au fond du trou
visage vers la lumière
puits des espérances
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in a hole
face towards the light
well of expectations
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
au fond du trou
visage vers la lumière
puits des espérances
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in a hole
face towards the light
well of expectations
Voir au fond du puits
La couleur sombre des larmes
D’un monde qui souffre
Bonsoir Ossiane, dis nous qu’est-ce cette photo ?
Un trou, un puits profond, pourquoi Monique ?
Une question que je me suis posée Ossiane, tout simplement.
Etrange, vertigineux, vu d’en haut cela me donne la nausée, une angoisse comme si l’imaginaire voulait flirter avec la réalité et cela produit des sensations étranges… Je n’ose imaginer ce qu’elles seraient si je retournais la situation vu de bas en haut-;) plus que de l’angoisse cela deviendrait de l’oppression. Tu as toujours des images exceptionnelles qui font naître des réactions hors du commun. Merci encore et bon week-end Ossiane je t’embrasse.
descendre en son puits
immensément à la tâche
l’homme reverdit
Je comprends ton choc, désolée Monique … il ne faut pas avoir le vertige c’est certain;) Et pourtant, je l’ai et j’ai déclenché au-dessus du vide … ce n’est pas une image désespérée avec cette petite fille tout en bas qui regarde tout en haut … c’est un endroit connu que j’ai voulu déconnecter du réel car il s’agit du monde intérieur … belle soirée à tous!
visage vers le ciel
la lumière ouvre ton coeur
que les pieds en terre
au monte et descend
des palpitations de l’âme
un souffle parfois
Le puits de San Patrizio, je ne connaissais pas Ossiane, je m’en vais donc un peu m’instruire à son sujet, merci pour cette découverte.
Non ce n’est pas le puits de San Patrizio … peu importe le lieu mais tu peux imaginer que ce soit lui:)
Pour passer de l’arbre au puits ….. Leny Escudero :
L’arbre de vie
« Va chercher de l´eau
Au fond du puits!
Va chercher de l´eau
Je t´en supplie!
Va chercher de l´eau
Et l´arbre de vie
Tout contre nos cœurs
Déjà refleuri
Va chercher de l´eau
Au fond du puits
Tout au fond du puits
Des souvenirs
Laisse aller les jours
A jamais enfuis
Puisque nos vingt ans
Vont nous revenir
Alors toutes nos amours
Vont repasser
Pour faire un seul amour
Car nous avons
Découvert aujourd’hui
L´arbre de vie
Va chercher de l´eau
Au fond du puits
Va chercher de l´eau
Je t´en supplie
Pour nous deux
Le temps va recommencer
Nous ne verrons plus
Passer les années
Va chercher de l´eau
Et l´arbre de vie
Tout contre nos cœurs
Déjà refleurit
L´arbre de vie
L´arbre de vie »
Restons dans le mystère -;)
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Qu’il soit d’Orvieto, de Turin ou bien d’ailleurs
Descendre au plus profond de ses entrailles
Pour y trouver l’eau, source de vie
Et dans une descente longue et profonde
Laisser monter en soi cette soif de vivre
Ouvrir son coeur au rêve, à la joie d’être
Et remonter tout en douceur, ressourcé
Du fond obscur du puits jusqu’à la lumière.
_____
L’eau, les rêves je ne résiste pas à recopier Gaston Bachelard
« Devant l’eau profonde, tu choisis ta vision ; tu peux voir à ton gré le fond immobile ou le courant, la rive ou l’infini ; tu as le droit ambigu de voir ou ne pas voir , tu as le droit de vivre avec le batelier ou de vivre avec « une race nouvelle de fées laborieuses, douées d’un goût parfait, magnifique et minutieuses. »La fée des eaux, gardienne du mirage, tient tous les oiseaux du ciel dans sa main. Une flaque d’eau contient un univers. Un instant de rêve contient une âme entière. »
D’accord mais je pensais que tu allais trouver tout de suite:)
Merci pour Bachelard qui nous nourrit!!
Mais oui Ossiane, bien sur mais comment n’y avais-je pas pensé, j’en ris encore !!!! pas faute d’y être allée maintes fois!!!!!
