, je sais tant que même sans pinceau, elle peint encore, sans clavier elle danse encore, ahlala, tite cervelle! sourire!
    m’zi Bourrache!

  18. Sur la toile du ciel où danse l’écriture
    Comme une main tendue qui crie son désarroi
    C’est toute une calligraphie qui devient chorégraphie
    Les mots en noir et blanc s’entremêlent au firmament
    Les mains se frôlent, se caressent et se serrent
    Dans le souffle du vent, au coeur des branches digitales
    Une valse de mots, chuchote au faîte des arbres
    La musique se fait douce et chaque signe qui se balance
    S’exprime et se donne dans toute la tendresse du soir
    Quelques pas de danse en ombres chinoises
    Et les mots s’inscrivent tendres et divins
    A peine cachés dans l’ombre mystérieuse des bois

  19. .
    Un petit coucou en passant aux amis de L’Oeil;-) Je suis toujours au ralenti du côté de L’Oeil, très noir et blanc, mais sachez que je vous suis de très très près quand même;-) J’ai besoin de me laisser flotter, de casser le rythme pour retrouver du souffle et de l’inspiration.

    Je note que Bourrache a fait exploser le nombre de commentaires qui sont en forte baisse depuis que je suis en suspension;-) Merci Bourrache et merci aussi pour la photo MERCI;-) Tes photos sont bien choisies, on sent que tu connais bien tout le monde;-)

    Un grand bonjour à leila, Monique et Alain pour leur retour sur le pont.

    Félicitations à tous les passagers restants pour leur ténacité et leur belle plume.

    Bienvenue et merci à Odile pour ses premiers pas de poésie

    Bienvenue également aux deux Claudie;-) Je crois que le mieux serait de mentionner Claudie 2 pour la Claudie qui vient d’arriver sinon, les lecteurs vont s’emmêler. Merci Claudie 2, ta plume est libre et légère.
    .
    Bonne fin de soirée, je vous embrasse

    Ossiane
    .

  20. heinhein, alors on est deux en suspension, hein, Ossiane,
    je flotte en ce moment,
    je peins plus sur la toile de mon coeur que sur mon clavier….
    mais la rentrée sera………….ahhhhhhhhhhhh…..

  21. Ô mon bel arbre
    Danse moi la mer
    Secoue tes feuilles
    Dans le ciel
    Confettit l’air du temps
    Laisse toi rêver
    Tout simplement
    Respire toi
    Laisse toi aimer
    L’été si bel est commencé

  22. Bonsoir Ossiane, Annick, Christine, Bourrache, Christine, Jo. s, Alain, Leïla, sophie, Claudie et Claudie 2.

    Annick, inscris sur ton coeur les plus beaux tatouages, arabesques immortelles que dessineront ton âme. Le temps des vacances, la chaleur, l’envie de ralentir le temps, se font sentir, nous en avons tous besoin , je t’embrasse.

  23. merci pour tes mots, Monique,
    je t’embrasse avant de me coucher,
    j ai du sommeil à rattraper,
    j’ai dormi le compte de deux nuits en trois nuits,
    avant dimanche,
    alors, la nuit commence tôt ce soir…

    BELLE NUIT POUR CHACUN’E’,
    et tes bougies me veillent, Bourrache. Merci.

  24. Bonne, très bonne journée à tous les voyageurs qui passent sur ce blog
    ______

    Déjà dans le matin frais
    Les branches se balancent
    Dans leur jupon de feuilles
    Un petit pas de danse
    Une petite romance
    Pour réveiller les oiseaux
    Un petit souffle d’air
    Pour commencer la journée
    Avec un ciel tout bleu
    Si clair qu’il en est presque blanc
    Avec la douce lumière
    D’un soleil encore timide
    Pour que le monde s’éveille
    Se cherche et s’avance
    Se trouve et rentre dans la danse.

