Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
au bord du monde
fragile dans l’immensité
petit homme
◊ Sur la côte sauvage de Belle Ile…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
au bord du monde
fragile dans l’immensité
petit homme
◊ Sur la côte sauvage de Belle Ile…
J allais éteindre et puis quel bonheur cette nouvelle image,
une peinture,
j’aimerais être capable de peindre une telle beauté si douce, si grande, si magique, qu’est le monde, l’univers,
c’est fort beau!
Petit homme
Mon amour
Je t’aime
En tout de Là
Et vous
Les chairs de mon être
Je n’en suis pas encore revenue
De vous voir
Vous trois grands devenus
Et pourtant si petits
Le mystère de la vie
Petit homme
Tu regarde la mer
Tu te mouilles le ciel
Et tu te dis encore
Je suis un petit homme
Qui suis je en vérité?
Cet être qui se noie
Ou celui qui se vole
Les deux mille à la fois
Les instants de la vie
Font être
Le petit homme
Des veloutés de bleus
Et des soupçons de roses
Comme c’est beau un ciel
Sans se lasser jamais
De regarder sa vie
En mouvances du temps
Et rester planté
Longtemps
De tellement
Pour embrasser ce ciel
Dans un baiser fougueux
Ses lèvres amoureuses
La pulpe de ciel en bouche
Ventile de belles aises
bonsoir à chacun, et belle nuit sur une taie veloutée de bels rêves tendres.
Un homme est debout, petit devant l’immensité du monde mais si grand dans son intime, Bachelard dit : « Même si nous sommes conscient de notre état chétif (….) l’immensité est en nous »
Le poète dans sa contemplation devant la mer n’est plus ce petit bonhomme minuscule que l’on distingue à peine, il est force et grandeur dans son rapport intime qu’il a avec la nature et son âme est si grande qu’il la contient toute dans ce qu’elle a pour lui de beau et de grandiose.
« Le monde est grand, mais en nous il est profond comme la mer » Rilke
C’est fort joli ce que tu partages, Monique,
quand je suis posée devant la mer, elle m’attire comme un aimant, je ressens tant sa démesure, parfois de la peur en tout dedans devant cette immensité de la Nature, un vide si grand que sa grandeur, et à la fois tellement plein,
j’aimerai la boire, la mer, avec une paille, la respirer, et puis regarder ses fonds vides,
y rester longtemps dans ses bas,
et puis la paille se vider pour la renâitre la mer….
Ils sont grands les mots de Bachelard et Rilke. Merci.
http://www.youtube.com/watch?v=c-Tw_q1I8mQ
L’homme debout, souvent ne pense qu’à avoir, alors que la nature est, tout simplement…
Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants
Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants,
Passer, gonflant ses voiles,
Un rapide navire enveloppé de vents,
De vagues et d’étoiles ;
Et j’entendis, penché sur l’abîme des cieux,
Que l’autre abîme touche,
Me parler à l’oreille une voix dont mes yeux
Ne voyaient pas la bouche :
« Poëte, tu fais bien ! Poëte au triste front,
Tu rêves près des ondes,
Et tu tires des mers bien des choses qui sont
Sous les vagues profondes !
La mer, c’est le Seigneur, que, misère ou bonheur,
Tout destin montre et nomme ;
Le vent, c’est le Seigneur ; l’astre, c’est le Seigneur ;
Le navire, c’est l’homme. »
V.Hugo
Une infinité de soir et de matin
Vastitude à crier sans fin
En mille deux cent grammes d’esprit
Debout
Sur le bord de la mer où se brisent les lames
vient il chercher le calme que son âme réclame
Compte t’il les moutons debout sur son rocher
Espère t’il que la houle le lave de ses pêchers
Quelle espérance l’habite isolé sur son môle
que la brise du large comme elle gonfle les voiles
lui arrache son masque l’envoi vers les étoiles
Et qu’il puisse vivre enfin sans affirmer de rôle
Face aux flots tumultueux qui n’ont jamais de cesse
Perçoit t’il l’écho de sa tendre jeunesse
Retrouve t’il le courage que concède l’ivresse
Non, le roulis doux et lent de la vague qui berce
ce souffle régulier comme une respiration
apporte le repos à son cœur sous tension
Alain
Péchés
Alain
Debout
Sur le bord de la mer où se brisent les lames
vient il chercher le calme que son âme réclame
Compte t’il les moutons debout sur son rocher
Espère t’il que la houle le lave de ses péchés
Quelle espérance l’habite isolé sur son môle
que la brise du large comme elle gonfle les voiles
lui arrache son masque l’envoi vers les étoiles
Et qu’il puisse vivre enfin sans poids sur ses épaules
Face aux flots tumultueux qui n’ont jamais de cesse
Perçoit t’il l’écho de sa tendre jeunesse
Retrouve t’il le courage que procure l’ivresse
Non, le roulis doux et lent de la vague qui berce
ce souffle régulier comme une respiration
apporte le repos à son cœur sous tension
Alain
Comme je reviens avec mon petit sachet de médicaments, je me dis que le petit homme, la petite femme, c’est fragile,
la bronchite résiste, c’est le troisième antibiotique, j’ai bien fait de rereconsulter encore, ce matin, tant de toux de fort loin, hier en nuit…
Mais la chance d’être au chaud, d’avoir les bouts de doigts en forme, il faut juste encore de la patience….
