Lueur

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Lueur

Brume d'un regard, dans une coulée de miel la terre irriguée

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

Brume d’un regard
dans une coulée de miel
la terre irriguée

Aux abords de Sartène. Voir la Carte de Corse

84 réflexions sur « Lueur »

  1. Splendide chère Ossiane… j’aime beaucoup
    Belle nuit

    ***

    La terre s’est noyée
    Dans un linceul de verre
    Mon coeur chaviré

  2. Restent les flots colorés de nos fleurs sur la terre
    Reste la lumière dorée de ce bel univers
    Reste la coulée de miel que l’on veut partager
    Reste mon amour pour toi auquel je veux songer

    Et ton regard au loin dont la douceur m’étreint
    Et tes folies toujours qui me sourient un brin
    Et ta force invisible mais combien stupéfiante
    Et ta façon de voir adoptée édifiante

    Nous demeurerons proches quelle que soit la distance
    Nous nous regarderons sans nous voir en silence
    Nous nous épuiserons à oublier les maux
    Nous nous affranchirons dans les gemmes des mots

    Et puis la vie pétille aux abords de Sartène
    Et ces fruits sont juteux d’où sont tombées les graines
    Enfantant des goûts purs de l’amour fou syntaxe
    Eden pour s’épancher se pencher perdre l’axe

  3. 8 h du mat’

    J’entrouvre un œil
    Les cils un peu collés
    Le regard un brin embué
    Pas bien réveillée !

    Clic

    Levée des stores
    Soleil dehors

    Clic

    Allumage du micro
    Bientôt boulot

    Clic

    Chauffage de l’eau
    P’tit déj au chaud

    Clic – OOO –

    Lueur au petit matin
    Le soleil en doux rayons
    N’était pas si lointain !
    Soudaine inondation
    Et pour notre réveil
    Illumination !

    La journée commence bien !

    Biseeeeeeeeeees du matin !

  4. lueur
    le brun des caresses de terre quand l’eau pénètre dans le sillon
    fragile
    elle se glisse dans le gris-jaune et vert des éclats de pierres
    dans l’ocre-roux des soleils
    pareil aux femmes qui s’évaporent dans les rêves des frissons
    pour garantir l’absence
    ajouter vos messages
    à la rose
    vallée
    que traverse la lueur
    feu des plumes d’artifices
    douceurs
    quand l’illusion est donnée par le temps
    en ouvrant ta fenêtre sur le vent qui bondit dans tes bras
    lueur
    paresses des formes
    ta main
    se presse au fond de mon coeur
    lueur
    violine, des vertes collines
    par les chemins de pierrailles escarpées
    au sommet des vertiges
    oliviers des citons
    dans les vignes des lueurs

  5. OSSIANE
    comment te le dire, tes photos, sont : encore et encore comme toujours
    «  »une « lueur » parfaite » »…
    éclatantes d’éclats de brumes de transparences de senteurs de soleil de mer d’ombres
    elles vivent
    elles donnent envie aux mots de se coller à elles
    aux pensées, aux illusions, aux rêves
    pour qu’ils se mettent
    en « harmonie » avec leurs formes et leurs couleurs
    comme une « lueur »…

  6. coulée de miel, la terre irriguée, le plus heureux d’entre nous , c’est Winnie l’ourson !!!

  7. Et la plaine irriguée balayée par cette lumière comme d’une douceur soudain qui se répand sur chaque chose et qui fait que la nuit sera douce et le plaisir plus grand. Passe un rayon de brume; un regard se pose; et se glisse dans l’air une chanson d’ailleurs comme un parfum d’oranger.

  8. Un joli voile de brume, tout offert en regard, veille paisiblement, serre toute délicate, et cet écrin précieux de velours d’amour songe, conserve si bel l’espace en partages amoureux, si douce respiration que cet instant du temps qui aime tout simplement, main dans la main paisibles, en regards silencieux chargés de pleins des temps, si belle sérénité que ce temps si vivant.

  9. Bonjour Ossiane,
    très longtemps que je n’étais pas venu mais j’ai vu une « lueur » alors je me suis arrêté.
    Tes photos suffisent à elles même !