  25. En écho au beau texte de Monique

    Dans la fraicheur du matin
    S’étendent
    Les prairies couvertes de rosée
    La brume légère s’envole

    Dans la douceur du jour
    S’ éveille
    la multitude des vies endormies
    les nuages entrent dans la danse

    Dans la clarté nouvelle
    Se déploient
    feuilles et corolles assoupies
    Le soleil caresse la terre

    Dans l’air neuf
    Vibrent
    Espoir, amitié, amour
    Tout est possible à nouveau…

    Bonnes vavances Annick
    Bonne journée à tous

  26. Le soleil déclinait à l’horizon lorsque Rachel Rouletabille retrouva ses compagnons de voyage. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir un pâquebot quelque peu différent de son souvenir !

    Charlie-Ossiane était suspendue en lévitation dans une position proche du lotus. Elle murmurait des mots incompréhensibles pour la mortelle que j’étais mais je démélais quelques phrases intelligibles. « Je suis au repos mais je veille sur vous les enfants ». Ces dernières étaient parfois ponctuées de sanglots
    « Seigneur ! Je n’en puis plus ! Ils m’épuisent ces lascars !!! ». La Toto se situait à côté du capitaine et lui criait « coucou Charlie-Ossiane ! c’est moi. C’est la Toto !!! »

    Les deux Bourrche soufflaient des bulles magiques à l’intention de chaque mâtelot. C’est vrai qu’elles connaissaient parfaitement leurs camarades de jeux, de poésie et de délire parfois.

    Je remarquai qu’un certain nombre de mâtelôts étaient aux abonnés absents. Pourtant le navire tenait bon affrontant les tempêtes, les courants contraires ou les courants plus limpides.

    Le détective que j’étais sentit un frisson parcourir son échine. Je pressentais l’arrivée de nouveaux mâtelots, le retour des anciens, la sagesse des uns, la folie des autres et la venue imminente de nouvelles aventures……

    Un grand bonjour à tous. J’ai du retard dans mes lectures….

  27. Merci Jo.S pour tes mots et la fraîcheur de ton poème.

    Hello ! Rachel bonjour, tu regagnes le pont quel bonheur ! Oui le navire fait escale et les amis se dispersent mais Ossiane, d’un oeil veille sur ses brebis qui s’égarent et qui par intermittence réapparaissent et nous donnent à lire, à voir et à méditer. Belle commentatrice tu es, je suis comme toi de retour et très en retard également dans mes lectures, le rythme reprend tout doucement afin de ne pas perdre tout le bénéfice d’air pur accumulé pendant les vacances.

  28. Dessous sa chevelure de ramilles et de branches
    L’arbre a le cœur fervent accroché à la terre
    Le bois en tronc dansant s’élance dessus la mer
    Ponctuant la colline d’arabesques sonores.

    Le bal des estivales s’entend avec le vent
    Lequel emporte les rimes qui craquent en avalanche
    Se déploie et se tord le bois sur l’île rêveuse
    Et nos amours secrets, empreinte, lisant ses maux.

    De sa danse gracile, c’est la femme et c’est l’eau
    Dont elle s’habille le soir et l’onde en mouvement
    Se perçoit des hauteurs où l’arbre s’agite encore
    De ses balancements, il effleure d’autres chênes
    Qui chuchotent à la mer à l’heure du crépuscule
    Qu’elle peut se faire légère avant l’autre matin.

  29. M’zi Jo.S, c’est pour ce samedi….le bain du Nord en émotions garaties avec les rayons si chauds des amis…SOURIRE!
    ‘c’est la toto » de se sourire, Rachel….

    L’arbre se laisse aimer
    Dans la lenteur du temps
    Il bulle des perles rares
    C’est si bon d’être aimé
    Pour ses racines ses feuilles
    En roman tel poussé
    Qu’est la vie sur la terre

  30. —> Bonjour, chère Ossiane,

    Broderies exquises
    qui enchantent l’oeil
    pour courber le coeur
    sur le théâtre de la beauté.

    Je vous remercie pour vos aimables visites qui ont enchanté mon coeur…
    Bien sincèrement, Jack qui vous souhaite un bel après-midi ensoleillé de paix.

  31. bonjour Leila, il est beau ton dernier écrit…

    Circonvolutions en ciel
    Méditations profondes
    Amour de bel réel

    Bonjour Ossiane, profite max de l’air du temps à se laisser planer, j’en suis fort adepte aussi ces derniers temps, et du bel air dehors, tout est si beau d’été se vivre palpiter la Nature éclose.

