Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Chaleur
ombre légère la lumière en vitrail dérobade
40 réflexions sur « Chaleur »
Dentelles de Lumière
Qui désespèrent les Peintres
Instants délicats
Douce aubade
Robe légère
En dérobade
La peine ombre
La fraîcheur belle invite
Si douce tentation
Légèreté des ondes
Le chapeau se repose
Assis sur une racine
La robe de cet été
Vaporeuse s’allonge
comme cette image est raffraîchissante, elle offre ses tendresses sa pénombre si belle, le petit coeur se palpite des petites ondes douces…
Les arbres ont quitté leur nudité et s’habillent avec grâce par petits coups de pinceau en touches légères.
___
Parure estivale
Au soleil du printemps
Ombres diaprées
La robe gracieuse
De guipures en fil de soie
Brodée de points d’ombre*
* points d’ombre en broderie est un point arrière croisé où le fil sur le tissu très fin laisse une ombre en transparence.
____
Belle et douce image sous les chaudes caresses du soleil.
Les arbres abandonnent leur nudité pour se vêtir avec grâce de petits coups de pinceau en touches légères.
____
Tenue estivale
Sous le soleil du printemps
L’ombre diaprée
Robe gracieuse
De guipures en fil de soie
Brodée de points d’ombre*
___
*point d’ombre en broderie est un point arrière qui laisse l’ombre du fil en transparence sur un tissus fin.
Belle et douce image sous les caresses chaudes du soleil. Bel effet de transparence.
?
Les arbres abandonnent leur nudité pour se vêtir de jeunes et tendres feuilles qui laissent passer la chaleur plus ou moins timide du printemps
____
Tenue estivale
Sous le soleil du printemps
L’ombre diaprée
Robe gracieuse
De guipure en fil de soie
Brodée de point d’ombre*
____
*un point d’ombre en broderie est un point arrière qui laisse voir le fil au travers du tissus.
Belle et douce image sous la caresse chaude du soleil. Superbe effet de transparence.
L’ombre légère d’un feuillage à teinte douce
ombre tissée de gris et de lumière pâle
pour les heures qui s’enfuient
la respiration du temps entre deux éclaircies
Comment être accablé
quand on est attablé
sous ces longs ombrages
un festin loin des outrages
où rien ne peut dessécher
nos délicats gosiers
sans rotin ni osier
vous osiez pourtant
d’un regards gourmand
jeter une oeillade
éviter la bousculade
sous l’aile d’un ange
nuages
et sfumato
se pose l’oiseau de mes amours
papillotes
aux nervures plaquées soie
le vent
soulève ses jupes
juste au dessus
du poplité
de la dérobade
Reposoir
Dans le jardin des ombres
sur le banc
viens te reposer
au pied de mon arbre
Hautes frondaisons qui entretiennent la fronde contre l »ardeur du soleil
pas de jalousies pourtant pour nous faire cligner de l’oeil
mais des branches qui balaient large et s’abaissent en mesure
confèrent au lieu la fraicheur de rigueur
et prolongent l’ombre propice
Il fait soleil brûlants
Et les feuilles leurs chaleurs
Abreuvent de fraîcheur
Le coeur se ralentit
Si doux apaisement
Il fait soleil brûlant
Et les feuilles leurs chaleurs
Abreuvent de fraîcheur
Le coeur se ralentit
Si doux apaisement
merci d’avoir corrigé ce s de trop!
belle journée.
Voûte lézardée
Couleurs d’été
Viendra le temps où en longs soupirs
Tu offriras au vent un squelette dépouillé
Puis Dame nature à la nouvelle année
Offrira une architecture
Couleurs d’été
Voûte lézardée.
Nervures sur l’éventail
Qu’un souffle délicat balance
Dans les voiles du feuillage
Fragile texture nature
L’intime confinement
Des vapeurs légères de l’air
Doux balancement
Sieste improvisée
Apaisement
Trois versions sont apparues hier (qui me semblaient ne pas avoir été enregistrées) avec quelques nuances dues à une mémoire infidèle, pardon pour cette surcharge.
___
Gouttelettes d’ombre
Dans le frisson du feuillage
L’aube de l’été
____
Bon week-end à tous
c’est joli la mémoire de l instant, Monique,
et trois instants, trois écrits, quelle chance on a , Monique…
Cheveux de l’ange
pailletés de lumière
résille des feuilles
« La valeur d’une image se mesure à l’étendue de son auréole imaginaire. »
(Gaston Bachelard)
Comme c’est joli, vos mots partagés!
DOUCE JOURNEE, beau week!
tendresses.
