Lecture du Haïku Calligramme: haut, gauche, droite.
Gerbe de plumes
jaillissement de l’esprit
rêve de liberté
◊ Photos de l’Ile Rousse en Balagne, dans le département de Haute-Corse. Cette ville a été fondée en 1759 par Pascal Paoli qui désirait détrôner Calvi et créer un port qui ne soit pas sous domination gênoise. Pour en savoir plus sur Pascal Paoli …
Voir la Carte de Corse …
◊ Quatre histoires de plumes par quatre plumes lumineuses et sensibles, celles d’Annick qui secoue les noix de coco, celle de Bruno qui fait chanter les lettres, celle de Sven qui panse les blessures et celle de Claudie qui s’envole en liberté.
Sous les palmiers
Je regarde le ciel
Cet être de lumière
Qui écrit tellement
Sa multiplume
M’émerveille
De ma rencontre
D’un génie au grand talent
Sur terre
Avec ses dix et dix plumes
Et je m’envole vers le ciel
Les remercie
Lui et le ciel d’exister
En lumières
Ces photographes de l’éternel
Qui m’apportent tellement
De vie
Un ange aux plumes blanches
Qui les posent en beautés
Sur chaque page de vie
Que je tourne et me vis
Je remercie l’offrande
En jaillissements de l’esprit de rêves…
Des Lauves du Jas de Bouffan
De Bibémus de Gardanne
Eclate les couleurs en mille façons
Comme les voyelles de Rimbaud
Chromatique d’un paradixtique
d’incantation de quatre distiques
sous le pont de Mirabeau
Le O devient vert dans une mer couleur Bleue
Dans le Nid blanc teinté de rouge
Palette explose de couleurs
Visage des anges de Saint Victoire
Illumine votre beauté en perles veloutées
Pour nous perdre dans les mots d’écume Verlaine
Je crève mon cœur, déconstruit mes poèmes
Dans un espoir illusoire que mes chants de voyelles
Chavirent vos cœurs en âme Cézanne .
Poids plume…
Les promesses étoilées
dans l’envolée des rires
tous les élans magiques
aussitôt effeuillés…
Ton long souffle épuisé
sur tes lèvres refermées
entre les ombres câlines
un rouge effacé…
Délicatesse de la plume
de ton doigt léger posé
tel un doux pansement
sur un coeur blessé…
Plume de lumière
Frou-frou de plumes sur l’écritoire
En résonance de notre histoire,
En doux et tendres vacillements
Etales, et, délicatement
Le passé se dépasse et s’efface
Les affres, les démons atroces
Martèlent le clavier en mots de glace
Le présent revêt ses habits de lumière
Sertis de magie à l’aube d’une clairière
La plume, alors, en de fébriles hésitements
Bercés de tendres balbutiements
Devient légère dans le vent
Aérienne et libérée de ses tourments
Les mots se font chuchotements
Doux murmures câlins au fil du temps
En de vibrants et subtils jaillissements
Où l’espoir se ravive dans l’éternité du temps
J’ai connu mon amour
à deux heures et demi
d’un jour quelconque
à l’abri du soleil
sous le gerbe de plumes
de l’Ile Rousse …
dès lors
l’esprit en liberté
rêve la prison
de l’amour…
bonjour à tous
a jane
carresser le soleil et les étoiles
toucher le coeur de la terre
sentir le souffle du vent
Sous les palmiers
Je regarde le ciel
Cet être de lumière
Qui écrit tellement
Sa multiplume
M’émerveille
De ma rencontre
D’un géni au grand talent
Sur terre
Avec ses dix et dix plumes
Et je m’envole vers le ciel
Les remercie
Lui et le ciel d’exister
En lumières
Ces photographes de l’éternel
Qui m’apportent tellement
De vie
Un ange aux plumes blanches
Qui les posent en beautés
Sur chaque page de vie
Que je tourne et me vis
Je remercie l’offrande
Ton haiku est fort beau, Ossiane, j aime beaucoup la première photo, et ton calligramme me séduit aussi pas ses tons, et flous…
il est splendide ton haiku, Ossiane,
Ballet qui s’offre
En plein ciel
Aspiration de la sève
Vers l’éternel
Le tour de la place
Un héros impatient
Des palmes d’honneur
A l’ombre de midi
En lumières
Un bouquet de palmiers
Comme un phare ancré
Face au monde
Epris de liberté
Lumières ocres
Ile Rousse amer d’exil
Souvenirs ardents
Peux tu corriger phoTOgraphes, merci Ossiane.
