Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
La voie sans issue
suspendu dans le vide
la grande évasion
◊ Dans la vallée du Fango … Voir la Carte de Corse …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
La voie sans issue
suspendu dans le vide
la grande évasion
◊ Dans la vallée du Fango … Voir la Carte de Corse …
Une esquisse
Sur la paroi de safran
Deux autres nagent
***
J’aime les couleurs de ton calligramme
.
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Bonsoir,
Je suis un peu moins présente en commentaires mais bien que pas mal accaparée par ailleurs, je suis là, je savoure vos écrits, je continue à publier et je vous remercie de votre présence généreuse.
Je ressens le besoin d’une petite respiration silencieuse pour me ressourcer après tous ces mois de blog et de travail ininterrompu. Les vacances tardent un peu… Je vais continuer la publication et j’interviendrai moins systématiquement sur le blog, le temps de retrouver un peu de souffle.
Merci de votre compréhension.
Amitiés.
Ossiane
.
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vide des rêves
parois liberté
dans un plongeon volupté
montée vers le ciel en danses de prises escarpées
baigneurs nageurs d’ondes à l’eau est si pure
nages des lézards verts sous le soleil de la paresse
montée vers le ciel en danses de prises escarpées
baigneurs nageurs d’ondes à l’eau si pure
nages des lézards verts sous le soleil de la paresse
pas de « est » à la 2ème ligne (que fait-il là???)…Glissé par maladresses…
pirates des franges de lunes
enfants sauvages des rires
soleil fruits défendus dans nos souvenirs d’escapades
l’eau dans les cascades
nos vélos oubliés dans les herbes
doux rossignols de nos seize ans
tes seins nus entrevus
dans la nage des désirs
caressés quand tu me les offrais en grâce parfaite
passe ma main
aux boucles de tes cheveux d’azur
fraîche et limpide
comme l’eau pure de nos ébats
dans le tourbillon de nos coeurs
parfaits étés des plaisirs oubliés …
…….parfaits souvenirs….
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ta photo Ossiane me fait tant penser à ces temps d’innocence parfaite, …. , lorsque adolescent avec mes copains nous plongions dans les torrents verts, où dans les eaux de la « Dordogne »…Entre Beaulieu et Carennac…
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en souvenirs des rires …
Paroles: Julos Beaucarne d’après Victor Hugo. Musique: Julos Beaucarne
Je ne songeais pas à Rose;
Rose au bois vint avec moi;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi.
J’étais froid comme les marbres;
Je marchais à pas distraits;
Je parlais des fleurs, des arbres
Son œil semblait dire : Après ?
La rosée offrait ses perles,
Le taillis ses parasols;
J’allais; j’écoutais les merles,
Et Rose les rossignols.
Je ne songeais pas à Rose;
Rose au bois vint avec moi;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi.
Moi, seize ans, et l’air morose.
Elle vingt; ses yeux brillaient.
Les rossignols chantaient Rose
Et les Merles me sifflaient.
Rose, droite sur ses hanches,
Leva son beau bras tremblait
Pour prendre une mûre aux branches
Je ne vis pas son bras blanc.
Je ne songeais pas à Rose;
Rose au bois vint avec moi;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi.
Une eau courait, fraîche et creuse,
Sur les mousses de velours
Et la nature amoureuse
Dormait dans les grands bois sourds.
Rose défit sa chaussure,
Et mit, d’un air ingénu,
Joli petit pied dans l’eau pure
Je ne vis pas son pied nu
Je ne songeais pas à Rose;
Rose au bois vint avec moi;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi.
Je ne savais que lui dire;
Je la suivais dans le bois,
La voyant parfois sourire
Et soupirer quelquefois.
Je ne vis qu’elle était belle
Qu’en sortant des grands bois sourds.
– Soit; n’y pensons plus ! dit-elle,
Depuis, j’y pense toujours.
Je ne songeais pas à Rose;
Rose au bois vint avec moi;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi.
La rosée offrait ses perles,
Le taillis ses parasols;
J’allais; j’écoutais les merles,
Et Rose les rossignols.
Je ne vis qu’elle était belle
Qu’en sortant des grands bois sourds.