La CHALEUR était de mise
Et puis s’en est allée subitement
Chassée par le mauvais temps
Mais doucement,
Elle tente de regagner du terrain
Et bientôt, j’en suis sûre,
Nous rechercherons
L’ombre douce des ramures…
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeee
Rien
Nœud
Mât
Câble
L’achat
Leurre.
Abri
auvent
pare soleil
moucharabieh végétal
un voile feuillu
qui vole à notre secours
ombrage fraicheur
qui filtre et tamise
un vrai bonheur qui irise
dans une douce pénombre
Dentelles de soie en transparence
l’ombre propice
aux murmures argentés
d’un toi et moi
d’espérance
Salut les Amies et Amis
Arlette
Heure propice
Légèreté de l’air
Sérénité
Il y a dans cette image des vibrations intimes, l’ombre d’abord, la lumière tamisée, la chaleur enfin, une aura bien particulière. Merci aspe de nous donner cette belle citation de Bachelard oh combien vraie, Ossiane ne dira pas le contraire qui voit naître à partir de ses images évocatrices l’imaginaire de chacun souvent pour des raisons profondes très éloignées les unes des autres, le mot image chez Bachelard revient très souvent qu’elle soit réelle ou simplement poétique mais de toute façon la traduction des émotions intérieures véritablement ressenties à partir d’images ou vers celles qu’elles suscitent est toujours instigatrice des plus jolis mots.
____
Baldaquin du rêve
Dans le secret des ramures
Un coin de chaleur
____
Eh bien j’aimerais aller m’asseoir sous la ramée, rêver dans la douceur de ce doux printemps, entrevoir un moment de répit et laisser vagabonder les idées, les voir s’épandre sur l’ombre et sur la feuille du carnet se métamorphoser en quelques jolis mots dans cette atmosphère sereine et reposante.
un rideau de percale
la lumière tamisée
l’herbe frémissante
à l’ombre je me pose
Pas de termes
pour les thermes
éviter de brutaliser le derme
évider les volumes
et protéger la surface
il n’y a pas de leurre
mais pour éviter
d’être percé à jour
il faut ménager
l’armée des ombres
ne pas être bercé
de trop d’illusions
les claies hématites
sont des pendentifs glorieux
qui tombent le jour
et l’abaissent assez
laissez moi entrevoir
Cette âme maintenant
Laissez moi entrevoir
Ce rêve en menant
Le poème sur les rives
De l’émerveillement
Laissez-moi entrevoir
Ce qui tombe des nuages
Je serais l’enfant sage
Par les chemins menant
Au village
Laissez-moi entrevoir
L’enfant apprenant
Ses mots sont mon langage
Et son sourire mon nom
Laissez-moi.
lâche leur la grappe
ce n’est pas le soleil qu’on attrape
mais d’un coup il en met un rayon
ce n’est pas le fourre tout
mais le palefrois , sans être pâle ni froid
qui nous emporte loin
les longs cheveux en guise de crinière
pour ne pas être cible ni criblé
de tâches de son
Châle qui n’en peut mais
fleurs qui embaumaient
ce n’était pas la pommeraie
mais il ne s’en laissait compter
on avait pu dauber et bader
il restait à gambader
en ton nom sans fin
cette chaleur de vers luisants
à peine entrevus
La chaleur s’appesantit
et fait baisser l’ombre
les raies se conjuguent
et les rais dansent la gigue
les claustras atténuent
tandis que les décors
patiemment se dorent
le dehors est irradié
mais dans le donjon
les don-juan s’effraient
un rideau entrouvert
met du jaune sur le vert
il y a de l’aplomb
dans cette verticale
et tandis que vient le plomb
qui coule en creuset
on se roule en boule
bien protégé
Dans les bras de Morphée savoir s’ombrer
sans morfler pour cause de rougeurs
mais l’heure de la sieste est venue
on va clore un instant le portail
et partir en douce sans éventail
pour d’autres oniriques contrées
qu’aucune mégère ne vienne déranger
ce qui n’est pas le repos du guerrier
mais juste le bercement des alizés
qui fera dans le branches tinter
un souffle doux et si léger
Installée à l’ombre
Le souffle du vent
Joue dans le feuillage
Des pastilles de soleil
Miroitent à loisir.