    Une lueur sur mon visage,
    Le soleil levant,
    Erreur ! ton beau sourire…

    En espérant que tu ailles bien.
    Au plaisir !
    Bises,
    OLIVIER

  10. ………………………………………………

    Il y a là,
    Quelques petits points……..
    Qui me fascinent :

    ………………………………………………

    Les petits points blancs
    Par dizaines parsemés,
    Disséminés, éparpillés,
    Flottent joyeusement
    A la surface d’un
    Miel
    Coulant,
    Collant,
    Ondoyant
    Quelques grainpoints (*)
    Rajoutés
    Et tout est transformé !

    ………………………………………………

    (Ossiane, ôte moi d’un doute, tu les as rajoutés un à un ? )

    ………………………………………………

    Nouveau mot pour notre dico :

    (*) Le grainpoint : minuscule petit point très léger, qui a tendance à parsemer les images d’Ossiane depuis quelque temps ! Sorte de petit grain de sel pour mieux « pimenter » ses images, et c’est superbe !

    ………………………………………………

    Biseeeeees égrenéeeeeeeeeeees

  11. Coulée de mots vifs et clairs
    sur les flancs offerts de l’instant…
    La source s’abreuve d’eaux fraîches,
    de figues et de ciel.
    L’on se couche parfois
    dans la profondeur du regard.
    Et des torrents nouveaux,
    passagers éblouis,
    franchissent les impossibles lueurs
    de l’aube devinée.

    Magnifique, Ossiane. Merci pour ton Oeil grand ouvert sur les beautés de ce monde 🙂

  12. j’aime bien ton texte « aspe »
    ps:dis moi est ce « citrons » qu’il faut lire au lieu de « citons » (?) mais ça n’enlève rien à ta poésie !

    —–

    Pluies sur la vallée
    ondées d’or et de lumières
    terres du bonheur

    —–

  13. Tapis comme des souris des champs
    Nous écoutons les bruits voisins de la ville
    Et batifolons comme des enfants

    Qui découvrent ébahis le printemps!
    Dans les jardins environnants
    Quelques voix se font entendre !

    comme une brume claire et légère
    le silence doucement s’installe
    Et se mêle à l’odeur de la terre !

    On perçoit Un léger bruissement
    un léger va et vient incessant
    Comme un animal qui arpenterait

    son terrier à l’orifice broussailleux
    Y déposant quelques sécrétions
    En émettant des bruits rocailleux.

    Tu ouvres légèrement les paupières !
    Paisible, la lueur de tes yeux
    Profond brillent de mille feux !

    Dérangé par l’obscénité du temps
    nous marchons vers d’autres saisons !
    En mémoire , ce panorama éclatant

    Le parfum de ta chair m’enivrant
    Le grain de ta peau s i exquis!
    Tu me mordilles en susurrant

    Des mots qui résonnent encore
    Dans la chambre noire de mon âme
    Dans laquelle repose lascif ton corps !

  14. Au loin dans la brume
    Au loin sous la vague

    Une terre étrange
    Une terre de liberté

    Là bas est née ta déraison
    Là bas est née ta liberté


    Dévalent tes passions

    Coulent tes mots tendres

    Fluides et limpides
    Sincères et profondes


    Tu as accepté ma présence
    Aucune question
    Aucun reproche
    Jamais


    J’ai pris trop de place
    Que de conseils
    Que de questions
    Toujours

    Pourtant là bas
    Un regard suffit
    Pour tout dire
    Pour tout comprendre

    Une terre
    Où les mots ne parlent pas
    De ne pouvoir exprimer l’évidence

    Une terre
    Où il fait bon déguster
    Le miel caché derrière les sons

    Une terre…
    De sa magie est née
    Une attirance irrésistible

    Real Dream or Virtuel Reality…

  15. Merveileuse impression , à peine a t on allumé la veilleuse
    que cette coulée point trop turbulente nous éprouve.
    Avec le miel on ne va pas se la couler douce, coller peut être !
    Et toujours la lumière qui vient souligner quelque détail
    assortir et compléter une vision mouvante
    parsemée d’un semis qui eut pu être de vair
    et dans cette agitation particulaire
    sentir d’où vient la lumière

  16. « Je cherche le lieu fidèle, la trame,
    Le secret des secrets à senteur d’océan,
    Le latin insensé où les ruisseaux foisonnent
    La lueur rebelle et la fleur du temps… »
    Andrée Chedid

  17. Là-bas, une douce clarté
    déploie son murmure

    Ecoute ce chant précieux
    au creux de la vallée

    Ecoute !

