Aventure

La Balagne

La Balagne

La Balagne

La Balagne

La Balagne

N’oubliez pas de cliquer sur la photo pour agrandir le champ La vallée du Reginu

Un autre monde, la vallée des merveilles, les portes d'un jardin

Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, centre

Un autre monde
la vallée des merveilles
les portes d’un jardin

Nous descendons de la montagne escarpée avec ses petits villages suspendus… Panorama sur la vallée du Reginu qui fut autrefois surnommée Jardin de la Corse pour l’abondance de ses récoltes et la fertilité de son sol. Au loin, le lac barrage de Codole. Voir la Carte de Corse

Aventure… quel mot n’ai-je pas prononcé là! Ce fut La grande évasion pour vous tous! L’Aventure vous a fait vagabonder sur de multiples chemins d’écriture … Vous y avez projeté de beaux rêves à votre image. J’ai choisi le voyage des songes de Bruno, l’exploration intérieure de amichel et la rencontre d’un inconnu de Bourrache.

Si les anges puisent mes rêves en taciturne rosée
Je pleure mille poètes en sublime voyage
Où l’horizon vainqueur de l’azur élancé
D’un ciel bleu limpide des êtres posés

Lutte funèbre des remous des ténèbres
Et si la clef nous ouvre la porte des songes
Pénètre la lumière de mon âme cafarde
La houle est si forte que mes larmes chavirent

Bruno (son blog)

Partir au loin
Où le ciel à la mer se mêle
Donner sa fatigue aux requins

Boire à la source des fontaines
Ecouter le chant de l’alouette
Et suivre le vol de la mouette
Que caresse le vent
Déchiffrer le poème de l’hirondelle

Partir au loin
Suivre la caravane des nuages
Cueillir la rose du désert
Chercher l’ombre des palmes et l’oasis
Suer à la chaleur des braises
Et dans la neige se rouler

Partir au loin
Dans le sourire d’un enfant
Dans les chemins de vie de la main d’un(e) ami(e)
Aller s’il faut à cloche cœur
Dans le pré clair où le bonheur se cache
Se parer d’un collier de perles de pluie
Et des étoiles à ses oreilles

Partir au loin
Dormir dans le soleil couchant
Et se lever avec l’aurore

Partir au loin
Dans le pays du jardin bleu
Où le cœur se repose

amichel

Ouvrir la porte à l’inconnu
L’inviter à sa table
Le regarder poser son baluchon avec précaution
Accepter la poussière des terres du monde
Que tracent ses godillots

Scruter l’océan de ses yeux
Où planent des tempêtes
Ecouter les mains qui racontent
Tous les chemins parcourus
Le sang, les cailloux, la mouette

Les lèvres dansent la chanson du vent
Du temps qui tourne sur lui-même
Et avalent goulûment
Quelques miettes
Eparpillées par les absents

Ne pas dire un mot. Le regarder s’en aller.
Refermer la porte. Humer les effluves
D’aventures qu’il laisse derrière lui.
Se coucher dans un lit, clore les paupières
Accueillir le rêve où se mire l’infini.

Bourrache

208 réflexions sur « Aventure »

  1. On a l’impression que la troisième photo est une peinture tellement c’est beau et les couleurs aussi belles. La 5ème donne envie de se reposer avec une telle vue tranquille.

    L’aventure c’est voyager,
    voyager c’est apprécier,
    apprécier c’est découvrir,
    découvrir c’est sortir,
    et ainsi s’instruire,
    de la nature qui nous inspire.

    Bonne journée Ossiane.

    Cordialement,
    Poète.

  2. Village perdu
    Océan de verdure
    Cherche brin de vie
    ___

    Cloches et cloches
    Ne sonnent pour personne
    Monde sans échos
    ___

    Taches de couleurs
    Moutons, vaches, chèvres, fleurs,
    Rien à l’horizon
    ___

    Je crois que mon passage vers l’hiver s’annonce difficile … mais .. chuûûût … je veille sur vos rêves … et vos beaux mots à venir …

    Vraiment, du fond coeur, biz à toutes et tous.

  3. oasis, écrin, serpentin
    plénitude des lieux
    domaine des dieux

    —————————————-
    L’aventure c’est la balade en balagne
    comme ces paysages le soignent

    L’aventu(e)rra c’est près de la terre
    entre chaleur et poussière

    L’aventure ce n’est pas comme la devanture
    d’un voyagiste le laisse entendre

    c’est laisser libre court à l’observation
    doublée de contemplation

    quand le charme du site s’y prête
    une forme de quête

    L’aventure c’est tout sens dehors
    pour qu’aucun ne manque

    L’aventure totale c’est joseph Conrad
    celui qui ne reste pas en rade

    L’aventure c’est courir le Monde
    ou en soi enlever la bonde

    L’aventure c’est le choc de la rencontre
    qui remet tout en question

    L’aventure c’est visiter et apprendre
    regarder et comprendre

    L’aventure est ennemie des certitudes
    et le doute raissonable

    L’aventure nécessite d’être aventureux
    pour toucher les vents du voyage

    L’aventure nécessite d’être aventurier
    sans oublier ses devanciers

    L’aventure c’est la part du risque
    même si organisée

    L’aventure c’est la remise en jeu
    sur le tapis de la vie de la donne

    L’aventure c’est tendre sa main
    et lancer son coeur à perte de soi

    Me vient le souvenir du récit de la traversée
    des cévennes, avec ses ânes, de Stephenson

    L’aventure ce n’est pas la solitude c’est le plaisir renouvelé du contact
    et la rencontre multipliée d’un point à l’autre sans itinéraire préconçu
    selon l’inspiration, l’envie, l’état d’esprit.

    L’aventure n’est pas que vagabondage sans age , c’est une tentative
    tant hative parfois de tutoyer le monde là où seul le vouvoiement est possible.

    >Ossiane: merci de tes paroles apaisantes, pourtant le chagrin ne se partage pas il est…presque silencieux et la thaumaturgie ne fonctionne pas car le deuil c’est aussi le souvenir, les regrets et les larmes. :@>
    Superbe illustration dégradée, progressive,adoucie et ce mouvement lent de la pente qui s’amorce …et se corse 🙂 et dont on sent, on pressent qu’elle va nous entraîner loin, très loin.

  4. Mon aventure
    de vie
    Mon amour
    de mon jour
    Je t’aime

    j aime bien ta phrase Thierry, « L’aventure n’est pas que vagabondage sans age , c’est une tentative
    tant hative parfois de tutoyer le monde là où seul le vouvoiement est possible. »
    je te souhaite une fort belle journée, Bourrache.
    et Poète y met déjà l’accent…

  5. l’aventure c’est aller au bout de sois même
    au travers du monde
    au travers des rencontres
    pour y frôler la mort de ses ailes
    se brûler aux flammes du soleil
    visiter les entrailles de la terre
    se laisser aspirer par les trou noirs de l’univers
    en attendant la dernière aventure
    celle dont on ne revient pas
    et qui est la plus redouté.

    pensée vers thierry

  6. En haut, le village, la vie se vit derrière des murs de pierres, toute sa vie de vie, et pour chacun son age de vie, à penser la vivre sa vie,
    puis les cloches sonnent le temps d’une dernière rencontre avec la vie, avant de rejoindre le petit cimetière un peu plus bas, pour le tout bas de la vie,
    la colline se vit et se meurt, dans ses hauts et ses bas, car ainsi va la vie, dans son aventure comptée, limitée, et pas toujours choisie entièrement,
    la vie une aventure, un passage en sac à dos, sur la terre en sol, dans les airs par l’esprit, et pour l’âme un fort beau et merveilleux voyage pour qui aime la découvrir la vie..
    dans son bel sens d’Amour qui offre de la vie, et encore de la vie….

  7. descendre vers cette paume
    ouverte grande sous le ciel,
    cet espace de terre
    déroulé richement,
    prête pour des cultures
    comme un jardin des délices
    mes frères

  8. L’aventure

    Partir très loin sans regarder alentour
    laisser son pays sans penser au retour

    S’en aller en laissant derrière soi
    ses illusions, ses souvenirs et sa foi

    S’en aller sans rien emporter de la vie
    sans prendre part au lendemain qui sourit

    Partir sans jamais vouloir se retourner
    sans adieu? sans larmes prêtes à couler

    Partir sans main prête à vous retenir
    sans appui, sans amour et sans avenir

    partir en sachant qu’on ne reviendra pas
    sans espoir, sans révolte et sans fracas

    L’ Aventure pour but et l’âme à nu
    s’en aller au rendez vous de l’inconnu…

    Allez, bonne journée, je pars en rollers ce matin… l’aventure quoi ?

  9. Aventure de ma vie
    Je te glisse
    Te chuchote
    A deux
    On se tient chaud
    Tu es là
    Je te sens
    Prête pour moi
    Tu m’attends
    Je t’ai attendu
    Tant et temps
    Bottines cheveux au vent
    Pas menus si émus
    J’ose un pas
    Puis un autre
    Encore et encore
    Sur l’aventure du temps

  10. Des rencontres
    Rencontrées
    Mines de rien
    Mines de tant
    Bouleversements
    Des échanges
    Un parcours
    Qui se change
    Aventure découverte
    Fenêtres toutes ouvertes
    Pour saisir de la vie
    De la richesse ses merveilles
    Des êtres si riches
    De la magie du miracle de la vie
    A se vivre

  11. Hello Ossiane ,

    Si les anges puisent mes rêves en taciturne rosée
    Je pleure mille poètes en sublime voyage
    Où l’horizon vainqueur de l’azur élancée
    D’un ciel bleu limpide des êtres posés

    Lutte funèbre des remous des ténèbres
    Et si la clef nous ouvre la porte des songes
    Pénètre la lumière de mon âme cafarde
    La houle est si fortes que mes larmes chavirent

    Je t’embrasse Ossiane et rassure toi je vais bien !!! 😉 c’est que j’aime écrire comme cela

  12. merci de glisser un e à attendu.. merci Ossiane. Belle journée.

    magnifique Bruno, c’est fort beau, si beau, je te reconnais sans problème, les yeux fermés, enfin. presque.. et chacun..
    heu? merci d’ajouter ta phrase qui me rassure, bises de ce matin.

    c’est pourquoi, si je m’écoutais je dirai après les mots de chacun, j aime oh j aime, car j aime tellement le chacun en chacun, si singulier, qui fait cette richesse de page sur ce superbe album, diaporama de vie, flacon de parfum aux mille essences, au toucher doux et cruel de vie comme la vie, où les miels des rayons se posent et aussi les orages tous sombres, LA VIE, un si bel album de VIE que nous offre Ossiane, et que chacun, en déposant quelques pores de peau, d’âme, de coeur, rend vivant infini…découverte, richesse.. J’AIME l’aventure de VIE qui rend VIVANT plus encore!

    C’est bête de moi mais ta petite phrase me fait du bien, Bruno… j’aime tant quand la main de lumière s’offre tout douce et fait danser l’âme vers son meilleur, son petit coeur tout chaud… le sombre quand il passe et repasse, c’est déjà bien assez de le voir, j’aime bien voir ses talons.. sourire! mais c’est vrai que le sombre almène beaucoup à voir à aussi…

    Un soleil géant encore ici, allez youpssssssssss, je m’éjecte vers dehors….ma belle aventure de vie, je te suis….

  13. Bonjour à vous toutes et tous

    Des photos de rêves, un calligramme et un haîhu qui invitent au voyage

    Belle journée. Ici, le soleil nous accompagne…et la neige a disparu, ouf!!

    Des rêves à la clé
    L’aventure nous sourit
    Voyage intérieur
    _______________________

    Par-delà les cîmes
    Des fruits d’or à profusion
    Le jardin d’Eden

    _____________________

    Symphonie pastel
    La palette du peintre
    Décor de voyage
    ________________________
    Plier bagages
    Partir, c’est mourir un peu
    Merveilleux voyage

    Bises aux rêveurs éveillés de l’Oeil Ouvert!

    _

  14. aventurier

    Femme
    Comme un aventurier
    Je parcours ta terre
    De tes pieds escarpés
    A la forêt de tes cheveux ondulés
    Je longe tes jambes altières
    Comme de longues cordillères !
    J’arrive à tes deux roches
    Ou difficilement je m’accroche
    Je me dirige vers l’estuaire
    Ou la vie prend l’air ;
    Et monte sur le mont pubis
    Comme chercheur d’or et de rubis !
    Ecartant cette brousse
    Blonde, brune ou rousse
    J’y découvre une faille mystérieuse
    Ou coule une substance sirupeuse.
    Ou gronde un magma de désir
    Ou je prends du plaisir.
    Je continue sur les sables mouvants de ton ventre
    Cachant le mystère dans son antre
    Ressemblant par moment a un plateau
    Ou Je m’assoie à même la peau.
    Parfois rebondi comme un volcan
    Mais ça ne dure qu’un moment.
    Parfois ondulant comme des dunes de sable
    J’en profite pour me mettre à table.
    J’admire les deux hémisphères
    Qui nourrit de son lait la terre !
    Comme deux tours jumelles ?
    Qui avec le temps s’écroulant sur elles.
    J’escalade la falaise du menton
    Comme un authentique breton.
    Et me repose sur une souche
    .Emerveillé sur le gouffre de ta bouche
    Ou se cachent des perles d’émail
    Qui me mènent à tes entrailles !
    Je rentre dans les grottes de ton nez
    Affrontant les terribles alizés
    Je découvre subjugué deux lacs
    Ou je plonge mes yeux. Entrelacs.
    Un jour je reviendrais
    Maintenant que j’ai parcouru l’adret
    M’aventurer avec mon sac
    Sur les zones inconnues de l’ubac.

  15. Je voudrais vivre dans un endroit tel que je pourrais sans cesse voir la met , le ciel , les montagnes.
    J’ ai faim et soif de chaleur , de vent , de pluie , de lumière. Reconnaître les lignes sinueuses des rivières, entendre gronder l’eau , sentir le passage de l’air.
    …Je voudrais retrouver les pays où personne ne parle , les pays de bergers et de pêcheurs où tout est silencieux , dans le vent et la lumière.
    Le poids de la mer , celui du ciel et du vent appuient sur la pierre , elle résiste…Frontières des pays silencieux et inexpugnables , les rochers larges , aux couleurs mates , qui sortent à peine de la terre , pareils à des icebergs lourds , tels que le temps les a figés , plis , brisures , failles , éclats durcis par le froid et le soleil , le temps qui passe.
    …Alors je laisse grandir le désir et je pars avec ceux qui volent et m’emportent sur leur vent.
    Où vont -is ?

