Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Avec le temps…
à la vitesse d’un éclair
filent nos traces
◊ La Marne
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Avec le temps…
à la vitesse d’un éclair
filent nos traces
◊ La Marne
voyage immobile
l’immobile de l’œil ouvert
à grande vitesse
Deux siècles gravés dans les coeurs!
Mémoires d’être, de sentir…
Hommage – Anniversaire ::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::
http://www.youtube.com/watch?v=HZGb-Kjy0S0&feature=related
Des raids pour la rivière
Exécuter le temps
Dans la ligne des chimères
Achever le printemps
αίνιγμα ou l’amour du Cygne
A travers la trouée, qu’espères-tu voler?
L’immobile, l’instant, le secret d’une vie?
Le mystère de l’eau ou l’étrange miroir:
frémissement des cieux où s’inventent les arbres?
Est-ce pour un feuillage, aux frêles découpures,
et l’abri d’un rideau, d’ombre calme et d’attente,
que ton esprit s’apaise, et ton regard s’éprend?
Ou voudrais-tu savoir de la vaste rivière
la raison de son erre et son flot incessant?
Ce cygne dont tu rêves,
qui froisse en apparence
la robe des nuages,
est né de cette enfance
au voyage gracieux,
nichée entre les ailes
de l’oiseau nivéen.
Guidé par ce long col,
ce masque d’élégance,
l’amour pur,
l’innocence,
découvre le reflet
de sa propre conscience;
et recherche dans l’autre
la beauté silencieuse
au bec de bigarade.
Il te sait dans l’alcôve
d’une attente limpide.
Oserait visiter le lit de feuilles vives
et d’ombres chuchotantes.
Bleu mirage ondoyant.
Azurs tendres,
chers satins.
Se découvre flâneur.
T’apporte:
seul regard,
un éclat dans du noir.
Le désir d’entrevoir
les mots sans se parler.
Déployer
l’univers
d’immenses voiles blanches
et d’un envol inouï
être rêve et vers
clair poème de l’air
des rives
des lumières
Effleurer le grand jour où l’orfèvre unit
le vide à l’absence
et l’impossible main
au toucher vaporeux
qui berce au fil de l’onde le sommeil enfantin.
Il t’a laissé sous vent
venir à la dérive…
T’échapper du feuillage, des fraîches solitudes,
à saisir l’oeuvre grêle,
l’ascension souveraine,
la rose salicaire.
Vouloir fondre le flou
de verdures ourlées.
Être nue dans tes songes
et fourrures radieuses.
Voir signes aux nuées,
encor ivre de l’onde
dont les cercles s’estompent…
Il reste le bois mort,
fiché où le soir tombe.
Immense.
Certitude!
A peine…
Effleurée!
La main comme un prélude…
Joue sans fin,
bords de larmes.
Dit le chant velouté appris sans se presser,
Se pose au puits géant,
et voyage à l’envers
des mondes ordinaires.
Laisse aller ,
l’étrangère,
vers les désirs teintés
d’effusions opalines.
S’écoule au fond de soi
par des chemins légers.
Sans cesse elle s’étonne
d’escales minuscules
où la barque l’attend.
Se reprend à marcher
de pas imaginés,
docile sortilège.
A la lice
la main
soudain s’est arrêtée.
Le grand jour effleuré
c’est le jour qui précède!
La main cette impossible
c’est aile des demain.
Elle a quitté les berges où tu l’as tant cherchée.
Elle a ridé le ciel
là où le temps se brise;
où la lame s’aiguise
et les houles déferlent.
Oublie le fleuve lisse,
voûtes à mots-couverts
et chalands et péniches…
Ou pleure l’oiseau blanc
au grand cou comme un cygne?
Sa beauté silencieuse,
au matin à l’éveil,
t’a laissé ce message;
Heure bleue qui s’allume,
un fin croissant de plume.
