Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, haut
Jardin de provence
au détour d’un cabanon
le refuge d’iris
◊ Une nouvelle lecture de Nath, un poème écrit sur une note précédente intitulé « Dard maux nie ». Cliquez ici pour lire son poème en même temps.
Quel bonheur! Merci pour ces photos
Iris de van gogh
cabanon du bon vivre
soi translucide
Surprise du soir !
Eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Peinture d’iris,
Bleuté, irisé,
Doucement aquarellé
Petit morceau de Provence
D’un jardin ensoleillé
Qui ressemble aux Vacances
Biseeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
Un petit cabanon pour des grands moments de joies partagées
rendez vous amoureux ou repas de copains, émotion enlacée
Iris, coeurs de vie, violette comme l’encre
nervures comme veines du coeur
incandescence et transparence
BONHEUR!
Un cabanon caché sous un grand cèdre du Liban
Par un dimanche de printemps, iris éclos
Les lilas embaument l’air
Tout devient possible
Je pourrai l’aimer, il serait amoureux!
Ca démarre très fort les filles;-)
Coucou, Ossiane!
Quelle joie de découvrir le petit cabanon provençal et tes jolis iris violets, si fragiles et délicats!
Floraison d’iris
Tapie dans un cabanon
Provence en beauté
Quelqu’un connaît-il ma cachette ?
C’est un lieu calme, où le ciel clair
En un jour de printemps rachète
Le mal qu’ont fait six mois d’hiver.
Il y coule des eaux charmantes ;
L’iris y naît dans les roseaux ;
Et le murmure des amantes
S’y mêle au babil des oiseaux.
Victor Hugo
Duo de tons chaleureux, Ossiane . Merci
Les Iris
Sur les pointes d’acier qui vers l’azur s’élancent
Ainsi qu’une forêt, de glaives et de lances
Sur le poitrail de fer des hommes en armures
Comme des traces de rouille figurent des tâches de sang
La troupe des hommes à pieds entoure la citadelle
Ils sont venus en masse pour chasser l’infidèle
A l’aide de grappins de tours et d’échelles
Les flèches du soleil font reluire les cuirasses
Au camp de tentes de toiles où flottent les bannières
On échange des sourires avec les cantinières
Au milieu des gens d’armes claquent les oriflammes
Dont la flamme flotte au vent comme flotte un cimier
Ainsi sortent les iris comme une armée de l’ombre
Pour donner aux vieilles pierres des tâches de couleurs
Alain
PS : merci Annick
biz
c’est joli, comme c’est joli, j’aime!
Jardin de provence pour souvenirs d’enfance
entre rabicoin et cagibi un adorable cabanon
entre romaines et frise, jarre à huile de poids
tous ces cris du passé pésent, à peine apaisé
Lyrisme de l’iris qui nous enflamme l’oeil
surtout en parterre ces grappes serrées
et ces violets si vifs qui m’ont affolé
ils aiment l’eau et batifolent ensemble
la lumière est en amour
avec un prince,
de très nombreuse lignée,
mais si noblement paré –
et elle détaille les crevés,
exalte la délicatesse charnue
de la matière,
et la sublime de transparences
au petit matin
seule son regard s’égare
goûte son parfum
Iris, à son brillant mouchoir
Iris, à son brillant mouchoir,
De sept feux illumine
La molle averse qui chemine,
Harmonieuse à choir.
Ah, sur les roses de l’été,
Sois la mouvante robe,
Molle averse, qui me dérobe
Leur aride beauté.
Et vous, dont le rire joyeux
M’a caché tant d’alarmes,
Puissé-je voir enfin des larmes
Monter jusqu’à vos yeux.
