Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Unisson
ligne de force
l’inclination légère
convergence
35 réflexions sur « Unisson »
Elévation
modeste ou triomphante
le souple et le rigide
même tropisme vers la lumière
Très beaux gris comme dans un dessin
L’arbre et le bambou
Un jour ,le vent les a liés
Ils font course ensemble
Ouvrant une légère porte
Aux enfants, dans le sous -bois
Le choeur des bambous
autour du sequoia géant
dans un même accord
Belle accordance
En majeur et en mineur
Du clair,du trouble
Très musical May et très inspirateur ce bel haïku
_____
Calumets du rêve
Orgue gigantesque
Dont la musique somptueuse
S’entend au moindre souffle du vent
Immenses tiges creuses
Bambous gigantesques
Qui cherchent leur accord
Au sein de la nature
Autour d’un chef d’orchestre
Qui leur ouvre la voûte céleste
La légèreté de leurs feuillages
Met un bémol aux sons graves
Des chaumes qui se croisent
Pour donner à ces milliers de flûtes
Une musique magique
Aux timbres les plus variés
Aux tons les plus beaux
Comme des voix qui s’élèvent
Et convergent vers le ciel
Comme un bouquet offert
Aux nuages, aux étoiles
Comme une louange, un chant
A la beauté, à la grandeur.
_____
Belle soirée au chaud en cette température hivernale de saison.
Sans prétention
Parmi tes frères
Tu pousses solide
Tu grimpes droit
Cet étonné d’être
Celui que le destin
Il a choisi
Pour faire de toi
Sur ton chemin
L’humble modeste
Hébété d’être
Simplement être
C’est déjà tant
Tellement de temps
Sur la pointe de ses racines
Il se grandit s’allonge nervures
Pour toucher au baiser du ciel
Qui lui donne force belle énergie
Dans la beauté de la vie s’être
ciel nu lune rousse
éveille un silence lourd
l’écorce palpite
au pied du géant
folâtrent des bambous
sèves complices
Et quand son tronc se monte
Il s’évapore en ciel
Solide de ses ondes
Ecorce et bois nu
En plein et en déliés
Ecriture d’hiver
Fusion végétale
Jusqu’à atteindre le ciel
Les mots en futaie
Un grand tourbillon
Comme un élan de tendresse
Irradié de vert
La légèreté du vent
Les bambous à l’unisson
Tant d’ air agité
Par les tiges en leurs sommets
Un monde bruissant
Première journée d’hiver
Pas un chat dans les bambous
Dans le grand silence
Tous les esprits vont rêvant
Regards vers le faîte
Père Noël peut-être en vue
Dernière ligne droite avant la fête
A l’unisson
Chantez vibrer
Mon coeur dedans
Doux frêles troncs
Faites moi vivre
De vos sons
De silences purs
Caresser le ciel
C’est vouloir aller trop haut
J’ai le vertige
Un petit bonsoir et pour le plaisir ces quelques mots de Jaccottet, cette image fait tellement rêver que certains mots entrent parfaitement dans ce rêve, convergent vers le merveilleux :
Jaccottet promenade sous les arbres
« Je ne pouvais plus détacher mes yeux de cette demeure mouvante, changeante, et je trouvais dans sa considération une joie et une stupeur croissantes ; je puis parler de splendeur, bien qu’il se soit toujours agi de paysages très simples, dépourvus de pittoresques, de lieux plutôt pauvres et d’espaces mesurés. Or cette splendeur m’apparaissait de plus en plus lumineuse, aérée, et en même temps de moins en moins compréhensible. De nouveau, ce mystère nourricier, ce mystère réjouissant me poussait comme d’une poigne très vigoureuse vers la poésie […] »
Magnificat.
Bruissement de serments ensoleillés.
Silence !
La force s’unit à la tendresse.
Et c’est un feu d’artifice
Auquel nous assistons,
Spectateurs de la liesse universelle.
sagesse grisonnante
tableau paisible
du tronc ancien
Alunir
sur le verbe devenir –
essence des possibles.
A contre vent.
Un plaisir de vous lire!