    Bon marci pour chacun’e’.
    ( je laisse ma faute de frappe!
    bon mardi pour chacun!
    bon merci pour chacun! )

  32. Dans la lumière éblouissante
    Une silhouette à l’ombre graphite
    Semble vibrer sous la houlette du vent

    bonjour à chacun
    à ceux qui me sont familiers
    mais aussi à ceux qui me le sont un peu moins

    merci bourrache l’aile lisse est un peu en panne!!

    un peu en retrait je vous lis… moins assidument je l’avoue
    mais toujours avec un réel plaisir

  33. Bonjour Marc qu’on n’ oublie pas malgré ce petit recul, ou retrait momentané.
    _____

    La ramée

    Elle embrassa le ciel offrant son corps de déesse
    Et dans ses bras grands ouverts elle connut la tendresse
    Du bout de ses doigts tremblants osa une caresse
    Les mots volés au vent racontant ses prouesses
    Ils se parlèrent d‘amour avec délicatesse
    Sans peur du lendemain et sans aucune promesse
    Vivant l’instant présent comme une immense richesse
    Oubliant tous ses tourments, dansant jusqu’à l’ivresse
    _____

  34. Dans tes courbes, je me tiens coit
    La ligne droite n’est plus une certitude
    Sur les chemins qui mènent à toi
    Ne naissent pas les lassitudes

    La danse des mots et des matins
    Criblée de mer et de soleil
    M’éloigne un peu de mes chagrins
    Oublie la fatigue de mes veilles

    Il se peut que l’on s’achemine
    Par lents voyages tortueux
    Vers les pays qui s’imaginent

    Il se peut que l’image s’anime
    Et que le gris devienne bleu
    Alors je te connaîtrai mieux

  35. Comme vos vers sont beaux, Phil alba. Il y a de la douleur, de l’espoir et un style élégant. Rien d’étonnant que vous aimiez Lamartine.

    ____

    Lorsque les mots dansent sous la plume
    Et chantent dans les branches
    Dans ton regard mille feux s’allument
    Vers toi nos coeurs s’épanchent
    _____

    Bonsoir à tous et à toutes et bonne nuit

  36. Bonsoir Annick. J’espère que tu as récupéré tes heures de sommeil pour prendre le temps de danser avec nous la piste sur fond de nuit d’été n’est pas très encombrée ce soir.

  37. mmmhhhmmhhh, cela va, j’ai récupéré en sommeil,mais youps de boum, um début de matin pas zen avec le jeune homme en non envie de se lever, de partir dans les temps….il est temps que les vacances ce samedi…

    Vers les vingt heures, quel bel ciel sur ce chemin de campagne de St Roch, des tournesols, des bottes rondes de foin, la Nature appétissante, et ce ciel si haut, unvrai bel ciel de Loire Atlantique, je n’en reviens pas de vivre ici,

  38. J’irai bien vivre quelques temps en Loire Atlantique, quelle belle région. Bonne nuit Annick, plus que trois jours et pour vous les vacances auprès de ceux que tu aimes.

  39. > Pour Bourrache…
    merci… merci … merci pour ton lien chère Bourrache et ce clin d’oeil
    en réponse ceci :
    « Qu’on puisse croire en toi, en tes possibilités, te bouleverse, déclenche une crise de larmes, te donne envie de disparaître, et tu te reproches de n’avoir su la convaincre qu’elle commettait une grave erreur en pariant aveuglément sur ton avenir ».
    page 131

    Je t’embrasse

  40. m’zi Bourrache, c’est tout bizare de retrouver mes filles pas vues depuis quatre mois, quand en passé, petites, je les ai serrées des mois, des ans non stop en mère au foyer…des passages de vie….

  41. A Phil :

    Nos vieilles blessures
    sont les plus précieuses

    Elles nous épargnent de souffrir
    demain .