bel courage pour ce celui qui travaille en son dehors, en son dedans. BISES.
quels bels mots, Alain,
et puis quelle joie de chantonner, rachel.
Et youpssssssssssssss de VIE BELLE ENVIE!
Le bel regard du ciel
Veille sur le petit homme
Comme il souffle sur l’oiseau
Pour l’emmener ses ailes
Les cieux sont bienvaillants
Pour qui se confie d’être
Avec eux doux serrés
Pelotonnés confiants
Le regard tend son cou
Puis il confie sa nuque
A ce baiser du ciel
Si bon si bel si grand
Déconcerté le ciel
Regarde cette cible
Qui vise le bel oiseau
Dans le cerveau de l’Homme
Qui posé sur la terre
Ne demande qu’à vivre
De ses élans profonds
Il lui donne courage
Pour dévier les maux
Et laisser s’envoler
L’être dans ses lumières
Quand l’Homme
Dans sa besace
La remplit son travail
Pour devenir un Homme
C’est plein d’étoiles belles
Que le cuir en contient
Le métier du devenir
Pour être s’être en être
Est un bien bel travail
Même si éreintant
Mais quand on a compris
Que c’est en travailant
Qu’on devient ce celui
Si bel dedans son âme
Marchant tout doucement
Vers sa mort en promise
Pour dans les derniers ans
Renifler tout dedans
Le travail en besace
Qui sent l’odeur papiers
Des crayons des baisers
Sur des mots griboullés
De la sueur au front
C’est un métier d’aimer
Mais bien bel artisan
De se mourir d’aimer
Un jour en fin de vie
Apaisé et heureux
En remerciant la vie
D’avoir donné ô temps
Un bien travail d’être
Pour s’aimer bel vivant
Annick, je t’offre un bol de tisane de thym, miel et citron plus un bol d’air pur et de la patience, quelques gouttes d’huiles essentielles naturelles à respirer.
___
Un être géant est sorti du ciel
Déchirant le voile de la voûte céleste
Un géant aux yeux de chouette
Belle silhouette rassurante
En ce qu’elle est le symbole de la sagesse
Image grandiose au dessus de la falaise
L’olympe dans sa profondeur infinie
Petite marionnette qui contemple
Le spectacle du ciel et de la terre
Ton regard englobe l’immensité
La lumière éblouissante illumine tes yeux
Là-haut les nuages dansent autour de ce géant
Tout semble puissance
Et tout semble fragile
Equilibre instable d’une création
Aux assises incontrôlables
Eternels points d’interrogation
Où le petit et le grand se côtoient
Dans la même perfection
Dans la même vulnérabilité
Petite marionnette en ombre chinoise
Point d’exclamation au bord du gouffre
Sur la page blanche du monde.
___
Et savoir que nous, petites fourmis sur la terre, nous avons dans les mains la responsabilité d’une telle grandeur, laisse parfois rêveur….
Je viens de te lire Annick et j’en retiens que l’importance que l’on donne à sa vie trouve sa grandeur dans la façon qu’on a de l’appréhender mais surtout de l’amour qu’on y met et dont dépend la réussite.