Tournés vers le ciel
Nos choeurs à l’unisson
Pour le retour du soleil
J’aime votre *essence des possibles, MioModus,
et j’en ai bien besoin ce soir,
c’est si bon, les possibles jolis et bons.
DOUCE SOIREE.
Au-delà du bel exemple de contraste végétal, l’image m’inspire une réflexion symbolique sur le pouvoir. L’arbre séculaire s’élance toujours plus haut vers le ciel sans jamais écraser de sa stature les frêles tiges qui l’environnent. Autour de ce pilier de la forêt, le bambou cohabite fluide et harmonieux. L’un n’étouffe pas l’autre si fragile à ses côtés, mais l’intègre dans une bulle de vie où se partagent le sol et la lumière. Ainsi, quand la force s’exerce sans pression ni violence, la grâce s’exprime et s’épanouit. Il suffit au puissant d’être juste.
******************************************************************************************************
A l’unisson, Annick, des « possibles jolis et bons ». Une nuit aussi la plus douce possible.
Jacline Une pensée si belle, si bien vue et si bien exprimée, je la partage avec vous, merci et belle journée à tous.
Merci beaucoup Monique, de ce chaleureux retour. Belle journée aussi sous le ciel bleu de la Provence que nous partageons aussi.
Sous tous les cieux
Unisson,un maître-mot
Fragiles en forces
Bonne journée à tous ,à l’approche des fêtes que je vous souhaite heureuses !
Joyeuses fêtes de fin d’année à tous les passagers du navire.Une pensée comme ça, pour Christeeeeeeeeeeeene dont les « e » me gonflent d’énergie et de sourires et qui me donne l’impression qu’elle coure toujours gaiement pour booster nos batteries, une autre pour Monique qui m’apaise comme un récitant du soir tout en douceur , encore une autre pour Annick qui me donne courage et espérance par ses écrits tendres et Thierry avec qui j’apprends plein de mots de la langue française et qui m’aiguille vers le dictionnaire et tant et tant d’autres matelots qui chacun à son moment sur l’Oeil ouvert m’apporte bien être et chaleur au cœur lorsque je passe lire sans forcément écrire quoi que ce soit.Mais peut être que certains font comme moi…lire en silence et être bien, là.Bonne année à tous les anciens et à tous les nouveaux mousses qui astiquent le pont de quelques mots, pensées, poésies.Oserais-je formuler la pensée que j’aimerais bien vous rencontrer tous?
Merci à Ossiane, grand matelot, grand capitaine des flots de l’océan créatif…d’exister et de nous permettre d’être « ensemble.Leïla.
Poésie,
Chemins de terre
Musique de l’âme
Chant du cœur
A l’unisson
Un ciel partagé.
Leïla, comme elles sont justes, touchantes et vraies ces pensées vers le grand capitaine et les matelots qui se relaient inlassablement sur le pont…Tout y est et on ne saurait mieux dire.
Sur un autre registre, à l’UNISSON avec ce qui précédait, le beau poème évoque en quelques mots simples mais avec force tout ce qui nous relie autour de ce blog magnétique, permanents intarissables comme nouveaux mousses et autres intermittents de passage… Le lire en silence et le savourer comme un cadeau dans nos petits souliers de Noël…
Chaleureux Noël à tous !
comme c’est joli, Leila, touchée ….Là!
oui, on sera *ensemble encore l an prochain, à astiquer le batoooooooooooo, si mon ordi permet, pour le moment, tout ordi ici, est caché depuis ce matin, car mon fils autiste a cassé le sien dans une crise immense! yaouh!
alors que Noêl, se vive doux, avec ^ou ¨
Noël c’est force
et puis fragilité
c’est quand le coeur sent bon
ou quand il se dégorge
l’amour dans tous ses sens
de son petit humain
qui fait comme il peut faire
dans ce monde imparfait
et mon âme en ce soir
entre dans les foyers
où l’autisme tue et mine
mais il la montrant la vie
dans sa plus simple essence
Là en tout Là de là
le nectar de la vie
quand on veut bien l’entendre
et c’est si bon de *levivre
son court de temps sur terre
quand pas perdre une miette
est une belle offrande
pour remercier ce ciel
dans toutes se couleurs
en arc en ciel de vie!
doux pont l’équipage, la mer est tranquille, le canot se barbote quelques ondes douces, c’est bien!
que brillent de mille feux, les yeux de vos enfants.