Bonjour Pierre, et mes souhaits de bonne journée pour chacun.
Géants à plumes
Chercheurs d’or et lumière
Sur l’Île Rousse
—-
Beau… ces couleurs tendres … Ossiane je t’embrasse
Belle journée à tous
En jaillissements de l’esprit de rêves…
Des Lauves du Jas de Bouffan
De Bibémus de Gardanne
Eclate les couleurs en mille façons
Comme les voyelles de Rimbaud
Chromatique d’un paradixtique
d’incantation de quatre distiques
sous le pont de Mirabeau
Le O devient vert dans une mer couleur Bleue
Dans le Nid blanc teinté de rouge
Palette explose de couleurs
Visage des anges de Saint Victoire
Illumine votre beauté en perles veloutées
D’une alchimie rimbaldienne
Pour nous perdre dans les mots d’écume Verlaine
Je crève mon cœur, déconstruit mes poèmes
Dans un espoir illusoire que mes chants de voyelles
Chavirent vos cœurs en âme Cézanne .
Vivre
Chercher la lumière
les mains offertes
en relevant la tête
les yeux apaisés
vivre c’est chercher un chemin,s’y laisser éblouir
Poids plume…
Les promesses étoilées
dans l’envolée des rires
tous les élans magiques
aussitôt effeuillés…
Ton long souffle épuisé
sur tes lèvres refermées
entre les ombres câlines
un rouge effacé…
Délicatesse de la plume
de ton doigt léger posé
tel un doux pansement
sur un coeur blessé…
Geyser de plumes
Lumineuses en vrilles
Esprit célébré
Bel haîku, calligramme en couleurs acidulées et beauté des palmiers.
Un ravissement pour débuter la journée..
Bises à tous
Le vent dans les palmes
Calme ma douleur
Balancements
Froissements
Où palpite la lumière
> Bonjour Annick, je pense à toi; bonjour Bruno: magnifique!
Bonne journée à tous
lancés vers le ciel
en un élan presque lisse,
à bout de sève
ils s’arrêtent, mais s’offrent
en jaillissement
de palmes, comme un cadeau
Bonjour à tous..:) Ravie de votre retour Sven..en beauté.
De ce jardin d’hiver
Qui cache sa corbeille d’or
Et de lumière
Les mains n’ont plus le temps
D’escalader le souffle
Et les îles de déposer le vent
Vers la disparition d’une source
Les ramures s’emportent
Et leur palpitation
A creusé la lumière
Sur la patient beauté de l’arbre
Et sa respiration avide
Qui convient aux étoiles,
S’amuse entre mer et vent de sable.
Les ombres n’accrochent plus
Au consentement du ciel
Et la voix de broder son désir
Sur la veine d’un jour clair ;
Même si l’été espace son délire
Les rondes elles, s’éternisent
Les mains ont dispersé la brise
Sur la silencieuse géographie
D’une frise d’argent
Et l’alphabet des feuilles
Comme le moindre souffle du vent
Retient les grains du sablier..
Pas une plainte sur l’absence des oiseaux !
Chère Ossiane,
Je n’ai pas eu le temps de te remercier d’avoir choisi mon poème sur « Cocktail », alors mille mercis !
Tu vas nous montrer la Corse dans tous ses recoins, plus la peine d’y aller… 😉
LUMIERE SUR CE
Fierté,
Robuste,
Ombrageux,
Naponéolien,
Trônant,
Orgueilleux,
Nos heures tournent…
Bisous chère Ossiane et à mon Adorable Amie Neyde, je ne t’oublie pas !!!!!!!
