Transparence

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Lignes de force contre tes flancs marine, je m'y cramponne

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite.

Lignes de force
contre tes flancs marine
je m’y cramponne

Photos prises du côté de Macinaggio dans le Cap Corse. Voir la Carte de Corse

Passion, volupté, amour et sensualité à fleur d’eau dans les poèmes de trois sirènes; ceux de Johal, Alix et Claudie.

Ocre indigo et céladon :
Dans l’océan multicolore,
J’ai vu se poser les passions
Des Cieux amants aux yeux d’aurore…

Dans l’océan multicolore,
Se mélange la déraison
Des Cieux amants aux yeux d’aurore
Et des liquides frondaisons.

Se mélange la déraison
Des tons de vent que l’azur dore
Et des liquides frondaisons :
Le soupir des flots s’évapore.

Des tons de vent que l’azur dore
Caressent l’écume coton ;
Le soupir des flots s’évapore :
Ocre indigo et céladon.

Johal

Il est un lieu
Où même le ciel s’attarde
Entre aube et éternité
Tout ahuri d’avoir touché l’espace

D’un reflet aigue marine
Où glissent les symboles
La musique des arbres s’aliène les parfums
Les nuages sont ailleurs…

Cernée de plénitude
La rupture fantasque d’une mer de cobalt
Dépose sa lumière
Définit les mouvements l’alibi d’un voyage
Entre silence et danse
La houle se délasse sur une gorge d’azur

Il est un lieu
Entre peau et murmure
Où les îles se déplacent
Au gré des transhumances
Où même la volupté s’imagine des fables
Des ruptures fantasques
Les sens parlent de silence

Alix

Nudité,transparence
Volupté des sens
Mes flancs balancent
Entre tes bras,
Une contredanse
Les flots rutilent
Je suis sirène
Les vagues bleutées m’enroulent
Sur les ondes magnétiques
De ton corps frénétique
Des flots intenses,
Une chaloupe qui tangue
Mon corps chavire
Tes bras se déploient
Et, je navigue, cheveux en vagues
Tes caresses
Une plainte
Mon trouble
Ma fougue
Tes bras noueux
Un surplomb soyeux
Je dérive dans tes yeux
Transparence
Transcendance
Une symphonie de bleus
Orchestre nos ébats
Et rythme la java
Des coussins de douceur
De satin et de soie,
Ondoient…..
Langueur
Transparence,
Sensualité
De sirène,
Sortilège
Je deviens femme
L’irréel devient réalité

Claudie

64 réflexions sur « Transparence »

  1. >Bernard:
    Si tu veux continuer à parler des tortues, je préfère continuer sur la note précédente pour ne pas influencer ce qui sera écrit ici. Merci.

  2. Ocre indigo et céladon :
    Dans l’océan multicolore,
    J’ai vu se poser les passions
    Des Cieux amants aux yeux d’aurore…

    Dans l’océan multicolore,
    Se mélange la déraison
    Des Cieux amants aux yeux d’aurore
    Et des liquides frondaisons.

    Se mélange la déraison
    Des tons de vent que l’azur dore
    Et des liquides frondaisons :
    Ocre indigo et céladon.

    😉

  3. Ouuuuuuuuuups ! Trop vite parti, pas fini !
    Voici, voilà, le texte « in fine »… 🙂

    Ocre indigo et céladon :
    Dans l’océan multicolore,
    J’ai vu se poser les passions
    Des Cieux amants aux yeux d’aurore…

    Dans l’océan multicolore,
    Se mélange la déraison
    Des Cieux amants aux yeux d’aurore
    Et des liquides frondaisons.

    Se mélange la déraison
    Des tons de vent que l’azur dore
    Et des liquides frondaisons :
    Le soupir des flots s’évapore.

    Des tons de vent que l’azur dore
    Caressent l’écume coton ;
    Le soupir des flots s’évapore :
    Ocre indigo et céladon.

  4. L’eau est cristalline, transparente, de toute beauté de ses couleurs qui ennivrent le regard et le nage vers ailleurs, ou le valse en ses eaux, si belles et si bonnes. La vue est très très belle sur ses côtes de Corse.