Cher amis, chers passagers au long cours!
Merci à tous de tous vos si jolis mots déposés, de vos pensées chaleureuses et généreuses;) Tous mes encouragements à Olivier pour ses beaux haïkus et un signe d’amitié aux nouveaux venus qui se sont manifestés ces derniers jours! Je vous lis avec intérêt mais je n’ai assez de temps devant moi pour répondre à chacun malheureusement.
Un grand capitaine n’abandonne jamais son navire;) Il tente de tenir bon avec ses failles dans les aléas de la vie comme beaucoup d’entre nous. Il est très sensible à vos mots d’attachement, de beauté qui surgissent à partir de ses images et dans lesquelles il s’implique beaucoup. C’est un encouragement à continuer plus que jamais. Très fier aussi de voir que les écrits des uns et des autres font résonnance entre tous, qu’ils provoquent des échos, des rebonds philosophiques ou poétiques, si j’osais, j’appellerai cet endroit, le Cercle des poètes vivants;) Leila et Jacline ont si bien parlé de ce qu’elles ressentent, je suis très touchée. On me parle souvent de cet état d’esprit et d’écriture incroyable qui règne sur le blog. Merci infiniment pour tout cela! Sur ces belles paroles, je vous souhaite une belle nuit et de bons préparatifs avant le grand jour! Je vous embrasse fort et pense bien à tous ceux qui ont des soucis ou des peines à panser!
Merci pour Jacottet, Monique, je suis très sensible à son univers et à ses mots.
Ossiane
Unisson, c’était ce soir autour du repas de noël tous réunis du plus jeune aux plus âgés, heureux d’être tous ensemble, d’ÊTRE tout simplement.
Vous lire ce soir me fait du bien, merci à tous de toute cette gentillesse qui transparaît dans vos commentaires ; à demain sur la note nouvelle « duvet » de la douceur en perspective et belles fêtes à tous de tout mon coeur.
Bonnes fêtes à toi Monique, touchée de ta sensibilité et de tes mots!
Elévation
modeste ou triomphante
le souple et le rigide
même tropisme vers la lumière
Très beaux gris comme dans un dessin
L’arbre et le bambou
Un jour ,le vent les a liés
Ils font course ensemble
Ouvrant une légère porte
Aux enfants, dans le sous -bois
Le choeur des bambous
autour du sequoia géant
dans un même accord
Belle accordance
En majeur et en mineur
Du clair,du trouble
Très musical May et très inspirateur ce bel haïku
_____
Calumets du rêve
Orgue gigantesque
Dont la musique somptueuse
S’entend au moindre souffle du vent
Immenses tiges creuses
Bambous gigantesques
Qui cherchent leur accord
Au sein de la nature
Autour d’un chef d’orchestre
Qui leur ouvre la voûte céleste
La légèreté de leurs feuillages
Met un bémol aux sons graves
Des chaumes qui se croisent
Pour donner à ces milliers de flûtes
Une musique magique
Aux timbres les plus variés
Aux tons les plus beaux
Comme des voix qui s’élèvent
Et convergent vers le ciel
Comme un bouquet offert
Aux nuages, aux étoiles
Comme une louange, un chant
A la beauté, à la grandeur.
_____
Belle soirée au chaud en cette température hivernale de saison.
