Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Sous les saules
au fil de l’émeraude
un prélude
♥ Je ramasse les derniers Coups de Coeur Photo et Calligramme de l’année 2008, dimanche 21 décembre au matin. (référez-vous à la note “Coups de Coeur” pour avoir les modalités pour participer).
Quand vous choisissez votre CALLIGRAMME PRÉFÉRÉ, il faut tenir compte non seulement du HAïKU mais aussi de l’IMAGE sur laquelle les mots sont intégrés. Pour moi, le calligramme est un tout. Si certains d’entre vous l’ont choisi en ne faisant attention qu’au texte et qu’ils veuelent changer leur choix, il est possible de me proposer autre chose jusqu’au 21 décembre au matin.
Aidez-vous de L’Album pour vous plonger dans les images à partir de la note Caravane de l’an 03. Tout le monde est invité à participer, qu’on soit poète ou simple passant, visiteur volubile ou silencieux …
Ce chemin est si tendre
Et j’ai besoin de chaud
Alors tu prends ma main
Et je me blottis douce
Dans l’être ensemble
De nos deux solitudes
immobilité
par la main courante, agi
penche-toi et te vois
Un saule pleureur
Tout au bord de sa peine
Se nage dans son lac
Tout de sel tendre bel
La barque le recueille
Et l’emmène plus loin
Se sécher ventiler
Sur un petit chemin
Plein d’amour de noisettes
doux cheminement
feuillages écarquillés
la barque s’incruste
Renoir, père et fils
au déjeuner sur l’herbe
passe l’Atalante
Je m’envole demain pour le Mali, retour sur ce continent africain si cher pour moi…
J’emporte avec moi toute cette verdure et vous reviendrai dans deux semaines avec… plein de choses dans les yeux, dans le coeur et dans la tête!
Bonnes et chaleureuses fêtes à tous et toutes, et… au gui l’an 9!
Je vous embrasse FORT.
Qu’il serait doux d’être un joyau
Au cœur d’un écrin de nature et de lumière.
Humbles et prétentieux baignés du même reflet
Riches et pauvres sertis d’une rivière d’émeraude.
Un bain de chlorophylle au cœur de l’hiver…
Merci Ossiane.
Vert sur vert
un vertige de ciel
et d’abandon
Magnifique Ossiane, merci et belle journée à tous
un ruisseau d’émeraude et de lumière
berce langoureusement ma tanière
écrin de l’eau de là pour partir ailleurs
c’est beau tout simplement
Bourrache merci pour tes mots offerts …
Les copies ramassées
nous irons
tous en barque
au fil de l’eau
nous promener.
Suivant le lé
à l’ombre de la saulaie
par la main t’entrainerais
sous les ombrages frais
la rampe descendrais
la barque prendrais
et vers toi ramerais
de tes pensées
suivant le lé
Ça me rappelle une plaisanterie qui m’avait fait bien rire.
A une époque ou je traînais sur les sites de rencontre, une annonce m’avait interpellée. Une jeune femme écrivait qu’elle était une perle qui cherchait son écrin. Je lui avais répondu que c’était sûrement moi puisqu’on me disait tout le temps que « j’écrin un max ». Ben elle n’a pas donné suite. Etonnant non ?
Chez moi la rivière est sauvage
Elle apparait et disparait
Sur ses berges un chemin apparait
Mais pas d’herbes seulement des rochers
Seul des pins donnent du vert au paysage
J’ai connu les bords de Marne, de Moselle,
Les jours d’été, dont la douceur et la couleur,
Lors de promenades, m’ensorcelle
Comme ces photos pleines de douceurs
Ombrage de mes vers sur l’eau de ta vie
Pleure l’eau de maux mais le poète amer
Crie Va-t-en à l’amant né de sa lumière.
S’en va au ruisseau mon chapelet de vers,
L’amont est mer d’amour, tes bras écrin, une voix
Pour mon cœur Orient de croix-lunes
Arabesques à la croisée des lys
Étale de fleurs au cœur.
La branche tourmentée
Nue, elle brave le vent d’hiver
A l’arbre, suspendue.
Trois pommes d’or sucrées
Une flèche, Coeur d’amour guéri,
Étreinte de la Nuit.
Ah! Pour quel chagrin l’arbre
Replié sur ses années
Pleure-t-il en saule triste?
Ah! pensées de lune sur ma main
Les ombres sont des dais
Le cœur y grave les troncs
Les feuilles verdissent la terre
Sienne, mienne et tout est leurre
Tout est leurre.
Elle est verte cette page en images, Ossiane, et elle ventile,
et je vous lis paisiblement vos vers et vos écrits,
merci à chacun.
La barque balance à peine, sous la brume du canal
Ses bords n’ont plus de rames, et son amarre vieillit
Plus de pêcheur pressé, pour mettre son fond à flot
Mélancoliques ses planches, mouillées contre la berge
Flottent dans les lentilles d’eau, et les buissons saluent
De leurs herbes qui plient, les éternels dimanches
De la barque endormie, avec tous ses secrets.Son sommeil est à peine, troublé par quelques ondes
Formées par les poules d’eau, ou les canards colverts
Glissant vers l’ombre des saules, dans une tranquille langueur.
Un promeneur assis, sourit les yeux ailleurs
Avait un doux regard vers la Lune son amie
Une Lune en plein matin, c’était une aube nouvelle
Le Soleil et la Nuit, La Lune et le Matin
Broderies de poèmes à la plume d’un saule triste
Qui traçait ronds dans l’eau
A l’encre des abysses
Broderies de poèmes
Pour un petit lutin.
C’est très beau..et le calligramme est raffiné..Merci, Ossiane!
Féérie en vert
Un collier d’émeraude
Verse ses perles
Symphonie en vert
A la dérive des sens
Prologue d’amour
Belle journée…dans le pré…
Dans l’une
i vert
des mots
où la lune
s’est perdue
le soleil
sans i sue
tombe
sur le chemin
une feuille de plus
Comme ta barque Leila, je m’en vais rejoindre mon lit !
Bonne journée au capitaine et à l’équipage.
❊❊❊❊❊❊❊ ✞ ☾
Aux doux accords majeurs
Le soleil et le vert
Aux oiseaux enchanteurs
Improvisant mes vers
Sous des mots aussi ronds
Qu’un ventre portant la v❦ie.
❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊ ✞ ☾
A la sensible amie
Croisée dans vos âmes tristes
Le lac est un clavecin
Où se déroulent mes notes
Gouttes de douceur, caresse de peau
Sourire de ma tendresse diffuse.
❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊
Avant la fugue de mes mots
Ils se poseront sur ta peau
Les soulèvera le feuillage
D’un saule pleureuse à l’Oeil Ouvert
A l’oeil Avent, calendrier de tendresse, et de corps absent.
❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊ ✞ ☾
Aux doux accords majeurs
Le soleil et le vert
L’émeraude fragile
Sous le magma des routes
Ton regard une lumière
Ma lumière poésie
A l’étang des balades éternelles.
❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊❊ ✞ ☾
c’est magnifique, Leila, si beau…
quel joli écrin de verdure…
Le peintre tout ému
Devant ce bel devant
Ce saule et tous ses verts
Reste perplexe un temps
Devant sa toile blanche
Son tabouret à pieds
S’écrase sous sa pensée
Puis il se penche un peu
Pose palette pinceaux
Et de ses doigts aimants
Ramasse son appareil
Pour le saisir vivant
Son instant Ô le temps
Et saisi par sa prise
Qu’il regarde en viseur
S’allonge la tendre herbe
Et le vit dans son coeur
Son moment tout de grand
Il collera magique
Sa photo sur la toile
Et vivra son écrin
Tout de bel son instant
Un Aujourd’hui vivant
Sousle
Souslessaul
SouslessaulesSou
SouslessaulesSouslessaules
SouslessaulesSouslessaulesSousle
SouslessaulesSouslessaulesSouslessaulesSousl
SouslessaulesSouslessaulesSouslessaulesSouslessaul
SouslessaulesSouslessaulesSouslessaulesSousle
SouslessaulesSouslessaulesSouslessaules
SouslessaulesSouslessaules Sous
SouslessaulesSouslessaules
au
fil
de
l’émeraudel’émeraudel’émeraudel’émeraude
u
n
p
r
é
l
u
d
e
…………………………………….
non pas un sapin
mais c’est bien un saule pleureur
qu’ici on effeuille
…………………………………….
andrée wizem
senteur du sentier
sol planté de saules pleureurs
l’émeraude s’érode
Leila ton texte m’inspire ceci
sous un ciel de lumière
en atteignant cette pièce d’eau,
arpège de verdure,
le vent bercé d’harmonie
sur les berges si calme
S’est assoupi!
le temps d’une fugue,
dans cet écrin fragile et translucide
qui paraît refléter l’éternité,
Tout n’est que grâce et félicité !
nos corps en contrepoints
S’imitent et s’improvisent !
S’apprivoisent !
ce n’est pas une fantaisie
plutôt une tentative d’alliance
une offrande à l’amour
lèvre contre lèvre…
peau contre peau…
chair contre chair…
un sacrifice au parfum musqué
dans le bouillonnement des sens
à fleur de sang
dans les flammes du désir…
rite pour un voyage initiatique
Vers l’eau delà !
Au-delà des mots …
Au-delà des silences…
Au-delà du temps…
une œuvre titanesque que l’on appelle amour
un canon à jamais inachevée…
un écrin géant
phillips toshiba ou sharp
pour cœur d’émeraude
Beau chemin
Plein de vert
Plein de paix
parmi les arbres
sous les branches
à côté de la rivière
que coule silencieuse
Beau chemin
Où nous emmene-t-il?
Au futur avec espoir
à l’inconnu avec peur
Si charmant
si doux
si misterieux
Beau chemin
ils nous attire
à son écrin
Viens, mon amour,
il faut découvrir le secret
main dans la main,
le coeur apaisé
marcher toujours avant
jusque au bout
du beau chemin
Pas de crin sans verdure
pas d’archet sans musique
pas de reflets sans eau
joailler des saules
taille mes larmes en forme d’écrin
pour leur mis au vert
ECRIN
Boîte précieuse qui cache un trésor….
EMERAUDE où saphir au bout du chemin creux
Au fIL du temps ,PRELUDE aux aveux
Resteront -ils au Fil de l’eau ?
Pas de reflets sans eau dit Thierry
Pas d’amour sans espérance
Pas de symphonie sans arpège
Pas d’images sans imagination!!!
Et SAULE ?? suite du petit écrit….
En plagiant Bonbonze
Filets de sôles meunière je te dévorerai
sol la si do
Il est venu vers elle
Ce lui qu’elle attendait
Son coeur palpite si fort
Quand elle pense à lui
Et elle serre son doux rêve
De se donner d’aimer
De belles chairs de vie
Thomson,
un écrin j’ai un
deux daims des préludes
musique aux bois un saule
http://www.deezer.com/#music/result/all/bords%20de%20Marne
bonsoir Lou y es-tu?
n’ai crainte de l’écrin
ni du crincrin des préludes
au violon de saule
Hey Thomson
Oui chui là
et je n’ écrinte 😉
joli morceau que celui proposé par Javajavatipas
pour arletteart à l’alerte art
au bout du chemin
les aveux du saule en larme
Pas de deux sans pas
Pas de filets sans eau
Pas d’humour sans épée rance
Pas de sainte folie sans nadège
Pas de marges sans pagination!!!
C’est le temps d’hier…mais pas celui de l’hiver….C’est le temps des lumières d’un vert que l’on serre et de mots couverts que l’on glisse un par un dans le fil de l’air…C’est un chemin de terre qui se perd dans l’ombre d’un écrin de vert et qui se reflète dans l’eau d’un miroir de verre…C’est une mer inventée dans un ciel étoilé que l’on trouve sous les larmes d’un saule…C’est le murmure des mots et l’étrange aventure d’une histoire d’un soir que l’on borde tendrement…C’est un cours d’eau que l’on récite par coeur et qu’on oublie aussitôt…C’est la paresse d’une caresse qui s’endort sur un visage et qui perd l’équilibre…C’est un prélude…
Aime l’eau des mots nouveaux
des cayelles* en la rousses
et des sol de verdure
une danse des barques
et l’air s’en va chantant
en chemin des mentaux*
*mot appris dans le dico de l’oeil ouvert
*des mots un peu nut case (comme moi quoi !)
ça fait du bien les mots qui rient, se délient…
Z’êtes tous très … « bons » …
_
Y’a des « putain de camion »
et
des putains de dates sur un calendrier.
Aujourd’hui, je fête mon … naufrage.
http://fr.youtube.com/watch?v=3a_fU8m1lS0&feature=related
_
Demain est un autre jour…
Biz à tous.
_
Dans cet écrin de verdure, au bout du chemin, le prince charmant, Mesdames, nous y attend peut-être….
bon week-end.
émelodé monou vo
déca iél enlarou ce
édesse olde vérde ure
uneden ce débar ke
élére sanvachen tan
enche mindé mento
je ne trouve pas tes mots nut case
Coucou à l’équipage !
Vite, vite, vite, vite !
Une boué de sauvetage !