    LE CLEZIO ( L’inconnu sur terre )

  16. Revenant d’aventure il a posé son sac un soir d’orage.
    C’est ici, a-t-il dit, que ma vie commencera.
    Je voudrais que mes os reposent en ce champ clos et se dorent au soleil pour la grande aventure.

    et « la houle est si forte », Bruno, « que mes larmes chavirent ».

  17. Un village d’aventure perché en nid d’aigle sur son aire
    Le cimetière tout blanc à l’écart sur le plat
    Dans un autre monde les ennemis réconciliés
    La plaine en ouverture pour les vivants
    En lendemains chantants
    Comme battent les portes des jardins
    Au vent de la nuit.

  18. Les rochers fracassés par les années sauvages
    Ont offert l’inattendue merveille,
    Un éventail de fraîches vies
    Aux gais buissons d’enfants
    Aux allées d’amoureux.
    Aux fenêtres de chat
    Se nourrissant d’été.
    Les vieux,
    Ceux du roc,
    Ceux des mains sculptées
    Aux pleurs de la terre,
    Sourient en voyant ces sources de vigueur.
    Et de petites rides, comme des sillons de prés,
    Apparaissent au coin de leurs yeux brillants.
    Les rochers fracassés par les années sauvages
    Eclairent les yeux des anciens.

  19. Ouvrir la porte à l’inconnu
    L’inviter à sa table
    Le regarder poser son baluchon avec précaution
    Accepter la poussière des terres du monde
    Que tracent ses godillots

    Scruter l’océan de ses yeux
    Où planent des tempêtes
    Ecouter les mains qui racontent
    Tous les chemins parcourus
    Le sang, les cailloux, la mouette

    Les lèvres dansent la chanson du vent
    Du temps qui tourne sur lui-même
    Et avalent goulûment
    Quelques miettes
    Eparpillées par les absents

    Ne pas dire un mot. Le regarder s’en aller.
    Refermer la porte. Humer les effluves
    D’aventures qu’il laisse derrière lui.
    Se coucher dans un lit, clore les paupières
    Accueillir le rêve où se mire l’infini.
    ___

    Grand brin de soleil aujourd’hui.

    Belle journée à tous.

  20. plaine ouverte non sur l’aventure,
    mais sur le labeur.
    Terre nourricière pour les mains
    et les dos des hommes.
    Les saisons travaillées
    jusqu’à l’éclosion
    en gloire de l’été

  21. Immobile dans l’immensité de l’océan
    Attendant impassible la rumeur du vent
    Piquer par le dard brûlant des rayons ardents
    Il navigue sur la voie lactée du firmament.

    Seul affrontant les quarantième rugissant
    En équilibre précaire au bord du néant
    Il affronte de leurs voiles, les vagues de titans
    Frôlant la voûte céleste de leurs gants

    arrivé au milieu du monde rugissant
    livrés aux néants sous les flashs ardents
    jeter au requins dans le monde des vivants
    leurs esprit naviguant sous les ondes du vents

  22. bourrache coup de coeur bel angle de vue
    bruno merveilleux poeme ta dernière phrase sublime
    pour ne citer qu’eux car encore de très très beaux textes

  23. Celui qui passe…

    Cette lueur qui tremble
    devant les yeux
    celui passe
    ne peut savoir

    la mer s’est retirée
    en un point noir
    au fond du regard
    laissant dans la bouche
    ce goût des choses
    qui ne sont plus

    on marche seul
    dans le paysage
    le jour est tombé
    on ne voit plus

    à l’intérieur
    le sable enfoui
    les visages
    les débris
    d’images
    qu’on ne retient plus

    une lueur tremble
    autour des choses
    celui qui passe
    ne peut savoir

    c’est si peu de chose…

  24. Je n’y ai jamais mis les pieds.
    Je tente l’aventure, participe au voyage via des images déposées.
    Et me pose une question fondamentale :
    La Corse est-elle une terre habitée ?
    ___

    Franchement, ça me tracasse…
    ___

    Sourire et clin d’oeil.

  25. Oh, Sven … drôle de voyage que ton aujourd’hui…

    Celle qui passe ne peut t’offrir qu’un éclair-éclat de lumière, un brin de soleil pour réchauffer tes mots endoloris.

  26. partir ailleurs..à l’aventure
    mais pour ouvrir grand le coeur et les yeux…
    non pas pour se fuir.. .ou fuir les ennuis ..
    ..car l’on échape jamais à son ombre…
    elle nous suis ou que nous allions
    meme dans la nuit la plus sombre.. elle est là relié a nous ..inséparable..
    au plus haut du zenith .. même en apesenteur dans les méandres
    de la drogue ..dans les remous de l’alcool.. dans les fêtes orgiaque…
    plaisirs immédiats ou l’aventure est anéanti..

    elle est là ..rodant …tournant..rien ne sert de partir…rien ne sert de s’enfuir..
    la seul issu possible .. la mort …
    mais alors on devient l’ombre elle même.

  27. Oulalalala … Marc, Sven … vous allez finir par éteindre mon petit brin de soleil…

    J’appelle la troupe à la rescousse…

    Annick : tes bougies…

    Maria-D : tes mains de fée

    et tous les autres… des mots pour raconter que l’aventure en vaut encore la peine…

  28. J’eusse dû, si j’avais été plus subtile, utiliser un autre mot que « peine »…

    Rectification :

    « que l’aventure est au coin de la rue »…

    (rien trouvé de mieux…)

  29. Partir…

    Partir
    à la dérive
    avec ce fleuve
    qui serpente
    dans le courant
    qui reste dans les branches
    de l’hiver découpé

    glisser
    entre les saisons confondues
    dans cette dérive du temps
    quand l’instant ne sait plus
    s’il avance ou recule…

    naître
    quand le soleil emporte
    dans son basculement
    quand l’ombre encendre
    les racines que je ne suis plus…

  30. .. qui reste dans les branches…rect. j’ai oublier « dans » dans ma précipitation Ossiane,
    de très beaux textes, profonds, mélancoliques, mystérieux, sur les chemins de l’inconnu… à la semaine prochaine. Bonne fin de semaine à tous.

  31. je vous lis et souris, et pourtant, y’ a des si beaux trucs..de sombre.
    c’est une chance pour vous, j ai une énoRme bougie à l’intérieur de moi, ce jour, alors je vous la sors, et tout le monde tout autour!! et cela me fait sourire d’écrire cela!
    bon je vous relis et reviens, absente en dehors, des courses avec des regards douloureux, des personnes parlent des grêves, du monde qui va mal, j ai tout tenté mes petits sourtires, ma bougie sur le tapis roulant, mais y’a beaucoup de détresses en ce monde qui engage le monde à l’AVENTURE pas choisi! alors je leur souhaite de PENSER S’EXTRAIRE bien avant de penser se reposer qu un temps, la vie dure un certain temps, cela vaut le coup de la penser pour la vivre…..

    de tête de ce matin,
    j ai bien aimé d’être honorée en femme, monsieur Marc, par cete belle aventure, et puis Johal et encore jeandler, et puis Bourrache, et puis,
    je me suis sortie en dehors, j ai laissé ma plume sur le bureau trempouiller dans vos forts beaux mots, elle était sonnée tout de bel, pas de chagrin, si heureuse, je lui ai fait un clin d’oeil quand je l ai vue dans son hamac, ses pieds en éventail, avec vous tous!
    mais mince, mais quels beaux mots vos plumes accouchent!
    je suis ravie dêtre en ce monde! Je vous Aime, et même si cela ne se dit pas, JE LE DIS!
    c’était ma minute de pêtage de plombs hyper bisous tous doux, alors profitez en! sourire!

    je préfère ma place à celle d’Ossiane, quels durs choix encore,
    je serais incapable de choisir, j aime TOUT!

    j aime fort Bourrache, l aventure de belle Humanité,
    dit elle un éclat de noisettes de sa barre de chocolat sur le bout de sa langue… sourire! avec même pas un café, je marche droit ce jour, si droit, que mon gouvernail n en revient pas d’avoir retrouvé mes petites mains… sourire! et ma tête de tite folle.. évidemment, cette tête là me retrouvera toujours! de tellement!

  32. Partir au loin
    Où le ciel à la mer se mêle
    Donner sa fatigue aux requins

    Boire à la source des fontaines
    Ecouter le chant de l’alouette
    Et suivre le vol de la mouette
    Que caresse le vent
    Déchiffrer le poème de l’hirondelle

    Partir au loin
    Suivre la caravane des nuages
    Cueillir la rose du désert
    Chercher l’ombre des palmes et l’oasis
    Suer à la chaleur des braises
    Et dans la neige se rouler

    Partir au loin
    Dans le sourire d’un enfant
    Dans les chemins de vie de la main d’un(e) ami(e)
    Aller s’il faut à cloche cœur
    Dans le pré clair où le bonheur se cache
    Se parer d’un collier de perles de pluie
    Et des étoiles à ses oreilles

    Partir au loin
    Dormir dans le soleil couchant
    Et se lever avec l’aurore

    Partir au loin
    Dans le pays du jardin bleu
    Où le cœur se repose

  33. Annick : j’adore tes pétages de plomb … ils sont sources de vie, d’énergie peu commune … avec toi, on vainc tout.

    Tu sais quoi ? … ben, moi, je t’aime très beaucoup.

    Voilà.

  34. Très, très, très beau, amichel.

    J’espère que Sven aura le temps de lire avant de partir… et Marc aussi (mais lui, il part pas).

    Sourire.

  35. Envie de partir
    Envie de voir
    Envie de vivre
    Envie de beau
    Envie de vrai
    Envie d’aller au delà du rêve
    Dans la vallée des merveilles
    Voir des millions de coucher de soleil
    Vivre des émotions fortes
    Dans des forêts impénétrables
    Dans des contrées infranchissables
    Envie d’aventure tout simplement

    Et pourquoi pas ?

  36. Aventure! Aventure!
    Comme on rêve d’une épure
    Sans fioritures ni ajoutures
    Sans bavures ni démesures
    Et ce n’est pas sinécure
    Qu’au tournant l’augure
    Vous attrape vous sussurre
    Aventure! Aventure!

  37. je reviens, après être allée lire
    http://www.2Osix.fr/quoisetur2
    et un comment, et envie de lui répondre de suite, et envie de répondre à son attente d’aller glisser un mot dans La PLanète Orange, et finalement un sacré paquet de mots,
    et je vous lis vite….et tu me fais rire Bourrache, je t aime très beaucoup aussi..heihien, notre café UNIQUE!

    allez je souhaitais mettre ces mots là,
    je repars en arrière vous lire à partir du magnifique texte de amichel que je vais goûter délicieusement. Merci.

  38. Que de richesse dans cette aventure commune qui est la notre… ici à l’Oeil Ouvert… je vous embrasse sans exception et vous souhaite un beau week end… moi je pars en aventure …

    A celui que j’aime

    Dans les rets de ton regard
    Tout un monde de merveilles
    Suspendu à mon étoile

  39. Et pourquoi pas? Monique…

    La vie
    Cette aventure
    A la vivre
    D’abord
    Avant de la mourir
    Et la vivre
    Fort de fort
    En belle intimité
    De pure vérité

    J’adoooore cette expression, ‘je t’aime très beaucoup’, des big poutous à tous, celle la vient de Maria, et je l’adore aussi. Il fait soleil de bleu, l’aventure de ce jour et mes yeux sont heureux de se marcher de vie, parmi vous, et dehors, la terre est pleine de si bel automne, qui parcourt son chemin, avec cette idée fixe de faire tomber les feuilles, de tapisser le sol, pour le pied délicat qui se lance à l’assaut , shoute, s’en pulvérise, tout de jaune et de rouge, l’automne c’est ce tapis de sol qui invite si fort à la belle AVENTURE!

    Bel après midi.

  40. Claudie : Merci

    Annick : heureusement que j’ai rajouté cette petite phrase 😉

    Pierre , un clin d’œil vers toi et vers Sven

    Bourrache : clore les paupières
    Accueillir le rêve où se mire l’infini.
    J’aime beaucoup

  41. Jean-Louis Aubert
    SI D’AVENTURE

    Je peux tout me pardonner
    Tu m’as tout donné, mon amour
    S’il faut nous en retourner
    Je referai le même parcours, mon amour

    Comme un enfant sauvage
    Tu traverses tous les âges
    S’il te faut choisir une cage
    Avec toi je la partage

    Si d’aventure, tu nous quittais
    Si d’aventure, tu partais
    Si d’aventure, tu nous laissais
    Cette blessure, à jamais mon amour

    Tu peux tout me pardonner
    Tu m’as toujours tout donné, mon amour
    S’il faut nous en retourner c’est simple
    Je partage le compte à rebours, mon amour

    Comme un enfant sauvage
    J’ai traversé tous les âges
    Mais s’il te faut choisir une cage, c’est simple
    Avec vous je la partage

    Si d’aventure, je vous quittais
    Si d’aventure, je partais
    Si d’aventure, je vous laissais
    Cette blessure, à jamais mes amours
    Mes amours

    Tu vois si d’aventure
    En toi cette blessure
    A jamais, jamais

    Mmm Haaaahaaaaaa
    Haaaahaaaaaa
    Mon Amour

    Haaaahaaaaaa
    Mes Amours

    A jamais mes Amours

  42. Génial ! … on va tous se retrouver dans un bac à sable … et construire un château géant … puis on partira à l’aventure dans ses couloirs de mots …

    Poutous, poutous.