Au fil recousu
remontant ou descendant
passe le chaland
C’est le temps d’hier mais toujours pas celui de l’hiver…toujours ce décalage avec le temps..les gens..les sentiments..On ne trouve plus les amours de saison…la douce déraison..la neige et ses flocons…dans un jardin ou un rebord de balcon..Pas de vert ni d’éclairs…pas de vitesse ni de stress…juste une page blanche et l’empreinte de tes mots..juste le silence et la douceur en cadence…juste un temps de saison…Pas de boules dans les arbres …pas de lumières sur des fils….juste des étoiles dans le ciel…et la neige que l’on roule…juste un simple hiver d’hier…
Une page blanche et l’empreinte de tes lèvres…un jardin immobile et des pas suspendus…des âmes envolées…une forêt engourdie et le froid qui s’installe….un chocolat chaud et quatre mains qui l’enserrent…un chemin recouvert qui se perd…des rires d’enfant pour des jeux d’hiver….de la buée sur les vitres..la trace d’un coeur sur la glace…un prénom que la chaleur….doucement…efface…deux corps qui s’enlacent…
Le temps d’hier
Péniche au fil de l’eau
Tranquilité
Le temps d’aujourd’hui
Supersonique crevant le ciel
Vitesse
Le temps nous appartient
D’hier et d’aujourd’hui
Sensibilité
Avec le plaisir de vous lire, Joyeux Noël à tous!
_
Sisyphe
En vie.
Toujours monter.
Un bref regard
En arrière
Sur le temps du temps
Où coulait le soleil.
Et le souvenir
Se fait poids,
Pierre
A rouler.
Se retrouve
Au pied
De l’escalier
Du passé
Un coeur éclaté.
_
αίνιγμα reste αίνιγμα…
_
Biz à tous
_
Hier, on parlait de choses et d’autres
Hier, on parlait de choses et d’autres,
Et mes yeux allaient recherchant les vôtres ;
Et votre regard recherchait le mien
Tandis que courait toujours l’entretien.
Sous le banal des phrases pesées
Mon amour errait après vos pensées ;
Et quand vous parliez, à dessein distrait,
Je prêtait l’oreille à votre secret :
Car la voix, ainsi que les yeux de Celle
Qui vous fait joyeux et triste, décèle,
Malgré tout effort morose ou rieur,
Et met au plein jour l’être intérieur.
Or, hier je suis parti plein d’ivresse :
Est-ce un espoir vain que mon coeur caresse,
Un vain espoir, faux et doux compagnon ?
Oh ! non ! n’est-ce pas ? n’est-ce pas que non ?
Paul Verlaine
Hier
C’était hier
Et
Aujourd’hui
Est
Comme je dessinais des choses impossibles
Je ne me sentis plus guidé par les graveurs
Des peaux-rouges criardes nous ayant pris pour cibles
Nous avaient cloués nus au poteau sang couleur
J’étais un soucieux de toutes les images
Portrait en blanc, ou estompe miroir
Quand avec les graveurs ont fini ces messages
Faute de mémoire, j’ai vu le mur en noir
Dans les clapotements furieux du clavier
Moi, l’autre hier, plus doux que mes bisous d’enfants
Je voulus sur le jet d’acier
Des pin-up en poupe aux seins triomphants
Et dans le présent l’univers s’étale
Regarde dans l’eau toutes les étoiles
Puis dans le sapin ,toute la forêt
……
Et sois sans mémoire
Et sois sans passé
Oubli et renais
(extraits Henri franck
Le trait dans le ciel transperce nos espoirs
il en reste la trace qui perdure
perdure ? alors cela dure ………….
Et rien n’est jamais perdu
Hier était avant
Aujourd’hui sans demain
S’ étire le temps
Joyeuses fêtes à chacun(e) et merci Ossiane
Hier
Empêché d’être
Aujourd’hui
Sois
Elle approche….souche, et tendre….sa caresse du temps…sans jamais oublié …hier….elle marche son présent…garde le bel hier… et avance….amoureuse..délicate dans son voyage à travers le temps…de chair…son esprit si doux se navigue vers devant…Aujourd’hui, bel présent…elle le serre…en confiance… dans le temps.