Paul- jean Toulet
Mon cabanon de moi
Tu me vis mes envies
Juste en suffisance
Au milieu de ces fleurs
Un arbre au fort gros tronc
Des oiseaux qui se volent
Un bout de ciel en vitres
Un lit de l’amour dedans
Des bancs une table de bois
Et tes vieux murs de pierres
Mon cabanon ma vie
C’est joli un iris
Une pointe qui s’ouvre
Des pétales délicats
Avec des grandes feuilles
Sa beauté éphémère
Se prend dans un grand souffle
Le regard se pose là
Et ne le quitte pas
Dans le vase il est droit
Offre sa belle couleur
Iris je te respire
Tu es un bel jardin
Rare de son bel précieux
Le mien dans mon jardin
Ne semble pas pousser
Ses feuilles semblent fgées
C’est caprice un iris
Il doit avoir l’envie
L’envie folle d’aimer
Pour s’éclore son jour
Alors je le regarde
Chaque jour davantage
Et peut être qu’un jour
Son baiser de l’amour
Envie d’habiter là,
Pour un temps, pour la vie,
Court instant d’un amour,
Ou bien lenteur d’un jour…
Voir la lumière tourner
Sur les fleurs plantées
Par soi, par qui, qu’importe!
Admirer et aimer,
Puis aller se coucher,
Fermer les yeux, rêver
En un demi sommeil
Les éclats de lumière
Les pourpres et les verts…
.
Avis à vous les amis!
Je vous signale sous mon haïku, une nouvelle belle lecture audio de Nath qui scande ses mots avec la touchante sensibilité qu’on lui connait. Merci pour ton beau cadeau, Nath! Je renouvelle mes appels à ceux qui auraient envie de tenter l’aventure.
Bises de la nuit
Ossiane
.
À vendre ou à louer la petite maison?
C’est adorable pour y vivre, moi et mon amour.
Entourée de fleurs, un jardin magique.
Comme le dit Annemarie :
Admirer et aimer
Bras en couronne
dans le vent
serais tu ballerine
ramassant la lumière
dans les pans de
ta robe de soie claire
l’émotion de l’iris
se lit
dans le regard
et les sens envahis
s’exaspèrent
coulant
en rosée
sur tes pétales
« Dans la culture Orientale, le passage du Rouge au Violet symbolise le passage de l’actif au passif, du yang au yin. Cette couleur est aussi censée stimuler les glandes sexuelles de la femme. »
Yoni soit qui mâle Y pense!
Iris c’est nervuré, découpé, enlacé
quand en plus le violet profond
vient battre notre coeur comme les volets
c’est toute la lumière qu’il y fait entrer
aux tiges balancelles qui oscillent
répond l’ocelle qui just un peu vacille
une composition de choix qui nous échoie
merveille des merveilles, qui le surveille
qui penche amoureusement quand s’épanche
en lignes et traits sans retrait son portrait
auréolé d’une brillance transparence
quel contraste avec son coeur plus sombre
et pourtant c’est là qu’on y dénombre
entre arceau, anse et coupelle
la grâce folle d’une hirondelle
Iris, Isis je les préfére sur pied
dans le vent de la vallée
ils me fascinent depuis toujours
en faisceaux serrés qui se confortent
ils ouvrent à la beauté une nouvelle porte
Irisation… iripassion… irradiance frisson
fusiforme, en cornet…mais d’abondance…en un rebond qui danse
déployé souplement… vibrant du moindre souffle…vivant du moindre regard
fragilité absolue… durabilité limitée…symbole d’ouverture…membrane diaphane…instantané diaphragme…gauffré…poudré…lamellé…effusion inévitable…corné et écorné…déchiré…débité…
L’Iris
Goutte à goutte comme un pinceau répand son encre
de l’or au fond des yeux, du noir au bord des cils
de l’eau dans le regard comme un peu de clarté
On revoit les iris qui se rouvrent à la vie
Alain
(celui de l’Oeil ouvert par exemple)
Ossiane, je me délecte de la grâce et la beauté de l’iris !