  5. Tes photos de mer et d’arborescence, ton haîku et le titre évocateur m’ont conduite vers toi, Ossiane

    Nudité,transparence
    Volupté des sens
    Mes flancs balancent
    Entre tes bras,
    Une contredanse
    Les flots rutilent
    Je suis sirène
    Les vagues bleutées m’enroulent
    Sur les ondes magnétiques
    De ton corps frénétique
    Des flots intenses,
    Une chaloupe qui tangue
    Mon corps chavire
    Tes bras se déploient
    Et, je navigue, cheveux en vagues
    Tes caresses
    Une plainte
    Mon trouble
    Ma fougue
    Tes bras noueux
    Un surplomb soyeux
    Je dérive dans tes yeux
    Transparence
    Transcendance
    Une symphonie de bleus
    Orchestre nos ébats
    Et rythme la java
    Des coussins de douceur
    De satin et de soie,
    Ondoient…..
    Langueur
    Transparence,
    Sensualité
    De sirène,
    Sortilège
    Je deviens femme
    L’irréel devient réalité

  6. Il est un lieu

    Où même le ciel s’attarde

    Entre aube et éternité

    Tout ahuri d’avoir touché l’espace

    D’un reflet aigue marine

    Où glissent les symboles

    La musique des arbres s’aliène les parfums

    Les nuages sont ailleurs…

    Cernée de plénitude

    La rupture fantasque d’une mer de cobalt

    Dépose sa lumière

    Définit les mouvements l’alibi d’un voyage

    Entre silence et danse

    La houle se délasse sur une gorge d’azur

    Il est un lieu

    Entre peau et murmure

    Où les îles se déplacent

    Au gré des transhumances

    Où même la volupté s’imagine des fables

    Des ruptures fantasques

    Les sens parlent de silence

  7. c’est tellement beau claudie et alix. Mes mots pour me moment ratatinés, par la force de réel de vie…BISES pour chacun.

  8. Cristal de verre
    Algues marines
    Vert de cristal
    Des Naïades plongent
    Des étoiles de mer voguent
    Emergeant de roches
    Eau de Roches,
    De Rochas
    Tressées de fleurs
    Océanes et virginales

    Cristal de verre
    Translucide
    Mer de cristal
    Etoilée de mystère
    Parfum d’essences
    D’eucalyptus
    Rêve de lotus
    La mer roucoule
    La houle s’étale
    En de voluptueux
    Bancs de sable

    Cristal de verre
    Limpidité, transparence
    La mer s’éclaire
    Les vagues se mirent
    Dans le ciel
    Dans une euphorie
    De pourpre
    Des nymphes dansent
    Sur les flots
    Effleurent les écueils
    C’est l’heure du recueil
    La mer s’endort paisiblement
    L’écume dans le vent
    L’iris de sa paupière
    Luit
    Et le bleu se ballade
    Dans l’infini

  9. Spectres,hors de mes nuits…
    Hantez,hors de mes jours
    les terres de l’oubli…
    je n’ai plus de larmes
    fuyez,il est midi
    avec mille détours
    dissiperai vos bruits

  10. Le corps rentre dans l’eau, frissonne la vague, et puis ondule les gouttes d’eau, et le corps sous l’eau prend cette forme de forme de corps ondulé par le courant de l’eau, et déjà, il respire et fait la planche, se fait du bien, quitte le sol, ses pieds, sa tête, se laisse aller, emporter par le doux clapotis des ondes……

    merci pour vos jolis textes déposés, ils m onT apporté beaucoup de fraicheur et de sérénité, l esprit un peu douloureux ce matin retrouve son équilibre avec vos mots. merci.