  43. oui Bruno, et je me ris de moi, sinon j’aurais broyé du Bruno noir, et je me pouffe à l’écrire…. dans l’ECriture en Lecture, je rentre les deux mains en vant, je ploge toute entière dedans, pour la manger de bels saveurs, et si c’ests ombre, je m’effondre.. sourire!

    ahlala Vous alors, Vous et toi de Toi!

    magnifique jeandler, je partirai jamais, juste à ma dernière heure, quand elle fera sa révérence, et encore, faut qu elle m amène une brouette de fleurs et des sourires et des encore.. pour que la suive à pas de danse. osurire!
    bises MARIA, c’est vrai que big c’est de moi, et poutous, je t’adore, petit mot délicat, qui splitche des jets de bisous..
    et comment ki fée mon fer pour repasser, ahhh si je pouvais brancher l’ordi au fil du cordon du fer, mes mots repasseraient le linge et moi je serai vivante aussi, à boire mon café, tout de gaie, et mon linge se plier comme se plient mes lettres sous mes tapouilles de doigts qui tracent de leur encre des petites traces vivantes. .. et bien, il attend le fer, il aura assez vite son tour de piste pour son AVENTURE à se glisser!

  44. bourrache annick un peu moin triste

    Aventure du quotidien

    Dans le train train du matin
    Chaque jours le quotidien

    Tous les jours de la semaine
    Je ressasse la même rengaine
    De cette Ritournelle monotone
    dans des jours gris d’automne

    Pourtant certains jours
    Je m’empresse et je cours
    Pour prendre le train
    Le petit train du matin

    Pour te rencontrer,
    Discuter Sourire partager,
    Vie dévoilée Sans voile aucun
    Dans le brouillard du matin

    nous filons à toute vitesse
    sur des sièges très étroits
    dans un wagon de tendresse
    Bercé par le roulis nos voix

    Mais déjà il faut se quitter
    Chacun filant vers sa journée
    Attendant la prochaine fois
    Ou nous nous croiserons
    Sur l’aiguillage de nos voie

    Pourtant, un matin
    Sans crier gare
    Je ne croiserai plus ton regard
    alors chacun suivra d’autres rails
    vers d’autre aventure,

  45. c’est un peu mieux , sans fautes d’émotions…car…

    MA PLUS BELLE HISTOIRE D’AMOUR, C’EST VOUS!
    ses mots sont si beaux de vrais…
    et l’émotion si pleine que je me muette un peu, je vous embrasse!

    et je remets mon texte sans fautes.. hum?!
    oui Bruno, et je me ris de moi, sinon j’aurais broyé du Bruno noir, et je me pouffe à l’écrire…. dans l’Ecriture en Lecture, je rentre les deux mains en avant, je plonge toute entière dedans, pour la manger de belles saveurs, et si c’est sombre, je m’effondre.. sourire!

    ahlala Vous alors, Vous et toi de Toi!

    magnifique jeandler, je partirai jamais, juste à ma dernière heure, quand elle fera sa révérence, et encore, faut qu elle m amène une brouette de fleurs et des sourires et des encore.. pour que la suive à pas de danse. sourire!
    bises MARIA, c’est vrai que big c’est de moi, et gros poutous, je t’adore de toi, petit mot délicat, qui splitche des jets de bisous..
    et comment ki fée mon fer pour repasser, ahhh si je pouvais brancher l’ordi au fil du cordon du fer, mes mots repasseraient le linge et moi je serai vivante aussi, à boire mon café, toute de gaie, et mon linge se plier comme se plient mes lettres sous mes tapouilles de doigts qui tracent de leur encre des petites traces vivantes. .. et bien, il attend le fer, il aura assez vite son tour de piste pour son AVENTURE à se glisser!

    MA PLUS BELLE HISTOIRE D’AMOUR, C’EST VOUS!
    ( désolée, j ai appris le copié collé, et c’est si vrai! )

  46. l’aventure

    un paysage qui s’offre
    jeu de lumière et d’ ombre
    la musique de l’eau
    le vol d’un oiseau

    un regard qui souri
    des yeux qui s’allument
    une solitude qui rencontre d’autre solitude
    sans autres mots
    que ceux de l’âme

    un partage généreux
    une chanson un feu de bois
    un repas toute simplicité
    un thé ou un café

    des gestes de tendresses
    une caresses amiclale
    le baiser de l’amitier
    des souvenir encrés

    des mots pour le dire
    pour ne pas oublier
    et se sentir moin seul.
    peut être est ce cela l’aventure

  47. La vie est un destin
    Qui passe
    Sur la lumière
    Des arbres
    Un seul voyage
    Sur l’avenir trop
    Loin
    Une part de l’aube
    Soumise
    A la géométrie
    Des heures d’automne
    Une poussière
    Qui dessine des vagues
    Sous la brume de lune
    Et des lacs
    A l’encre de Chine
    Un voyage
    Vers l’entrebâillement
    Des ports
    Le mouvement prolongé
    D’un ciel
    A l’immortalité dorée
    L’ aventure des arbres
    Qui les empêche
    De s’égarer
    Pour quelle histoire
    Laisse t-on les messages
    Se perdre
    Au creux d’une coupe de glace
    Derrière le ruisseau
    Clair
    Au creux d’un tronc
    Blanchi
    Une harmonie
    Sur les jours sombres
    Où les rires
    Flottent sur la brise
    Avant l’hiver prochain
    Et un nouveau voyage

  48. Ouh là là, ça part fort, dans tous les sens, ne serait ce pas celà l’aventure
    on est eu centre de rien et pourtant on peut aller dans toutes les directions avec dilection on peut trouver de délectable chemins
    dans le destin et dans l’adversité quand l’averse citée comme témoin nous dit bien fort et bien haut que dans la vie faut se jeter à l’eau et savoir se mouiller pour dire « j’ai vécu l’aventure de ma vie ».

    D’aventure en aventure, on passe un cap et comme dit bonaventure
    laissez filer le loch pour que naisse de la vitesse l’éloignement et la relativité.

    La bonne aventure n’est pas le contraire de la mauvaise mais elle n’est que dans le dire alors qu’il faut faire; on dit dans ce monde anglo saxon « be a doer » mais un faiseur de quoi de miracle ou de pluie; dans le ruwenzori
    en tanzanie pas si loin que celà du KILIMANDJARO au pays de l’homme faiseur de pluie, la végétation pousse à toute vitesse.

    Au vent ou sous le vent, abrité ou habité, l’appel du large, des grands espaces, de cet ailleurs rêvé est trop fort.

    Mais comment comparer les époques et les distances, les méthodes et les équipements; la frontière n’est plus dans le midwest , les badlands et la plate river comme le raconte ce récit d’un bostonien au tournant de 1840 avant que le cheval de fer ne repousse les bisons et les indiens.

    Avanti, davant, aban autant d’exclamatif pour se donner du courage et bouger, y aller et foncer car à trop tarder on laisse passer les bonnes occasions.

    A ce compte tout est bon et tout est vrai; s’éloigner de son arbre où l’on vivait heureux, changer de référentiel et parfois de ciel (surtout quand on va dans l’autre hémisphère) et trouver dans cet accomplissement une plénitude sans platitude même sur des horizons plats à perte de vue.

    Mais si l’aventure est par nature spéciale, peu ordinaire, fantastique, incroyable, mystérieuse, tourmentée; qu’elle signe du sceau de la nouveauté des découvertes renouvelées elle est aussi dans nos gènes.

    L’homme est un migrant pour qui la bipédie sans être un viatique est un avantage certains pour aller toujours plus loin, là bas, de l’autre côté, où l’on ne voit pas, où l’on ne sait pas et ça continue encor et encore.

    Où est donc l’ultime frontière, dans les profondeurs abyssales où s’abîment en pensée des habitués du batyscaphe ? Dans l’espace proche ou plutôt lointain où certains espèrent trouver un jour refuge pour un nouveau grand voyage sans retour; sans retour ni consigne (de retour) pas comme une bouteille à l’amer du quotidien mais juste un constat de la rupture et du changement comme moteur.

    L’aventure est parfois dans la tête, et là uniquement bien que je crois que seul l’autre et sa rencontre puissent nous faire évoluer radicalement, changer de perspectives, renoncer à notre héritage et se dire enfin
    homme de la terre, de la terre entière comme une unique entité vivante.

    Gaïa est notre univers, notre vaisseau admirable et nous devons la préserver si tenté que celà soit encore possible pour que vive l’espoir.

  49. Voici un texte plein de naiveté, écrit il y a peu de temps … sur el thème de l’emploi …
    Bises

    J’ai rêvé d’un autre monde

    Maintenant que je suis là, près de toi, devant toi, je veux te dire
    « Regarde-moi, écoute-moi. Tu sais, non tu ne sais pas. J’ai simplement envie de te dire un rêve.
    J’ai rêvé d’un autre monde …J’ai rêvé d’un monde où l’on ferait un métier et une action plus citoyenne, quatre jours pour l’entreprise et un autre pour construire autrement.
    Je m’explique. Souvent, les salariés ont une profession et sont absorbés par l’institutionnel. C’est seulement difficile d’être soi…
    Souvent, les gens sont happés par un système et sont mal à l’aise.
    Souvent, ils ont simplement besoin d’une respiration.
    J’ai rêvé que cette respiration, ils pouvaient la chercher, la construire, la proposer.
    J’ai rêvé d’un autre espace où toi, par exemple, gardien de prison, tu quitterais la prison pour lire des livres à des enfants, pour parler à des vieillards.
    J’ai rêvé d’un monde où les PDG d’entreprises cuisineraient avec d’autres pour une entreprise d’insertion.
    J’ai rêvé d’un monde où des hauts politiques prendraient le métro pour participer à des cours de français pour personnes migrantes, où chants et danses se côtoieraient.
    J’ai rêvé d’une ANPE qui proposerait aussi des dîners festifs pour les chercheurs d’emploi, après une thématique centrée sur l’emploi.
    J’ai rêvé de plein de choses encore, d’un monde au service des gens et non plus au service de chiffres.
    J’ai rêvé d’un monde AUTREMENT.
    Alors je t’offre ces trois mots : PARTAGE, LIENS, LIBERTE

  50. l’aventure

    l’aventure bouleverse les temps
    elle s’est préparé au présent
    pour vivre l’avenir
    en laissant entrouvert la porte à l’inconnu
    et elle laissera des traces dans le passé.

  51. Elle ouvre sa petite main, et regarde sa goutte de cristal qui luciole sa vie, elle est émue, c’est sa petite vie dedans sa main, son aventure à elle, tout en vécu pour elle, elle remercie sa perle d’être bonne, d’être chaude, et sa main délicate se presse contre son coeur, et les rayons de lumière pénètrent dedans son sein, qui s’ouvre pour éclairer son coeur, sa perle est charitable et lui donne de la bonté,
    elle a bien de la chance avec sa bulle de vie, même si parfois le cristal, un peu trop, vraiment trop, lui en fait voir de toutes les couleurs de la vie, dedans son coeur, son corps,
    mais sa petite âme tendre regarde la petite boule, le minuscule grain de sable qui pénètre son coeur, et l’âme aime elle aime tellement l’aventure en amour, quand il est grand et beau, pur et bel, le minuscule petit grain de poussière de cristal peut allumer le soleil, peut chauffer toute la terre, l’amour donne des ailes, il prête des pieds costauds et un coeur toujours chaud qui se borde de beau sous la plus jolie couette de la vie d’aventure.

  52. Le rêve est idéal.
    L’idéal est rêve.
    Le rêve est naif.
    L’idéal,
    S’empare de cette naiveté.

    Il faut le rêve idéal.

    Un peu compliqué, pas terrible,..

    Mais comme c’est pour quelqu’un que j’aime beaucoup,
    Qui m’étonne toujours, par ses idéaux,
    Que je ne comprends pas toujours,
    Que je…tellement déja de fils emmêlés pour moi…
    Que je …
    sais..
    Qu’elle est une bonne personne .

    Parceque ça,

    Je le sais.

  53. Merci Bourrache, yaouhhh, qu’est ce que tu me fais?! c’est beaucoup! quelle émotion, et déjà cette voix d’enfant, devant un enfant je fonds…un enfant c’est la vie!
    et me vient mon ceci…..

    Mon enfant
    Tu es mon aventure
    Tellement
    Dedans mon ventre
    D’abord
    Puis mon sein te nourrir
    Pour te donner la main
    Dans toutes tes aventures
    Mon enfant
    Tu es grand
    Tu restes une aventure
    Si grande merveille de vie
    Sans toi
    Je ne saurais pas
    Ce que la vie veut dire
    Tu m’a appris si fort
    A l’aimer tant
    Ma vie
    En mon dedans de mère
    Comblée
    N’en plus pouvoir
    Son parcours si long
    En patience
    En amour
    Me donne de bels retours
    De si belles perles de vie
    Qui aventurent la femme
    Plus encore
    Dans son coeur
    Qui s’ouvre encore sa fleur
    A se naître de vie

    J aime bien tes mots fauki, car comme c’est emmêlé, il faut se démêler, et c’est vivant de vie de se démaillotter…
    parfois un bras du ciel se donne, en rêve, en idéal, en naïveté, et on se retrouve le premier étonné, de saisir ce bras de ciel, comme cela, comme si on ramassait un petit caillou, et c’est fort beau de vie… peu importe si le rêve l ‘idéal bien trop remplis de naïveté, c’est tellement bon de se ressentir vivant dans son être pour être au plus près de la vie…à se donner de vie…

  54. Sa vie c’est un cadeau
    Qu’il est bon se donner
    En sourire et en main
    Qui donnent de la vie
    La vie une aventure
    Qu’il est bon partager
    En amour en amis
    Sur le chemin de la vie
    En Nature si aimante
    Qui apaise la vie

  55. L’aventure

    L’aventure, c’est le voyage permanent
    Vers l’idéal chantant une romance de printemps

    L’aventure, c’est la joie de découvrir son potentiel
    Dans son chemin de vie semé d’embûches, plein d’illusions

    L’aventure, c’est le parfum de vivre son présent
    Dans l’espoir de s’en pénétrer intensément

    L’aventure, c’est l’allégresse de partir le sac en bandoulière
    Pour parcourir le monde, l’ivresse à pleins poumons

    L’aventure, c’est le bonheur de partir seul allégrement
    Et de revenir à deux, le coeur léger, avec un bagage à partager

  56. Et quand la femme s’aventure sur le chemin de sa vie, vite elle devient invisible, car son intime de vie, c’est à elle, rien qu’à elle, pour sa vie dans sa vie…

  57. ………………………………………..Ailleurs,
    ..fièvre d’après,
    ………………….vie d’errance pour où?
    ………………………………………..Demain,
    ..pauvre futur, mort au champ du repos.

