* Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite.
Le Paon Fait un Voeu,
L’Oiseau Bleu est Amoureux,
Rêve d’Arc-en-ciel.
* Photo de Paon bleu prise dans les jardins d’Isola Madre, une des trois îles Borromées qui se trrouvent sur le Lac Majeur en Lombardie. Pour en savoir plus …
orgueilleux et fier,
or, noir et bleu, il laisse
traîner la splendeur
***********
Dans son plumage
Le paon bleu se pavane
Helas!il braille
***********
paradis
bruissement de léger papier froissé
à chaque passage de la plume de paon
plongée dans l’encre bleue de mer
flots de bulles et de tulles irisés
effervescence de profonds remous
caresse des voiles qui se couchent
soupirs mouillés de mousseline
pour chaque chute d’étoile filante
murmure d’un voeu sur l’écume blanche
les vagues d’océan atteignent la rivière
sur terre avec la poésie c’est exotique
L’oiseau amoureux
De l’éventail déployé
Joue noblement.
Il se pavane
Et sa traîne ocellée
Charme nos yeux.
Il va et rejoue
Cent fois sa comédie
Du mâle satisfait.
Qui se laissera
A ces beaux yeux d’émeraude
Prendre et faillir?
dépouillement taquin
oeillades expertes de paon céleste
pas chassés glissés langoureux
inclinaisons savantes de la huppe
chute de reins en habit de plumes
essais de roucoulement en avant-première
strass et paillettes qui s’ébrouent
dessus et dessous fauves qui se dévoilent
crescendo de pirouettes subtiles de star
mysterieux éventail qui s’abaisse
collerette de plumes en voltige
abandon de la roue en panache
auguste envolée de la longue traîne
transparence de la fragilité bleutée
vacillement d’opaline blanche
évanouissement d’adam et d’ève
vision paradisiaque trés furtive
PARADIS JARDIN DES DÉLICES
…balbutiant qui sait quelles paroles silencieuses venue de la Nef des Fous
des nuits où Jheronymus Van Haken inventait sa terra incognita
celle qu’il cachait au regard des dieux inquisiteurs
dans l’excès et l’extase des représentations des délices et des souffrances
dans sa signature BOSCH
triple alliance du bois de la barque
de l’arbre de la connaissance
et de l’oiseau qui s’étourdit dans le chant du soleil
jj dorio « Lector in Paraïso » Encres Vives 2004
Joyau cadeau
De bleu le ciel te pare
Tu fais le beau
Qu’ elle semble bien lourde ta palette à porter, peintre emplumé…
Mais voilà dejà que pour nier mes mots, tu t’ auréoles d’ une roue subtile…
Quelle présomption de ma part, avec de tels atours, tu te moques bien de nos propos d’ hommes…
Yves Klein doit sans nul doute t’ aimer, tu arbores en silhouette fière ce bleu qui lui est cher au coeur…
Le Paon se plaignant à Junon
Le Paon se plaignait à Junon :
Déesse, disait-il, ce n’est pas sans raison
Que je me plains, que je murmure :
Le chant dont vous m’avez fait don
Déplaît à toute la Nature ;
Au lieu qu’un Rossignol, chétive créature,
Forme des sons aussi doux qu’éclatants,
Est lui seul l’honneur du Printemps.
Junon répondit en colère :
Oiseau jaloux, et qui devrais te taire,
Est-ce à toi d’envier la voix du Rossignol,
Toi que l’on voit porter à l’entour de ton col
Un arc-en-ciel nué de cent sortes de soies ;
Qui te panades, qui déploies
Une si riche queue, et qui semble à nos yeux
La Boutique d’un Lapidaire ?
Est-il quelque oiseau sous les Cieux
Plus que toi capable de plaire ?
Tout animal n’a pas toutes propriétés.
Nous vous avons donné diverses qualités :
Les uns ont la grandeur et la force en partage ;
Le Faucon est léger, l’Aigle plein de courage ;
Le Corbeau sert pour le présage,
La Corneille avertit des malheurs à venir ;
Tous sont contents de leur ramage.