Belle journée ensoleillée pour cette journée du patrimoine où Ossiane nous conduit avec une certaine subtilité..
______
Le fabuleux au coeur
L’étonnement dans le grandiose
Le va et vient de l’imaginaire
D’une pensée hors du commun
Savante réalisation d’un Maître
Astucieuse interprétation d’une Artiste
_____
Dans un esprit tout autre pour lâcher prise avec le réel, « Montée et Descente » de Monsieur Escher est un autre exemple peut-être d’une certaine utopie de la vie, d’un continuel voyage entre là et l’ailleurs, de long en large, de bas en haut au gré des humeurs, au gré des circonstances de la vie ou d’un certain combat incessant pour parvenir vers un sommet convoité et salvateur.
Il y a une montre et un cadran …qui suggèrent
des aiguilles aussi
et le long de l’axe glisse le temps
Tournoiement.
Eblouissement.
Petite fille
tu tends les bras.
Avoue
où tu habites.
Libre tu es
de désirer.
Au fond de toi
Tu te soustrais.
Qui te regarde.
L’Âme ajourée,
à tire d’ailes,
pierre après pierre
Tu déconstruis.
Tombe, tombe!
Plus de fenêtres,
c’est pour la Vie.
helix felix, d’un tour en somme
et ces fenestreaux en col et maçon
qui soulignent les jointures du temps
comment se hisser sans se hausser
il n’y a pas là de quoi se gausser
circularité qui se prolonge
ni tout à fait rêve ni songe
même pas le doute qui vous ronge
l’incrément est d’un pas
et même si la tête parfois se dévisse
on ne peut changer toutes les éclisses
construire c’est avancer
on a toujours des devanciers
et la cour basse nous rappelle
que sans de solides fondations
il n’est point de saines constructions
Sur tout le territoire, lieux communs ou insolites, vus d’un certain angle, en toute liberté ou savamment commentés, l’histoire au goût du jour en nouvelle approche ou en pèlerinage, un bonheur qu’il ne fallait pas manquer avec le soleil au rendez-vous.
_____
Les pierres en émoi
Polies de tous ces regards
Vedettes d’un jour
_____
Des escaliers que l’on monte, des escaliers que l’on descend, des terrasses qui surplombent des paysages enchanteurs et ce plaisir de découvrir et de rencontrer des gens passionnants sur le chemin de la connaissance, c’était hier, c’était aujourd’hui pour beaucoup, c’est chaque fois que c’est possible car la beauté est partout.
J’ai hâte d’être dans la lumière…se dit-elle d’ici bas…guide moi sur ton sol…ma vie aussi ma mienne…même si la donner est aussi nécessaire…respirations bels souffles…je vous vise…dans l’ouvert…quitter l’enfermement de plus en plus essentiel…
l’enfer me ment
est-ce sans ciel?
Est-ce sans cieux?
Est-ce sans âme?
Est-ce sans lune?
Est-ce sans rêve essentiel?
et je vous lis, regard et Leila, merci pour vos mots,
Bien sûr que je souhaite à chacun,
si pas d’autres choix que l’enfermement,
et je faisais référence à un vécu en autisme,
bien sûr,
que le ciel sauve
que l’âme donne force
que la lune est jolie,
que le rêve essentiel
tout cela se serrent ^plus encore!
quand parfois le réel ets bien trop son douloureux,
c’est de bel usage pour *levivre son temps sur terre,
que de quitter son puits,
en regardant le ciel
en se serrant son âme
en voyagenat la lune
en rêvant, en rêvant des milliards de rêves!
car cesser de rêver dans des existences douloureuses,
c’est quitter bien trops un espoir des espoirs,
*et c’est mourir avant la fin,
ET C EST VIVANT QU IL EST BON DE VIVRE SA VIE!
se passionner, échanger, serrer, sourire, partager des vies, de la vie,
c’est être dans la vie avec sa vie,
et rêver c’est aussi être en vie, rester en vie,
AU PLUS PRES DE SOI DE SON AMOUR D’ETRE D’AIMER LA VIE!