  18. Rendez-vous aujourd’ui dans mon jardin, la terre m’a livré ses secrets je lui ai prodigué tous mes soins, bon échange entre nous ….
    Bonjour chers amis, je découvre de beaux textes aux parfums exquis, merci à tous.
    __

    L’île de beauté
    Une terre aux reflets d’or
    La douceur du miel

    La brume sucrée
    Quand elle inonde la plaine
    La saveur de l’été

    Lueur caressante
    Au goût friand de l’amour
    Regard de tendresse
    ___

  19. Il la regarde si doux
    Elle se détourne un peu
    Puis son regard le plonge
    Elle se vit tant en lui
    Dans l’ombre de ses yeux
    Sa lueur en regard
    Elle lui confie intime
    Puis elle s’approche encore
    Et le poème se tait
    Laissant à eux tous seuls
    Le beau goût de miel d’or
    D’un regard si profond
    Que la terre se dérobe
    Et que tous deux serrés
    Dans l’étincelle à eux
    Se laissent bels portés
    Hauts de si bel élan

  20. Aucun souci, je retire votre image. Cette image m’a été transmise, je ne pensais pas utiliser cette image de manière illicite. Désolée d’zavoir pu vous contrarier. Namasté

  21. Christineeeeeeeeee, on a beau vouloir retrouver son serieux, c’est impossible quand tu es dans les parages ))) Tu es trop!
    Bisou à Annick en passant.

  22. T’as bien raison! Respirer Expirer ne nous fait pas de mal !! Cela dit, j’ai une question qui concerne l’usage du mot grain-point. Est-ce que ce mot ne doit s’appliquer qu’aux photos d’Ossiane? Il ne faut pas que je fasse des contresens en cas d’utilisation ))))
    Et peut-on en étendre son usage aux textes ( les parsemer de grain-points, ça doit faire joli aussi non ? )

  23. Je savoure ces images aux couleurs de vanille et pistache, fruits du soleil. Est-ce l’éclat du calligramme d’Ossiane ou mes yeux qui pétillent de mille étoiles d’or ? En langage Christineeeeeeeeeeee ….qui pétillent en « grainpoint »

    ___

    Lueur éphémère
    Métamorphose d’énergie
    en « coulée de miel »

    Le regard brillant
    Les papilles en alerte
    La scène alléchante

    Manne du soleil
    Le miel au parfum de fleurs
    Ruches des vallées

    ___

    Belles images butinées dans ce périple corse.
    Bonne soirée à tous clin d’oeil à Christine et bonne journée à Lou avec un usage modéré de « grain point »

  24. Bonsoir Monique et que ta vie soit parsemée de grains points !! J’ai pas attendu l’accord de l’Académie pour commencer à utiliser le terme …
    C’est que grain point est un mot de poésie qui doit circuler en toute liberté sans qu’on lui demande ses papiers, à chaque fois qu’il pointe le nez dehors ! ))))))
    Bisous

  25. Annick
    Qu’il est beau ce regard d’amour , il a la douce saveur du miel et la couleur chaude du soleil. J’ai trouvé très beau ton poème d’amour de ce soir comme c’est bon d’aimer.

  26. Tu as raison Lou, si c’est un terme de poésie, il est à utiliser sans aucune modération, le langage poétique d’ailleurs permet bien des libertés en matière de vocabulaire, je me souviens d’avoir lu un livre utilisant le mot « crapauder » je crois, et je m’étais bien amusé donc « grainpointons » en toute impunité.