Cesse donc de te plaindre, ou bien, pour te punir,
Je t’ôterai ton plumage.
>brigetoun :
Superbe haïku, brigetoun ! C’est bien vu ! Merci.
>amichel :
Amusant ton haïku avec cette rupture de ton au dernier vers 😉 Il parait effectivement que son cri est affreux 😉 Ca doit faire un choc de l’entendre. Bises sous la pluie.
>bouldegom :
Je ne sais quoi dire tellement ton poème est riche en images de toute beauté. Un superbe frou frou de mots dans lequel on se prend à rêver;-) Amusant aussi ton dernier vers plein d’humour. Bises exotiques à défaut de soleil.
>Pierre (2) :
Un brin playboy, le paon. Apparemment, sa parade de plumes suffit à attirer toutes les paonnes qui se laissent séduire toutes en même temps sans rechigner;-) Ton joli poème illustre bien la satisfaction de cet oiseau sûr de son coup 😉 Dommage que je n’ai pas réussi à le voir faire la roue. Il m’aurait fallu plus de temps. Merci Pierre pour tes mots. Des bises de l’ouest vers ta Savoie.
>bouldegom :
Je vais de surprise en surprise avec ce paon 😉 Quel dépouillement sensuel! J’ai le sourire aux lèvres à te lire. Imagination fertile et coquine, bouldegom 😉 Bravo à toi.
>jjd :
Bonjour, je suppose que tu cites un extrait d’un livre de poésie que tu as écrit à cause la présence d’un oiseau. C’est une amusante coïncidence cet oiseau de paradis 😉 Bien à toi. As-tu écrit d’autres livres ?
>l’œil vagabond :
Superbe haïku aussi ! J’aime beaucoup ce bleu qui vient du ciel et la façon dont tu lances le dernier vers. Merci poétesse vagabonde.
>Kaïkan :
Belle idée de se moquer du paon 😉 Merci pour ton humour, Kaïkan avec cette palette de peinture trop lourde à porter. Ce bleu est très attirant même pour les humains 😉 Je m’en vais répondre à tes autres interventions, poétesse de l’ombre.
>La Fontaine :
Bonjour, Monsieur La Fontaine, vous êtes le bienvenu ici 😉 Merci pour ce poème qui fait une nouvelle fois allusion au chant du paon. Je ne le connaissais pas. Il va falloir que j’essaie de trouver sa voix. Et qui y a-t-il derrrière ce plumage ? Ne serait-ce pas amichel qui joue à cache cache;-) ? Bonne soirée Monsieur le Paon.
superbe dérisoire
je passerai mon temps à la futilité
je déploierai mon verbiage à tous vents
je tromperai mon existence insipide
j’exalterai mes cris de dérisoire
je laisserai des plumes dans l’histoire
>bouldegom:
Cette série donne lieu à une étonnante production poétique de ta part;-) Tu changes un peu de registre cette fois. Il n’a pas la cote le paon;-) Pas mal le jeu de mots du dernier vers. Bises de nuit et merci pour toute cette belle poésie que tu nous fais partager.
Eventail vivant
Tu es la vie en couleurs
Bouquet de plumes.
je savoure la production de Bouldegom, surtout le second
Paradis ou enfer,
A regarder de près, le mal sur terre,
Oublié notre chance,
Nous ne sommes pas heureux en France ?
ou
Plumage coloré comme la vie,
Attirant sa belle ainsi,
Oiseau comme homme paradons,
Naïvement croyant que nos belles céderons…
Je te souhaite une belle semaine, chère Ossiane,
Je t’embrasse ainsi que Bouldegom
Amitiés à Michel.
OLIVIER 😉
Un sacré clin d’Oeil à toi aujourd’hui, Ossiane, bises blanches
De Paon à Pan Pan, il n’y a qu’un pas.
Pourtant, quelle différence !
Tandis que l’un ploie ses plumes et sa grâce,
L’autre promène sautillant sa boule de fourrure.