Coincé dans le puits de sa vie
C’est bon de tallonner le fond
Pour qu’il laisse tranquille
Et s’envoler rêver dès que possible
Rester en vie de vie *levivre
C’est se respecter en humain
Son vivant sur la terre
Parfois si douloureuse
Dans des destins tragiques
Alors rêver aimer
Se serrer au plus près
De son âme fleur de peau
Cela sauve assurément
De la noyade au fond
La lumière se rayonne
Inonde les traits de visage
Et le minois sourit
C’est si bon d’être en vie
Et serrer ceux qu’on aime
Mon ciel Ô mon bel ciel
Je te vois re venir
Approche toi plus près
Tend moi mon rêve fort
Qui enchante ma vie
A fleur de peau mes mots
Mon ciel  bel azur
Illumine mon regard
De tes mille pétites
Ma belle terre promise
Tout au bout de ma plume
Son encre m’émerveille
Un temps doux délicat
Où l’amour rêgne en pages
Tendresses des instants
A *levivre SON CIEL
Dans la lorgnette se profile
Un petit rond de lumière
Mais la tête me tourne, ivresse
Un Kaléidoscope grandeur nature
Me renvoie mille couleurs
Un rêve plein d’images
Un monde de féerie
Transformation du réel
En un monde nouveau
Qui m’extirpe d’un trou
Trop sombre et trop froid
Pour un nouveau regard
Vers cette embouchure colorée
Où dansent les nuages
Sur la palette du ciel
Échappatoire d’une oppression
Que la beauté transforme
En une simple béatitude.
C’est joli, Monique.
Merci Annick mais ces mots sont inspirés de ton poème de 15h 31 et me suis demandée si tu n’avais pas voulu écrire Illumine mon regard de tes mille « pépites »
alors, tu m’éclates de rires, Monique,
tu vois tout juste, sur mes doigts indisciplinés,
que je n’arrive pas à contenir,
et c’est bien ainsi de moi faite…
QUOIQUE?
un peu plus ordonnée, ce serait chouette quand même,
mais mes émotions guident mes écrits, ma vie, mon amour,
et je ne peux le mettte en boîte ce sentiment si fort de moi…
SOURIRE,
et mille carats de pépites de rires,
le petit bois s’éclate aussi,
il a fait si beau de VIE DEDANS aujourd’hui!
Le puits inspire l’être vivant
Qui de son poids reste figé
A lui de respirer très fort
De prendre des énergies immenses
Pour expirer toute l’Emotion
Si grande si belle si sa magique
D’un bel amour dans ce dedans
Puits de lumière
On se parle aux fenêtres
Les mots , des oiseaux
bsr a ts
Il y a parfois des appels au secours, des indices de souffrance, des mots maquillés suivis d’un grand silence, lettre morte qui s’en va comme un bateau en papier à la dérive dans les eaux sales des caniveaux
_____
Un son jaillit des profondeurs
Un mot pour seul écho
Et le silence qui s’ensuit
L’enveloppe tout entier
Reste le trou béant
Et le mystère d’un message
_____
Ce n’est pas toujours facile de savoir ce que cache un écho venu de loin et parfois dans les écrits de certains poètes les mots ne sont que l’écho d’un cœur qui pleure mais aussi et oh combien réconfortant, l’écho d’un cœur qui chante.
ils sont beaux tes mots, Monique, et si justes…
et je relis tes mots et je les aime,
il faut être très attentif en au delà, et c’est quasi impossible,
pour saisir juste le sens d’une plainte en blog, en mail,
à mon sens, seul le vrai de vrai de réel,
le face à face, l’envie d’échanger, complicité, amitié,
peut permettre d’entendre au plus près, me semble,
et si parfois, souvent, on reste incompris sa douleur grosse en soi,
c’est pas la faute de l’autre, qui n’y comprend rien,
cest la faute à la vie, qui ne permet aps le partage pour dire,
tout simplement, en yaux pépilles, en voix sa tremble, le vif d’une vie…
Elle est encore là
Au fond de son puits
Personne pour lui porter secours
Ce monde si insensible
Demande des forces énormes
Pour s’en sortir tout seul
A force de lutter de s’accrocher
Grimper viser en cap le ciel
Ce serait bien injuste
Si le noir la pénombre
L’enferme encore lontemps
La lumière est devant
Parfois la perspective m’enflamme, tandis que se déploient les volées d’escalier,
et si de proche en proche, je peux observer le chemin parcouru, aucun instant n’a été volé
mais tous sont restitués, alors quand il faut se resituer dans le temps et que je monte encore
dans les tours, le bas bêle, je balbutie et m’initie avec les tailleurs de pierre qui prennent de beaux tournants de quoi éviter bien des tourments, sans oublier d’évider un noyau cylindrique en forme de courette, ce n’est pas douillet comme une couette, mais roide et creux pourtant c’est une âme et une armature, ça en a le contour sans le compte tour et rien ne m’effraie plus que l’audace qui s’en élève .