Hier, je t’aimais, mais… un peu moins qu’aujourd’hui …
« Hier encore j’avais vingt ans
Je caressais le temps et jouais de la vie
Comme on joue de l’amour et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours qui fuyaient dans le temps
J’ai fait tant de projets qui sont restés en l’air
J’ai fondé tant d’espoirs qui se sont envolés
Que je reste perdu, ne sachant où aller
Mes yeux cherchant le ciel mais le coeur mis en terre
Hier encore j’avais vingt ans
Je gaspillais le temps en voulant l’arrêter
Et pour le retenir, même le devancer,
Je n’ai fait que courir et me suis essouflé
Ignorant le passé, conjugant au futur,
Je précédais de «moi» toute conversation
Et donnais mon avis que je voulais le bon
Pour critiquer le monde avec désinvolture
Hier encore j’avais vingt ans
Mais j’ai perdu mon temps à faire des folies
Qui ne me laissent au fond rien de vraiment précis
Que quelques rides au front et la peur de l’ennui
Car mes amours sont mortes avant que d’exister
Mes amis sont partis et ne reviendront pas
Par ma faute j’ai fait le vide autour de moi
Et j’ai gâché ma vie et mes jeunes années
Du meilleur et du pire, en jetant le meilleur,
J’ai figé mes sourires et j’ai glacé mes pleurs…
Où sont-ils à présent,
À présent, mes vingt ans? »
Charles Aznavour
Derniers préparatifs pour les festivités de Noël, cette année le père Noël nous arrivera tout droit de Sibérie emmenant avec lui le gel et la froidure.
merci de poser ce texte, à la place du précédent, que je n’ai pas relu encore, en jetttt direct, encore….
Elle approche…douce, et tendre…sa caresse du temps…sans jamais oublier …hier….elle marche son présent…garde le bel hier… et avance….amoureuse..délicate dans son voyage à travers le temps…de chair…son esprit si doux se navigue vers devant…Aujourd’hui, bel présent…elle le serre…en confiance… dans le temps.
Suivant le courant
au bord de l’Atalante
les rêves sont fous
J’ai été ce petit enfant
qui court à en perdre haleine
Qui pleure et qui rit ;
qui joue à la mort
et se lève d’un bond
Pour prendre son goutter !
–
j’ai été insouciant
de ces jours qui se déroulent
Comme des pelotes de laine ;
sans vraiment être attentif
Aux heures qui s’amenuisent !
–
j’ai perdu de cette innocence
et je vogue Irrémédiablement
vers le l’incontournable dénouement !
ainsi, je tricote l’étoffe de ma vie
avec les aiguilles du temps,
avec du bleu pour les jours joyeux
du noir quand surgit le désespoir
avec du gris du jaune du rouge
avec du vert rose et du blanc
maille à l’endroit maille à l’envers
je tricotte et détricotte les jours
préparant mes haillons pour affronter l’hiver
que je vois venir à grand pas
–
pourtant ce qui habille mon cœur
ce n’est pas cette succession de maille
qui laisse passer le vent frais de la désillusion;
mais plutôt les moments ou parfois les aiguilles
continue seul à battre l’air de leurs ailes d’acier ;
quand mon esprit saisit dans ses filets
un instant d’éternité ;
non pas pour le mettre en cage derrière des barreaux ;
juste des moments que j’observe
que j’apprivoise pour les déposer
dans le nid Soyeux de ma mémoire ;
ce n’est pas des moments bruyant ni clinquant
mais plutôt intimes et silencieux ;
Quand la tristesse assourdie les bruits de la vie,
j’entends leurs pépiements,
alors, je les regarde virevolter
dans le ciel du présent,
Ces petits moments d’hier !
–
l’étreinte d’une petite main
qui vient se blottir dans la votre
en vous appelant papa
les quelques mots du soir que je dépose
au bord des rêves de mes enfants;
la renaissance des jours sur la mer silencieuse
quand les étoiles scintillent encore
et se fondent dans l’azur encore pâle !
le crépuscule à la lueur d’un feu de joie
sur lesquelles dansent quelques notes de guitare !
le jeux de cache cache entre la lumière et l’ombre
jeux de de nuances et de contraste sur la dentelle du paysage;
le partage d’un café d’un thé autour de regards complices,
quelque mots échangé dans la pénonbre des âmes;
l’effeuillage d’un corps qui s’offre à vos caresses délicates
la douceur d’un baiser qui chavire votre coeur,
incroyable promesse d’un amour éternel…
La femme d’Hier
Elle devint mère
Et reste femme
Son Aujourd’hui
C’est tendre, Marc…délicat….