Bon WE
Le regard voyage
au bord des couleurs
vers la toile mouvante…
–
Petit passage éclair ,Ossiane , simplement pour te remercier
des mots que tu as laissés dernièrement…
Belle, belle suite à ton aventure 🙂
Pensées à Pierre b
Je t’embrasse …
Derrière les volets
Mon enfance embrumée
Iris parfumés
le sanctuaire d’Iris…
pour une nuit sans fin au charriot des étoiles
tous les deux suspendus sur les lèvres du temps
bercés par le murmure amoureux du printemps
la harpe de nos craintes à l’ivresse se voile
sur nos coeurs pivoines nos iris s’étoilent
à la sonate joie des frissons de l’instant
tango des chrysalides aux sourires haletants
sur nos souffles caresses à la flamme dévoilent
les baumes et onguents pour nos âmes rouillées
déversent bulles d’or leurs perles de rosée
de l’amphore d’Iris aux parfums des délices
contre vents et marées contrefort cicatrice
et nos corps enlacés dans l’écharpe d’Iris
de la Terre vers l’Olympe s’évanouissent
quand on aime la peinture et les iris, comment ne pas penser à Van Gogh…J’ai toujours eu un faible pour la profondeur et le velours des teintes de cette fleur, que tu rends si bien ici. Emma
Violette
Elle est toute fluette mais bien qu’elle soit minime
Dans le fond de son cœur dort une étoile infime
comme des musiciens qui créent l’ambiance il flotte
autour d’elle un parfum aussi léger qu’une note
Alain
Bonsoir du samedi soir !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Je vous offrirais bien
Quelques violettes
De Toulouse, évidemment !
Comment les préférez-vous ?
En pot, naturelles ou séchées ?
Sucrées, en petits bonbons cristallisés ?
En eau de violette ?
En liqueur ?
En parfum ?
En sirop ?
En miel ?
En encens ?
Ou en bouquet rond ?
Ossiane,
J’t’en envoie par retour du courrier !
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
http://marius.bernard.free.fr/violette1.jpg
PS / Suis pas sûre qu’on puisse faire les mêmes choses avec les IRIS, aussi violets soient-ils !
Sauf de belles photos, évidemment !
La maison elle a vécu sa vie
Et c’est son cabanon
Et son bout de coeur tellement
Les jours où quand il pleut
A regarder la pluie
Se couler sur les vitres
Dans la goutte qui la bulle
Et puis aussi de fort
Les jours de canicule
Dans l’ombre de son toit
Elle se vit ses émois
Ses pas marchent près des iris
Elle fait la ronde à l’arbre
Soudain elle s’arrêle
Se pile en serrant d’être
Puis s’envole là haut
Tendrement elle regarde ta peau sèche
Qui se craquèle si doucement
Pour laisser percevoir une petite goutte bleu
Qui s’allonge se déploie
L’iris nait
Tranquillement
Puis après son vécu
C’est à son tour
Dê se sécher fâner
Se vivre c’est pour un temps
C’est déjà tellement
Messagère ailée
Ô déesse de l’arc-en-ciel
De Zeus et d’Héra.
Ô fille de Titan
IRIS parée de dorure
Traversant le ciel.
Explorant la Terre
Voyageant dans les abysses
Et les profondeurs.
Conçu en ton sein
Que l’Amour naisse du zéphyr
Entre ciel et Terre.
Que l’enfant fleurisse
Qu’il essaime bleu irisé
En terre de Provence.
Que pluie reluise au soleil
Que l’oiseau cueille la brindille
Que le pin foisonne d’aiguilles
Que les parfums et arômes
De la lavande et des roses
Enivrent les jours paresseux
L’iris empourpré
Délicat, dansant
L’iris sous la rosée
Amoureux d’un sapin
Son Amour, son refuge
Près du cabanon.