    ……………..Prière,
    ………exil des pieux villages…………
    la brûlure s’incruste,
    …………………..ligne grise de cimes
    inondée de ciel bleu.

    ………………………………….Autre?
    l’Or s’épanche………
    Poudre claire, image apodictique.
    …………………..Affluences,
    …chevelures touffues,
    feuillage exubérant.
    ………………….Verdeur. Enlacement.

    ….Verbe
    …………..le fleuve sur la plaine,
    indicible, s’écoule.
    ……….L’Être infime,
    ………………..abandonne la rive…
    ……Mémoires des étoiles
    ……………………..Fou désir d’advenir

  58. Et Bernard…
    je ne sais plus où donner de la tête, encore ce jour…
    des si beux textes, qui laissent tous yeux ouverts…

    Ton album, Ossiane, devient à lui tout seul, un pan de bibliothèque…

  59. Oh que c’est beau et vrai ce grand cri intérieur de mère, je le ressens du profond de mes entrailles, oui la plus belle aventure est celle où nous donnons la vie, il n’y en a pas de plus belle, il n’y en a pas de plus grande, comme tu as raison Annick

  60. Je veux plus…
    Je veux mieux…
    Je veux nouveauté…

    Je veux, je veux, je veux…
    Toujours et encore…
    Cette demande lancinante…

    Et quoi encore ?
    Plus ? Encore et encore ?
    Du rêve, de l’aventure, de l’illusion…?
    Un jardin secret, l’inconnu, l’idéal ?

    Stop it !

    Viens ..
    Simplement, là tout près
    Pose toi un peu
    Souffle un peu
    Viens…

    Assied toi…
    Ecoute, regarde, respire, touche, goûte
    Ce que je t’offre
    Profite un peu
    Couche toi…

    « tout sens dehors pour qu’aucun ne manque »
    Tout sens au-dedans pour que tous manquent

    Que Notre aventure commence
    Pure feeling…
    Jusqu’au bout des ongles…
    Du rêve, de l’aventure, de l’illusion… !
    De la passion !

    Pour un temps…

    « Reste l’Homme aux yeux d’enfant »
    Va à présent…
    Cours rejoindre ton idéal…

  61. L’aventure dure encore.
    Aventureux d’aller par ces chemins
    Chemins de traverse et de contrebande.
    Que disent les lignes de ta main ?
    Montre-moi
    Je te dirais le bon et le mauvais chemin
    L’aventure dure toujours.

  62. Il est souvent très long le parcours de la vie pour arriver à une certaine sérénité, calmer ses soifs d’aventure sans pour autant renoncer mais comprendre au bout du compte que la plus folle des aventures n’est rien comparée aux petits bonheurs rencontrés sur le chemin et qu’on a su voir, qu’on a su entendre, qu’on a su reconnaitre. La petite fleur dans son jardin vaut tous les champs fleuris du monde comme on met du temps à savoir ça!

    Toute une aventure
    Toute une vie contenue
    Un jardin secret.

    Bonsoir à tous je m’en vais relire pour le plaisir

  63. Merci Monique,
    petite rectification, je n ai pas dit que c’est la plus grande aventure…
    à mon sens, c’est une grande aventure, en mère…
    et, la vie de femme dans son vécu de femme est une grande aventure, en femme…
    deux aventures incomparables, dans des mondes si intimes personnels et fort beaux..en Amour pour un enfant, en mère et en Amour pour un homme, en femme.

    M A G N IF I Q U E Nigra, tes mots si forts de vrai, me bouleversent…JUSTESIMPLEVIVRE du bout des doigts oeil ouvert est déjà tant un bel défi de vie…

  64. Voici les lignes de ma main
    Tu n’y liras pas mon demain
    Mon chemin d’errances m’appartient
    Poussée dans le dos par le vent
    J’irai où il me mènera

    Si je l’ai dans le visage
    Je ferai une pause hors du temps

    Et j’écouterai sa chanson
    Celle qu’il fredonne en passant
    Dans les bras de mon arbre
    ___

    Clin d’oeil, Jeandler.

  65. L’aventure est dans chaque souffle de vent.
    [Charles Lindbergh] Extrait de The Spirit of St Louis

    L’aventure, c’est ouvrir de nouvelles portes la bouche fermée et les yeux grands ouverts.
    [Barbara Kingsolver]

    On peut être poète dans tous les domaines : il suffit que l’on soit aventureux et que l’on aille à la découverte.
    [Guillaume Apollinaire] Extrait de L’esprit nouveau et les poètes

    L’aventure ne se trouve pas à l’extérieur, elle est à l’intérieur.
    [David Grayson]

    L’aventure c’est le trésor que l’on découvre à chaque matin.
    [Jacques Brel] Paroles de la chanson L’Aventure

  66. je rejoins tes mots Monique et les poursuis,

    A mesure que le temps passe la soif d’aventure se passe, le périmètre de l’oeil se réduit à son justesimplevivre essentiel, une fleur posée sur le rebord d’une fenêtre, un sourire croisée, un nuage trognon, une simple larme, un brin d’herbe fort vert, une petite feuille, un duvet, une goutte de pluie, et la vie devient immense dans l’instant de la saisir la vie et tellement en suffisance sans besoins de paillettes, d’or, un petit rien donne tellement, mérite tant un regard ouvert sur le sol, dans le ciel, dans les arbres, à la rencontre de visages, juste un rien, un plus petit que rien, et c’est le paradis, si beau, que le coeur se palpite dans l’épure si belle d’un rien qui vibre de vie, c’est une belle aventure, encore une belle aventure, comme celle avec un enfant, un homme….
    La vie passage ses aventures sur le chemin de la vie, et on se sent petit devant de grandes offrandes quand l’aventure est belle, si riche dans son intime.

    je vous souhaite une bonne soirée et une nuit douce, je pars à la gare..

  67. Je rectifie ma phrase au plus juste de ma pensée..

    « A mesure que le temps passe la soif d’aventure se passe, **en une soif immense de vie en chaque réveil le matin, qui ouvre son volet pour se vivre, un jour, encore un jour, tout éveillé de son jour qui se donne promesse,**le périmètre de l oeil se réduit à son justesimplevivre essentiel, ….. et la suite..

  68. Merci Ossiane de nous ouvrir les portes,d’un jardin si beau, si grand,si fructuex ; chacun y trouvera mille merveilles sous l’oeil attentif du petit nuage blanc, le gardien de ces lieux.

  69. Aventure
    C’est vivre
    Et suivre
    Fier allure
    C’est aimer
    en ternure
    C’est se donner
    L’âme pure
    Doux sentier

    Aventure
    C’est vivre
    Et survivre
    Sans peur
    de blessure
    ouvert le coeur
    épine et fleur
    meme peinture

    Aventure
    C’est vieillir
    Et sentir
    Le poid de l’âge
    Et resistir
    Tête en courage
    Jusqu’à venir
    Le grand voyage

  70. … ».. l’Aventure commence à l’aurore à l’aurore de chaque matin…. »
    je continue la chanson de Brel commencée par Nath et que j’ai fredonné toute la journée avec celle de serge Lama, toujours dans l’esprit d’aventure des petites choses du quotidien, qui au final font la grande aventure de notre vie. Ce n’est pas toujours la vallée des merveilles ! j’en conviens ! et les aléas de la vie font qu’on ne récolte pas toujours ce que l’on a semé.

  71. Je ne sais plus ou poser mon regard…un clocher…une écriture…une vallée…un regard…Ossiane écrit… »aventure »…et c’est parti…Les consonnes invitent les voyelles…les traits d’union se forment entre les poèmes…les mots se disent des « je t’aime de papier » qui ne demandent qu’à vivre ..à s’envoler…à embrasser…les virgules glissent des paupières et forment..en s’évadant des… ruisseaux de lumière…(sourire..à celle qui..)..On oublie les phrases et les strophes…on a le coeur qui se serre et les doigts qui …au clavier s’accrochent…on est loin du monde…des autres..et pourtant si proches…On se devine..on se sourit…on danse sur la glace…les pensées à l’horizontale..le coeur en cavale..C’est un drôle de film…au générique des amateurs et des rêveurs..des séquences qui vous transpercent en laissant des éclats de bonheur…des photos qui vous offrent leurs couleurs…des êtres qui oublient leur rôle d’acteur…Et le texte qui glisse..qui s’évade et s’en fout…après tout…et qui se dit… »Comme ils ont du talent… » Merci..à vous..

  72. l’aventure ne se vois pas!
    sinon l’aveugle passerait à coté!
    l’aventure n ‘est pas bavarde!
    sinon le muet en serait privé!
    on ne touche pas l’aventure des doigt!
    le manchot que ferait il?
    l’aventure ne fait pas de bruit!
    le sourd vous y avez pensez?
    Non l’aventure se ressent !
    et peut être est ce que parce que
    nous voyons
    nous parlons
    nous touchons
    nous entendons
    que beaucoup d’entre nous
    passons a coté de la vrai aventure
    celle qui se vit de l’intérieur.

  73. Trois poèmes splendides, quels beaux choix, merci Bruno, Amichel et Bourrache..

    Car tout au fond de moi
    Je te vis mon chaque jour
    Le souffle d’un brin de vent
    La goutte d’eau qui coule
    Le brin d’herbe te vit
    La lune mon rendez vous
    Mon chaque jour poursuit
    Ma si belle aventure de vie
    En intérieur profond
    Au plus près de mon être
    De mon âme de mon coeur
    Je t’aime mon amour
    J’attends ton souffle chaud
    Ta nuque pour me bercer
    Tout de réel si tendre
    Ta présence éternelle

  74. Les mots et leur contraire…….
    L’avanture bat la terre et la devanture ..reste de glace….
    Oui je sais bonbonze…c’est moyen…

  75. amichel bruno bourrache

    merveilleux vos poémes
    très belle mise en lumière

    Ossiane un « cocher » qui sais les destinations d’avance
    et nous emmene chaque fois vers de nouvelles aventure!

    vos texte me remplissent de joie chaque jour
    et m’ouvre petit à petit
    l’univers du rêve

  76. Merci PierreB, merci à chacun,
    une belle page de bel amour de vie, une belle aventure ….

    Un regard, un sourire, un silence…une aventure commence…cela ne sert à rien de souhaiter connaître son temps, son temps est éternel dans l infini moment qui se vit et s’aime et se donne d’aimer….éternel dans le petit bonheur qui se saisit…une aventure qui monte en grandeurs, qui atteint les cimes.. le corps chavire, les larmes montent, déboulent le filet…se laissent emporter avec le sourire qui revient…une grande aventure de vie…impossible à écrire car elle se vit d’écrire, elle s’écrit de se vivre.. elle se vit tellement de tellement.. une si grande aventure, le plus grand amour d’une vie..

  77. Merci Ossiane pour cette belle mise en lumière de Bruno, Amichel et Bourrache, trois beaux poèmes qu’il nous est donné de relire avec un grand plaisir avant d’aller dormir, trois beaux fleurons poétiques, merci à chacun.

  78. quels beaux délires d’écritures, quelles grandes plumes se sont posées, je suis chancelante devant toutes ces beautés, c’est si fort et si grand,
    j ai du mal à atterrir, le monde AUTREMENT comme le dit si bien Nath, et tellement comme il devrait être, car je suis bien dedans, sur le fil d’aventure en amours…toujours, chaque jour couve son jour..

    belle nuit, si on trouve le sommeil après cet édifice si haut, mes yeux le montent encore cela grimpe si aut, poufdeouf,… sourire…POUTOUS!

  79. > Chers amis amichel bruno bourrache
    je vous embrasse fort.
    Comme Monique je vais vous relire avant de dormir
    Les rêves seront plus poétiques, plus doux, plus « aventuriers ».
    Je vous remercie tous les beaux vers ici posés.
    > Ossiane
    C’est une belle aventure retourner à ton blog.
    Plaisir garanti, douceur pour l’âme, nourriture pour le coeur.
    Mille mercis.
    Bises

  80. j’arrive tard mais il n’est jamais trop tard pour partager la joie et les encouragements à nos trois enluminés ; bravo à bruno, amichel et bourrache mais tant se sont succèdés à une rythme soutenu que l’on puise un grand réconfort dans les écrits de chacun.

    >pierre b: merci de tes textes tout en nuance et en détails, et ce dernier encore qui décrit si bien un ressenti de ce mouvement perpétuel qui jamais n’en finit.

    L’aventure livre et délivre, laisse et délaisse, plus qu’un état d’esprit ou une seconde nature elle est absolument vitale au genre humain.

    Que serait l’homme sans aventure et par quels vents de la destinée avancerait il donc sur le chemin de l’évolution.

    Pleins de poutounets à tous (variante réduite mais tout aussi affectueuse)

  81. Bonsoir à vous tous 😉

    Pffiou ! Magnifico !!! Quel déluge de commentaires, de poèmes, de vidéos, d’extraits d’auteur, de joie, d’humour, de rires, de gravité !!! Je ne m’attendais pas à un tel élan 😉 Le choix fut cornélien, Annick l’avait prédit 😉 Une mise en lumière plus resserrée car je veille à la bonne longueur de mes notes. Bonne nuit!

    >Poète :
    Merci pour ton enthousiasme 😉 Je suis d’accord avec toi, l’aventure c’est s’ouvrir vers quelque chose… Merci beaucoup.

    >Bourrache, amichel, Bruno :
    Merci pour vos trois belles approches teintées d’émotion et de plaisir. Je vous embrasse.

    Quelle vitalité Bourrache aujourd’hui 😉 Des bons mots, des vidéos, des rires, la Belgique retrouve-t-elle le sourire 😉 Quant à ton étonnement devant le vide des paysages, je n’ai pas eu à faire d’effort spécial. Il n’y avait vraiment personne;-) En ce début d’après-midi, c’est l’heure de la sieste ; les gens sont chez eux derrière leurs volets clos. Il y a 250 000 habitants en Corse ; ça fait quand même du monde 😉

    >Annick :
    Tu es comme Bourrache aujourd’hui 😉 Tu exhultes 😉 Ta joie et ta belle approche de la vie sont communicatives. Merci pour tous tes textes plein de tendressse et d’amour qui m’ont fait hésiter pour la mise en lumière. Je t’embrasse douce Annick.