  11. Est-ce que les sirènes remuent leur queue lorsqu’elles sont ravies d’être en bonne compagnie ? Sinon, je me permets d’innover…
    Merci Ossiane, que de beautés sur ton site, que de belles personnes ! Il rayonne à l’image de sa créatrice, pas doute ! 🙂

  12. Et pour Annick :

    Gris perlé des vagues,
    dans la mer des jours maussades
    soudain, un sourire.
    🙂

  13. Merci Johal, sensible fort à tes mots, cela va mieux en prenant du temps que pour moi, je retrouve la surface….
    YAOUHHHH, j ai fait un tit plongeon dans l océan le temps d’un matin rallongé d un début d apreM…

    La petite branche de bois dur noirci
    Par la traversée des étés brûlants
    Hésite, se gratte le bois, pour choisir
    Entre se baigner le porte plume
    Se laisser emporter à l’horizon
    Ou rester sur la berge
    Tendre le cou encore, attentive
    Et puis doucement mouiller la plume
    De bleu océan qui accepte de se vider
    Pour remplir le cahier qui se tourne
    A l’infini du temps qui offre son présent

  14. Johal, Alix et Claudie, je découvre le choix d’Ossiane, fort chouette encore, vos mots si splendides de force.

    Viens
    Donne moi la main
    Allons tremper
    Nos corps de braise
    Dans cet océan
    Apaisant
    Laissons la mer
    Nous clapoter
    Ecoutons nos murmures vivants
    Viens
    Laisse toi envahir de bien être
    Tanguer tendrement
    Sur le fil de la mer
    Qui apaise nos corps
    Brûlants de tant d’années
    A nous désirer
    Dans le secret de nous mêmes
    Qui serre chaud si chaud tellement
    Viens

  15. >brigetoun :
    Merci Brigitte. Beaucoup de « r » dans tes mots. Souffrance et bonheur mélangés. Ca m’impressionne. Tu veux parler de la tortue de Bernard ? Bises.

    >Johal, Alix, Claudie :
    Chères naïades, vos poèmes sont merveilleux et nous font rêver 😉 Que de passion et de beauté dans vos évocations. Un grand merci à vous.

    >Johal :
    Innovation bien reçue 😉

    >Claudie :
    Quel bonheur de vivre dans ton dernier poème ! On nage ne pleine euphorie 😉

    >feu roméo :
    Tu as préféré aborder d’autres thèmes plus dramatiques. Ces branches noires et nues peuvent nous hanter. Merci pour ton beau texte.

    >marline :
    Couleurs opalines à rêver, je plonge avec toi 😉 Bises.

    >Annick :
    J’espère que tu te sens un peu mieux en cette fin de journée. Petit plongeon dans la mer chasse les mauvais esprits. Merci pour ta belle évocation de porte-plume. Belle idée d’opposer la chaleur du corps à la fraîcheur de l’océan. Ces morceaux de bois brûlés interpellent mon regard aussi. Je t’embrasse.

  16. Un été en transparence…soleil en convalescence…une clairière et son anse..voguent nos pas de danse…Reflets verts éclairs… »contre tes flancs marine »…sirènes ou signes de lumière…turquoises et perles fines…Claudie…Alix ..Johal….. »entre peau et murmure »…tendresse et flots de cristal…nos mots ..doucement..s’aventurent..

  17. D’une caresse …
    Les mots couvrent tes cicatrices
    Ce froissement de houle
    Accalmie de l’instant
    Et la trace de sel

    Les mots se délivrent du temps.
    :>))

  18. Ossiane

    Quel plaisir pour moi d’écrire et de faire partager ce bonheur! Très flattée d’être en charmane compagnie auprès de Johal et Alexis.
    Je suis toujours étonnée de voir l’enthousiasme d’Annick devant nos productions et j’aime tous ces mots de partage qu’elle laisse en empreinte douce sur ce blog

    Quel beau poème de Pierre b!

    Ce blog regorge de magie et la grande prétresse, c’est toi, Ossiane et ton art de la photographie, du calligramme, ta présence qui plane……… nous inspirent toutes ces beautés
    Bises enflammées d’une naïade échevelée!

  19. claudie, vos productions sont si belles,
    oui, encore cette dernière de johal
    et puis ces mots si tendres de pierreb….

    C’est le paradis ici en corse!

