Lecture du Haïku Calligramme: haut, gauche, droite, centre
Bougies éteintes
chandelier à sept branches
arbre de lumière
◊ Dans le village de Roussilon en Provence … Clin d’oeil à Bourrache et Annick;-)
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: haut, gauche, droite, centre
Bougies éteintes
chandelier à sept branches
arbre de lumière
◊ Dans le village de Roussilon en Provence … Clin d’oeil à Bourrache et Annick;-)
Magnifique!
Un ciel-océan
En contre-jour un arbre
Pieuvre marine
C’est dans la solitude des silences livides
Que les étoiles dansent comme un frisson d’amant
La nuit c’est une étoile…Le jour une embellie,
Le crépuscule absence et l’eau qui dort silence
Sous les arbres assoupis.
Que court le noir des ombres chassé par nos baisers!
J’ai mis or et pénombres dessous la treille sacrée
J’ai repêché en pluie la goutte au font du puits
Elle criait tant son coeur que je l’ai d’une larme
Remise en mer d’ivresse lascive aux bords des lèvres.
Sur un radeau de vigne la poésie m’entraîne
Là où je l’ai quittée amoureux d’un poème
Amoureux de sa voix que j’ai fuie comme sirène
Que le silence est dur, habillé de son or
Je me ferais oiseau pour que printemps se niche
Au creux du Roussillon, sous une treille vermeille
Je foulerais pieds nus des ronces et des épines
Jusqu’à sentir son coeur affligé de ma peine
Le silence des ruelles,en dit long sur qui peine
A cacher son amour derrière des portes closes
Mon coeur a de la peine qui a écrit cela?
La treille ou la glycine pour pleurer aussi bas
Quel émerveillement! la treille gravée à coeur
Raconte tant ses je t’aime qu’elle fini par renaître
Comme feuillage de la vigne étalée sous mon ciel
A la lumière des lettres perchées sur les ramures.
J’écrirai non et non pour conjurer le sort
Les mots s’envolent en bleus happés par les nuages
Les branches sont en prière que mon coeur ne m’oublie
A la base des sarments, il y a serments des coeurs
Fleurira l’âme pure des branches courtes, sectionnées
Un jour deux promeneurs traversent l’allée de vigne
Un jour la voilà seule en balade à vélo
Elle cueille raisin amer, c’est la saison d’hiver
Palissade de silence, sans ton ombre, brûler
Sans tes mains gobelet de caresses pour mes joues
Que le vin coule à flot, c’est loin de mon regard
Que fleurissent les rameaux sans en porter de fruit.
J’espère que tu vas mieux Annick.A bientôt.Bonne nuit à tous.
Je vais mieux, leila, merci, j ai passé ce jour, au lit, sans température mais encore vacillante,
mais je vais étiendre encore pour me ressourcer encore….
Ils sont beaux tes mots que je relirai demain, encore…merci.
bonne nuit pour chacun, que le sommeil vous apporte force et vitalité.
bougeoir de cette branche
charbon de bois concentré
l’amour est gamay
les mots dans le silence,
le silence des maux.
Les mots qui s’étouffent,
s’envolent sur une branche….de lumière.
as-tu l’aurore en crépuscule de ta flamme?
Cette nuit là tu mis
Comme parure de joie la brise
Autour des ramures.
L’arbre prie le vent de ses multiples mains.
Brisé dans son élan
mur des lamentations
figé dans le silence
serrant les poings.