l’enfermeNT avec nt, ce serait peut être bien aussi,
désolée Ossiane,
merci de survoler mes fautes de frappe, mes doigts se trompent de couleur,
avant de déposer sur ta toile…
J’espère que tu vas bien,
c’est mon souhait pour chacun!
–
prise au piège
ailes coupées
là, dans le fond
pigeonnée
dirait-on
Entends-tu
encore
enfin
en fin
son souffle
le mot
son cri
sa plume perdue
au bord du gouffre …
–
Mais hier je n’avais pas saisi que « l’enfer me ment » pouvait donner » l’enferment…essentiel » Regard.Et là ça me saute aux yeux, cet autre sens.
MERCI DE lire le 17 sept à 15H06,
*si pas d autres choix que l enfermement,
( lenfermement de l’aidant dont la liberté se trouve limitée,
mais c’est fort essentiel, car une vie à sauver! )
toutes mes excuses, d’être imprécise…en mots écrits.
J’irai en toute humilité, puiser à la source des espérances
Quand lasse d’attendre passive sur le bord de la route
Qu’un ruisseau d’eau douce et fraîche me désaltère
Je plongerai dans les eaux froides des abîmes du savoir
Pour remonter à la surface des sceaux remplis d’espoirs
Du noir des profondeurs j’atteindrai la lumière
Et répandrai ce breuvage venu des entrailles de la terre
Rien n’est acquis, rien n’est offert, rien ne nous est dû
Les puits sont creusés et ne demandent qu’à servir
Il suffit de dérouler et d’enrouler la chaîne à la force du vouloir
Le puits du savoir n’est pas un puits que l’on creuse pour s’y noyer
Il est le puits pour s’enrichir et s’abreuver d’amour et de sagesse
De tendresse et parfois même du pouvoir vivre avec intelligence.
Un puits ? un vestige
ouvert quoi ?
Donne le vertige.
A moi !
et puis voilà , il n’y avait rien d’autre à faire ni à dire
il ne suffisait pas de se plonger dans le sujet
il fallait l’explorer totalement et faire corps avec lui
et puis zut si je m’étais trompé resterais je là indéfiniment
sans savoir le chemin qui mène à l’aimant
ma boussole était folle elle ne savait plus où se diriger
les épaules magnétiques insufflaient une vraie brise
mais dans cette giration il y avait bien des errements
l’égarement me gagnait et je continuais d’osciller
mais de battre mon coeur jamais ne s’est arrêté
car on aura beau dresser de obstacles empierrés
toujours je voudrai voir des visages souriants
dans la spirale folle des émotions qui montent
J’avais envie de parler du cercle des poètes disparus mais d’un texte incertain , je n’ai osé m’aventurer de mémoire…. et préféré transcrire mes propres mots :
______
J’ai dessiné autour de moi un cercle imaginaire
Parce qu’il est le symbole géométrique par excellence
Il est la représentation parfaite du soleil
Un moyen exceptionnel de protection intime
Il est la sécurité et repousse toute intrusion
Le temps d’une méditation et d’un repos de l’âme
Il prend une dimension idéologique particulière
Dans la symbolique chinoise du Yin et du Yang
Il est dans la Divine Comédie de Dante
Le royaume des anges, gardiens de l’ordre sphérique du monde
Il est rassurant le temps de la réflexion avant d’exploser
En mille rayons propagateurs de lumière alentours
L’ouverture sur le monde, la roue du savoir
Un monde en mouvement autour d’idées solides
A l’image d’un essieu autour duquel gravite la sagesse
Il n’est pas un enfermement il est une forme en mouvement
Des profondeurs de ce trou cylindrique j’entrevois la lumière
Vers laquelle je me tourne pour sortir au grand jour
Fort d’un raisonnement pour mieux comprendre
Tout ce qui peut continuellement gravir autour de moi
Sortir du trou, la où nuit bien trop vite s’installe.
