Lecture du Haïku Calligramme: centre, gauche, droite
Un regard si doux
des chuchotements soyeux
caresse attendue
◊ Quelque part à la sortie de Belgodère …
◊ C’est en beauté, amitié, émotion, fusion que Brigetoun, Salade, Jo, Kirikino et Nigra ont plongé leurs yeux dans ces douces prunelles. Echange de regards qui se pénètrent, nos cinq poètes se sont fait chuchoteurs.
tu as émergé,
toi, doux, du royaume vert.
Dressé, tu attends.
Sur ton velours irisé
le soleil glisse.
Ton oeil, ovale fendu,
diamant humide,
me regarde, résigné
un peu, amical.
Ta beauté en attente,
tremblant, frémissant.
Oui, nous allons nous enfuir
dans un lent galop
Dans Pégase confiant,
quarante deux est ton chiffre ferré,
visible à l’oeil nu,
et pourtant le plus éloigné
de cette caresse inattendue.
Chemin de cils,
sous tes ombres, douceur
d’une rencontre.
Douceur du regard
Dans ces yeux de pouliche
Paupières aux longs cils.
Lui murmurer à l’oreille
La mélopée des conquêtes
Les yeux dans les yeux
Sans un mot
d’une rencontre.
J’y ai lu ton désir de liberté
J’y ai vu ton caractère sauvage
J’y ai bu ta force tranquille
Les yeux dans les yeux
Dans un songe
Tu m’as laissé t’approcher
Cavalcade féline
Ruade rebelle
Douceur câline
Les yeux dans les yeux
J’ai compris l’ampleur
De tes désirs
Tu as compris la sincérité
De mes pleurs
Je ne peux rien pour ta liberté
Peau contre peau
A force de doigté
On se consolera
Complices
Laissons la place au vent
Crinières au vent
La vie au galop
tu as émergé,
toi, doux, du royaume vert.
Dressé, tu attends.
Sur ton velours irisé
le soleil glisse.
Ton oeil, ovale fendu,
diamant humide,
me regarde, résigné
un peu, amical.
Ta beauté en attente,
tremblant, frémissant.
Oui, nous allons nous enfuir
dans un lent galop
confiant, tu avances vers nous,
regard sur notre monde
tu as tant à nous dire!
qq mots avant de sauter dans le tgv.
je fonds….
Le cheval est l’animal le plus pratique qui ait été inventé. On peut monter dessus sans avoir l’air ridicule pour l’emmener chez l’équarisseur.
Pour une caresse
je suis
mal réveillé, ce matin. Excuse, Ossiane, mon geste malhabile…
Pour une caresse
je suis arrivé vers toi
la main tendue
Douceur du regard
Dans ces yeux de pouliche
Paupières aux longs cils.
Lui murmurer à l’oreille
La mélopée des conquêtes
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
Dans le regard lue
toute la beauté du monde
je m’y suis perdu
AU GRAND GALOP !
Des fours nucléaires
déversent dans l’atmosphère
leur haleine opacifiée
comme un effet de serre
dans nos mémoires saturées
Sombres verticalités
On a mordu dans un fruit
génétiquement modifié
et depuis
on marche sur la tête
pour sauver la planète
faudra retourner le sablier
Sombres verticalités
Pour tourner la page
faudra retrouver l’espoir
ou nous enfermer dans une cage
comme une espèce à étudier
dans un laboratoire
lobotomisés
Sombres verticalités
Quand tout s’emballe
comme un cheval au galop
que tous nos rêves embarqués
se brisent
dans un paquebot
comme un bloc de banquise
sur un morceau d’éternité
Sombres verticalités…
A Bourrache,
« un jour, sur terre… »
Passion steppique
cavale en la prairie
regard nostalgique
Grande…noble…belle…J’aurais aimé ne garder que ces mots..peut être y ajouter ceux de..sauvage..immensité…liberté…Dans ce regard que vous trouvez si doux…vous ne voyez qu’un être résigné..ou plutôt…songeur..
Il y a bien longtemps..c’était moi…hier ..l’espace…de tous temps le pouvoir…et demain..?
Quelle sera la plus belle conquête de l’homme ?
Au bord des paupières
Le bleu du curaçao
sur le bord du verre
flirte avec la lumière
diffracte dans l’eau
sensualité des mots
Les images en soleil
cachent les ombres
allument les plâtres
ourlent de vermeil
la fleur de la treille
Et l’homme nomade
au coeur de l’instant
bois l’aube nouvelle
vaste feuille infusée
d’un bleu immortel…
Est-ce bien l’homme qui a conquis?
N’est-ce pas plutôt l’homme qui est la plus belle conquête du cheval?
Libre dans le vent
allant venant et cherchant
ai-je fait le bon choix ?
l’animal au prés de la nature nous montre l’humilité
Pierre
c’est l’animal qui conquit l’homme , l’homme à tous à apprendre de la nature .
Sven , j’aime beaucoup » Au bord des paupières «
Mes vers sont boiteux
désenchantés
mal ficelés
mal serti
plus de silex
plus d’étincelle dans les yeux
Tout me dépossède
m’étouffe ou m’asservit
tout ce qui fut apprivoisé
m’échappe ou m’ennuie
tout ce silence blessé
dans la voix de la mélancolie
cette grâce, cette innoncence
comme une présence perdue
Tout ce mouvement
incessant de la vie
ce faux-semblant
cette respiration
cette marée
ce balancement
cette mue
galoper par plaisir
avec le désir
sans le désir de partir
à corps perdu en marge du temps
se rejoindre en se perdant un peu…
entre envol et vertige
pouvoir encore se nourrir
de marges et de seuils à franchir
sous la brûlure pouvoir encore
caresser la part de l’ombre
écouter battre le pouls
des amours mortes
pouvoir recueillir
l’écume de l’âme sous les remous…
Mes vers sont boîteux, en toute complicité…
clin d’oeil vers toi, Bruno
meci pour ton compliment, ça fait toujours plaisir. Bonne journée
Chemin de cils,
sous tes ombres, douceur
d’une rencontre.