– Soit; n’y pensons plus ! dit-elle,
Depuis, j’y pense toujours.
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gorges du bohneur!
au milieu des mélodies pastorales
nous plongeons dans cette eau mosaique
porter par l’onde pure et les rires boomerang.
au bout du chemin, la caresse du soleil
dépose ses souvenirs comme une écorce
sur nos peaux de jouvenceau.
plus tard, sur notre cuir tanné par la vie
cette protection ce transformera en habits velour!
Pas cul de sac ni voie sans issue
encore moins cul de basse fosse
dans cet endroit secret
à l’accès des plus escarpés
le saut à donc de la valeur
et c’est sous le sceau du bonheur
que cet environnement minéral
fait ressortir les valeurs organiques
point d’orgue sans basalte
c’est le grand moment de halte
les granits pourraient donner
un granité soyeux et doucereux
quand la voie semble étroite
la porte en apparence trop basse
où va t on de guerre lasse
là où les membres se déboitent
sans faire le désossé
comme un bossu contorsionniste
même façon accordéoniste
le dos à la paroi
à l’écoute de soi
dans le souffle lent
un petit relent
canyon
dans le torrent vert
le flot des frondaisons
la fraîcheur turquoise
chatouillis des poissons
à la nage et en coeur
dans le flux de l’esprit
dans les bras du soleil
glissades et clapotis
cascade de verdure
sur le ventre ou le dos
la coulée de la sève
les corps comme de l’eau
l’éternité sur place
rêve à contre courant
la baignade idyllique
deux à brasser du vent
andrée wizem
entre les chauds rayons de lumière
comme un soleil posé sur la mousse
l’eau s’écoule
…., où es-tu arlequin sauvage?
gourmand pierrots des eaux profondes
vagabond des fleurs de lune
accroché à ta parois arc-en-ciel des nuages heureux
……………. où es-tu arlequin sauvage?
questionneras-tu les hirondelles
jupes plissées aux pas pressés
écuyères légères virevoltantes aux danses des chevaux
« ne vois-tu pas la femme cachée dans la forêt ?
Il a volé
un regard bleu
dans son sein blanc .
Elle a nagé
pour rattraper
ce jeune voleur
de ses vingt ans
sur la paroi
de la falaise
il s’est enfui
les yeux remplisd’une vision
de femmes en fleurs
____
Comme un frisson de pierres
Embrassé par l’été
Le chemin s’est perdu
Vertige imaginaire
______
Tu me donnes de plus en plus envie de faire une escapade en Corse…
je me suis inspiré de ce que aspe à déposé
Paroles: Julos Beaucarne d’après Victor Hugo. Musique: Julos Beaucarne
pour faire ce texte
je me souviens
Je me souviens
De tes yeux encre noire
Angélique miroir
Ton sourire encore enfantin
Je me souviens
De tes cheveux flottant
Sur tes quinze printemps
Que je lisse tendrement de mes mains
Je me souviens
De ton regard mutin
Ton corps velours et satin
Et mon regard d’enfant qui s’éteint
Je me souviens
De ces effleurements
De cette coulée de sang
Qui grimpe les monts alpins
Je me souviens
Des jeux équivoques
des mots qui provoquent
de tes seins offerts à mes mains
je me souviens
d’œillades gênées
d’un songe inachevé
que je rêve encore d’accomplir demain
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Un problème technique empêche de déposer des commentaires…
J’ai prévenu le support technique.
Désolée de ce contretemps.
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11/05/08 19h50
Suite….
Des nouvelles… Ma demande de maintenance a été prise compte par Le Monde.
Mais apparemment, il va falloir attendre demain pour que vous puissiez déposer à nouveau vos commentaires en toute liberté.
Patience donc et merci pour vos alertes.
Bonne soirée à vous tous!
