Frivolité

Plumet de Fête, Etamines d'Aigrette, Ombrelle de Chiffon, Pompon du Japon, Fils de Taffetas, Poudre de Mascara sur<br>  la Robe de Soie.

Plumet de Fête, Etamines d'Aigrette, Ombrelle de Chiffon, Pompon du Japon, Fils de Taffetas, Poudre de Mascara sur la Robe de Soie.

* Lecture du Calligramme: du bas vers le haut.

Plumet de Fête,
Etamines d’Aigrette,
Ombrelle de Chiffon,
Pompon du Japon,
Fils de Taffetas,
Poudre de Mascara
Sur la Robe de Soie.

* Photo d’une fleur d’Albizzia.
L’Albizzia est un arbre qu’on voit beaucoup au sud dans les jardins de Gironde car il craint le gel. Il fait partie de la famille des acacias. Il est appelé Arbre à soie pour la légèreté de ses plumets roses. Son feuillage fait penser à des feuilles de fougères.
Pour en savoir plus cliquer sur ce lien.

27 réflexions sur « Frivolité »

  1. Ossiane, le 14 juillet c’est dépassé pour cette année !!
    Nous avions Albizzia chez moi, mais il n’a jamais donné aucune fleur ! C’est très joli pourtant !

    :-)NINA

  2. tel un paon, l’Albizzia fait la roue et tend ses étamines au soleil d’été.

    ultime danse avant les premiers frimas.

  3. L’Albizzia éveille des envies de fêtes, les commentaires fusent en bouquet, en gerbe …
    Il est des images, des connivences, des coïncidences guillerettes !
    (Enigmatique … ?)

  4.  » Quand mon arbre n’aura plus l’air
    Qu’il faut aux arbres pour avoir l’air
    D’un arbre vert
    Quand mon arbre n’aura plus d’aile
    Pour s’être mis de quelques feuilles
    En peine de deuil
    Quand mon arbre n’aura plus l’air d’un arbre
    Et déjà plus l’air d’un air
    J’écrirai ma chanson d’hiver
    Quand mon arbre n’aura plus l’air
    Quand mon arbre n’aura plus l’air
    Qu’on s’y couchait dessous à terre
    Les yeux, les yeux dans l’air
    Quand mon arbre sera trop vieux
    Que le temps qu’on mourrait un peu
    Sonne sonne sonnera le creux
    Quand mon arbre n’aura plus l’air d’un arbre
    Et déjà plus l’air d’un air
    J’écrirai ma chanson d’hiver
    Quand mon arbre n’aura plus l’air
    Quand mon arbre n’aura plus l’air
    Qu’il faut aux arbres pour te plaire
    Le tronc plus dru, encore plus dru
    Quand mon arbre n’aura plus l’air
    D’un arbre de rien que l’air mon amour
    Le vent le vent lui pousse au cul
    Quand mon arbre n’aura plus l’air
    D’un arbre de rien plus que l’air d’un air
    J’écrirai ma chanson d’hiver… »

    Quand mon arbre
    Les Enfants Terribles

  5. De François « le nouveau »..
    Désolé, j’ai découvert ton mail trop tard.
    Je ne connaissais pas le nom donc ça m’évite de faire croire que je sais après avoir cherché l’info sur les moteurs de recherches « MDR ».
    Ce matin « au Cap » Ferret ,la lumière est superbe, les odeurs de viandes estivales, tournebrochées et enduites de mixtures anti- UV s’évanouissent. La nature reprend ses droits.

  6. >Je vois que cette photo vous rappelle des souvenirs de 14 juillet (pas vrai Nina?). On passe élégamment du feu d’artifice de Fred à la fleur d’artifice sous forme de joli haïku à la Guess Who. Puis, on pense à la révérence du paon avec Aurélie et Fabienne. Ensuite on glisse subtilement vers la poudre d’étamines, un symbole de fête pour le deuxième haïku du jour de Double-Je.
    Moleskine reste baba devant l’Albizzia mais est toujours très énigmatique sur ces coïncidences.
    Quant à Ravi, il se démarque avec son bel arbre en chanson et je le sens tout chose aujourd’hui avec l’arrivée de l’hiver ;-). Enfin, merci au nouveau François que j’avais appelé au secours car je ne me souvenais plus du nom de cet arbre magnifique. Mais déjà, il est sur une autre planète 😉

    Bisous à toutes et à tous, vous êtes adorables.

  7. Beauté presque irréelle. Suspendue au fil du vent. Attention une goutte de pluie change l’équilibre. Les couleurs varient. Une peinture photographique ou bien l’inverse. Encore une fois Ossiane nous offre son oeil attentif et inventif posé sur l’instant. Tout simplement beau.