  27. bonsoir Ossiane,

    Cela fait si longtemps que je n’etais pas passé te voir… 3 ans environ. Mais ton blog est toujours aussi doux, et tu fais partie de notre histoire, à Florence et à moi. Au fait, nous nous aimons toujours!
    (ne publie pas svp c’etait juste un petit coucou)

  28. Des mots inventés qui ont fait leur chemin :

    TUBE – mot inventé par Boris Vian en1957
    SURREALISME – mot inventé par Appollinaire en 1917
    PROLETAIRE – mot inventé par Jean-Jacques Rousseau en 1761

    et combien d’autres…….

  29. Joli verbe Monique, grainpointer est définitivement entré dans le dictionnaire de l’Oeil ouvert. On peut ainsi grainpointer au stylo au feutre ou au crayon, mais ça reste un travail fait main, qu’aucune machine ne peut imiter et dont la valeur est sans pareille 😉
    Merci pour l’info sur les autres mots.

    Sabine, tu n’es pas en hors sujet puisque miel et abeille font partie de l’apprentissage de la vie de Mowgli, on les a vus.

    Philippe, on est heureux pour vous, mais permettez moi quand même de dire que vous êtes un deserteur de blog => trois ans sans mettre les pieds ici, il a dit ;)) ( Ossiane est en ce moment un peu occupée, c’est pour cela qu’on se permet de vous répondre à sa place )

    Cela dit, moi mon contrat de matelot stagiaire va bientôt expirer et je me demande si elle me le renouvellera, vu les libertés que je prends de répondre pour elle…!!
    Allez assez rigolé
    bisous à tous et faites de beaux rêves.

  30. faites de beaux rêves…..
    Il en faut peu, pour être heureux, mais il faut quand m’aime ce peu….SOURIRE.

  31. J’avais un doute sur le mot crapauder, trop proche étymologiquement de crapaud Il s’agissait en fait du mot « crabauder » et le livre est de Quentin Lamotta : le Crabaudeur.
    « j’aime beaucoup crabauder, ça me dénuage la tête et ça décrassouille le vocabulaire….. »
    quant à moi je vous dis bonne nuit et à demain.

  32. >Monique : la crapaudine existe bien, alors pourquoi pas crapauder ?
    CRAPAUDINE1, subst. fém.
    MINÉR. Pierre précieuse formée par une dent fossile de poisson, employée par les joailliers. Enchâsser une crapaudine.

    Je verrais bien comme définition pour crapauder : sauter comme un crapaud en pamoison !

    > Lou : Monique a raison : grainpointer en un seul mot ! Notre dico avance !

    je viens vous dire « Bonsoir »,
    Je vous quitte donc sur la pointe des pieds, le regard embrumé par un sommeil
    qui, lorsqu’il me gagne, ne me quitte plus.
    Biseeeeees et
    A demain !

  33. Christine

    Bonjour
    J’ai rectifié hier en fait il ne s’agissait pas de « crapauder » qui semble ne pas exister alors que l’on trouve en effet crapaudine, mais de « crabauder » mis en application par l’écrivain Quentin Lamotta , tu avoueras que je « grainpointe » sur les mots!! si tu préfères je tatillonne en mettant des points non sur les « i » mais sur les « mots ».

  34. Je souhaitais manger ma tartine
    J’donnais déjà un coup d’canine
    Délicieuse tartine au miel
    J’étais déjà au septième ciel

    Quand soudain droit sorti du pot
    L’ abeille me dit « toi l’asticot »
    Je la regardais étonné
    « eh toi l’abeille tu sais parler »

    Qu’importe me dit-elle ma belle
    je lui dis non « moi c’est Rachel »
    l’dialogue de sourd commençait bien
    j’étais dans un sacré pétrin

    Puis elle pris un ton très sérieux
    Je l’ai écouté de mon mieux
    Sais-tu le travail qu’il nous faut
    La peine, le labeur et l’boulot

    Qu’il nous faut faire pour qu’des humains
    Engloutissent tout un beau matin
    Et toutes les heures supplémentaires
    Sortent pas du pot de la crémière

    Je perdrais fil dans le discours
    Je me fis douce comme du velours
    Et je lui dis « reprends le pot »
    « il n’est pas digne de l’asticot »

    Elle vit alors mon désarroi
    Et mon café qui dev’nait froid
    Elle me dit « ça va pour cette foi »
    Mais « réfléchis, t’es blonde* ou quoi !»