Sans prétention
Parmi tes frères
Tu pousses solide
Tu grimpes droit
Cet étonné d’être
Celui que le destin
Il a choisi
Pour faire de toi
Sur ton chemin
L’humble modeste
Hébété d’être
Simplement être
C’est déjà tant
Tellement de temps
Sur la pointe de ses racines
Il se grandit s’allonge nervures
Pour toucher au baiser du ciel
Qui lui donne force belle énergie
Dans la beauté de la vie s’être
ciel nu lune rousse
éveille un silence lourd
l’écorce palpite
au pied du géant
folâtrent des bambous
sèves complices
Et quand son tronc se monte
Il s’évapore en ciel
Solide de ses ondes
Ecorce et bois nu
En plein et en déliés
Ecriture d’hiver
Fusion végétale
Jusqu’à atteindre le ciel
Les mots en futaie
Un grand tourbillon
Comme un élan de tendresse
Irradié de vert
La légèreté du vent
Les bambous à l’unisson
Tant d’ air agité
Par les tiges en leurs sommets
Un monde bruissant
Première journée d’hiver
Pas un chat dans les bambous
Dans le grand silence
Tous les esprits vont rêvant
Regards vers le faîte
Père Noël peut-être en vue
Dernière ligne droite avant la fête
A l’unisson
Chantez vibrer
Mon coeur dedans
Doux frêles troncs
Faites moi vivre
De vos sons
De silences purs
Caresser le ciel
C’est vouloir aller trop haut
J’ai le vertige
Un petit bonsoir et pour le plaisir ces quelques mots de Jaccottet, cette image fait tellement rêver que certains mots entrent parfaitement dans ce rêve, convergent vers le merveilleux :
Jaccottet promenade sous les arbres
« Je ne pouvais plus détacher mes yeux de cette demeure mouvante, changeante, et je trouvais dans sa considération une joie et une stupeur croissantes ; je puis parler de splendeur, bien qu’il se soit toujours agi de paysages très simples, dépourvus de pittoresques, de lieux plutôt pauvres et d’espaces mesurés. Or cette splendeur m’apparaissait de plus en plus lumineuse, aérée, et en même temps de moins en moins compréhensible. De nouveau, ce mystère nourricier, ce mystère réjouissant me poussait comme d’une poigne très vigoureuse vers la poésie […] »
Magnificat.
Bruissement de serments ensoleillés.
Silence !
La force s’unit à la tendresse.
Et c’est un feu d’artifice
Auquel nous assistons,
Spectateurs de la liesse universelle.
sagesse grisonnante
tableau paisible
du tronc ancien
Alunir
sur le verbe devenir –
essence des possibles.
A contre vent.
Un plaisir de vous lire!
Tournés vers le ciel
Nos choeurs à l’unisson
Pour le retour du soleil
J’aime votre *essence des possibles, MioModus,
et j’en ai bien besoin ce soir,
c’est si bon, les possibles jolis et bons.
DOUCE SOIREE.
Au-delà du bel exemple de contraste végétal, l’image m’inspire une réflexion symbolique sur le pouvoir. L’arbre séculaire s’élance toujours plus haut vers le ciel sans jamais écraser de sa stature les frêles tiges qui l’environnent. Autour de ce pilier de la forêt, le bambou cohabite fluide et harmonieux. L’un n’étouffe pas l’autre si fragile à ses côtés, mais l’intègre dans une bulle de vie où se partagent le sol et la lumière. Ainsi, quand la force s’exerce sans pression ni violence, la grâce s’exprime et s’épanouit. Il suffit au puissant d’être juste.
******************************************************************************************************
A l’unisson, Annick, des « possibles jolis et bons ». Une nuit aussi la plus douce possible.
Jacline Une pensée si belle, si bien vue et si bien exprimée, je la partage avec vous, merci et belle journée à tous.
Merci beaucoup Monique, de ce chaleureux retour. Belle journée aussi sous le ciel bleu de la Provence que nous partageons aussi.
Sous tous les cieux
Unisson,un maître-mot
Fragiles en forces
Bonne journée à tous ,à l’approche des fêtes que je vous souhaite heureuses !
Joyeuses fêtes de fin d’année à tous les passagers du navire.Une pensée comme ça, pour Christeeeeeeeeeeeene dont les « e » me gonflent d’énergie et de sourires et qui me donne l’impression qu’elle coure toujours gaiement pour booster nos batteries, une autre pour Monique qui m’apaise comme un récitant du soir tout en douceur , encore une autre pour Annick qui me donne courage et espérance par ses écrits tendres et Thierry avec qui j’apprends plein de mots de la langue française et qui m’aiguille vers le dictionnaire et tant et tant d’autres matelots qui chacun à son moment sur l’Oeil ouvert m’apporte bien être et chaleur au cœur lorsque je passe lire sans forcément écrire quoi que ce soit.Mais peut être que certains font comme moi…lire en silence et être bien, là.Bonne année à tous les anciens et à tous les nouveaux mousses qui astiquent le pont de quelques mots, pensées, poésies.Oserais-je formuler la pensée que j’aimerais bien vous rencontrer tous?