    ( Sourire )

  42. Toujours beaucoup d’empathie, de sympathie, de chaleur et d’amicales pensées entre les visiteurs d’Ossiane. Un petit monde où le lien, même si son vecteur est électronique, est réel, et où l’on se sent bien, où l’on est heureux d’être humain… J’apprécie ô combien… Bonne journée à toutes et tous, je vous embrasse.

  43. Hello bel équipage !

    ho, oui, Sophie, quel monde que le monde d’Ossiane !

    Amical bonjour au capitaine et à tous.
    Merci Annick, Monique, Mathilde. (Mathilde, l’été se passe-t-il bien ?)
    Tout ceci n’est que poésie (ou tente de l’être). Toute ressemblance…
    Même si, je l’admets, il y a un fond … et c’est bien au fond que l’on va puiser.

    Douce journée.

  44. Entre deux gouttes
    de pluie

    Le soleil s’offre
    on le garde pour soi
    jalousement.

    Merci Phil et belle journée à tous

  45. Un petit monde oh combien sympathique en effet, un petit monde avec une porte grande ouverte sur la beauté, l’amitié, l’échange grâce aux talents et à la générosité d’Ossiane, un joli rendez vous chaque jour.
    ____

    Valsent et tourbillonnent
    Enlacés à tout jamais
    L’amour en partage

    ___

  46. bourrache je t’ai dis merci mais le lien ne marche pas!!!
    si tu peux le remettre parce que j’ai ouvert le papier y ‘avait rien dedans!!!

    l’arbre trône devant l’horizon immuable
    ces racines invisibles et inextricables
    il s’ enracinnement dans la terre
    en quête insasiable de lumière;

    pourtant une étintincelle aura suffit
    à détruire cette fragile beauté
    en une jachère de cendre et de débris
    que le vent disperse dans l’éternité

  47. Mathilde, Sophie, Phil Alba, Marc, Monique et chacun,
    je lis vos mots avec émotions…..

    sans oublier Ossiane sur son bâteau d’une traversée hors du commun…
    BISES A CHACUN.

  48. Comme je suis un petit temps sur l ordi, je repasse et te lis, Bourrache,
    mais où tu vas chercher tout cela…
    Merci de me donner des sourires…


  49. Pour moi (et rien que pour moi … na !)
    (y’a pas d’mal à se faire du bien) :

    – photo en attente du passage d’Ossiane – (suspens)

    Merciiiiii, Monique.


  50. Marc ; j’viens de filer devant mon grand miroir et de m’inspecter, vue de profil.
    Ouf ! je ne me paie pas encore un bedon pareil !

    ^_^

  51. A peine arrivée sur le site que j’ai un large sourire à lire Bourrache s’activer à distribuer charmantes petites intentions à chacun.Merci Bourache.
    C’est mon petit jardin d’été chez Ossiane, entre départs et retours des amis de l’année et des nouveaux.
    Annick si tu passes dans le Nord, tu es la bienvenue, c’est ce que je voulais dire un peu plus haut. ))

    J’étais dans les incendies de Marseille la semaine dernière, c’était impressionnant.
    J’avais fait quelques photos « amateur »)
    http://pagesperso-orange.fr/Leila/Feu.html

  52. Merci chère Bourrache
    de ton doux cadeau,
    que j’ouvre aujourd’hui
    (c’est mon anniversaire!)
    tu as beaucoup travaillé!
    Tu m’as fait penser:
    Il me faut prier un peu plus,
    À mon âge, on ne sait pas …

  53. Enlace mon corps
    pour danser ensemble
    Le samba d’Alain
    ===================
    Enlace mon corps
    et dansons, dansons,
    à la saveur du vent.
    ===================
    Enlace mons corps
    pour la danse de l’amour
    Les pas en arabesques

  54. J’ai retrouvé le danseur né
    qui des mots fait des aquarelles
    J’ai retrouvé en noir et blanc
    Sous la falaise qu’ il surplombait
    le regard bleu d’ une mer qui veille
    Le rond point dense de ses cheveux
    soleil ou brillent l’ombre d’été
    et quelques e en harmonie
    La musique des rêves ou des vents
    Les feuilles en muses ou mises en scène
    La douceur des natures intactes
    Les plaisirs d’une paix que l’on goûte
    Dans la danse des arbres et des craies

    Jolie photo Ossiane et bonne fin de séjour en Corse.
    Love everyone, et grosses bises au joyeux équipage 😉
    Good to see Rouletabille, Marc le deserteur et le reste des matelots…
    Bourrache, merci pour les pensées.