Pour Bourrache
Qui est prête à couler
Dans le vert de l’émeraude
Et trois écrins de nature verte
______
http://relief-diddl.site.voila.fr/images/43.jpg
______
Biseeeeeeeeeeeeees de seeeeeeecours !
Dans un ECRIN de verdure
Reflets insondables,
Presque indéfinissables
D’une saveur menthe à l’eau
C’est frais !
C’est bon !
Biseeeeeeeeeees à la mentheeeeeeeeeeeee
Mélancolie du saule pleureur
Espérance de la rivière
Il viendrait par le chemin
Se pencherait doucement
La barque serait leur lieu de rencontre
Prélude d’une aventure
Ce bord de Marne, comme un écrin
D’un amour naissant
SEQUENCE…. PUB !
Vous pouvez baisser le son,
aller finir votre déjeuner,
passer aux toilettes,
enfin bref,
faire tout ce que vous aviez oublié de faire !
Mais là, ce vert, ce vert, ce vert…..
ça m’a tout de suite fait penser à :
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http://www.dailymotion.com/video/xtdra_pub-hollywood_ads
_____
Rebiseeeeeeeeeeees
cri de lumière
jouant sur le jeu des verts,
suivre la rampe,
descendre le retrouver
dans la très lente
dérive d’émeraude
Thomson
il me faut mon la roux multilingue pour retraduire ton texte. Je m’y emploie ce soir!
En attendant je plonge au secours de Bourrache et , avec un hollywood chewing gum dans la bouche Christineeeeee on se boira ptêt un vert Bourrache et moi , ou alors la tasse !
bise de mon matin gris bien busy mais joyeux !
_
http://fr.youtube.com/watch?v=jEOkxRLzBf0&feature=related
_
http://www.youtube.com/watch?v=9Qmqtbuy9hs
A peine…
Effleurée!
La main comme un prélude…
Joue sans fin,
bords de larmes.
Dit le chant velouté appris sans se presser,
Se pose au puits géant,
et voyage à l’envers
des mondes ordinaires.
Laisse aller ,
l’étrangère,
vers les désirs teintés
d’effusions opalines.
S’écoule au fond de soi
par des chemins légers.
Sans cesse elle s’étonne
d’escales minuscules
où la barque l’attend.
Se reprend à marcher
de pas imaginés,
docile sortilège.
A la lice
la main
soudain s’est arrêtée.
bourrache …
http://www.velo-electrique.com/Images/chat.jpg
Elle serre son doux rêve
Au seuil d’un étang de vers
Larmes d’un saule qui chante:
أقبل الليل يا حبيبي وناداني حنيني
وسرت ذكراك طيفاً هام في بحر ظنوني
ينشر الماضي ظلالاً كان أُنساً وجمالا
فإذا قلبي يشتاق إلى عهد شجوني
وإذا دمعي ينهل على رجع أنيني
يا هدى الحيران … في ليل الضنى
أين أنت الآن … بل أين أنا
أنا قلبٌ خفاق في دنيا الأشواق
أنا روح هيمان في وادي الأشجان
تاه فكري بين أوهامي وأطياف المنى
لست أدري يا حبيبي من أنا أين أنا
C’est le large..et le vent…et les fous de bassan..c’est le vent qui rend fou…et ce blanc sur les vagues…C’est un cri de lumière…sur une mer de velours…des reflets d’argent…et des larmes de sang…C’est le temps qu’on entend…et qui coule dedans…pour une chute en avant…et demain que l’on croise…C’est une rive de trop…sur un toit de misaine…pour une voile qui s’envole…et un banc de poison…Ce sont les fous qui font le vent…
_
main gauche, main droite … qu’importe !
http://fr.youtube.com/watch?v=rYykewAamN4&feature=related
Une main.
_
La barque dérive
Infiniment lentement
Et suit le cours de l’onde
Dans son écrin, un duo d’amoureux
Joue sans fin, le prélude
Du partage de secrets précieux
De leur passion Emeraude
Elle serre son doux rêve
Au seuil d’un étang de vers
Larmes d’un saule qui chante:
أقبل الليل يا حبيبي وناداني حنيني
وسرت ذكراك طيفاً هام في بحر ظنوني
ينشر الماضي ظلالاً كان أُنساً وجمالا
فإذا قلبي يشتاق إلى عهد شجوني
وإذا دمعي ينهل على رجع أنيني
يا هدى الحيران … في ليل الضنى
أين أنت الآن … بل أين أنا
أنا قلبٌ خفاق في دنيا الأشواق
أنا روح هيمان في وادي الأشجان
تاه فكري بين أوهامي وأطياف المنى
لست أدري يا حبيبي من أنا أين أنا
Oum Kalthoum
Traduction:
Ô mon amour, vint la Nuit
L’écho de ma tendresse
Ton souvenir devint une ombre de mes doutes
Le passé étend ses voiles d’intimité et de beauté
Alors que mon coeur se languit, se rappelle ses chagrins
Que mes larmes s’épandent sur le retour du temps
Ô voie de l’amoureux qui doute…dans la Nuit des langueurs
Où es-tu à présent?…Plutôt où suis-je?
Je suis un coeur qui bat
Dans un monde de désir
Je suis une âme errante au ruisseau des chagrins
Mon esprit s’est perdu entre mes souhaits et doutes
Je ne sais mon Amour, qui je suis, où je suis.
_
http://fr.youtube.com/watch?v=0emXuhPTWUM&feature=related
_
J’en sais rien…qu’importe…donne moi la main…C’est la ville et le temps…un jardin suspendu…et des mots que l’on porte…contre coeur…contre soi…C’est une lettre que l’on glisse dans une poche..sous un toit…C’est une île sur la glace…et la terre qu’on enlace….ronde et brune et qui fond…J’en sais rien…on s’en va …loin de tout..proche de rien….mais surtout…ne dit rien…
_
http://fr.youtube.com/watch?v=zqnXNdNjuzY&feature=related
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Que je sais…que je tais…N’emporte le vent que pissenlits de vers sombres et de poésies…c’est l’étang au bord de mon souffle…c’est le temps des corps qui se roulent…dans la tendresse de leurs baisers…jardin de cliquetis heureux…maux que l’on porte à étouffer…mots dont on s’abreuve assoiffé…la lettre écrite en vers de lune..je l’ai plaquée dans ses pensées…Regard de vers et d’analyse…coeur qui s’éprend…coeur qu’on reprise…Je sais, je sais, j’ai oublié d’être bête…Loin de toi…mon coeur à la fête des écrins pleureurs.Ne dis rien et tais ton bonheur…Je le transcrirai en vers doux et comme transi amoureux fou…ta plume tracera des ronds dans l’eau de…VIE.
Hello Painlevé
Serait -tu l’ami de bonbonze et ses tours de mots ?
