Vos poèmes du mois de Février 2013 …

Si vous voulez bien déposer vos poèmes composés à partir des titres de notes du mois de Février sur la page des commentaires … notre amie Neyde est la première à me l’envoyer; elle a une véritable horloge dans la tête et de l’or dans la plume 😉 … merci à vous !

IVRE depuis l’ORIGINE,
mon âme PRESQUE,
PRESQUE?
reste FACE À FACE
avec le LOINTAIN,
SUR UN NUAGE.

Neyde

 

9 réflexions sur « Vos poèmes du mois de Février 2013 … »

  1. Tu es IVRE
    de vie ton ORIGINE
    PRESQUE 1 an
    des mois plus tôt PRESQUE…
    Ta création, notre FACE A FACE
    dans le LOINTAIN
    plus d’un an sur un NUAGE

    ( pour la 1ère bougie de mon fils …)

  2. Ivre de fatigue
    sans en renier l’origine
    qui me fait presque tituber
    presque assis
    je me met face à face
    avec ce paysage lointain
    et vais flotter comme un nuage


  3. Presque, presque ivre
    – à l’origine un face à face
    avec mon miroir lointain –

    Soudain, la dame me demande :
    « Un nuage de lait sur votre tasse de café ? »

    Mon regard se réveille
    se pose sur une nappe à carreau
    posée sur la table
    d’un bistro de gare

    Une bougie
    des odeurs

    Le rêve

    C’était … hier ?

  4. Au LOINTAIN…SUR UN NUAGE…s’envole le rêve…IVRE de douleurs…il serre son ciel…FACE A FACE …enfin PRESQUE…l’âme est tant l’être…et l’image son réel aussi…ORIGINE de la vie terrestre…PRESQUE mort le rêve s’endort…bercé par le ciel son sauveur…

  5. Pour Annick :


    Paul ÉLUARD
    Recueil : « Le Phénix »

    Et un sourire

    La nuit n’est jamais complète
    Il y a toujours puisque je le dis
    Puisque je l’affirme
    Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
    Une fenêtre éclairée
    Il y a toujours un rêve qui veille
    Désir à combler faim à satisfaire
    Un cœur généreux
    Une main tendue une main ouverte
    Des yeux attentifs
    Une vie la vie à se partager.

  6. S’émerveiller, IVRE de toute beauté
    D’une splendeur étonnante
    Sur cette île lointaine
    Dont L’ORIGINE de l’ivresse
    Naît dans « ce regard bleu »
    Au sein des nuages.
    PRESQUE étonnée
    De me laisser emporter par ce rêve,
    PRESQUE trompée par la brume
    Qui masque au loin les monts,
    Je monte sur le haut d’une falaise
    Et FACE A FACE avec la mer
    Je scrute le LOINTAIN
    D’où émergent les songes
    Prenant SUR UN NUAGE
    Le véritable point de départ
    Pour ce voyage vers les « rêves bleus »

  7. si fin ce trait d’union entre ciel et mer
    que le roc
    en avancée synallagmatique
    ne peut signer pour l’éternité
    la contemplation de ces lieux

    seul le frêle esquif des coeurs
    parfois entre deux effleurements de brume
    permet l’alinéa de l’accord parfait

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