75 réflexions sur « Message »

  1. comme c’est joli, l’image est un vrai livre qui raconte du beau….j’aime beaucoup cette douceur, elle fait du bien!

  2. Su-perbe Ossiane ! wow!
    ____

    S’envoler dans le vert
    d’un jardin qu’on suspend
    dans le battement d’ailes
    le message gris sur blanc
    l’invitation à l’espoir
    ____

    bisou et bonne journée Annick, Monique et l’équipage

  3. Ils disent qu’il passait
    Ses nuits a pleurer
    Ils disent qu’il ne mangeait pas
    Qu’il ne faisait que boire
    Ils jurent que le ciel lui même
    Se rétrécissait en écoutant ses pleurs
    Il a tant souffert pour elle
    Que jusqu’à la mort il la pleura

    Une colombe triste
    A l’aurore va chanter
    Aux petites porte
    De la maisonnette isolée
    Ils jurent que cette colombe
    N’est rien d’autre que son âme
    Qui toujours attend
    Le retour de la malheureuse

    Colombe ne pleure pas
    Jamais les pierres, colombe
    Ne sauront rien des amours
    Colombe désormais ne pleure plus

    http://www.youtube.com/watch?v=rGFyUHuIlcs

  4. Oh !!! la belle photo.
    Le nid n’est pas loin
    Et on s’active sans fioritures
    Car la progéniture en a besoin
    C’est la loi de la nature

  5. Lourd à porter
    Si le vent s’emporte
    Une cime de cèdre
    l’attend plus haut
    Dessine-moi un Oméga ! Ω
    Il est tout un symbole.

  6. Quel plaisir de venir se balader chez vous…. On en ressort toujours émerveillé… charmé…
    Je passe souvent sans rien dire … parce que je ne sais quoi dire devant tant de merveilles….
    Merci pour tout ça…

  7. Comme c’est joli, comme c’est joli, la vie de vie.

    Gravé en mon coeur, le petit ballet des hirondelles, dans mon couloir d’entrée, et comme j’ai aimé croiser l’une ou l’autre avec une petite brindille dans le bec;

    C’est émouvant la vie,
    il y a tant dans la construction d’un petit nid, dans la fusion des êtres, dans la vie à se vivre,

    à présent, chaque hirondelle couve, et les deux nids dans le couloir sont des merveilles de l’oeil, quelle habilité douce de ces petits becs, de la tendresse de leurs ailes,

    comme j’aime cette vie, qui donne envie de vivre la vie.

  8. J’aime beaucoup cette photo si sensible, elle me touche,

    Là,

    oui, Là,

    et c’est bon,

    d’être touchée Là,

    Non?!

    coucou Lou, et chacun’e’!

  9. Mais sage est le ramier qui comme la colombe
    jamais d’un vol trop lourd l’air ne plombe
    déjà victorieux avant même que de se poser
    à la pesanteur un pli de roi il a soustrait
    mais c’est surtout la paix qu’il impose
    à quoi lui servirait un lance pierre
    là où la pie va chercher à la fourrière
    il a sûrement besoin d’une pause
    certes son plumage il astique
    d’un bec habile et chasse le moustique
    mais pour l’instant sa prise il tient au vent
    et si il se sait grec jamais ne se ségrége
    car bien trop accoutumé à rester en couple
    il ne peut s’éloigner sans fermer la boucle

  10. Dans un battement …d’oeil et de cil…l’oiseau des plus docile…entame son périple…équilibré comme son vol…magnétisé comme son cerveau…il suit ce long chemin…se tenant à l’écart des gradins…des gredins aussi d’ailleurs…et si il file sans jamais donner l’impression de se perdre…c’est que sa carte du ciel est fort précise…mais la tempête et les orages…comme des essorages…la tête lui font perdre…déboussolé qu’il est…son aiguille affolée