simple comme bonjour
rime avec toujours
la vie
Noir et squelettique
Les mains tendues vers le ciel
Viril et silencieux
Spectre de l’hiver
Le platane, épaules nues
Présence dans l’azur
Branches déployées
Armature à découvert
Parasol en berne
Sur ses bras musclés
Paysage en noir et blanc
Perchoir des colombes
Personnages étranges
D’un paysage lugubre
L’hiver en Provence
En ombres macabres
Au crépuscule du jour
Présences funèbres
Le souffle de la bise
Doucement se fait tendre
Et rallume les flammes
Du candélabre éteint
Qui se vit tout dedans
Le vois là de lumière
Il brille de son amour
Image belle précieuse
Que le feu sur ses branches
Qui clignote ses rayons
Et en phare éclairé
Donne la direction
Le nom amour si bel
Fatigué semble mort
Il est pourtant vivant
Juste il hiberne encore
Avant son bel printemps
bras ouvert poing sérrés
il affronte résigné l’adversité
le coeur alambiqué
supplique
adressée au ciel,
offre d’un berceau
pour qu’il s’y pose,
comme au creux
de la paume d’une main,
prète à se refermer
Bonjour.Quel talent,renouvelé sans cesse.Je suis obnubilée par les arbres,mais celui-ci est encore différent,avec de nombreux symboles;je n’oublie pas le ciel vers qui se dirigent tous les arbres.Travail remarquable .Je lis aussi avec plaisir les poésies;que de gens sensibles à la Beauté et qui savent si bien le traduire!
Tous les matins une surprise…Merci.
Brigitte.
« Email cliquable »
Sa coupe belle pleine
Il se repose digne
Reprend un souffle jeune
Pour se vivre son printemps
Ses ressources l’épatent
Il remercie la vie
l’air sombre,
les yeux d’un bleu transparent enraciné dans le ciel métalique!
Il se nourit de lumière et s’abreuve de nuages!
sa respiration est lente;
son corps immobile
il revoit ces années d’insouciance;
il repense aux journées sans fin
à ces instants divins ou la mort n’a pas d’existence!
ou le présent semblait interminable;
l’ennui était parfois son compagnon de jeu;
Alors il s’inventait des histoires;
il écrivait des chansons dont il ne reste rien
et chantonnait parfois ses petites compositions!
mais le temps est passée comme une tornade;
emportant dans sa course folle ses rêves;
ne laissant que les ruines du désirs
dévastant d’une rafale des êtres proches;
brisant l’innocence
saccageant les piliers sacré de l’enfance;
il reste là au bord du chemin
le corps droit, l’âme sinueuse
sans remord ni regret;
accompagné de ses lâchetés passé
qui rongent son coeur;
il regarde l’avenir si insaisissable,
comme ce vent qui souffle,si chaud, si doux comme l’étreinte d’une femme
mais parfois si froid si violent comme la lame aiguisée d’une lance!
entre guerre et paix les heures laissent leurs cicatrices indélébiles.
bouge tes froides bougies
laisse de la place aux ortolans
attends le printemps
pour déposer tes oeufs de pâques
soigne le temps qui passe
reniffle les odeurs de l’ocre environnant
passe-moi la colle de terre
la colle au pair
la coléoptère
pour mille lucioles envolées
valider le poing levé
de la révolte en Martinique
les racines ne montent pas jusqu’au septième ciel.
MØGNON TOUT PLEIN
TROP TRØGNON
Qui a soufflé sur ce candélabre
arborant une fiére expression sans exception
Quand de l’arbre monte la séve de vie
et grimpe le long de la méche le combustible
que s’éternisent les dernières volutes convectives
enroulant les turbulences qui s’élancent
alors de la large ramure épanouie
monte dans le froid silence
la trace étourdie du feu sacré
gardien de la mémoire
autel de l’espoir
Sur le texte « Treille »
Annick
merci de me dire le dernier mot: Sacrée
Tu sais que j’aime te lire.
Ce que tu as écrit sur Treille est magnifique!
Bisous
Thierry.
Sera-t-elle sucrée?
Ou l’âge l’a fait acide?
Bisous
Bonsoir tout le monde !
Coupe…
Pour pouvoir boire
Et trinquer ensemble
Une seule solution :
Il nous faut chacune….
Une coupe !
Voici la noire sur fond bleu…
Ossiane aime bien le bleu !
J’en ai une noire sur fond rouge !
Je dois bien aimer le rouge !
J’ai commandé un soleil levant…
Pour rallumer les bougies de la nuit !
Nous trinquerons donc…
A la lueur des bougies !