    Forts jolies photos encore Ossiane, joli haiku, et beau calligramme dont tu as le secret qui me plait.. et voit mon oeil y venir et revenir….bises.

  20. Superbes photos …J’essaierai de lire les textes aussi …
    Ah j’aimerais retourner en Corse et notamment repasser sur le cap corse…
    Bises

    Ps : On Voit encore ce fameux V de la Vie … Vibrer plein d’enVies … déployer ses Veines Vers la Voûte du ciel

    On le retrouve partout …car tout vit et est bien vivant car tout est mouvement, ne serait que parce que le Vent …

  21. >pierre b:
    Tendre hommage aux trois petites sirènes;-) Légèreté et douceur dans le temps des vacances. Tu peux plonger pour aller les rejoindre si tu veux;-) Bises.

    >Alix, Claudie, Annick:
    Merci pour votre enthousiasme échevelé qui me touche fort;-) Annick est le petit poisson dans l’eau qui veille à l’harmonie de ce voyage. Pour l’instant, il y fait bon vivre en Corse.

    >nath:
    Bonne observatrice, nath; il va falloir que j’ausculte mon blog à la loupe pour vérifier ce que tu me dis sur le V de la vie. J’aimerais que ce soit Vrai;-) C’est une belle lettre ouverte sur le monde.

  22. La baguette du grand sourcier
    De l’univers
    Est restée posée
    Des milliards d’années
    Devant la source
    Cumulée aux sources
    Qui ressource l’océan
    Et l’île attendrie se mire
    Regarde ce joli miroir
    Infini et si pur
    Qui la mène fort loin

  23. L’eau transparente est tellement belle, tout comme vos photos qui sont très belles vraiment un beau travail et toujours plus beau. C’est rare de voir des photos avec de l’eau aussi propre aujourd’hui.

  24. Il
    Son ile
    A ailes
    La ressource elle
    Elle
    Se trouve
    Avec son île
    Qui la murmure
    Ell’il
    S’embrassent
    Sur les falaises
    Les dévalent
    Il’elle
    Plongent l’eau
    Se sèchent au soleil
    De leur flamme
    Ile’ailes

  25. ………………………………..

    arbres tisons de braise
    la lave vient mourir en mer
    fusain sous les flammes

    ………………………………..

    andrée wizem

  26. Si je devais plonger Ossiane..c’est avec toi et Marie que je le ferais…Si je devais aimer c’est à Michèle..ma femme que je penserais…Si je devais mourir ..c’est ma mère que je rejoindrais…Si je devais caresser..ce sont les joues de mes deux fils que j’effleurerais…Si je devais fondre..c’est auprès de Céline que cela se passerait…Si je devais écrire..c’est à mon père que je me confierais…Si je devais rêver…ce sont la tendresse..l’humour..la complicité…l’originalité..que j’emporterais…

  27. Si je fouille mes souvenirs
    sur le cap corse
    Me vient de suite
    avant les vues
    Les mots échangés fort de fort
    avec cette femme
    Dans un phare avec son époux
    si contente de parler
    Son empreinte sur une photo
    qui est en moi
    Intacte
    trente ans après
    Et ses mots de grande solitude
    dans ce phare au milieu des eaux
    Seuls l’aimé et l’aimée
    sur un bout d’océan
    Qui clignote sa lumière
    de leurs lumières d’eux
    Elle me disait apprécier
    ô combien de parler
    Et je me dis que
    si internet et Ossiane
    Cette femme aurait été
    moins seule
    Et si riche
    de ses partages uniques
    De mer en mer
    chahutées en tempêtes
    Mes pensées
    vers les phares

  28. Je suis à l ouest, et mes photos de corse sont dans le nord, mais des souvenirs précis, c’est si inépuisable le plaisir de regarder de belles photos.

    Les deux premières pellicules en noir et blanc, prises par ereur, et comme le départ de la visite de la face ouest, a commencé pa le cap corse, cette dame du phare est en noir et blanc, et ses cheveux volent au vent, et les miens fort longs, aussi, il y avait un vent si fort, qui soufflait très très fort, à devoir parler haut pour nous entendre, beaucoup d’émotions à se quitter ensuite…sans jamais se revoir.

