Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
Corps de déesse
arabesques de tes bras
mon ciel enlacé
◊ Le long du rivage corse…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
Corps de déesse
arabesques de tes bras
mon ciel enlacé
◊ Le long du rivage corse…
volutes
appuyées solidement,
dentelles sur l’espace,
mouvement ancré
Bel haïku
la chaleur de ses bras
image aérienne
Samba
Comme le soleil qui visite les palmes
Verse de l’or pour sucrer les fruits verts
La danse réchauffe les corps qui réclament
La musique fait oublier la misère
Refrain
Vivre entre ciel et terre sans bas ni haut
Le soleil et le vent pour partenaire
La samba vous transporte dans les airs
Le Brésil tout entier suit le tempo
Dans un monde sans couleur sans idéal
La musique apparaît comme une étoile
Dans les bals populaires les femmes babillent
Sous le regard des hommes qui déshabille
Comme des arbres bougent dans la lumière
La samba est une île baignée de rimes
Où les corps bougent au rythme de la mer
Qui se danse dans la rue des heures entières
Alain
–
Diagramme imagé
En noir et blanc
Arabesque feutré
–
Blog très esthétique , une réussite !
Un haïku de rêve, Ossiane..et des photos en noir et blanc insolites..pour le rivage corse
Serpente mon corps
Dans un élan gracile
Folle étreinte
Belle journée!
Les fractales farandolent
En arbre ou en homme
Tous les autres abrités en soi
Bonjour la compagnie !
Eeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Une petite fée,
Egarée sur le sentier escarpé
Face à la mer
Qui tanguait
Le long des golfs clairs
Eut soudain
Une
IDEE !
Un bel arbre en effet
Jouait de ses longues branches
Dans le vent qui soufflait
En balayant la forêt
PETIT COUP DE BAGUETTE MAGIQUE !
Hop !
Curieux arbre ici dressé,
Sur la pointe,
Tu danseras,
De tes longues branches
Comme souples bras
Au rythme du vent
Tu te laisseras bercer
http://accel6.mettre-put-idata.over-blog.com/280×389/0/56/80/59/images-1/images-2/Arbre-femme-qui-danse.jpg
(à suivre)
Puis-je voir la nature et seulement la nature ?
Avec mes yeux d’homme, dis, est-ce possible ?
Ne pas voir l’arabesque des danseuses
Délicieuses dans l’arbre qui s’étire ?
Ne pas voir le berceau de la mer,
Miroir de soleils impétueux ?
Avec mes yeux d’homme, dis, est-ce possible ?
Puis-je voir la nature et seulement la nature ?
*Merci Ossiane pour tes belles photos !
*Nous sommes deux Claudie, semble t-il à parcourir ces pages ! Je n’en ai jamais rencontré autant que cette année ! Salut à toi, homonyme !
(PARENTHESE :
Ben zut, le lien ne marche pas !
petit jeu en passant : retrouvez l’image cachée !
En copiant le lien sur word, ça marche chez moi !)
Donc après cette parenthèse,
voici la suite !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Progressivement,
Comme par miracle,
Les feuilles perdirent leurs couleurs
Le noir et le blanc
Synthétisèrent les mouvements
Une transformation
Se réalisait…
http://4.bp.blogspot.com/_h6kxlco15o0/RreqofXBxfI/AAAAAAAAArM/jgKuVix8eGc/s400/femme-arbre.jpg
(à suivre)
Tiens, bonjour Claudie !
Et voici la fin :
eeeeeeeeeeeeeeeeeeee
C’est alors qu’apparu
Une ballerine
En arabesque sur sa pointe
Danseuse jadis transformée en arbre
Par un sort maléfique
Jeté par le sorcier du coin
Enfin délivrée
Dansa jusqu’à l’aube
Pour remercier la petite fée
http://1c.img.v4.skyrock.net/1c2/classiqueforever/pics/436496382.jpg
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeeee
cet haiku est superbe, Ossiane,
mais Claudie le tien est si bel aussi….mmmhhhh, des sucres d’orge si doux…
et je vous lis, rêveuse attendrie ce jour, les doigts se reposent, ils dansent leur oeil en lectures…
beau lundi de fin Juillet pour chacun, le soleil est revenu….
Un petit coucou…à Claudie n°2…et un merci à Annick
C’est la valse des Claudie…..
Bises à toutes et tous ..et, dansons!!
Ce jour des épousailles
Le ciel ses tissus bels nuages
Drapés cousus d’étoiles
Allumées de plein jour
Caresse le bel arbre
Qui accepte l’invitation
S’en suit une danse
Corps à corps accords
L’arbre enveloppé de nuages
Le tout se volant le bel ciel
Aérien léger vol de belle vie
Amoureux enlacés tendres
De jour
L’arbre semble là
Mais dès que la nuit tombe
Ses branches souples s’agitent
Elles vont chercher l’étoile
Celle qui brille au firmament
Et la méditation
Une étoile en plein coeur
Attendrit l’air de nuit
Que le noir éblouit
Rejette son habit sombre
Et vertge ses mille bougies
( hein, Bourrache?! )
De jour
L’arbre semble là
Mais dès que la nuit tombe
Ses branches souples s’agitent
Elles vont chercher l’étoile
Celle qui brille au firmament
Et la méditation
Une étoile en plein coeur
Attendrit l’air de nuit
Que le noir ébloui
Rejette son habit sombre
Et vertIge ses mille bougies
( heu? leur vertige m’a troublée! sourire!)