Osisane
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content que les commentaires fonctionnent
j’ai modifié la fin de mon texte
amour d’été
Je me souviens
De tes yeux encre noire
Angélique miroir
Ton sourire encore enfantin
Je me souviens
De tes cheveux flottant
Sur tes quinze printemps
Que je lisse tendrement de mes mains
Je me souviens
De ton regard mutin
Ton corps velours et satin
Et mon regard d’enfant qui s’éteint
Je me souviens
De ces effleurements
De cette coulée de sang
Qui grimpe les monts alpins
Je me souviens
Des jeux équivoques
des mots qui provoquent
de tes seins offerts à mes mains
je me souviens
d’œillades brèves et gênées
de ces tendres années
libre, impatient des lendemains
tu te souviens
de ce doux printemps là
Enlacé dans mes bras
et tu me souris en me tenant la main.
impossible fin !
ne pleure pas mon amour
au delà pour toujours
je te protègerais jusqu’à la fin
belle journée à chacun
AAAAAAAA h !!!!
La voie est libre e e e e e e e !
*********
PAROI redressée
En stade vertical
A lui l’escalade !
Itinéraire énigmatique
Vers le haut, c’est la panique,
Echappatoire en traversée !
Sueur au bout des doigts
Humidité au bout des pieds
Ça glissotte, ça glissotte !
Un plongeon, et hop,
Dans les couleurs acidulées
Fraîcheur assurée !
Sirènes à l’arrivée
Détente assurée
Il va recommencer !
PAROI redressée,
En stade……
Etc…..
Etc…
Biseeeeeees de l’ancienneeeee grimpeuseeeeeee !
Comme c’est joli, Marc! J’aime beaucoup
Belle journée!! à tous
Valentin danse vif sur une paroi de pierre
Dans l’étincelant effort il imprime son corps fier
Son mouvement agile articule l’espoir
Il a foi en sa force et grimpe vers la gloire
Yvette et Jeanne dans l’eau ne regardent que lui
Elles ont dansé aussi dans nos yeux éblouis
Et dans l’eau trempent leur corps, leurs chansons et leur vie
Comme dans l’eau de jouvence leur jeunesse a survi
Dans un tableau d’hier d’aujourd’hui de demain
Dans un regard du coeur qui jamais ne s’éteint
Dans l’atmosphère de danse leur sourire enfantin
Et leur beauté pérenne de mes mots prend les rennes
Et la joie des pensées montera des yeux tendres
Et répandra l’eau claire partout dans ses méandres
Ossiane , j’ai oublié ce vers 4 après « articule l’espoir ». Si tu pouvais me l’inserer ce serait sympa.
Il a foi en sa force et grimpe vers la gloire
Clin d’oeil à Maria-D
BIZARRE
Les uns aiment
les chaudes parois
pour nager
Les autres préférent
les pierres sous l’eau
pour escalader
De la paroi abrupte
fous on se catapulte
dans l’eau frâiche
et l’on se sèche
au grand soleil
d’or sans pareil
le ciel azur
d’un bleu très pur
nos cœurs éponge
de nos songes
Dans les eaux miroitantes et cristallines
Elles se baignaient, captives de leur liberté
Cheveux au vent, gracieuses ondines
Elles irradiaient la beauté!
Les vagues ondoyaient en effluves d’écume
Le souffle d’Eole guidait leurs graciles brassées
La mer dans ses doux frémissements envoûte les sirènes!
Agrippé à la falaise, aux rocs tranchants et acérés
Le vertige du vide et ces saillies m’empoignaient
Le vert émeraude de la mer, ces superbes naîades, m’attiraient!
Irrésistible appel des courants, flottaison des vénus emportées par le vent
Je ne vis qu’elles et plongeai dans le vide, submergé par le torrent de mes désirs
En surplomb sur la mer, la vie revêt des postures singulières
Il est des moments d’intensité où le vertige nous émerveille
Où l’aventure nous guette dans son écrin d’argent
La grande évasion vers l’outre-mer, les sens en éveil,
La mer dans son corset de volupté emporte notre soif de sensualité!
> Coucou, Neyde, Amichel
La mer nous rassemble!!
Bisous iodés et parfumés!!
Chère Claudie
toujours la mer!
Bisous
Amichel
plaisir de te revoir.
Bisous
Le temps est un filin
………….Pour aller d’une rive à l’autre !
L…………………Je m’y accroche,
E………………………….Le cœur séré,
……………………………….Les mains moites,
T………………………………………Les jambes chancelantes,
E…………………………………………….…………..Le regard vers demain!
M………………………………………Ne pas revenir en arrière
P………………………………Ne pas regarder derrière .
