Lumière

L'Ile Rousse

L'Ile Rousse

L'Ile Rousse

L'Ile Rousse

L'Ile Rousse

L'Ile Rousse

Gerbe de plumes, jaillissement de l'esprit, rêve de liberté.

Lecture du Haïku Calligramme: haut, gauche, droite.

Gerbe de plumes
jaillissement de l’esprit
rêve de liberté

Photos de l’Ile Rousse en Balagne, dans le département de Haute-Corse. Cette ville a été fondée en 1759 par Pascal Paoli qui désirait détrôner Calvi et créer un port qui ne soit pas sous domination gênoise. Pour en savoir plus sur Pascal Paoli
Voir la Carte de Corse 

Quatre histoires de plumes par quatre plumes lumineuses et sensibles, celles d’Annick qui secoue les noix de coco, celle de Bruno qui fait chanter les lettres, celle de Sven qui panse les blessures et celle de Claudie qui s’envole en liberté.

Sous les palmiers
Je regarde le ciel
Cet être de lumière
Qui écrit tellement

Sa multiplume
M’émerveille
De ma rencontre
D’un génie au grand talent
Sur terre
Avec ses dix et dix plumes

Et je m’envole vers le ciel
Les remercie
Lui et le ciel d’exister
En lumières
Ces photographes de l’éternel
Qui m’apportent tellement
De vie

Un ange aux plumes blanches
Qui les posent en beautés
Sur chaque page de vie
Que je tourne et me vis
Je remercie l’offrande

Annick (son blog)

En jaillissements de l’esprit de rêves…

Des Lauves du Jas de Bouffan
De Bibémus de Gardanne
Eclate les couleurs en mille façons
Comme les voyelles de Rimbaud
Chromatique d’un paradixtique
d’incantation de quatre distiques
sous le pont de Mirabeau
Le O devient vert dans une mer couleur Bleue
Dans le Nid blanc teinté de rouge
Palette explose de couleurs
Visage des anges de Saint Victoire
Illumine votre beauté en perles veloutées
Pour nous perdre dans les mots d’écume Verlaine
Je crève mon cœur, déconstruit mes poèmes
Dans un espoir illusoire que mes chants de voyelles
Chavirent vos cœurs en âme Cézanne .

Bruno (son blog)

Poids plume…

Les promesses étoilées
dans l’envolée des rires
tous les élans magiques
aussitôt effeuillés…

Ton long souffle épuisé
sur tes lèvres refermées
entre les ombres câlines
un rouge effacé…

Délicatesse de la plume
de ton doigt léger posé
tel un doux pansement
sur un coeur blessé…

Sven

Plume de lumière

Frou-frou de plumes sur l’écritoire
En résonance de notre histoire,
En doux et tendres vacillements
Etales, et, délicatement
Le passé se dépasse et s’efface
Les affres, les démons atroces
Martèlent le clavier en mots de glace
Le présent revêt ses habits de lumière
Sertis de magie à l’aube d’une clairière
La plume, alors, en de fébriles hésitements
Bercés de tendres balbutiements
Devient légère dans le vent
Aérienne et libérée de ses tourments
Les mots se font chuchotements
Doux murmures câlins au fil du temps
En de vibrants et subtils jaillissements
Où l’espoir se ravive dans l’éternité du temps

Claudie

64 réflexions sur « Lumière »

  1. J’ai connu mon amour
    à deux heures et demi
    d’un jour quelconque
    à l’abri du soleil
    sous le gerbe de plumes
    de l’Ile Rousse …
    dès lors
    l’esprit en liberté
    rêve la prison
    de l’amour…

  2. bonjour à tous
    a jane

    carresser le soleil et les étoiles
    toucher le coeur de la terre
    sentir le souffle du vent

  3. Sous les palmiers
    Je regarde le ciel
    Cet être de lumière
    Qui écrit tellement

    Sa multiplume
    M’émerveille
    De ma rencontre
    D’un géni au grand talent
    Sur terre
    Avec ses dix et dix plumes

    Et je m’envole vers le ciel
    Les remercie
    Lui et le ciel d’exister
    En lumières
    Ces photographes de l’éternel
    Qui m’apportent tellement
    De vie

    Un ange aux plumes blanches
    Qui les posent en beautés
    Sur chaque page de vie
    Que je tourne et me vis
    Je remercie l’offrande

