Lecture du Haïku Calligramme: de droite à gauche
Grains de beauté
grains de sel grains de sable
voies de la sagesse
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de droite à gauche
Grains de beauté
grains de sel grains de sable
voies de la sagesse
Accôtements non stabilisés
Ma vie fait un vol plané
Bruit de coeurs
Sur fond de sagesse
Mise à mal.
« O » ne pleure pas! je t’offre un parapluie interdit, accôtements.))
sur la voie du centre
deux de ses milliards de grains
ont su se trouver
Amour, amour, amour! Doit-on en rire ou en pleurer?
Bon, je vais répondre à moi-même:
En rire par temps de pluie
En pleurer à la plage
La pluie lavera l’ombre
La mer rira de vie
La vie dira merci
Le coeur que je m’ennuie
L’ennui fuira la nuit
Le jour poussera clair
Pour tous les grains enfouis
Dans la voie du centre mon ami
Il y a un peu de vie
Qui parle avec son autre
De départ en retour
De détours, grains de vie
Sel de sagesse
Sucre de coeur
Mêlés dans nos yeux épris
De loin.
Le grain de beauté a mis son grain de sel dans l’affaire, ce fut le grain de sable dans l’engrenage….
———————–
Au pas là dedans!
Oh, oh,
De la piste du milieu s’échappe le petit blanc!!!!
Vaincra-il Big Brother?
———-
Bonjour Ossiane,
Je me permets de vous demander ce qu’il est advenu du blog de Johal, j’allais lui rendre visite de temps en temps, mon lien n’est plus bon, je l’ai perdue ??
J’en suis bien triste ! Pouvez-vous me renseigner ?
Mes respects.
Dormez bonnes gens, je veille sur vos écritures.)
Tous les chemins mènent à l’Homme.
Jolies pistes Ossiane, ton haiku fait rêver
De pierres est le chemin qui mène à la statue
Voies sacrées pierreries les trésors de verre tu
Reformes l’ univers brisé en mille morceaux
Reconquéris le temps fais briller le faisceau
Sur le corps modelé des cendres au sable blanc
Je ramasse les grains dont le coeur est brûlant
Pour remonter hagard à ta main délicate
Qui en secret façonne le parcours acrobate
Le mouvement brillant fait pleurer mes silences
Et la grâce adorée un lac de souvenirs
Que les mots déchirés cherchent vivement à fuir
Elle coule cependant dans sa folle espérance
Les tonnantes lumières y versent cannelées
La force et les couleurs dans des voies contrôlées
une faute que je corrige vite vite pour pas trop choquer la conjugaison
reconquiers et pas reconqueris
bise
> oxo
Johal a arrêté son blog…
sur la voie centrale
mon amour ma chlorophylle
un grain de folie
Petite feuille, seule, navigue dans la ruée blanche !
Du bon grain
séparer l’ivraie
sagesse populaire
recolter,trier,classer
le république est bien gardée
edwige veille au grain
http://fr.youtube.com/watch?v=a7VSWp2n_hg
bonne journée a chacun
Comme pour un mandala
Les grains colorés se rassemblent
En un dessin magique
Ephémère …Ephémérides
de nos désirs de sagesse
Salut aux petits grains de folies
AA
Imagine
goutte à goutte
farrago coloré en averse d’atomes
des parcelles de terre, et de ciels et de vents
les germes de patience d’une pluie, d’une ondée
corpuscules du temps
des miettes d’espérance
Bourrasque, tourbillons
de pensées solitaires
et des volées d’orages
déployant les semences
de désirs colorés, de secrètes nuances
D’où vient la main agile
qui recherche les sources
sépare les courants des rêves de diamant
de la pointe des doigts saisit tous ces instants
et range dans nos têtes mille fleurs étonnées
promesses d’une baie; ce fruit délicieux
d’un arbre singulier
assoiffé de lumière
mu des noces de l’ombre, d’humus amoncelé
Regard
épreuve d’amour fou
aux bras tentaculaires
en épousant l’envie de prendre l’innombrable
d’avoir à sa portée le toucher merveilleux
des cristaux oubliés
de boire au sein des mères la divine beauté
Une once de mémoire
caryopse de vie
de formes incertaines
me parle d’ouragan
de typhons imprévus
où saigne le soleil
Peindre est une magie, pour des mots hirondelles
tracées dans les sables bleus
du vent
la piste va vers les océans
frontières ignorées des songes
Poid chiche, lentille, coco blanc, haricot rouge
et au milieu dans un sourire vert et clair
Du sucre candy
En cercle sur le sol
Des mineraux
M’offrent un horizon
C’est très beau ce que tu viens d’écrire Bernard
Je le garde pour mon blog :images -imagine , cela correspond très bien sans que tu le veuilles
Merci sans savoir …..AA
en perplexité
devant ces chemins divers
filant vers mon but,
un pied sur un pied
le long des lignes d’ombre,
large assurée
rêvant au vert de la mer,
oscillant un peu
entre le blanc et le noir,
toujours ignorant
ce qui se cache là bas
Pâte de verre
Une feuille esseulée
Chemin retrouvé
Parcours parallèles, milieux homégènes,
et lisses qui délimitent ces chenaux d’exigence,
rangement et ordre dans des cases
qui est prêt à partir au coup de piste…olé
juste pour un petit tour pas triste
chacun dans sa ligne
Améthyste en piste et pas de petit kyste
on peut agiter les cystes et faire des ronds
dans les galets sans risque de pleurage
Lentilles noires et pois cassés…on met les bouts
pas de starter mais des strates qui errent
qui fixe l’horizon et s’en tient à son couloir
ne mettra aucune de ces pierres en sautoir
Il y a des à côté bien bariolés
pas obligé d’avoir des oeillères
mais une vue ample et étagée
J’ai cru voir une chaude piste…
Quand on perd le fil on traque au gonio pour éviter d’être occcis
mais la triangulation améne vers le maton de là à faire le voyeur
c’en est trop et à moins d’être astronome la piste aux étoiles
ne conduit pas à la lune attique et le tréponème est pratique.