  55. Un petit coup d’oeil en passant sur la note du jour et cela devient une halte incontournable, il y a tant à lire, à voir, à méditer.
    BOURRACHE tu nous gates, tu es inégalable et ingénieuse.
    CHRISTINeeeeeeee ton sourire rayonne la joie de vivre et comme c’est transmissible, du capitaine aux moussaillons tout l’équipage est prêt pour la photo !
    LOU, les mots glissent sous ta plume allant de la toile à l’instrument de la feuille à l’écran, très joli
    NEYDE, je suis contente de te lire et te souhaite un très bon anniversaire sans oublier de t’embrasser très fort.
    ANNICK les vacances approchent je te les souhaite merveilleuses.
    Un coucou à Phil alba, MariaD, Mathilde, Marc et Sophie qui comme nous tous apprécie le climat qui règne ici.

  56. Pas de quoi, c’est tellement joli, ces petits points…..
    Christine, juste en mettant les mots dans la soucoupe en coeur de sa petite bouche…
    Je pensais que ton bienvenue, était pour l’entrée dans le blog d’Ossiane, merc pour l invitation..
    Merci Monique et Bourrache…
    Bel anniversaire Neyde, le mien c’est le six du mois prochain….

  57. Le coeur qui cogne, Bourrache, le coeur qui cogne !
    Ha ! l’intuition féminine, c’est quelque chose !
    Merci pour ces battements et les fleuves d’émotion qu’ils charrient.

    Bon anniversaire Neyde,
    Transatlantique aède,
    Et quels que soient tes ans
    J’envoie mille bougies
    Aussi des fleurs jolies
    Par dessus l’océan

  58. Majestueusement tourné vers le ciel
    Dans les vapeurs des eaux avoisinantes
    L’arbre a la silhouette de déesse
    Se contorsionne au rythme du vent
    Mes yeux captés par sa beauté transcendantale
    Entrent dans la danse où mon regard se noie
    Ramure ensorcelante où le corps ondule
    Avec la grâce et la souplesse d’une danseuse
    Tout mon être en l’arbre se métamorphose
    De mille mains de mille doigts
    Les bras levés dans la magnificence
    Le corps ensorcelé dans ce monde étrange
    Où tout devient rêve et ravissement
    Dans une indicible et merveilleuse danse

  59. Très beau ton Haïku Ossiane
    Je viens de le relire avant d’aller dormir et c’est là toute la force et la splendeur de ce genre de poésie, les mots y tiennent une importance énorme, trois petit vers de quelques syllabes et tout est dit :
    « Corps de déesse
    Arabesque de tes bras
    mon ciel enlacé »

    Henri Brunel dit : « Le haïku est simplicité, légèreté, mise à nu de l’essentiel (…) c’est la chance offerte de tout comprendre, de tout deviner, de tout aimer, en un éclair de trois vers »
    L’image et le texte ne font qu’un et c’est ce qui me plaît énormément dans tes créations que tu sublimes par un calligrame.
    Bonsoir et bonne nuit à toi Ossiane et à vous tous qui passez ici.

  60. Cigale

    Une musique qui s’invite
    A l’heure où s’enfuit la nuit sombre
    Une musique qui palpite
    Quand la lumière danse avec l’ombre
    Une musique continue
    Que l’on écoute presque nu
    Des notes claires tombant des nues
    Qui de l’amour font la réclame

    Chant qui s’entend dans la garrigue
    Qui sonne comme un réveil matin
    Parmi la lavande et le thym
    Quand le vent fait chanter les palmes
    Un doux zinzin qui berce l’âme
    Quelques paroles dites en latin
    Qui de l’amour font la réclame

    Une mélodie qui ressuscite
    Quand le soleil est au zénith
    Un chant d’amour sorti de terre
    Quand la période est estivale
    Un véritable festival
    Que font entendre les cigales
    Qui de l’amour font la réclame

    Princes des villes et gentes dames
    Pour qui les sons sont un régal
    Les poésies sont les cigales
    Qui de l’amour font la réclame.