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http://2.bp.blogspot.com/_30E2V-5E6Nc/SaWV4SddsfI/AAAAAAAACh4/-wIid37Vk1U/s1600-h/P1190281+copie+copie.jpg
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Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees enflamméeeeeeeeeeees
toi seule peut me dire
ton silence est une torture
au bout des moignons
http://www.youtube.com/watch?v=fFYMhDytjYM
J’avais loupé ton clin d’oeil, Ossiane,
j’espère que tu vas bien,
je te remercie et t’embrasse.
Merci Leila, je vais mieux tout doux tout doux,
Neyde, je vais me relire sur treille, merci pour tes mots.
Découpons l’arbre
Avec les ciseaux de nos yeux
Et déchiffrons l’énigme
Du haut de notre âme
Un arbre de lumière,
Un candélabre de vie
S’élance vers le ciel
Bien sur qu’il rigole
Car le ciel est si bas
En cet hiver si long
Qu’il peut sans effort
Atteindre les nuages
Un voile sur le corps nu des Elfes
A la rencontre des anges
Dans l’intime saison hivernale
Un échange entre deux mondes
Dans l’arbre de la connaissance
Où chaque branche pose ses lèvres
A la coupe du savoir et de l’amour
Je suis émerveillée lorsque je regarde ces arbres majestueux et pour certains gigantesques, devant une telle force de vie intérieure, dans ce bois qui dort, sous une allure de squelette et figure de mort, c’est la vie qui sommeille Une foule de petites feuilles et de branches à profusion viendront naître sur ces cimes au nouveau printemps, renouvellement de la toison et de l’écorce qui en a fait le symbole de régénération dans la mythologie grecque (il y a plus de 2OO platanes dans mon village, j’ai de quoi m’émerveiller encore longtemps !)
!!!!!!Mais hélas il paraît que les platanes sont devenus agressifs envers les automobilistes, alors sur certaines routes de Provence, on a condamné à mort ces centenaires « agressifs »!!!!!!;-)
Le ciel se pose
Au dessus de l’arbre
Fort tendrement
Ils font l’amour
Même en hiver
C’est leur printemps
la lumière
joue
sa flamme
dans les branches
des chandeliers
croisé le grand renne
sur la boulevard salut
je glisse sourire
–
Clin d’oeil Ossiane et sourire à tous
–
et le hasard….CLIN D’OEIL, Bourrache! sourire!
je venais poser quelques mots….
Je te regarde bel arbre
Et je t’attends ta vie de toi
Tout noir d’hiver
En crêpe de deuil
Je te rêve de ton Printemps
Je t’aime tant quand tes bourgeons
Lorsque ta sève me chuchote
Des mots d’amour encore en corps
Et déjà je te vois tout de feuilles
Si vert de bel mon arbre
Tu es magique de renaître
Et me revivre sans cesse
Je t’aime mon bel
Vis pour moi encore fort longtemps
Tu me fais vivre tellement
Belle journée pour chacun, bonjour Ossiane, belle santé pour chacun.
Un chandelier
Mon chandelier
Tu m’aimes noir
Et même blanc
Tu es lumière
Dans le plus noir
Le tamisé de la lumière
La vie dedans
Qui porte tant
Je te regarde bel arbre (dixit Annick)
La vie en tes bourgeons
Se déploie et se tord
A sortir de l’hiver
Le deuil n’est que pensées
Les pensées sont AMOUR
Qui éclot aux beaux jours
Du printemps qui chuchote
Pétales en vos menottes
Enfants de cohérence
Co-errance corps cœur et esprit
De doux hasard.
Bon là…ça part en vrille dans l’imaginaire…)
ce n’est pas l’aumône
mais une supplique fait au ciel
dans le mutisme de l’hiver
—–
c’est une offrande
à la lumière divine
source invisible de vie
—-
l’arbre tortueux
rêve d’un amour libéré
à l’aube du printemps
Tendu vers le ciel
Offert de tout son être
L’arbre s’offre son calice
A recueillir le temps
Dans ses saisons aimés
Plus ou moins
C’est selon
et te lire me fait sourire, leila…
C’est bien aussi de partir en vrille, cela permet de tourbillonner avec la bise du vent….
merci bien de lire aiméEs…ailleailleailledemoi!