  4. Ton haiku est fort beau, Ossiane, j aime beaucoup la première photo, et ton calligramme me séduit aussi pas ses tons, et flous…

    il est splendide ton haiku, Ossiane,

    Ballet qui s’offre
    En plein ciel
    Aspiration de la sève
    Vers l’éternel

  5. Géants à plumes
    Chercheurs d’or et lumière
    Sur l’Île Rousse

    —-

    Beau… ces couleurs tendres … Ossiane je t’embrasse
    Belle journée à tous

  6. En jaillissements de l’esprit de rêves…

    Des Lauves du Jas de Bouffan
    De Bibémus de Gardanne
    Eclate les couleurs en mille façons
    Comme les voyelles de Rimbaud
    Chromatique d’un paradixtique
    d’incantation de quatre distiques
    sous le pont de Mirabeau
    Le O devient vert dans une mer couleur Bleue
    Dans le Nid blanc teinté de rouge
    Palette explose de couleurs
    Visage des anges de Saint Victoire
    Illumine votre beauté en perles veloutées
    D’une alchimie rimbaldienne
    Pour nous perdre dans les mots d’écume Verlaine
    Je crève mon cœur, déconstruit mes poèmes
    Dans un espoir illusoire que mes chants de voyelles
    Chavirent vos cœurs en âme Cézanne .

  7. Vivre

    Chercher la lumière
    les mains offertes
    en relevant la tête
    les yeux apaisés

    vivre c’est chercher un chemin,s’y laisser éblouir

  8. Poids plume…

    Les promesses étoilées
    dans l’envolée des rires
    tous les élans magiques
    aussitôt effeuillés…

    Ton long souffle épuisé
    sur tes lèvres refermées
    entre les ombres câlines
    un rouge effacé…

    Délicatesse de la plume
    de ton doigt léger posé
    tel un doux pansement
    sur un coeur blessé…

  9. Geyser de plumes
    Lumineuses en vrilles
    Esprit célébré

    Bel haîku, calligramme en couleurs acidulées et beauté des palmiers.
    Un ravissement pour débuter la journée..

    Bises à tous

  10. Le vent dans les palmes
    Calme ma douleur
    Balancements
    Froissements
    Où palpite la lumière

    > Bonjour Annick, je pense à toi; bonjour Bruno: magnifique!
    Bonne journée à tous

  11. lancés vers le ciel
    en un élan presque lisse,
    à bout de sève
    ils s’arrêtent, mais s’offrent
    en jaillissement
    de palmes, comme un cadeau

  12. Bonjour à tous..:) Ravie de votre retour Sven..en beauté.

    De ce jardin d’hiver
    Qui cache sa corbeille d’or
    Et de lumière
    Les mains n’ont plus le temps
    D’escalader le souffle
    Et les îles de déposer le vent
    Vers la disparition d’une source
    Les ramures s’emportent
    Et leur palpitation
    A creusé la lumière
    Sur la patient beauté de l’arbre
    Et sa respiration avide
    Qui convient aux étoiles,
    S’amuse entre mer et vent de sable.
    Les ombres n’accrochent plus
    Au consentement du ciel
    Et la voix de broder son désir
    Sur la veine d’un jour clair ;
    Même si l’été espace son délire
    Les rondes elles, s’éternisent
    Les mains ont dispersé la brise
    Sur la silencieuse géographie
    D’une frise d’argent
    Et l’alphabet des feuilles
    Comme le moindre souffle du vent
    Retient les grains du sablier..
    Pas une plainte sur l’absence des oiseaux !

  13. Chère Ossiane,
    Je n’ai pas eu le temps de te remercier d’avoir choisi mon poème sur « Cocktail », alors mille mercis !
    Tu vas nous montrer la Corse dans tous ses recoins, plus la peine d’y aller… 😉

    LUMIERE SUR CE
    Fierté,
    Robuste,
    Ombrageux,
    Naponéolien,
    Trônant,
    Orgueilleux,
    Nos heures tournent…

    Bisous chère Ossiane et à mon Adorable Amie Neyde, je ne t’oublie pas !!!!!!!
    Mes amitiés à toutes et à tous,
    OLIVIER