    Alain

  61. Lou, avec le soleil il y a le vent en prime, cheveux au vent c’est fort bon mais les cigales Alain ce matin sont encore silencieuses.
    ____

    Les feuilles se balancent
    Le mistral mène la danse
    Un soleil immense
    _____

  62. Salut vieille branche, ma vieille amie,
    Je viens voir de quel bois tu te chauffes
    Notre relation en dents de scie
    Me permet de t’écrire quelques strophes

    C’est une longue histoire que la nôtre
    A ma naissance mon berceau fut fait
    De ton bois comparable à nul autre

    A l’âge qui nous entraîne aux futaies
    Plaisir d’accompagner les oiseaux
    D’un peu de toi je fis des pipeaux

    Plus tard, m’exerçant à l’adresse
    De quelques rejets et d’une tresse
    Je confectionnais flèches et arc

    Vint le temps de bâtir un foyer
    Et sur toi je me suis appuyé
    Les poutres de ma maison ont ta marque

    Les saisons d’hiver aux froids trop vifs
    N’ont pu contrer tes désirs ardents
    Dans ces temps tu fus mon confident

    Maintenant mes membres rétifs
    Peinent et refusent de me supporter
    Je m’appuie sur toi, être chétif

    Quand viendra le temps du grand repos
    En toi on placera mes lambeaux
    La nuit pourra m’emporter
    . En paix

  63. Le gange

    Ainsi qu’un fruit grossit autour de son noyau
    Comme une roue ferrée autour de son moyeu
    Couverte de joyaux de bagues et d’anneaux
    la déesse se déhanche à la surface des eaux

    Elle danse en harmonie avec le monde
    Ainsi qu’une toupie en émettant des ondes
    Traçant avec ses bras des cercles de lumière
    Elle tourne dans l’espace à l’égal des sphères

    Ses bras ses jambes en rythme se plient et se déplient
    ses membres sans cesse en mouvement se multiplient
    par la grâce du langage la présence du génie

    son image dans les glaces défile à l’infini
    Rien ne peut la distraire elle est toute à la danse
    le flot mouvant des eaux roule avec abondance

    Alain

  64. Pour Phil alba dont j’ai aimé le poème de fin de matinée.
    ____

    L’arbre est mon ami
    Sur les chemins de la vie
    Où il nous conduit
    ____

  65. René Nelli : Lo crit d’aquel aucèl…

    Lo crit d’aquel aucèl fiala son arabèsca
    que s’enrona al rodet fosforejant de l’aiga.
    Que venga a se desrompre un arbre se revèla
    bufant entre sos dets l’alen de las colors.

    Un arbre que s’avugla a trucas d’aparéisser
    e de se susvolar dins lo temps de paciéncia
    sens regard per fugir amb lo cors de las causas
    ont son còr adejà desavançant deman
    se pren dins mai de sòm que ne cal per dormir…

    Arma continuosa que lo freg divin
    lo sentes destrencar de tu l’amor passida
    – Com l’abís a jamai que se fotografia
    del pus prigond de son estela d’origina –
    Respira tendrament dins la foscor profana
    l’ombra d’aquela mòrt ont Dieus fa lo maitin…
    ______________
    Le cri de cet oiseau file son arabesque
    qui s’enroule au rouet phosphorescent des eaux.
    Qu’il vienne à s’interrompre : un arbre se révèle
    soufflant entre ses doigts l’haleine des couleurs.