–
Pour Annick :
http://mudry.org/photoblog.dir/public/2006/08/DSC_1682-bougies.jpg
–
–
Pour Christineeeeeeeee :
http://www.geo.fr/var/geo/storage/images/media/images/rubrique-environnement/conseils-et-astuces/energie/congelateur-et-seche-linge-les-faux-amis/127783-1-fre-FR/congelateur-et-seche-linge-les-faux-amis_940x705.jpg
–
–
Pour tous :
http://www.funfou.com/funanimaux/chat-sourire.jpg
–
–
Zut, le lien fonctionne pas ! …pour Christineeeeee, un autre :
http://coloriage.mobi/images/gustave_dans_de_beaux_draps.gif
–
Elle ondule au gré du vent, dans une danse sans fin
Sa chevelure de feuilles, frissonne et s’agite
Ses bras balancent, entre misral et tramontane
Ses mains se tendent, pour effleurer les nuages
Au coeur de l’écorce, un palpitement régulier
comme une horloge,lui donne vie
En passant, tout prés, vous pouvez l’entendre murmurer
» Ciel, si doux, si bleu,accepte mes caresses , enlace moi »
–
Pour Neyde :
http://www.productionmyarts.com/Images/durer/mains-priant-1508.jpg
–
–
Pour Maria-D (faut que tu sois subtile…) :
http://www.latribunedelart.com/Musees/Musees_2007/Lambeaux_Passions.JPG
–
–
Pour Ossiane :
http://blogs.lexpress.fr/media/merci.jpg
d’être là…
–
–
Pour Marc :
http://www.greluche.info/coloriage/Helicoptere/helicoptere-avec-un-visage.gif
–
–
Pour Rachel :
http://www.corpusetampois.com/cbe-legendrekvater-025contes1.jpg
–
–
Pour Bernard :
http://www.crim.fr/edm/encyclopedie/pl07.gif
–
–
Pour Lou :
http://johomaps.com/na/canada/national/fr_canada2.jpg
–
–
Pour Fred :
http://www.oeufs-autruche.net/photos/autre%20supports/savane.jpg
–
–
Pour Johal :
http://www.mediapart.fr/files/u59122/rien_fin.gif
–
–
Pour Thierry :
http://coeficiencenet.typepad.com/photos/uncategorized/dictionnaire.jpg
–
–
Pour Pierre b. :
http://i87.servimg.com/u/f87/13/67/54/75/logo_f10.jpg
–
Pour Bourrache !
Ca y est,
Z’ai finit mes devoirs de peinture !
Z’ai essayé de pas trop dépasser….
mais mon pinceau était un peu trop gros !
Ze me zuis bien… amuzéeeeeeeeeeeeeeeeee !
Et voila le résultat !
http://2.bp.blogspot.com/_30E2V-5E6Nc/Sm3qF3sXwHI/AAAAAAAAEps/9VVLhd9wcAE/s1600-h/gustave_dans_de_beaux_draps+copie.jpg
Rebiseeeeeeeeeeeeees !
Allo Bourrache !
J’adoreee l’image que tu as envoyée pour Thierry !
–
Christineeeee : 9,9/10 pour ton coloriage !
–
Par contre, Marc pourra pas dessiner l’aile lisse de son hélico … faut que je lui trouve aut’ chose.
–
–
Mon carnet de bal est encore bien rempli … mais je frise l’épuisement.
Nous DANSErons encore demain … si vous le souhaitez …
–
Belle, bonne, douce, tendre nuit à tous.
–
OHLALA, quelle lecture m attend,
je venais écrire, j’ai le souffle coupé, quoique,
allez je laisse mes doigts pianoter de vie…..
J’ai en vie de danser
Ce soir
Tour à tpur
De me serrer au plus près
Et puis de me laisser virevolter
Me laisser emporter
Par le chant de la danse
En descendant le côteau
En fin d’après midi
La toto belle gaie
La musique dans ses oreilles
Elle chantait
Se trémoussait ses hanches
Elle se disait si bien ici
Et que c’est juste parce qu’elle aime
Ses aimés du Nord
Sinon, danser ici est tellement bon
Elle jongle avec les pierres
Se hamacke un rayon
Boit une goutte de pluie
La vie ici
C’est de la vie
bon, je vais vous lire……..sourire…Heu Bourrache t as sorti ta boîte de bougies?! sourire!
m’zi, Bourrache!
c’est tendre, Jo.S…
HEU, J’zuis saoûle de rires, Bourrache, toi alors!
et le ciel dehors si douce invitaition,
allez youps je saute de mon second,
v’en’fête pas,
j’ai des ailes!
sourire!
je sais déjà que mes lectures, mes écritures vontme manquer en ce futur temps de vacances,
mais c’est peut être bon de laisser ses petits doigts se reposer, parfois….