Petit Rondeau
Pour notre lune de miel
j’ai loué une maison
tranquille, petite, jolie
Son beau jardin sent bon
Le pin lui donne de l’ombre
Le soleil fait sa chauffage
Les étoiles ornent la nuit
C’est très belle le paysage
Facile de découvrir
Au beau pays de Provence
Toute parée en violette
Ça fait la difference
Je pense de l’acheter
Et y vivre pour toujours
Moi et toi, cachés du monde,
Moi et toi et notre amour.
http://www.youtube.com/watch?v=DTxMxMkt4uI
Au jardin d’Adonis m’a donné rendez vous Iris
ainsi pas besoin de consulter une pythonisse
me voila en galante et charmeuse compagnie
c’est écrin douillet et soyeux que celui ci
qu’importe si l’on s’absorbe dans la contemplation
ce temple de l’amour est encore favorable à l’action
des hautes tiges surprennent des rires amoureux
du genre de ceux qu’on n’a seulement à deux
pas sanctuaire pour autant ouverture des champs
la rocaille et encore des lierres grimpants
viennent habiller les alentours d’atours choisis
la canal est tôt inondée de lumière épaissie
ainsi de toit à toi c’est toujours plus d’émoi
dans ce havre serein on peut imaginer demain
Ce qu’on aime c’est sa promesse
ce qu’on retient c’est sa fragilité
qu’importe ce n’est pas une ogresse
Serait ce là le dernier endroit pour ton épanouissement
Ose iris, me dire que oui de ce ton alangui qui me ravi
quelle aubaine de t’avoir trouvé dans un éblouissement
Un bouquet de violettes
toutes ensembles elles forment un bouquet simple et modeste
Comme quand aux cils de troubles larmes tremblent
Et comme les mots que le poète noue en silence
elles distillent un léger parfum d’eau de toilette.
Bisous Christine
Alain
Hello la compagnie sous le soleil retrouvé !
Un tout petit « rebond », pour Thierry :
EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
OSE…IRIS…
DANS…SON…CABANON…ATTEND…SES…INVITES…
http://www.webmousepublications.com/denile/den-artifacts/osiris-isis-nepths.jpg
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee
EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Merci Alain !
Biseeeeeeeeeeeees embaumées du matin !
C’est doux
Tout est calme et paisible
Et ta main dans la mienne
C’est de la joie si calme
Je serre fort un instant
Que roucoule mon âme
Puis tu me presses fort
Ta main dedans la mienne
Et mon coeur est émue
Si de tant de tellement
C’est tendre
merci pour cette jolie vidéo, Shamino, merci pour les mots de chacun.
le vent souffle fort ici,
alors ils envoient mes pensées aux quatre coins du monde, dans un souffle paisible.
C’est doux
Tout est calme et paisible
Et ta main dans la mienne
C’est de la joie si douce
Je serre fort un instant
Que roucoule mon âme
Puis tu me presses fort
Ta main dedans la mienne
Et mon coeur est ému
Si de tant de tellement
C’est tendre
et comme je me relis….
–
Un bouquet de
http://www.fond-ecran-image.com/galerie-membre,fleur-bouquet,bouquet-de-fleurs-jaunes.jpg
fleurs-brins-de-soleil
à toutes les Mamans
(poètes … ou pas…
mais qui ont un coeur
grand comme ça…)
dont c’est la fête aujourd’hui
… dans certains pays.
–
Coucou spécial Bourracheeeeeeeeee !
C’est vrai qu’aujourd’hui c’est la Fête des Mères
Et j’ai reçu ce matin un très joli bouquet
Envoyé par ma fille repartie avant-hier !
Il a trouvé naturellement sa place
Sur la table ronde du sallon
J’en ai fait des images
Pour le garder encore très longtemps
Même quand les fleurs seront fanées
Biseeeeeeeeeeeeeeeees à toi
Un petit hic : ton lien mène tout droit à… rien !
essaye de voir pourquoi !
Cœur de parme
Contours de lumière
Respirent en délicatesse
La beauté n’était pas en cornée
A la pupille de la passion
Le bouquet éclos de tes iris
–
Christineeeee :
Bizarre … (vous avez dit « bizarre ?)
… quand, sur mon lien, je clique
j’ai pas de hic !