    Depuis je dévore du pain sec
    Dès qu’il arrive j’ouvre le bec
    Et puis j’essaye de m’envoler
    Y’a pas d’raison j’vais y’arriver

    * sachant que j’en suis une je me permets

  35. La lueur n’est pas un leurre, mais dans ce plan large
    elle pointe l’origine de la lumière et décale les couleurs

  36. Le ciel il a soufflé
    Sur sa bougie toute douce
    Et ses étoiles se tombent
    Tendrement la vallée
    Qui prend le teint de pêche
    Se secoue ses paillettes
    De tendre nuit rêvée


  37. Le temps, mon temps , est la poignée de sable
    Qui brûle les yeux
    Rien que dans l’essence constellée croissent
    Les forêts et ses éclairs.
    Et que la pénombre entachée de transparence
    Soit toujours l’étoile et ses exils
    Parce que du bruit d’une désobéissance
    Naît encore la nuit et ses bruissements
    D’argile, tatouage indélébile
    L’aile de l’oiseau de nuit
    Embrase la rosée des tentations
    Disposée pour chaque grain d’éternité,
    Fait le compte de ses heures
    Signes ou secrets
    Que viennent le vent et sa brûlure
    Et la vague du monde pour y rester.
    Je fuis une soif éternelle
    Papillon agrafé à l’ambre mélancolie.

  38. j’aime bien ton texte “aspe”
    ps:dis moi est ce “citrons” qu’il faut lire au lieu de “citons” (?) mais ça n’enlève rien à ta poésie !
    —–
    Rédigé par: amichel | le Mercredi 21 mai 2008 à 14h53| Alerter

    22222222222222222222222222222222222222222
    c’est :  » citrons  » , – l’ « R » a pris l’air –

  39. Une atmosphère lourde et pesante étouffe le chant des oiseaux….

    ___

    …….Lourdeur des nuages …..
    ……………………………Le ciel écrase la terre…..
    ……………………………………………………Lumière tamisée…..

    ___

    La montagne se voile de brume et s’enveloppe de mystère….les mots planent au dessus de la vallée et s’inscrivent dans une coulée de miel….

  40. A notre chère Rachel,
    L’asticote blonde
    En mailleprise
    Avec sa tartine
    Toute de miel étalée,
    Et Madame l’Abeille
    Travailleuse acharnée,
    J’ai trouvé un ami,
    Avec lequel tu pourrais
    Bientôt t’envoler
    Au septième ciel
    Sans faire de mal
    Au miel des abeilles !
    C’est un autre asticot
    Il s’appelle : Hugo !

    Hé Lou, Monique, mailleprise, ça existe ou on le met dans le dico ?

    ____

    http://lilipuce.fr/images/art/art_lhedr/Droles_de_petites_betes_Hugo_l_asticot_1107883767.jpg

    ____

    Biseeeeeeeeees mielléeeeeeeeeeeeeeeees

  41. A cette Lou répondant à Philippe à la place d’Ossiane c’est trop drôle. C’est qu’elle l’enguirlande presque parce qu’il avait déserté. Tu es unique Lou et charmante. Merci Christine pour Hugo. Je me suis rappelé quand mes deux petits bouts lisaient ça quand ils étaient petits. et là j’ai pris un coup de vieux ! D’un coup ! Bon et bien il est 15 h 30 je vais aller faire une sieste, boire ma tisane et commencer ma nuit.