S…………………………Au-dessous le gouffre
………………… des contrées périlleuses
…………..Au bout du chemin
Le mystère
pardon pour la redite mais je préfère espacé!
Le temps est un filin
……………….
……..……….Pour aller d’une rive à l’autre !
…………………………..
L……………….………Je m’y accroche,
……………………………………
E……………………….……….Le cœur séré,
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……………………………..………….Les mains moites,
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T…………………………………..…………Les jambes chancelantes,
……………………………………………………………..
E……………………………………………Le regard vers demain!
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M…………………………………….…………Ne pas revenir en arrière
…………………………………………………..
P………………………….……………Ne pas regarder derrière .
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S……………………….…………Au-dessous le gouffre
…………………………………..
………………… ……des contrées périlleuses
…………………………
………………Au bout du chemin
…………..
Le mystère
Voilà l album d’Ossiane retrouvé, bonjour à chacun,
c’est beau Marc, Claudie, et chacun, si différent et si émouvant…
je reviens ce soir si le monde ne cadenasse pas le bel album,
repose toi OSSIANE, ton travail si immense….MERCI.
J’ai contemplé la petite bouteille de l’humanité.
J’ai vu des hommes, des femmes et des enfants se cogner aux parois.
J’ai vu dans leur regard la douleur et l’effroi.
J’ai entendu les cris de douleurs de certains.
J’ai vu des malheurs immenses et des sourires malins.
J’ai vu des hommes qui avaient un sort beaucoup plus enviable.
Certains étaient heureux et se moquaient de ce qui arrivait à leurs voisins.
D’autres se rendaient compte de la chance qu’ils avaient, trouvaient le monde injuste et voulaient se rendre utiles mais étaient noués par la peur.
Certains se lançaient dans la bataille au risque d’y laisser leur vie.
J’ai posé la bouteille.
Et moi qu’allais-je faire ?
Détourner le regard car il y a parfois des choses insoutenables où trouver le courage d’entrer dans la bouteille ?
A la paroi, désespérement je me suis accrochée, et me voilà maintenant toute écorchée !!!
Et comme il est inutile
D’enfoncer son bouchon
Au fond de la bouteille
Car il ne peut en ressortir
C’est juste suffisant
De se poser son liège
Doucement sagement
En équilibre sur le goulot
De l’effroyable l’innommable
De sort en horreur
Pour une fort grande Humanité
Pas responsable et qui survit
Ou meurt dans un souffle son agonie
Dans la bouteille
Ou tout au fond
Comme ça
Sans laisser de traces
Juste des cendres en lie
Alors tendre une main
Dans la bouteille
Sans se tomber
Sourire s’offrir sa vie
Donner sans rien attendre
Et puis aussi s’envoler
A l’air libre
Se respirer
Reprendre des forces
Pour se rester vivant
C’est vivant
Qu’on peut aimer
L’Humanité
j aime bien ton texte rachel, je me suis permise de rebondir, j’aime pas m enfoncer, car j aime bien sourire la vie et aussi m’envoler, sans oublier d’aimer aimer, ce qui rend si vivant, à mon sens…
ATTENTION !!!
la voie et sans issue, mais tant pis, pas le choix, alors sans aucune hésitation, sans même réfléchir au risque, je plonge… et depuis dans le bonheur, je nage…
Contente Sabine que l’eau ait apaisé ces vilaines écorchures . 😉 Sourire
bisou.
http://fr.youtube.com/watch?v=Sh36aSb9Nfo&feature=related
Aimer, Aimer, sans oublier d’Aimer, oui avec un grand A, sourire à Annick, Rachel, et tout le monde…
La mer est vraiment différente pour chacune.
Bourrache nage dans les épinards,
Elle se la coule douce bien peinard
Lou se baigne dans une eau saffran
ça lui conserve un peu sa dent
Christineeeeee aime bien les salsifis
ça décoiffe pas sa mise en plis
Annik se nage dans le p’tit pois
car elle n’est jamais raplapla
Sabine se baigne dans le bonheur
pour le régime c’est mieux qu’le beurre
moi je me nage dans ma bêtise
au s’cours je crois que l’eau l’attise
et souvent les mots, tout comme l’eau, ont le pouvoir d’apaiser… sourire à Lou… et bises.