Un oeil qu’on plisse
vers son vieux complice
tendre malice
En écho au grand galop de Sven :
____
Entre deux eaux,
L’éléphant et sa défense.
Entre deux eaux,
L’homme suffoque, il se plaint.
Entre deux eaux,
Le phoque sans défroque.
Entre deux eaux,
La femme supplie, elle craint.
Entre deux eaux,
La baleine qu’on malmène.
Entre deux eaux,
L’enfant pleure, il a faim.
Entre leurs chaînes,
Entre leurs barreaux,
Entre deux zoos.
(12 décembre 1992)
___
J’aime tant ma planète … j’ai toujours craint qu' »un jour, sur terre », ce soit l’enfer.
Dis, Sven, tes écrits sont trop réels … j’ai froid !
Ciel trop gris et torrent de larmes de pluie.
J’veux un brin de soleil, un soupçon d’espoir.
Quelqu’un me jette la bouée ?
Bonjour tout le monde,
Je ne suis pas le beau Robert Redfort qui murmurait à l’oreille des chevaux. Quand je vois ce magnifique cheval, oreilles dressées. Je m’imagine en
Contre vents et marées,
Hennissements de liberté,
Et au galop, nous traversons une forêt de bouleaux,
Vers le château de Chenonceau,
Au pied de cette majesté,
L’aventure atteint son apogée,
Il semble flotter un air amoureux,
Et la belle châtelaine apparait sous un ciel lumineux,
Révérence, m’offre son bras d’un sourire généreux.
Ma chère Ossiane,
J’aime quand tu ne réponds pas vraiment à mon précédent poème. Une façon élégante de me dire « non ». « A nos actes manqués »…
Bises,
OLIVIER
Plouf ! 🙂
Evidemment
Peu d’amour
Evidemment
Polluée
Evidemment
Solitudes
Evidemment
Souffrances
Evidemment
L’Homme
Evidemment…
Mais
Evidemment
Ton sourire
Evidemment
Nos matins
Evidemment
Leurs espoirs
Evidemment
La beauté
De chaque
Matin
Brume
Ou
Soleil
Chaque
Matin
Chaque
Souffle
Chaque
Question
Chaque
Naissance
Chaque
Mort
Et toutes
Ces vies
Malgré
Tout
Toutes
Ces
Merveilleuses
Vies
🙂
‘rci, Jo … vais pouvoir garder la tête hors de l’eau …
Dans Pégase confiant,
quarante deux est ton chiffre ferré,
visible à l’oeil nu,
et pourtant le plus éloigné
de cette caresse inattendue.
Viens approche
Donne moi ta chaleur
Sous ma main
Laisse moi frissonner
A te voir
Viens je m’approche
Mon ami
Mon beau jour
Notre douce complicité
Si élégant
Si plein de charme
complicité
Un oeil qu’on plisse, tendre malice.
Mots et silence comme pelisse,
Ton absence terrible présence,
De ton ombre, jaillit la lumière.
A toi mon cher et vieux complice
Non par le nombre de tes ans
T’avais quarante trois ans seulement
Premier sur cette putain de lice
Cher, mais inestimable
Un ami n’a pas de prix
P’tit con si vite tu es parti
Je continue, seul, misérable.
Depuis nos tous premiers émois
Sur le chemin de l’amitié
Moi le pied gauche et toi le droit.
L’Impatiente faucheuse m’a amputé.
Toi et moi ne pourront pas vieillir
Dans le silence des souvenirs
Le temps qui plisse et rétréci
Trop tôt tout ça c’est fini
Pour toi mon cher complice
Je vieillerais, je te le dis
Notre complicité comme un calice
ou coule l’amitié de nos deux vies.
A Dominique
Mélancolie
Quand elle me serre
Viens te serrer
Contre moi
Bonjour à tous
Pas beaucoup de temps aujourd’hui. J’ai bien aimé le poème de Brigetoun
Tes yeux de velours
Ta crinière dans les flancs
je craque d’amour
Bises à toi, Ossiane
Les yeux dans les yeux
Sans un mot
Tu m’as tout dit
J’y ai lu ton désir de liberté
J’y ai vu ton caractère sauvage
J’y ai bu ta force tranquille
Les yeux dans les yeux
Dans un songe
Tu m’as laissé t’approcher
Cavalcade féline
Ruade rebelle
Douceur câline
Les yeux dans les yeux
J’ai compris l’ampleur
De tes désirs
Tu as compris la sincérité
De mes pleurs
Je ne peux rien pour ta liberté
Peau contre peau
A force de doigté
On se consolera
Complices
Laissons la place au temps
Crinières au vent
La vie au galop
Je cite ton blog dans le mien, Ossiane, dis moi si cela ne te dérange pas. Je t’embrasse.
” Viens”
” J’aimerais, mais je ne sais pas monter à cheval..”
” Viens, je t’apprendrai”
” Alors je me laisse tenter, par les plumes du dessus de ta tête, ton oeil si doux du petit trot, alors viens”
Rédigé par: Annick | le Lundi 15 mai 2006 à 18h57
je me suis souvenue très fort, de mes premiers pas tremblants d’approche..
Complicité
Si tendre et belle
Je te serre virtuelle
Tu me manques
De ta chair
Complicité unique
Je t’aime
Mon respire suffoque
Le temps est si long
Je t’attends
Ma tendre complicté
Toute de vraie
Tu es ma vérité de vie
Ma lumière en plein ciel
Mon chemin éclairé
L’épaule pour me nicher
Je t’aime
Fanou, merci pour tes mots d hier, je te souhaite un bon voyage. Je n’ai pas réagis hier, assez dans la choucroute mélancolique… BEAU VOYAGE!