J’ai offert le dernier poème au vent qui passe Annick.Je tourbillonne dans sa danse émue.Il m’emporte sur le chemin de la destinée.
Les violons vont rallumer les lumières des sept branches éclairées de bonté, de douceur, de joie pour tous.Tu viens danser si tu vas mieux?
http://www.youtube.com/watch?v=JAvH88zFJP0
amour sans feuillage
Langage de vent et de coeur
le printemps murmure
Il n’y a que des squelettes dépouillés, humiliés, réduits à une nudité totale. Dans cette nudité où s’effacent les distinctions de couleur, de coutumes et de race, cette seule et unique vérité de l’Homme éclate au grand jour: il n’y a pas des espèces humaines, il y a une espèce humaine.
Robert Antelme
attirance vertigineuse
des ailes des arbres
fuites des flammèches d’azur
sur les doutes
de l’histoire :
« »chandelier à sept branches
arbre de lumière » »
Coupe bien rase… qui ratiboise…pas de teinture… juste le contre jour… qui abat …et ces surgeons… qui pointent fiérement…dans cette arase… qui met tout au même niveau…on ne cotoie pas… le caniveau
Coupe de partage…qui égalise et régale…soigne la vue…porte le jour
Coucou du soir
En direct sur le blog…
J’avais écris quelques divagations
Autour du chandelier
Des feuilles pas encore poussées
Et du printemps qui allait bientôt arriver !
Et des 18° annoncés !
Et puis soudain, le doigt a dérapé :
Pfffft !
Disparu le texte….
Je n’arrive plus à le retrouver !
Bien fait pour moi
J’aurais dû l’écrire sur mon traitement de texte AVANT !
Snif !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees du soir !
MERCI duboisaymé, j’aime cette phrase, que je cite:
« il n’y a pas des espèces humaines, il y a une espèce humaine. »
et j’ajoute:
« et celui qui pense qu’il y a des espèces humaines, ne fait pas partie de l’espèce humaine, mais d’un je ne sais quoi! »
Nath, il est beau ce passage, quand le petit garçon serre bien fort de fort, le cou du cheval en nuages, et que tous les deux, ils se partent, vers eux, pour eux, à se vivre tous gais, d’amour bel…
leila, peux tu me traduire: »BEI MIR BIST DU SCHEYN », j ai peur de mal traduire…
mmmhhh, cela va mieux, alors je me suis laissée tenter,
c’est si magique de voir les mains des musiciens se vivre, et sa voix se danser et leurs ballets en âmes se fusionner…MERCI
Alors comme il y a personne,
je me sers une coupe,
avec des bulles,
bien belle bien gaie,
pleine à raz bord,
de bel de tendre de fou de chaud,
et doucement,
perle après perle,
je la déguste,
du bout des lèvres,
le liquide veine de belles ondes,
si pleines d’espoirs, de force,
d’amour,
la coupe est vide,
elle est posée,
juste la cerise,
elle est restée,
alors le doigt,
ce doux gourmand,
se plonge une brasse,
et la croquine.
amaretto, ou amarré tôt,
quand le cocktail est détonnant
on se laisse vite aller au file de l’onde
Ma chère Annick, je ne sais pas ce que signifie « BEI MIR BIST DU SCHEYN »j’avais noté le nom de la chanteuse en écoutant FranceCulture dans ma titine un matin et j’ai trouvé ce morceau génial et je l’ai cherché sur You tube voili-Voilou.)
alors, peut être que quelqu un sait pour nous, hein, leila?!
Voici ma p’tite histoire du soir.
Peau d’âme
Il était une fois dans une contrée lointaine, un chevalier qui vivait avec pour tout trésor la beauté de son cœur.Il croisa sur son chemin de vie une femme en haillons, un fagot de bois sur le dos.Où allez-vous jeune fille ainsi alourdie?
