île

Ile

Ile

Ile

ombre fantôme, l'intensité d'un éclat, le diamant noir

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

ombre fantôme
l’intensité d’un éclat

le diamant noir

42 réflexions sur « île »

  1. Nuages imposant
    En ombres croissant

    Les echos de lumiere
    Transparence nocturne

    Juste en lettre en serrement

  2. Ossiane une fois, deux bises
    De passage pour ecouter votre image
    De la journee

    Bhelant qui vs enverra son addresse de site bientot

  3. Je suis ton île
    Je le sais
    Tu le sais
    Sur ton radeau d’hiver
    L’horizon est lumière
    Le silence voile notre amour
    La mer nous noie.

  4. Un pas en avant
    Trois pas en arrière

    L’intensité
    D’une rencontre

    A petit pas
    Prendre son temps

    De peur de se perdre
    Avant de s’être trouvés

    Si tu as une minute
    Jeune prince

    Attends-moi
    Sur cette île

    Qui n’appartient qu’à nous
    Qui ne brille que pour nos yeux

    Je suis lasse d’attendre
    Tu brules d’impatience

    Juste se l’avouer
    Juste l’accepter

    Si tu as deux minutes
    Jeune prince

    Rejoins-moi
    En notre île fantôme

    Ce sera peut être la fin de tout
    Ce sera peut être le début de rien

    Qu’importe

    Nous serons heureux
    Quelques minutes au moins

    Plaisir d’être ensemble
    Au mépris des ordres de la déesse noire

    Si tu as trois minutes
    Jeune prince

    Traverse les déserts torrides
    Navigue sur les océans déchainés

    Hâte toi, ne me laisse pas
    Fuir une fois encore

  5. « La miniature est un des gîtes de la grandeur…..La miniature est un exercice de fraîcheur métaphysique ; elle permet de mondifier à petits risques. Et que repos dans un tel exercice de monde dominé ! La miniature repose sans jamais endormir. L’imagination y est vigilante et heureuse » Gaston Bachelard
    ________

    Nous ferons de cette île endormie un paradis.
    Pour se faire nous nous inventerons lilliputiens
    Avec pour bagages une petite graine
    Afin d’y planter l’arbre de Vie
    Nous regarderons passer les nuages
    Nous nous baignerons dans leur ombre douce.
    La mer tout autour comme un tapis d’étoiles d’argent,
    Le ciel comme un duvet cotonneux sur un drap bleu
    Nous envelopperont dans le farfelu de nos rêves.
    ______

  6. Vanille

    Sur le vaste océan qui roule ses flots bleus
    Dont le regard profond reflète l’or des cieux
    Imaginez une île comme une goutte d’huile
    Aux senteurs de vanille étalée sur la peau

    Le vent secoue les palmes et fait danser les flots
    Les pirogues flottant regagnent les îlots
    Une plage de sable blanc suit la courbe des anses
    Où le vent et la mer initient les romances

    Des filles alanguies font des colliers de fleurs
    Pour adoucir les peines et calmer les ardeurs
    Des longs baisers mouillés et du sel sur la peau
    Elles ont oint leur corps d’huile et portent un chapeau

    ALain

  7. Lorsque sa voix vagabonde en mon cœur écorché
    Je voudrais simplement aller la rechercher
    Mon île aux yeux d’automne
    Sur mon radeau d’hiver
    Et je rejoins la cime,les nuages, lentement,
    Suivent le vent qui passe
    Vers la forêt lointaine,
    Où le songe mêle le ciel à la mer,
    Le sable des dunes à la lave en son bruissement de feu.

    Lorsque sa voix vagabonde en mon cœur écorché
    Je l’entends répéter
    « Je suis ton île
    Je le sais, tu le sais
    Sur ton radeau d’hiver
    Le silence voile notre amour
    Et je voudrais simplement la toucher.

  8. L’île

    Cette île dont les marins ont chanté les rivages
    Qui apparaît au loin un peu comme un mirage
    Qui reçoit les embruns que la vie égratigne
    A l’aspect d’une femme dont la main suit les lignes

    Une île au corps de femme parcourue de frissons
    Que tous les hommes à bord décrivent à leur façon
    Un havre de douceur au milieu des sanglots
    Qui ranime les cœurs des hardis matelots

    Qui donne la banane et la noix de coco
    Au milieu des eaux bleues entourée de coraux
    Qui gardent les nageoires des poissons tropicaux

    Comme danse la lumière au-travers les vitraux
    Une charmant idole aux lèvres de sables fins
    Qui vous prend dans ses rets d’un long baiser sans fin