    >Marc :
    Que de poèmes encore aujourd’hui ! Je ne peux pas tout commenter malheureusement. Je me demande où tu trouves toute cette énergie et cette belle inspiration. J’ai beaucoup aimé ton tout premier poème; il m’a fait hésiter pour la mise en lumière. « Aventurier » et « Aventure du quotidien » sont superbes aussi. Un grand merci pour tout, je t’embrasse.

    PS : je connais les destinations mais je ne sais jamais comment les passagers vont se comporter 😉 Aventure, aventure 😉

    >Brigetoun :
    La petite rebelle a parlé 😉 De belles errances dans tes poèmes avec toujours le labeur des hommes mis à l’honneur. C’est beau et authentique. Bises.

    >Thierry :
    Bonsoir thierry, tu ne fais jamais court 😉 Merci pour tes deux beaux textes sur l’aventure. Références, jeux de mots, réflexions profondes. C’est le premier que j’ai préféré avec ta construction plus aérée et le choix de mots plus simples et vrais qui provoquent l’émotion. Merci beaucoup.

    >Kirikino :
    Bel haïku ! La mort, c’est vrai, j’y avais pensé en postant ce petit cimetière isolé. Est-ce vraiment une belle aventure, that is the question 😉 Bonne nuit.

    >Claudie :
    Bonsoir Claudie 😉 De la neige dans ton beau sud 😉 Il n’y a plus de saison 😉
    C’est sympathique quand vous donnez votre sentiment sur les écrits des uns et des autres.
    Merci pour cette succession de beaux haïkus qui évoquent le voyage. J’ai beaucoup aimé ton texte sur l’aventure ; il m’a fait hésiter car je me retrouve dedans aussi 😉 Merci à toi. La bise du soir.

    >Sven :
    Et tu es finalement venu déposer ces beaux poèmes 😉 Poèmes un peu tristes; triste de nous quitter peut-être… Ton tout premier m’a ému et m’a fait hésiter. Partir sans se retourner, c’est parfois dur… Mais il est vrai que dans l’aventure, il y a la notion d’inconnu qui est palpitante. Bon week-end où que tu sois, je t’embrasse. A tout bientôt.

    >Bonbonze :
    Aïe bonbonze, que n’as-tu pas dit là 😉 Ce n’est qu’une rumeur 😉 J’ai vu des gens très efficaces et aimables pour recevoir les voyageurs. Le réseau hôtelier est vraiment performant, mieux parfois que sur le continent. Bon week-end.

    >Alix :
    L’amazone est revenue 😉 Beau beau l’extrait de le Clezio !
    Ton poème est peinture, lavis, aquarelle ; je vois le paysage se dessiner. Tes mots aériens nous font flotter dans l’espace. C’est splendide ! Bises du retour.

    >Pierre :
    Tu remarques que j’ai enlevé le 2 😉
    Aventure quand tu nous tiens 😉 Que de belles contributions de ta part ! Maria a raison, j’aime aussi beaucoup ton poème sur le petit cimetière et cet autre monde. Il m’a fait hésiter. Un grand merci pour tout, je t’embrasse.

    >Johal :
    Beau poème Johal avec souvent le roc et le travail avec les mains qui reviennent. Ton évocation est sensible, presque déchirante. Bises vers toi.

    >Monique :
    Je suis comme toi, cette grande ouverture sur cette superbe vallée m’a fait un choc visuel et émotionnel lorsque je l’ai découverte. Panorama grandiose qui ouvre vers le lointain inconnu, vers une aventure à vivre d’où mon titre final. Beau poème qui dit beaucoup de choses avec des mots simples. Belle idée le nuage blanc 😉 Bonne nuit à toi.

    >Maria-D :
    Bon week-end, grande aventurière 😉 Celui que tu aimes a de la chance de t’avoir 😉 Merci pour la vidéo émouvante de Barbara.

    >Nath :
    Bonsoir Nath, merci pour les belles citations qui trouvent toute leur utilité ici.
    Merci de nous faire partager ce beau texte de toi lié au quotidien, quotidien qui nous tient mais que l’on peut tenter de rendre plus beau, plus juste et plus riche. Rêver d’un autre monde différent de celui dans lequel on vit fait aussi partie de l’aventure humaine et des gens qui s’engagent pleinement pour faire bouger les choses. Bien à toi, je t’embrasse.

    >Tay :
    Joli poème que tu as sans doute écrit en regardant la première photo 😉 Aventure des sommets vers l’exil. Belle image, merci !

    >fauki :
    Emouvant, amusant ton poème où tu fais part de tes hésitations en cours de route 😉 Cette bonne personne t’a certainement entendu. Bises.

    >Bernard :
    Superbe ! Très original aussi par les thèmes développés au fil des photos mais aussi par cette nouvelle forme que tu adoptes depuis quelque temps. J’aime beaucoup ta dernière strophe. Bise au jongleur de mots et d’émotions.

    >Nigra :
    Superbe aussi dans le fond et la forme ! Comme j’aime ton style qui va au plus vrai et au plus simple mais qui parvient aussi à faire passer de l’émotion. Bonne nuit.

    >Neyde :
    Emotion à fleur de peau dans tous tes mots. Telle est la belle aventure de la vie que tu nous communiques. Tu m’as fait hésiter 😉
    Oui Neyde, il se passe de plus en plus de beaux moments de partage sur le blog grâce à vous tous. Je suis contente si chacun peut emporter un peu de joie, un peu de rêve au creux de sa nuit. Bises vers ton Brésil.

    >Pierreb :
    Le poseur de mots tendres sort de sa tanière pour notre plus grand plaisir 😉 Tu as raison, je m’étonne moi-même dans le choix de mes titres 😉 Quelle belle synthèse de la journée tu nous offres avec les signes d’écriture ! C’est un délice de fraîcheur, de tendresse et d’humour. Le blog plonge dans la folie douce grâce à toi aussi 😉 Bien à toi Pierre, tu es indispensable à la bonne marche de cet espace. Je t’embrasse.

    Pas si mal tes jeux de mots 😉

    >le sid :
    Bonsoir Yves, le petit cimetière a retenu ton attention en beauté. Voici un lien vers les lapiaz que je ne connaissais pas 😉 Bonne nuit et merci.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Lapiaz

  82. Me vient un mot anglais sous la langue en ce petit matin calme.

    Serendipity ; c’est quand on trouve quelques chose sans le chercher
    et là je m’interroge…comme trop souvent.

    L’aventure n’est ce pas parfois partir d’abord et voir ensuite, advienne que pourra et vienne qui voudra.

    N’ est ce pas appeler de ses voeux la rencontre sans la susciter ;
    un rencontre faite de risque, de nouveauté et sans dessein préconcu donc pas délibérément envisagée.

    Juste larguer les amarres et s’embarquer dans je ne sais quelle…aventure !

    Plongée dans le futur incertain mais nécessaire à l’assouvissement et à l’assouplissement de l’être.

    Les bourlingueurs se tannent le cuir, se cuisent les yeux, se remplissent les sens, à satiété ou pas, mais dans la dévotion de l’acte et dans l’urgence frénétique du parcours.

    Dans ces détours tumultueux et imprévisibles il y a du torrent en crue
    dans ces débordements incontrolables, dans cette perspective inembrassable il y a destinée et renouvellement, illusion et quête de la vérité.

    Il y a donc du ressourcement dans l’insondable, du bonheur dans l’imprédictible, du sentiment dans ce qui reste et vient à construire.

    « Las, je suis parti, j’ai quitté au petit matin cette vie d’habitude, ces repères de certitude, ces relations factices ; j’ai pris mon baluchon faits de quelques effets, je suis allé sans me retourner car telle était ma destinée »

  83. Merci Ossiane, pour tous tes longs commentaires, je relirai calmement cet après midi tous les beaux textes sur cette page.
    Hier tout fut si envolé, rapide, de bel amour, en toute simplicité, tendre complicité, si vite de vite, que les plumes volaient en plein ciel…
    m’est dur ce réveil d’atterrir ce matin sur le sol de terre, mais ce n’est que le réveil de départ, je pense mon envol toujours possible chaque matin,
    je souhaite à chacun une belle journée. Merci pour vos mots, les vidéos, les citations partagés.

  84. « Pour rouler au hasard, il faut être seul…
    Quand on est deux, on va toujours quelque part. »

    (relevé dans « Vertigo » de A. Hitchcock)
    ___

    Il y a ceux qui sortent un soir acheter un paquet de cigarettes au bistro du coin … et s’en vont pour toujours vivre leur aventure.
    Et ceux qui restent ???
    ___

    Toute cette page mérite d’être mise en lumière … une houle d’amitié y a déferlé … nos coeurs chaviré … et j’ai suivi la (votre) caravane des nuages avec un immense bonheur.
    ___

    Belle aventure à tous dans votre aujourd’hui.

  85. Un bonjour aux trois aventuriers du jour.
    Superbe triptyque, Ossiane.
    Quelle aventure!
    J’ai perdu mon 2.
    Bon week end à tous.

    Et si par hasard
    Vous passez par là pas loin
    Osez l’aventure

  86. Salut Amis talentueux,

    Mon coup de coeur, BOURRACHE ! que je connais pas mais dont j’aime l’humour et sa profonde humanité.
    Bisous.

    Amichel est un homme que j’admire depuis très longtemps. Je t’envoie mes amitiés les plus sincères.

    Bruno, je le connais bien aussi, il a du talent pour la photo et l’écriture, merci ! Mes amitiés photographiques.
    ********

    Aventurier dans mon esprit,
    Conquête des coeurs,
    La femme, ma plus belle découverte

    *******
    Bravo pour vos écrits chers tous !
    Bisous Ossiane et merci !

    Bon week-end !
    OLIVIER

  87. De très beaux textes pour illustrer l’aventure de ce week end.
    MAGNIFIQUES…
    >Ossiane :merci pour ton petit mot …>)

    Le monde est mon beau voyage
    la mer ma robe de fête

    Le vent
    mes sandales de feu

    Chaque feuille
    est un mot que j’aime

    Chaque oiseau
    me redit ton nom

    La terre tourne
    et tu me reviens

    toi le-même
    à chaque saison

    Hélène Cadou.

  88. il était parti chercher
    l’aventure dans les montagnes
    seul, se confronter à ses monstres de pierre
    se confronter à lui même.
    maintenant les cloches sonnent
    et le village derrière lui pleur silencieux.
    il va reposer dans sa dernière demeure
    face à la beauté
    face à l’éternité
    face à la vrai inconnue
    celle dont on parle toute sa vie.
    dans le silence de son âme.
    celle qui vous prend par hazard,
    au détour d’un chemin.
    celle dont ne sais rien.
    car personne n’en ai jamais revenu
    pour nous en parler!

    belle journée à tous

  89. Marc : moi j’aime bien quand tu « balbuzard » avec l’aile lisse de ton hélico…

    Fais gaffe si tu le déposes sur la prairie derrière chez moi … il y a une vingtaine de chevaux « fjords » qui y paissent…

    Parce que chez moi, dans toutes les prairies, y’a des z’animaux … qui ne font pas la sieste sur le temps de midi. Ils font comme des petites taches de couleur tout partout…

    (immense clin d’oeil, Ossiane).

  90. Ne t’arrive t il pas
    De confondre
    La lumière d’une étoile
    Avec celle d’un vulgaire réverbère

    Un réverbère
    Qui se libère
    Juste des écrits au virtuel
    Conscience dans l’illusion

    Un réverbère
    Qui ne croit qu’au réel
    Franches paroles au réel
    Inconscience dans le rêve

    Un réverbère
    Juste là
    En vie

  91. “Las, je suis parti, j’ai quitté au petit matin cette vie d’habitude, ces repères de certitude, ces relations factices ; j’ai pris mon baluchon faits de quelques effets, je suis allé sans me retourner car telle était ma destinée”

    L’aventure n’est ce pas parfois partir d’abord et voir ensuite, advienne que pourra et vienne qui voudra.

    je te cite, Tierry, j’aime beaucoup tes mots…

    Magnifique partage de texte, Alix.

  92. Bonjour à toute la confrérie de poètes

    Belle mise en lumière d’ami(e)s que j’aime beacoup, Bruno, dont j’apprécie la qualité de son blog enrichissant et qui m’a initié à l’écriture automatique…………Amichel, fidèle de ce blog et dont le talent est plus que reconnu….Bourrache, dont le naturel et la spontanéité sont remarquables …ainsi que l’humanité et dont le poème m’avait séduite et qui figurait parmi mes préférés.

    J’apprécie également vos échanges de complicité et vos partages.

    Je regrette actuellement de ne pouvoir profiter de vos vidéos car je suis en panne de micro…et j’espère pouvoir en retrouver l’usage car je perds beaucoup de vos apports.

    Je remercie particulièrement MARIA D ainsi que tous ceux, et ils sont nombreux, qui diffusent ces vidéos très attractives et intéressantes, j’en suis convaincue.

    Un grand merci à OSSIANE pour son blog de splendeur, enrichissant pour le coeur et qui nous fait vivre tant de belles « aventures » poétiques!

    Bon week-end………….et biz, comme le dirait Bourrache à toutes et tous

  93. Merci Bourrache, c’est émouvant….

    Le coeur d’une mère
    Se trouve sur son chemin
    Elle se découvre à Être
    Etonnée d’Aimer tant
    En mère comme elle se peut

    Et elle fait ce qu’elle peut
    Sans jamais tout pouvoir
    Car elle reste qu’une Humaine
    Dépassée par ce monde
    Et les années qui passent
    La rassurent de tellement
    Quand elle regarde émue
    Les voies sereines des trois enfants
    Qui un jour dans son ventre
    Se sont laissés bercer
    Puis par ses mains aimantes

    Presque elle ferme son livre
    Elle peut se vivre plus
    Ses trois enfants vont bien
    Trois perles à son collier
    Qui l’animent d’amour
    Pour se vivre son jour
    Encore de bel amour

    et je te lis Claudie et je partage tes mots, Merci Mari, tes vidéos nommées sont des délices, en plus de tout ce que tu apportes;,
    Merci Ossiane, et je vois que ton blog et un site déposé, je suis fort ému pour toi. Je ne sais pas bien ce que cela signifie, mais si cela sauvegarde tout ton travail pendant trente ans comme c’est indiqué quand onclique, c’est hyper émouvant! Bravo et merci d’ÊTre Toi , Ossiane. Douces bises.