Frémissement…
La chaleur s’abat
et je m’ébats
ça ne fait pas débat
la sueur perle à grosses gouttes
et pourtant je n’écoute
que ce qui va tambouriner
bientôt sur les volets
j’appelle du plus loin
une source vitaliste
qui clora le cloaque
car c’est dit j’en ai ma claque
trop lourd à porter
Pubescence , déhiscence, obéissance
Pudibond mais sous ce vocable on peut se mettre à poil
Dentelles de Lumière
Qui désespèrent les Peintres
Instants délicats
Douce aubade
Robe légère
En dérobade
La peine ombre
La fraîcheur belle invite
Si douce tentation
Légèreté des ondes
Le chapeau se repose
Assis sur une racine
La robe de cet été
Vaporeuse s’allonge
comme cette image est raffraîchissante, elle offre ses tendresses sa pénombre si belle, le petit coeur se palpite des petites ondes douces…
Les arbres ont quitté leur nudité et s’habillent avec grâce par petits coups de pinceau en touches légères.
___
Parure estivale
Au soleil du printemps
Ombres diaprées
La robe gracieuse
De guipures en fil de soie
Brodée de points d’ombre*
* points d’ombre en broderie est un point arrière croisé où le fil sur le tissu très fin laisse une ombre en transparence.
____
Belle et douce image sous les chaudes caresses du soleil.
Les arbres abandonnent leur nudité pour se vêtir avec grâce de petits coups de pinceau en touches légères.
____
Tenue estivale
Sous le soleil du printemps
L’ombre diaprée
Robe gracieuse
De guipures en fil de soie
Brodée de points d’ombre*
___
*point d’ombre en broderie est un point arrière qui laisse l’ombre du fil en transparence sur un tissus fin.
Belle et douce image sous les caresses chaudes du soleil. Bel effet de transparence.
?
Les arbres abandonnent leur nudité pour se vêtir de jeunes et tendres feuilles qui laissent passer la chaleur plus ou moins timide du printemps
____
Tenue estivale
Sous le soleil du printemps
L’ombre diaprée
Robe gracieuse
De guipure en fil de soie
Brodée de point d’ombre*
____
*un point d’ombre en broderie est un point arrière qui laisse voir le fil au travers du tissus.
Belle et douce image sous la caresse chaude du soleil. Superbe effet de transparence.
L’ombre légère d’un feuillage à teinte douce
ombre tissée de gris et de lumière pâle
pour les heures qui s’enfuient
la respiration du temps entre deux éclaircies
Comment être accablé
quand on est attablé
sous ces longs ombrages
un festin loin des outrages
où rien ne peut dessécher
nos délicats gosiers
sans rotin ni osier
vous osiez pourtant
d’un regards gourmand
jeter une oeillade
éviter la bousculade
sous l’aile d’un ange
nuages
et sfumato
se pose l’oiseau de mes amours
papillotes
aux nervures plaquées soie
le vent
soulève ses jupes
juste au dessus
du poplité
de la dérobade
Reposoir
Dans le jardin des ombres
sur le banc
viens te reposer
au pied de mon arbre
Hautes frondaisons qui entretiennent la fronde contre l »ardeur du soleil
pas de jalousies pourtant pour nous faire cligner de l’oeil
mais des branches qui balaient large et s’abaissent en mesure
confèrent au lieu la fraicheur de rigueur
et prolongent l’ombre propice
Il fait soleil brûlants
Et les feuilles leurs chaleurs
Abreuvent de fraîcheur
Le coeur se ralentit
Si doux apaisement
Il fait soleil brûlant
Et les feuilles leurs chaleurs
Abreuvent de fraîcheur
Le coeur se ralentit
Si doux apaisement
merci d’avoir corrigé ce s de trop!
belle journée.
Voûte lézardée
Couleurs d’été
Viendra le temps où en longs soupirs
Tu offriras au vent un squelette dépouillé
Puis Dame nature à la nouvelle année
Offrira une architecture
Couleurs d’été
Voûte lézardée.
Nervures sur l’éventail
Qu’un souffle délicat balance
Dans les voiles du feuillage
Fragile texture nature
L’intime confinement
Des vapeurs légères de l’air
Doux balancement
Sieste improvisée
Apaisement
Trois versions sont apparues hier (qui me semblaient ne pas avoir été enregistrées) avec quelques nuances dues à une mémoire infidèle, pardon pour cette surcharge.
___
Gouttelettes d’ombre
Dans le frisson du feuillage
L’aube de l’été
____
Bon week-end à tous
c’est joli la mémoire de l instant, Monique,
et trois instants, trois écrits, quelle chance on a , Monique…
Cheveux de l’ange
pailletés de lumière
résille des feuilles
« La valeur d’une image se mesure à l’étendue de son auréole imaginaire. »
(Gaston Bachelard)
Comme c’est joli, vos mots partagés!
DOUCE JOURNEE, beau week!
tendresses.
