RaLenti

Ralenti

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Ralenti

Ralenti

Pas de pluie sur ton dos, pas de vent sur la dune, perles de poésie

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite

Pas de pluie sur ton dos
pas de vent sur la dune
perles de poésie

“La dune aux escargots”
Max Sauze. France.
“Mobiles! Des jardins pour un monde en mouvement”
Festival des jardins de Chaumont-sur-Loire 2007

Voici une annonce un peu inhabituelle ce soir que je fais pour mon ami Marc Bruhat que j’ai rencontré par l’intermédiaire de mon blog, il y a trois ans.
Marc a travaillé en tant que tireur photographe pour les plus célèbres photographes:
Helmut Newton, Henri Cartier-Bresson, Bettina Rheims, Dominique Issermann, Willy Ronis, Robert Doisneau, David Seidner, Keiichi Tahara, Edouard Boubat, André Kertész, Marc Riboud etc…
Il vend sa belle collection de photos signées par les plus grands et tirées par lui-même. Si vous êtes intéressés, cliquez sur le lien qui mène vers son site pour pouvoir visionner et acheter ses photos. http://m.bruhat.free.fr/photos/
Si vous avez besoin d’informations supplémentaires, contactez Marc Bruhat ou moi-même. N’hésitez pas à faire passer cette annonce autour de vous. J’ai également mis le lien du site de Marc dans ma rubrique photo.

46 réflexions sur « RaLenti »

  1. Escargots
    au vent
    sans l’eau
    souvent
    j’écoute
    sanglots
    Escargots
    au ralenti
    sur la dune
    moi aussi
    au ralenti
    sur le sable
    sous la lune

  2. la raison est tombée
    sur l’aventureuse équipe d’escargots,
    partis, avec patience et obtination,
    à la conquète du ciel –
    mais avant de renoncer,
    luttant contre épuisement et vertige,
    ont pris le temps de se disposer
    en une composition musicale,
    échec muté en oeuvre

  3. et je renonce également,après avoir regardé, rêvé parce que Kelichi Tahara, et même Sagnes que j’aime presqu’autant, et les beaux mots qualifiant les tirages, tout cela excède mes moyens en ce moment

  4. ___

    Lents
    Escargots
    Broutant
    Sur la lune
    Sous la dune
    Les ternures
    Du Brésil.

    Quand j’écoute,
    Quand j’entends,
    Les sanglots de sa voix,
    Avec toute ma tendresse
    D’un doigt délicat,
    J’efface le grain de sable
    La perle de pluie
    Diamantant son Oeil.
    _

    Biz à toi, Neyde.

    En écho à Brigetoun : n’ai guère qu’escargots et limaces dans mon escarcelle … (pluvieux à souhait, ce fut l’été de tous leurs ébats dans mon jardin).
    Mais cela n’empêche pas de rêver…

    Bonne journée à tous.
    ___

  5. Etats d’âmes selon les jours

    en attendant des jours meilleurs
    je me camoufle à l’intérieur
    et ne montre rien à l’extérieur
    ……………………..
    si j’étais un escargot
    le soleil me ferait horreur
    et la pluie mon bonheur
    ………………………..

    vent mauvais ou pluie
    le bonheur est un parapluie
    qui protège des intempéries
    …………………………
    dans mon impénétrable intérieur
    même l’éclat de la lumière
    ne peut éclairer mon cœur
    ………………………..
    je rêve de cette vie de bohème
    à écrire prose ou poèmes
    pour écarter les jours si blêmes
    …………………………
    à courir trop vite
    on ne peut saisir l’instant
    il va trop lentement
    ……………………

    le photographe prend son temps
    et tente de cueillir l’instant
    mais il fixe toujours le suivant
    ………………………..

  6. parabole

    je prèfère prendre la tangante
    que de toujours courrir plus vite
    car un jour la chute est inévitable

  7. elle suit la trace namuroise et s’ensable.
    l’escargotière l’élève au dessus des obstacles.