  11. En c’temps là on était jeune et sale et l’on crevait la dalle
    Alors on tirait les pigeons derrière la maison.
    Un jour j’entends siffler la balle qu’avait tirée Martial.
    Sur le coup était beau mais c’était un corbeau.
    On l’a plumé comme une volaille trop envie de faire ripaille.
    Une fois dans la cocotte on a invité les potes.
    Un pigeon aux p’tit pois ça vous dit les gars ?
    Ils ont vite rappliqué, ils étaient affamés.
    Hubert avait bonne mine, c’était sa carabine.
    Philippe le suivait, ils sortaient du troquet.
    On a choisit les pilons qui paraissaient bons
    On les a laissé prendre le blanc de l’oiseau noir.
    La bête était coriace, une fois à la carcasse
    On a pu leur dire avec un beau sourire :
    C’était un corbeau là avec les petits pois
    Et non pas un pigeon. Devant leurs yeux ronds
    On leur a montré les plumes qui luisaient à la lune.
    Après le corbeau on est passé au fromage
    Mais j’ai déjà lu ça dans un autre message…

  12. Voila tout de suite ce qui m’est venu

    Picasso Colombe
    (Jean Ferrat)
    (paroles d’Henri Gougaud)

    Il était un homme-oiseau
    Qui cueillit le monde rond
    L’ouvrit de ses doigts pipeaux
    L’enfouit dans son oeil citron
    Puis déshabilla les dieux
    Les fit danser dans les bois
    Les croqua de ses dents bleues
    Les enivra de hautbois

    Picasso colombe au laurier
    Fit Guernica la mort aux cornes
    Pour que dans un monde sans bornes
    La nuit ne vienne plus jamais
    La nuit ne vienne plus jamais

    Il était un homme-fruit
    Qui roula dans l’herbe crue
    Sur une femme pétrie
    Par un dieu Pan au poil dru
    Femme il fendit ton chignon
    D’un coup de soleil tranchant
    Le fendit comme un oignon
    Dans la cuisine des champs

    Picasso colombe au laurier
    Fit Guernica la mort aux cornes
    Pour que dans un monde sans bornes
    La nuit ne vienne plus jamais
    La nuit ne vienne plus jamais

    Il était un homme enfin
    Prit le fruit et le croqua
    Prit l’oiseau le fit humain
    Coloriant aux éclats
    But le temps et s’enivra
    But le vin qui devint pur
    Prit la cage et la brisa
    Sur la porte du futur

    Picasso colombe au laurier
    Fit Guernica la mort aux cornes
    Pour que dans un monde sans bornes
    La nuit ne vienne plus jamais
    La nuit ne vienne plus jamais
    La nuit ne vienne plus jamais

  13. Message à Fauki :
    Moi sage, en tous les cas je ne sais pas …
    Peut-être besoin d’un bon massage ?
    Pas sage ? En fait, je cherche le passage … à petits pas …

  14. Lavis
    de Picasso
    Des blancheurs
    lumineuses
    il découpe
    dans l’histoire
    une colombe pour la paix
    puis laisse
    la vie
    prendre
    son envol
    armée
    d’une branche d’olivier

  15. Bonjour à tous… sous un ciel bleu de bleu !

    YYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY

    La belle princesse grecque
    Au balcon de sa fenêtre
    Attendait depuis longtemps
    Le message de son amant

    En ces temps reculés
    La patience était bonne qualité
    Pour attendre les réponses
    Aux questions envoyées…
    Par Air Mail Courrier

    Télégraphix, apparut alors
    A tire d’ailes, presque pas essoufflé
    Portant dans son bec, bien accroché
    La première lettre… de son courrier !

    Y

    Sa halte fut de courte durée
    Le reste des lettres devant aller chercher
    Mais l’amoureuse eut tôt fait de deviner
    La réponse de l’homme qu’elle aimait

    Trois mois plus tard,
    Après deux aller et retours du pigeon courrier
    Elle put enfin lire le MESSAGE en entier
    Qu’elle attendait depuis si longtemps :

    Y E S

    Des lettres d’amour enflammées furent expédiées
    Après moultes rotations de notre super Pigeon
    Les retrouvailles furent parfaites
    Et les épousailles une belle fête !

    http://www.cinebel.be/portal/resources/movie/1000851/b168961.jpg

    Biseeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeee

  16. Hermés n’était pas encore Trismégiste, souverain détenteur dans le delta lumineux des savoirs scientifiques qu’il portait déjà depuis l’Olympe les messages des dieux.