du pont de la péniche,
écoutant le chant de son moteur,
propulsé au long du lent ruban,
il lève les yeux
et suit la brusque déchirure
qui, en silence,
a coupé le bleu
Un roman fleuve
Si long
En lenteur nécessaire
De tant et tant
D’Hiers
Un sillon d’invibles
Un tel labeur
Le temps
Pour labourer
Semer
Et récolter
En faim
La tendresse des baisers
La volupté des corps
En caresses si vraies
Que l’éclair à présent
Vibre son Aujourd’hui
D’un Hier éternel
Hier, tiers, fier
comment nier le poids du passé
et si seulement c’était hier
comment revenir en arrière
dans le tiers temps pas pédagogique uniquement
il y a un temps pour tout
hier, aujourd’hui et demain
dans le passé proche et pourtant revisité
on puise juste assez de force pour avancer
des leçons aussi de courage
et sans doute un peu de cette rage
qui nous fait réagir
hier c’est écrit dans le cahier
pas le cas d’hier, ni le cashier
hier c’est si près et si loin pourtant
on ne peut pas rejouer les instants
alors fier d’hier ? Pas sûr
mais c’est une chose de s’interroger
et puis à la règle commune ne pas déroger
et sans des droits inconvenant s’arroger
hier, ayer, c’est un ailleurs, un autre temps
parfois après le contre temps
vient l’entre deux de vérité
mais du temps sourd toujours
un bruit obscur qui s’amplifie
on voudrait simplifier
s’impliquer, s’appliquer
mais le temps ne va pas rappliquer
la sauce est passée
tempus fugit
ite missa est
Le petit lent moteur de vie
Roucoule ses glouglous
A l’arrière du bâteau
Lui et elle immobile
Fixent l’air en azur
Il fait si tendre chaud
Sa tête s’approche douce
Et se niche sa nuque
Et leurs doigts emmêlés
D’hier et d’aujourd’hui
Cantiquent un bel Noël
Tout en beautés d’aimer
Le temps se charge bien
De faire hier et aujourd’hui
Comme il voit vers demain
Le temps
Il a ses filets en lui si grands
Pour décider tellement de la vie
Pour le destin de l’Humain
Le temps
Lutter ne sert à rien
Même si on sort grandis
Autant c’est dans deux mains
Le temps
Et si aujourd’hui était hier, et hier était aujourd’hui, rien ne serait pareil dans le cours de la vie écrite à s’écrire son chaque instant.
Hier c’est loin
Je te serre
Aujourd’hui
Plus fort encore
Hier …
Quoi déjà !
Tout change …
Même l’heure !
Un petit air de nostalgie souffle en cet après- midi
le coeur se débonde Marc Monique Thierry et notre tendre Annick
c’est bon de pouvoir ainsi laisser s’égoutter les mots qui débordent
Le non-dit est un pouvoir néfaste
Les « images -imagine » peuvent au travers d’une brume cacher un temps -soleil à venir
Ce qui est passé a fui
Ce que tu espères est absent
Mais le présent est à Toi
Hier c’était hier
aujourd’hui est aujourd’hui
et demain sera un autre jour
comme les jours se suivent et ne se ressemblent pas
ne rassemblons pas plus de courage qu’il ne nous en faudra pour affronter demain
d’ailleurs qui sait ce dont nous aurons besoin
et les prévisions ne sont elles donc pas faites
pour être battues en brèche comme les certitudes d’ailleurs
car face à la marée du temps
seul l’inexorable
qui n’exhaure que le sentiments importe
J’aime bien tes mots, Thierry,
La vie est le lit d’un courant à se vivre, qui se dévoile son jour, comme il souhaite se vivre, comme il se donne à vivre, et dessous la couette, c’est inutile de le broder en lettres d’or son jour à venir, tant est possible dans l’impossible et tant impossible dans du facile, alors, il est bon de laisser la semaille du temps oeuvrer son jour en repos de nuit, et de le saisir son jour, dès qu’il se donne. C’est bon de décider de vivre!
merci arletteart pour ta gentille attention,
j ai souvent essayé de cliquer sur ton nom souligné, mais pas d’accès au blog, je le dis aujourd’hui, c’est si vrai qu un non dit peut diriger un courant de vie pas choisi,
mais si souvent aussi un dit dit peut agacer et contrarier le courant,
la vie dans son amont d’hier et son aval d’aujourd’hui, berce, d’inattendus, de frustrations, de noirs, de blancs, de gris aussi, et de couleurs du temps.