  8. « la dune au escargot » est une œuvre magique, tel un jardin zen surplombé de nuages électriques. Les photos sont très belles et cette vision cosmique me chatouillent les rétines.
    « Comme en vous contemplant dans le miroir :
    La forme et le reflet se regardent.
    Vous n’êtes pas le reflet,
    mais le reflet est vous »
    Hokyo Zan Mai

    yoda

  9. Ralenti sur image
    Il y a beaucoup de ces petits escargots blancs ou rayés très clairs en Provence, on les appelle les escargots des dunes ou les escargots de Pise, je ne sais pas si c’est parce qu’ils forment de véritables tours penchées 😉 ici on les appelle les missounenques. Ils vivent en colonies, serrés les uns contres, sur les branches de genêts ou de fenouil ou sur d’autres branches de plantes de sol caillouteux ou sablonneux. Parfois il y en a tellement qu’il semble que les buissons sont en fleurs, fleurs blanches bien étranges lorsque l’on s’approche de plus près. Il semblerait que ces escargots grimpent sur les plantes pour fuir la chaleur du sol et trouver la nuit quelque humidité.
    __

    J’ai vu sur la branche
    L’ascension des escargots
    Coquilles de fleurs
    __

  10. Bonne fin de soirée et bonne nuit à tous
    ___

    Lépidie des champs
    Artifice dans la dune
    Perles de sculpture
    ___

  11. pas de ragots, silence chez les escargots
    personne ne sort du rang
    pas de resquille on ordonne les coquilles

  12. ___

    RA meutement :

    LE thargie
    N arcose
    TI édeur

    Escargots en vacance(s)

    Oeil en veille
    _

    Oui, bon, je sais.
    Y’a du soleil chez quelqu’un ???
    J’en veux bien un brin…
    ___

  13. ___

    MACHINE à l’arrêt,
    ENGRENAGES gangrenés,
    ARBORESCENCES débranchées : chemin perdu.

    « MIROIRS, oh, nos beaux MIROIRS, nos mots ne sont-ils plus les plus beaux ? »

    Pas d’ECHOS.

    LEON-le-CAME BOYCOTTE le canard à la PEKINoise : indigestion évitée.

    Nul besoin de podium : assis par terre, jambes croisées, il déguste son RAt aux LENTIlles.
    _

    Oui, bon, je sais.

    Mais je vous signale aussi qu’ « A défaut de grive, on mange du merle »

    càd

    qu’ « A défaut de vous lire, je dépose mes c…. »
    ___

  14. à travers
    le grillage
    des tours de fer
    les escargots
    sont monte-en-l’air
    voleurs de ciel
    mais
    comme les hommes
    sur Babel
    chacun reste
    dans sa coquille

    les escargots
    sont monte-en-l’air
    et dans la multitude
    solitaires
    accrochés
    au filet
    de leur vie immobile
    perles nacrées
    tombées
    d’un collier
    dont le fil s’est rompu
    comme l’homme perdu
    s’accroche
    aux mailles de l’espoir qui fait vivre
    en attendant
    d’atteindre les étoiles

  15. Certains font leur beurre avec des gastéropodes
    qui aiment laissser traîner leur estomac
    pourtant quand ils s’alignent pour une course improbable
    dans des tours qui ressemblent à des nanotubes de carbone
    ils lancent le compte tour à défaut de vrombir
    et ces centaines d’antennes dressées et redressées
    captent du ciel des signaux étranges qui dérangent

  16. Bourrache tu me fais rire c’est déjà beaucoup

    et puis quand l’inspiration te viens tes textes sont si beaux!!

    Ce que je préfère dans la vitesse c’est le ralenti!!!

  17. J’espère que je ne réveille personne, c’est l’heure de la sieste, bonjour à ceux qui ne dorment pas, il est bon parfois de vivre au ralenti à la manière des escargots encore que…suivez un escargot à la trace… vous verrez qu’il fait du chemin plus vite que ce que l’on imagine tranquillement et sans faire de bruit…

    __

    Partir tranquillement
    Avec pour tout bagage
    Sa coquille sur son dos
    Partir à l’aventure
    Sa demeure à demeure
    Le plus paisiblement du monde
    Quand « la maison abrite la rêverie
    Protège le rêveur
    Permet de rêver en paix »*
    Oui Monsieur Bachelard
    S’il en était ainsi
    Je me ferais volontiers escargot
    Et ne prendrais pas plus le risque
    De mourir écrasé sous le pied de l’humain.