    Ainsi les voyageurs assurés et rassurés, même ceux dont c’est le dernier ici bas,
    pouvaient ils entreprendre ces traversées, qui par l’Hellespont ou les colonnes d’Hercule allaient les emmener dans des contrées éloignées et inconnues.

    Veillant sur eux et gardien des secrets du vol mais aussi de tant d’autres choses il devait leur permettre de trouver l’hospitalité qui dans les caravansérails ou bien les oasis, du voyageur refait un peu de la santé, galavanise ses forces et lui permet de continuer.

  17. L’olivier a perdu ses feuilles en voyage
    Le pigeon a gardé ses plumes dans son vol
    Est-ce un message lancé avec prudence
    Reste-t-il encore des rameaux d’oliviers
    Porteurs de paix et d’humanité
    On ose, on veut encore y croire
    La paix est un trésor qui se construit
    Avec patience et persévérance
    A l’école des colombes
    Qui survolent notre monde.

    Ce ne sont pas avec des armes
    Ce ne sont pas avec des capitaux
    Ce ne sont pas avec des croyances infondées
    Ce ne sont pas avec des sentiments d’orgueil
    Ce ne sont pas avec des pensées racistes
    Ce ne sont pas avec des idées de possession
    Ce ne sont pas avec des idées de domination
    La liste serait longue des faux parcours
    L’oiseau de paix ouvre la route
    La paix à vol d’oiseau
    C’est plus d’égalité entre tous
    C’est plus d’amour, plus d’humanité
    Moins d’égoïsme, plus de partage
    ……………………………………
    Mais ça tout le monde le sait
    Alors pourquoi, pourquoi ?
    Si ce poème semble avoir été déjà écrit
    C’est tant mieux, oh oui tant mieux
    L’oiseau n’a-t-il pas besoin de beaucoup de brins
    Pour construire son nid ?

  18. L’oiseau bleu

    Tous les colliers de perles de fleurs de coquillages
    Répandent leur beauté comme la vague son écume
    Au cou des femmes du monde qu’une onde parfume
    Comme sur le fil du télégraphe les mots voyagent

    Alain

  19. Dans le ciel sans souffle
    la colombe partagée
    entre vivants et morts

    « Je suis , dit-elle , je suis dans la lumière du jour
    et j’ai bu leurs larmes à leurs paupières  » *

    Jacques Chessex

  20. comme c’est joli et bon, Monique!
    la vie simplevivre et laisser vivre autour de soi, comme c’est bÖÖOÖ¨¨OÖ¨¨O!

  21. Comme tu es joli
    Ta brindille de vie
    Je t’aime de tous mes sens
    Puisque tu me donnes vie
    Goûtes moi et ressens
    La vie que tu me l’offres
    Tiens
    Je te dis merci
    Dans ce baiser de moi

  22. Si j’étais d’herbe Si j’étais arbre Tapis de mousse Simple lichen
    Serai-je tige Serai-je tronc Ou pauvre thalle
    De rhizoïdes Ou de racines
    De branches lourdes
    Fine brindille
    Feuille sessile Feuille pennée Juste foliole
    Main nervurée
    Je pourrais Être
    Homme debout Homme couché
    Enraciné Jambes dressées Deux bras levés
    Aux pieds d’argiles Aux doigts de fées
    J’ai sur ma route le choix d’aller
    A droite A gauche
    Me diviser Me séparer
    De Deux faire Un
    Me rencontrer
    Je vois avant Ou bien après
    J’entends dehors Cet à côté
    Aussi ici Le souffle cher
    Et voix du coeur
    Sourds battements
    J’écoute encore La nuit qui siffle
    La nuit scintille
    Au firmament
    Là est ce Point
    Du bout de Soi
    Pur Infini
    Et J’étais toi Tu étais moi Je suis né double Je veux chercher
    L’Unique fleur Oiseau de paix
    Là où tu vas Je suis le même
    Le jour ne cesse De tant aimer

  23. Un petit duvet tendre
    Se couche le lit de vie
    La jolie petite brindille
    Se fait douceur de vie
    L’écriture se lance
    A sa conquête se vivre
    Dans le simple appareil
    Du corps libre
    De ses ailes