j aime te lire, Monique,
oui, Monique, j’aime bien la lecture que tu as faite de mes petits mots,
oui, se choisir son parcours, en amour, c’est loin et de loin d’être le plus simple à se vivre, et pourtant c’est celui qui page après page, écrit une bien belle histoire d’amourssss, car l’amour se démultiplie, et le plus cruel de l’histoire c’est quand l’amour se suffit pas parfois pour réussir,
car si en autisme, aimer est un quart de tour qui aide à traverser tellement et à acquérir tant de progrès, avec l’aide de pros que l’autiste accepte contraint et c’est fort bien ainsi, ne pas mettre un processus de rééducation en autisme, c’est ne pas assister personne en péril,
mais pour d’autres maladies créées par des vécus, l’amour ne suffit pas, il faut l aide de professionnels, mais personne ne peut cntraindre personne à consulter, quand il pense aller très bien et voit les autres mal, et les détruit peu à peu, par des maltraitances, alors la fuite au nom de l amour pour soi est une belle fuite..
l amour ne suffit pas pour que tout aille bien, dans le meilleur sens,
et cela c’est une terrible pilule de vie, de digérer que l’amour ne sauve pas de tout…
De bout
Face à lui
Devant l’immensité
De son sort d’homme
Il se sent à la fois
Petit et puissant
Car il peut agir
Dans des instants
A se donner
Sauver l’autre
Et c’est tellement
Grand de vie
Qu’être son simple soi
Être là
Vivant
Pour insuffler de la vie
Quand elle peut manquer
A son prochain
A sa chair de sa chair
Quelquepart
On vient chacun
D’un tout départ
D’il y a des cent et cent ans
L’origine du monde
La vie
Sa molécule posée
Née pour être soi
Et c’est bien de s’en saisir
Pour vivre
Donner vie
Petit homme, fragile
devant l’immensité.
Tu es capable
de franchir des montagnes.
Sois certain de ta force.
On peut entendre ton cri, si loin.
Courage et ténacité…
Résiste…
Tu es TOI!
l’aigle vint à passer
Qui voulait saisir sa proie
Vit qu’elle était homme
Vers les cieux s’en repartit
Fort honteux de sa méprise.
Jo.S,
de bien bels mots, merci!
Comme tous les jours le réveil sonna à 6 h 30. Comme tous les jours il eut du mal à émerger et à se défaire du sommeil qui emplissait ses yeux.
« Allez, debout ! » se dit il en lui-même.
Il sortit de son domicile à 7 h 30. En ce 2 décembre la nuit était encore noire. Il monta dans son véhicule, alluma les feux et emprunta la route menant à son travail.
A 7 h 50 il roula sur un passage piéton. Pas plus de 40 à l’heure. Tranquille ! Une douce musique de michael buble sortait des enceintes.
La masse qui heurta la voiture le tira de son langueur. Il se rappela les secondes qui suivirent.
« Je l’ai pas vu, je l’ai pas vu » répétait il machinalement
Il sortit précipitamment de la voiture. Devant lui la personne était allongée et gémissait. En une seconde il comprit que sa vie avait basculé.
Il essaya tant bien que mal de rassurer le blessé.
Ses jambes flageolait, ses mains devenaient moites, ses idées s’embrouillaient à une vitesse vertigineuse.
Il composa le numéro des pompiers et attendit.
2 décembre : 7 h 55
La personne mit plusieurs mois à se remettre des ses blessures. Le conducteur fut jugé et supporta le regard du plaignant et de ses proches. Il aurait du être maître de son véhicule. Il fut condamné à une peine de prison avec sursis et une lourde amende.
Chaque jour il se voutait un peu plus. Chaque jour il revivait la scène et se heurtait à cette question lancinante.
POURQUOI NE L’AVAIT IL PAS VU EMPRUNTER LE PASSAGE PIETON ?????????
un très bel écrit, rachel, qui met belles les pendules à l’heure…
c’est essentiel de dormir, pour se lever le matin, et prendre le volant en responsable.
Deux bouts
par lequel commencer
et pour aboutir où
de bout en bout
suivre un chemin
plus ou moins balisé
malaisé, hérissé
Debout
relier la terre au ciel
servir dans la verticale
un destin inabouti
des désirs inassouvis
vivre et mourir debout
dans la dignité et la prestance
parce que se coucher
c’est un peu abdiquer
parceque dressé face aux forces et aux intérêts
dans notre dimension résistante
s’affronte la constante
d’un lien à réaffirmer
avec notre humanité
bannir la servilité
retrouver son autonomie
ne pas la perdre
ne pas se perdre
hausser sa vue
à hauteur d’épaule
dessiner de l’horizon
des contours de liberté
de mouvement et d’espace
debout, se battre contre la stupidité
debout se révolter contre l’inacceptable
debout se prémunir contre l’inévitable
forcer son talent et se tenir bien droit
pas raide ni dans une fixité totale
juste assurer la stabilité nécessaire
pour faire des projets et avancer
prêt à faire le grand saut comme le prochain pas
près du sol et déjà si aérien
–
Le ciel raconte
de bien étranges histoires
mélangeant
à chaque instant
tous les mots
–
Un nouveau monde
comme une déchirure
loin de mes pensées
le ciel encore plus vaste
immensité sans port
« On est bien peu de chose et mon amie la rose me l’a dit ce matin…. »
Françoise Hardi
____
Face au grand destin
Qui bascule en rien de temps
On est tout petit
____
bonne soirée à tous.