Entre cendrée et tartan on peut trouver détartrant les départs
survoltés qui décoiffent et décalaminent un revêtement
qui n’est pas pour tout le monde !
Glissades, toboggans
Abrupts voies de la sagesse
Haï ! ku douloureux ))
Mine de grains, Ossiane, offerts
A nos lectures plurielles
A ciel ouvert, concession de nos coeurs
Mine de pierres à vain barrage
Près du marais salant des souvenirs.
Cours de grains, sans valeur
Cours de, l’hors son esprit
Exproprié par ses écrits
Sur toile mouvante.
Dépôts de grains à la surface
De nos trajets, à la croisée
De nos histoires
Déchets de mine..rai de lumière
Sur la colline, une pluie fine
Lave nos chagrins
Et quelques grains, en particules
Entraînés dans le fleuve Amour.
Cuivré dépôt de peines
En tremble mon substrat
Les grains s’écoulent
Crissent de joie… colorés
Je souris, bonheur.
HELLO !
BON PROGRAMME !
Préparation des pistes
Pour cet hiver
Je choisirais bien la VERTE
Pour commencer :
Largeur raisonnable
Pas d’obstacle signalé
Virages en douceur
Un peu de lenteur…
Je testerai ensuite
Avec un plaisir certain,
La Piste BLANCHE :
Comme la Vallée
Elle coule, immaculée,
Bien que….
Un petit quelque chose
Egaré au milieu,
Devrait nous inciter
A passer à côté…
Sans le bousculer !
Viennent les Pistes BRUNES
Deux au choix :
J’opterais pour celle de droite
(Il faut bien choisir)
La descendrais en godille adroite
Arrivée directe… Sur le « O » d’Ossiane !
Pour terminer,
La Piste NOIRE !
La plus difficile,
La plus étroite :
Il va falloir jouer serré !
Prise d’élan au sommet
Arrivée essoufflée
Il a fallut slalomer
Entre les grainpoints
Partout disséminés !
Ce fut « chaud » !
Bon maintenant,
Je remonte la pente
Et je recommence…
Mais au fait !
Jusqu’à quelle heure
L’ouverture des PISTES ?
Biseeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeee
Hello leila tous ces grains
ça en fait de la poussière à moudre
et des longueurs à coudre
que survienne la tempête
et il me semble bien
qu’un grand chambardement
va mélanger ces variétés
pour donner de l’uniformité
au grand jeu de hasard
le désordre est souvent gagnant
Entre grains de poivre
Sombres, amers, tristes
Grains de fantaisie
Christeeeeeeene; i lé chou ète ton texte j’y glissai !
bein moi c ‘est plus bourrin je fais du Bobsleigh à vélo sur lignes interrompues.j’aime le danger.
Zète prêts zooooooooooouuu j’descends
http://www.youtube.com/watch?v=4j7Z5p7GQfM
Tissage précieux pour Belle de Beauté
Qui mettera son grain de sel ou de sagesse
Avant de laisser couler la vie comme les grains de sable
A travers ses doigts fins
Voies sacrées voies controlées de Lou
Comme c’est beau ce poème que tu écris , qui coule comme le sable d’or dans les doigts
Mais pour moi , affleurer le papier en esquisse ,jouer avec les mots « hirondelles « de B ce n’est plus présence cela devient contemplation ,méditation
AA
ces gens là
http://fr.youtube.com/watch?v=jfMgbEU1fFI
avec cette reprise
les autres
http://fr.youtube.com/watch?v=jtXKot_jq8o&feature=related
20 îles vierges en micronésie. cailloux loin du sol.
diamants fidèles.
Andromède aspire au bal universel.
alcaligrammes.
caracollégramme.
village musical de symphonie-en-roussillon.
tous droits réservés pour Ossiane.
la voix de son maître.
Leïla !
Trop trop trop fort… ton Pac Man !
Je dirais :
Piste Ultra Noire !!!
Et la chute finale est terrible !
Bref :
J’adoreeeeeeee !
Gloups !