  24. Blanche Rose bleue mauve
    la palombe
    vole se sauve
    en trombe
    dans le bec
    un i grec
    un Y long
    un upsilon
    mise en garde
    sauvegarde :
    attention
    aux cols d’IratY
    on nous tire sans merci
    gare aux plomb des chasseurs
    gare aux filets du malheur
    gare aux appeaux clumés
    pauvres leurres emplumés
    la colombe porte la paix
    pour la palombe sans effet


  25. Ne serait-ce donc point là, l’augure, le signe d’un retour des cours de grec ???

  26. …………………………………….

    comme fourmi ailée
    le pigeon bâtit son nid
    que sera demain

    en vrp de la paix
    colombe joue pas la cigale

    ……………………………………..

    andrée wizem

  27. L’oiseau
    porte en son bec
    La promesse
    du monde
    Il ne parle que de
    Paix
    Alors faut se la vivre
    Plutôt que de l’écrire

  28. Vous avez un nouveau message ….pas de bec ….ni de plume …pas de vol …ni plein ciel …juste quatre coins …un dessin … Une lettre …ou un m’aile…s aime s …vous avez un message …et ce coeur qui se bat … Et ces yeux qui se noient …et la lettre contre soi …tourterelle en plein ciel …et la plume sur une page …et les larmes en plein vol …ce message est pour toi … Et l’espace sous les lettres …et l’envoi sous les doigts …on croirait un oiseau …sous le bec un stylo …pour te dire que je t’aime …pour un fou comme une fois … Ou l’inverse je ne sais pas …peu importe la plume .. Peu importe la couleur .. Une cartouche dans le coeur ..dans la nuit une lueur…

  29. Des milliards d’I
    Des lèvres
    Un super bel grand nid
    Au centre de la terre
    Pour s’envoler d’aimer
    Quel bel cratère de feu
    De laves doux duvets
    L’amour cet incendiaire
    Qui garde belle la vie
    Des êtres
    Des étoiles de vie

  30. Approche mon bel oiseau
    Regarde le ton nid
    J’y place un doux présent
    Viens
    Apporte le ton brin
    Tu me cueilles la vie
    Et je te remercie
    Vole
    Déploie tes ailes douces
    Ennivre toi le vent
    Délace tes duvets
    Vis

  31. A mon tour de m’envoler vers le Val de Loire pour une quinzaine de jours, vous souhaite de passer de bons moments sur le blog et vous retrouverai à mon retour.
    Belles envolées à vous aussi. A bientôt.

  32. Un message verrouillé
    décide de traverser
    à vol d’oiseau la vie
    et s’accroche à la plume
    pour ne pas se noyer
    dans l’angoisse du passé
    Les colombes sillonnent
    la tendresse posthume
    les jets d’eau des regrets
    et les mots poignardés
    du prince des poètes
    Des mêmes maux qu’on recrée
    le message est tombé
    de sous la plume bleue
    il n’en reste qu’un « why »

  33. Jamais le message ne va assez vite vers son destinataire
    pourtant de cette mission dont il est attributaire
    l’oiseau bienveillant s’en acquitte fort diligemment
    il ne ménage pas sa peine et vole élégamment
    A tire d’aile sans chercher à attirer le prédateur
    il ne bat pas la breloque à lire trop souvent les heures
    son horloge est interne comme sa boussole d’ailleurs
    de jour commme de nuit peut il éviter le tirailleur
    et si il délivre des plis exquis ce qui défroisse
    par certains cols il évite de passer, des porte poisse
    porteurs il est pourtant, de grandes espérances
    et dans son voyage se traduit la douce fragrance
    qui mobilise du lointain certaines exigences
    pas cachetés ni même cachés ces missives
    n’ont pas des obus la forme d’ogives
    oh toi le messager ailé qui nous transporte d’aise
    surtout quand à bon port tu nous délivre du malaise
    soit remercié de tes offices car de confiance tu es digne

  34. Si j’eusse écrit les vers
    En mon coeur abrités
    Comme un précieux message
    Au dessus de la mer
    J’eusse peut-être découvert
    En son âme de poète
    Beaucoup plus tôt peut-être
    Oui bien plus tôt peut-être
    Vers le Nord ses orages
    vers le levant ses yeux
    Le couchant m’eut offert
    Peut être son corps de feu,
    Mais voilà trop mouvant
    Comme ramage de l’oiseau
    Vers le sud m’emporta le destin vers une autre
    En ses métamorphoses la vie fit un festin
    L’enfance et la jeunesse qu’elle bu comme la rosée.