  94. il m’arrive parfois,
    en ce moment,
    surtout
    de tout confondre,
    de me confondre,
    de m’approcher,
    d’un réverbère,
    Parceque, il éclaire,
    Même virtuel,
    il éclaire un moment,
    le trottoir de ma vie.
    vie soucieuse,
    en ce moment,
    Mais vie amoureuse,
    de la vie,

    Alors, c’est pour ça,
    que parfois,
    OUI.
    je m’éclaire,
    au réverbère.

    Et le lendemain,
    j’aime de nouveau,
    le ciel bleu, froid,
    glacial même,
    un pur matin en vérité,

    et j’atterris.
    Et même la vie dure, est belle.

    Virtuelle complicité.
    Merci.

  95. bourrache

    mes pensée sombres
    voile mon humour
    mais parfois il ressort
    et s’en va à l’aventure.

    en face de chez moi les chevaux
    ne sont pas vraiment en liberté
    vu que c’est un hypodrome
    l’aventure pour eux
    ce sont les courses de chevaux
    enfin il viennent peut être de ton pré

    et pour eux le soir ce n’est pas des réverbère
    mais des spots aveuglants

    bonjour a tous et belle journée

  96. Passeurs
    De lumière

    Ils ont découvert
    La Magie
    De la phosphorescence

    Lumière sans soleil
    Lumière sans lumière
    Pure light

  97. Claudie, j’espère de tout coeur que tu pourras bientôt voir ces superbes vidéos,
    merci Bourrache, j’avais sauté au dessus de ton échange avec S. Lama, hier, mais toute excusée…
    tout allait si vite de speed,
    les mots, les échanges, les sourires, les poutous, les fou rires, les profondeurs, les sombres, les chansons,
    AVEC L AMOUR TOUJOURS!

    Ma plus belle aventure de vie, c’est toi, mon Amour, qui me vit et qui me découvre, mon Amour, l’Amour se surpend à lui m’aime, d’être aussi haut d’être aussi grand aussi profond et le plus beau, mon bel Amour, mon Aventure de ma Vie, mon merveilleux Amour, dans ta magie d’Être.

  98. Bonjour claudie, annick et les autres.

    me revient une dernière envie sur l’aventure
    en lien avec les contes de l’enfance
    et son insatiable insouciance.

    La lecture et l’imaginaire qui s’y développe
    sans compter l’apport qui s’ancre en nous
    représente une des plus fortes aventure qui soit.
    Une aventure qu’on peut recommencer
    autant de fois que l’on veut
    et qui jamais n’aura le même parfum
    dont les mystères incessants
    n’auront de cesse de se dévoiler.

  99. La course du temps

    La main essaie
    de retenir
    l’attelage du temps
    qui s’emballe
    seconde après seconde
    les doigts bleuissent
    sous l’effort
    les lèvres mordent
    la poussière

    une fleur s’écrase
    sous la roue
    une main serre
    une ronce

    sous le soleil
    qui grince
    l’ombre seule
    fait frissonner
    tous les chevaux du vent…

  100. >Thierry :
    Joli mot Serendipity… inattendu, imprévu font partie de l’aventure. Merci pour tes belles réflexions fort matinales. Bonne soirée.

    >Annick :
    Bonsoir Annick, puisque tu as remarqué ce petit logo, je vais te répondre très sincèrement. J’ai déjà parlé sur le blog plusieurs fois du problème de droit d’auteur et du code de la propriété intellectuelle auquel je suis attachée. Selon moi, le droit d’auteur rémunéré ou pas rime avec création. Si ce droit n’est pas reconnu, beaucoup de gens vont mettre la clé sous la porte. Quand je revendique cela, je pense aussi à tous les artistes qui vivent de leur art ce qui n’est pas mon cas.
    C’est moi qui ai déposé le contenu du blog car j’ai beaucoup de problèmes de copyrights à gérer en coulisses. C’est une manière de protéger mon travail, d’informer , de dissuader et de pouvoir intervenir plus sévèrement si besoin est. J’ai des gens qui diffusent impunément des pans entiers de mon blog sans autorisation et sans lien de retour, des gens qui enlèvent mon nom pour mettre le leur à la place, des gens qui triturent mes photos ou les apposent sur des contenus médiocres, des gens qui inventent d’autres lieux pour faire croire que c’est eux qui ont fait les photos, des gens qui vont même jusqu’à recopier mon texte de présentation. Tu ne peux pas t’imaginer le nombre de problèmes auxquels je suis confrontée. Il faut croire qu’il y a un grand manque d’idées pour en arriver jusque là. Tu vois c’est compliqué à gérer mais je ne me laisse pas faire et résiste à cette tendance qui laisse à penser qu’on peut faire tout et n’importe quoi sur la Toile. Il y a un gros manque d’information sur ce sujet que je souhaite donner. J’aimerais sensibiliser les gens sur ces problèmes.

    >Bourrache :
    Oui Bourrache, c’est une belle page aussi à mettre de côté.
    Beau spectacle que tu as derrière chez toi 😉 Note que je t’ai montré un cheval et un balbusard (peut-être même que c’était un milan… pas banal, non ?)… Tes compagnons les animaux ne font pas la sieste car la chaleur est moins intense dans ton nord 😉 Clin vers toi.

    >Pierre :
    J’espère que tu ne regrettes pas ton 2 ?

    >Olivier :
    Quelle pétulance ce matin 😉 Merci pour ce cri jailli du cœur 😉 Bises à toi.

    >Alix :
    Cette Hélène Cadou a une écriture toute simple qui me touche. Merci pour la découverte !

    >Marc :
    Beau poème Marc ! Ca me rappelle les indiens qui je crois, vont enterrer leurs morts dans la montagne. Merci pour ton écriture senssible.

    >Claudie :
    Bonsoir Claudie, je pense pas que ton problème de son soit lié à un micro; plutôt de haut-parleurs, non ? Vérifie plutôt dans le panneau de configuration de Windows (sons, voix et périphériques audio) si la case « Muet » est cochée. Ca arrive parfois. Merci Claudie pour ta chaleureuse amitié, je t’embrasse.

  101. … « dont les mystères incessants
    n’auront de cesse de se dévoiler »…(je cite Thierry)

    chaque poème écrit semble être le dernier, clos un rêve, une pensée, un souvenir, un espoir…pourtant l’aventure recommence après le point.
    Bon week end à tous.

  102. Sans avoir touché de près à ces problèmes, Ossiane, je te comprends très fort,
    et j y ai souvent pensé aussi,
    et quel manque respect encore de la part d autres,
    j ai aussi souvent pensé que certains peuvent prendre t es photos, tes mots, mes mots,et je me dis qu il y a une date de parution,
    mais cela donne à réfléchir,
    nos mots, ne sont pas une valeur marchande en argent ou en estime de soi, pour d autres.
    je te comprends fort et t approuve!

    le monde kidnappe autrui, cela lui permet de faire semblant d exister si souvent!

  103. >Annick:
    Tous les poèmes que vous déposez ici et qui vous appartiennent puisque c’est le principe même du code de la propriété intellectuelle (toute oeuvre de l’esprit appartient à son auteur), se retrouvent du même coup protégés. Si jamais vous aviez un litige sur un autre blog, on pourrait faire valoir vos droits.
    Ces problèmes ne se produisaient pas avant l’arrivée d’internet. Personne n’a jamais remis en cause la signature d’un écrivain dans un roman papier ou d’un tirage de photographe. Pour qu’il se passe la même chose sur la toile, il faut tout simplement respecter les créations des autres. Elles sont exposées au regard comme dans une exposition mais ça ne veut pas dire qu’on peut les diffuser ailleurs autant qu’on veut.

  104. Tu as fort raison, Ossiane,
    je partage tout à fait ton ressenti,
    tu sais, j’étais contente, de voir site déposé, car mes mots, c’est un bout de chair de moi, d’âme de moi, qu’à moi, et je partage, mais cela reste d abord à moi..

    et ton blog est si grand, que je suis fort heureuse que tu sois en site déposé, personne ne peu prendre ton immmense travail! mais je sais bien, que les méchants jaloux qui prennent l autre, sont partout. Bises!

    les mots, la sculpture, la toile, la musique.. appartiennent encore et toujours à celui qui les a créés,
    même si il a cette envie fort généreuse de partager,
    si on a envie de partager une crétioon, un bout de vie,
    on n a pas envie de se donner entier et se perdre en quelqu un qui nous vole!

  105. >Annick:
    Merci de ton soutien qui me touche. C’est vrai qu’il n’est pas facile de parler de cela par les temps qui courent car on te prend pour un fou furieux;-) Quand on publie des choses qu’on a faites sur un blog, c’est un partage mais aussi un geste généreux puisque les gens peuvent utiliser pour eux ce qui est montré tant que ça reste dans le cadre privé. Tout le problème réside dans la diffusion commerciale ou pas. A force de vouloir tout et tout gratuit, on va finir par tuer la création.

  106. > Ossiane, non, je ne regrette rien. Tu connais la chanson…
    Ce 2, c’est toi qui me l’a donné et c’est toi qui le retire. C’était ta création. Et donc ton droit. Je me sens plus léger…

    En omettant le deux
    Tu me défais d’une pelure
    Me voici rajeuni
    Toiletté pomponné
    En un mot: ragaillardi
    Quelle aventure!

  107. Désolé une fausse manoeuvre et tout fout le camps comme disait Mouloudji je croit.

    je fais chorus pour dire mon indignation face au pillage à peine croyable de ce lieu sacré (oui où ça crée aussi) et consacré.
    Merci de nous rassurer Ossiane parce que nous créons en direct pour le partage et pas pour l’épendage et ce tour pendable de la recopie malhonnéte n’est pas admissible.

    Enfin je veux porter à votre attention que effectivement internet est strictement un média comme un autre sauf pour ceux qui ne connaissent ou bafouent la loi et donc que le copyright est légal.

    Les droits d’auteurs ou la déontologie de la citation doivent alors s’appliquer strictement quand on sort de cet espace.

    >Ossiane : je ne sais pas si tu connais la revue archimag mais j’ai un ou deux articles très récents qui traitent justement de ce sujet, je me fais fort de te les indiquer, voire de te les scanner.

    Bon je fais court, le froid est là et engourdi mes doigts (pas mon esprit
    quand je lui demande es tu là, vous savez ce qu’il me réponds).

    Bizzz comme le bruit du blizzard (vous avez dit blizzard comme c’est … ).

  108. >Sven:
    Beau poème émouvant Sven avec ton âme en peine tous ces jours-ci. Belle image ces chevaux du vent. J’espère que tu vas bien au moins…

    >Pierre:
    C’est vrai, je ne me souvenais plus… OK Pierre sans 2;-) Heureuse de te savoir plus léger;-) Maintenant, on ne peut plus te confondre. Il y a bien Pierre b mais le petit b le distingue;-)

    >Thierry:
    Et de deux, je ne suis pdonc pas toute seule…
    Oui Internet est un média comme un autre. J’ai lu pas mal de d’articles sur ce sujet. Je ne connais pas cette revue; je veux bien que tu m’envoie des scans. Merci beaucoup.

  109. heinhein, c’est rigolo pour Pierre b, moi j y mets un grand B, et je suis remontée pour vérifier qui de qui dit de vrai,
    toutes les deux, Ossiane, toi car il écrit Pierre b, et moi car il mérite un grand B ravo, j adore ses écrits…

  110. Chère Ossiane,
    Je suis Annick et Thierry, le travail est à toi.
    C’est vrai, nous créons en direct pour le partage dans le blog,
    avec le coeur ouvert.
    Mais tu as « l’oeil ouvert » et tu as déposé le contenu du blog.
    On se sent protegé.
    Merci Ossiane de ta précaution.
    Bisous

  111. Devant les yeux, la montagne à gravir… bien haut perché, le haut clocher …et fort niché, le doux village…. plus enfoncé, le cimetière… et tout là bas, la mer de bleue… la cloche s’envole pour se baigner…la soupe sent bon dans la cuisine… le mort se réveille pour l’heure du repas… la rocaille chante sérénité.

  112. DéCHIFFRE ET DES LETTRES

    Les mots jouent

    A cache-cache
    Derrière l’arbre, sur la feuille

    A la marelle
    Cailloux jetés de la terre vers le ciel

    Aux cartes
    A tous coeurs, rois, dames et valets

    A saut de mouton
    Sur l’haleine du temps et l’écharpe du vent

    Aux échecs
    A l’entour des trous noirs, fous cavaliers blancs

    Au cerf-volant
    Nacelles lestées, fils ténus

    Au ballon
    Lancés, interceptés, ronds

    Mots chuchotés
    Mots de passe
    Mots-clés

    Nos mots

    Déposés

  113. Ossiane
    j’ai lu vos échanges au sujet du pillage de ce site

    j’avoue être surpris a ce point là.

    tu as raison de te protéger ainsi
    et de ce fait tu nous protège aussi.
    mais malheuresement ca doit te prendre aussi
    du temp et de l’énergie que tu pourrais employer autrement

    je ne manquerais pas maintenant que je connais l’ampleur
    de ce pillage de rechercher et de t’informer
    si je découvrais des abus de ce genre.
    car je trouve qu’il y a vraiment beaucoup de talent
    y compris le tien car si se blog est devenu ce qu’il est c’est grace a ton
    talent et ton énergie.
    il serait domages que ces talents soient piller par des INCAPABLES
    OU DES FRUSTRES.

    bises vers toi et tous les aventuriers du blog

    a bientôt pour des textes et poèmes plus agréables

    MARC

  114. Un réflexion nocture et presque somnanbulle (à coincer) .

    On n’a pas le droit de jouer avec les doigts d’auteurs ce sont des choses trop fragiles et agiles à la fois qui courent et volent sur les claviers incessament pour délivrer des billets (pas de banque, on ferai fausse route).