La CHALEUR était de mise
Et puis s’en est allée subitement
Chassée par le mauvais temps
Mais doucement,
Elle tente de regagner du terrain
Et bientôt, j’en suis sûre,
Nous rechercherons
L’ombre douce des ramures…
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeee
Rien
Nœud
Mât
Câble
L’achat
Leurre.
Abri
auvent
pare soleil
moucharabieh végétal
un voile feuillu
qui vole à notre secours
ombrage fraicheur
qui filtre et tamise
un vrai bonheur qui irise
dans une douce pénombre
Dentelles de soie en transparence
l’ombre propice
aux murmures argentés
d’un toi et moi
d’espérance
Salut les Amies et Amis
Arlette
Heure propice
Légèreté de l’air
Sérénité
Il y a dans cette image des vibrations intimes, l’ombre d’abord, la lumière tamisée, la chaleur enfin, une aura bien particulière. Merci aspe de nous donner cette belle citation de Bachelard oh combien vraie, Ossiane ne dira pas le contraire qui voit naître à partir de ses images évocatrices l’imaginaire de chacun souvent pour des raisons profondes très éloignées les unes des autres, le mot image chez Bachelard revient très souvent qu’elle soit réelle ou simplement poétique mais de toute façon la traduction des émotions intérieures véritablement ressenties à partir d’images ou vers celles qu’elles suscitent est toujours instigatrice des plus jolis mots.
____
Baldaquin du rêve
Dans le secret des ramures
Un coin de chaleur
____
Eh bien j’aimerais aller m’asseoir sous la ramée, rêver dans la douceur de ce doux printemps, entrevoir un moment de répit et laisser vagabonder les idées, les voir s’épandre sur l’ombre et sur la feuille du carnet se métamorphoser en quelques jolis mots dans cette atmosphère sereine et reposante.
un rideau de percale
la lumière tamisée
l’herbe frémissante
à l’ombre je me pose
Pas de termes
pour les thermes
éviter de brutaliser le derme
évider les volumes
et protéger la surface
il n’y a pas de leurre
mais pour éviter
d’être percé à jour
il faut ménager
l’armée des ombres
ne pas être bercé
de trop d’illusions
les claies hématites
sont des pendentifs glorieux
qui tombent le jour
et l’abaissent assez
laissez moi entrevoir
Cette âme maintenant
Laissez moi entrevoir
Ce rêve en menant
Le poème sur les rives
De l’émerveillement
Laissez-moi entrevoir
Ce qui tombe des nuages
Je serais l’enfant sage
Par les chemins menant
Au village
Laissez-moi entrevoir
L’enfant apprenant
Ses mots sont mon langage
Et son sourire mon nom
Laissez-moi.
lâche leur la grappe
ce n’est pas le soleil qu’on attrape
mais d’un coup il en met un rayon
ce n’est pas le fourre tout
mais le palefrois , sans être pâle ni froid
qui nous emporte loin
les longs cheveux en guise de crinière
pour ne pas être cible ni criblé
de tâches de son
Châle qui n’en peut mais
fleurs qui embaumaient
ce n’était pas la pommeraie
mais il ne s’en laissait compter
on avait pu dauber et bader
il restait à gambader
en ton nom sans fin
cette chaleur de vers luisants
à peine entrevus
La chaleur s’appesantit
et fait baisser l’ombre
les raies se conjuguent
et les rais dansent la gigue
les claustras atténuent
tandis que les décors
patiemment se dorent
le dehors est irradié
mais dans le donjon
les don-juan s’effraient
un rideau entrouvert
met du jaune sur le vert
il y a de l’aplomb
dans cette verticale
et tandis que vient le plomb
qui coule en creuset
on se roule en boule
bien protégé
Dans les bras de Morphée savoir s’ombrer
sans morfler pour cause de rougeurs
mais l’heure de la sieste est venue
on va clore un instant le portail
et partir en douce sans éventail
pour d’autres oniriques contrées
qu’aucune mégère ne vienne déranger
ce qui n’est pas le repos du guerrier
mais juste le bercement des alizés
qui fera dans le branches tinter
un souffle doux et si léger
Installée à l’ombre
Le souffle du vent
Joue dans le feuillage
Des pastilles de soleil
Miroitent à loisir.
Frémissement…
La chaleur s’abat
et je m’ébats
ça ne fait pas débat
la sueur perle à grosses gouttes
et pourtant je n’écoute
que ce qui va tambouriner
bientôt sur les volets
j’appelle du plus loin
une source vitaliste
qui clora le cloaque
car c’est dit j’en ai ma claque
trop lourd à porter
Pubescence , déhiscence, obéissance
Pudibond mais sous ce vocable on peut se mettre à poil
Ouvert pour montrer vigueur et beauté
Pas soumis mais comptable d’une discipline