    Est-il au firmament quelque oiseau qui attende
    Que l’Azur se fende et que jaillisse l’Amour
    Je n’ai vu la colombe qu’une fois….envolée
    Mais dussè-je m’envoler en goéland tremblant
    Entre les cieux et la terre cherchant sa silhouette
    Emprunter tous les vers à Goethe ou Aragon
    J’irai où gît mon coeur dans sa mélancolie
    Écrire hors du sépulcre afin que la colombe
    Boive la rosée du Monde pour trouver
    Le chemin……..du coeur.

  35. PIGEON VOYAGEUR

    Fatigué de lutter pour déjouer le vent,
    Le bel oiseau bleuté ne peut plus se défendre
    Et, sur le gazon vert, par moi s’est laissé prendre,
    J’ai lissé son plumage à l’abri de l’auvent…

    J’ai senti, dans ma main, son petit coeur vivant
    Et, j’ai pour l’apaiser d’une caresse tendre
    Consolé cet ami qui semblait me comprendre !
    N’est-il pas de l’Amour, le symbole émouvant ?

    De la fidélité tu demeures le gage,
    Beau pigeon voyageur, j’ai compris ton langage
    Et je sais qui t’envoie… Et je sais d’où tu viens…

    A l’aube, avec regret, trop court fut ton passage !!!
    J’ai largement ouvert la porte de la cage…
    Va poursuivre ton rêve et laisse-moi les miens

    Lucienne GAUDE

  36. Bonjour à tous sous un ciel un peu plus gris qu’hier !

    YYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY

    Un pigeon, qui se promenait un jour
    En Espagne, du côté de Figueres,
    Rencontra un peintre un peu loufoque
    Qui l’embaucha, cela vous interloque !

    « Voilà quelle sera ta quête,
    De Y tu seras mon fournisseur
    Car j’ai un besoin urgent de tuteurs ! »

    Tandis qu’il terminait son œuvre,
    Notre brave pigeon, qui avait fort à faire,
    Lui apporta encore un beau spécimen
    Pour que tout l’édifice parfaitement… se maintienne !

    Et Dali, enfin, termina son autoportrait…

    http://surf4you.free.fr/Images/images%20dali/dali_4.jpg

    Biseeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeee

  37. Le messager n’est rien sans le message et vice versa, cette complémentarité conditionnelle scelle tous les espoirs et toutes les attentes

    Le porteur de missive qu’il soit chevau -légers, missi dominici, porteur de lettres de change, postillon ou facteur n’est pas contre facteur, il a dans son pourpoint, sous son surcot, ou encore son surplis , serré contre son coeur l’âme de son origine, la sentance divine, le vocable qui devine et fidèle il transmet, achemine et remet, en main propre, en tête à tête, en nom personnel les rouleaux, feuillets, attaches et autre graphies patentés, ourlées et poinçonnées
    estampées ou scellées, pour valoir ce que de droit, apporter l’effroi ou bien le réconfort

  38. Le pigeon

    J’ai plus d’un point commun avec tous les amants
    J’entretiens les liaisons et roucoule tendrement
    Entre les hommes l’amour tisse des liens étroits
    Pour édifier ce nid moi je fais la navette

    Alain

  39. La vie
    Tout simplement la vie
    Qui se vole le ciel
    Et dans cette brindille
    La promesse d’un nid
    Pour que des oeufs en corps
    Se posent les duvets
    Chauffés éclatent leurs coques
    Pour s’envoler le monde
    D’envie

  40. Flûte, l’oiseau n’ouvre pas son bec
    et ne délivre pas son doux message
    faut il lui faire entendre le rebec
    pour troubler par les ménestrels
    sa trajectoire digne de pipistrelles
    il a plongé dans des délices tels
    et dans sa vitalité ne regagne le nid
    comme si il s’agissait d’un vulgaire abri
    qu’après de longs vols déployés
    jamais à court de roucoulade
    il ne donne pas dans la reculade
    et ne saurait sa portée dévoyer
    qu’il replie soigneusement ses griffes
    et roule en tous sens de larges yeux
    ce n’est pas du becquet qu’il biffe
    et aimerait tant se retrouver à deux
    encore un effort car le but est proche
    la missions accompplie, las, sans reproche
    de la félicité divine il se rapproche