    Un arbre qui s’aveugle à force d’apparaître
    et de se survoler dans le temps de patience
    sans regards pour s’enfuir dans le décours des choses
    où son coeur est déjà – comme il sera demain –
    pris dans plus de sommeil qu’il n’en faut pour dormir…

    Âme continuée qui sens le froid divin
    retrancher de l’Amour chaque instant qui le fane
    – Comme un gouffre à jamais qui se photographie
    du plus profond de son étoile originelle –
    Respire tendrement avec la nuit profane
    cette ombre de la Mort où Dieu fait le matin.

    http://www.cardabelle.fr/occitan-poemes-03-manciet.htm

  66. Le pin parasol

    Sa cime ouverte danse au soleil du midi
    Il filtre la lumière, l’hiver lui est égal,
    Il sait que c’est l’été quand chantent les cigales
    Quand l’azur lui sourit il est au paradis

    Alain

  67. L’arbre dans ses formes ondulatoires
    Imprime sur le ciel une douce sensualité
    Une expression végétale et sauvage
    Dans les mouvements de ses branches
    Son corps exalte la grâce et la beauté
    Inspire l’amour et la tendresse
    Le ciel devient sa scène, son décor,
    Son espace, son partenaire
    Pour un ballet céleste et aérien
    Dans la brume océane de la côte corse

  68. Ô l’arbre
    Mon bel arbre
    Serre moi de ton toi
    Enlacés nos regards
    Serre moi fort encore
    Je t’aime si plein mon âme
    Je t’aime tout de bel
    Palpite toi ma sève
    Ma goutte de vie vivante
    Mes baisers sont pour toi

  69. Merci Merce
    celui qui berce haut
    et met bas
    donne au mouvement sa joie

    merci aussi à Bourrache dont les pages choisies m’énivrent 😉
    merci à Ossiane d’avoir maintenu le lien
    merci à tous pour votre présence
    les troubadours se régalent de la Provence à l’Adour
    qui nouent tant de guirlandes fleuries

    la danse à vrai dire parfois me cabre
    c’est le cas en ce moment

  70. Un retour sur la page du jour et je lis La brume « océane » (aïe!!) de la côte corse, ça va être difficile, disons la brume légère de la côte corse c’est mieux !! pardon pour la fausse note !!

  71. Annick, dure soirée pour toi alors je t’envoie plein de bisous, et tous les jolis mots qui pourraient t’aider je te les souffle à l’oreille, garde confiance l’amour est plus fort que tout.

  72. Un petit frisson
    Sur la courbe de son corps
    Secret d’un désir

    Juste un petit vent
    Pour voir onduler ses branches
    Dans le matin frais

    Des idéogrammes
    S’inscriront dans le ciel bleu
    Sous la plume du vent

  73. Immobile mais volant dans le V de ses branches
    L’arbre souffle et respire sous l’impulsion du vent
    Sa mémoire offre au sol l’ombre que les heures sèment
    Ses feuilles secouent leurs ailes qu’elles déploient doucement
    Oisillons encore frèles juste nés au printemps
    Elles quitteront le nid à l’automne en dansant
    Le mystère de la vie remplit le coeur aimant
    D’un émoi lumineux dune chaleur ou d’un chant

  74. Quand la danse est caresse de l’espace
    qui imprime au mouvement de ces étrangetées
    quand depuis cette jetée fugace
    les ombres jouent en silence
    les pas marquent la cadence
    équilibre intangible
    les bras se font arachnéens
    les jambes pylones
    les torses se convulsent
    les silhouettes déjetées
    dans le glissement feutré
    dans l’ouverture glacée
    sur un jeté battu
    le corps souplement détendu
    comme un ressort arbore
    une élastique rythmique

  75. .

    Chers passagers, merci à tous pour vos poèmes formidables; on ne manque pas de belle lecture ! Bien contente de revoir de vieilles connaissances grâce à Bourrache;-)

    Un clin d’oeil tout spécial à Lou, Marc et Rachel qui n’ont ni perdu la main ni leur sens de l »humour.

    Un bon anniversaire à Neyde!

    Merci à Monique pour ses commentaires. J’ai le livre d’Henri Brunel; il est vraiment très bien!

    Un coucou et un grand merci à Alice!

    Je note qu’Alain est au mieux de sa forme;-)
    .

  76. Le bouffon

    Il a le droit de dire ce que les autres taisent
    Chargé de faire rire de vaincre le remord
    De tuer l’ennui des autres de se montrer à l’aise
    De toutes les tares humaines il offre la synthèse
    Ayez pitié de lui qui danse devant la mort

    Alain

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