  29. Tout lentement, il faut du temps à un mystère pour
    Raper ses vieilles bottines de marche escarpée et dure,
    Avant de déguster les eaux fort claires du mystère qui s’éclaire
    Nu et vivant se consumant au fil du temps
    Sur la mélodie de la caresse du vent qui
    Pianote des airs fort purs,
    Aime intensemment de ses
    Rires en coeurs de fleurs
    Et ses saveurs silencieuses
    Nectars superbement conservés
    Car le mystère si bel si haut
    En cet été d’août zéro sept

  30. vôs beaux môts m ônt donné beaucôup de Vie aujôurd hui, je Vôus en remercie bien fôrt, Vôus sôuhaitant bônne nuit.

  31. Les photos de ce jour me font souvenir de choses vues en Bretagne, du temps où les terre neuvas partaient encore en campagne. J’aimais le soir vers les vingt heures passer prendre l’ air, mon repas frugal et attendre la fin de la journée. Petit à petit, le promontoire où je me tenais assise se peuplaiit de femmes tout de noir vêtues, les veuves ou les mères, enfin toutes ces femmes qui avaient un ou des disparus.Cela faisait un spectacle plus qu’émouvant pour la jeune femme que j’étais. Je garde de cette époque un immense amour pour les gens de la mer. Noisette.

  32. Je partage cet amour pour les gens de la mer, noisette, bonsoir. Ici, en temps de vacances, j ai bp apprécié observé les marins qui guident leurs bâteaux, pas les plaisanciers, mais les vrais, ceux qui sont nés sur un bâteau, et sentent la mer, la liberté, le teint buriné à coups de rochers, d’entailles du froid, et du soleil, et puis les femmes des pêcheurs qui vendent le poisson, c’est un fort dur labeur, la mer;
    et depuis toujours je suis fascinée par les phares et ceux et celui le solitaire seul dedans, ami du vent, du soleil, du temps, des embruns, des hommes de grande solitude et dont la force devant la mer, me rend si humble.Ces Hommes ont admirables! Je vous souhaite une bonne nuit, Noisette, et j’espère que votre journée a été bonne, si vous manquez de soleil, je vous envoie celui d ici qui brille, même si l air fort frais matin et soir, et bp de vent.

  33. Sur la toile
    Des traits à l horizontale
    La mer
    Des traits à la verticale
    Les branches
    Des traits triturés
    Les rochers
    Sur le chevalet du temps

  34. >Annick :
    Tu sembles avoir retrouvé la forme poétique 😉 Merci pour toutes ces belles évocations. Les souvenirs de ce phare sont encore très vivants. Tu rechercheras tes photos de Corse quand tu remonteras dans le nord. Bonne nuit, douce Annick.

    >Poète :
    Merci pour votre gentillesse. Les eaux qui entourent la Corse sont d’une pureté incroyable. On y voit les poissons évoluer tranquillement. Les côtes sont tellement vierges de toute industrie, agriculture intensive ou infrastructure touristique que le rivage est préservé de toute pollution. Bien à vous.

    >andrée :
    Belle idée de faire jaillir le feu de cet endroit devenu croquis sous ta belle plume. Bises.

    >pierre b :
    Beau trio avec Marie 😉 Beaucoup de plongeons aujourd’hui et pourtant ce n’est pas le grand beau temps 😉 S’ils te lisent, tes proches vont fondre sous la tendresse de tes mots. Merci à toi.

    >Nath :
    C’est vrai, je les avais oublié ces deux V 😉 Bonne nuit !

    >Noisette :
    J’ai lu avec intérêt vos souvenirs de jeunesse. Ces femmes de marins étaient bien courageuses. Dans quelle partie de la Bretagne, viviez-vous ?