    Alain

  9. J’habite un vrai récif
    le poème d’une île

    Ils se croient échoués
    haïs des mers lointaines
    en quête d’amours brèves et de pierres en feu

    Eux parlent en mémoire
    tissées couleurs de miel
    et de brûlures fières
    de mots rongés du sel
    et des regards furieux

    Leur ville est un cyclone
    où les vents les déchaînent

    Les déluges extirpent
    les fièvres qui les narguent

    Il pleut tant de soleils
    sous l’arbre flamboyant
    tant de bleus émouvants
    à la lune trop pleine

    Il leur faut des montagnes
    et volcans sans sommeils

    Ils parcourent les rues
    les pieds nus
    dans leurs rêves
    envahis de forêts mouillées de brumes tièdes

    Le chant lui n’a de cesse
    à froisser dans leur coeur
    le caïambre des vagues

    Ils plongent dans leurs yeux
    où le monde naufrage

    mais s’éprennent alors
    de formes incroyables

    de peuples des cités
    érigées de corail

    Leur vie se multiplie
    et fuit et se rassemble

    poursuit l’écume simple
    poissons de l’arc-en-ciel

    Ils habitent l’endroit
    qui les blesse toujours

    du besoin de partir
    et se savent vendus

    pour des pièces d’ailleurs

    d’où l’on ne revient plus

  10. Perdue au milieu d’un vaste champ de sable d’argent,
    Les îles noires faites d’algues ou de quelque roche sombre
    Restent d’Intrigantes présences fantomatiques
    Où flotte le mystère de la source énigmatique de nos élucubrations.

    Au rendez-vous des monstres marins et d’étranges créatures,
    Dans les eaux ténébreuses et menaçantes de l’océan,
    Sur le triangle du diable, dans l’ombre grise des nuages,
    Somnolent indolentes, les énergies inconscientes dévastatrices.

    L’imaginaire qui vogue dans ces eaux,
    Sur les récifs troublants d’une hypothétique nappe de mercure
    Trouve là, de quoi symboliser, alimenter cette matière première,
    Symbole chinois d’un élixir d’immortalité.

    Mais prenons garde, car dans cette douce brillance argentée
    Pourraient bien s’abriter sous ces masses rocheuses,
    Aux abords des côtes, les plus belles mélusines de l’océan
    Aux pouvoirs de diablesses et d’ensorceleuses.


  11. Garder la tête hors.
    Hors de l’eau.
    Hors de tout.

    Un petit bout de roc.

    Aride mais îlot.

    Malgré tout.

    C’est pas rien…

  12. Pauvre petit rocher perdu au milieu de l’océan avec pour seul ami un petit caillou qui lui ressemble, comme la mer est grande pour lui si petit !
    ______

    Seule et inconnue
    Sous l’épais nuage d’ombre
    Une île sans nom

    Comme s’en vont dans les foules
    Incognito tous les êtres.
    ______

    Jusqu’au moment où la grande marée sous la vague déferlante emportera dans l’oubli toute trace de vie.

  13. .

    Bonsoir, merci à tous d’être là en grande beauté et sensibilité! Des noms que je connais bien et qui reviennent écrire, merci… et je passe en coup de vent mais n’oublie pas de vous lire quand je fais la pause café ou thé. Désolée, je n’ai pas le temps de vous commenter davantage. Il y aura des jours meilleurs, j’espère.
    Merci jean-marie pour cette nouvelle belle chanson, tu sembles avoir beaucoup composé;-)
    Bienvenue à Nasser, jorge, gavy, jules, AJ que je remercie et invite à nous rejoindre;-)
    Bonne fin de soirée, je vous embrasse.

    Ossiane
    .

  14. Bonsoir Ossiane et merci pour ton petit clin d’oeil du soir, tu sembles débordée, vivement que tu puisses nous revenir un peu plus zen, on se sent parfois un peu orphelins;-)je t’embrasse.

  15. Ma fleur de laurier rose
    Tu es mon île belle
    Et toi ma fleur de géranium tout mauve
    Celle qui me vit la table de jardin
    Et toi ma jolie tendre rose
    Tu m’émerveilles émois
    Comme ces fleurs de chrysanthèmes
    Qui s’ouvrent leurs coeurs
    Si doux babils
    Mes îles de moi
    Je vous serre fort
    On se flotte doucement nos corps
    Au dessus de la lame de fond de terre
    Et le courant nous emporte
    Nous embrasser le vent

  16. Point d’ancrage au loin
    Diamant d’espoir qui illumine mon imensité
    de Toi
    Heureuse de te retrouver Ossiane , douces pensées d’absences
    Bonjour aux amis
    AA