J’vois un bouquet
Que si j’étais abeille
Mon nez j’y fourrerais
Pour en faire du miel.
Quelqu’un d’autre
Pourrait-il faire un essai ?
–
Hé … psssstttt …
Sur ma table, trône encore mon bouquet de la fête des Mamans (en Belgique, c’était le mois passé…).
Il a si joliment séchè … j’vais encore le garder…
–
Tiens … il pleut toujours chez moi
Côté positif : pas b’zoin d’arroser.
–
Jean … tes hommes en blanc … vont faire un détour par chez moi …
–
Nouvel essai :
Je vois un rectangle avec écrit dedans :
Fond
Ecran
Image.com
Les autres, vous voyez quoi ?
… circulez … y’a rien à voir …
(zut, alors !)
(faut quand même bien que je leur trouve un bouquet à ces super-Mamans…)
(quittez pas … je cherche …)
Je vois comme toi, Christineeee,
et je vous prie d’excuser mon manque de réactions, quand parfois en cliquant sur un lien, il ne s’affiche pas, je me dis qu’il y a eu mauvaise manoeuvre et que bon, c’est pas bien important,
mais c’est bien aussi de dire quand on ne peut avoir accès au lien proposé,
si souvent les liens sont de beaux moments, alors cela reste bon de le serrer.
oui j’suis heureuse aussi pour le jardin, il manquait d’eau, il a fait si chaud, mais il ne pleut déjà plus, et un bent qui fait un bruit terrible! ma tête je l’ai accrochée alors cela va tenir!
Rien que pour les iris , je devais mettre un mot de la terre vers le ciel…merci Ossiane
Par ici, quand la toto traverse La Brière, elle longe parfois des étangs avec des iris naturells, fort beaux, c’est ravissant, elle ralentit, apprécie, comme c’est beau, ils sont par petites tribus, au bord de l’eau, et chaque iris papote son ciel de vie, parfois , l’un brasse des gouttes, l’autre pousse un petit cri de joie, leurs vies s’écoulent fort doucement, et c’est à espérer que l’Homme ne se croit pas malin, de dévier le cours de l’eau, changer le cours de leur histoire d’iris, car la toto elle a cette envie forte de les croiser encore, leur chaque printemps, et de les cueillir l’invisible pour garnir les vases au plus profond de son oeil.
Je vous laisse, j’espère que tu vas trouver, Bourrache, je ne peux manquer ce RV de 16 H, mon fils m’attend pour un café, et c’est lui qui aura choisi le gâteau à m’offrir, cette année j’ai émis l’idée de juste une gourmandise de bouche, et un bon gâteau en palais, j’aime! j’ai des fleurs dans le jardin avec leurs racines et tout et tout…. SOURIRE!
Irriguées sont les iridés qui font plus que changer les idées
La longue descendance des glaïeuls, nous raméne aux aïeuls
Le crocus dirige nos regards, sans doute un effet du safran
L’iris s’immisce et étage ses corymbes, nous porte aux limbes
alors Bourrache, et ces fleurs!?!
sisi elles sont sur ma table, un gros pot de lys blanc…belle fin de journée.
Quelques roses
Des iris bleus
L’oeil se pose
Et n’en revient pas
De son délicieux voyage
Suspendu dans ses branches
Il navigue douceurs
Se serre intime d’être
http://www.youtube.com/watch?v=wxBO28j3vug
.
Chers tous, petite apparition de fin d’après-midi après un samedi obamanien et un dimanche électoral… le grand silence des routes fermées à la circulation pour laisser place à un ballet d’hélicoptères dans mon ciel…
>Jos, oui une lumière sublime et si particulière qui a attiré bon nombre de grands peintres. On la sent sur soi 😉 Merci pour tes beaux poèmes à bonheur !
>Christineeee, comme c’est bien croqué, j’achète l’aquarelle !