La tite cervelle, je sais tant que même sans pinceau, elle peint encore, sans clavier elle danse encore, ahlala, tite cervelle! sourire!
m’zi Bourrache!
Sur la toile du ciel où danse l’écriture
Comme une main tendue qui crie son désarroi
C’est toute une calligraphie qui devient chorégraphie
Les mots en noir et blanc s’entremêlent au firmament
Les mains se frôlent, se caressent et se serrent
Dans le souffle du vent, au coeur des branches digitales
Une valse de mots, chuchote au faîte des arbres
La musique se fait douce et chaque signe qui se balance
S’exprime et se donne dans toute la tendresse du soir
Quelques pas de danse en ombres chinoises
Et les mots s’inscrivent tendres et divins
A peine cachés dans l’ombre mystérieuse des bois
.
Un petit coucou en passant aux amis de L’Oeil;-) Je suis toujours au ralenti du côté de L’Oeil, très noir et blanc, mais sachez que je vous suis de très très près quand même;-) J’ai besoin de me laisser flotter, de casser le rythme pour retrouver du souffle et de l’inspiration.
Je note que Bourrache a fait exploser le nombre de commentaires qui sont en forte baisse depuis que je suis en suspension;-) Merci Bourrache et merci aussi pour la photo MERCI;-) Tes photos sont bien choisies, on sent que tu connais bien tout le monde;-)
Un grand bonjour à leila, Monique et Alain pour leur retour sur le pont.
Félicitations à tous les passagers restants pour leur ténacité et leur belle plume.
Bienvenue et merci à Odile pour ses premiers pas de poésie
Bienvenue également aux deux Claudie;-) Je crois que le mieux serait de mentionner Claudie 2 pour la Claudie qui vient d’arriver sinon, les lecteurs vont s’emmêler. Merci Claudie 2, ta plume est libre et légère.
.
Bonne fin de soirée, je vous embrasse
Ossiane
.
heinhein, alors on est deux en suspension, hein, Ossiane,
je flotte en ce moment,
je peins plus sur la toile de mon coeur que sur mon clavier….
mais la rentrée sera………….ahhhhhhhhhhhh…..
Ô mon bel arbre
Danse moi la mer
Secoue tes feuilles
Dans le ciel
Confettit l’air du temps
Laisse toi rêver
Tout simplement
Respire toi
Laisse toi aimer
L’été si bel est commencé
Bonsoir Ossiane, Annick, Christine, Bourrache, Christine, Jo. s, Alain, Leïla, sophie, Claudie et Claudie 2.
Annick, inscris sur ton coeur les plus beaux tatouages, arabesques immortelles que dessineront ton âme. Le temps des vacances, la chaleur, l’envie de ralentir le temps, se font sentir, nous en avons tous besoin , je t’embrasse.
merci pour tes mots, Monique,
je t’embrasse avant de me coucher,
j ai du sommeil à rattraper,
j’ai dormi le compte de deux nuits en trois nuits,
avant dimanche,
alors, la nuit commence tôt ce soir…
BELLE NUIT POUR CHACUN’E’,
et tes bougies me veillent, Bourrache. Merci.
Bonne, très bonne journée à tous les voyageurs qui passent sur ce blog
______
Déjà dans le matin frais
Les branches se balancent
Dans leur jupon de feuilles
Un petit pas de danse
Une petite romance
Pour réveiller les oiseaux
Un petit souffle d’air
Pour commencer la journée
Avec un ciel tout bleu
Si clair qu’il en est presque blanc
Avec la douce lumière
D’un soleil encore timide
Pour que le monde s’éveille
Se cherche et s’avance
Se trouve et rentre dans la danse.
En écho au beau texte de Monique
Dans la fraicheur du matin
S’étendent
Les prairies couvertes de rosée
La brume légère s’envole
Dans la douceur du jour
S’ éveille
la multitude des vies endormies
les nuages entrent dans la danse
Dans la clarté nouvelle
Se déploient
feuilles et corolles assoupies
Le soleil caresse la terre
Dans l’air neuf
Vibrent
Espoir, amitié, amour
Tout est possible à nouveau…
Bonnes vavances Annick
Bonne journée à tous
Le soleil déclinait à l’horizon lorsque Rachel Rouletabille retrouva ses compagnons de voyage. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir un pâquebot quelque peu différent de son souvenir !