C’était hier
Et pourtant il y a si longtemps
C’était hier
Mais c’était quand hier ?
Les heures, les jours, les années
Sont si différents
Les uns des autres
La temps s’efface
Le temps s’attarde
Je ne sais plus compter
Et ne veux plus compter
Puisque le temps est sans mesure
Je retiendrai du passé
Que les jours les plus beaux
Les jours marqués d’amour
C’était hier
Et me souviens
Un passé qui ressurgit
Un coeur qui vibre
Souvenirs sacralisés
Hier face au présent
Incontournable lui
Face à demain
Imprévisible !
_
Clin d’oeil à Annick :
http://fr.youtube.com/watch?v=qZPDM4n2hCw
_
Ce soir, en partant vers la gare, je pensais aussi, Monique, à cet hier aujourd’hui…alors je te dis…
Hier
Tu vois
C’est Là
Non pas si loin
Regarde en tout dedans
Le bel hier d’aimer
L’instant à se donner
En toute beauté d’être
De belle vérité
Il est là
Vivant
Hier
C’est aujourd’hui
Et en plus
Aujourd’hui
Est vraiment aujourd’hui
Tu le vois hein
En ressentis si grands
Le géant de la vie
La force si belle de vie
Reste Là
et comme ma tite plume se remet dans l’encrier, je vois ton message, Bourrache, et l’envie de te dire que mon sourire est..pourtant sans savoir, mais en curiosité de partager…Clin d’oeil Bourrache, c’est bien parce qu’ il suffit de l’écrire, je ne sais pas trop bien faire un clin d’oeil… SOURIRE!
_
http://fr.youtube.com/watch?v=EWIxvhG6eK0&feature=related
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Demain
pas mieux qu’hier
peut-être
😉
http://www.deezer.com/track/773347
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Petit coucou les amis!
Désolée de ne pas être plus présente. Je suis toujours submergée et forcément épuisée. Un peu de mal à remonter la pente et à faire face. Bref, j’ai besoin de souffler un peu.
C’est vrai marc, pour le moment la crise ne me touche pas et j’espère que ça va continuer car ce qu’on laisse entrevoir pour la suite est bien noir. Fin d’année terriblement morose et difficile pour beaucoup de gens. Ca me touche beaucoup. Vous vous souvenez sans doute de l’opulence et du dénuement que j’ai évoqués dans un haïku.
Touchée bien sûr par tous vos beaux poèmes qui continuent de pleuvoir et d’embellir ce blog. Même quand je ne suis pas sur le pont, vous êtes là. C’est vraiment quelque chose des attachements pareils;-) C’est vraiment très sympa. Manquent plus que le feu de bois, les bougies, les fauteuils, les canapés, l’apéro, les p’tits noirs et puis un peu de musique aussi;-) Ambiance club assurée;-)
Petits Coucous et Mercis spéciaux à Jean, Louise, Johal, Alice, au Fil invisiblement visible et bien sûr ma plus profonde amitié à tous les habitués.
A plus tard, bonne soirée.
Ossiane
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Bon. Voilà.
http://fr.youtube.com/watch?v=H1-aTI4zOBY&feature=related
Juste pour oser vous dire … à demain !
_
Belle, bonne et douce nuit à tous.
_
… et voilà qu’on se met à écrire toutes en même temps …
Bel repas avant du dodo, Bourrache, et merci.
Désolée d’avoir usé les canapés en sirotant mon thé, Ossiane, mais,
quelle idée, d’écrire HIER?!
je préfère AUJOURD’HUI!