Rebiseeeeees
Amour, amour, amour!
Doit-on en rire ou en pleurer? (Leila)
= = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = =
Je vais vous racconter une histoire d’amour.
Une histoire vrai qui a eu lieu au sud de mon pays.
Un monsieur est mort, d’infarctus, pendant une fête,
quand il dansait avec sa femme.
Son enterrement a éte preparé et une voiture ferait le transport du corps jusqu’à une ville prochaine où restait le cimetière.
Sa veuve fait le voyage à côté du chauffeur du char funèbre.
Pendant le voyage, dans l’autoroute, un camion et le char funèbre se choquent.
Le choc a éte par derrière le char et ensuite
le cercueil glisse et touche la nuque de la veuve.
Elle tombe morte à l’instant.
C’est quoi ça?
C’est la tragédie grecque?
c’est l’Amour aprés la Mort ?
Que dire après tout ce que je viens de lire dans les commentaires… je ne suis pas poête et j’ai un regard tout neuf sur la photographie, mes mots seront donc en toute simplicité ici : magnifique ! plein de couleur et de graphisme !
Je v iens de lire cette histoire aujourd’hui Neyde et j’avoue qu’elle est assez incroyable. Le pauvre homme avait peut être peur de se retrouver seul et n’a pu le supporter. Je ne peux m’empêcher d’imaginer la scène avec de l’humour noire. Oui, je sais, ce n’est pas drôle du tout mais la scène est tout de même surréaliste.
Bravo à tous pour vos écrits et votre imagination débordanteeeee.
Graines du soleil
Les semences vues du ciel
Terre féconde
Petites graines colorées
Du ciel sont tombées
En une pluie de beauté
Sur la piste oubliée
Dans les rêves de l’hiver
Et les bribes du passé
…bribes du passé
Fragments de mes lambeaux de peine
Il pleut des heures nouvelles
Le mot à fleur d’eau rose
S’écrit, crie que je ne me perde pas.
Ma neige, cœur de houille
Fanaux sombres morts à vingts ans
Tous ces grains dévalant la tombe
Où je me blottis froidement
Dépouillée de mes sensuelles
Chamades de corps et coeur au vent
Ah! Je suffoque de ton bonheur
Trop fort et trop absent, V…….
… trop absent
sous les assauts du vent
et l’alignement des pierres
acide est le souvenir
aux couleurs citron
et les hachures de la terre
s’étirant vers l’horizon
bruissement des âmes
silence de terre gorgée de sang
___
Petits tiroirs
Sagement alignés
Superposés
De guingois
Souvent entassés
Souvenirs rangés
Dérangés
Bleus d’enfant
Verts d’amants
Taches de sang
Terre de passants perdus
Piste pour chemins éperdus
De noir, de moire bordées
Une armoire
Pour mon histoire
A tiroirs
Et une seule clé
___
Ourlet de la terre
où se cache la lumière
miettes de pierre
dressés vers le ciel
comme pierre tombale
à l’appel du soleil
Oh ! Maria-D …
… comme un écho …
Où est la piste
pour avancer vers elle
et saisir les bribes
des voix d’autrefois
envelopper les rêves
dans une mousseline bleue
et sceller les souvenirs
au creux de l’oreille
où est la piste
pour avancer vers elle
vers cette noble dame
qui se nomme Sagesse
Grains de sel et de sable
brins d’herbe et de paille
pour réchauffer l’absence
et la blessure des ans
poser des repères sur la piste du temps
même si l’érosion les réduit
en grains de sable et de sel
« Dans un grain de sable voir un monde
Dans chaque fleur des champs, le paradis
Faire tenir l’infini dans la paume de la main
Et l’éternité dans une heure »
William Blake
Sous le soleil-levant
Une porte s’ouvre sur mon cœur
La courbe de tes lèvres s’arrondit
Je glisse sur ton sourire
Équilibre au fond de ce bol tendre
Amour, sur mes seins, endormi.
.
Bonsoir à tous!
Des grains, beaucoup de grains de toutes les couleurs, de toutes les matières et de toutes les humeurs, des grains de folie douce se sont échappés de vos plumes alertes, graciles et volubiles 😉 Pas vraiment les voies de la sagesse;-) C’est vrai jorge, la petite feuille échouée se sent bien solitaire.
>bien vu marc ton allusion à edwige! et belle idée le mandala, arletteart!
>j’espère que tu dis vrai, pierre;-)
>bravo bernard, tu es bien à l’aise dans ce genre de photo où tu nous emmène dans d’autres univers.
Désolée, impossible de libérer tes copains. Je n’ai plus accès à ma cage à spams, tes deux olibrius ont dû être avalés tout crus;-) Il faut éviter de mettre plus d’un lien dans un message. Il vaut mieux faire plusieurs messages.
>leila, lou, vos mots coulent en douceur et beauté.
>beau aspe, tu retrouves ta verve pétique 😉
>coucou candide comme au bon vieux temps 😉
>merci pour ton bel haîku fred!
>quel gourmand tu fais pascal 😉
>thierry, je te sens à ton aise dans ce jeu de pistes davantage que bonbonze;-)
>quelle rencontre vincent !