Charlie-Ossiane était suspendue en lévitation dans une position proche du lotus. Elle murmurait des mots incompréhensibles pour la mortelle que j’étais mais je démélais quelques phrases intelligibles. « Je suis au repos mais je veille sur vous les enfants ». Ces dernières étaient parfois ponctuées de sanglots
« Seigneur ! Je n’en puis plus ! Ils m’épuisent ces lascars !!! ». La Toto se situait à côté du capitaine et lui criait « coucou Charlie-Ossiane ! c’est moi. C’est la Toto !!! »
Les deux Bourrche soufflaient des bulles magiques à l’intention de chaque mâtelot. C’est vrai qu’elles connaissaient parfaitement leurs camarades de jeux, de poésie et de délire parfois.
Je remarquai qu’un certain nombre de mâtelôts étaient aux abonnés absents. Pourtant le navire tenait bon affrontant les tempêtes, les courants contraires ou les courants plus limpides.
Le détective que j’étais sentit un frisson parcourir son échine. Je pressentais l’arrivée de nouveaux mâtelots, le retour des anciens, la sagesse des uns, la folie des autres et la venue imminente de nouvelles aventures……
Un grand bonjour à tous. J’ai du retard dans mes lectures….
Merci Jo.S pour tes mots et la fraîcheur de ton poème.
Hello ! Rachel bonjour, tu regagnes le pont quel bonheur ! Oui le navire fait escale et les amis se dispersent mais Ossiane, d’un oeil veille sur ses brebis qui s’égarent et qui par intermittence réapparaissent et nous donnent à lire, à voir et à méditer. Belle commentatrice tu es, je suis comme toi de retour et très en retard également dans mes lectures, le rythme reprend tout doucement afin de ne pas perdre tout le bénéfice d’air pur accumulé pendant les vacances.
Belle photo!
Bonne journée.
L’horizon dans ce sillon suspendu
Me fait penser à la
Ballade des pendus.
Dessous sa chevelure de ramilles et de branches
L’arbre a le cœur fervent accroché à la terre
Le bois en tronc dansant s’élance dessus la mer
Ponctuant la colline d’arabesques sonores.
Le bal des estivales s’entend avec le vent
Lequel emporte les rimes qui craquent en avalanche
Se déploie et se tord le bois sur l’île rêveuse
Et nos amours secrets, empreinte, lisant ses maux.
De sa danse gracile, c’est la femme et c’est l’eau
Dont elle s’habille le soir et l’onde en mouvement
Se perçoit des hauteurs où l’arbre s’agite encore
De ses balancements, il effleure d’autres chênes
Qui chuchotent à la mer à l’heure du crépuscule
Qu’elle peut se faire légère avant l’autre matin.
M’zi Jo.S, c’est pour ce samedi….le bain du Nord en émotions garaties avec les rayons si chauds des amis…SOURIRE!
‘c’est la toto » de se sourire, Rachel….
L’arbre se laisse aimer
Dans la lenteur du temps
Il bulle des perles rares
C’est si bon d’être aimé
Pour ses racines ses feuilles
En roman tel poussé
Qu’est la vie sur la terre
—> Bonjour, chère Ossiane,
Broderies exquises
qui enchantent l’oeil
pour courber le coeur
sur le théâtre de la beauté.
Je vous remercie pour vos aimables visites qui ont enchanté mon coeur…
Bien sincèrement, Jack qui vous souhaite un bel après-midi ensoleillé de paix.
Bienvenue Annick!
bonjour Leila, il est beau ton dernier écrit…
Circonvolutions en ciel
Méditations profondes
Amour de bel réel
Bonjour Ossiane, profite max de l’air du temps à se laisser planer, j’en suis fort adepte aussi ces derniers temps, et du bel air dehors, tout est si beau d’été se vivre palpiter la Nature éclose.
Bon marci pour chacun’e’.
( je laisse ma faute de frappe!
bon mardi pour chacun!
bon merci pour chacun! )
Dans la lumière éblouissante
Une silhouette à l’ombre graphite
Semble vibrer sous la houlette du vent
bonjour à chacun
à ceux qui me sont familiers
mais aussi à ceux qui me le sont un peu moins
merci bourrache l’aile lisse est un peu en panne!!
un peu en retrait je vous lis… moins assidument je l’avoue
mais toujours avec un réel plaisir
Bonjour Marc qu’on n’ oublie pas malgré ce petit recul, ou retrait momentané.
_____
La ramée
Elle embrassa le ciel offrant son corps de déesse
Et dans ses bras grands ouverts elle connut la tendresse
Du bout de ses doigts tremblants osa une caresse
Les mots volés au vent racontant ses prouesses
Ils se parlèrent d‘amour avec délicatesse
Sans peur du lendemain et sans aucune promesse
Vivant l’instant présent comme une immense richesse
Oubliant tous ses tourments, dansant jusqu’à l’ivresse
_____
Dans tes courbes, je me tiens coit
La ligne droite n’est plus une certitude
Sur les chemins qui mènent à toi
Ne naissent pas les lassitudes
La danse des mots et des matins
Criblée de mer et de soleil
M’éloigne un peu de mes chagrins
Oublie la fatigue de mes veilles
Il se peut que l’on s’achemine
Par lents voyages tortueux
Vers les pays qui s’imaginent
Il se peut que l’image s’anime
Et que le gris devienne bleu
Alors je te connaîtrai mieux
Comme vos vers sont beaux, Phil alba. Il y a de la douleur, de l’espoir et un style élégant. Rien d’étonnant que vous aimiez Lamartine.