_
http://fr.youtube.com/watch?v=vCqYpRHXQHk&feature=related
_
Et si demain c’était hier, que serait donc alors ce jour d’hui
à la porte du temps pas de gardien permanent,
cet huis est non pas hermétique mais herméneutique
Vous riiez hier sans raison
vous pleurez maintenant
sans plus d’explication
à ne pouvoir remonter le courant
on s’expose en s’esclaffant
morte aujourd’hui
je te faisais confiance hier
l’avenir en main
Rien ne change et tout me change
je me trouve le même et pourtant différent
c’est peut être la barbe… d’un jour de plus
ou encore la vie…d’un jour de moins
c’est possiblement l’espoir…en entonnoir
ou encore le désespoir…en sautoir
non c’est la rencontre de nouvels gens
chaque jour plus enrichissant
qui donne au pas à pas
son côté déconcertant
pourtant d’hier à aujourdhui
il me semble que le temps s’évanouit
Hieratique, hier Attique
faut il que notre passé
en forme de pensée grecque
nous cloue à ce point le bec
Hier aux glyphes nous avons décoré les bas reliefs du temps
et sans utiliser plus de cartouche qu’il n’était besoin
nous avons consumé dans la polychromie le soma
Avance ma péniche
Balance moi ton cours d’eau
Tu me mènes où tu veux
Sans me barrer ma vie
Tu te guides en plein noir
Et te reposes en blanc
Tu es un coeur vivant
Sur le cours de l’histoire
Et quand la plume du ciel
Signe sa trace magique
D’un éclair en seconde
Tu sursautes tes vagues
Petite lenteur en flamme
Mon bâteau tout niché
Tu es mon ciel mon âme
Demain…c’est une péniche au fil de l’air et deux ailes dans l’eau…c’est une voile dans le ciel et des hublots au fond de l’eau…c’est la terre à l’envers et des pages pas sages…Demain …c’est un arc en ciel dans une rivière et des flèches en coton….ce sont des baisers volants et des étoiles de mer….c’est la terre toute en verre et des pages qu’on tourne…Demain…c’est un mot que l’on touche et qui s’envole…c’est une main que l’on invite et qui s’abandonne…c’est un sourire au fond de l’eau…dans un regard..sur une passerelle…contre un rivage…Demain c’est déja hier…c’est un temps qui nous dépasse….c’est une elle sur un toi…et deux ailes dans l’eau…
http://arletteart.blog.lemonde.fr/
Pour annick qui ne me trouve pas !!!! et l’autre c’est skyrock
Merci pour ton intérêt à mes « imaginaires »
ronds dans l’eau d’hier
hier et hier des ronds dans l’eau
hier ronds d’hier dans l’eau
rond d’hier dans l’eau
ronds d’hier dans l’eau d’hier
l’eau d’hier en ronds
rond d’hier en rond
hier en rond et hier en eau
hier en ronds et eaux
http://www.youtube.com/watch?v=ONXp-vpE9eU
hier n’est déjà plus
il n’est plus que souvenir
est-ce seulement hier
les hiers d’autrefois
mais hier débute depuis hier
les hiers d’aujourd’hui
mais qu’est ce que avant
si avant hier est sans hier
hier sans avant hier
Hier marchait le temps
par chemins enlacés
dans une feuille vieillie
les traces de nos pas
___ ___ ___
Bisou Monique du desert de Palm Spring, mes pieds dans la neige, ce sera pour plus tard 😉
love
Lucy in thE sky wIth diamond Là yesterdAy and tomorow
http://www.youtube.com/watch?v=A7F2X3rSSCU
Le jour d’avant pour aller en arrière
pas de mise en garde juste des constats post ante
pas hante de souvenir juste un léger décalage
Thierry (hier, 19 H 40) : super !
_
Bonne journée à tous.
de bas en haut, terre
plonge vers la vallée féconde !
et contre-plonge, ciel
bonne journée Bourrache, thierry
ainsi qu’a chacun
Hier un rêve d’ images
Des situations de passage
Sensations qui bougent
Immobile voyage
Ou l’autre a cent visages
Qui se fondent et changent
Indéfinis et troubles
Parfois il te ressemble
Alors en voyageur des rêves
J’arrête le songe mobile
Dans l’utile espace futile
Et contrôle un moment
Nocturne et lumineux
Je prolonge l’instant
Du regard de tes yeux
Des trésors de ton corps
Pas de mots dans les songes
Les mots sont des mensonges
Je dors et j’aime encore.