>brigetoun, super brigitte, de l’audace, tu as le pied bien poétique;-)
>maria, quelle énergie, des poèmes de toute beauté, merci!
>oxo, fred a raison. Johal a fermé son blog mais j’espère qu’elle reviendra bientôt sur la toile. Elle nous manque déjà.
>et voilà la grande sportive et baroudeuse, dame christineeeeeeeeeeee qui prend de l’avance pour cet hiver !
>Jo.S, merci de participer en belle poésie et en fantaisie; les amis du blog apprécient;-)
>salade, Merci de revenir;-) J’attends toujours ta réponse à propos du jeu du damier;-) Souhaites-tu participer et m’envoyer un petit poème en reflet de toi?
Tu fais bel et bien partie de L’Oeil, non?
Impossible de t’envoyer un email…. En espérant que tu acceptes et que tu répondes, je te souhaite une bonne fin de soirée.
>coucou fauki, plaisir de te revoir sur ces pages. je crois comprendre à travaers ton poème que tu viens de traverser une période diffiicle et j’en suis désolée. Je ne sais pas si ça te ferait plaisir de participer au jeu du damier ? Merci d’être passé.
>Neyde, incroyable! quelle histoire d’humour noir;-)
>lusyamcoga, reste toi et dis ce que tu penses en spontané, ce n’est pas du tout un problème, tout le monde peut s’exprimer 😉
>bourrache, tu es toute sage aujourd’hui et ton poème est tout serein. Il ne pleut pas là haut.
>monique, superbe poème de William Blake, il a tout compris !
Allez, je file voir les étoiles, bonne nuit à tous !
Ossiane
.
« Dans l’infini du temps, de la matière et de l’espace, une bulle organique se forme, se maintient un instant puis crève.
Cette bulle, c’est moi. »
Léon Tolstoï
C’est gentil Arletteart bises 😉
Aériforme la bulle, qui tour à tour en tendresse ou humour crève en pluie et répand sa généreuse fraîcheur …
Joli ton poème à une seule clé Bourrache. J’ai eu beau essayé mes doubles … rien à faire !
Bouts rimés animés
d’une séduisante force
En convois se déploient
Démarrant débridés
Semant en tours de piste
Les couloirs zinzolines
Une délicate chaleur
Pousse dans tous ces pas
Gris, noir, blanc …vert
petits bouts de verre
pour faire joli en hiver
quand le soleil
se met en veille
alors s’ouvre le réverbère
d’une lune solaire
s’endorment les abeilles
jusqu’au prochain éveil.
Bonjour à tous,
Je commence ma journée par une grosse colère contre ce député du Nord qui avait qualifié les homosexuels d’inférieurs. Il s’excuse aujourd’hui en regrettant le mot « inférieur » qu’il qualifie de maladresse. Il voulait dire : « L’homosexualité c’est moins bien parceque ça ne peut pas être universalisée. Tout le monde ne peut pas être homosexuel sinon la société serait mal partie ».
Je trouve ce commentaire navrant. Chacun a la liberté qu’il se choisit à partir du moment où elle ne fait de tort à personne.
délivré des carcans
libéré de nos chaînes
gorgé de sentiments
bien contraire à la haine
nous marcherons soudain
en éclatant de rire
nous donnerons la main
en refusant le pire
Qu’importe nos couleurs
Et nos sexualités
Variétés qui font peur
Aux censeurs de pensées
je vous ai lu un peu hier soir, mais tant de lectures à lire après 5 jours de voyage, j’ai lu à m’en gorger tard, fort tard, je relirai doucement…
Bien avant
Que les poussières du temps
Recouvrent la vie dedans
En tout dedans de soi
Et en se marchant sur le sol
C’est bon d’offrir ses mains
Chaque jour son chemin
Pour saisir sa poussière
Etoilée de son jour
Tel et comme ça tel que
L’accueillir et s’en vivre
Pour son meilleur à se respirer
Et offrir son vivant
Dans la marche du temps
belle journée pour chacun, clin d’oeil Bourrache, merci pour tes mots chez moi, bises à chacun…..je vous envoie ma super forme, je me sens tant en bonheurs..
Hello Lou
Tiens c’est drôle Hellolou
un peu glou glou quand même
C’est pour ça que tu te trouves dans des couloirs « zinzolines »?????!!!!!
c’est quoi ce mot? pasvu dans le Larousse (3 volumes )
Où vas-tu chercher tout ça?
Monique ?je garde ds mon petit carnet ce poème de W Blake
…… Faire tenir dans la paume de sa main
Et l’éternité dans une heure…
Pour les grains de sable et dans une noix ? qui chantait ça déjà ?
Suis un peu Zinzoline ce matin
bizzzzzzzzz à tous AA
mmmmhhhh, l’éternité dans une heure, arletteart, ça donne tellement le désir de se laisser bercer par la première seconde d’éternité contenue dans celle là et les suivantes dans une heure…je suis aussi zinzoline ce mat, et c’est chouette…
Bonjour Ossiane et les talentueux fidèles de l’Oeil,
D’une piste d’envol vers le Japon, je rêve,
Trouver la piste des samuraïs,
Puis celle de Jigoro Kano,
Créateur du Judo,
Suivre le code du Bushido,
La voie sur la piste de la Sagesse.