  14. Plume de lumière

    Fou-frou de plumes sur l’écritoire
    En résonance de notre histoire,
    En doux et tendres vacillements
    Etales, et, délicatement
    Le passé se dépasse et s’efface
    Les affres, les démons atroces
    Martèlent le clavier en mots de glace
    Le présent revêt ses habits de lumière
    Sertis de magie à l’aube d’une clairière
    La plume, alors, en de fébriles hésitements
    Bercés de tendres balbuciements
    Devient légère dans le vent
    Aérienne et libérée de ses tourments
    Les mots se font chuchotements
    Doux murmures câlins au fil du temps
    En de vibrants et subtils jaillissements
    Où l’espoir se ravive dans l’éternité du temps

  15. Feu d’artifice de plumes
    Incandescentes de lumière
    Une floraison de palmiers
    Altiers et fiers
    S’érige dans les cieux
    Panache de la liberté!

  16. frêle géant

    Avec mon œil
    pas assez grand
    le vertige comme compagne
    je dévisage étonné
    Ce géant de bois.

    IL regarde le monde
    Qui lui paraît si petit.
    Du haut de son histoire
    Il caresse le soleil,
    Et Chatouille les étoiles.

    Pour se tenir droit
    Il crève la terre
    Jusqu’à son cœur
    Pour s’y enlace solidement

    Et, sa jambes si frêle
    Résiste aux plus fort vents
    qui se perd et s’essouffle
    Dans son chapeau de plume.

  17. Extrait du dictionnaire Portenawak en 2 volumes:
    La palmeraie n’est pas une distinction honorifique du cinéma porno, c’est juste un tas de palmier.

  18. ——-
    Palmiers exilés
    Oasis en pleine ville
    Où est le désert ?
    ——-

    Bien le bonjour Dame Ossiane, artiste de talent, et la noble assemblée de poètes =)
    C’est toujours un plaisir de vous lire, et de se délecter de ces belles photos exotiques et raffinées !

    Ce n’est que ma seconde apparition sur ce magnifique blog, mais il ne passe pas un jour sans que j’y plonge dedans de tous mes sens.. comme de milliers d’autres lecteurs trop timides pour se manifester..
    Pardonnez par ailleurs la maladresse de ma tentative de haïku ^^’ je m’essaie, trébuche encore et tombe trop souvent..

    Passez donc une agréable journée.. *bises parfumées du sud*

  19. Heinhein…

    Et elle grimpe au palmier
    Et elle secoue les noix de coco
    Et elle s’écrie de temps
    Et elle lance un ahihahihaaaaaaaaa
    Et elle se voit tarzane
    Et elle se sent si libre
    Et elle respire la liberté
    Et elle s’aime vivante
    Et elle le voit arriver
    Et elle de il de son tarzan

  20. Ossiane

    Un peu de fantaisie……pour s’amuser…..après la réflexion de Bonbonze

    Mon truc en plumes
    Parure d’apparat
    La palmeraie d’or

  21. Ossiane, tu aurais pu intituler to note : « Lumières » avec un s comme le siècle de la philosophie dont Paoli en est l’illustration.
    Les corses aiment à dire que Paoli inspira la Déclaration d’Indépendance des Etats-Unis d’Amérique de 1776, et plus tard la DDHC de 1789.

  22. de leconte de lisle

    le palmier

    Svelte palmier,
    Arbre léger,
    Dont verte branche
    En éventail,
    Au frais travail,
    Longue s’épanche,
    Quand le soleil
    Jaunit du ciel
    La draperie
    Pure, arrondie,
    Qui dans le loin
    Lasse la vue
    D’une étendue
    Bleue et sans fin ;
    Oriental,
    Original,
    Féérique même !
    Si moëlleux,
    Si gracieux !
    Que vent caresse
    Tel qu’un soupir
    De doux loisir…
    De gentillesse
    Et de fierté,
    Libre, aéré,
    Ton front s’élance
    Et se balance
    Avec plaisir
    Et noble grâce
    Pour rafraîchir
    Celui qui passe ;
    Et puis encor
    Comme un point d’or,
    Comme un prestige
    Qui luit, voltige,
    Illusion
    Et fiction !
    L’aile enflammée
    Et contractée
    Du cardinal
    Rouge spiral
    Semble au feuillage
    Un peu volage !