____
Lorsque les mots dansent sous la plume
Et chantent dans les branches
Dans ton regard mille feux s’allument
Vers toi nos coeurs s’épanchent
_____
Bonsoir à tous et à toutes et bonne nuit
mmmmhhh, Monique…Phil Alba….coucou Marc….
Bonsoir Annick. J’espère que tu as récupéré tes heures de sommeil pour prendre le temps de danser avec nous la piste sur fond de nuit d’été n’est pas très encombrée ce soir.
mmmhhhmmhhh, cela va, j’ai récupéré en sommeil,mais youps de boum, um début de matin pas zen avec le jeune homme en non envie de se lever, de partir dans les temps….il est temps que les vacances ce samedi…
Vers les vingt heures, quel bel ciel sur ce chemin de campagne de St Roch, des tournesols, des bottes rondes de foin, la Nature appétissante, et ce ciel si haut, unvrai bel ciel de Loire Atlantique, je n’en reviens pas de vivre ici,
J’irai bien vivre quelques temps en Loire Atlantique, quelle belle région. Bonne nuit Annick, plus que trois jours et pour vous les vacances auprès de ceux que tu aimes.
> Pour Bourrache…
merci… merci … merci pour ton lien chère Bourrache et ce clin d’oeil
en réponse ceci :
« Qu’on puisse croire en toi, en tes possibilités, te bouleverse, déclenche une crise de larmes, te donne envie de disparaître, et tu te reproches de n’avoir su la convaincre qu’elle commettait une grave erreur en pariant aveuglément sur ton avenir ».
page 131
Je t’embrasse
http://www.dailymotion.com/relevance/search/danse+des+arbres/video/x67ptn_mezzanine-2-larbre_creation
m’zi Bourrache, c’est tout bizare de retrouver mes filles pas vues depuis quatre mois, quand en passé, petites, je les ai serrées des mois, des ans non stop en mère au foyer…des passages de vie….
A Phil :
Nos vieilles blessures
sont les plus précieuses
Elles nous épargnent de souffrir
demain .
( Sourire )
Toujours beaucoup d’empathie, de sympathie, de chaleur et d’amicales pensées entre les visiteurs d’Ossiane. Un petit monde où le lien, même si son vecteur est électronique, est réel, et où l’on se sent bien, où l’on est heureux d’être humain… J’apprécie ô combien… Bonne journée à toutes et tous, je vous embrasse.
Hello bel équipage !
ho, oui, Sophie, quel monde que le monde d’Ossiane !
Amical bonjour au capitaine et à tous.
Merci Annick, Monique, Mathilde. (Mathilde, l’été se passe-t-il bien ?)
Tout ceci n’est que poésie (ou tente de l’être). Toute ressemblance…
Même si, je l’admets, il y a un fond … et c’est bien au fond que l’on va puiser.
Douce journée.
Entre deux gouttes
de pluie
Le soleil s’offre
on le garde pour soi
jalousement.
Merci Phil et belle journée à tous
Un petit monde oh combien sympathique en effet, un petit monde avec une porte grande ouverte sur la beauté, l’amitié, l’échange grâce aux talents et à la générosité d’Ossiane, un joli rendez vous chaque jour.
____
Valsent et tourbillonnent
Enlacés à tout jamais
L’amour en partage
___
bourrache je t’ai dis merci mais le lien ne marche pas!!!
si tu peux le remettre parce que j’ai ouvert le papier y ‘avait rien dedans!!!
l’arbre trône devant l’horizon immuable
ces racines invisibles et inextricables
il s’ enracinnement dans la terre
en quête insasiable de lumière;
pourtant une étintincelle aura suffit
à détruire cette fragile beauté
en une jachère de cendre et de débris
que le vent disperse dans l’éternité
Mathilde, Sophie, Phil Alba, Marc, Monique et chacun,
je lis vos mots avec émotions…..
sans oublier Ossiane sur son bâteau d’une traversée hors du commun…
BISES A CHACUN.
–
Pour Marc (afin d’éviter un retrait de permis-MERCI) :
http://www.freecoloring.org/fr/images/helicopter-coloriage.gif
–
–
Pour Monique :
http://www.xiaopan.com/francais/catalogue/albums/voie_de_la_sagesse_01.jpg
–
–
Pour Phil et Alain (en duo car je rame un peu pour les cibler … mais comme j’adore leurs écritures…) :
http://hirondelle67.h.i.pic.centerblog.net/hb6autxj.gif
–
–
Pour Leïla :
http://www.farid-benyaa.com/algerie_musiques_danses/musique_tlemcen_algerie.jpg
–
pour Bourrache
après l’effort…des poussières… le réconfort
http://coloriage.tfou.fr/coloriage-patrick-prend-le-cafe.gif
Comme je suis un petit temps sur l ordi, je repasse et te lis, Bourrache,
mais où tu vas chercher tout cela…
Merci de me donner des sourires…
Repose toi bien dans le fauteuil de Marc, Bourrache, tu le mérites bien….