Je vous embrasse Neyde, Jane, Annick, Maria, Bourrache, AMichel et tant d’autres dont notre hôte Ossiane.
J’aimerai être plus présent mais le temps et mon blog, mails, ma vie, ma santé,… M’empêchent de venir.
OLIVIER
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bushido_(code_de_vie)
Pour ceux qui seraient intéressés…
Contente de te retrouver Annick en pleine forme
Zinzoline biensûr ne vient pas de Zinzolin (violet presque rouge) mais bien plutôt de Zinzin je suppose, mais de quoi est-il donc bien fait ce petit « grain de folie » sans lequel il n’y aurait de génie comme le disait Aristote ? il semble que beaucoup ici en possède comme le dit Ossiane et somme toute c’est tout à leur honneur.
Désolée Arletteart je ne connais pas cette chanson qui emprunte les mots de Blake.
Je pars prendre une bouffée de vent et de soleil à plus tard.
par contre à défaut de chanson il existe un livre de Matthieu Ricard « L’infini dans la paume de la main » (du big bang à l’Eveil)
Oh, Annick,
Y’a comme un vide…
Quand t’es pas là !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Mais revenons à nos PISTES !
JEU DE PISTE
J’en connais un
Avec un gros tarin
Qui, manquant de flair,
A vraiment du mal :
A choisir sa PISTE
A suivre sa PISTE
A arriver au bout de sa PISTE !
Et quand il arrive,
Par miracle,
Au bout de sa piste…
Il se demande pourquoi
Il a suivi cette piste !
Il retourne alors au point de départ
Et tellement fatigué
Il s’endort pour toute la journée
Oubliant du même coup
Sa belle PISTE
Qu’il pistera peut-être demain
Qui sait ?
Peut-être arrivera-t-il au bout un jour ?
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Vous avez trouvé à qui je pense ?
Si non, suivez le lien !
_____
http://i8.photobucket.com/albums/a35/GILVER/rantanplan.jpg
_____
Biseeeeeeeeeeees Pistéeeeeeeeeees
Sur la soie écarlate
De la vie,
Brode perles et strass,
Poésie!
Merci Monique, Ben oui il y a des jours comme ça où on se sent plus zizoline que d’autre ;))
zinzolin = mot valise fait de zinzin… oléolé… in… !
D’ailleurs mon « zinzoline » se voulait sans S mais bon, il fait ce qu’il veut, vu son état !
Annick , oui tu nous as manqué bisou !!
pas le temps d’écrire
mais je vous lis
Bernard …magnifique..je lis et relis
Bourrache… que de choses enfuient dans tes tiroirs…beaubeau
Maria_D … LeÏla quel beaux rebonds
annick content de te retrouver
arletteart , christine et ses pistes , Lou Rachel, annemarie , Monique;thierry, Olivier; jane; fauki qui est passé sur une autre note a qui je souhaite bon courage;
lusyamcoga , Neyde et son histoire entre rire et larmes
a tous bonne journée ainsi qu’a toi Ossiane grande révélatrice de couleurs
Olivier, Lou, Monique, Christineeee, Marc, si contente de vous retrouver et chacun…
la vie
est si douce , si ténu,
que la rugosité des jours
nous malmène nous déchire
si fragile, si léger
qu’un souffle de temps
nous emporte bien au delà du visible
Les doigts gelés sur le clavier … Le vent décoiffe les arbres, les feuilles affolées tourbillonnent et s’enfuient en une course éffrénée sur le chemin. Ce soir le coucher du soleil nous fera l’honneur de ses plus belles couleurs ; il en est toujours ainsi en automne, les soirs de mistral.
____
Quelques cailloux assemblés, triés, ordonnés
Géométrie d’harmonie et d’art
Pour inviter et accueillir notre regard
Piste d’inspiration pour un voyage vers la beauté
Qui trouve sa source au coeur de la matière
Et prend sa dimension dans la lumière
Petits cailloux, bris de verre, sable et poussières
Un immense champ de rêverie
Métamorphose des alchimistes
D’éclats de verre en émeraude
De grains de sable en agate, ambre ou saphirs
De grains de sel en diamant ou pierre de lune
De pierres précieuses en pierre philosophale
La voie de la Sagesse ou la sublimation des grains de sable.
zinzolin ça fait pas pangolin mais pandolin
ça ne joue pas de la mandolin
mais dans les courbes ça épouse les formes
et dans la tourbe ça consume les normes
toujours des explications tarabiscotées
pour des mots traficotés
du moment que le sic transite
Dans le couloir de droite j’ai peur du noir
dans celui de gauche c’est le verre qui ébauche
mais dans celui du centre c’est la feuille qui égaie
Ossiane,
Peux-tu ôter son s à brode?
Merci!