Complices
On avance
Main dans la main
De nos désirs
Notre baiser tendre
Est notre force
Notre soutien
Notre vie en vie
Complices
Du tant
Dans le temps
On se serre
Et on se niche
Inséparables
Indestructibles
Complices
Si bels d’amour
Sur un chemin
Unique
Ton oeil tout doux
Me fait craquer
Je m’avance
Pour te caresser
Regard complice
J’insiste tu me souris
Entrons dans la lice
Entre chien et loup
les nuages en mèches longues
s’étalent sur l’horizon
l’inquiétude inonde
le jour coule
emmêlé dans ses draperies…
A Bourrache, « un jour sur terre »…
****
Le cavalier
Il vient vers toi sans faire de bruit
dans ton rêve comme par magie
Il passe enflammant la vie
le vent galope à travers lui…
à Brigetoun, complicité.
Il suffit d’un regard pour unir à jamais dans une tendre complicité si pleine d’amour, un regard c’est tant être, en dedans, en dehors, de la couleur de son âme, en couleurs de ses yeux.
Juste un regard de toi
Et mon moi se revit
De toi vers moi
Tourné ton regard
Me donne vie
Quand mes yeux
Sont ce triste
Que le monde
Leur fait voir
Et mon regard sourit
A ton regard à toi
Si belle complicité
et pour suivre l’idée de PIerre,
Entrons dans la lice
Parlons échangeons
Carr le temps
Nous a pris
Et notre silence si beau
Vois mon sourire heureux
Dans tes yeux éclairés
De notre tendre complicité
Que personne ne prendra
Jamais
Ô non
Jamais!
je file en courses, ventiler mes petits poumons. Bon début d’après midi. Mon énergie positive revient encore un peu, si razplatplat hier aprem.
psss tendre Ossiane
psss chère complice
psss merci la vie
au fleur de la peau,
ombragé de doux,
en noire profondeur,
suis invitation
à plonger en moi,
franchir la porte
entre ce grand corps
et vous, le monde
au fleur de la peau,
ombragé de doux,
en noire profondeur,
suis invitation
à plonger en moi,
franchir la porte
entre ce grand corps
et vous, le monde.
Merci Pierreb….,
j’ai vu ce matin dans un champ l’harmonie simple d’un cheval , dont le blanc se détachait dans le soleil levant sur l’herbe si verte. Cette vision était presque iréélle, très douce et très simple à la fois.
En fermant les yeux, je pouvais me projeter dans le monde ancien des chevaux libres, où vivaient mes ancêtres. Cette vision m’a prise entièrement, oubliant ces clôtures, au service de nos espaces calculés, bornés d’asphaltes et de voitures, et nos intérêts. Mon âme même avait pris une autre ampleur. C’est notre âme même que nous enfermons, réduisons… notre âme..qui prend la mesure exacte de nos décors…de notre confort…
On arrête pas le progrès…..dit on. Il est à craindre que ce soit lui qui nous arrête..
Pourtant, posant mon front sur son front large et dur..il m’a semblé que quelque part en lui, subsistait un espace éternel de pure liberté…
oui, Sven…
« tout ce qui fut apprivoisé
m’échappe ou m’ennuie »
peut être dirais je ..domestiqué…
Pendant qu’Annick fait ses courses brides abattues, poursuivons son idée:
Un regard échangé
En tendre complicité
Un seul suffit
Pour se reconnaître
Humain trop humain ce regard.
Que me veux-tu
Passant que je ne t’ai déjà donné
Quêtant en tes yeux
ton bonheur animal ?
désolé pour le relecture
j’ai refondu mon texte
d’une autre manière
Un oeil qu’on plisse, tendre malice.
Mots et silence comme pelisse,
sous l’ombre de ta terrible absence
jaillit la lumière de notre connivence
A toi mon cher et vieux complice
Non par le nombre de tes ans
T’avais quarante trois ans seulement.
Premier de cette implacable lice.
Très Cher, mais inestimable,
notre attachement n’a pas de prix.
mino tu es si vite parti
Je continue, seul, misérable.
Nous avons partagé tous nos émois
Sur le chemin bienveillant de l’amitié
Moi le pied gauche et toi le droit .
L’Impatiente faucheuse m’a amputé.
Toi et moi ne pourront pas vieillir
Dans le silence des souvenirs.
Le temps qui plisse et rétrécit
me vieillit, m’emmène. Je souris.
>Brigetoun, Kirikino, Salade, Nigra, Jo :
Bravo à tous les cinq, j’ai été très touchée par votre approche de la complicité des regards. Je dois reconnaître que je suis complètement fascinée par les chevaux que je n’ose pas approcher à mon grand regret;-) Brigetoun, tu t’envoles de plus belle en poésie quand tu brises le cadre du haïku. Merci également pour ton dernier poème à fleur de peau très doux. Nigra, très beau poème que le tien ; une osmose totale avec ce cheval. Bises à vous. Bienvenue dans le cercle, Salade 😉 J’aime de plus en plus tes tankas, Kirikino 😉 Clin doux vers toi, Jo. Etonnant et haletant, le dernier poème ininterrompu que tu as écrit sur Evidemment et la beauté de la vie à saisir chaque matin;-) Bravo à toi.
>Marc :
Une autre vision sensible et douloureuse de la complicité que tu as bien fait d’évoquer sur cette page. Belle complicité d’amitié avec ton ami Dominique. On sent dans tes trois versions successives, une certaine colère devant l’injustice de cette disparition puis un apaisement relatif mâtiné de douceur plus sereine et beaucoup de nostalgie face aux bons moments partagés. Que cette amitié inaltérable continue de vivre en toi à jamais.