Bonsoir la compagnie…
Je ne peux pas m’en empêcher :
PAROI…. des souvenirs….
Combien d’heures ai je bien pu passer
Au pied de cette PAROI ?
Dans les rochers du Saussois
Les grimpeurs sont les rois !
Combien d’heures ai je bien pu passer
A m’élever le long de cette PAROI ?
Que du bonheur à partager
Dans le canal, on allait plonger !
PAROI… des souvenirs….
_____
http://www.nievre.equipement.gouv.fr/Voies_navigables/FTP/photos_nivernais/Rochers_du_Saussois_2.jpg
____
Biseeeeees à vous !
Bon y’a encore un problème sur le blog ou quoi ? Y’a une barre qui est bizarre non !
renouvelé à chaque fois
un saut en ses eaux vives
escalade du plaisir
échos éclats de rire
de l’effort du réconfort
gravir la chaude paroi
le bain rafraîchit
le soleil réfléchit
plongée en toute insouciance
plaisir passion plus que de raison
pure sensation
du bonheur en couleur.. émotion
Je m’accroche à la paroi
C’est humide et c’est bien froid
Ça y’est j’ai la main qui glisse
Je dégringole et dévisse
Me voilà la tête en bas
Non je ne panique pas !
Je sussure « y’a t’il quelqu’un ? »
S’il vous plait ça serait bien !
Ça y’est j’en vois qui rigolent
En disant « regarde la folle !»
Je garde ma dignité
Volte face, hop sur mes pieds
Mon corps est remis debout
On dirait du caoutchouc
Au secours il est tout mou
Je m’en vais je mets les bous !!!!!!!!!
Vous remarquerez ici la démarche hautement littéraire du texte associé à de la science fiction de grande envergure. L’héroïne est un mélange d’elastique women et de super jaimie.
Quelle imagination fertile me direz-vous !. Oui je sais mais j’ai su rester simple (et modeste naturellement). Sourire, clin d’œil et tout ce qui va avec
Joli Veronique.
Rachel, tu m’inquiètes c’est quoi ces barres que tu vois?!
Joli Veronique.
Rachel, tu m’inquiètes, c’est quoi ces barres que tu vois?!
Je les vois plus Lou. J’avais pas mis mes lunettes. Je rigole mais tout à l’heure le blog était bizarre. A présent tout est redevenu normal
Rachel, super jaimie dame elasse
que rien ne tracasse
as tu trouvé la trace
de l’issue d’secours
pour que l’eau passe?
——
Pardon pour mon com doublon
jutilise là mon tel , il n’en fait qu’a sa tete et du coup je suis lente
Un petit coucou vers vous pour vous dire que je ne vous ai pas abandonnés;-)
Je vois que vous ne laissez pas impressionner par les avaries techniques et par mon retrait momerntané;-)
La poésie reprend ses droits en beauté et fantaisie et je vous remercie pour toutes les belles évocations à propos de cette paroi qu’on peut décliner à l’infini;-)
Christine, jusqu’à quelle hauteur maximale es-tu grimpée?
Je l’ai fait une fois sur des falaises un peu semblables mais je n’ai jamais recommencé… trop vertigineux pour moi;-)
Top secret… Les blogs du Monde ont été inacessibles hier soir à cause de la panne qui affecté L’Oeil Ouvert. Mais chut! , gardez-le pour vous;-)
Bonne fin de soirée à vous! Amitiés poétiques.
Un salto dans l’ O
retour aux origines
l’eau cristalline
Belle soirée, Ossiane, je me doûtais bien que l oeil ouvert avait courtcicuité le monde…
Je ne vous abandonne pas non plus, juste fort fatiguée, c’est passager…BISES DU SOIR ..
Ossiane,
Les rochers du Saussois font environ, 50 m pour la grande falaise…
Après, en montagne, c’est quand même autre chose…
Encore un souvenir…
Autre paroi
Sur le fil
Effilée
La Dibona…
___
http://alpin.campus.ecp.fr/00-01/dibona/_dibona.jpg
____
>Christine:
Tu es grimpée tout là-haut? Quelle hauteur?
ils se baignent dans ces langues d’eaux limpides et indolantes
touchant les parois vertigineuses et rapeuses.