Annemarie
Je m’étais posée la question, Annemarie, j y avais vu, des perles, des brodes et des strass…
OH!! A nne -Marie Je me demandais ce que tu voulais » ôter au son.. »
avais pas vu ! pas grâve quand les écrits sont bien dit
Attention aux virages dans les couloirs Thierry même si les courbes épousent les formes il y a de la Zinzoline et ça glisse !!
Mais non Monique c’est une chanson qui parle de « qu’est -ce qu’il ya dans une noix?? »
E t pas de W Blake
Sniff ! il est sur ta piste Christineeeee
Il y a le chemin rutilant
Que tant empruntent
Car il brille ses feux ardents
Mais tellement le noir souvent
D’avoir plus et encore plus
A amasser son magot de vie
Puis des chemins de terre
Et ceux de sable ou de graviers
Encore celui qui grimpe
Si dur dans la montagne
Celui là il est dur
Des noirs c’est vrai en route
Mais tout au bout
La Lumière
Et celle qui s’écrit avec un grand L
Car tant d’Amour dedans
Enveloppé dans une grande Paix
Tout cela au bon goût des ALPages
Tendres aérés hauts pour méditer de bel
et tu vois, Annemarie, j’avais aimé avec un s, de toi, comme ça, lâché sur le papier de l’écran…SOURIRE! j aime ce qui ne se dit pas..souvent..SOURIRE.
mais sans s, c’est de ton toi qui le souhaite, alors, j’aime….
Sur la piste les trappeurs ont débusqué quelque obscure senteur
ils sont revenus et ont tourné autour des traces auscultant
le moindre message laissé et quasi invisible
Sur la piste les guerriers ont festoyé
pensant seulement à guerroyer
et tendu vers une cible
sur la piste de danse
ça balance
transe
Sur la piste qui enregistre le moindre des sons
crissent les pas crispants enrayés du gravier
Sur la piste de parquet glissent les corps
au moindre toucher léger du clavier
Sur la piste des grands ancêtres
on cherche un souvenir de papier
Pour AA :
Une noix
Qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix ?
Qu’est-ce qu’on y voit ?
Quand elle est fermée
On y voit la nuit en rond
Et les plaines et les monts
Les rivières et les vallons
On y voit
Toute une armée
De soldats bardés de fer
Qui joyeux partent pour la guerre
Et fuyant l’orage des bois
On voit les chevaux du roi
Près de la rivière
Une noix
Qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix ?
Qu’est-ce qu’on y voit ?
Quand elle est fermée
On y voit mille soleils
Tous à tes yeux bleus pareils
On y voit briller la mer
Et dans l’espace d’un éclair
Un voilier noir
Qui chavire
On y voit les écoliers
Qui dévorent leurs tabliers
Des abbés à bicyclette
Le Quatorze Juillet en fête
Et ta robe au vent du soir
On y voit des reposoirs
Qui s’apprêtent
Une noix
Qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix ?
Qu’est-ce qu’on y voit ?
Quand elle est ouverte
On n’a pas le temps d’y voir
On la croque et puis bonsoir
On n’a pas le temps d’y voir
On la croque et puis bonsoir
Les découvertes.
_
et c’est une chanson de … Charles Trenet …
_
Bonne soirée à tous.
(je suis autant congelée que Monique …
bon, paraît que le froid conserve !)
_
Ainsi les toits émois
Deux vies, et toi et moi sur des pentes adoucies
ça ne ferait de moi que la femme en sursis
Un peu de grains diamants perlant sur tes longs doigts
Un peu de ma musique bouclée sur fond de peines.
Je vais chercher lumière là-haut sur la colline
On m’a raconté d’eau, la rivière, à ses pieds.
Elle vient depuis la Lune,où se logeait mon cœur
La feuille verte déposée au centre du sentier,
Comme une brindille de chaume
aveuglant mes iris, j’irais en infuser
Ma tasse de verveine et la voir tournoyer
Comme dans l’oeil d’un cyclone.
A remonter la berge, je croiserais l’ermite qui de sagesse vécut
Dans sa main un bâton de pèlerin pécheur et dans ses poches, haïkus
De toutes ses douleurs emprisonnées en vers,Je reviendrais demain par la voie des Sagesses
Je coupe à travers bois sachant m^me les épines
Tout le rouge qui circule sur les berges Ossiane
Rappelle que l’homme pleure et qu’il sourit aussi
Que l’homme a des douleurs mais qu’il jouit aussi
Que l’homme fait des erreurs mais…que la femme, aussi.
Je ferais comme lui, l’ermite à moitié nu,
Je ferais comme lui, j’irais trouver la voie du silence tranquille, la lumière d’une prière suspendue à un fil….divin.
collage dépisté
et décollage écolo
dans une piste verte
où la feuille égaie
verte veine en folie
le collier éclate
ses perles de rires
joli leila!
Il avait lutté longtemps pour ne pas sombrer. Pendant de long mois la vie s’était traînée, étirée. Son existence s’être arrêtée le jour où elle était partie.