-Je m’en vais poser les branches au pied de la colline des sages.Il paraît qu’en enflammant branchages en sept tas autour du fleuve, il sortira herbe fertile sur les berges des hommes qui pleurent de souffrir de la misère.
La femme poursuivit son chemin, le chevalier guetta de loin, le rituel des brindilles en feu, il ne devait plus oublier ce visage, presque familier.Comment t’appelles-tu, lui cria-til sur son fier destrier?
Sans interrompre sa besogne, la femme répondit presque en chantonnant
-Peau d’Âmmmmmmmmmmmmmme.
De retour chez lui, quelle ne fut sa surprise de trouver la vigne en bourgeons.Tous les ceps, sans exception avaient curieusement sept bras comme chandelier de lumière.Il repensa à « Peau d’âme ».-« Demain je retournerai au fleuve.Elle y sera peut être… »
…la suite….bein une autre fois peut être
–
http://www.netlexfrance.info/2007/11/30/the-andrews-sisters/
« Pour moi, tu es belle… »
(ou superbe ou magnifique ou…)
Clin d’oeil !
–
j’ai bien fait de repasser, le jeunehomme venant de se coucher,
voici que la clé est! de bei mir bist du sch’oe’n…kékasstêtenpétardsà frisettes!
m’zi, Bourrache, et je souris, et je souris, ma forme est là, et coquillette comme c’est bon d’avoir des ailes…
Mmmh, il est beau ton conte, leila, avant de faire dodo..
Et il suffit d’un rien
D’un moins que rien de rien
Juste un souffle de toi
Et l’arbre s’illumine
Armé de patience
Le photographe a, des ombres,
Clichés à trier.
L’ombre des cavaliers
Au manège des silhouettes
Gracieuses amazones.
Une chorégraphie
L’ombre d’une danseuse en tutu
Lumière tamisée.
L’ombre de l’arbre en fleurs
Dans la prairie verdoyante
Fleurs de graminées.
L’ombre d’une treille vermeille
Vigne des voisins de paliers
Croquée en passant.
Fixer l’éphémère
L’ombre d’un arbrisseau qui pleure
Le ciel qui se couvre
Le ciel qui flamboie
Des rêveries de poètes
Miroitant sur l’eau
L’objet immobile
La course des coeurs qui dansent
Au fil des baisers
Tout enfant du Monde
Sourire du petit farceur
Heureux d’un bonbon
Le grain du désert
La goutte qui roule sur la peau
Le coeur estival
Dans L’ombre de nos doutes
Que de photos envolées
Au fond des corbeilles
Un regard porté
Par la grâce d’un bref instant
Communion de vie
Haïkus et photos
Dans la communion des coeurs
Un Oeil Ouvert.
Un clin d’oeil pour ton travail Ossiane.
Merci Bourrache, je dors moins bête ce soir.)Bonne nuit à tous.
Jolis rêves de bel printemps, de pétales si doux, de caresses du vent, de gazon frais et tendre, de petites feuilles sur l’arbre, et son ombre qui grandit et voile la lumière pour tamiser le sol d’un auréole d’étoiles…
Hello !
Un p’tit clin d’oeil du matin…
De l’amazoneeeeee
Sortant de l’ombre de la nuit
Pour Leïla !!!!!
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeees matinaleeeeeeeeeeeeeeees
main fermée sur un lit d’hôpital
main décharnée ouverte vers quel ciel?
au bout de chacun de tes doigts d’où s’en va la vie, s’allume la flamme d’un souvenir. s’égrenne le passé
.
Coucou, je remonte peu à peu le fil de vos écrits et remonte progressivement à la surface. Un peu plus de temps en cette fin de semaine. Je suis très touchée de votre patience et de votre gentillesse à toute épreuve;-) Toujours aussi impressionnée par ce que vous parvenez à donner car je ne vous ménage pas vraiment en ce moment;-)
Clin d’oeil à Sophie, véronique, oudinet, abeille, sans oublier bien sûr mes fidèles compagnons de voyage.
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Bises
Ossiane
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