Ossiane : je vois que tu as commencé ta journée par du nettoyage …
Clin d’oeil et prends bien soin de toi.
les témoins d’hier
pesaient et se sont éteins
hier n’est déjà plus
je rêve d’hier
encore encore pour l’avant
l’espérance d’hier
toi par hasard
bien qu’hier ne passera pas
toi au matin
hier et demain se donnent la main
prendre le temps
savourer l’instant
dans la présence
espace d’un temps
couleurs d’un été tendre
une trace, un parfum
un ciel en essence
tisserands de la terre
les mots du fleuve défilent
une toile de fond
un ciel ouvert
http://www.youtube.com/watch?v=aiXcUTTLud4
_
http://fr.youtube.com/watch?v=lUyuGFoiWJ0
_
_
Clin d’oeil à Annick :
http://fr.youtube.com/watch?v=rqsBrF4eD6c&feature=related
_
Et ce temps d’à présent
Se vit au firmament
De son instant précieux
Sans hier
Sans demain
Dans juste avec deux mains
Qui prennent leur envol
Il y a la vie derrière
Et celle vers devant
Trajectoire en amour
En paix vers la beauté
Tendresse délicate
Si bon de saisir son jour
Le sapin dans la tête
Brille et sourit ses verts
Ses guirlandes de choix
Faits et visés pour être
Dans l’an nouvel bientôt
Et ce n’est pas trop tôt
merci DJ BAKASÂÂÂB’,
j’ajoute ce clin d’oeil à mon tit sapin intérieur de mon bel Noël….heu? vous êtes chouS, heu? c’est un X!
hiérosolomitain, voici le temps teinté de nostalgie
pourtant de ce temps qui repose comme pâte léve
dans ce lévre à lévre chuchoté j’ai chu mais à terme échu
souvenir bien frais et croute craquante du bis
le temps ne se refait pas, l’histoire ne repasse pas les plats
et sur les foissures du temps quand vient la froidure
on se plait à couvrir de quelque pelure ses gersures
hier n’est qu’un chemin, un passage emprunté
qu’un possible réalisé qui ouvre des perspectives
qui donne des indications sur ce qui a été
Merci bourrache pour tes encouragements
bonne après midi dans le tic tac des gouttes
qui plongent des branches en train de dégeler
Passé immédiat
passé irrémédiable
passé diabolique
passé oblique
passé décomposé
passé posé
passé osé
passé olé
passé oé
plus d’écho
hier s’est dissipé
pas comme la brume de ce matin
Remontoir, fermoir, espoir
pas de possibilité, rien ne s’arrête et tout coule
pas de champs clos, tout se libére et m’exaspére
une lueur qui se manifeste, je la teste, je l’atteste
Comme une bouée …
http://fr.youtube.com/watch?v=iYmoX-Spr0Y
Alain Souchon – Rame
Pagaie, pas gai,
Sur cette vieille Loire.
Pagaie, pas gai :
T’arriveras nulle part,
Héron. (2x)
Là-haut, guetteur,
Vois-tu, vois-tu ailleurs ?
Bout d’bois, (2x)
Beau caoutchouc,
Flotte-moi (2x)
Plus loin qu’chez nous.
Baignoire, (2x)
Tu m’as menti.
Ailleurs, ailleurs c’est comme ici.
(Refrain)
Rame, rame. Rameurs, ramez.
On avance à rien dans c’canoë.
Là-haut,
On t’mène en bateau :
Tu n’pourras jamais tout quitter, t’en aller…
Tais-toi et rame.
J’m’en vais (2x)
Mais l’eau est lasse.
Chaumont,
Langeais,
A peine Amboise.
Amour, cordon, ficelle serrée,
Lâchez, lâchez : j’veux m’en aller.
(Refrain x5)
Merci Véronique pour ce rappel
Souvenir ! souvenir!
AA
merci pour les partages en vidéos, et vos textes.
Puisqu’Aujourd’hui
Est
C’est bon de le serrer
Comme on serre un amour
Fort
Plus fort encore
Sans plus penser Hier
Puisqu’Aujourd’hui
Se donne si tant précieux
En corps
Pour être son Aujourd’hui
Plus plus encore son ÊTRE
De belle vérité qu’on dit
Aujourd’hui
En le criant
En le chantant dansant
Et en le remerciant
Ce bel jour d’
Aujourd’hui
D’oser se donner d’être
En faim de tellement
invitation à la rêverie…
joyeux noel !