  42. Chère Christineeeeeeeeee
    mailleprise n’existait pas, tu en est donc l’heureuse auteure. Il entre dans le dictionnaire bien entendu. L’effet un peu pléonasmatique de la combinaison accentue son caractère. « Maille » et « prise »en conjonction révèlent une situation inextricable entre Rachel et sa tartine !! )))))
    Rachel bisou ou grainpoint si tu préfères ! ;))

  43. Moques toi de moi Lou avec ma tartine. Tiens ! j’ai le miel qui dégouline
    Mes amis il nous faut mener l’enquête. Une personne n’a plus rien écrit depuis le 19 mai à
    2 h 53.
    Première interrogation : cette personne n’est t’elle jamais fatiguée ?
    Deuxième interrogation : A t’elle été kidnappé par un forcené jaloux de ces photos et de son blog
    Troisième interrogation : Va t’il arriver la même chose à chaque blogger ?
    Je vous propose d’être vigilant. Soyez attentif lorsque vous cliquer sur les touches. Ne vous observe t’on pas à votre insu ?

    Eh rien de grave j’espère Madame O.

  44. Rachel, il faut permettre à Madame O de respirer (expirer) un peu. Elle doit être en mailleprise avec son boulot comme ça arrive à tout le monde, elle nous reviendra ne t’inquiète pas.
    ( Le capitaine va sûrement me garder dans le bateau, vu que je remonte le moral des troupes, pardon des matelots !…)

  45. Et puis ne deviens pas parano !! Une tartine et elle est partie, c’est pas du miel qu’il y a dans ta tartine, c’est ché pas un excédent de grainpoints ou une autre forme de poudre )))))

  46. c’était donc ça ces petits points blancs dans ma tartine.
    Tu as raison Lou je m’inquiète je m’inquiète mais en effet elle doit être en mailleprise avec son travail. Et elle nous laisse nous, ses enfants, sans surveillance……Houin Houin

    – Mâtelot Lou il vous faut remonter le moral des troupes. ça braille de partout. Et puis y’en a qu’il faut changer. Allez Mâtelot Lou du courage !

  47. Ok alors avec moi alors !

    Il était une Ossiane
    pirouette cacahuette
    Il était une Ossiane
    qui nous emmène dans son bateau
    qui nous emmène dans son bateau

    Ces photos sont des soleils
    pirouette cacahuette
    Ces photos sont des soleils
    Et ses poèmes nous font rêver
    et ses poèmes nous font rêver

    Certains la croient kidnapée
    pirouette cacahuette
    certains la croient kidnapée
    mais d’ sa prise maille va s’échapper
    de sa prise maille va s’échapper…

    Sur ce , j’ai assez fait l’andouille. je file.

  48. Que cela ne nous empêche pas de dire bonsoir à Ossiane, je suis sûre qu’elle jette de temps à autre un oeil sur ses « troupes » (je n’aime pas beaucoup ce mot trop proche de troupeau des moutons de Panurge.

    ___

    Il y a sur la campagne une suave lumière
    J’aime cette lueur crépusculaire où la nature s’estompe
    Les ombres accentuent l’intimité des lieux
    Le coeur à cette heure communie en poésie
    Quand les mots humblement s’y promènent
    Le silence qui les entoure protège le rêve
    Le soleil joue ses dernières cartes de séduction
    Elles ont la couleur de l’or, le goût du miel
    Le jour doucement s’efface et confie le poète à la lune.

    ___

  49. Grainpoints grossis x 1 000 000 000 000 000,
    peut-être même plus :

    …………………………………….

    http://www.astrosurf.com/luxorion/Documents/agriculture-irrigation-wadi-rum.jpg

    …………………………………….

    Lorsqu’il est bien irrigué,
    Avec une eau très claire,
    Le grainpoint prend une teinte
    Qu’on n’aurait pas imaginée !
    Eh oui, le grainpoint peut être vert !

    Une irrigation menée
    Avec du miel à satiété
    Produira une teinte jaune orangé
    Le grainpoint sera mûr à point !

    Si vraiment vous préférez
    Garder cette belle teinte blanche
    Complètement immaculée
    Demandez à Ossiane,
    Elle seule détient le secret
    Des grainspoints argentés !

    Le tout est d’avoir l’appareil
    Pouvant grossir ces merveilles
    Pour une vision maximale
    Un grainpoint colossal !

    Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeee

  50. Alors on se papote, on se fait un café, on se voit tout de vrai, pour se parler vraiment, se regarder lueurs dans nos yeux si ravis de retrouver l’instant qui brille au firmament, et la lueur si belle, se garde dedans deux mains, chaude et toute jolie, c’est si beau la rencontre, dans la lueur du vrai de belle vérité.

  51. Et quand on aime vraiment
    La lueur étincelle
    Réanime au présent
    L’instant doux éternel
    Qui aime tout simplement

    coucou à chacun, je vous lis,et souris,
    coucou à Ossiane, bon courage et soutien,
    coucou de roucoucou le bâteau ne prend pas l’eau, de si précieux gardiens….

    de cet album si grandque mes jours s’en souviennent, de le regarder souvent, comme un livre de miel, qui me butine douce, et m’envole mes ailes, bzzzbbbzz, comme c’est beau, chaque page regardée, bue dans ses mots précieux, un calice, un présent qui s’accueille des deux mains qui aiment infiniment…

  52. Lueur quand tu nous prends dans ton coup d’oeil doré
    Lueur quand tu jaillis de la plaine mordorée
    Lueur quand tu promènes ton pinceau dans le ciel
    Pour revêtir la terre de sa robe de miel
    Lueur quand ta bohème de tableau en tableau
    Nous entraîne dans le jour et au fil de l’eau
    Lueur quand dans la nuit le bateau se détache
    Pour parcourir les rêves que la vie peint en gouache
    Lueur dans la douceur d’une splendeur mystérieuse
    Nous apportant la grâce la beauté fabuleuse
    Lueur quand on partage les rires et les sourires
    De ces moments joyeux qui nous font accourir

    Et je pense au bateau de Winslow Homer : sailboat and fourth of July fireworks
    http://www.thecityreview.com/grenvill.html
    Scroll down to see it

  53. Dernière

    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeurrrr

    Du Soleil
    Qui se fond
    A l’horizon !

    Première

    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeur
    Lueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeurrrr

    De la Lune
    Qui apparaît
    Derrière la brume !

    Bonne nuit !

  54. « lueur pour : LOU  »

    facteur cheval…
    Non, je suis…je suis…, encore un petit effort,
    sinon O. vous le soufflera…

    mais à quoi bon, est-ce important
    « montreur d’ours,
    arracheur de dents
    cracheur de feu
    Léopold l’éléphant
    gaspard vétérinaire pour « dromaludaires »
    bec de gaz
    pont à Mousson
    laveur de carreaux chez un marchand de tissus
    coche d’eau
    facteur à tracteur
    roue crantée
    papier à lettres
    oiseau lyre
    tourne broches
    fours à pains
    pâtés en croûtes
    riz au lait
    chien fidèle
    berger des Pyrénées
    aspirateur à manivelle
    je suis , je suis …
    DADA…viva DADA
    DADA vivra
    étranger dans le bus à MAKAO et MONACO
    rivage des côtes bretonnes
    pêcheur à la ligne
    escargot volant
    tournois de pétanque
    Marius, elle vient cette Mauresque?…
    ………………………………………….
    ENFIN LA LUEUR OSSIANE…

  55. A la lueur de ton regard
    Je suis ébloui

    Permets que je te dise
    Ta lumière me grise
    Qui vient frapper ma terre
    Au poids d’une caresse

    Le chaud se fait fraîcheur
    Le froid donne chaleur
    Qui vivifient ma terre
    Au prix d’une caresse

    Tes yeux me font un monde
    Dans lequelles se fondent
    Toutes mes vieilles terres
    Mes manques de caresses

    Le doux se fait ardent
    Le dur va chantant
    Ils déposent sur ma terre
    De furtives caresses

    Le miel devient décor
    La brume s’évapore
    En abreuvant ma terre
    La couvrent de caresses

    Puis-je encore te dire
    Que le poète pressent
    sans connaître pourtant
    Que ta lumière est onde
    Que ta lumière est grains (1)
    Sur elle, il se fonde
    Par elle, il est sans faim
    Il te donne sa terre
    Ses pas y sont caresses

