Si vous voulez bien déposer vos poèmes composés à partir des titres de notes du mois de Février sur la page des commentaires … notre amie Neyde est la première à me l’envoyer; elle a une véritable horloge dans la tête et de l’or dans la plume 😉 … merci à vous !
IVRE depuis l’ORIGINE,
mon âme PRESQUE,
PRESQUE?
reste FACE À FACE
avec le LOINTAIN,
SUR UN NUAGE.
Neyde
Tu es IVRE
de vie ton ORIGINE
PRESQUE 1 an
des mois plus tôt PRESQUE…
Ta création, notre FACE A FACE
dans le LOINTAIN
plus d’un an sur un NUAGE
( pour la 1ère bougie de mon fils …)
Superbe Agnès, merci !! Bon anniversaire à lui et bienvenue 🙂
Ivre de fatigue
sans en renier l’origine
qui me fait presque tituber
presque assis
je me met face à face
avec ce paysage lointain
et vais flotter comme un nuage
–
Presque, presque ivre
– à l’origine un face à face
avec mon miroir lointain –
Soudain, la dame me demande :
« Un nuage de lait sur votre tasse de café ? »
Mon regard se réveille
se pose sur une nappe à carreau
posée sur la table
d’un bistro de gare
Une bougie
des odeurs
Le rêve
C’était … hier ?
–
Au LOINTAIN…SUR UN NUAGE…s’envole le rêve…IVRE de douleurs…il serre son ciel…FACE A FACE …enfin PRESQUE…l’âme est tant l’être…et l’image son réel aussi…ORIGINE de la vie terrestre…PRESQUE mort le rêve s’endort…bercé par le ciel son sauveur…
Pour Annick :
–
Paul ÉLUARD
Recueil : « Le Phénix »
Et un sourire
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
–
S’émerveiller, IVRE de toute beauté
D’une splendeur étonnante
Sur cette île lointaine
Dont L’ORIGINE de l’ivresse
Naît dans « ce regard bleu »
Au sein des nuages.
PRESQUE étonnée
De me laisser emporter par ce rêve,
PRESQUE trompée par la brume
Qui masque au loin les monts,
Je monte sur le haut d’une falaise
Et FACE A FACE avec la mer
Je scrute le LOINTAIN
D’où émergent les songes
Prenant SUR UN NUAGE
Le véritable point de départ
Pour ce voyage vers les « rêves bleus »
merci Bourrache.
DOUX SOIR…je clapote ton hamac…
si fin ce trait d’union entre ciel et mer
que le roc
en avancée synallagmatique
ne peut signer pour l’éternité
la contemplation de ces lieux
seul le frêle esquif des coeurs
parfois entre deux effleurements de brume
permet l’alinéa de l’accord parfait