    ____

    * »la maison abrite……..en paix » Gaston Bachelard dans la poétique de l’espace

  18. Bonjour tout le monde, j’arrive à petits pas et en prenant mon temps avec le livre de Kundera isous le bras ntitulé « La Lenteur » 😉 Je ne pouvais pas faire moins que ça 😉
    >neyde :
    Un très joli petit poème en gouttes de mélancolie ; j’aime vraiment beaucoup Neyde. Bien à toi avec une bonne pincée d’énergie positive 😉 Bises.
    >brigetoun :
    Bravo brigitte ! Toujours aussi juste et inventif plus une bonne part de toi à l’intérieur 😉
    J’aime aussi Keiichi Tahara. Pas facile de se faire un peu plaisir en ce moment, dommage… Je t’embrasse.
    >bourrache :
    Belle deuxième strophe ! Oui bourrache, ces petits escargots alignés sont destinés à faire rêver autrement les jardiniers du futur lorsqu’il n’y aura plus d’eau. La ternure du Brésil devrait les requinquer un peu 😉
    Encore un peu de Ralenti c’est vrai 😉 … avant le grand rush pour tout le monde. Je te passe une petite goutte de soleil pour te faire patienter 😉
    Tu me parais fin prête pour écrire le poème du mois puisque tu décortiques déjà tous les titres de notes mais ça déraille un peu à un certain endroit;-)) Bref je crois comprendre que tu attends tous les amis du blog 😉 Bises.
    >marc :
    Superbe !! Et en plus tu fais des vers !! Un poème pour les petits et pour les grands ! Ces états d’âme sont très riches en images et en pensées. Tu es un fin illustrateur poétique de mes photos ; j’aime 😉 Mignon tout plein aussi le petit escargot étourneau !
    Merci également pour tes autres liens. Je t’embrasse et te souhaite une belle journée !
    >salade :
    C’est joli ce que tu dis 😉
    Je suppose que tu fais allusion à la trace argentée que les escargots laissent derrière eux…
    Pas d’ensablement pour moi en tout cas 😉
    Tu as un nom qui plait aux escargots 😉 Attention à ne pas te faire manger 😉 Belle journée dans ton nord namurois !
    >aspe :
    Coucou aspe, te voilà revenu de vacances 😉 Contente de te retrouver en lente vitesse; les restes d’un été de paresse dont j’espère tu as su profiter 😉 Merci pour ces premiers pas en poésie feutrée 😉 Je t’embrasse.
    >le sid :
    Bonjour Yves 😉 Incroyable comme avec les mots on peut faire dire tout le contraire à une image 😉 Bien vu ton haïku en fils de fer. Bon après-midi !
    >yoda :
    Bonjour Yoda et bienvenue sur le blog 😉 Merci pour cette belle entrée en matière très poétique ! Vous avez mis le poème entre guillemets. Permettez que j’ajoute le nom de l’auteur Hokyo Zan Mai. C’est la moindre des choses. Bien à vous !
    “Comme en vous contemplant dans le miroir :
    La forme et le reflet se regardent.
    Vous n’êtes pas le reflet,
    mais le reflet est vous”
    Hokyo Zan Mai
    >alice :
    Bonjour alice, comme ton poème est délicat et plein de fraîcheur ! C’est vraiment plein de grâce, merci pour ta belle plume !
    >monique :
    Sieste obligatoire pour tout le monde sur cette note ;-)) On vit au ralenti comme les ours en hibernation;-)
    Sans doute de très beaux effets visuels tous ces escargots accrochés aux tiges et branches ! Comme j’aimerais prendre ça en photo !
    Les mots de ton poème sont très jolis aussi avec ces coquilles de fleurs !
    Quant à Bachelard, il ne dit que des belles choses, si Pierre était là, il t’aurait sans doute fait une bonne répartie 😉 Merci pour ton beau poème rêveur et paisible. Bises vers ton sud et tes escargots blancs !
    >thierry :
    Silence bien ordonné, c’est vrai et bien senti !
    Ton deuxième poème est très amusant. Je ne fais pas de beurre non plus avec les gastéropodes ; je préfère les regarder 😉 Bel après-midi !
    >amichel :
    Le poète Michel a bel et bien parlé ! C’est tout à fait le sens de ces photos. Touchant ce fil rompu et l’homme perdu… il faut retrouver et redonner du sens à la vie. Merci pour la beauté de ton texte, je t’embrasse à travers le grillage 😉

  19. On s’allonge sur la dune..on tire le ciel vers soi……..Maisons abandonnées….intérieurs nacrés…dans la coquille doucement se glisser…suivre la spirale et ce drole d’escalier….descendre en douceur….glisser sur le sol doré…oublier le grillage …les interdits et les figures torsadées…avec la paume les parois doucement effleurées…sur les lèvres quelques mots allongés…descendre en silence ..le coeur battant et les jambes dérobées…découvrir aquarelle et soleil accrochés…pas de terre ni de danse annonçés….quelques notes pour un temps dépassé…dans le coeur d’une fleur …déclaration oubliée….On ferme les yeux…et on rêve d’une autre fois..