Mes amitiés à toutes et à tous,
OLIVIER
Plume de lumière
Fou-frou de plumes sur l’écritoire
En résonance de notre histoire,
En doux et tendres vacillements
Etales, et, délicatement
Le passé se dépasse et s’efface
Les affres, les démons atroces
Martèlent le clavier en mots de glace
Le présent revêt ses habits de lumière
Sertis de magie à l’aube d’une clairière
La plume, alors, en de fébriles hésitements
Bercés de tendres balbuciements
Devient légère dans le vent
Aérienne et libérée de ses tourments
Les mots se font chuchotements
Doux murmures câlins au fil du temps
En de vibrants et subtils jaillissements
Où l’espoir se ravive dans l’éternité du temps
Feu d’artifice de plumes
Incandescentes de lumière
Une floraison de palmiers
Altiers et fiers
S’érige dans les cieux
Panache de la liberté!
frêle géant
Avec mon œil
pas assez grand
le vertige comme compagne
je dévisage étonné
Ce géant de bois.
IL regarde le monde
Qui lui paraît si petit.
Du haut de son histoire
Il caresse le soleil,
Et Chatouille les étoiles.
Pour se tenir droit
Il crève la terre
Jusqu’à son cœur
Pour s’y enlace solidement
Et, sa jambes si frêle
Résiste aux plus fort vents
qui se perd et s’essouffle
Dans son chapeau de plume.
Extrait du dictionnaire Portenawak en 2 volumes:
La palmeraie n’est pas une distinction honorifique du cinéma porno, c’est juste un tas de palmier.
——-
Palmiers exilés
Oasis en pleine ville
Où est le désert ?
——-
Bien le bonjour Dame Ossiane, artiste de talent, et la noble assemblée de poètes =)
C’est toujours un plaisir de vous lire, et de se délecter de ces belles photos exotiques et raffinées !
Ce n’est que ma seconde apparition sur ce magnifique blog, mais il ne passe pas un jour sans que j’y plonge dedans de tous mes sens.. comme de milliers d’autres lecteurs trop timides pour se manifester..
Pardonnez par ailleurs la maladresse de ma tentative de haïku ^^’ je m’essaie, trébuche encore et tombe trop souvent..
Passez donc une agréable journée.. *bises parfumées du sud*
Heinhein…
Et elle grimpe au palmier
Et elle secoue les noix de coco
Et elle s’écrie de temps
Et elle lance un ahihahihaaaaaaaaa
Et elle se voit tarzane
Et elle se sent si libre
Et elle respire la liberté
Et elle s’aime vivante
Et elle le voit arriver
Et elle de il de son tarzan
Vue vers le ciel
Cocktail exotique
Plumes de liberté
Ossiane
Un peu de fantaisie……pour s’amuser…..après la réflexion de Bonbonze
Mon truc en plumes
Parure d’apparat
La palmeraie d’or
Ossiane, tu aurais pu intituler to note : « Lumières » avec un s comme le siècle de la philosophie dont Paoli en est l’illustration.
Les corses aiment à dire que Paoli inspira la Déclaration d’Indépendance des Etats-Unis d’Amérique de 1776, et plus tard la DDHC de 1789.
de leconte de lisle
le palmier
Svelte palmier,
Arbre léger,
Dont verte branche
En éventail,
Au frais travail,
Longue s’épanche,
Quand le soleil
Jaunit du ciel
La draperie
Pure, arrondie,
Qui dans le loin
Lasse la vue
D’une étendue
Bleue et sans fin ;
Oriental,
Original,
Féérique même !
Si moëlleux,
Si gracieux !
Que vent caresse
Tel qu’un soupir
De doux loisir…
De gentillesse
Et de fierté,
Libre, aéré,
Ton front s’élance
Et se balance
Avec plaisir
Et noble grâce
Pour rafraîchir
Celui qui passe ;
Et puis encor
Comme un point d’or,
Comme un prestige
Qui luit, voltige,
Illusion
Et fiction !
L’aile enflammée
Et contractée
Du cardinal
Rouge spiral
Semble au feuillage
Un peu volage !