Simplicité et exubérance mêlées,
C’est peut-être cela la beauté ?
>Ark:
Un très bel haïku en forme de bouquet, Ark! Merci pour ta belle plume;-) Amitiés.
>brigetoun:
Oui, Bouldegom se sent en effet très à l’aise sur ce théme.
>Olivier:
Tu es en grande forme poétique pour cette rentrée;-) Deux poèmes d’un coup! Les deux ont un fond de vérité. Merci Olivier, garde l’humilité et ta joie de vivre en France. Bises du lundi.
>L’oeil vagabond:
Merci Chris, je te rends la pareille à minuit. J’espère que ton paon ne sera pas parti de ton blog;-) Clin de plumes.
>Guillaume:
Bonjour l’ami, contente de te retrouver;-) J’espère que tu vas bien. Les souvenirs d’enfance remontent en surface;-) Petit poème plein d’insouciance bienvenu. Il y a sans doute un peu de ce que tu dis dans la beauté. Je rajouterai en plus une plume de naturel et de spontanéité pour couronner la roue. Merci Guillaume. Je t’embrasse.
Etonnante exubérance de la nature….les pattes trop hautes, la queue trop longue, la tête trop fine, bizarre houpette, et pourtant, il vole mal mais il vole..encore…
Et voilà le résultat du choix de dames paons esthètes capricieuses qui ont selectionné leurs congénaires pour leur unique beauté…..
Un petit coup de plume sur ces photos aux couleurs de papillon morpho
belle soirée à tous
(voir http://www.guyane-guide.com/dossiers/dossiers.php?id_dossier=80)
Chemin faisan(t)
Perdu dans le paysage
Tel un enchantement
Mon regard s’est posé sur ton plumage
Je me souviendrais toujours de ce moment
Teinté de bleu éteincelant
Te pavanant, resplendissant
Tendant à mon coeur un guet-a(paon)
>MTO:
Contente de te voir revenir par ici;-) J’espère que tu as passé de bonnes vacances. Je constate que tu trouves bien des exhubérances à ce paon mais qui malgré tout plaisent à ces dames paonnes;-) Je ne savais pas que ça volait mal. Merci pour ton passage. Je t’embrasse.
>Bén:
Tu as mis ce lien à cause du bleu de ce magnifique papillon. C’est un bleu qui électrise. Merci à toi. Bises du soir.
>p’tit papillon:
Et revoilà ce bleu magnétique qui refait surface dans ton joli poème. J’aime beaucoup ton dernier vers. Merci beaucoup d’être revenu. Amitiés.
Lève toi ECHASSE…
Avec son chapeau à AIGRETTES
INSEPARABLE de ses fidèles chiens
qu’il aimait à nommer MESANGES
SERIN, le chasseur BARBU
au CORBEAU, à la ROUGEGORGE
gravissait le PIC VERT.
Il avait PINSON fusil
des couleurs de l’arc-en-ciel.
chemin FAISAN, alors que
ses CHOUETTES chiens s’abreuvaient
dans les nids-de-POULE,
il se coinça le d’OIE, et se dit à lui même :
Et PAON ! CYGNE que je suis vraiment une tête de LINOTTE
GEAI oublié les cartouches !
Nue anse
Je t’ai cueilli des mots du monde imaginaire
Cherchant dans leur envol le panache d’un paon
Pour t’engrainer au loin au frisson tutélaire
D’être la femme enfant du Royaume de Pan.
Je t’ai brodé les flots où les bouches s’écument,
S’arrondissant d’Amour dans une onde d’émois,
De ce rêve éventé qui prend la nuit pour plume
Et ancre nos désirs aux feux de nos alois.
Je t’ai grisé l’écho de ces blanches fontaines,
Doux lacis de tes doigts dont s’irrigue ma peau,
Au soir où le soleil se nuance en sirène
Et cascade arc-en-ciel en un sorbet tableau.