Merci à Ossiane, grand matelot, grand capitaine des flots de l’océan créatif…d’exister et de nous permettre d’être « ensemble.Leïla.
Poésie,
Chemins de terre
Musique de l’âme
Chant du cœur
A l’unisson
Un ciel partagé.
Leïla, comme elles sont justes, touchantes et vraies ces pensées vers le grand capitaine et les matelots qui se relaient inlassablement sur le pont…Tout y est et on ne saurait mieux dire.
Sur un autre registre, à l’UNISSON avec ce qui précédait, le beau poème évoque en quelques mots simples mais avec force tout ce qui nous relie autour de ce blog magnétique, permanents intarissables comme nouveaux mousses et autres intermittents de passage… Le lire en silence et le savourer comme un cadeau dans nos petits souliers de Noël…
Chaleureux Noël à tous !
comme c’est joli, Leila, touchée ….Là!
oui, on sera *ensemble encore l an prochain, à astiquer le batoooooooooooo, si mon ordi permet, pour le moment, tout ordi ici, est caché depuis ce matin, car mon fils autiste a cassé le sien dans une crise immense! yaouh!
alors que Noêl, se vive doux, avec ^ou ¨
Noël c’est force
et puis fragilité
c’est quand le coeur sent bon
ou quand il se dégorge
l’amour dans tous ses sens
de son petit humain
qui fait comme il peut faire
dans ce monde imparfait
et mon âme en ce soir
entre dans les foyers
où l’autisme tue et mine
mais il la montrant la vie
dans sa plus simple essence
Là en tout Là de là
le nectar de la vie
quand on veut bien l’entendre
et c’est si bon de *levivre
son court de temps sur terre
quand pas perdre une miette
est une belle offrande
pour remercier ce ciel
dans toutes se couleurs
en arc en ciel de vie!
doux pont l’équipage, la mer est tranquille, le canot se barbote quelques ondes douces, c’est bien!
que brillent de mille feux, les yeux de vos enfants.
Cher amis, chers passagers au long cours!
Merci à tous de tous vos si jolis mots déposés, de vos pensées chaleureuses et généreuses;) Tous mes encouragements à Olivier pour ses beaux haïkus et un signe d’amitié aux nouveaux venus qui se sont manifestés ces derniers jours! Je vous lis avec intérêt mais je n’ai assez de temps devant moi pour répondre à chacun malheureusement.
Un grand capitaine n’abandonne jamais son navire;) Il tente de tenir bon avec ses failles dans les aléas de la vie comme beaucoup d’entre nous. Il est très sensible à vos mots d’attachement, de beauté qui surgissent à partir de ses images et dans lesquelles il s’implique beaucoup. C’est un encouragement à continuer plus que jamais. Très fier aussi de voir que les écrits des uns et des autres font résonnance entre tous, qu’ils provoquent des échos, des rebonds philosophiques ou poétiques, si j’osais, j’appellerai cet endroit, le Cercle des poètes vivants;) Leila et Jacline ont si bien parlé de ce qu’elles ressentent, je suis très touchée. On me parle souvent de cet état d’esprit et d’écriture incroyable qui règne sur le blog. Merci infiniment pour tout cela! Sur ces belles paroles, je vous souhaite une belle nuit et de bons préparatifs avant le grand jour! Je vous embrasse fort et pense bien à tous ceux qui ont des soucis ou des peines à panser!
Merci pour Jacottet, Monique, je suis très sensible à son univers et à ses mots.
Ossiane
Unisson, c’était ce soir autour du repas de noël tous réunis du plus jeune aux plus âgés, heureux d’être tous ensemble, d’ÊTRE tout simplement.
Vous lire ce soir me fait du bien, merci à tous de toute cette gentillesse qui transparaît dans vos commentaires ; à demain sur la note nouvelle « duvet » de la douceur en perspective et belles fêtes à tous de tout mon coeur.
Bonnes fêtes à toi Monique, touchée de ta sensibilité et de tes mots!