  23. « vivre c’est chercher un chemin,s’y laisser éblouir »….Merci feu roméo.. et bonjour à tous et toutes, coucou Ossiane;-)

  24. Pyrotechnie de plein jour
    Feux d’artifice végétal
    Gerbes fusées
    Des grands palmiers
    Sous le soleil
    Eventails
    Dans la main du silence
    Jaillissement de source verte
    Chevelures d’un corps
    Elancé et ligneux
    Arbres d’Afrique
    Nonchalants
    Qui bercent
    Les îles rêveuses
    En chuchotant sans fin
    Le poème mouvant de la mer
    Palmes refuges
    Des hommes libres
    Des nomades de la pensée
    Qui aiment
    A retrouver sa fraîcheur
    L’oasis de son ombre
    Avant les grandes traversées arides
    Des déserts de l’histoire
    Des routes de lumières
    Piliers sacrés
    Des églises du vent
    Qui portent la voûte du ciel
    Psaumes de paix
    D’oiseaux de paradis
    Dans le nid de l’espace
    Etoiles aux mille branches

  25. Pyrotechnie de plein jour
    Feux d’artifice végétal
    Gerbes fusées
    Des grands palmiers
    Sous le soleil
    Eventails
    Dans la main du silence
    Jaillissement de source verte
    Chevelures d’un corps
    Elancé et ligneux
    Arbres d’Afrique
    Nonchalants
    Qui bercent
    Les îles rêveuses
    En chuchotant sans fin
    Le poème mouvant de la mer
    Palmes refuges
    Des hommes libres
    Des nomades de la pensée
    Qui aiment
    A retrouver sa fraîcheur
    L’oasis de son ombre
    Avant les grandes traversées arides
    Des déserts de l’histoire
    Des routes de lumières
    Piliers sacrés
    Des églises du vent
    Qui portent la voûte du ciel
    Psaumes de paix
    D’oiseaux de paradis
    Etoiles aux mille branches

  26. kikikde kracboumcuic…Merci Ossiane de m’entourer si bien!
    juste que phographe, c’est un mot qui souhaitait dire photographe, merci de le rectifier….hahihahihaaaaaaa…..

  27. Quand Annick aura fini de pousser son impressionnant AKA !!! je vous dirai à la semaine prochaine… tous vos poèmes s’élèvent en magnifiques bouquets de rimes aux couleurs de bonbons acidulés…
    comme un soleil de minuit… je vous aurais bien convié à un petit dîner aux chandelles, ah, si j’étais magicien…mais j’ai rendez-vous avec un avion…
    bonne semaine et que l’inspiration déploie ses ailes !

  28. Magnifique ton poème sven, comme ceux de bruno et claudie….

    hahihahihaaaaaaaa……
    mmmmmhhh…. un petit casse croûte aux chandelles qui s’écoulent la vie….mmmhhh..

    Allez bel avion qui vole, plane, déficelle l air du temps…

  29. Annick, tes explosions de joie sont égales aux miennes!

    Je suis ravie de partager l’affiche avec toi, Bruno et Sven dans ce déploiement de plumes très empanachées

    Belle traversée aérienne à Sven!…………..et qu’il nous revienne avec tout son brio! Dommage pour le petit dîner aux chandelles!

    Merci, Ossiane

  30. Parsemer de-ci, de-là
    Des bougies
    Pour un brin de chaleur
    Un brin de lumière

    Eprouver l’envie
    De passerelles
    D’arcs-en-ciel
    De … cocktails

    Ressentir à fleur de peau
    Le souffle des mots
    Maux-plumes
    Maux-pétales

    A la nuit tombée, s’en aller
    Promener
    Le chien
    Sans laisse

    Se retrouver, train loupé,
    Au buffet de la Gare
    De l’Oeil Ouvert
    A siroter…

    Encore une fois.
    ________

    Portenawak
    ________

    Belle soirée à tous.

  31. Encore de beaux textes à l’honneur aujourd’hui.

    > Ossiane , merci pour tes appréciations toujours très chaleureuses:
    Excellente soirée…:>))

  32. Zut ! j’ai oublié … je voulais commencer par :
    ____________

    Mmmm … l’haïku … mmmm … les mises en lumière …
    ____________

    Et « sourire », bien sûr !