Je t’ai sauvé des seaux, ô petite moïse
Pour te ceindre à mon coeur et t’ouvrir le chemin
Vers ce fleuve vital où mes mains te balisent
Et sculptent notre union qu’elle esquisse demain.
>Les larmes du Phoenix:
Je vois que tu es bien décidée à rattraper ton retard;-)
Un très beau poème d’amour qui s’articule comme un arc-en-ciel autour de la traîne du paon et s’adresse à la femme aimée. Merci beaucoup pour ta plume sensible et imagée.
le paon bleu avance élégant
et déjà il se retourne
son trésor déposé
il a laissé tomber
sa plus belle plume
que sa belle ramasse
dans le creux de ses doigts
elle regarde briller
les saphirs naturels
le bout du doigt les caresse
puis elle s’évente joliment
et incline une douce révérence
>Annick, j’aime bien cette idée de l’éventail. Merci.
le paradis dans lequel évolue ce majestueux oiseau m’a évoqué cette oeuvre de Ravel
Trois beaux oiseaux du Paradis
[poème de Paul Painlevé – musique de Maurice Ravel (Trois chansons pour choeur mixte)]
Trois beaux oiseaux du Paradis,
(Mon ami z’il est à la guerre)
Trois beaux oiseaux du Paradis
Ont passé par ici.
Le premier était plus bleu que ciel,
(Mon ami z’il est à la guerre)
Le second était couleur de neige,
Le troisième rouge vermeil.
« Beaux oiselets du Paradis,
(Mon ami z’il est à la guerre)
Beaux oiselets du Paradis,
Qu’apportez par ici? »
« J’apporte un regard couleur d’azur.
(Ton ami z’il est à la guerre) »
« Et moi, sur beau front couleur de neige,
Un baiser dois mettre, encor plus pur »
« Oiseau vermeil du Paradis,
(Mon ami z’il est à la guerre)
Oiseau vermeil du Paradis,
Que portez-vous ainsi? »
« Un joli coeur tout cramoisi …
(Ton ami z’il est à la guerre) »
« Ah! je sens mon coeur qui froidit …
Emportez-le aussi ».
>Bén:
Tu es subjuguée par ces oiseaux. Tu reviens vers eux régulièrement. Merci beaucoup pour ce poème que je ne connaissais pas. Je t’embrasse où que tu sois.
Minerve déçu par la tromperie de Zeus,
Son aimant, son mari, qui était infidèle
Fit espionner le dieu, grâce aux cents yeux d’Argus
Afin d’être pour toujours sa seule femelle.
Mais c’est des mains d’Hercule, que l’espion fut tué.
Envoyé par son père , désireux de courir,
Il lui trancha la tête et le laissa mourir,
Pour que Jupiter regagne sa liberté.
Alors Héra ramassa les yeux du monstre
Et les jeta épars sur la queue d’un beau Paon,
qui en un animal divin se transformant
fut éternellement inscrit parmi les astres.
Junon, accablée par la tromperie de Zeus,
Son aimant, son mari, qui était infidèle
Fit espionner le dieu, grâce aux cents yeux d’Argus
Afin d’être pour toujours sa seule femelle.
Mais c’est des mains d’Hercule, que l’espion fut tué.
Envoyé par son père , désireux de courir,
Il lui trancha la tête et le laissa mourir,
Pour que Jupiter regagne sa liberté.
Alors Héra ramassa les yeux du monstre
Et les jeta épars sur la queue d’un beau Paon,
qui en un animal divin se transformant
fut éternellement inscrit parmi les astres.
>Nagash:
Bonjour et bienvenue. Merci pour le poème. Au plaisir de vous lire à nouveau. Bien amicalement.
Je vous retourne le remerciement vous qui êtes si grand
De m’accueillir aussi poliment malgré l’inperfection de mon chant
Qui confondant Minerve et Junon revèle bien l’imperfection
De ce poème de débutant noyé parmi les plus grands …
>Nagash:
Pas de problème pour cette erreur. Il n’y a pas de brevet de poésie à passer pour s’exprimer sur le blog. Vous êtes vraiment le bienvenu. Bien à vous et à bientôt.