    Merci bourrache pour ce copyrite suggéré et calqué (pas la chalcopyrite, car ça sent le soufre mais sans douleur) . 😉

  115. >Neyde :
    Merci pour ton soutien et ta confiance, Neyde ; ça me touche. J’ai beaucoup de respect pour tous vos écrits et leurs auteurs. J’espère que cette initiative fera passer le message. Bises de nuit.

    >Bourrache :
    Merci pour ce joli clin d’œil poétique et ces mots posés déposés en vadrouille 😉 Bises.

    >Marc :
    Merci également pour ton soutien. Tes mots sont FORTS 😉 Je ne suis pas en colère mais simplement soucieuse de me protéger. Si les gens veulent voir mes photos, ils viennent sur L’Oeil Ouvert, voilà tout 😉 Il est vrai que cela me demande du temps et de l’énergie pour faire valoir mes droits au près des indélicats mais la cause en vaut la peine ne serait-ce que pour informer le public qui n’est parfois pas au courant de ces subtilités. Bises à toi.

    >Thierry :
    Décidément beaucoup de soutien ce soir 😉 Oui l’argent n’a rien à voi là-dedans sauf pour ceux qui vivent de leurs créations. Tu fais court ce soir 😉 Rassure-toi pas de déprime en vue 😉 Bises.

  116. Une fort belle page, émouvante, vivante, pleine d’émotions grandes de vie, ma plume prend son silence ce matin, reste dans son encre, et sa petite tête, dans des creux de vie, lira et relira cette page et d’autres pages de vie. Un grand moment de vie qu’il y a trois jours, en ces échanges rencontres tout de chair tout de coeur tout de son âme, vraiment un grand moment, et cette force des vidéos, ces artistes, leurs visages, leurs mots, la musique, l’expression de la vie, et chacun de vous, vos photos, vos mots, vos dlicatesses, souffrances, bonheurs. J’aime intensemment la vie en ressentis, en émotions de vie, comme elle passe, c’est fort beau, en passant de la joie à la douleur, tout y est dans la vie!
    Mon aventure de vie, tu me secoues, me garde en vie, m’envole, me propulse, m’apaise, m’aime, me déçoit, m’abandonne, me retrouve, me détruit, mon aventure si petite dans le creux de ma main, que je tente de vivre au plus profond, au plus haut, ma petite vie d’aventure de moi sur mon che min de vie.

    heu? finalement muette elle a trempé son encre,ma plume à moi!
    sourire! et bises du petit jour de dimanche! mes pensées tendres pour chacun!

  117. Cathédrale verte,
    Ta carapace
    Quasimodo s’y cache !
    Aux coins du complexe édifice.

    Formes arrondissantes
    Douceurs veloutées
    Habille ton corps tourmenté
    Te protège d’une coquille.

    Primitif refuge, du bien être,
    Ton nid, ton refuge,
    Invisible à la face du ciel
    Ainsi, tu étais là !
    Et je ne t’ai point vu !

    bonjour au salon,
    plus d’ordi ces jours-ci,( problèmes de virus) !!!

    un signe particulier à SVEN à qui je ne peux répondre perso, son adresse email s’est perdue avec tout le reste de mes fichiers !!!

  118. Bella ciao,
    l’aventure n’a pas d’heure
    mais tant d’appats
    l’aventure est suggérée
    l’aventure est tolérée
    l’aventure est nécessité

    on a tous envie et besoin
    parfois au loin de s’évader
    que ce soit en songe
    que ce soit en lecture
    que ce soit en cinéma

    L’art et les disciplines d’éveil
    (je moque la terminologie des pédagogistes)
    montrent que le monde
    peut ressembler à autre chose.

    dépasser ses préjugés
    ne pas tirer au jugé
    et finir la haut juché
    pas comme petit hochet
    dans un tas de foin

    Eh oui la nature
    si on relis des classiques
    revet par mille apparences
    illustration et défense
    les couleurs du départ
    sans retour, du voyage
    à rebours, des actes
    de bravoure, des gestes
    de secours.

    Mais je m’égare par mégarde (je ne m’y tiens pas)
    et serrons la garde;

    Le cinéma a été un univers
    enchanteur dès l’enfance
    cinema pardisio montrait
    sa cruelle ambivalence

    Projeter pour se projeter
    bien sûr les pellicules
    vous rattrapent trop vite
    capillaire ou lapidaire

    Les visions les plus diverses
    sont sujets à interprétation
    mais on fait corps avec le sujet
    on fait coeur avec les personnages
    immergé dans son siège
    on ne voit pas le piége

    l’aventure est sans fin
    elle est là sous nos pas
    tout au long du chemin

    Bises dominicales avant que je ne cale
    ou me cale, dans mon bocal
    je grelotte, je frissonne
    réchauffez moi donc
    avec vos mots

  119. Coin de la rue
    A gauche
    A droite
    Pas d’importance

    En route
    Pour l’aventure
    Là, où va le vent
    Sans se retourner

    J’ai frôlé
    Le feu des enfers
    A peine aperçu
    L’oiseau de paradis

    Des chats
    Ebouriffés
    Toutes griffes dehors
    Aux dents acérées

    Des chiens
    Avec des chaînes
    Et, au coin des babines
    De la bave de sang

    Des trous béants
    Avec des os dedans
    Des femmes éventrées
    Des enfants sans eau

    A cloche-pied
    J’ai tant tourné
    Me suis retrouvée
    Au coin de la rue

    Sur le seuil
    Un tas de courrier
    « N’habite plus
    A l’adresse indiquée »

    J’ai défait
    Mes ficelles
    Et mon baluchon
    En papier mâché

    Dépoussiéré
    Un coin de table
    Déposé
    Mon coeur blessé

    Au coin du feu
    Me suis dit
    « Adieu, mes soupirs
    Me revoilà chez moi »

    Et j’ai siroté
    Un p’tit noir
    Très serré
    – Arômes retrouvés –
    ___

    Biz et bon dimanche à tous.

  120. … les rêves ne sauront jamais se fixer à tout jamais … sur un bout de papier … ou un bout de pellicule … c’est là leur grande force …

  121. Je leur offre
    De temps à autre, mes mots
    Ronds, comme des ballons
    Lancés, comme des bouées

    Sans écho

    Oh, ces drôles de gens…

    Pas le temps
    Le temps, c’est de l’argent
    Pas des sentiments

    Issus de mon sang
    Et du sang de l’autre
    Pas drôles, mes enfants

    Je me noie dans ma transparence
    Au bord de mon néant
    Dans le coeur, un grand trou béant

    Alors, je m’en vais
    Vers mon hiver, la goutte au nez
    Et mon mouchoir en papier.

  122. Images et mots déposés
    Comme autant de baisers
    Mots de poètes et poétesse
    Mots de tendresses
    Jeux d’adresses , de détresses
    Que l’on peux voir et recevoir
    Des mots pour rêver et s’envoler
    Mise en lumières
    Ou rester en arrière
    Ils éclaires nos cœur solitaires.
    Mots et images récupérés
    Transformer et volés
    Mot pour se valoriser.
    L’humanité peux être tromper
    Mais on ne peux pas tricher
    Sa conscience.
    Alors mieux vaux risquer
    De déposer ses mots
    Ses mots si beaux
    Ses mots à soi
    Comme une caresse de soie
    Partir à l’aventure
    De cette écriture
    Un murmure
    Une griffure
    Une épures
    pure…

  123. >Bourrache: encore, irrésistible, quelle pêche tu me file.
    Totalement d’accord pour la rêverie…du promeneur solitaire
    bises à toi; ça m’éclate tellement de te lire, voilà c’est dit.

  124. Aujourd’hui c’est dimanche,
    mais il faut manger
    dans la cuisine
    Je vais m’aventurer…

    Vous voyez, mes chéris,
    tout c’est une aventure
    Il faut rêver un beau plât
    fait d’amour et ternure

    Et puis, avec la famille
    Manger le resultat
    en attendent les éloges:
    C’est bon! ou … pas …

    ======================

    Ici, sont les 11:35, mais pour vous
    un bon après midi.
    Ossiane,
    Thierry dit que nous créons en direct.
    J’ai fait déjà un progrès,
    Il y a de textes (par exemple: aujourd’hui)
    que j’écris sans faire du brouillon!!
    Tant je vous lis
    que j’apprends …

  125. Bourache c’est pas trop tôt maintenant que tu es à la maison
    on peut se le prendre ce café

    dis donc tu nous en offre des perles !!

    thierry tu écris toujour autant
    je ne sais pas comment tu fais
    tu es vraiment très grand un jongleur

    fanou Neyde celiack annick Ossiane
    a tous bon dimanche

  126. Neyde,

    Miam miam, les mots sans brouillon … sont délicieux !

    (avec un grand sourire et un clin d’oeil : « ternure » … je connais pas …
    c’est une herbe aromatique qui pousse par chez toi ? … je suis sûre que ça doit être très bon … sourire, encore !)

    Biz vers toi.

  127. Bon dimanche, Marc,

    Mon coeur
    Tu me fais vivre
    Mais bien au delà de toi
    Mon cerveau
    Reste mon coeur d’amour
    Car me vivre
    En amour
    Est ma belle aventure

  128. cha alorx, Bourrache, absente de l’ordi, mais si présente en moi,
    et nous voilà dans la même seconde parmi des milliards de milliards de secondes jusqu’au point d’arrêt de la vie… de secondes qui se suivent…bon dimanche en direct, je ne peux me brouillonner, mon direct mon brouillon me sourit tellement..
    je clique sur le lien… et merci grand plus encore si t as tournicoté longtime pour nous…thanks a lot…

  129. mmmmmhhh…. c’est fort beau, Bourrache, très jolie chanson..

    et merci pour tous les derniers textes déposés si tendres par chacun encore..

    Mon Aventure de Toi
    Si grande et merveilleuse
    Elle s’est collée si fort
    En trace indélébile
    Que je la vis encore
    Chaque jour, éternelle
    Dans l’attente secrète
    De la revivre encorps
    Notre Aventure de Nous
    Si haute et si céleste
    Elle s’est tombée comme çà
    En destins emmêlés
    Que tu me vis encore
    Chaque jour, si fort
    Dans le profond amour
    De nous aimer toujours

  130. Bourrache
    c’est pour rire!
    C’est une herbe que pousse chez une brésilienne
    qui veut écrire des vers en Français …sans brouillon…
    Chez toi elle ne vas pousser!
    Mais, tu as vu tendresse rimer avec aventure?
    seule avec vitesse!
    Pardons mes amis.
    Vous pouvez rire, mais je vais continuer à écrire des vers mais … avec le brouillon …

  131. Non,non, Neyde …

    je savoure tes mots sans brouillon …

    un os à moëlle, un peu des carottes, des poireaux, des oignons, thym, laurier, sel, poivre … et un peu de ternure…

    … le bouillon de Neyde hume les bonnes odeurs de ton là-bas !

  132. les « thinking bloggers awards » font partie de ces petits jeux qui permettent de faire connaître des blogs que l’on a vivités et aimés . Je t’ai donc citée parmis mes 5 découvertes cette fois .

    Bravo pour l’idée des caligrammes c’est original et très joli ! Amicalement
    Nicole

  133. Quand l’ Aventure
    Devient synonyme d’angoisse
    Quand la porte du jardin
    se referme
    Qu’il n’y a plus de fleurs
    Que le banc reste vide
    Qu’il faut penser un autre monde
    Que rien ne sera plus comme avant
    Qu’on dit…….c’était
    Mais qu’on ne sait pas ce que sera !

    Quel sens prend le mot vivre !
    __

    « le mot « vie » est le roi des mots. Le mot-roi entouré d’autres grands mots. Le mot « Aventure » le mot « Avenir » et le mot « espoir » Kundera

    Bonjour à tous. Pardon si c’est un peu triste mais ces quelques mots sont tellement vrais pour beaucoup d’humains sur notre terre, l’hiver arrive.

  134. ….Je pense qu’on peut ajouter à la citation de Kundera le mot Amour, je crois que Annick ne me contredira pas.
    …On aimerait que toutes les vallées du monde soient toujours et encore des jardins d’abondance pour des lendemains premetteurs…..

  135. Un petit coucou ,

    Pas trop de temps,..

    Je suis tout à fait d’accord avec toi Ossiane !

    Il faut se protéger, et ça prend beaucoup d’énergie..!

    Bravo à toi de te battre contre les pirates, fénéants..

    Je t’embrasse, et te remercie encore pour cette dimension de l’écriture, du bien qu’elle me fait, que ton blog m’a apporté.

    Une bise, à la  » passeuse  » , qui m’a amené ici.

    Bonne soirée à tout le monde.

  136. Je devais avoir douze ou treize ans…Je ne sais plus tellement s’en va le temps
    J’avais des rêves pleins la tête…un jour de grand vent…nous décidions de partir à l’aventure
    Avec mon copain bien plus vieux que mois…Il avait treize ou quatorze ans…
    Un jour nous avons plongé à des profondeurs vertigineuses…Cinquante centimètres ou un mètre… dans le ventre de la mer…A la recherche de trésors perdus…
    Nous rêvions de pirates…de combats…de pièces d’or…soudain nous avons découvert
    Une immense galère gîtant au fond de l’eau…elle devait mesurer deux mètres…Elle nous attendait depuis des siècles dans ses eaux troubles et infestées de terrible requins…les yeux ébahis, on se regardait le sourire aux lèvres…pleins d’espérances…nous avons repris notre respiration et sans cesse nous replongions dans les vagues féroces…à l’abordage de ce rafiot…Quel butin allions ramener …quels pirates avaient bien pu naviguer sur ce bijou ! Quand tout à coup je découvris une bague. Pas n’importe quelle bague… une bague avec une tête de mort incrustée. Je crois que ce fut l’aventure qui me laissa le plus grand souvenir…

  137. Bonsoir, il s’en passe des drôles de choses sur le blog.
    même avec ce temps de chien à boire un glogg.

    L’avent n’est pas là encore et pas d’arrivée sans départ
    même si pour eller au bout de soi il y a un monde à part.

    Donc tout commence là au coin de la rue
    un espace immense à perte de vue.

    >Bourrache: Si je te comprends bien bourrache on passe du brouillon
    au bouillon sans se jeter plus à l’eau que les carottes et les navets 🙂
    ah je voulais te dire que je n’avais déjà que de rares idées au gramme
    mais sur ce site j’ai trouvé mon comptant.