  20. au pas lent de la cigogne
    répond l’avancée mousseuse
    sur sa traîne baveuse du gaster héros
    l’héliliculture a de beaux jours devant elle

  21. ___

    L’aile lisse de l »hélico de Marc.

    L’aile lisse (ci-culture) de l’escargot de Thierry.

    … je ne sonne pas l’hallali ! mais…
    _

    Ah … les gast-héros-podes rébusiens*

    (*) c’est nouveau, ça vient de sortir
    (aurais-je fait une coquille ?)
    _

    Clin d’oeil, hein, Thierry !!!
    ___

  22. Pour Bourrache

    C’était par une merveilleuse journée de pluie, et un vent à vous emporter au bout du monde. J’avais rendez-vous avec le plus beau; enfin la plus belle; à vrai dire, je ne sais pas vraiment. Mais il fallait que je trouve une excuse car maman ne voulait pas que je sorte de la maison. Enfin façon de parler ; Car le jour ou je sortirais vraiment de la maison se sera le pied devant. Je lui prétextais que j’avais besoin d’aller chercher une bonne salade craquante à point que j’avais repéré dans l’après midi. . Donc je partis à mon rendez-vous. J’avançais d’un pas certain. Je ne voulais pas être en retard pour notre premier rendez-vous. Je regardais le ciel et m’extasiais. Ils avaient une couleur gris sombre; . Les nuages s’obscurcissaient et se gonflaient sous l’effet du vent. Les éclairs illuminaient ces géants menaçants. La pluie tombait à souhait, bien fraîche. C’était le plus beau joue de ma vie ; j’avais les tentacules toute dressée ; le cœur battait la chamade. Soudain derrière le nain de jardin je l’aperçu. Il/elle était là. Je ne voyais plus rien d’autre que l’élu de mon cœur. J’avançais pour l’embrassé mais je me pris le pied dans un gravier et tourneboulais. Je finis ma course sur un hérisson. Et je hurlais de douleur. Heureusement pour moi, il dormait à point fermé. Je descendis tant bien que mal.
    Aphrodite m’attendait en bas. Elle enleva un à un les piquants. Quand se fût fini, je dus retourner à la maison sans même avoir de temps de l’embrasser d’un long baiser baveux. Quand je dis long c’est long. Une dizaine d’heures. Ce soir là je n’ai pas dormi de la nuit.
    Malheureusement au réveil le soleil avait fait son apparition et avait asséché tout le jardin. Je dû rester cloîtrer en fermant les volets. Ha parfois je rêve d’une vie d’homme. Eux au moins ils peuvent sortir par tous les temps. Le pire c’est que ce merveilleux temps chaud et sec dura plus de deux semaines. Mais tout vient à temps à qui sait attendre. !!!en attendant je rêve….

  23. Trois petites gouttes ce soir dans l’encrier pour faire sortir les escargots et dire bonsoir à Thierry, Bourrache, Marc, Aspe, Alice, Brigetoun, Amichel , Pierre b
    et leur dire qu’il m’a été agréable de les lire ainsi que toi Ossiane, bonne soirée à tous.
    ___

    Devoirs de vacances
    Belle page d’écriture
    Le cahier de sable

    Graphisme soigné
    Rangée de colimaçons
    Barres et petits ronds
    ___

    ….l’esprit ce soir au ralenti, au rythme de la fête aux flambaux en coquilles d’escargots….

  24. HelloUn bisou d’aéroport sur le chemin du retour. J’ai quitté Paris ce matin et votre magnifique capitale me manque déjà. Vous m’avez manqué aussi l’équipage;)

    Des perles qui s’accrochent aux grilles de vos mots
    Sur le sable amarrées rêvent au ciel de verdure
    Des perles qui remontent le doux fil de l’eau
    Où elles auront plongé le bleu de mer est pure
    Des perles qui rencontrent la branche le rameau
    Et qui brillent de passion on aimerait qu’elles perdurent

  25. Petit écho (rigolo ?) à Marc :
    _

    Petit escargot prudent,
    De sa coquille, ne sort
    Que par gros temps
    De pluie, de vent
    Et par amour, lentement mais sûrement.