  17. « When you, when you forget your name
    When old faces all look the same
    Meet me in the morning when you wake up
    Meet me in the morning then you’ll wake up
    If only I don’t bend and break
    I’ll meet you on the other side
    I’ll meet you in the light
    If only I don’t suffocate
    I’ll meet you in the morning when you wake

    Lovesick bitter and hardened heart
    Aching waiting for night waiting for life to start
    Meet me in the morning when you wake up
    Meet me in the morning then you’ll wake up

    If only I don’t bend and break
    I’ll meet you on the other side
    I’ll meet you in the light
    If only I don’t suffocate
    I’ll meet you in the morning when you wake

    If only I don’t bend and break
    I’ll meet you on the other side
    I’ll meet you in the light
    If only I don’t suffocate
    I’ll meet you in the morning when you wake

    I’ll meet you on the other side
    I’ll meet you in the light
    If only I don’t suffocate
    I’ll meet you in the morning when you wake  »
    Keane – Bend and break

    http://www.youtube.com/watch?v=cdJvEDaLXfc

  18. Elle l »aime
    Bel amour
    Et sans cette illusion
    D’un rêve inachevé
    Tu es toi et c’est bien
    Son île la porte
    En cet infini qui la guide
    Et son chuchotis lui murmure
    A son tympan de lui
    La caresse si douce
    Si belle douce de eux deux

  19. Un pont
    Mon amour
    Et tout au bout
    Notre île
    Rien que pour nous
    Ensemble
    Pour le meilleur pour nous

    Bises, Ossiane, c’est si vrai que quand tu es moins là, mes mots sont moins présents, et pourtant tu est Là, et c’est bien l’essentiel que ta présence tout Là. Bises ossiane, et à chacun!

  20. La planète en cet endroit est un immense bijou d’argent
    Merveilleux alliage, de l’eau, du ciel et des nuages
    Reflétant les couleurs d’un métal impalpable
    Œuvre unique dans ses éclats éphémères.

    Une petite perle noire incrustée dans cet ensemble,
    Pointe décorative venant ravir le regard sur cette création
    Du maître d’œuvre, pure émanation de la nature
    Mystérieuse combinaison du plus bel hasard.

    Est-elle une île de beauté, ou simple île éphémère
    Sortie des eaux le temps d’un éclair venu du ciel,
    Un diamant noir offert aux sirènes d’un jour,
    Une île fantôme dans l’Océan d’un monde imaginaire ?

  21. Est-elle une île de beauté ou simple île « égarée » pour soustraire une petite répétition du mot éphémère à corriger si possible. merci

  22. Bonjour Annick je viens de te lire et savoure tous ces mots imprégnés d’amour qui jalonnent tes écrits. Des petits rayons de soleil qui viennent éclaircir la grisaille terne d’un ciel tout bas chargé de pluie donnant à la nature un aspect terne et sans reflets qui nécessite d’aller chercher la lumière au fond de son cœur pour ne pas sombrer dans la morosité.

  23. Coucou Monique,
    bises à chacun’e’,
    je suis sur mon île bonheur tel, qui me ressemble, alors cela va,
    et si le partager peut aimer plus et plus encore, cela me va tant de moi!

    bises!

  24. Un avant goût de l’hiver, dans les chaumières avec le bruit de la pluie et le souffle du vent, il y a là quelque chose de doux à se sentir au chaud, il y a là les premières craintes du froid….
    _____

    Seule avec le fantôme noir
    Douces pensées, intimes paroles
    A peine quelques mots qui s’envolent
    Dans le grand ciel nu du soir

    Les yeux clos, entendre le silence
    Comme une réponse à ton absence,
    Sentir l’énergie d’une puissance
    Envahir l’espace de ta présence.
    ___

    Une petite phrase de Marguerite Yourcenar pour donner le ton en ce soir d’automne
    « C’était je m’en souviens, un de ces jours mêlés de soleil et de pluie qui changent facilement d’expression, comme un visage humain. Il semble qu’il s’efforçât de faire beau et que je m’efforçasse d’être heureux…. j’étais heureux avec timidité. »

  25. Bonsoir !

    Ca me rappelle ton île
    « Sanguinaire »
    Qui elle-même me rappelait
    « l’Ile Noire »
    A moins que tu nous réserves
    Une autre destination
    Pleine de surprises,
    De suspens,
    Ou d’émotions !

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeee

    PS / j’comprends pas très bien ou veut en venir Monsieur « Bloguer ou ne pas Bloguer ???!?!??!! »

    P’être qu’il est trop tard pour réfléchir !

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