« alerte « bien trouvé l’art est en danger parfois , ilvaut mieux en sourire !!!
et pour reprendre une lecture passée « je viens d’inventer le stylo qui n’écrit pas pour les auteurs qui n’ont pas d’idées » ah! plus d’idées en ce doux soir
_
http://fr.youtube.com/watch?v=9hIoxrzOpQg&feature=related
_
« Ce sont les fous qui font le vent »..et Johal sur une vague…sur la rive d’un passant…qui s’envole en rêvant…Dans ses mains une ride…ou un fil d’argent…un sourire de fille…une histoire d’enfant…Il était une fois…dans le creux de la mer…un bateau de rivière et la scène devant…le spectacle était clair et le soleil d’argent…Peu de monde sur la terre..juste un arbre dans l’air…et ces feuilles qui se froissent…et cette encre dans un verre…Un oiseau et sa plume…pour des mots qui se croisent..du dédain sur leurs lèvres…Le spectacle ils l’ont vu..c’est un conte ordinaire…une histoire de coeur…la tendresse sur la peau…et une robe qui s’envole… »Ce sont les fous qui font le vent…. »
Demain..je vais voir Cabrel au Casino de Paris…pour un jeu ..pour un mot…pour des fruits qui balancent…pour la tendresse qui glisse le long d’une échelle..pour le plaisir…
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http://fr.youtube.com/watch?v=TdRZL_Q3ujs
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Si proche de l’eau claire
Caresse de mes baisers doux
Tressaillement d’ombres.
La graine en coton
Dans un écrin d’amour tendre
Le regard qui tue.
Mon amour d’eau claire
Danse mon prince entomophile
Cœur et corps absent.
Friches de tes pensées
Moi Lune et plume de paon
Toi saule éploré.
Tresserais ton coeur
De rameaux verts toute la nuit
Mes caresses murmurent.
Écorce de saule triste
Coulure de mots, chapelets
A la Reine des bois.
Aux maux salicyline
Lenticelle, je grave ton nom
Sur les berges des cils.
Au bois immobile
Couchée sans rames sur mon île
La musique des sens.
Au reflet qui cherche
De la place dans mes yeux sombres
Une surface tranquille.
le saule sous vert file
ses grands gestes de silence
chant levé des pas
quand l’écrin ouvert
croise le fer avec la nuit
au cœur d’émeraude
Quelles jolies nuances de vert ! Ravissant. Je me fais discrète en ce moment, mais vraiment très fatiguée, j’espère revenir en forme à la « rentrée » ! Bon we Ossiane 🙂
les larmes se chevauchent
au fil des ruissèlements
éclairant la faille
Ce sont les fous qui font le vent?
C’est le vent qui souffle la folie…sur la vague des amants unis…qui coulent dans l’océan d’amour…C’est l’oiseau qui pépie l’ hiver…avant d’aimer…avoir souffert…Il était une fée sans baguette…sa joie caresses et airs de fête…Ses mots magie sans sable d’or…marchand de nuages…corps à corps…coeur à coeur et une mise à mort.La vie froissée, la neige pressée d’ensevelir les pas, ces traces, entre ma vie et ses pensées.
Ce sont les fous qui font le vent et la raison que l’on blesse…c’est un écran que l’on brise pour des mots qui s’envolent…C’est Alix dans le sud et Bourrache sur une aile…c’est l’empreinte de toi sur la joue de tant d’autres..c’est Johal dans le soir et l’espoir à demeure…c’est un coeur de couleur et du rouge sur les lèvres…C’est une adresse dans le vent et des lettres qui se perdent………..
Une fée règne sur l’onde
Sa demeure est au fond des eaux
Elle émerge parfois…
Secoue ses ailes d’émeraude
Et irise la surface de l’eau
_
Dans la pupille d’un Oeil Ouvert, des coeurs qui battent.
Une table est offerte pour une partie de ping-pong.
A plusieurs balles, plusieurs raquettes.
Suis-je dans les gradins
A ne pas applaudir
Cette partie qui se joue
A ne rien gagner
A ne rien perdre
Ou … son contraire ?
Je suis la barque
Sur l’émeraude
En vers verts
Je n’ai jamais vu une barque
Dans un jardin
C’est là, mon rêve
Et mon chagrin.
_
Un baiser tout doux
Douceur, rayon de soleil
Caresse dans le cou.
Les yeux qui pétillent
Soleil, la neige sur tes traces
Des pas vers l’Amour.
Ta peau, frôlement
Un râle de plaisir, bonheur
Sous un saule pleureur.
Amie un coeur mort
Prélude au chant de l’azur
Ami, un coeur d’or.
Feuilles de saule pleureur
Un vers de feuillage écrit
Sur la berge d’Amour.
Le poète a dit
Vis, Vis, Vis, Vis Vis, souris
Je souris rêveuse.
Prélude en mesure
Coeur, corps, esprit, émeraude
Fusion des étoiles.
Pour Bourrache
C’est chanté par Annie Cordy mais je sais pas qui a écrit les paroles
Ça ira mieux demain
Ça ira mieux demain
Comme tout finira bien
Il faut profiter du jour qui vient
Quand le jour paraît, j’ouvre les volets
Pour voir le soleil dans le grand ciel bleu
Tant mieux s’il est là mais s’il n’y est pas
Je me fais mon soleil même quand il pleut
J’ai le coeur léger quelque soit la saison
Quand je chante ma chanson
Ça ira mieux demain
Ça ira mieux demain
Si ça te semble loin
Pourquoi ne pas prendre un bon jour d’avance
Ça ira mieux demain
Ça ira mieux demain
Comme tout finira bien
Il faut profiter du jour qui vient
Quand je vois certains de mes bons copains
Qui pour trois fois rien n’ont plus le moral
Je leur tends la main, je leur dis « c’est rien »
Tant que ton coeur bat ce n’est pas si mal
Pense que ce monde a était fait pour toi
Maintenant chante avec moi
Ça ira mieux demain
(Ça ira mieux demain)
Si ça te semble loin
Pourquoi ne pas prendre un bon jour d’avance
Ça ira mieux demain
(Ça ira mieux demain)
Comme tout finira bien
Il faut profiter du jour qui vient
Ça ira mieux demain
(Ça ira mieux demain)
Si ça te semble loin
Pourquoi ne pas prendre un bon jour d’avance
Ça ira mieux demain
(Ça ira mieux demain)
Comme tout finira bien
Il faut profiter, profiter, profiter du jour qui vient
La raison évente déraison et déraison donne des frissons…c’est le vent qui secoue les saules… et le chagrin qui en répand tant et tant d’eau dans les ruisseaux… l’étang a des contours de vert… et de la terre pour mon argile…A toutes les fées de toile fine…à tous les lutins sous la plume…la hotte a des adresses mutines… dans les bois d’un cyclope tout doux…Un Oeil ouvert la nuit…Et tant d’autres endormis…A mon poète ému.