  33. Que d’éclaboussures de soleil..et de rire, avec Bonbonze et Annick…;-)
    C’est un si grand plaisir de vous entendre rire
    Ce sont soleils d’or
    et tendres rêveries
    qui vont tout doucement
    me border dans mon lit
    et j’entendrais de loin
    ce si doux clapotis
    de tant de mots complices
    jusqu’au petit matin..

    Que ces soleils d’or
    chacun vous accompagnent
    jusqu’au nouveau matin…

  34. >Bouurache :
    Ma pauvre Bourrache, pas de chance aujourd’hui mais ne n’inquiète pas, on ne va pas te laisser toute seule bistro de la gare 😉 La soirée va s’animer, tu vas voir… les copines vont revenir pour te tenir compagnie 😉 Bises à toi et merci pour ton tendre attachement 😉

    >Alix :
    Clin de nuit vers toi, Alix !

    >Kirikino :
    Bonsoir, merci d’être venu déposer tes premiers haïkus sur le blog 😉 Et quels haïkus ! On sent derrière tes mots et associaition d’images, une plume alerte et inventive ainsi que la capacité à faire passer l’essence d’un instant. J’aime beaucoup le deuxième avec ces chuchotis et cette heure qui sonne.

    Sache que je fais mes mises en lumière le premier jour de la publication en fin de matinée ou en après-midi sauf le vendredi où je les fais en soirée pour laisser le temps à tout le monde le temps de s’exprimer. Bien à toi et bonne fin de soirée !

    >CéliaK :
    Hé oui, Célia, on sait aussi s’amuser sur le blog et j’y tiens 😉 Merci pour ta chaleureuse présence.

  35. Les ailes des palmiers sont frôlées par le vent
    Dans l’air acidulé de l’été frémissant,
    Et c’est ce doux zéphyr qui nous tend son échelle
    Quand la lumière attire le rêve vers le ciel.

  36. >Anne-Marie:
    Comme de grands moulins à vent tes palmiers. Très belle image que cette échelle à escalader pour trouver la lumière. Beaucoup de douceur dans tes mots agités par la brise. Merci d’être là Anne-Marie, je t’embrasse.

  37. Sentinelles géantes
    Du maitre des lieux
    De ce « despote éclairé »
    Imposantes et hautaines
    Fières de leur grandeur
    D’une liberté acquise
    Elles lèvent la tête
    Pour atteindre le ciel
    L’histoire entre leurs palmes
    Sous leurs perruques ébouriffées
    Scrutent l’horizon
    Et de leurs doigts
    Carressent l’Azur.

    Monique

  38. Annemarie comme j’aime ton écrit … il me fera la journée belle

    Et le rêve s’évade
    Vers le ciel azuré
    En explosion d’étoiles
    Et une grande clarté

    —-

    Bon jour à vous tous
    Et à toi Ossiane tendre pensées

  39. bonjour a tous
    tant de merveilleux textes encore

    le soupir

    Suspendu dans les airs
    le palmier taciturne
    regarde par delà l’horizon
    il écoute le silence du désert
    il recent le fouet du vent
    et les caresses de l’air.
    sur son corps
    reste la trace
    du baiser de braise
    du soleil au zénith

    en écoutant attentivement
    le soir venu
    on peux entend ses soupirs
    le palmier s’est endormi
    malgré les bruits de la ville

    il rêve

  40. «  » » » » » » » » » » » » » » » » » » a Marc

    «  » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »a Claudie

    sur la note de coktail je vous ai laissé un petit message
    pour votre gentillesse
    et vos attentions

    «  » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » a Annick

    merci de tes tendres et chaleureux signaux

    bises a OSSIANE

    jane

  41. >Monique :
    Bravo Monique pour ton poème, je ne savais pas que tu écrivais si bien la poésie. Tu utilises de belles images pour évoquer ces palmiers. Merci à toi.

    >Maria-D :
    Douces pensées vers toi, Maria, ton beau poème azuré illumine ma journée grise et pluvieuse.

    >marc :
    Bonsoir Marc, une nouvelle fois, ce grand palmier t’inspire de belles pensées. J’aime cette image de grand observateur qui écoute, reçoit, rêve au rythme de la ville et du désert. Merci beaucoup.

    >Jane :
    Désolée, j’avais oublié de mentionner les nouveaux commentaires sur Cocktail. Que de belles choses échangées entre vous. Bises chaleureuses vers toi.