Il y règnent un mélange de paraisse et d’allegresse.
le soleil besogneux inonde de sa lumière ce petit coin secret .
Homme-araignée
Sur les parois de l’onde
Sirènes l’appellent
« Le rassurant de l’équilibre, c’est que rien ne bouge. Le vrai de l’équilibre, c’est qu’il suffit d’un souffle pour tout faire bouger. » Julien Gracq
Voila ce qui me vient en regardant à nouveau cette esquisse tracée sur la paroi de safran… de ce calligramme que vraiment j’aime beaucoup
Belle nuit douce Ossiane
Pantin arachnophile
Rideau de scène pétrifié
Beaux regards marins
(Maria, ce com. semble une copie du tien. Je l’ai écrit hier en fin d’après-midi, mais n’ai pu l’envoyer. Sur le fil d’Ossiane, il est normal de se retrouver.
Ossiane !
Et oui, j’étais jeune à l’époque !
Quelques chiffres : Altitude 3130 m et quelques brouettes
Dénivelé : approximativement 300 m
Je l’avais fait avec mon mon père et ses amis par la voie Boell.
Petite précision : il n’y a vraiment pas beaucoup de place au sommet !
Hello
J’arrive en plein remous …informatique
un peu en retard sur la paroi
cette image pourtant, comme un mirage entrevu d’un personnage lourdement chargé de deux valises qui grimpe un long escalier pour se retrouver devant ………….un mur
O! ssiane ! O! ciel ! qu’est -ce ? donc ces images qui nous « introspectent » ??????????
Merci Rachel pour la visite et les mots de sympathie . Beaux textes sur la bouteille à la mer et par Rimbaud interposé « »J’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir »
pour christineeeeee le cheval chinois ne veux pas entrer ds mon blog je réitère
AA
Face à la paroi abrupte, il y a les versants ensoleillées (corses) et versants sombres (Groix) 🙂
Groizillonnes IV
Jetée sur la plage par une vague trop violente
A bout de souffle
Grelottante
Seule face à la falaise.
La marée léchait le sable de plus en plus haut.
Les flots grondaient.
Il a fallu replonger dans la mer si froide.
Septembre a le goût des larmes.
Je me suis battue contre les courants
Blessée sur les rochers.
Mais face à la peur de te perdre
A la peur de ma mort
Et surtout à la certitude que cette mort te laisserait indifférent
J’ai retrouvé le goût de vivre
De te survivre.
Décembre 1981
MERCI Sabine pour la vidéo….
Aimer
C’est ce qu’il y a de plus haut
Aimer
C’est remplir son coeur
Aimer
De plein de bonheur
Aimer
C’est gravir la paroi
Aimer
Atteindre l’inaccessible
Aimer
Tout en haut du plus haut
Aimer
De tout son être en corps
Aimer
Avec son âme de coeur
Aimer
http://www.co-errances.com/?m=200710
Ah! Mes belles parois, j’avais dix ans de moins, des articulations encore souples, et les bras qui chauffent tendrement dans des frissons de vertiges bleus, quand tu passes la dégaine au vertige qui embrouille ta mémoire prise dans le geste lent et précis d’un écart de vent, …Je préfère et de loin l’hiver blanc des peux de phoques qui se passent des brumes par moins quinze vers Estaëns …
à moins que ce ne soit au soleil du ……http://ploum2.club.fr/escalade/autoire/autoire.htm
http://philevr.club.fr/blocadonf/Escalade%20Corse/Pages_html/Escalade_corse_P1.php
douceurs…des rudes pierres de la tendresse
où celles qui Aragon magique, font de cette lumière douce à l’automne , quand il pleut sur Osse-en Aspe et que le BERGON tremble au dessus d’ACCOUS…, vite une auto pour l’autre versant…Ce coup-ci c’est quinze ans de moins…
http://www.pyrenees-passion.info/mallos.php
Les espagnols disent « pared » mais moi je trouve au contraire que c’est très raide
saisissant même quand on cherche les prises , les gratons et les cuvettes, les diédres et les fissures, alors bof mais sans le pof où irait on ?