_
Je
Souris
_
… il doit y avoir encore un piège quelque part …
_
Pour Bourrache :
Tu n’as peut être jamais vu barque dans un jardin, et bien détrompe toi, ça a existé, puisque je l’ai vue !
Petite histoire du soir (pour une fois, je remplace Rachel)
C’était chez mon grand-père, un peu loufoque sur les bords. Il possédait une petite barque qu’il mettait sur le toit de sa voiture pour aller à la pêche sur le canal pas très loin de chez lui.
Quand il ne pêchait pas, la barque était entreposée dans son jardin…
Avec le temps, elle y resta longtemps.
Avec les pluies, elle s’est très vite remplie
Par la suite, quelques poissons y trouvèrent refuge !
Et ça nous faisait bien rire !
A défaut de barque dans un jardin,
Que dis tu d’un jardin dans une barque ?
___
http://www.geocities.com/lancelotdulac9/foto06/barque3.jpg
___
Biseeeeeeeeeeeeees du soir
Bonne nuit Bourrache, Rachel,Maria.D et tous les poètes; merci Pierre.b pour l’inspiration.Merci Ossiane pour ce lieu paisible.)
moi j’ai celle là à proposer
http://aerostories.free.fr/precurseurs/lebris/barque-DZ2002.JPG
au vif des contours
l’écrin murit son secret
sillonne son espace
Ce soir, les laminak ont soufflé leur vent, braises et émeraudes, sages et pauvres fous.
L’heure est au silence, aux petits peuples des corps qui sèment en secret, au regain des mondes, les nouveaux regards.
Merci Pierre, Bourrache, Maria, Alix,… et tous
_
‘rci, Rachel.
(t’as remarqué … les Belges ont toujours le moral !)
(d’ailleurs, de tous les peuples de la Gaule,
ce sont les plus braves).
Kikadiça ?
P’têt Saint Saens dans son carnaval
pour zanimaux…
_
Marc : j’aime tes ailes.
_
Aux autres … j’aime vos elles.
_
Aux elles : je vous aime
_
écrin
pour bijoux indiscrets
ne s’ouvre
que pour de sérieuses justifications
derrière le saule
il y a l’ombre du saule
et derrière l’ombre
il y a sa parèdre
la saule
puis l’ombre de la saule
dans la futaie
il y a sa majesté le vert
agité
par le vent des occasions
avec pour horizon
le profond des nuées
sur le chemin
il y a les ombres
des passagers d’Ossiane
seuls
ou par deux
ou par petits groupes
fichées sur la rambarde
il y a les brochettes
de la fête improvisée
avec des lampions tout autour
et un bon feu par dessous
puis il y a la barque
embarquement pour Cythère
avec les musiques du monde
des éclats de voix
et une danse de formes blanches
d’où émergent
les capelines, les ombrelles et les canotiers
et la barque avance
propulsée
par des poèmes
slamés
à tour de rôle
par les fiers mariniers
de l’oeil ouvert
toi qui passe
là
écoute
le prélude
en son écrin
tissant une pièce de vie
_
BÔ, Regard…
_
Ecrin de verdure
Rendez-vous avec le rêve
Le saule pour témoin
Douce solitude
Prélude d’une jouissance
Murmures et silences
_
Belle, bonne, douce nuit à tous
http://fr.youtube.com/watch?v=fAhSf4NKeLA&feature=related
–
en ce lieu passant
le vent souffle ses secrets
aux traces de mes pas
Thomson
En panne les traducteurs, langues perdues sans doute !
Une barque dans la verdure
s’imprègne de la nature
pour traverser le temps
des rivières d’émotions
Passage goût de survie
le vert bu lentement
une feuille rêvant d’air
se fit bateau ou barque
Le chemin ombragé se refuse aux passants
Les arbres silencieux attendent le soleil
A leurs pieds drap de mousse
Les mots éclairés volètent en son cœur
Sous les saules invités
des bouts d’intimité
la chair bloc de pierre
dans la mémoire gravée
repose. Ne pas la réveiller,
cette douleur encore vive
d’un cœur qui s’est noyé…
http://www.beaulieu-sur-dordogne.fr
Dame dort
fragile
dans le coeur des écrins…
Soulé solinvi té
débou dintimité
lachairb locde piér
danla mémoireg ravé
reposene palaréveilé
cetdou leurre corevive
dunceur quisénoié
dommage pour la langue perdue Lou
> Christineeee, j’ai non seulement déjà vu un jardin dans une barque mais aussi un jardin dans une barque flottant sur la rivière.
Je ferais la photo l’année prochaine et te l’enverrais!
Dans un écrin de verdure
nous cacherons nos secrets
pour qu’ils durent toujours
Un écrin
boîte à malice
bien fol qui y met le nez
mon saule encore raide
dans l’écrin de ton sexe
pleure sa sève en vie
L’écrin rappelle la douceur et le soyeux
la découverte et l’éblouissement
la joie et les larmes
il faut prendre garde
à ce que ce ne soit point une boîte de pandore
ou qu’un diablotin
n’en surgisse avec un sourire moqueur
et quand on se frotte à l’écrin
qu’est ce qu’il advient exactement
du soyeux sort il l’étincelle du sortilége
qui enfant déjà nous faisait écarquiller les yeux
ce n’est pas un coffre au trésor
juste un réceptacle confortable
qui ménage et aménage
la place d’un présent
dans l’intention d’offrir
de rendre beau
de sublimer le cadeau
Lucie
Élégie
(Alfred de Musset)
Mes chers amis, quand je mourrai,
Plantez un saule au cimetière.
J’aime son feuillage éploré ;
La pâleur m’en est douce et chère,
Et son ombre sera légère
À la terre où je dormirai.
Un soir, nous étions seuls, j’étais assis près d’elle ;
Elle penchait la tête, et sur son clavecin
Laissait, tout en rêvant, flotter sa blanche main.
Ce n’était qu’un murmure : on eût dit les coups d’aile
D’un zéphyr éloigné glissant sur des roseaux,
Et craignant en passant d’éveiller les oiseaux.
Les tièdes voluptés des nuits mélancoliques
Sortaient autour de nous du calice des fleurs.
Les marronniers du parc et les chênes antiques
Se berçaient doucement sous leurs rameaux en pleurs.
Nous écoutions la nuit ; la croisée entr’ouverte
Laissait venir à nous les parfums du printemps ;
Les vents étaient muets, la plaine était déserte ;
Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans.