Pour Annick :
Comment « sourire » avec des mots ?
http://www.lireenpaysautunois.fr/upload/image/graine%20decrivains/graine07/sourire.jpg
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
–
Pour moi (et rien que pour moi … na !)
(y’a pas d’mal à se faire du bien) :
– photo en attente du passage d’Ossiane – (suspens)
–
Merciiiiii, Monique.
–
–
Marc ; j’viens de filer devant mon grand miroir et de m’inspecter, vue de profil.
Ouf ! je ne me paie pas encore un bedon pareil !
^_^
–
–
Super ton lien-sourire, Christineeeeee !
–
A peine arrivée sur le site que j’ai un large sourire à lire Bourrache s’activer à distribuer charmantes petites intentions à chacun.Merci Bourache.
C’est mon petit jardin d’été chez Ossiane, entre départs et retours des amis de l’année et des nouveaux.
Annick si tu passes dans le Nord, tu es la bienvenue, c’est ce que je voulais dire un peu plus haut. ))
J’étais dans les incendies de Marseille la semaine dernière, c’était impressionnant.
J’avais fait quelques photos « amateur »)
http://pagesperso-orange.fr/Leila/Feu.html
Merci chère Bourrache
de ton doux cadeau,
que j’ouvre aujourd’hui
(c’est mon anniversaire!)
tu as beaucoup travaillé!
Tu m’as fait penser:
Il me faut prier un peu plus,
À mon âge, on ne sait pas …
Enlace mon corps
pour danser ensemble
Le samba d’Alain
===================
Enlace mon corps
et dansons, dansons,
à la saveur du vent.
===================
Enlace mons corps
pour la danse de l’amour
Les pas en arabesques
J’ai retrouvé le danseur né
qui des mots fait des aquarelles
J’ai retrouvé en noir et blanc
Sous la falaise qu’ il surplombait
le regard bleu d’ une mer qui veille
Le rond point dense de ses cheveux
soleil ou brillent l’ombre d’été
et quelques e en harmonie
La musique des rêves ou des vents
Les feuilles en muses ou mises en scène
La douceur des natures intactes
Les plaisirs d’une paix que l’on goûte
Dans la danse des arbres et des craies
Jolie photo Ossiane et bonne fin de séjour en Corse.
Love everyone, et grosses bises au joyeux équipage 😉
Good to see Rouletabille, Marc le deserteur et le reste des matelots…
Bourrache, merci pour les pensées.
Et surtout joyeux anniversaire Neyde !!!
Un petit coup d’oeil en passant sur la note du jour et cela devient une halte incontournable, il y a tant à lire, à voir, à méditer.
BOURRACHE tu nous gates, tu es inégalable et ingénieuse.
CHRISTINeeeeeeee ton sourire rayonne la joie de vivre et comme c’est transmissible, du capitaine aux moussaillons tout l’équipage est prêt pour la photo !
LOU, les mots glissent sous ta plume allant de la toile à l’instrument de la feuille à l’écran, très joli
NEYDE, je suis contente de te lire et te souhaite un très bon anniversaire sans oublier de t’embrasser très fort.
ANNICK les vacances approchent je te les souhaite merveilleuses.
Un coucou à Phil alba, MariaD, Mathilde, Marc et Sophie qui comme nous tous apprécie le climat qui règne ici.
–
Annick : bonnes retrouvailles avec tes filles, que tout se passe bien avec ton petit-oiseau-aux-ailes-abîmées et…
http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/ZoomPE/0/9/7/9782226192790.jpg
… ramènes-en nous quelques bien bonnes…
–
Pas de quoi, c’est tellement joli, ces petits points…..
Christine, juste en mettant les mots dans la soucoupe en coeur de sa petite bouche…
Je pensais que ton bienvenue, était pour l’entrée dans le blog d’Ossiane, merc pour l invitation..
Merci Monique et Bourrache…
Bel anniversaire Neyde, le mien c’est le six du mois prochain….
Le coeur qui cogne, Bourrache, le coeur qui cogne !
Ha ! l’intuition féminine, c’est quelque chose !
Merci pour ces battements et les fleuves d’émotion qu’ils charrient.