>Fanou :
Merci pour ton joli poème plein de confiance. Bon voyage et à bientôt !
>bonbonze :
Tu es dur bonbonze 😉 J’ai la larme à l’œil maintenant…
>Pierre (2) :
Beaux poèmes ! Tu approches ces photos sous tous les angles 😉 Le regard, la conquête, la domination de l’homme. Celui que je préfère est le deuxième 😉 Je voulais surtout évoquer cette complicité presque magique qui peut exister entre l’homme et cet animal quand les conditions sont réunies. Pam ou Alix parleraient mieux que moi de ce travail de chuchoteur. Bises et merci !
>Sven :
Tu démarres fort ce matin ; attention à ne pas épuiser tes forces d’ici la fin de la semaine 😉 Au grand galop dans les horreurs de la planète ou à perdre haleine pour éprouver des vertiges, quel choc des mots et des images 😉 Ca m’a bien réveillé 😉 Puis tu files en douceur sur le bord de la paupière, tu passes d’un extrême à l’autre 😉 C’est beau et apaisant. Merci beaucoup, je t’embrasse.
>Pierre b :
Merci Pierre pour cette approche un peu différente de la mienne. Tu as sans doute raison sur cette résignation mais j’ai tendance à penser que le cheval peut être un ami non résigné quand cette complicité s’est faite sans brutalité. Comme j’aimerais que nos deux amazones interviennent pour nous éclairer 😉 Merci pour cette liberté sauvage que tu fais passer dans tes mots. Bises.
>Bruno :
Oui, Bruno c’est à nous de nous adapter à cette nature offerte et non l’inverse. Je t’embrasse.
>Bourrache :
Beau poème en hommage à cette mère nature si généreuse. As-tu aimé le film au fait ?
>Olivier :
Mea culpa, je vois ce que tu veux dire ;-( Je suis allée trop vite et me suis laissée emportée par mon idée. Ce n’est pas de la mauvaise volonté. L’art du commentaire n’est pas si facile 😉 Au jourd’hui, je n’ai rien raté et je félicite le CHEVALIER de la belle acrostiche pour cette folle chevauchée poétique et romantique;-)) Merci Olivier, je t’embrasse.
>Annick :
Merci Annick pour cette gentille citation sur ton blog ; ça ne me dérange pas du tout, ça m’honore beaucoup au contraire 😉 J’ai eu un peu de mal à retrouver cette note 😉 Tu devrais mettre dans les coordonnées que tu déposes avant de mettre un commentaire l’adresse précise de ton site car j’ai l’impression que tu en as plusieurs. Les gens pourraient aller te visiter plus facilement. Merci pour ces poèmes pleins d’émotions et d’amour; je me doutais que ce thème ne te laisserait pas insensible, belle voyageuse. Bises à toi.
>Claudie :
C’est gentil de passer malgré ton emploi du temps chargé 😉 Toujours en beauté et en amour, superbe haïku ! Bonne journée !
>Céliak :
C’est beau de voir ces animaux en liberté ; on peut en voir encore en Camargue. Je comprends ce que tu ressens. Cette liberté sauvage peut-elle encore exister de nos jours… J’ai beaucoup aimé le deuxième tome d’un roman préhistorique « Les enfants de la Terre » de Jean Auel qui évoque cette première chevauchée humaine avec le cheval. Rencontre essentielle qui a fait évoluer le mode de vie de l’espère humaine dans ces temps anciens.
équin
et qu’un
et clin
et crin
un peu de tout ça
à vue d’oeil
pas bellerophon
il guette placide
Une lecture quasi incontournable et un lien http://www.cadrenoir.fr/
Le romancier Paul Morand (1888-1976), fut élu à l’Académie française en 1968.II existe plusieurs photos de Paul Morand en tenue de cavalier. À l’époque les culottes étaient bouffantes et débordaient largement au dessus des genoux. À cheval, l’auteur de l’Anthologie de la littérature équestre qui devait paraître en 1966, pouvait faire songer à un centaure, mais courtois et de bonne civilité. Paul Morand pratiquait l’équitation depuis son enfance. Au goût de certains, il aurait eu le tort de se prendre pour L’Homme pressé, ce roman publié par la Nrf, en 194, et de confondre ce sport avec ce qu’il écrivait dans De la vitesse (1929). II confia, en effet, un jour de 1955, à Denise Bourdet : « les chevaux, je les monte au galop, au trot, deux heures durant. Jamais au pas. Je les ramène tout mouillés… »
En juin 1933, les éditions Gallimard proposèrent à Paul Morand de diriger une nouvelle collection, « La renaissance de la nouvelle », pour laquelle il s’engageait à présenter au moins quatre volumes par an. II y publiera une trentaine de titres dont un des siens titrés Les Extravagants, daté de 1936 dont il a été tiré 45 exemplaires sur vélin pur fil. Ce recueil a surtout la particularité de contenir l’une de ses plus belles nouvelles, Milady.
Paul Morand l’écrivit entre juillet et septembre 1933 à Saumur et à Villefranche-sur-Mer.
Elle raconte l’histoire d’un vieil écuyer du Cadre noir de Saumur, le commandant Gardefort, qui consacre tout son temps à sa jument Milady, et finit par l’entraîner consentante dans la mort.
Ce texte, décomposé en treize courts chapitres, décrit l’accord parfait entre l’homme et le cheval : la lutte qui commençait dans l’espièglerie, dans la ruse et se continuait dans la rage, pour se terminer dans une sorte de pâmoison soumise, de détente complète où l’un et l’autre trouvaient leur plaisir . Gardefort fait de sa jument, un autre soi-même, l’aspect visible de son savoir et de sa recherche esthétique ; c’est la raison pour laquelle il ne peut supporter qu’un autre puisse en profiter et aussi lui faire exécuter des mouvements qu’il estime sans valeur et dégradant pour elle. Par un exploit extraordinaire, il reprend ses droits sur sa jument et par sa mort, et la sienne, l’enlève à l’emprise de l’ignorance, selon l’analyse de Patrice Franchet d’Espérey.