[…]
Ami quel doux écrin
Plus caressant que l’eau
Le vent muet, aux flots
Les parfums , douce musique
Nuit endormait la Lune dans un berceau de pluie
Les gouttes étaient abri entrelacs de pensées
Où mon coeur abrité battait le temps d’un rire
Un orchestre dans l’ombre d’un saule aux feuilles claires.
Les rameaux souriants feutraient lueur d’amour
Les calices s’imbriquaient aux étamines de sable
Ô jour mélancolique, crépuscule éveillé
Son ombre m’émerveillait, ton ombre quelque part
On eût dit des murmures toutes mes pensées rebelles
On eût dit des baisers mes rages et mes caresses
On dira que le vent , zéphyr en belle cythère
Effleura les amants en séparant leurs pas.
Pourquoi me forcez-vous à sortir du silence ?
Caché sous l’ombre des saules nul ne voit mon absence
Et vous comme des sirènes par vos chants adaptés
Vous m’amenez à dire que vos mots font ma paix
Je cueille nuitamment de ci de là vos verbes
Je pars silencieux pensant n’être pas vu
Mais c’est compter sans vos chants qui exacerbent
Un désir de partage et même d’une entrevue
Point n’est besoin d’aller sur le bateau d’Ulysse
Vous savez, cestuy-là qui conquit la toison
Il suffit de voguer sur vos eaux bienfaitrices
Et les choses se font avec âme et raison
Car vos chants généreux ne viennent pas des abysses
Ils sont tout au contraire appel depuis les cieux
Ils évitent la chute si près des précipices
Ils amènent au grand jour à relever les yeux
« Sous les saules invités des bouts d’intimité »
« Les rameaux souriants feutraient lueur d’amour »
Pardonnez-moi, Sirènes, de reprendre à mon tour
Ces mots qui sont les vôtres et qui me font chanter
dans cet écrin de verdure
nous avons sceller à jamais
le secret de nos amours
Bonjour du samedi !
ECRINS… par monts et par v’eaux
Emeraudes des eaux
Comme joyaux
Dame Nature
Coiffe aussi son diadème :
La Barre des ECRINS !
______
http://www.i-voyages.net/galerie/img/1_6_51_ecrins-domeetbarre_ecrins-mini.jpg
______
Biseeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeee
« Et, dans l’écrin du souvenir
Précieusement enfermée,
Perle que rien ne peut ternir,
Tu demeures la plus aimée. »
Charles Cros / Souvenirs d’avril / Le coffret de santal
– Dis m’an, l’crin il arrive dans combien de temp
– « Didi ! je t’ai déjà dit mille fois d’enlever les doigts de ta bouche quand tu parles. »
.
Petit passage express devant l’ampleur de vos nombreux poèmes, le saule pleureur a fait couler des flots de mots tous aussi beaux les uns que les autres;-) Très touchée par vos plumes sensibles.
Je suis toujours submergée et un peu sur les rotules en cette fin de semaine… je ne peux passer qu’en pointillé et en suspension… je compte sur vous pour animer cet espace.
Petits coucous spéciaux à Balmolok, johal, caphadock, claudie, lusyamcoga, andrée, Neyde, Jo.S, phil, sabine, Anne que je suis contente de lire.
Petits coucous très spéciaux aux matelots habitués du blog qui veillent sur le blog et se donnent rendez-vous inlassablement sur le pont en amitié et en beauté.
A very very special coucou to Bourrache à qui j’adresse mes sincères pensées de réconfort en cette période délicate et que je suis fière d’avoir à mes côtés;-)
Bon voyage au Mali à Annemarie . Je ne savais pas que tu avais tant d’attaches là-bas;-) A bientôt, tu nous raconteras…
So long my friends, see you soon…
Love you tender
Ossiane
.
Emouvant Phil et très beau!
Merci de reprendre si joliment nos mots.
je vous ai lu, émue, chacun…
Vos mots
Des perles
Dans un écrin
je vous ai lus, avec un s…merci.
Dernier coucou du soir…
Et oui, je parts demain matin,
Mon ordi sous le bras,
Bien niché dans son ECRIN !
Pas d’internet chez mon Papa…
Je vais oeuvrer pour y remédier !
Vous ferai quelques petits signes
En allant squatter chez les voisines
Pour vous souhaiter un bon Noël
Et que la nouvelle année soit belle
Vous envoie donc
mes biseeeeeeees habituelleeeeeeees
Vous allez sûrement me manquer…
Continuerai quand même
A préparer pour vous
Petits poèmes
En ribambelle !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees
Passez de belleeeeeees fêteeeeeeeeees
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Solitaire le saule fixe
Ses pleurs au Styx,
Des verts aimés aux ondes rondes
Des eaux glauques d’émeraude.
Un sentier boisé
T’égares vers Ténare.
A l’entrée des enfers
Au vert de clairière
Une rambarde en fer.
La barque du passeur
Qui attend son heure.
Et le chant de ma lyre
Qui atteint ton coeur…
aurevoir Christineee, beau repos en fêtes en coeur.
mes pensées, Bourrache.
L’écrin est protection autant que mise en scène
l’écrin est un refuge confortable et améne
l’écrin n’est pas subterfuge pour qui se proméne
capitonné mais pas caparaçonné
il enveloppe et dissimule
masque ou bien enlumine
nos biens les plus précieux
offre des gages les plus sérieux
aux fermoirs compliqués
aux ouvertures secrétes
aux cachettes discrétes
il prête son concours
nuit et jour
et ne ménage pas ses effets
sans provoquer de rejet
même avec Bajazet
Ecrin
Ma main te serre si fort
Tu contiens mon joyau de vie
Et quand je t’ouvre bel
Tu te donnes m’époumonne
Alors je dis merci
A la vie mon amie
Qui me donne ton être
Mon écrin
Ma douceur
Ma belle beauté d’être
Le saule itére, d’un pas presque voyageur
et pourtant sur la rive caché dans son rideau
il pourrait abriter le plus grand des voyeurs
pas désespéré mais juste désemparé
il ne s’amarre qu’au bord des mares
pour se mirer de manière remarquable
Le saule est mis haut avaec l’âge
sans provoquer de rage
son feuillage dense s’y fie
Un petit écrin tout vert
Pour y mettre tous mes rêves
Un à un les voir surgir
Le matin à mon réveil
Un petit écrin tout vert
Et quelques graines d’espoir
Une goutte d’eau par jour
Pour peut-être les voir germer
Un petit écrin tout vert
Au doux parfum de bonheur
Qui grandit et qui se donne
Là où on l’attend le moins
Un petit écrin tout vert
Pour que s’y love mon âme
A l’abri de la folie
Et de cruelles agressions
Un petit écrin tout vert
Qui contiendrait mon jardin
Celui qui se dit secret
Petit mais si plein de fleurs.