http://www.dailymotion.com/video/x8p7pj_au-bord-du-monde_creation
Au moment du grand départ elle se dit qu’elle aurait aimé avoir plusieurs vies pour assouvir tous ses désirs. Elle se rappela qu’elle avait eu déjà de grandes joies et qu’il ne fallait pas être trop gourmande.
Accepter le fait d’avoir été soi, en se perdant de vue parfois mais pas trop. Ce n’était déjà pas si mal.
Elle se souvint que d’autres avaient été moins chanceux.
Elle avait vécu, pas autant qu’elle l’aurait voulu , c’est sûr, mais l’être humain est peu de chose.
L’important était d‘en avoir eu conscience d‘un bout à l‘autre de son existence.
Elle avait aimé, un peu, beaucoup, mal quelquefois mais elle l’avait fait de tout son être, de toute sa force, et de toute sa maladresse.
Elle avait aimé avec allégresse.
N’étais ce pas le plus important !
Je rebondis sur tes mots Annick lorsque tu écrivais de prendre le volant en responsable. Ce petit texte a été écrit pour dire qu’on peut être responsable mais qu’un instant d’inattention peut arriver à tout le monde. Il reste après tout le reste de son existence pour le regretter.
Les deux grands yeux du monde
Regardent sa création
L’Homme qui devait être
Sa plus belle oeuvre d’art
Le déçoit chaque jour
Par ses agissements
Il oublie trop qu’aimer
Est son bel sens du vivre
En rêvant si souvent
A tout ce qu’il n’a pas
Et pourtant juste ceux
Qui sans toit sans manger
Peuvent rêver d’avoir
La dignité humaine
Le droit d’être pour chacun
Et pour ceux en souffrances
Enfant, ado, adulte
Que leurs rêves leur tombent
En confettis d’amour
De chaleur d’une main
Qui vient à leur rencontre
Merci pour la vidéo, Bernard,
merci à chacun pour ses mots…
Oui, je partage, rachel, un moment d inattention peut arriver à tout le monde, et cela fait peur quand on y pense.
Le ciel est plein des âmes
De ceux qui vivent en bas
Debout les gars réveillez vous
il va falloir en mettre un coup
demain on part au bout du monde
un même monde
des vies obliques
qui se croisent;
mais ne se voient!
le destin n’existe pas
juste le fruit de hasard
heureux ou malheureux
qui vous fait vous coucher
ou bien vous relever
bonne soirée à tous
Debout
Il tient debout
C’est un immense miracle
De tenir son debout
Quand chaque matin se réveille
Sans même s’en rendre compte
C’est bon de s’arrêter
Son instant éveillé
De remercier la vie
Avant de se lever
Quand elle fait tenir debout
Dans ses chairs
Dans son coeur
Chaque jour renouvelé
C’est une immensité
A connaître sur terre
Le précieux de la vie
Qui permet d’être debout
Sans aucune ficelle
Loin du pantin de chiffon
Prisonnier de son corps
En geôle dans son coeur
La vie dans son debout
Est une délivrance
c’est incroyable comme ce ciel il donne à voir, j’y vois à présent une forme humaine allongée, et elle crève mes yeux aveuglés de tant….
Si l’homme dans son debout
Le ciel est épuisé de le veiller
Celui qui gaspille son précieux
Qu’est la vie
La grandeur de son âme
Son regard bienvaillant
Lui apportent tellement
La beauté de vie
Même si c’est audacieux
De vivre sur la terre
C’est à se laisser faire
Acter sa vie
Si belle rédemption
Que de sentir vivant
Son ciel posé sur terre
elle est d une telle prpfondeur cette image, je suis éblouie.
.
Bonsoir, je viens de mettre en ligne le sommaire de novembre; un léger différé dans la publication, vous comprenez sans doute pourquoi;-)
Je remercie Monique pour son beau poème et sa belle mise en page.