>Je dis Provence et Claudie se réveille en poésie énivrée;-) Merci pour ton beau sud et le poème de Paul- Jean Toulet que je découvre!
>mathilde, bien trouvé ce poème d’Hugo, je ne connaissais pas 😉 Merci beaucoup !
>alain, magnifique, une inspiration qui t’a emporté si loin de la réalité !! Bien aussi l’iris de l’œil 😉
>annick, ta plume se délie de nouveau, cabanon des songes heureux 😉 Bises, on dirait que ça mieux ! J’espère que partage gourmand était bien agréable.
>Hum hum, bonjour योनि 😉 Merci pour ton interprétation orientale 😉
>thierry, ta plume irradiée par les iris et les souvenirs… Merci !
>nath, moi aussi surtout quand la bonne lumière est là 😉
>Hé hé, hello Amie Alix, quelle surprise !!! Rien ne t’échappe de là où tu nous lis 😉 Plaisir de ton petit signe 😉 On a effectivement ton nom et des belles traces que tu as laissées dans notre imaginaire 😉 Toile mouvante pour toi aussi, j’espère que tout va bien de ton côté 😉 Je t’embrasse bien fort et belle aventure à toi aussi à pied ou à cheval 😉
>phil, superbe petit haîku tout plein émouvant 😉
>brigetoun, au plus près des lignes, de la réalité crue mais aussi des sensations ! merci beaucoup !
>beau petit haïku qui sent bon la plume suisse 😉 merci le sid !
>annemarie, ton poème est plein de langueur du sud, on te suit tous !!!
>Coucou neyde, je te vois bien vivre là mais c’est une simple cabane pour ranger les outils 😉
Mais on a le droit de rêver 😉 Merci pour ton beau poème !
>lou, splendide divagation poétique très chorégraphique, merci à toi !
>fred, chapeau bas, je m’incline, c’est magnifique ! Ce n’est pas souvent que tu fais de si grands poèmes. Les iris dans ton cœur. Près de cet endroit, il y a le Mont Olympe 😉
>Emma ou raphaëlle, j’ai bénéficié d’une très belle lumière si spécifique dans cette région. Merci pour ton enthousiasme !
>Hi Leila, on ne résiste pas à IRIS, n’est-ce pas 😉 Tu as embrassé ces images, tout y est !
>hum hum, bienvenue Shamino 😉 Superbes vidéos full of love !
>bourrache, ca y est c’est fait pour moi aussi 😉 Je vais mettre ta photo, juste un peu de patience 😉
>sophie, belle plume légère comme l’été 😉
> très fort, l’association des deux iris, jean 😉
>Toi aussi tu craques, bruno 😉 Une fleur complexe et mystérieuse qui illumine les jardins, merci d’être descendu de ton échelle, bises !
A découvrir le superbe poème de Neyde sur le sommaire du mois de mai
https://blog.ossiane.photo/2009/05/31/haiku-calligramme-mai-2009/#comments
Bonne soirée!
Ossiane
.
.
Et voici les tagètes de Bourrache !
http://www.ossiane.eu/images/tagetesbourrache.jpg
« Mes tagètes… à moi.
Par moi, semées, bichonnéés, retransplantées,
voilà ce qu’elles ont donné dans mes bacs de fenêtre,
il y a … trois ans.
Graines bio d’origine, plein de petites bestioles
ailées sont venues les visiter.
Ma ‘tite participation à votre fête
de Maman française. »
.
http://www.codercorner.com/ContesAmarante.htm
il est fort ce conte partagé, humhum,
oui la bêtise humaine….
Merveille si ô de bel
Que ses larges vertes feuilles
Qui se montent le ciel
Puis cette tige en épi
Qui grimpe plus haut encore
Et ce jour d’ouverture
Quand l »orchestre se sent prêt
Alors l’oeil peut assister
A ce joli spectacle
Qu’est la naissance d’une fleur
Et l’iris qui s’étire se donne
Prend tout son temps
Et quand il déploie ses froufrous
L’oeil se laisse embrasser
Ce coquin il aime la beauté
> Ossiane
C’est surtout la première fois que je m’essaie aux Alexandrins
et que j’écris un sonnet…
Elles sont belles les tagètes, elle est fort jolie, la photo…
Merci pour tes mots, Ossiane, aujourd’hui c’est mieux, hier j’étais à raz plat plat, j’ai repris des forces..