  8. Hello Ossiane…
    Je vois que les vacances furent consciencieuses avec toujours autant d’inspiration ;o)
    Retour de Toscane depuis hier. A bientôt…

  9. >Félicitations Sonia pour le talent avec lequel tu parles de cette photo. Merci belle plume. Je suis très touchée par tes mots.

    >UU: C’est gentil de venir me dire bonjour après ce retour de vacances et ton court séjour dans la blogosphère. J’ai commencé à lire vos compte-rendus amusés et émus d’une certaine façon. J’espère que tes vacances se sont bien passées. Très beau la Toscane. Tu en parleras peut-être sur ton blog. Amitiés.

  10. La limite nord de l’albizia est le sud de l’Ile de France où il fleurit à condition d’être en situation bien abritée. Il s’épanouit trés généreusement au sud du Morbihan. Cet arbre me rappelle beaucoup par son port et le positionnemet de ses fleurs le flamboyant tropical….flamboyante d’ailleurs l’explosion de ton inflorescence d’aujourd’hui…c’est trés agréable d’aller , jour après jour de surprises en surprises…

  11. Ossiane, nous sommes revenus de l’autre planète. Ce matin, c’était blanc sardines en entrée et blanc huitres en dessert. Un peu émus que nous étions vers les 15 heures. Une bonne tête au Grand Crohot nous a remis les idées claires.

  12. J’avais planté un albizzia au centre de la pelouse, j’aimais beaucoup cet arbre et ses plumets, mais un hiver rigoureux l’emporta, dommage…
    Avec le recul, c’est bien, il aurait pris trop d’importance et aurait cassé la perspective…
    Moralité, laissons faire la nature, ne nous formalisons pas, c’est ainsi…

  13. Bonsoir François. Ca y est, tu as commencé à prendre ton rythme de croisière avec une petite visite nocturne sur les blogs. Ta région a sans doute un climat de montagne trop rigoureux. Mais visiblement, tu ne regrettes rien. L’harmonie visuelle de ton beau jardin en aurait pâti. Je t’embrasse.

  14. Dans le jardin de mes parents, dans les côteaux toulousains se trouve un albizia d’un certain âge (une bonne vingtaine d’années). C’est un arbre absolument magnifique lorsqu’il est en fleurs…
    Rien à voir : Je m’étonne toujours de la qualité de ton accueil de *tous* tes lecteurs… ;o)
    Et pour te répondre, les évocations de la Toscane viennent de démarrer…

  15. >Jean-Louis: Contente que la photo te plaise et merci pour le lien. Attention, bientôt, tu n’auras pas assez de place pour en mettre de nouveaux 😉

    >UU: Oui, j’aime beaucoup cet arbre à condition qu’il soit bien mis en valeur.
    Tu me parles d’accueil. Tu sais, je suis à chaque fois très touchée de voir tous ces gentils commentaires tomber dans ma boîte à lettres quand je me réveille. J’aime bien ces échanges et la moindre des choses est de répondre de façon assez personnalisée à chacun. Mais toi aussi, tu accueilles bien tes visiteurs. D’ailleurs, je vais faire un petit tour en Toscane; on verra bien;-)) Bises.

  16. RRRooohhhh !! Et dire que j’ai raté ça !!!! Douceur de petite fleur éternelle … Et ne me dis pas que ce n’est pas une petite fleur de pissenlit… délicate fleurette si sensible…!!!

    Ossiane nous fera tout vivre … De l’intérieur fleur frêle … Petite graine tout sauf cruelle …

    Qui donc es-tu ???

  17. >Emma, ce n’est pas une fleur de pissenlit 😉 Tu parles à moi ou à la fleur, petite soeur 😉 Je t’embrasse.

  18. Moire sur Noir!

    A comme Aériennes
    L comme Lumineuses
    B comme Byzantines
    I comme Innombrables
    Z comme Zétamines
    I comme Iridescentes
    A comme Acrostiche

    F comme Futile
    R comme Resplendissante
    I comme Insouciante
    V comme Vertige
    O comme Odalisque
    L comme Légère
    I comme Improbable
    T comme Talisman
    E comme Elégante

  19. >Bernard *:
    Belles acrostiches pour honorer cette ce bouquet d’étamines. Le voyage poétique continue sur le ton de la légèreté;-) Ca me permet de redécouvrir ces photos;-) J’aime bien ton « Zétamines » 😉 Merci beaucoup, je file sur le deux étoiles.

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