Dans un entretien avec Stéphane Sarkany, Paul Morand devait révéler que Gardefort lui avait été inspiré par l’écuyer Armand Carpentier, dont il avait suivi l’enseignement au manège de Passy et qui était lui même élève de James Fillis (1834 1913), lui même disciple de François Boucher (1796 1873). Milady emporta l’adhésion enthousiaste de Colette qui découvrait « la télépathie de l’homme et du cheval ». À Edmond Jaloux qui en avait fait une critique favorable dans l’Excelsior, Paul Morand devait répondre : Je n’attendais aucune récompense de cette passion de quadragénaire pour le cheval, mais voilà qu’à défaut de lauriers hippiques, il me tombe des satisfactions littéraires.
Belle soirée à tous..:)
De ton regard hémisphérique
Tu me jauges et m’apprivoises.
Tous tes sens sont en éveil.
Devant toi je m ‘émerveille !
Je pose doucement mes mains
Sur ton corps au fier maintien
Tu m’acceptes comme complice
Je caresse ta crinière et la lisse
Je glisse et me fonds sur ton corps
tel un funanbule sur sa corde
Paisiblement je me mets au diapason
et m’accorde a ton rythme
tu déploies doucement tes muscles
tu libères ta force sauvage
sans entrave, sans menace
rapide comme une tornade
libérant toute ton énergie
Trottinant, galopant, sautant
virevoltant presque volant…
Je me sens pleinement vivant
Mon corps vibrant
Mon cœur haletant
Conquérant de la vie
Dans cette fusion chevaleresque.
moi y en a trouver : nous être épatants
Merci Nigra .
C’est , à peu près ça.
C’est,
Ce qui m’étonne.
Laisser le temps..
Lui seul fait le tri.
Implacable.
Merci pour tes mots, Ossiane, voici mes coordonnées:
http://www.20six.fr/lejustesimplevivre et lejustesimplevivre1 et 2 et 3.. jusque
http://www.20six.fr/lejustesimplevivre12
http://www.20six.fr/quoisetur ( vécu en autisme avant vingt ans )
http://www.20six.fr/quoisetur2 ( vécu en autisme après vingt ans )
Merci de supprimer le comment précédent, un espace entre deux lettres empêchait l’envoi direct sur le blog. Bonne soirée Ossiane.
Brigetoun, Salade, Jo, Kirikino et Nigra
a tout crin
beaux regards croisés
sur ce bel oeil ouvert
c’est beau Franck,
le temps fait le tri, c’est fort juste, et la vraie complicité traverse le temps, le temps est implacable et la complicité est inséparable.
très beau partage, Alix.
Beaucoup d’émotions à relire vos cinq beaux textes déposés dessous les photos. Merci à vous.
Dans les yeux des chevaux
il y a des myriades d’étoiles
des fragments d’enfance
sur nos visages éblouis
Des brassées de fleurs
enveloppées dans un châle
et le visage de la vie peint
dans un ciel de Chagall…
Merci Annick.:)..et si je peux me permettre un aparté saugrenu puisque n’ayant rien à voir avec notre cheval….Fabrice Luchini , invité du « Grand journal » sur Canal +…qui dit avec ce phrasé impeccable : » Un jour cessa l’oralité et la littérature en fût toute altérée «
Encolure puissante
port de tête altier
c’est un beau coursier
pas d’allure éreintante
son regard tranquille
pose sur toute chose
une fixité factice
rien ne le rapetisse
fier et droit
il est tout coit.
Bravo à tous pour vos récits débridés
qui nous font franchir de grands espaces
abattus en un rien de temps
celui d’un clignement… d’oeil
comme le mustang
la muse tend
et dans ces envolées
il y a des cabrures
et dans ces veines
il y a un sang pur
et sur ce front plat et large
il y a une plage de silence
à peine troublée par une frange
et dans ses yeux il y a le désir
simple des espaces offerts
jamais il ne s’arrête vraiment
de dépasser l’horizon
en imaginant un vallon plus loin
Très bonne soirée
Aux sursauts de l’étreinte
nos corps rejettent encore…
ces fragments d’enfance
ces chemins d’errance
ces espaces sans étoile
ces étendues de désert
ces châteaux de cartes
construits sur l’éphémère
comme des chevaux de mer
butent, se cabrent et bondissent
sur des détroits interdits…
en écho a sven
au grand galop
on réduit le temps et les distances
on augmente la pollution
et nos gaz à effet de serre
a grand renfort de bruit
sombre horizontalité
dans ces transports souterrains
dans ces transports aériens
toujours plus vite
on ne rencontre personne
de solitude en solitude
seul elle conduit les vies
sombre horizontalité
des champs d’OGM
des rejets par milliers
se répandent dans nos rivières
se faufile sous terre
et coule jusqu’à nos bouches
sombre horizontalité
toujour plus gros
toujour plus vite
on survole la ville
on survole la vie
on la regarde de loin
de bien trop loin
au grand galop
bientot dans le vide de nos vies
nous chevaucherons d’un bond de la vie à la mort
bonne soirée
dans ce bel espace
Sous le signe amour et tendresse
Soirée de tendresse
Sous le regard caressant
D’un amour complice
____
Le cheval est un animal qui a le pouvoir de m’intimider par son regard si expressif.
On se sent tout petit devant lui, pourtant il n’a pas un regard de dominant.