Le corps s’allonge sur le sol, sur le gazon, et à plat ventre, les mains posés sur les joues, les coudes sur le vert, les yeux regardent le massif, cette touche d’iris, là, poussée là, qui se propage chaque année, il profite avant l’orage, car si toutefois, la pluie trop lourde, certaines branches seront peut être cassées, un vrai massacre,
alors, pour immortaliser l’instant, l’oeil ouvre sa petite malette, sort un pinceau, une toile, et deux et trois et mille déjà, chaque seconde est un tableau, pour qui regarde la fleur se vivre.
Bonne fête aux mamans du blog 🙂 et Jolies fleurs Bourrache! bisou à Rachel l’éclair .
Très beau sonnet Fred.
Bonne journée à tous.
.
>Bien trouvé hum hum 😉
>Fred, effectivement je découvre dans ce deuxième temps tes alexandrins et la forme du sonnet. C’est si inhabituel de ta part que je m’étais conentrée sur la longueur et le sens;-) Alors, je te salue bien bas une deuxième fois, c’est un art si difficile de respecter les rimes et le nombre de pieds. Il me semble que amichel en écrivait beaucoup à une époque. Bien à toi!
>Reprendre du souffle doucement, annick. Ca va revenir, bises!
.
Une maisonnette que j’habiterais volontiers ! Ce que c’est que d’aimer vivre au coeur de la ville et de rêver y ouvrir un jardin nomade autour d’une petite maison oubliée des grosses entreprises immobilières. « C’était un petit jardin, qui sentait bon le métropolitain… »
Bises bruxelloises
http://www.youtube.com/watch?v=3ooXZvnXBj0
http://www.metahistory.org/images/OmphalosDelphi2.jpg
J’y vivrai bien aussi fugitive mais ce petit cabanon est en pleine montagne isolée de tout urbanisme;-) Bises ver ton toit de Bruxelles.
Coucou au pâtre grec;-)
Olalalala, ces photos !!!!!!!!!!!!!!
Philomène
Par ce printemps d’hiver..à la lisière des toits en pleurs..et des iris d’hier..une pensée pour Alix et ses mots de couleurs..Le regard et le cœur voyagent..étoffe de soie grise dans le ciel..jardin de Provence pour passage..Bourrache et ses fleurs brins de soleil..
Par ce temps d’hiver..on flirte avec les ailes de lumières..feu le bois et les ombres de la terre..demain..la fête des mères..Les lèvres et les larmes sur la page..enlacent la Provence sous sa robe légère..murmures d’une encre violette sous le sommeil des rivages..et le frémissement des rêves de chair..
–
Toujours un réel plaisir de redécouvrir ces trois petits points avec ses mots « bleus » et …mélancoliques.
Bravo, pierre.b
–
Ici, pas encore de fleurs brins de soleil. Elles se tiennent coites à la maison, à l’abri des gelées (ces 2 dernières nuits -1° et 7 à 8° les journées) dans l’attente d’un printemps hypothétique, sans grande envie de s’épanouir.
On se tient compagnie !
–
Qu’à cela ne tienne … je souhaite une « chaleureuse » journée à toutes les Mamans dont ce sera la fête demain.
(ce fut chouette de relire cette page…).
–
J’vais pas déroger : biz à tous, clin d’oeil et sourire.
–
c’est bon de vous lire,
et merci de me faire relire cette jolie page.
doux soir.
j’y suis, merci!
cet album si joli d’un temps qui ne fane pas…
je vais relire…fermer les yeux…les ouvrir…me rappeler…y être…
doux soir.