« vivre c’est chercher un chemin,s’y laisser éblouir »….Merci feu roméo.. et bonjour à tous et toutes, coucou Ossiane;-)
Pyrotechnie de plein jour
Feux d’artifice végétal
Gerbes fusées
Des grands palmiers
Sous le soleil
Eventails
Dans la main du silence
Jaillissement de source verte
Chevelures d’un corps
Elancé et ligneux
Arbres d’Afrique
Nonchalants
Qui bercent
Les îles rêveuses
En chuchotant sans fin
Le poème mouvant de la mer
Palmes refuges
Des hommes libres
Des nomades de la pensée
Qui aiment
A retrouver sa fraîcheur
L’oasis de son ombre
Avant les grandes traversées arides
Des déserts de l’histoire
Des routes de lumières
Piliers sacrés
Des églises du vent
Qui portent la voûte du ciel
Psaumes de paix
D’oiseaux de paradis
Dans le nid de l’espace
Etoiles aux mille branches
Pyrotechnie de plein jour
Feux d’artifice végétal
Gerbes fusées
Des grands palmiers
Sous le soleil
Eventails
Dans la main du silence
Jaillissement de source verte
Chevelures d’un corps
Elancé et ligneux
Arbres d’Afrique
Nonchalants
Qui bercent
Les îles rêveuses
En chuchotant sans fin
Le poème mouvant de la mer
Palmes refuges
Des hommes libres
Des nomades de la pensée
Qui aiment
A retrouver sa fraîcheur
L’oasis de son ombre
Avant les grandes traversées arides
Des déserts de l’histoire
Des routes de lumières
Piliers sacrés
Des églises du vent
Qui portent la voûte du ciel
Psaumes de paix
D’oiseaux de paradis
Etoiles aux mille branches
kikikde kracboumcuic…Merci Ossiane de m’entourer si bien!
juste que phographe, c’est un mot qui souhaitait dire photographe, merci de le rectifier….hahihahihaaaaaaa…..
Quand Annick aura fini de pousser son impressionnant AKA !!! je vous dirai à la semaine prochaine… tous vos poèmes s’élèvent en magnifiques bouquets de rimes aux couleurs de bonbons acidulés…
comme un soleil de minuit… je vous aurais bien convié à un petit dîner aux chandelles, ah, si j’étais magicien…mais j’ai rendez-vous avec un avion…
bonne semaine et que l’inspiration déploie ses ailes !
Magnifique ton poème sven, comme ceux de bruno et claudie….
hahihahihaaaaaaaa……
mmmmmhhh…. un petit casse croûte aux chandelles qui s’écoulent la vie….mmmhhh..
Allez bel avion qui vole, plane, déficelle l air du temps…
>Sven:
Bon voyage à toi et à bientôt, je t’embrasse!
>Annick:
hahihahihaaaaaaaa…… c’est fait!!!
Annick, tes explosions de joie sont égales aux miennes!
Je suis ravie de partager l’affiche avec toi, Bruno et Sven dans ce déploiement de plumes très empanachées
Belle traversée aérienne à Sven!…………..et qu’il nous revienne avec tout son brio! Dommage pour le petit dîner aux chandelles!
Merci, Ossiane
amichel merci pour cette Pyrotechnie de plein jour
je suis admiratif de ton talent
Parsemer de-ci, de-là
Des bougies
Pour un brin de chaleur
Un brin de lumière
Eprouver l’envie
De passerelles
D’arcs-en-ciel
De … cocktails
Ressentir à fleur de peau
Le souffle des mots
Maux-plumes
Maux-pétales
A la nuit tombée, s’en aller
Promener
Le chien
Sans laisse
Se retrouver, train loupé,
Au buffet de la Gare
De l’Oeil Ouvert
A siroter…
Encore une fois.
________
Portenawak
________
Belle soirée à tous.
Encore de beaux textes à l’honneur aujourd’hui.
> Ossiane , merci pour tes appréciations toujours très chaleureuses:
Excellente soirée…:>))
Zut ! j’ai oublié … je voulais commencer par :
____________
Mmmm … l’haïku … mmmm … les mises en lumière …
____________
Et « sourire », bien sûr !
Stype couronné
Le vent frise un bouquet
De feuilles pennées
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
Petite correction orthographique due à une participation trop rapide (pardon pour cette redite) :
Stipe couronné
Le vent frise un bouquet
De feuilles pennées
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
Place désertée
Des chuchotis palmaires
L’Ile Rousse dort
Quatorze heures vingt-cinq
Bientôt sonne la demie
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
Que d’éclaboussures de soleil..et de rire, avec Bonbonze et Annick…;-)
C’est un si grand plaisir de vous entendre rire
Ce sont soleils d’or
et tendres rêveries
qui vont tout doucement
me border dans mon lit
et j’entendrais de loin
ce si doux clapotis
de tant de mots complices
jusqu’au petit matin..