Pas de Neyde à l’horizon; elle qui est toujours à l’heure pour m’envoyer sa copie … j’espère qu’elle va bientôt se manifester.
Jolis et amusants rebonds entre vous ces dernières heures:-) Annick tient une de ces formes et toto avec!
J’ai vu que certains d’entre vous cherchaient à se contacter par email. Normal, vous vous connaisez si bien maintenant. Passez par moi si vous avez envie de joindre quelqu’un, je ferai le lien et le messager;-)
Bienvenue à Lautreje et un signe d’amitié à Eric et odile que je remercie d’être passés et d’avoir écrit!
Aspe a écrit ici
https://blog.ossiane.photo/2009/11/23/insaisissable/#comments
https://blog.ossiane.photo/2009/11/25/halo/#comments
https://blog.ossiane.photo/2009/10/31/haiku-calligramme-octobre-2009/#comments
Allez j’y retourne! Bises!
Ossiane
.
Bonsoir Ossiane,
la toto elle a encor eessuyé ses phares ce soir, au regard du Sommaire de Novembre.
MERCI à toi pour ce mois de Novembre,
MERCI pour les mots du sommaire, la toto émue tellement par tant!
MERCI Monique,
que dire?
Cela peut lasser de dire tout jour qu on aime, et pourtant c’est bel vrai.
et vraiment quand parfois je me tais, je me force de faire silence pour faire place aux autres plumes que jaime lire délices….la toto c’est une grande parloteuse, faut l’excuser, elle roule toujours dans des tas de mots, et ses bouts doigts en roues ne se lassent pas de cheminer.
Merci à chacun, qui m’offre par ses écrits, de biens bels partages
DE VIE EN BEAUTES.
et comme je viens de regarder encore l image, d’autres trucs me pénètrent, et qu est ce que je fais, je retiens ou je laisse couler l’encre de mes mots sur la page de l’album?! sourire clin d’oeil et tit’bougie!
Allongée dans le ciel
Elle lui donne son sein
Debout son être se vit
Son geste est une offrande
Dans la grâce naturelle
De l’amour généreux
Qui aime partager
Douceurs et voluptés
belle douce nuit à chacun.
Impossible d’accéder au sommaire de novembre mon capitaine !!!
Bizarre autant qu’étrange. Je mets mon meilleur limier sur l’enquête et j’éclaircis l’affaire.
–
Je renifle, je renifle mais ne trouve que error 404-not found aussi…
Rachel, on partage une tasse de café ?
Ma chatte vient de rentrer trempée jusqu’à l’os. J’en déduis qu’il pleut…
Bonne journée à tous.
–
figé
l’oiseau
en l’éclatement de la tension
vers le numineux
L’impact du ciel sur le moral est parfois bien réel, l’esprit n’est pas le même devant un grand soleil lumineux et un ciel affreusement nuageux chargé de pluie.
____
Le matin gris de l’hiver est là
Gris sombre et morose
Un gris si bas, si lourd
Qu’on ne voit plus le ciel
Un drap gris de nuages sales
Recouvre la terre
Les arbres figés, immobiles
Attendent la pluie glaciale
Et moi toute petite
Craignant le déluge
Je reste dans l’expectative
Blottie bien au chaud
En regardant le ciel.
___
En effet sommaire de novembre n’est visible qu’en allant sur l’œil ouvert qui nous envoie sur debout, et en filant sans passer par les commentaires on arrive au sommaire de Novembre, une autre façon aller dans archives de Novembre à gauche et on obtient le sommaire. Système D mais peut-être qu’entre temps Ossiane aura résolu le problème. Bonne journée, ici ça part pour être mouillé
La toto, elle est allée cueillir le soleil, au plus près, son petit matin, et elle porte sur son visage radieux, les éclats du soleil qui l’a tant embrassée. Elle est revenue son tuyau débordant de pêteàgaz joyeux….
BELLE JOURNEE POUR CHACUN’E’.
Vent debout ,ciel en tourmente
l’immensité t’absorbe
Petit Homme
Emerveillé devant tant de vigueur
Salut à Tous AA
–
Monique : j’ai suivi ton mode d’emploi … j’ai pu lire … mais pas poster un commentaire.
Donc : les sommaires commencent à se « fignoler » … originalité … bô.
–
Un brin de soleil vient de passer en coup de vent … pas eu le temps d’en profiter !
–
Etre dans le vent
au bout du monde
rester debout
contre vents et marées
est-ce si difficile ?