Sur tes photos Ossiane, superbes, il a l’air pensif au premier oeil, interrogateur au second. Le cheval a quelque chose d’humain dans son regard ; je n’y ai jamais vu d »agressivité, de la peur oui. C’est indéniable le regard du cheval intrigue, on dirait en effet que c’est lui qui veut apprivoiser l’humain . Je ne sais pas si tu étais loin de lui, d’après ce que tu dis tu as peur de t’en approcher, il faut dire que c’est imposant de par la taille, on se sent tout petit, mais sur tes photos il a l’air assez confiant d’où peut-être ton tître « complicité »
Bonne soirée et bonne nuit à tous. Monique
>Thierry :
Merci pour tes trois beaux textes équins dans lesquels tu t’amuses avec les sons, tu admires l’animal ou tu pars pour une folle chevauchée qui laisse à penser que le cheval ne t’est pas totalement étranger 😉 Bonne fin de soirée à toi.
>Alix :
Me doutais que tu allais rebondir 😉 Merci pour toutes ces infos, références dont je prends bonne note ainsi que de ce lien que je suis allée visiter. As-tu fait tes armes au cadre noir ?
>marc :
Clap ! clap ! clap ! Imagination débridée encore une fois. On dirait que tu as passé ta vie sur un cheval. C’est très bien senti. Le cavalier doit vraiment faire corps avec son cheval. Merci, Marc, je t’embrasse.
>brigetoun :
Moi être bien contente, Brigitte 😉
>Annick :
Merci pour tes coordonnées. Je pense que tu devrais mettre un des liens dans la case Site Web au moment où tu poses tes commentaires car les gens pourraient cliquer directement sur ton nom et atterrir sur ton site.
>Sven :
Tu dois penser à un tableau particulier de Chagall, je suppose. Belles déclinaissons poétiques autour de ces bonds et cabrememts qui évoquent les joies de l’enfance. Merci à toi.
>Monique :
Voilà notre visiteuse du soir 😉 Oui Monqiue, cet animal est très impressionant par sa taille et sa beauté. IL est vrai qu’on peut leur faire peur facilement. Je n’étais pas loin de lui mais je n’arrive pas à dominer ma peur pour le caresser et pourtant ce n’est pas l’envie qui m’en manque. J’ai pris des cours d’équitation mais ça s’est mal passé avec une monitrice peu expérimenté qui n’arrêtait pas d’exciter les chevaux en leur donnant des coups de cravache. Je suis tombée plusieurs fois avec le cheval juste au-dessus de moi. Voilà d’où vient mon traumatisme; j’ai tout arrêté ensuite 😉 Voilà tu sais tout 😉 Je survis quand même, ne t’inquiète pas 😉 Mais j’ai décidé d’apprendre à les photographier; c’est très difficile et ces photos sont bien modestes par rapport à celles des pros. Mais je fais mon stock de clichés;-) Il faut de la pratique surtout quand ils sont en mouvement. Bises du soir Monique.
Ossiane j’ai mis les fesses deux fois sur un cheval
la première j »étais ado j’ai eu une peur bleu
j’ai rééssayé adulte et là j’ai carrément sauté du cheval
bon il marchait ca allait
mais c’est vrai que quand je vois des cavalliers sur un e plage déserte
ca me donne envi de rééssayer
peut être un jour
le regard d’un cheval déshabille de son oeil…engage à la caresse….c’est si doux un cheval….mais son oeil qui regarde….palpite le petit coeur…qui se sent remué d’être ainsi observé..un cheval ressent tant…c’est un être vraiment…
Elle approche sa main fort tendre, fort émue, toute nue, la chaleur la murmure, et puis à deux au petit pas précieux, silencieux sur la pointe des sabots, le ciel il se dégage, l’air est beau, le petit trot s’engage à travers les bosquées, les arbres en haie d’honneur, une clairière parfumée, le silence, une telle douceur, et la voilà la plage, le galop se dégomme, et les cheveux au vent s’époumonnent se chuchotent, il lui caresse les cheveux et leurs regards découvrent à deux ce beau temps de l’amour galopé tous les deux en infinie douceur d’un bel temps fort préceux.
et je relis encore… Juste que ‘gallot’ de Nigra peut être qu’en ‘galop’..serait pas mal non plus.. Bonne nuit Ossiane…et je suis si mal placée pr les fautes de frappe et d’orthographe aussi.
Bonjour Ossiane,
bonjour à vous tous,
passionné d’équitation toujours fasciné par tous les symboles que représente le cheval… la liberté, le passage, la chute…
C’est peut-être, dans le mot » passages » que l’image du cheval est le plus symboliquement présente, il évoque des barrières à franchir, des détroits interdits, des obstacles à surmonter.
Les clôtures sont des oeuvres de franchissement…Elles nous invitent à nous rapprocher de la réalité où nous sommes, elles suscitent un détour ou une traversée.
Avec le « cheval » présent dans une oeuvre tout est possible, c’est le moteur et la force qui permettent cette échappée de l’attraction, cet vers le ciel et vers la voie de l’apesanteur.
Mais dans beaucoup de rêves le cheval, cette force qui permet de s’extirper de l’attraction universelle est aussi symbole de la chute.
De bon matin, quelques mots un peu méditatifs, en espérant que tu vas bien mieux aujourd’hui après une bonne nuit de sommeil et de rêves…je pars commencer ma journée au triple galop ! Je t’embrasse
tendresse vers toi, à demain…
Ossiane
Bonjour
Un mystère….hier, je n’ai pas envoyé de nouveau message…et cependant mon email apparaît sur ton blog. Pourrais-tu l’enlever, s’il te plait?