    >Monique: Quelle bonne idée monique d’avoir rajouté une pincée de kunder
    cette légéreté apparente n’est pas insoutenable en tout cas 🙂

    >Neyde: tu bouillonnes mais c’est affaire de tempérament et n’est ce pas vrai que nos craies actions sur l’ardoise donnent une addition
    matinée d’addiction qui ne génère pas l’affliction; ce n’est pas encore l’heure de la récréation sans doute.

    >Marc: mais non j’essaie de me l’imiter en douceur parce qu’il ne faut pas saturer les autres, fautes de quoi après il faut suturer (comme on dit chez moi « quelle plaie ») ;))

    Dimanche pas ordinaire ni ordineur, juste ordinateur pour les kids comme les autres mais encore de belles évocations pou donner la vocation au partir.

    Je pensai à ce « partir, revenir » de Lelouch, comme à une alternance bienvenue, bienheureuse; un rythme binaire pour biner le chemin et enlever quelques herbacées (on en a déjà fait provision).

  138. d’autant Thierry que « kunder » n’est pas indigeste à mon goût il donne plutôt dans l ‘insoutenable légèreté de l’être.

  139. Bonsoir à vous tous … que de lecture et belles choses en ce lieu…

    « On peut être poète dans tous les domaines, il suffit que l’on soit aventureux et que l’on aille à la découverte. »

    G. Apollinaire / L’esprit nouveau et les poètes

    Pour Bourrache

    Grand merci pour ton tricot… cette écharpe je l’aime depuis longtemps… je ne connaissais pas la version Félix Leclerc … uniquement celle merveilleuse de Maurice Fanon… celle-ci est belle… merci merci… J’AIME

    Et puis la voix d’extraterrestre de La Callas … UN REGAL

    Bises vers toi

  140. D’écriture … et d’aventure
    En aventure … d’écriture
    Je me griffe à la rature
    de mes lignes d’éraflures
    attisant la blessure
    d’une cuisante brûlure
    Au cœur de mes gerçures
    je ressens la piqûre
    de mes mots en guipure
    sur cette page d’écriture
    en aventure d’égratignures
    Au bout des doigts une écorchure
    entre les lignes une éraillure
    et mes maux sur la bordure
    au coin des lèvres une coulure
    et dans mon âme une fêlure
    Sur cette page d’aventure
    en écriture et pale dorure
    mon cœur saigne d’une biffure
    Et dans ma vie… …une rayure
    blesse mon corps d’une coupure
    Dans ce monde de fracture
    de souffrance et de cassure
    au fond de moi … …une meurtrissure
    se tient tapie sous la doublure
    en héritage d’une morsure
    au fil du temps et d’aventures

  141. Avais-je le droit de mettre ce blog en lien ?

    J’ai un peu pioché pour trouver une adresse e-mail … j’ai buté sur beaucoup de petits dessins … chinois (peut-être pour filtrer le bouillon de Neyde).

    Si oui, je vous signale qu’il y a également les versions chantées par Félix Leclerc, Cora Vaucaire, Pia Colombo et Catherine Sauvage.

    Si non, Ossiane, tu l’effaces s’il te plaît. Merci.

    Aujourd’hui, un dimanche qui fait un peu « cuisines du monde »…

    Bonne soirée.

  142. Viens
    Ne te retourne pas
    Viens, toi
    Donne moi la main
    De toi à moi
    C’est toi
    Qui est ma plus belle aventure
    D’amour

    Oui, Monique, c’est bon d’y ajouter le mot Amour,
    c’est… et plus encore… MariaD….charmée encore une fois.

  143. >Annick :
    La bise du dimanche, merci pour tous tes écrits.

    >Fanou :
    Bonsoir fanou, c’est beau cette idée de cathédrale verte qui protège et enveloppe. Merci pour ton poème tout en rondeur veloutée. Bises.

    >Thierry :
    Merci pour toutes ces belles inspitations poétiques qui semblent ne te faire jamais défaut 😉 Toujours les jeux de mots que tu affectionnes particulièrement. Merci beaucoup.

    >Bourrache :
    Tu écris bien Bourrache 😉 Tes poèmes sont émouvants car remplis d’humanité. Merci pour tes beaux amendements ; tu deviens une sérieuse concurrente pour Maria 😉
    Pour ce qui est de ta question par rapport au blog dont tu parles, difficile de te répondre car en matière de vidéos et de musique, c’est toujours le grand brouillard. Il est évident que malgré la loi, pas mal de blogs mettent en ligne leurs mp3 réalisés à partir de leurs CDS, que Dailymotion et You tube contiennent encore beaucoup de choses illégales bien qu’ils aient dit qu’ils allaient faire du ménage. Le problème c’est que l’utilisateur a tout un tas de choses à sa diposition et qu’il n’est pas prévenu de ce qu’il est autorisé à faire ou pas. On revient toujours au problème de la diffusion. Pour les liens vidéos que vous mettez, je suis incapable de te dire si c’est possible ou pas… Certains oui, je pense aux vidéos de l’INA, d’autres non, je pense… C’est à vous de juger au moment de votre choix… Pour ma part, je ne ferai pas de note avec des contenus illégaux.

    >Marc :
    Bonsoir Marc, superbe poème sur ces mots déposés et belle histoire de bague;-) Tu as beaucoup de choses à raconter toi aussi 😉 Merci beaucoup.

    >Neyde :
    Tu as beaucoup d’humour dans ton poème 😉 Les juges sont gentils dans l’ensemble mais les poètes sont terriblement bons;-) Bravo pour ton texte sans brouillon même si je ne vois pas ce que tu veux dire par « ternure » 😉 Je t’embrasse.

    >NicoleA :
    Bonsoir Nicole, je te souhaite la bienvenue sur le blog. Très touchée de faire partie de ta sélection ; je ne connaissais pas ce petit jeu. Au plaisir de revoir ici. Bonne soirée.

    >Monique :
    J’aime beaucoup ton petit billet sur le sens du mot « vivre » à cette période de l’année. Beaucoup de sensibilité dans tes mots qui réconfortent.

    >fauki :
    Merci pour ton soutien. Bien sûr que tu es sensibilisé sur ce sujet vu ton métier de peintre. Mais tu as l’avantage de faire des pièces uniques 😉 Bises à toi.

    >Maria :
    Quel travail d’écriture tui as fourni dans ce poème en « ure » Quel défi et réussité, la lecture fait passer les émotions, bravo à toi.

  144. … superbeS…

    Dis, Maria-D, c’est toi qui m’as fait connaître dailymotion… je dois dire que je m’y plonge avec délices.

    Heu … et si on s’en gardait quelques-unes pour demain ?

    (sinon on va se faire virer par Ossiane …)

  145. Je te donne la main Bourrache.

    Un jour
    Il plonge
    Son regard
    Dans le bleu
    De ses yeux
    Un jour
    Il voyage
    Sa main
    Dans le décolleté
    De son corsage
    Un jour
    Il caresse
    Son corps
    Dans le délice
    De son aventure

  146. Sans rien savoir
    Sans rien choisir
    Le bébé riche
    On lui met des chaussons
    De laine pour l’aventure
    Le bébé pauvre
    On le laisse pieds nus
    De froid pour l’aventure
    Et à chacun de se marcher
    Tellement soutenu pour l’un
    Mis dans la fosse pour l’autre
    L’aventure de la vie
    Cette cruauté ou cette merveille
    Dès la naissance
    Déjà dans le juste moment
    De le faire son bébé
    La vie une aventure
    Dans laquelle un enfant
    Mérite d’abord son parent
    Dans son enfance
    Pour se grandir
    Et pouvoir penser la vivre
    Son Aventure
    En femme, en homme
    En mère, en père
    Tout en restant toujours
    L’humble enfant
    De sa vie

  147. j’ai peur de sortir
    sortir pour ou?
    et ses gens qui m’accompagnent
    qui sont t’il ?
    on me pousse dans se coussin
    il m’emmene sous cette machine a écrire
    qui me chauffe le fleuve et m’ébouit
    je préférerais rentrer à la guerre!
    et en plus je vais être en retard
    et cette lampe qui me souri
    qui me dit alors maman !
    comment te sens tu aujourd’hui?
    qui est t’elle ?
    je ne l’a connais pas
    je ne l’ai jamais vu.
    je veux rentrer
    j’ai peur !j’ai froid !
    je veux retrouver marcel!
    et elle continue a me parler comme
    si nous nous étions connus depuis toujours!
    elle me dit que l’on à fait beaucoup de progrès
    pour guerrir de cette maladie
    mais de quoi parle elle?
    elle me dit
    « oui maman tu sais bientôt il arriveront
    à te guerrir de la maladire alzheimer!! »

    a la grand mère de ma femme
    qui est morte depuis quelques années
    et pour qui, à la fin de sa vie ,
    sortir était déjà une grande aventure.

  148. Oui Marc,c’est troublant cette maladie, voyage dans l’inconscient, dans le passé en dehors du temps, l’horloge qui prend du retard, on ne sait pas trop, un autre monde, cette si belle machine, qui peu à peu se dérègle, hésite pour peu à peu se retrouver en totale inharmonie avec le monde environnant, qui perd ses repères, ses instincts de survie, son identité, et tout ça dans une progression très lente et psychologiquement douloureuse, pour une fin inéluctable. Est-ce évitable ? peut-être un jour, il est si complexe le cerveau humain, c’est lui qui tient les commandes dans la grande aventure qu’est la vie.

  149. Quelle bonne idée de retourner en arriere ,je comprends pourquoi je reviens tjs sur le site ,l( ocassion de me rappeler ce que j’ avais oublié surtout ce que j’ étais il y a une quinzaine d’ année une femme vivante et bien a ma place .Cela me permet de Re ViVre.Quelques fois il y a des choses mortifiantes si pénible quelle s vident .Quelles dépersonnalise.Ossiane et vous tous je vous dois de m’ être reconstruite.Comment vous dire tout cela .???Avec le temps.Bonsoir et bonne soirée a tous.Sans oublier personne..Noisette.

  150. >Noisette:
    Prends ton temps pour le dire mais les visiteurs ont bien senti comme c’était important pour toi de venir ici. Bien à toi, je t’embrasse.

  151. La mémoire la mienne traine des années de souffrances a cause des geurres ,d’une impossibilitée a faire ma place dans une famille qui ne me voulais pas qui rejetais l’ existence même de ma naissance ,un Poil de Carotte des années juste avant 39/45.
    Une famille ou l’ amour n’ existais pas ,seul comptais l’ argent et pour religion la raison du plus fort.Bien avant Cyril? je saais que ma seulr chance étais l’Amour des autres .ET je suis partie seule mais avec la libertée pour donner un sens a cette vie qui n’ a que le sens que j’ ai voulue lui donner.Ce que je savais surtout c’ étais ce que je ne voulais pas.Les problémes de santé sont arrivés avec les années ,mais j’ ai encore la force pour ne pas cesser ce combat.Plus tu reçois et plus tu dois rendre j’ ai fait de nombreuses rencontres « des mains tendues  » pour moi je sais que cela existe.J’ aime la viela seule chosequi ne me fait pas de cadeau mais qui permet d’ esperer parenir a CENTANS.Noisette.

  152. >Noisette:
    Bonsoir, Noisette, douloureux souvenirs que tu évoques! Ces terribles guerres ont laissé des traces profondes dans la façon d’aborder la vie. Elles ont encouragé les gens à se forger des carapaces et à ne pas savoir exprimer leurs sentiments pour se donner force et de courage. C’est difificle à vivre, je te comprends. Mais je pense que tes parents t’aimaient mais qu’ils ne voulaient pas le montrer de peur de paraître trop sensibles. Cela t’a donné l’envie de t’émanciper, de vivre et comprendre par toi-même. Tu donnes une belle preuve de courage et d’audace en ce moment. Je t’embrasse.

  153. Ossiane , ce n’ est pas spécialement a eoi que je confie ces douleurs,mais des fois je me dis jusqu’ ou je peut dire l’ incroyable.Quand je lis la souffrance de Marc que je ne connais pas ….j’ ai honte !
    Je ne sais si j’ ai le droit de continuer ? J’ aime bcp Maria mais je pense que la terre n’ est pas la pour éponger mes états d’ ames ?Je suis lache et pleure comme une mome qui ne depasse jamais ses problémes Je me rend compte lorsque je cesse de me repandre …Plus rien ne sort de moi Je suis MURER

    Je suis triste je ne sais que faire.Je t ‘ embrasse.Noisette.
    PS:la photo que je t’ ai envoyé Karl en a refait une moins minable.

  154. Noisette surtout continue a exprimer tes sentiments
    moi j’ai découvert le blog depuis quatre mois..je m »y exprime souvent avec ma sensiblité qui est le resultat d’un vecu. j’y met souvent beaucoup de force
    car je vais chercher les mots au plus profond de ce que je recents. c’est certaine fois très douloureux pour moi car cela oblige a puisé dans son vecu dans ses douleurs. mais moi cela me permet de mieux apprehender le present.

    ne t’arrete surtout pas et tu n’a pas a avoir honte car moi j’e n’ai pas cette d’impression de manque d’amour que tu recent dans ton enfance.
    en ecrivant tu fera de tes souffrances une force pour regarder le present.

    alors des demain j’espere te lire a nouveau
    merci de tes confidences qui ne sont jamais facile a ecrire

  155. >Noisette:
    Tu vois, Marc t’a entendue et te fais part de ses sentiments. Tu n’as pas de honte à avoir puisque d’autres poètes sur le blog expriment leurs souffrances par l’intermédiare de l’écriture qui est un formidable outil pour se chercher et finalement se trouver. Rien d’inquiétant pour toi et tu peux continuer à t’exprimer comme tu le sens, ta carapace se fendille en sensibilité et découverte de toi. Tu ne peux qu’en être plus heureuse et te sentir plus épanouie. Amitié vers toi.

  156. Et moi, j’envoie à Noisette quelques petits
    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
    pour l’énergie !
    Bises de
    Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

  157. Bourrache, amichel, Bruno,
    vos écrits sont des merveilles,
    et d’autres qui suivent, aussi,
    je suis éblouie par vos plumes.

    Mon aventure de vie
    Tu es moi telle que je suis
    Et je te serre mienne
    Tu es ma vie

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