    Petit escargot rêve d’une vie d’homme…
    … là, il devient imprudent !
    _

    Clin d’oeil, sourire et merci, Marc.
    ___

  26. Un grand salut amical vers Lou qui repart vers Frisco, vers Bourrache qui préfére
    les bords de fuite aux bords d’attaque ;), vers Marc incomparable de sensibilité
    affleurante et aussi monique pour son art de la synthèse. Pierre B n’en finit pas de nous émoustiller et amichel nous charme chaque fois plus par ces descriptions imagées.

    Pourvu que pourvus en coquilles nous fassions rimer cargolade avec rigolade
    et pas estoufade

  27. Thierry : c’est la coquille contenue dans ton » héliLiculture » qui m’a fait sonner l’hallali et sortir  » l’aile lisse si… »
    (héliCiculture)
    C’était sans aucune méchanceté.
    On me reproche souvent « mes gros sabots ».
    Mais j’habite aux fins fonds d’une campagne perdue … faut parfois me comprendre.
    Biz à toi.

  28. Bourrache: loin de moi une quelconque critique dont je ne suis pas coûtumier
    je ne sais pas si la culture hélicoïdale des gaster aux antipodes est licite ou pas
    je crois que nous avons licence pour en parler sans retenue.
    Je confesse mon erreur et mon ignorance crasse, je croyais sans l’avoir vérifier
    que faire tourner l’hélice sans malice et sans ksir suffisait à la dégustation, mais
    sans apprécier outre mesure l’hélicon, j’avais confondu le L et le C.
    Je devais trouver ça plus beau et les liliacées sont parfois de toute beauté (souvenir
    du jardin de botanique du Mall à Washington DC) mais d’ici à là bas l’erreur funeste
    se propage comme ces traces sur les laitues.
    Encore heureux que je ne l’ai pas tu plus longtemps.
    Je te comprends à demi mots et j’apprécie énormément ton humour
    vrai de vrai.

    Les sabots d’hélène ne m’ont pas rendu capitaine mais mon grand père savait les fabriquer et les porter et c’est un souvenir qui m’est cher.

  29. « Capitaine, oh, mon Capitaine » … et l’on se retrouve chez Ossiane … avec notre petit seau rouge … et notre banc … de sable.

    Et pourquoi pas, ce soir,
    Au bistro, un p’tit noir ?
    _

    J’vais m’faire soigner … suis en manque.

  30. Ossiane : je ne me permettrais pas de prendre la première place de Neyde. Elle l’occupe trop joliment.
    J’ai juste voulu, à la mi-temps, réveiller le moral de la troupe…

  31. C’est bon de repartir en arrière
    pour partir vers devant
    c’est bon de simplevivre
    de ne pas cesser de vivre
    ses perles de vie à soi.

  32. Perles d’Amour
    ©œur coquillage
    Corps sur la plage
    Le teint hâlé

    Guirlande de perles
    Collier de fleurs
    Mala de vie
    Perles de verre

    Perles de cœur
    Le sable chaud
    ©orps en prière
    ©œur escargot
    Les pieds sur terre
    L’âme en sanglots

    Lune et soleil
    Tableau d’azur
    Reflet de miel
    Perle de lune
    Le ciel marbré
    En ses spirales
    De nuages clairs
    Et de zéphyr

    Élan de ©œur
    Au ralenti
    L’escargotière
    Des mots d’Amour
    Paresse enfouie
    En gammes de vers
    Strophes nostalgie

    Collier de Pise
    En quête d’eau
    Larmes de ton rire
    Mirage de peau
    Regard poème
    Regard Je t’aime

    Perles magiques
    Ivoire d’Afrique
    Mala indien
    Perles de bois
    Perles de pluie
    Un Chapelet

    Grains de bodhi
    Mantras des cieux
    Turquoise de vie
    Parfum Lila

    Fraîcheur de vie
    Un lien rompu?
    Un homme que j’aime
    Silence de soi
    Nacre, aquarelle
    Pensée à Toi

    Moment de Lune
    Le crépuscule
    Moment de Nuit
    Un ciel de pluie

    Tenture indienne
    Tapis Cachemire
    Bangles et sari
    Perles aux chevilles

    La musique m’emporte
    Je la suis
    Danse de l’oubli
    Papier de soi
    Froissé.

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