Cela faisait 6 mois qu’ils s’aimaient à la folie. Et puis un jour, plus rien. Aucun signe. Une absence insoutenable et incompréhensible s’était installée.
Ses parents ne savaient plus que faire pour lui remonter le moral. Il était tombé dans une apathie complète, un engourdissement de tout son être que rien ne semblait pouvoir guérir. Le père et la mère maudissaient cette fille qui infligeait tant de douleur à leur enfant.
Deux années passèrent.
Emmanuel avait retrouvé son entrain et sa joie de vivre. Il ne parlait à personne de cette épisode douloureux. Il pensait avoir retrouvé l’amour en la personne de Cécile, jeune fille sensuelle et intelligente. Leur entourage trouvait le couple bien assorti.
Et puis il y eut cette soirée où il la revit, par hasard. Elle discutait avec une amie d’arts primitifs. Il eut l’impression que le sol se dérobait sous ses pieds. Son premier réflexe fut de fuir puis une envie irrésistible de lui parler, de la respirer le saisit.
Il s’obligea à l’aborder avec distance et détachement :
– Mathilde ! ça alors ! toi ici
Elle pâlit en entendant sa voix. Elle le fixa de ses grands yeux clairs . Il aurait voulu la battre pour se venger du mal qu’elle lui avait fait et la serrer dans ses bras tant il sentait qu’il l’aimait encore malgré la douleur et les apparences.
– Bonsoir Emmanuel
– Alors, quoi de neuf depuis la dernière fois ?
Son ton était devenu sarcastique presque à son insu.
Elle réussit à répondre que tout allait bien puis s’excusa par un motif quelconque et s’éclipsa.
Il avait le cœur si secoué qu’il avait la sensation de manquer d’air . Cécile s’approcha de lui et la réalité le frappa de plein fouet. Il avait essayé de se persuader que cette fille comptait, à ses yeux mais il s’apercevait que tout n’était qu’illusion. Il aimait Mathilde encore et toujours. Il s’en voulut du mal qu’il allait faire à Cécile car elle ne méritait pas pareille trahison.
(à suivre quand j’aurai trouvé la fin…)
Neiges
Sur la crête elle est soufflée,
Laisses glisser…
Sur la corniche elle est croutée,
Virages sautés !
Au mur d’la combe
De la bonne poudre,
Choisis tes traces
C’est de la bombe !
Sur toute la rouge
Que de la glace,
Affutes tes carres
C’est un miroir.
La bleue, artificielles
Et de gros sel ;
La verte, de sucre glace
En oeuf tu passes…
La voilà lourde
C’est de la soupe,
Un vrai casse-patte.
Regrimpes au mur
C’est là l’éclate
Et flocons purs.
La beauté …une promesse de bonheur
Le sel … une promesse de saveur
Le sable… une promesse de rougeur
un tryptique affriolant mais pas affolant
Merci Bourrache j’ai enfin lu cequ’ilyavait dans cette fichue noix tu es géniale merci j’aime beaucoup te lire dans tes envolées
Rachel ,et si Emmanuel retrouve Mathilde et lui dise enfin que leur histoire n’est pas finie et que ….. tout peut encore se poursuivre il lui offrira » des perles de pluie d’un pays où il ne pleut pas » !!!!! où des grains d’Ossiane émeraudes del a piste de désert où 3 grains de folie pour un peu de sagesse ……………..à toi la suite de ton histoire
Bonsoir du soir AA
En prendre de la graine pour connaître l’ivresse…du semis
En retenir la traîne pour balayer la scène…en appentis
En classer souveraine tous les louis qui sément…des petits
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http://stephkup.nexenservices.com/epices/affichage/liste.htm
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La 83, la meilleure !!!
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Celà faisait longtemps qu’il cheminait nez au vent dans le silence de la piste;
il préférait détacher son regard des collines environantes et humer les fûmets délicats qu’exalaient la nature dans toute sa splendeur native.
Il avait marché sans dicontinuer depuis des jours le regard embrasé par le souvenir; à l’affut du moindre signe même le plus ténu se raccrochant au fil de l’espoir, au fil du temps à d’improbables images.
Sans peine et sans fatigue, acharné et entretenu dans un effort continu il poursuivait la quête persuadé que son intuition le ménerait au bon endroit.
Par moment cependant sa pensée se perdait dans un tel vague qu’il devait se ressaisir pour empoigner fermement son destin.
Chemin faisant il semait pourtant de clairs cailloux qui se fondaient presque dans le décors mais qu’un oeil avisé saurait encore repérer.
Comme un petit poucet il avait choisi d’égrener des grands espaces l’immensité en guise d’éternité mais en filant de ce pas saccadé il imprimait sa marque et modulait à discrétion les traces de son passage.
Pas une ruse de sioux juste un artifice pour dérouter et se rappeler du chemin parcouru, des enjambées fendues, dans le couloir du temps.
Et, vu mon côté nombriliste, je vous la replace celle-là :
http://www.cuisiflor.com/bourrache.htm
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heu…
« Un jardin sans bourrache est comme un coeur sans courage »
waoh c’est vraiment une belle formule !!!
on va essayer la recette, quand on récite le recipe ça va chanter
dans les casseroles, merci encore.