    (1) Pardon Thierry, là, je t’ai peut-être piqué une idée !
    (2) Photons ; photons, nous serons pardonnés
    Il est vrai que Lou m’a bien aidé

  56. Brume dans le regard,
    non,
    dans mes yeux,
    lueur maligne, lueur coquine,
    rien que pour lui…

  57. Lueur du soleil, je suis làaaaaaaaaaaaaaaa, juste un peu de brume qui me cachait! Bonne nuit à toi
    et puis ASPE vous êtes une toile surréaliste !!
    Bisous à tous et grainpoints

  58. comment résister à tout ce miel, impossible, envie de butiner, butiner, butiner…

  59. pour SABINE
    B
    butiner
    verbe intransitif, verbe transitif

    Définition Synonymes Conjugaison

    Définition

    butiner, verbe intransitif
    Sens 1 Recueillir le nectar et le pollen des fleurs, en parlant des abeilles [Zoologie]. Anglais to collect nectar
    Conjugaison voir la conjugaison du verbe butiner
    butiner, verbe transitif
    Sens 1 Recueillir le nectar et le pollen des fleurs, en parlant des abeilles [Zoologie].
    Sens 2 Glaner [Figuré]. Synonyme grappiller
    Conjugaison voir la conjugaison du verbe butiner
    butiner : 2 définitions

    Synonymes

    butiner : 4 synonymes.
    Synonymes glaner, grappiller, récolter, recueillir.
    butiner : 4 synonymes

    Conjugaison

    Conjugaison du verbe butiner (verbe du 1er groupe)

    Indicatif
    Présent
    je butine
    tu butines
    il butine
    nous butinons
    vous butinez
    ils butinent

    Passé composé
    j’ai butiné
    tu as butiné
    il a butiné
    nous avons butiné
    vous avez butiné
    ils ont butiné
    Imparfait
    je butinais
    tu butinais
    il butinait
    nous butinions
    vous butiniez
    ils butinaient

    Plus-que-parfait
    j’avais butiné
    tu avais butiné
    il avait butiné
    nous avions butiné
    vous aviez butiné
    ils avaient butiné
    Passé simple
    je butinai
    tu butinas
    il butina
    nous butinâmes
    vous butinâtes
    ils butinèrent

    Passé antérieur
    j’eus butiné
    tu eus butiné
    il eut butiné
    nous eûmes butiné
    vous eûtes butiné
    ils eurent butiné
    Futur simple
    je butinerai
    tu butineras
    il butinera
    nous butinerons
    vous butinerez
    ils butineront

    Futur antérieur
    j’aurai butiné
    tu auras butiné
    il aura butiné
    nous aurons butiné
    vous aurez butiné
    ils auront butiné

    Subjonctif
    Présent
    que je butine
    que tu butines
    qu’il butine
    que nous butinions
    que vous butiniez
    qu’ils butinent

    Passé
    que j’aie butiné
    que tu aies butiné
    qu’il ait butiné
    que nous ayons butiné
    que vous ayez butiné
    qu’ils aient butiné
    Imparfait
    que je butinasse
    que tu butinasses
    qu’il butinât
    que nous butinassions
    que vous butinassiez
    qu’ils butinassent

    Plus-que-parfait
    que j’eusse butiné
    que tu eusses butiné
    qu’il eût butiné
    que nous eussions butiné
    que vous eussiez butiné
    qu’ils eussent butiné

    Conditionnel
    Présent
    je butinerais
    tu butinerais
    il butinerait
    nous butinerions
    vous butineriez
    ils butineraient

    Passé
    j’aurais butiné
    tu aurais butiné
    il aurait butiné
    nous aurions butiné
    vous auriez butiné
    ils auraient butiné

    Impératif
    Présent
    butine
    butinons
    butinez

    Passé
    aie butiné
    ayons butiné
    ayez butiné

    Participe
    Présent
    butinant

    Passé
    butiné

    Infinitif
    Présent
    butiner

    Passé
    avoir butiné

    Gérondif
    Présent
    en butinant

    Passé
    en ayant butiné

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