Bon anniversaire Neyde,
Transatlantique aède,
Et quels que soient tes ans
J’envoie mille bougies
Aussi des fleurs jolies
Par dessus l’océan
Majestueusement tourné vers le ciel
Dans les vapeurs des eaux avoisinantes
L’arbre a la silhouette de déesse
Se contorsionne au rythme du vent
Mes yeux captés par sa beauté transcendantale
Entrent dans la danse où mon regard se noie
Ramure ensorcelante où le corps ondule
Avec la grâce et la souplesse d’une danseuse
Tout mon être en l’arbre se métamorphose
De mille mains de mille doigts
Les bras levés dans la magnificence
Le corps ensorcelé dans ce monde étrange
Où tout devient rêve et ravissement
Dans une indicible et merveilleuse danse
Très beau ton Haïku Ossiane
Je viens de le relire avant d’aller dormir et c’est là toute la force et la splendeur de ce genre de poésie, les mots y tiennent une importance énorme, trois petit vers de quelques syllabes et tout est dit :
« Corps de déesse
Arabesque de tes bras
mon ciel enlacé »
Henri Brunel dit : « Le haïku est simplicité, légèreté, mise à nu de l’essentiel (…) c’est la chance offerte de tout comprendre, de tout deviner, de tout aimer, en un éclair de trois vers »
L’image et le texte ne font qu’un et c’est ce qui me plaît énormément dans tes créations que tu sublimes par un calligrame.
Bonsoir et bonne nuit à toi Ossiane et à vous tous qui passez ici.
Bonne nuit douce Monique ou bonjour plutôt puisque je t’envoie le soleil.
Cigale
Une musique qui s’invite
A l’heure où s’enfuit la nuit sombre
Une musique qui palpite
Quand la lumière danse avec l’ombre
Une musique continue
Que l’on écoute presque nu
Des notes claires tombant des nues
Qui de l’amour font la réclame
Chant qui s’entend dans la garrigue
Qui sonne comme un réveil matin
Parmi la lavande et le thym
Quand le vent fait chanter les palmes
Un doux zinzin qui berce l’âme
Quelques paroles dites en latin
Qui de l’amour font la réclame
Une mélodie qui ressuscite
Quand le soleil est au zénith
Un chant d’amour sorti de terre
Quand la période est estivale
Un véritable festival
Que font entendre les cigales
Qui de l’amour font la réclame
Princes des villes et gentes dames
Pour qui les sons sont un régal
Les poésies sont les cigales
Qui de l’amour font la réclame.
Alain
Lou, avec le soleil il y a le vent en prime, cheveux au vent c’est fort bon mais les cigales Alain ce matin sont encore silencieuses.
____
Les feuilles se balancent
Le mistral mène la danse
Un soleil immense
_____
Seul dans le soir
le vieil arbre
danse
Salut vieille branche, ma vieille amie,
Je viens voir de quel bois tu te chauffes
Notre relation en dents de scie
Me permet de t’écrire quelques strophes
C’est une longue histoire que la nôtre
A ma naissance mon berceau fut fait
De ton bois comparable à nul autre
A l’âge qui nous entraîne aux futaies
Plaisir d’accompagner les oiseaux
D’un peu de toi je fis des pipeaux
Plus tard, m’exerçant à l’adresse
De quelques rejets et d’une tresse
Je confectionnais flèches et arc
Vint le temps de bâtir un foyer
Et sur toi je me suis appuyé
Les poutres de ma maison ont ta marque
Les saisons d’hiver aux froids trop vifs
N’ont pu contrer tes désirs ardents
Dans ces temps tu fus mon confident
Maintenant mes membres rétifs
Peinent et refusent de me supporter
Je m’appuie sur toi, être chétif
Quand viendra le temps du grand repos
En toi on placera mes lambeaux
La nuit pourra m’emporter
. En paix
dentelles de suie
vertige d’une danse
la veuve en noir
Le gange
Ainsi qu’un fruit grossit autour de son noyau
Comme une roue ferrée autour de son moyeu
Couverte de joyaux de bagues et d’anneaux
la déesse se déhanche à la surface des eaux
Elle danse en harmonie avec le monde
Ainsi qu’une toupie en émettant des ondes
Traçant avec ses bras des cercles de lumière
Elle tourne dans l’espace à l’égal des sphères
Ses bras ses jambes en rythme se plient et se déplient
ses membres sans cesse en mouvement se multiplient
par la grâce du langage la présence du génie
son image dans les glaces défile à l’infini
Rien ne peut la distraire elle est toute à la danse
le flot mouvant des eaux roule avec abondance
Alain
Pour Phil alba dont j’ai aimé le poème de fin de matinée.
____
L’arbre est mon ami
Sur les chemins de la vie
Où il nous conduit
____
René Nelli : Lo crit d’aquel aucèl…
Lo crit d’aquel aucèl fiala son arabèsca
que s’enrona al rodet fosforejant de l’aiga.
Que venga a se desrompre un arbre se revèla
bufant entre sos dets l’alen de las colors.