  35. Noisette,
    nous avons un point commun : les gens de la mer ont aussi fait partie de mon enfance : père, grand-père et oncle. Du côté du Pays Basque. L’océan est inscrit dans mon être, à jamais…

    Tous les marins le savent,
    Et leurs pieds sont des barques sans cesse en mouvement.
    Lorsqu’il arrive que les bois, trop vieux, ne puissent plus flotter,
    Ils se perdent entre d’autres planchers, et pour se donner l’illusion
    Du tangage
    Ils boivent
    Et boivent encore
    Jusqu’à ce que le suroît les prenne au fond du verre
    Et qu’ils partent enfin pour un nouveau voyage.

    Belle journée 😉

  36. Johal,cet endroit est pres de Douarnenez dans le Finistére,mais je suis plus pres du Havre et de Fécamp.Nous aimons tellement la mer et l’ océan que nous ne sommes bien que pas tres loin .Nous connaissons les côtes du Swin zone protégée a la limite des Pays Bas et de la Belgique.et nous avons fait en détail les côtes jusq’ a la presqu’ ile de Guérande .Maintenant immobile nous voyageons a terre.Les souvenirs ce n’ est pas tristes.Vive les bords de mer .AmitiéeNoisette.

  37. >Yves:
    Merci pour ce haïku un peu ambigu qui nous invite à percer le voile:-) Beaucoup de V dans ton poème;-) Merci Yves, j’espère que tu vas bien.

    >Johal:
    Superbe! Peu de mots mais tu dis tout sur cette dure vie de marin. Très émouvante cette larme remplie de traces. Merci!

    >Noisette:
    Vous être une vraie fille de la mer, Noisette. Toute cette côte est sublime. Allez voir ma rubrique Bretagne sur le lien ci-dessous
    https://blog.ossiane.photo/category/la-bretagne/ et plus particulièrement la sortie du port de Douardenez sur cet autre lien https://blog.ossiane.photo/2005/04/10/2005_04_voyage/

  38. La brume un carré bleu
    de transparence
    un arc en ciel aussi
    mais c’est toujours le bleu
    un lieu
    où posé ses pas
    dans une poignée d’azur

  39. Rencontre du troisième type

    C’était…
    Transparence de mes mots
    Transparence de mes dires
    Transparence de mes rires
    Franchise pour te trouver

    C’est…
    Profondeur de mon silence
    Profondeur de mon envol
    Profondeur de ma tritesse
    Fuite pour ta liberté

    Ne me laisse pas faire !
    Plonge avec moi…
    …là.

  40. >Fred:
    Bien vu! Tu aimes bien les amers, fred;-) Bises.

    >Clara:
    Bonjour Clara, je vous souhaite la bienvenue. Quelle belles images poétiques pour vous présenter! Merci beaucoup, je vous invite à revenir. Bonne soirée!

    >Nigra:
    Quel appel, je plonge tout de suite;-) C’est beau cette analyse de la transparence et de la profondeur au travers des ressentis. Merci pour la beauté de ton écriture. Je t’embrasse.

  41. Un été en trompe-l’oeil…nuages gris…murs gris…soleil gris…air gris…Mais tout cela c’est du décor..Même le chat semble gris…alors qu’il est multicolore..Et puis…si on est attentif…il y a d’autres touches de couleurs…Fushia…les pétales des géraniums…Orange…le toit du voisin…vert ..les feuilles du magnolia..bleu …le ciel derrière les nuages….Nous y voila…on va dire que c’est la faute à cet immense édredon qui cache le paysage…On va guetter le moindre accroc…la trace du plus petit passage…et tout cela pour rien…..le temps est immobile..Mais on peut aussi s’inventer des ailes…traverser de part en part le ciel…et retrouver le soleil….Le soleil….c’est ce visage qui se penche…des histoires racontées….l’arôme d’un thé brulant…une main effleurée….une page blanche….quelques mots posés…Il fait toujours beau derrière les nuages…il suffit de se le dire…

  42. >pierre b:
    Bonsoir Pierre, ton morceau d’écriture est bien de circonstance; je dirais même que c’est la tempête du côté de chez moi;-) Tu as dû beaucoup regarder cet édredon de ciel aujourd’hui et avec ton tempérament optimiste, tu as fini par trouver la faille pour aller chercher ce soleil boudeur;-) Tu développes une belle philosophie de la vie à voir toujours du bleu là où il y a du gris; je m’en inspire pour les jours à venir;-) Merci pour ta belle écriture qui me touche.