  42. Palmier
    Ô mon palmier
    Je te grimpe
    Et je te bois
    Et me respire
    Près de toi
    Ô ma liberté

    et je vous lis après une coupure d’internet aol ce jour, vous me manquiez.. bises à chacun!

  43. >Annick:
    Ben oui Annick, où étais-tu passée? Je commençais à m’inquiéter. Je me demandais si tu n’avais pas pris une noix de coco sur la tête;-)

  44. j’adore les palmiers
    les tiens sont superbes
    comme des feux d’artifice irisés

    … tu vois, je suis venue …
    parce que ta gentilesse et ta générosité ne peuvent rester sans réponse …

  45. Bonsoir Ossiane,

    Merci pour cette lumière. L’Ile Rousse me rapelle tant de souvenirs.

    Et toi aussi.

    Cordialement,

  46. Sous la palme tes faveurs
    L’azur caresse comme un chrême
    Balance du vent et torpeur
    Ton sein murmure un doux poème
    Conque de chair et de rondeur
    Sous la palme, je vis et meurs

  47. tu me fais rire Ossiane,
    je me suis dit aussi mais vont se poser des questions, ahhh aol.. mais j ai de la chance la connection avant leur promesse de minuit stipulé sur leur messagerie… ahhhh quand la vie tient à un joli fil de milliards de diamants… bises à chacun!
    bon, des noix de coco, c’est un champ de palmiers que j’ai reçu sur la tête, mais cela chacun le sait.. sourire!

  48. Bonsoir, Ossiane

    Quelle belle page avec toutes ces plumes!

    Jo, j’aime beaucoup vos vers bien rythmés et balancés

    Bonne soirée à tous……………
    Bises à toi, Ossiane

  49. >Sylvie :
    Merci d’être venue Sylvie comme je te l’avais proposé 😉 Tu connais déjà quelques personnes sur le blog, je crois. Ne sois pas intimidée, nous t’accueillons tous à bras ouverts en compagnie de ces grands palmiers;-) La chaleureuse amitié qui règne sur le blog ne peut que te faire du bien. Ca n’est jamais bon de rester dans son petit coin 😉 je t’embrasse bien fort, Sylvie et te souhaite une bonne nuit.

    >Maurice :
    Voilà un revenant de Belgique ! Contente de te lire ; j’espère que tu vas bien 😉 Décidément, tu vas souvent aux mêmes endroits que moi 😉 Bien à toi et à bientôt !

    >Jo hum hum… je ne sais si je dois aller plus loin ; à toi de me le dire 😉
    Bonsoir 😉 Que de rondeur et de douceur dans ton beau poème charnel ! Merci pour la beauté de ton évocation ; au plaisie de te lire à nouveau.

    >Annick :
    Tu es très solide ! Tu peux remarquer que je t’avais placé tout en haut de l’affiche pour que tu puisses profiter de la vue depuis le faîte du palmier 😉 Bises à toi !

    >Claudie :
    Oui Claudie, les plumes n’ont pas chômé sur cette note ; bonne nuit à toi et à demain !

  50. C’est un palmier solaire….il retient le temps….laisse passer les rêves…il ondule sous le vent…murmure pour une étreinte brève…C’est un cadran lunaire…deux aiguilles dans le vent….liberté qui se lève…Entre Orient et Levant….un voyage pour un rêve..

  51. >Pierre b:
    Bonsoir Pierre, tu arrives le dernier et tu parviens malgré tout à écrire un texte plein de poésie, d’originalité sans oublier la tendresse qui est ta marque de fabrique;-) Un beau voyage palmaire. Je t’embrasse et espère que tu vas bien. Bonne soirée.

  52. palme et raie tout ensemble balaient le ciel de leur doux balancement
    la palme raye l’azur mais de sa légère griffure suinte encore assez de ciel.
    La palme finement digitée ne cesse de s’agiter comme si cet ombrageux comportement pouvait nous étonner.
    De ces herbacées assez hautes et stratifiées qui oscillent nonchalantes coule la lumière tamisée.
    De ces troncs élancés radialement stratifiés irradie justement la totale verticalité.
    Les ombrelles en panache jamais ne se lachent car elles ne veulent faire taches.
    Sans napalm rien ne s’embrase mais dans l’oasis tous s’embrassent.

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