Merci….et bonne journée
complicité
dans une complicité
nos mots sont inutiles
seul notre corps se mettent à parler
dans une complicité
l’instinct deviens language
nous redevenons cet ancien animal
Dans une complicité
notre regard divulgue nos pensées
que les mots ne peuvent exprimer
dans une complicité
le passé construit le présent
et nous amène serein vers l’avenir
bonne journée
Un bonjour amical des Premières L1 du Lycée de l’Iroise à Brest qui se lancent dans la création poétique sur leur blog de classe : http://voix-iroise.over-blog.com
Complices
Beau cheval blanc
De mon enfance
Chaleur douce des flancs
Robe de neigeuse innocence
Fougueux cheval de feu
De mon adolescence
Ardent coursier de preux
De mes folles errances
Pensif cheval de mer
D’émeraude couleur
Des chevauchées d’hiver
Des fatigants labeurs
Sombre cheval de nuit
Des jours de désespoir
Quand nul soleil ne luit
Et que tombe le soir
Ineffable cheval de rêve
Qui m’emporte dans les airs
Et vers le ciel m’élève
Songes où je me perds
>Marc :
Je vois que je ne suis pas la seule à avoir eu peur 😉 Les plages désertes me font rêver aussi 😉 Beau poème ! Ce que tu dis semble très vrai. J’aime bien cette évocation de l’instinct. Bien à toi, je t’embrasse.
>Annick :
Merci Ange gardien, tu as un bon œil. J’avais corrigé dans la page commentaires mais oublié de le faire pour la page principale 😉 Il ne faut pas hésiter à me faire part d’erreurs orthographiques car parfois la concentration sur la mise en place technique prend le dessus. Merci pour ta prose entre douceur muirmurée et fougue échevelée 😉 Bise.
>Sven :
Certes la chute ;-( Ah bon, toi aussi, tu es fasciné par l’animal 😉 Saut, franchissement, bondissement, capacité à passer vers autre chose pour prendre un nouvel élan. Certaines photos de de chevaux en plein mouvement de Robert Vavra me fascinent totalement surtout quand la belle lumière est là. http://www.robertvavra.com/stock_equus1.html
Tout va bien, ne cours pas trop vite pour ne pas brûler ton énergie 😉 Je t’embrasse.
>Claudie :
Bonjour Claudie, j’ai beau chercher sur la page des commentaires, je ne vois pas ton adresse. Peux-tu me dire exactement où elle se trouve pour que je puisse faire quelque chose ? Bises.
>Première L1 :
Bon vent poétique dans votre voilure, je vous souhaite une belle aventure en commun. Bien à vous tous.
>amichel :
Tu me fais craquer Michel avec ces magnifiques évocations de couleur qui symbolisent l’état intérieur du cheval jusqu’au cheval imaginaire. C’est somptueux. Je vois tes chevaux, on pourrait presque les peindre. Je le garde dans ma boîte à secrets 😉 Je t’embrasse, grand poète équestre.
Annick,
Tes beaux mots d’amour,
De la vie,
Toujours,
Malgré tout,
Font du bien.
Loin, loin, …
La-bas, derrière l’écran,
Presque anonyme.
Petits brins de rêves
toujours, miel
SI beau , si doux.
Merci à toi,
Pour cette ouate de tous les jours.
Simplement ça.
Ossiane
Il se trouve après ton dernier message…..je n’y comprends rien…..
Ossiane
Maintenant, il se trouve après celui de Franck….
>Claudie:
Je t’assure que de mon côté, je ne vois pas ton adresse sous mon dernier message??? Que vois-tu très précisément pour tenter de cerner ton problème?
Ossiane
en fait, il est sur le dernier message qui sort…..à en perdre son latin…
>Claudie:
TU veux dire que ton adresse se trouve parmi les mots du dernier message ou en bleu à côté de « Rédigé par »? A ta place, je rebooterai ta machine car il est possible que cela ne sepasse que chez toi. Je t’assure, je ne vois rien de ce que tu me décris à partir de mon ordinateur.
Ossiane
Cela se passe sur mon lieu de travail. Si tu ne vois rien, alors, tant mieux. Je ne comprends rien
Après le dernier message, il y a « laisser un commentaire » et quand j’ouvre ton blog, j’y vois inscrit mon email
>Claudie:
Ca se passe uniquement sur ton ordinateur alors ne t’inquiète pas avec ça. Tu vois donc ton email dans une des trois cases où on laisse ses coordonnées? Si c’est cela, cela me semble normal; c’est pour t’éviter de remettre ton adresse à chaque fois. Tes coordonnées sont mémorisées pour plus de facilité. Oublie tout.
MERCI…..et excuse-moi pour le dérangement. C’est la 1ère fois que je vois çà.
Bises
> Ossiane pour répondre à ta petite question d’hier soir : Disons … que nous avons certaines affinités sélectives et un héritage en commun, puisque mon arrière grand –père a été écuyer, à l’époque où le Cadre Noir était une école militaire censée redonner à la cavalerie ses lettres de noblesse..
Aujourd’hui le Cadre Noir est avant tout une école d’équitation ad hoc, dont les principes de sélection sont…rigoureux, c’est le moins que l’on puisse dire, puisqu’elle participe aux plus grandes échéances mondiales et internationales (y compris les jeux Olympiques).. Voilà en peu de mots .;)
Et pour le simple plaisir de partager un autre lien, celui ci plus artistique :www.theatreducentaure.com , dont je te fais un bref synopsis: ce théâtre met en scène un acteur surréaliste, le centaure , mi-homme , mi-cheval, qui évolue à travers un univers fanstasmagorique.. c’est assez prégnant !
Bonne fin d’après midi:)
http://www.theatreducentaure.com (j’ai un peu de mal aujourd’hui ..)
J’veux pas rajouter de l’huile sur le feu … mais en écho au message de Claudie … il m’arrive la même chose !
Avant, lorsque j’arrivais sur « laisser un commentaire », il me fallait cliquer sur « nom » puis sur « mail » pour les faire apparaître.