Suis je le joyau ou bien l’écrin
quelle est cette beauté qui m’étreint
suis je le trésor qui dort bien abrité
sur un doux oreiller de grenat moiré
suis je le coffret qui qui capte le reflet
ou renferme l’âme à tour de clé
Suis je le butin pas encore éparpillé
qui jamais ne saurai en rien consoler
suis je la perle ou le collier
le fil ou le fermoir, histoire d’y croire
suis je le gobelet pour enfin y boire
aujourd’hui, j’avais perdu le goût du rêve, il me revient en vous lisant, merci.
merci
La belle verdure que voilà, un magnifique écrin de cheval
pensait en machonnant quelques herbes, l’ami qui cavale
quel dommage que crottin ternisse l’étendue végétale
Annick quel bel écho
Le joyau est à la merci de l’écrin
que celui ci dépérisse et les intempéries
pourraient vite ternir les éclats smaragdins
aussi son intégrité autant que son herméticité
garantisse des gemmes les plus purs l’authenticité
et de longue date son usage est plébiscité
Ab saule humant charmant
point de faune à l’horizon
un panorama si attachant
Grand théâtre de verdure au rideau descendu
et pourtant sans que le miroir ne soit fendu
il y a en reflets de tous genres un tel rendu
Et craint de de la nature… la force implacable
toi qui pourrait te croire… de tout capable
car le végétal a cela… de bien inéluctable
il repousse tes assauts
et en tresse des cerceaux
qui couronnent les rinceaux
La femme est cet écrin
Pour la cueillir la vie
Et la porter ensuite
Dedans son velours tendre
Et quand le joyau vit
Par son ventre offert
C’est chaque fois
Le m’aime
Le même étonnement
C’est un mystère vivant
Que la femme en écrin
Bonsoir Annick, bonsoir Thierry je me berce de vos mots charmants
Phil alba plaisir de te voir sorti d’un long silence et Bonsoir Lou je sais que tu n’es pas loin mais sans doute les pieds dans la neige.
Bonne nuit à chacun
bonne nuit, Monique, je couche mes petits yeux aussi.
L’écrin est matrice qui love en beauté l’orifice
l’écrin évite le supplice de la lumière rédemptrice
l’écrin est hospice et auspices qui garnit d’épices
l’écrin est le coeur qui attire le sang du rubis
l’écrin est le vent qui disperse l’azur du semis
JOLIE journée Monique ;))
Ne sont rien à l’âme obscure
Les tons et les touches de couleur
Un monde entier de sève
Les ans … s’en vont
Les gens s’en vont
Le temps s’en va Ma Dame
Las le temps s’en va ….
Non ! mais nous ,nous allons
Douces pensées à tous
JOLIE nuit, Lou.
_
Monique-la-s(S)age : si tu veux, j’ai des graines de bourrache, de tagètes, de …
pour mettre dans ton très bel écrin vert.
_
Ma lettre au Père-Bernard-Noël : je voudrais bien dans mes petits souliers la solution à l’énigme du cygne. Je promets d’être toujours sage.
_
Ossiane : comme d’hab, merci d’être là.
_
Bon dimanche à tous et bons prépararifs (guirlandes, valises et … tutti quanti).
_
Et biz.
_
Son écrin
Le plus petit
Tout au fond de son être
Renferme l’invisible
Qu’on appelle son âme
Il fait le tour de son monde
Chaussé de ses ballerines
D’un bel amour vivant
Et l’âme elle est émue
De visiter autant
Des pays de belles âmes
Alors elle fait l’amour
Encore plus en dedans
Et pas en minuscule
Dans un feu d’artifice
D’un Noël grand
c’est quoi tutti quanti, hein, Bourrache, bises et clin d’oeil avec mes deux yeux à chacun!
Un tit sentier
Des feuilles par terre
La bottine marche
Le long de l’eau
C’est tant d’amour
En marche tendre
Et quand ton souffle
Murmure mon cou
Mon pas se vole
De bel élan
D’amour en corps
_
http://fr.youtube.com/watch?v=cxEl2i1GGvw&feature=related
_
Bonjour à toutes et à tous,
Bonjour à Madame des bords du Rhône,
Bonjour à Madame, madame, qui dit toujours autant de mots tendres,
Mes passages en lecture restent constants bien qu’invisibles,
mes passages en écriture sont irréguliers
mais le tout est toujours rempli d’une très grande affection.
Bonnes et belles journées [bels jours…(clic !)] à venir.
Phil alba
bon dimanche annick, Bourrache,arletteart, Louise ,l ou, thierry, Monique
et tous les passagers
http://poesie.webnet.fr/poemes/France/lamartin/75.html
Comment ça les zan s’en vont , mais non c’est l’heure des sucreries, des sucres d’orge, de la guimauve et des réglisses qui nous régalent.
Il y a sûrement du tutti frutti aussi mais entre les fruits confits, le sucre candy (et candide aussi) et les pates de fruits, les pruneaux et les dattes, les figues en collier.
L’écrin de la fête n’est il qu’illuminations
ne faut il à l’humanité d’autres illustrations
et qu’apparaisse en filigrane de la commissération
L’écrin coton est il ouaté quand la voix teintée de neige tourne
L’écrin cocon moins floconneux tire sur la métamorphose des temps de fête
l’écrin citron n’est pas pressé de divulguer son contenu nul et non avenu
l’écrin bison affronte le blizzard de manière fort bizarre et baisse la tête
l’écrin blason donne dans l’écu mais pas dans l’éculé car il renouvelle les couleurs
Bel noël , belles nouvelles, qui parfois ensorcelle pourtant le cortége de la misére toujours nous accompagne et cette vue en trouble plus d’un
Merci à Ossiane pour ce bel automne pas monotone et qui a bruissé de tant de vie tandis que le bobineau se dévidait de tous ses mots, pas un plus haut que l’autre, tous colorés d’une belle et bonne diversité
Noyeux Joël à tous les passagers d’un jour ou de toujours, qui ont fait halte et se sont reposé dans ce havre de paix, où il fait bon poser son havresac
et languidement se lover dans le hamac pour que nous agitent les couleurs
du plaisir et du partage.
_
http://fr.youtube.com/watch?v=TS3GPAcvql8
_
(ce soir, promis, juré, j’vous mets « petit Papa Noël »…)
Quoi bourrache, l’unique, le seul avec Tino ?