Matelots vigilants, merci pour l’alerte;-)
Ca remarche, j’avais mais la date du 31 qui n’exsite pas (info pour l’enquêteur Rouletabille;-)
La mamelle du ciel
Belle nourrit le monde
Des milliards de regards
N’arrêtent pas de voler
Vers cette immensité
Qui fait tenir debout
A s’envoler ses ailes
Ses pieds bien accrochés
Sur la terre d’ici bas
Qui tourne tourne tourne
N’arrête pas de créer
Trop de chagrins sur terre
Alors le bel envol
Se cueille des beautés
Pour s’en remplir les malles
En cas de coup trop dur
Se nicher ses précieux
Ses instants bels bonheurs
Et je restais là debout, face à l’océan
Pas plus haute que trois pommes
À regarder le ciel et son ballet de nuages
Traversé d’oiseaux et de traits en tous sens ;
Panoramique en trois dimensions
Avec des nuages légers comme des flocons de neige
Il me semblait être seule au bout du monde
Emportée dans la rotation de la terre
Petite princesse du petit prince en quelque sorte
Toujours émerveillée et en questionnement
Comme en apesanteur, je flottais dans le merveilleux
Sur une autre planète inondée de lumière, sans notion de temps
Une parenthèse dans un paradis éphémère
Où je compris plus tard que cet instant sublime
Portait le nom de contemplation poétique.
je suis vraiment saisie par la force de cette image,
je te dis bravo, OSSIANE,
j’ai vu ton passage dans sommaire de novembre, et j’ose te déranger pour te dire que j’apprécie,
c’est vrai que tu manques quand tu manques,
alors pas de pause tout de suite, hein?
j’aime partager les beautés de vie, dès que c’est possible, en gourmande!
et puis quand je suis toute seule sans les autres matelots pour faire luire le pont, je suis contente quand ils arrivent,
j’aime leurs plumes et leurs partages, leurs présences.
Debout
Debout
Debout
Combien de fois
On l’entend ce mot
En résonnance Là
Depuis la plus tendre enfance
Faut se lever
Son petit museau se laver
Le goûter dans le cartable
Puis debout toutes les classes
Et il faut travailler
Réveiller les enfants
En leur disant
Debout
Demain je lui dirai
Il est l’heure
Je vais préparer le café
Allez courage
Et plusieurs fois à dire
Avant qu’il soit
Debout
Le gars
il m ipressionne beaucoup ce calligramme, quel beau travail,
La majesté du ciel
Son immense beauté
En grandeur certaine
Tout en haut
Haut
Si haut
Et l’homme debout
Tout en bas
Qui tente ses pas
Pour oser de la hauteur
Et peut être voir
L’oeil ouvert
Sa vie
Non Marc, pas de pause prévue d’ici au moins deux mois. Je suis sur un gros chantier qui demande beaucoup d’énergie et de concentration. Pour le moment, je tiens le coup car ça avance bien et je suis contente du résultat mais c’est un travail de longue haleine sans compter la pression des délais. Dites vous bien que je ne suis pas loin mais je suis obligée de ne pas trop regarder à côté pour ne pas me laisser distraire;-) Du coup, je vais rassurer Annick avec cette grande déclaration;-)
Heinhein, YaouOssiane,
alors la toto est joyeuse, et elle se met sur ses deux roues arrière, pour faire son bravo tapé ses deux roues devant…
BELLE SOIREE pour chacun!
bon courage pour ceux qui sont dans des grands chantiers de boulots, de créations, dans des gros chantiers de vie…BRAVO POUR VOS COURAGES! c’est qu’il faut maitriser la pelle le rateau le seau l’échelle la plume le papier et tellement …la vie…
De la voute plantaire à la voute du ciel il se dresse
selon cet axe il pousse et concentre ses forces
prenant appui lentement il érige sa stature avec maladresse
des pointes aux talons en léger balancement se retrouve
prêt à ébaucher les premiers pas il guette la moindre sensation
action et réaction, trouver un équilibre
puisque de bipédie ainsi il est enfin pourvu l’hominidé
ce n’est pas seulement la savane et ses herbes
qu’il contemple de tout son haut pour projeter au loin
c’est le début de l’aventure horizontalo-verticale
des voyages sans fin chassé par la faim
quand prenant ses jambes à son cou
il fuit des prédateurs et en devient un à son tour
cette érection est une chance et un grand tournant
tous les sens en alerte, proprioception réceptive
qui se joue des obstacles dans sa marche vers l’évolution
jamais depuis qu’elle est en marche cette humanité ne l’a quité
test