Paon, oiseau bleu,
Cerclé de saphirs
Ta queue empanachée
Recèle bien des mystères
Qu’un calife convoiterait
Pour orner son harem
Elle est la traîne d’une mariée
Qui se laisserait emporter
Dans l’univers d’une fée
Paon, oiseau de majesté
Fier et sûr de toi
Ta cour se pâme devant
Ta parure d’émeraude
Et tu la toises
Avec dédain et
Narquois, tu flamboies
Tes plumes emballent
La plume du poète
Qui s’éprend de tes couleurs
Toute la palette de l’artiste peintre!
La pluie blémit
Quand tu déploies ton arc-en-ciel
Mais, devant la blanche colombe
Ton coeur frémit
Tu fais la roue devant la belle
Et te soumet à ses quatre volontés
D’amour, d’eau fraîche
De tendresse et de volupté
MAGNIFIQUE claudie!
>Claudie:
Tant de beauté, de richesse, de majesté dans cette description du paon. J’aime beaucoup ta palette colorée de mots qui s’envole en plume pour composer ce beau tableau. Merci beaucoup, je te souhaite une bonne nuit.
http://www.mondalire.com/mots_d_elle/poemes/sillages/envol.html
>Nath:
Bravo Nath pour le choix! Cette peinture me touche beaucoup. Bises à toi.
J’essaie de remonter le pente doucement, doucement …
Bises
Poème écrit lors d’un atelier slam :
Le respect
Voir l’autre comme un ami
Et non comme un ennemi
C’est le respect mon ami
Ca a un p’tit goût de paradis
C’est découvrir des voies multiples
Des signes de soi sympathiques
Pour se rencontrer l’un et l’autre
Pour n’abîmer ni l’un ni l’hôte
Voir dans le regard de l’autre
L’accueillir comme un hôte
C’est le respect mon ami
Ca a un p’tit goût de paradis
C’est accepter la différence
Rejeter l’indifférence
C’est échapper aux certitudes
Et rejeter les habitudes
Les habitudes des clichés
Accepter la pluralité
C’est le respect mon ami
Ca a un p’tit goût de paradis
C’est trouver des chemins communs
Pour entrer en relation
Eviter la destruction
Et préparer l’aube de demain
C’est oser le vrai sourire
Aimer le goût du devenir
C’est le respect mon ami
Ca a un p’tit goût de paradis
C’est laisser du nouveau advenir
Laisser l’autre fleurir
Pour faire route ensemble
Sans que la terre ne tremble
C’est négocier dans la prudence
Dans l’échange et dans la danse
C’est le respect et si la vie
Avait un p’tit goût de paradis.
12/03/08
Nath : avec les touches d’un clavier, il est impossible de dessiner un coeur. Juste pour dire que j’aime, j’aime beaucoup, j’aime très beaucoup ton poème-slam.
Alors, avec les moyens du bord, je l’écris…
Bon courage pour ta douce remontée.
Et puis, n’oublie pas de passer de temps à autre …
(oserais-je le dire…)
… « chez nous ».
C’est un réel plaisir de te lire.
Merci Bourrache
Le paradis sur terre, nath….
moi aussi je trouve que c’est vachement bien. Il faut le dire quand on trouve ça chouette. On vit dans un monde où on sait toujours dire ce qui ne va pas et jamais ce qui va. Je ne connais pas ton parcours mais je suis certaine que l’écriture peut t’aider à remonter doucement mais sûrement. Personne ne te dira le contraire dans cet espace je pense.
>Nath:
Bonjoour Nath, contente de te revoir sur ces terres;-) J’espère que ton esacapade aura rempli ses promesses. Ton poème en semble rempli en tout cas. Toujours ta belle écriture qui joue sur les lettres et les sonorités. De belles rencontres à venir avec L’autre dans la confiance mutuelle. Je t’embrasse bien fort et te remercie de ta fidélité.