_____
Bonne fin de journée à tous.
Au fond du puits
de mon coeur blessé
reste une lumière.
C’est toi!
Homérique métrique qui jamais étriquée a briqué bien des légendes
voilà que de tes vers l’assaut nous est donné qui engendre
le frisson le plus enlevé et que monte la peur au son des assaillants
qui oserai compter jusqu’à Troie verrai Priam plus très vaillant
tandis que dans la plaine se rassemblent les grecs en nombre
et que les vaisseaux incendiés ce n’est pas de peine qu’ils sombrent
ah oui j’ai vu Achille, dans sa tente prostré, qui avait plus d’un talon
et son ami Patrocle, de son amitié le socle, déjà sur son bucher
alors la douleur s’est mêlé à la vanité mais il avait été bien accroché
aussi Hector finira dans un piteux état mais à un croc de boucher
Le pari était osé mais il fallait le tenir sans retenir l’étalon
ensuite Schliemann ferait apparaître tant de villes superposées
qu’il sera dur un temps de choisir pour la cible d’Agamemnon
celui qui mène hélas les hommes de Hellas à leur perte, à leur gloire
Dans le cercle parfait réside l’intimité
ne le franchissent que quelques affidés
qui peuvent se rapprocher de notre axe
un lieu de calme où règne notre pax
il étend le rayon en tournant autour du centre
pourtant il n’a souvent rien d’un antre
si il peut nous faire penser à la fronde
loin à son ‘écart alors le peuple gronde
s’est on construit des murs sans retard
pour éviter de l’extérieur certains regards
en tournant comme les aiguille du temps
peut on espérer grandir et de quelle quotité
allons nous travailler sur notre probité
là le regard limité à nous imiter ne s’étend
et c’est dans le ressourcement que vient
la montée de la conscience qui chemine
Tout en me cherchant
Je n’ai fait que m’ égarer
Cent et mille fois
Tout au fond d’un puits
Douce lumière ,j’ai trouvée
Dans la pénombre
Les yeux clos sur le passé
Enfin j’ ai trouvé
Très haut des rayons brillaient
Ce que je cherchais
Puis il y avait l’ombre projetée
selon les heures
qui atteignait la jetée
les vagues du temps refluaient
et l’eau jouait sur les murs empierrés
dans la colonne d’air bien sèche
l’air continuait de monter
Comment ne pas en être ébloui lorsqu’on le découvre pour la première fois, tout est beau en ce lieu, tout est magique, tout est beauté, tout est grandiose aussi…
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La double volée
Pour cette belle architecture
L’arbre de Vie
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Peut-être entendons nous à cette époque résonner dans les entrailles de cette splendeur le brame des cerfs dont l’écho fait frémir…il me semble l’entendre et du haut des terrasses apercevoir biches et cerfs au carrefour des allées.
–
bizarre … j’entends plus grand-chose …
–
suffit d’approcher ton oreille de la margelle, Bourrache,
on est au fond, on fait une belotte,
sourire,
A mesure que la vie balance
Ses fausses certitudes
Ses vérités jamais certaines
Qu’elle les largue au fond du puits,
Le sol se monte de tout de bas
Et bien plus la lumière se voit
Pour l’être qui accepte
De quitter son sac à dos de faux
Pour se vivre que de vrai
De la réelle vie qui sait juste sa seconde
Bonsoir Bourrache, pour entendre il faut être là au bon moment, ici pour l’instant c’est bien silencieux je l’avoue mais ça se passe au fond tout au fond……des bois !
Trèfle de plaisanterie Annick ça tombe à pic j’ai du coeur mais reste sur le carreau !!!-;)
Pas sérieux tout ça mais PARFOIS……ça détend……
Toc toc toc !