Que ces soleils d’or
chacun vous accompagnent
jusqu’au nouveau matin…
>Bouurache :
Ma pauvre Bourrache, pas de chance aujourd’hui mais ne n’inquiète pas, on ne va pas te laisser toute seule bistro de la gare 😉 La soirée va s’animer, tu vas voir… les copines vont revenir pour te tenir compagnie 😉 Bises à toi et merci pour ton tendre attachement 😉
>Alix :
Clin de nuit vers toi, Alix !
>Kirikino :
Bonsoir, merci d’être venu déposer tes premiers haïkus sur le blog 😉 Et quels haïkus ! On sent derrière tes mots et associaition d’images, une plume alerte et inventive ainsi que la capacité à faire passer l’essence d’un instant. J’aime beaucoup le deuxième avec ces chuchotis et cette heure qui sonne.
Sache que je fais mes mises en lumière le premier jour de la publication en fin de matinée ou en après-midi sauf le vendredi où je les fais en soirée pour laisser le temps à tout le monde le temps de s’exprimer. Bien à toi et bonne fin de soirée !
>CéliaK :
Hé oui, Célia, on sait aussi s’amuser sur le blog et j’y tiens 😉 Merci pour ta chaleureuse présence.
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Nouveaux commentaires de Nath sur :
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https://blog.ossiane.photo/2005/09/19/2005_09_rosedessables/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/03/17/2005_03_envol/#comments
https://blog.ossiane.photo/2007/09/03/voile/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/12/18/2005_12_ocre/#comments
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Les ailes des palmiers sont frôlées par le vent
Dans l’air acidulé de l’été frémissant,
Et c’est ce doux zéphyr qui nous tend son échelle
Quand la lumière attire le rêve vers le ciel.
>Anne-Marie:
Comme de grands moulins à vent tes palmiers. Très belle image que cette échelle à escalader pour trouver la lumière. Beaucoup de douceur dans tes mots agités par la brise. Merci d’être là Anne-Marie, je t’embrasse.
Sentinelles géantes
Du maitre des lieux
De ce « despote éclairé »
Imposantes et hautaines
Fières de leur grandeur
D’une liberté acquise
Elles lèvent la tête
Pour atteindre le ciel
L’histoire entre leurs palmes
Sous leurs perruques ébouriffées
Scrutent l’horizon
Et de leurs doigts
Carressent l’Azur.
Monique
Annemarie comme j’aime ton écrit … il me fera la journée belle
—
Et le rêve s’évade
Vers le ciel azuré
En explosion d’étoiles
Et une grande clarté
—-
Bon jour à vous tous
Et à toi Ossiane tendre pensées
bonjour a tous
tant de merveilleux textes encore
le soupir
Suspendu dans les airs
le palmier taciturne
regarde par delà l’horizon
il écoute le silence du désert
il recent le fouet du vent
et les caresses de l’air.
sur son corps
reste la trace
du baiser de braise
du soleil au zénith
en écoutant attentivement
le soir venu
on peux entend ses soupirs
le palmier s’est endormi
malgré les bruits de la ville
il rêve
« » » » » » » » » » » » » » » » » » » a Marc
« » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »a Claudie
sur la note de coktail je vous ai laissé un petit message
pour votre gentillesse
et vos attentions
« » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » a Annick
merci de tes tendres et chaleureux signaux
bises a OSSIANE
jane
>Monique :
Bravo Monique pour ton poème, je ne savais pas que tu écrivais si bien la poésie. Tu utilises de belles images pour évoquer ces palmiers. Merci à toi.
>Maria-D :
Douces pensées vers toi, Maria, ton beau poème azuré illumine ma journée grise et pluvieuse.
>marc :
Bonsoir Marc, une nouvelle fois, ce grand palmier t’inspire de belles pensées. J’aime cette image de grand observateur qui écoute, reçoit, rêve au rythme de la ville et du désert. Merci beaucoup.
>Jane :
Désolée, j’avais oublié de mentionner les nouveaux commentaires sur Cocktail. Que de belles choses échangées entre vous. Bises chaleureuses vers toi.