là est la reine
là est la nuit d’hier
là est la pour demain
là est la vie aujourd’hui
là est la toutes mes nuits et jours
hier n’est plus là est là demain sera
là est là
http://fr.youtube.com/watch?v=PhOc0V-ES40
Une arche de Noé
offrant sa soif étanche
aux peuples assoiffés
Paroles de léo Ferré
Avec le temps…
Avec le temps, va, tout s’en va
On oublie le visage et l’on oublie la voix
Le coeur, quand ça bat plus, c’est pas la peine d’aller
Chercher plus loin, faut laisser faire et c’est très bien
Avec le temps…
Avec le temps, va, tout s’en va
L’autre qu’on adorait, qu’on cherchait sous la pluie
L’autre qu’on devinait au détour d’un regard
Entre les mots, entre les lignes et sous le fard
D’un serment maquillé qui s’en va faire sa nuit
Avec le temps tout s’évanouit
Avec le temps…
Avec le temps, va, tout s’en va
Même les plus chouettes souvenirs, ça, t’as une de ces gueules
A la gallerie j’farfouille dans les rayons d’la mort
Le samedi soir quand la tendresse s’en va toute seule
Avec le temps…
Avec le temps, va, tout s’en va
L’autre à qui l’on croyait pour un rhume, pour un rien
L’autre à qui l’on donnait du vent et des bijoux
Pour qui l’on eût vendu son âme pour quelques sous
Devant quoi l’on s’traînait comme traînent les chiens
Avec le temps, va, tout va bien
Avec le temps…
Avec le temps, va, tout s’en va
On oublie les passions et l’on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps…
Avec le temps, va, tout s’en va
Et l’on se sent blanchi comme un cheval fourbu
Et l’on se sent glacé dans un lit de hasard
Et l’on se sent tout seul peut-être mais peinard
Et l’on se sent floué par les années perdues, alors vraiment
Avec le temps on n’aime plus
Merci claudie de nous rappeler ce si beau texte
de léo, avec sa criniére unique
un jour je ne pourrais plus vous hier!
—
car la vie est un chateau branlant
ou chaque jour est une carte ;
même en y mettant la plus grande attention
avec le dernier souffle
Les fragments de cet édifice beau et fragile,
s’écroulent se dispersent; pour certains se perdent
reste alors des bribes éparses et mélangés,
qui…
de mémoires en mémoires
et de chateau en chateau
finirons par tomber aux oubliettes!
–
Pourtant…
avec la patience d’un architecte de l’inutile
sans plan ni shéma
mais avec beaucoup d’amour
je construit ce chateau éphémère
bonne soirée à chacun
http://www.dailymotion.com/relevance/search/yesterday/video/x1ujjv_the-beatles-yesterday_music
Aujourd’hui c’est precieux
il faut le profiter
Il vient comme demain
et il s’en va comme hier.
Et comme hier il restera
dans notre mémoire
en autre demain viendra
pour être l’aujourd’hui
Pardon:
…………………..
un autre aujourd’hui
…………………..
Tu peux corriger, Ossiane?
Merci
hier
du levain pour demain
blés murs
Z’avaient déjà beaucoup d’imagination à l’époque :
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Baise m’encor, rebaise-moi et baise :
Donne m’en un de tes plus savoureux,
Donne m’en un de tes plus amoureux :
Je t’en rendrai quatre plus chauds que braise.
Las, te plains-tu ? ça que ce mal j’apaise,
En t’en donnant dix autres doucereux.
Ainsi mêlant nos baisers tant heureux
Jouissons-nous l’un de l’autre à notre aise.
Lors double vie à chacun en suivra.
Chacun en soi et son ami vivra.
Permets m’Amour penser quelque folie :
Toujours suis mal, vivant discrètement,
Et ne me puis donner contentement,
Si hors de moi ne fais quelque saillie.
Louise LABé
(1524-1566)
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heu… (a + b)²= …………….
_
( a + b ) carré= acarré + bcarré + 2ab
il y a 450 ans… merci ABC les 2 persiennes.
OUI, ET JE TE CITE, Neyde:
Aujourd’hui c’est precieux
Le bâteau poursuit son chemin
Tout lentement son cours
Comme Noël son coup d’éclair
Scintille bientôtson jour
un jour doux…tendre..si bel..pour chacun..que l’air soit paisible…en bonheur d’être ensembles…Noël…dans les petits yeux des enfants et des grands…à bientôt….
Hanté pas le pénultiéme
j’oublie le pêne
qui clôt ma peine