ça va nous chavirer, tant d’ivresse, est ce raisonnable :)))
Je n’ai qu’un écrin c’est ma vie
je ne craint que la lumière trop forte
je maintiens qu’il ne faut pas que je sorte
je me contiens et pourtant au fond m’exorte
http://www.youtube.com/watch?v=gmVA9ysVreE
_
Dans le style nostalgie et chavirement, il y a presque 40 ans …
http://fr.youtube.com/watch?v=9Zjf1qdBmIU
et…
_
_
http://fr.youtube.com/watch?v=V9Po8lSIKww&feature=related
_
(Rino Tossi, c’est pour ce soir… tu tiendras le coup, Thierry ?)
Clin d’oeil.
_
_
… y’a une aile lisse qui m’offre à voir une vidéo « non disponible dans mon pays » (dixit Youtube) …
_
Un écrin t’ouvert
Juste Là
Dedans les yeux
De belle émeraude
Si bel joyau
Tout vert
Mais si bel fruit mûr
Dans son suc
Le saule se roule le sol
Aves ses feuilles sur son seuil
S’essuie les pieds bel abrité
Dans son refuge en coeur de luge
Caché en tronc pas bien poltron
A rendez vous ce galant chou
Dessus ses lianes sa gente Dame
C’est beau un saule
C’est une maison
A coeur ouvert
Tout l’univers
Le long de son tronc
Au bout de ses branches
Du ciel en sol
Pour les poèmes
Que de s’écrire dessous dedans
Bien abrité par son chapeau
Mouvant de bel
Quand la bise souffle
Son baiser doux
Si c’est possible, Ossiane, merci de mettre un O oublié, dans le texte de 15 H 33…
DessOus ses lianes sa gente Dame
_
Annick : je te croyais montée dans le Nord depuis hier soir…
_
_
Je ressens comme une bizarrerie, là…
Au fil du temps et de nos écritures, beaucoup d’entre nous ont acquis leur « marque »…
Les trois petits points, l’aile lisse, la sagesse, les cours de grec, l’histoire du soir, les oeufs …
Alors, pour rassurer mes neurones qui parfois fabulent ou affabulent (je n’en disconviens pas!), je voudrais poser ces questions :
Annick : quel est le mot-amitié qui nous lie ?
Thierry : quelle est la chose dans laquelle je plonge mon nez (et suis pas la seule) après avoir lu tes écrits ?
_
Trakassez pas trop … c’est juste pour me rassurer …
___
Et ben et ben, tu t’en poses des questions, Bourrache…
_
ben, c’est comme ça qu’on fait avancer le schmilblik…
Une tite réponse alors… ?
_
_
… n’imite pas l’écriture d’Annick, qui veut !
Juste … parce qu’elle est unique …
_
Bourrache voici la vidéo THOMAS DUTRONC – Jeune je ne savais rien
une réponse pour moi avec des mots trop souvent galvaudé
liberté… de venir à n’importe quel heure..d’écrire ce que l’on veux dans le respect des autres …
–
égalité… pas de hierarchie …pas de jugement moral
–
fraternité ..au dela de toute considération de pouvoir ,ou d’argent, de jeunesse ou de beauté , d’intelligence, juste un regard tendre
–
curiosité…découvrir d’autres monde que l’on ne cotoit pas dans la vie de tout les jours qui est souvent très cloisonnée… des mondes parallele qui ne se rencontre jamais …si ce n’est dans le conflit…les préjugés
–
Ossiane bon courage pour le boulot…. ta ptite entreprise connait pas la crise…. sourire
C’est beau ce que tu écris, Marc,
et Bourrache, alors juste pour faire avancer le schmilblik,
c’est une histoire d’ondes, de jolies ondes…tu sais bien…
et chacun’e’, est inimitable sur terre, et c’est bien,
juste qu’unique, je peux me permettre de l’écrire ainsi…unicke because Annick! sourire!
et Bourrache, je serai dans le nord mercredi soir,
et Jean François, je suis à l ouest…
SOURIRES GRANDS! merci d’être là, et si cela vous fait plaisir que je sois là, alors, je suis heureuse, penser donner le meilleur de soi même pour faire que du bien, c’est un bel sens de vie….
Sourire Phil Alba, pour le bel! c’est plus fort que moi…
_
Annick : c’est la première fois que j’allume des ondes avec toi…
_
Un écrin
Une perle
Sa première goutte versée
Puis succède la chaîne
Aux fins maillons dorés
Avec toutes ses bulles
Délicates accrochées
Un grand collier de vie
Que sont les grands chagrins
Et
Cette fois
Cette fois
Se dit le bel beau saule
Je serai tout nommé
Le saule chanteur danseur
Et ce sera mon jour
Des vraies larmes de joies
Car un saule pleureur
A tant de feuilles vibrantes
Que sa grande symphonie
Parcourt le sol en terre
Pour lumière des sourires
Je crois que le lien d’amitié Annick-Bourrache c’est la p’tite bougie, et je ne vous ai rien dit mais j’allume la mienne aussi c’est fou comme ça réchauffe une bougie
Bourrache mets les graines de côté dans un endroit pas trop humide et pas trop chaud, mais les graines que j’ai le plus de mal à trouver, ce sont les graines de paix et d’amour parce que ces fleurs là elles sont si rares…
Merci et bonjour à toi Phil alba, mon Rhône coule gros sous le soleil et le vent.
Une p’tite bougie pour toi, Monique, et pour chacun,
En plein chaud soleil
Un saule coule sa sève
Dedans un chaque pot
Posé dessous sa branche
Et losque la lune vient
Elle peigne le bel arbre
D’une raie de lumière
Se craque une allumette
Au parfum de son âme
Avec une branche d’étoile
Cueillie dedans le ciel
Et chaque bougie belle
S’enflamme etpuis se brûle
Ventilant ses petits gaz
Tout autour de la terre
Paix Amour c’est Noël
Je me suis faite libellule
Couleur émeraude
Pour me fondre
Dans cet écrin de verdure
Cocon douillet
J’ai embarqué
Sur une feuille de saule
Pour me laisser glisser
Et rêver au fil de l’eau
J’ai rencontré un papillon
Il s’est posé sur mon bateau
Ce fut un beau voyage.
Jamais Annick une bougie n’a donné autant de lumière , la flamme venue d’une branche d’étoile comme c’est joli.
_
Chose promise, chose due …
http://fr.youtube.com/watch?v=pFTaNgFTP-8&feature=related
_
A vous entendre toutes et tous, jamais saule ne se sentis plus d’aise
et de frissonner de bonheur
sa chevelure se déployant
ses feuilles en papillottes
luisant dans le soleil.
Sous un saule veille d’hiver
l’équipage invité
allumait des chandelles
et les mots de gaieté
les chemins de douceur
les vents de liberté
à vous je lève mon rêve
à la beauté d’aimer