Désolé pour le bourrache de crane mais je suis enrubé, pas enrhubarbé
peut être enrhubarbant, hi hi.
Bises à Ossiane éloignée mais présente
et bonne soirée à toutes et tous.
La vie… et ses couloirs
Qui donnent à l’oeil ouvert
Le choix en multichoix
Quand un choix reste un choix
Le couloir de la vie
Un mirador en haut
Une étoile précieuse
Un brin bel de lumière
Une sombre aveuglade
En corridors de la vie
Quand une vie reste une vie
La vie en multivies
Qui donnent à l’oeil ouvert
Et s’écouloire… la vie
RESUME…
Skis au pieds, deux gus sur les pistes…
Les autres, un peu perdus…
Rachel dans son roman fleuve
(elle devrait écrire des livres !)
Lou nous « zinzoline » sur une piste aux étoiles
(nouveau mot pour notre dico ?)
AA et ses noix ?
Bourrache dans ses casseroles,
confectionne gâteaux aux Noix et bourrache
Thierry l’enrubé nous enrobe de mots bien cuisinés
Annick, toujours accrochée au fil de sa Vie, nous ravit
Et Monique, Marc, Pierre, Leïla, Maria-D, Aspe, Bernard, Fred… j’en oublie ?
Toujours fort inspirés,
Pistes de mots en colliers !
A chacun sa piste,
Qu’ils pensent être la meilleure
Pour le bonheur de tous
Biseeeeeeeeeeees du soir !!
Comptine
Grains de fer
Grains de verre
Les verts et les bleus se sont mélangés!
Grains de riz
Grains de vie
Une petite feuille venue s’y poser!
Grains de houille
Grains de rouille
Quelques grains de riz se sont envolés!
Grains de rire
De plaisir
Tous nos petits coeurs s’y sont attrapés!
Tout plein de retard et peu de disponibilité; j’ai pris le temps de vous relire à tête reposée et de savourer;-) Comme d’habitude, vous excellez en écriture. Aucun thème ne vous fait peur! Etes-vous des extraterrestres …. un grand merci à tous d’avoir exploré ces pistes avec ces super glissades poétiques;-)
>Olivier, c’est gentil d’être venu écrire et d’être passé dire bonjour à tous les amis du blog. Désolée, que tu ne te sentes pas en forme en ce moment. Il faut prendre soin de toi et des jours meilleurs reviendront. Aie confiance. Je t’embrasse chaleureusement.
>Annemarie, content de ton retour sur ces pages;-)
>quelles pistes calligrammiques, thierry ,–)
.
perdue
dans l’horizon
des sables
tes yeux noirs
brûlés
par trop de khôl
dévoilent dans les rares sommets
à la crête
des grès ocres-gris
le cri
parfait des femmes bleues…
http://www.encres-vagabondes.com/magazine/portillo3.htm
J’adore, felicitations
Ballet
POR CESARE PAVESE
Es un gigante que convierte a duras penas al pasar,
que espera que una mujer sin que parezca que esperar.
Pero no es a propósito: fuma y la gente mirando.
Toda mujer que va con este hombre es un niño
que se pega a su cuerpo, reír, sorprendido
por la gente que ve. El gigante se mueve,
la mujer que tiene formar parte de su cuerpo,
más vivo que el resto. Las mujeres no importan-
cada noche hay una nueva, siempre están petite
con lindos culos poco que la danza cuando se ríen.
El gigante no quiere el culo lindo poco a bailar
en la calle, por lo que las guías tranquilamente todas las noches
a tomar asiento a las peleas, y la mujer es feliz.
En la pelea, la mujer está ensordecido por los gritos,
y viendo su gigante, se convierte una vez más infantil.
Usted puede escuchar el ruido sordo de los puños y el raspado
de los pies, pero parece como si estuvieran bailando juntos,
desnuda y se cierran, y la mujer está mirando
con los ojos muy poco, mordiéndose los labios, ella es feliz.
Ella se abandona al gigante, infantil otra vez:
es un placer para tumbarse en contra de los acantilados que usted apoya.
Si la mujer y el gigante se quita la ropa-
y más tarde lo harán-el gigante se parecerá
la serenidad de los acantilados crecido caliente en el sol,
la niña presionando contra ellos por el calor.
La piste
Sur la piste éclairée
J’aurais voulu danser
Au bal être enlacer
Enfin me libérer
Comme la feuille morte
La valse me transporte
J’aurais aimé valser
Sur le parquet ciré
Dans l’air me balancer
Entre tes bras virer
J’aurais aimé un jour
te connaître mon amour
Sur la terre qui tourne
Et te garder toujours
Alain
Une définition de la sagesse ? Ce pourrait être retrouver les sentiments de l’enfance, mais pas seulement : on leur ajoute la conscience.
(Henri Gougaud, Parole d’Atelier)
c’est fort joli, Nath, que je redis,
mes mots semblent avoir disparu…