  43. Je ne suis pas très sensible aux variations du temps Ossiane…Peut être parce que né à Madagascar et y ayant passé 10 ans, mon corps s’est gorgé de soleil…sourire..Par contre la sècheresse m’angoisse un peu…c’est pour moi la vie à l’envers…Ce qui est important pour moi c’est de savoir que rien n’est définitif …Ainsi les nuages sont un peu comme des papillons…certains sont magnifiques..d’autres plus communs…mais ils sont tous éphémères…C’est alors une question de patience…Ils faut attendre qu’ils disparaissent…On se demande ou d’ailleurs…vers quel horizon…pour rejoindre qui…Il existe peut être un pays..un endroit.. ou vivent …sommeillent..les nuages…Mais le plus beau des paysages c’est lorsque ciel..nuages..et soleil…acceptent de froisser..caresser.. la même page…Et si la pluie s’invite..alors..c’est magique….Peut être demain…qui sait…bonne soirée Ossiane…

  44. >pierre b:
    Tu as eu ta dose de soleil et de sécheresse; je comprends. Je ne pourrais pas vivre non plus des pays très chauds et secs où la chaleur est étouffante. J’aime les nuages, les ciels laiteux et le soleil joueur avec la pluie de temps en temps seulement;-) Bonne nuit et merci.

    >Annick:
    Déjà finies les vacances à l’ouest, Annick! J’espère que tu as fait provision de beauté, de bon air et d’énergie. Je t’embrasse.

  45. Bonsoir,

    Puisque j’évoquais la force du ‘V’, de la VIE …le ‘V’ m’a fait voyager

    Et Va naissance …

    Vas
    Et Vis le Vide en toi

    Vas
    Voyage au cœur du Vent
    Vogues au dessus des temps

    Vas
    Vois ce qu’ils font de toi
    Verse des larmes d’émoi

    Vas
    Vis le Vertige en toi
    Veille écoute ta Voix

    Vas
    Vis la rêve-Volt en toi
    Vis rage qui ondoie

    Vas
    Vis le soleil en toi
    Vole Vers des chemins de soie

    Vas
    Volutes Vacillantes
    Des Vies denses flamboyantes

    Vas
    Vibre de Vérité en toit

  46. >Nath:
    C’est Vrai qu’il beau et fort de symbole ce V de la vie. As-tu Vu ce que Yves a écrit sur cette note avec ces V ?

    Tu écris la poésie avec un angle d’approche bien à toi. Toujours à t’emparer des mots, les soupeser, les respirer pour en faire sortir l’essence première. Ce V qui irrigue ton poème est plein d’élan, de désir et d’espoir. Il va de pair avec ce Vide que tu essaies de faire en toi et ces Vibrations de Vie qui parcourent tes Vers. Tu sembles cette fois retrouver l’énergie et l’inspiration de l’écriture. TU es sur la bonne Voie. Je ne Vois que des choses positives dans ce V. Bonne nuit et merci.

  47. « Je suis le défaut dans l’armure. Je suis la lucarne dans la prison. Je suis l’erreur dans le calcul, je suis la Vie.  »
    Antoine de Saint-Exupéry

  48. Bonjour Ossiane, j’ai découvert votre blog tout à fait par hasard en cherchant qqs lignes poétiques pour mettre sous mes photos d’anémones du japon (mon dernier article ) J’ai trouvé mon bonheur et j’ai bien sur mis le lien de votre blog.
    J’ai découvert un blog de toute beauté, avec des photos et des textes à couper le souffle. félicitations à vous.
    chantal
    http://chantalbod.chezblog.com

  49. >Nath:
    J’ai remarqié que tu aimes t’attarder et revenir sur certaines notes qui te parlent sans doute davantage. Toujours la Vie au rendez-Vous et ce V dans les branches. Belle phrase pour la définir. Je t’embrasse.

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