Un arbre que s’avugla a trucas d’aparéisser
e de se susvolar dins lo temps de paciéncia
sens regard per fugir amb lo cors de las causas
ont son còr adejà desavançant deman
se pren dins mai de sòm que ne cal per dormir…
Arma continuosa que lo freg divin
lo sentes destrencar de tu l’amor passida
– Com l’abís a jamai que se fotografia
del pus prigond de son estela d’origina –
Respira tendrament dins la foscor profana
l’ombra d’aquela mòrt ont Dieus fa lo maitin…
______________
Le cri de cet oiseau file son arabesque
qui s’enroule au rouet phosphorescent des eaux.
Qu’il vienne à s’interrompre : un arbre se révèle
soufflant entre ses doigts l’haleine des couleurs.
Un arbre qui s’aveugle à force d’apparaître
et de se survoler dans le temps de patience
sans regards pour s’enfuir dans le décours des choses
où son coeur est déjà – comme il sera demain –
pris dans plus de sommeil qu’il n’en faut pour dormir…
Âme continuée qui sens le froid divin
retrancher de l’Amour chaque instant qui le fane
– Comme un gouffre à jamais qui se photographie
du plus profond de son étoile originelle –
Respire tendrement avec la nuit profane
cette ombre de la Mort où Dieu fait le matin.
http://www.cardabelle.fr/occitan-poemes-03-manciet.htm
Le pin parasol
Sa cime ouverte danse au soleil du midi
Il filtre la lumière, l’hiver lui est égal,
Il sait que c’est l’été quand chantent les cigales
Quand l’azur lui sourit il est au paradis
Alain
L’arbre dans ses formes ondulatoires
Imprime sur le ciel une douce sensualité
Une expression végétale et sauvage
Dans les mouvements de ses branches
Son corps exalte la grâce et la beauté
Inspire l’amour et la tendresse
Le ciel devient sa scène, son décor,
Son espace, son partenaire
Pour un ballet céleste et aérien
Dans la brume océane de la côte corse
Ô l’arbre
Mon bel arbre
Serre moi de ton toi
Enlacés nos regards
Serre moi fort encore
Je t’aime si plein mon âme
Je t’aime tout de bel
Palpite toi ma sève
Ma goutte de vie vivante
Mes baisers sont pour toi
Merci Merce
celui qui berce haut
et met bas
donne au mouvement sa joie
merci aussi à Bourrache dont les pages choisies m’énivrent 😉
merci à Ossiane d’avoir maintenu le lien
merci à tous pour votre présence
les troubadours se régalent de la Provence à l’Adour
qui nouent tant de guirlandes fleuries
la danse à vrai dire parfois me cabre
c’est le cas en ce moment
Un retour sur la page du jour et je lis La brume « océane » (aïe!!) de la côte corse, ça va être difficile, disons la brume légère de la côte corse c’est mieux !! pardon pour la fausse note !!
Annick, dure soirée pour toi alors je t’envoie plein de bisous, et tous les jolis mots qui pourraient t’aider je te les souffle à l’oreille, garde confiance l’amour est plus fort que tout.
Un petit frisson
Sur la courbe de son corps
Secret d’un désir
Juste un petit vent
Pour voir onduler ses branches
Dans le matin frais
Des idéogrammes
S’inscriront dans le ciel bleu
Sous la plume du vent
Immobile mais volant dans le V de ses branches
L’arbre souffle et respire sous l’impulsion du vent
Sa mémoire offre au sol l’ombre que les heures sèment
Ses feuilles secouent leurs ailes qu’elles déploient doucement
Oisillons encore frèles juste nés au printemps
Elles quitteront le nid à l’automne en dansant
Le mystère de la vie remplit le coeur aimant
D’un émoi lumineux dune chaleur ou d’un chant
Quand la danse est caresse de l’espace
qui imprime au mouvement de ces étrangetées
quand depuis cette jetée fugace
les ombres jouent en silence
les pas marquent la cadence
équilibre intangible
les bras se font arachnéens
les jambes pylones
les torses se convulsent
les silhouettes déjetées
dans le glissement feutré
dans l’ouverture glacée
sur un jeté battu
le corps souplement détendu
comme un ressort arbore
une élastique rythmique
http://www.youtube.com/watch?v=9AJ5nPv3G6o
http://www.youtube.com/watch?v=r7Y2ELvbbIQ&NR=1
.
Chers passagers, merci à tous pour vos poèmes formidables; on ne manque pas de belle lecture ! Bien contente de revoir de vieilles connaissances grâce à Bourrache;-)
Un clin d’oeil tout spécial à Lou, Marc et Rachel qui n’ont ni perdu la main ni leur sens de l »humour.
Un bon anniversaire à Neyde!
Merci à Monique pour ses commentaires. J’ai le livre d’Henri Brunel; il est vraiment très bien!
Un coucou et un grand merci à Alice!
Je note qu’Alain est au mieux de sa forme;-)
.
Petit signe de bienvenue à véronique;-)
Le bouffon
Il a le droit de dire ce que les autres taisent
Chargé de faire rire de vaincre le remord
De tuer l’ennui des autres de se montrer à l’aise
De toutes les tares humaines il offre la synthèse
Ayez pitié de lui qui danse devant la mort
Alain