Ossiane
merci de tes mots
peux tu corriger
ce n’est pas zephir mais zénith!!!
Palmier
Ô mon palmier
Je te grimpe
Et je te bois
Et me respire
Près de toi
Ô ma liberté
et je vous lis après une coupure d’internet aol ce jour, vous me manquiez.. bises à chacun!
>Annick:
Ben oui Annick, où étais-tu passée? Je commençais à m’inquiéter. Je me demandais si tu n’avais pas pris une noix de coco sur la tête;-)
…
j’adore les palmiers
les tiens sont superbes
comme des feux d’artifice irisés
… tu vois, je suis venue …
parce que ta gentilesse et ta générosité ne peuvent rester sans réponse …
Bonsoir Ossiane,
Merci pour cette lumière. L’Ile Rousse me rapelle tant de souvenirs.
Et toi aussi.
Cordialement,
Sous la palme tes faveurs
L’azur caresse comme un chrême
Balance du vent et torpeur
Ton sein murmure un doux poème
Conque de chair et de rondeur
Sous la palme, je vis et meurs
tu me fais rire Ossiane,
je me suis dit aussi mais vont se poser des questions, ahhh aol.. mais j ai de la chance la connection avant leur promesse de minuit stipulé sur leur messagerie… ahhhh quand la vie tient à un joli fil de milliards de diamants… bises à chacun!
bon, des noix de coco, c’est un champ de palmiers que j’ai reçu sur la tête, mais cela chacun le sait.. sourire!
Bonsoir, Ossiane
Quelle belle page avec toutes ces plumes!
Jo, j’aime beaucoup vos vers bien rythmés et balancés
Bonne soirée à tous……………
Bises à toi, Ossiane
>Sylvie :
Merci d’être venue Sylvie comme je te l’avais proposé 😉 Tu connais déjà quelques personnes sur le blog, je crois. Ne sois pas intimidée, nous t’accueillons tous à bras ouverts en compagnie de ces grands palmiers;-) La chaleureuse amitié qui règne sur le blog ne peut que te faire du bien. Ca n’est jamais bon de rester dans son petit coin 😉 je t’embrasse bien fort, Sylvie et te souhaite une bonne nuit.
>Maurice :
Voilà un revenant de Belgique ! Contente de te lire ; j’espère que tu vas bien 😉 Décidément, tu vas souvent aux mêmes endroits que moi 😉 Bien à toi et à bientôt !
>Jo hum hum… je ne sais si je dois aller plus loin ; à toi de me le dire 😉
Bonsoir 😉 Que de rondeur et de douceur dans ton beau poème charnel ! Merci pour la beauté de ton évocation ; au plaisie de te lire à nouveau.
>Annick :
Tu es très solide ! Tu peux remarquer que je t’avais placé tout en haut de l’affiche pour que tu puisses profiter de la vue depuis le faîte du palmier 😉 Bises à toi !
>Claudie :
Oui Claudie, les plumes n’ont pas chômé sur cette note ; bonne nuit à toi et à demain !
C’est un palmier solaire….il retient le temps….laisse passer les rêves…il ondule sous le vent…murmure pour une étreinte brève…C’est un cadran lunaire…deux aiguilles dans le vent….liberté qui se lève…Entre Orient et Levant….un voyage pour un rêve..
>Pierre b:
Bonsoir Pierre, tu arrives le dernier et tu parviens malgré tout à écrire un texte plein de poésie, d’originalité sans oublier la tendresse qui est ta marque de fabrique;-) Un beau voyage palmaire. Je t’embrasse et espère que tu vas bien. Bonne soirée.
palme et raie tout ensemble balaient le ciel de leur doux balancement
la palme raye l’azur mais de sa légère griffure suinte encore assez de ciel.
La palme finement digitée ne cesse de s’agiter comme si cet ombrageux comportement pouvait nous étonner.
De ces herbacées assez hautes et stratifiées qui oscillent nonchalantes coule la lumière tamisée.
De ces troncs élancés radialement stratifiés irradie justement la totale verticalité.
Les ombrelles en panache jamais ne se lachent car elles ne veulent faire taches.
Sans napalm rien ne s’embrase mais dans l’oasis tous s’embrassent.