  41. Superbe composition, un grand bravo.
    Je ne passe pas souvent ici, mais chaque fois, c’est de belles découvertes et de bons moments, merci Ossiane.
    Heureuse semaine

  42. Met sage, brindille ou sucre d’orge, ramage ou plumage
    de ces confiseries qui vous confectionnent un nid…douillet
    de là à patrouiller pour repérer ce qui pourrait servir
    à améliorer ce confort sommaire qui confére aux sommets
    met raffiné délicatement tenu sans coup férir et sans fléchir
    un embranchement qui signe la décision dans la direction
    ou bien la convergence dans une belle action, et – ou
    pas de porte logique comme il n’y a rien de tragique
    à vouloir affronter dans ce destin magique
    les couloirs du temps, la brise dépassée
    envoles moi encore une dernière fois
    je me sens à l’étroit
    donne moi du champs
    et agrandit mes perspectives
    ainsi loin de l’invective
    pourrais je reconstituer
    mon rêve de toujours
    les grands espaces
    pleins de grâce
    qui riment avec amour

  43. Avec ce why,
    le message pourquoi et pour qui,
    jeté à la face du monde
    des questions à foison,
    comme on recherchait la toison
    mais sans plus d’argonautes
    ni de Colchide
    on franchit le col chic
    en connaissant les tics
    ceux des hommes abrités
    aujourd’hui comme hier
    à l’affût des palombes
    passeront elles encore
    si changement de décor
    le climat attise surprises
    et modifie le cours des choses
    le chemin et la rose
    les grandes migrations
    le festin des sans causes

    Merci lou d’avoir ouvert ce why
    là où l’on met ses ouailles 😉

  44. Entre émission et réception…transmission…pas que de pensée…courroie ou cardan…avec frottement…usure…déperdition…rien n’est direct…rien n’ est pur…tout est filtré…tout est philtré…bruité…entrée…sortie…pour qui mouille la feuille…message ressue…et quand on remet ça…resucée, remué…de pleines pages…avec abattage…sans outrage…morcelé…morse celer…drole d’histoire que celle de Samuel Morse…amour et fragilité…destin et santé…éloignement et retard…inconsolable tristesse…inventivité manifeste…prévenir et soutenir

  45. .

    Un petit bonjour pour vous dire que je vous ai lu avec attention et que j’ai beaucoup aimé vos MESSAGES écrits avec la plume légère, le coeur et le talent.
    Un monde fou sur le pont, on dirait que le bateau est au complet comme avant !!! C’est vraiment gentil à vous d’être venus si nombreux pour honorer ce symbole de printemps. Un grand bravo à tous!

    >Un petiti couou à Gwen et pierre b, andrée, amichel, abeille, mathilde, sophie, fred, capahadock

    >hi to Leila, nath, sylvaine et emmanuel

    >Plein de petits nouveaux que j’invite à se joindre à nous!
    Bienvenue à Joseph, miv, σημείο, L’homme aux semelles de vent, tilu, Stéphanie !

    >un petit mot spécial d’amitié et de bon envol à Monique qui retourne dans une région qui lui est très chère. Bonnes vacances!

    >Enfin une grande embrassade aux fidèles poètes qui gardent et remplissent la page blanche de beauté et de rêves quand je m’absente;-)

    A plus tard.

    Ossiane

    .

  46. La mandarine

    La sagesse quand tout meurt voudrait que l’on partage
    Pour que chacun puisse vivre et que tous soient heureux
    Mais les ministres négligent cette sagesse,
    Ils serrent leur or en sacs comme des mandarines
    On ne peut que frémir de tous ces gaspillages
    Les travailleurs ont une sombre destinée.
    Je pense aussi à ceux qui perdent leurs métiers,
    A ceux aussi qui sont envoyés aux combats
    Bien des chagrins divers frappent les misérables !

    Alain

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