Maintenant, mon mail est d’office inscrit …
Biz à toi Ossiane et à tous.
amichel je trouve ton poeme « complice » fort beau
Quand le temps
se fait doux
complice
La vie semble
possible
si tendrement
>Claudie et Bourrache:
J’ai tout compris maintenant! Il s’agit d’une facilité pour l’écriture des commentaires que le Monde vient de mettre en place pour éviter d’avoir à rermplir les cases à chaque fois. Ca me fait la même chose mais pour mes propres coordonnées seulement;-) Tout va bien maintenant, chacun peut reprendre ses activités;-)
>Alix:
Merci pour ta réponse, amazone Alix. Tu hérites d’une belle ascendance;-) Merci pour tes explications et ton lien que je vais aller voir.
>Annick:
Tout doux vers toi Annick;-)
>Alix:
Si tu ne connais pas Pam, je t’invite à aller visiter son blog et son site. Elle est sculptrice équestre et parle sur sa dernière note du Salon Art Cheval de Saumur. http://pam.typepad.fr/
Une belle rencontre Ossiane …
Alors, ce soir (tard…) ma première note sur le Pérou que tu as tellement réclamé …
Dames attentives…Merci pour les corrections,
Tant qu’on y est :
« Les yeux dans les yeux
Sans un mot
Tu m’as tout dit »
et non pas… :
« Les yeux dans les yeux
Sans un mot
d’une rencontre. »
Re-merci; d’avance cette fois
ET…
Tant qu’on y est…
Chapeau bas à toutes et tous
:o)
et comme tu m’y invites, Ossiane, j ai repéré il y a un moment, par hasard, moi qui vois peu, dans la colonne de gauche, « comunnauté », mai tout est si magnifique chez toi, que je n ai pas osé me lancer à dire ce détail..
et puis je me sais si tête en l’air des fautes de frappe, faudrait que je pense à regarder le clavier pour écrire..sourire!.. et puis fâchée sans le vouloir avec la grammaire! sourire!
Merci Franck!
Merci au Monde, car quand je suis sour mon vieil engin, rien n est automatique, il faut que je presse de ma ciboulette même pour écrire nom mail et blog..sur le portable récent, il suffit que j appuie… mais il m’aime bien en confortable d’aisance de lui, mon ancien!
Mon complice
Tu regardes où je suis
Et je vis
Tu vagabondes ma vie
Et je suis
Ta complice
Mon chaque jour
Ma lumière
Mon goût du jour
Une si belle complicité
En toute vérité
Un beau jardin secret
Au goût de l’aimé
Le petit coeur
Tout coeur
Dans le blanc
Eclatant
De son oeil
Si tendre accueil
Les esprits communiquent…
dans les yeux…
Complicité.
Ossiane c’est amusant complicité !
J’aime beaucoup cette note ( évidemment) bravo ! et bien sur la richesse des commentaires.
Merci.
Je t’embrasse
Biz aussi à tous les amis du blog dont j’ai apprécié chaque commentaire.
Sourire.
La cavalcade du temps
Nos chemins se sont croisés sur la plage, un matin.
Calvacade fantastique, dans le vent et les embruns
Dans un éclair blanc, nous scellions notre union.
Un bel enfant jaillit de cette impétueuse fusion.
De son œil libellule, il scrute et sonde
Ce monde gorgé de son, paupières écarquillées
Le tendre poupon sans mot, éveille sa pensée;
Son iris s’émerveille, il embrasse le monde!
Le galop du temps survole les secondes !
Déjà il vagabonde. et, tendrement succombe,
Au charme cristallin d’une l’œillade pudibonde.
Elle l’initie au monde, la peau rubiconde !
Sempiternelle ronde, bientôt si féconde !
De cet enchantement, un autre enfant naîtra au monde !
Mais le temps creuse les sillons de ma peau tannée.
Cœur et corps écrasés, sous le sabot des années.
Un orage terrible se prépare, le temps gronde !
Je m’accroche moribond. Les souvenirs abondent,
De cette noble chevauchée, de tant d’égards
Guider par les caresses ardentes de leurs regards.
bonne soirée a tous
Faut pas te mettre dans tes états comme ça, Marc.. sourire et mes pensées de fin du jour. Je passe chez toi, Pam.
A tout le monde,
Qui m’emportez parfois, si près , si loin…
Un souci majeur va m’éloigner…
Problème de santé, majeur,
D’une personne , majeure
dans mon existence.
Ossiane, je parle , autant que je le peux , parceque je pense que c’est tellement bien,
ton blog,
tes mots, tes photos etc…
Alors, pour des raisons de confidentialité, par rapport aux gens à qui j’adresse les coordonnées de ton blog,
je vais prendre un » pseudo « ,
je n’aime pas trop car je n’ai pas l’habitude de me cacher.
Donc, avis à toutes, et à tous qui parcourez ces lignes.
Nouveau pseudo de franck :
Fauki.
Bonne soirée à tout le monde.
Bon alors, moi ce sera kcinna… Franck, heu? Fauki! mais si chacun change son pseudo moi y’en à pêter mes plombs car tout est à reprendre!!!! et depuis je gambade à vous saisir chacun, à tenter de vous mettre en image, pas toujours sage.. sourire! bonne soirée à chacun!
Merci » kcinna »…de prendre acte.
Ce que ma petite, et seule expérience d’un blog, me révèle,
c’est que , bien sur, on es pas toujours sage !
Et que bien sur ça fait du bien !
Et que, au fond du fond, on es surement pas fait pour être sage.
Mais,
il y a la vie.
Sa réalité ne se prête pas, elle, au fantasme.
Il n’empêche, qu’on peut , je crois vraiment » s’approcher » de certaines âmes virevoltantes.
J’en suis certain.
Comme quand je peins mes tableaux, parfois abstraits, et que les gens , parfois, devinent tout ce qu’il y a dedans.
Merci Annick.
Merci Nigra.
Je ne résiste pas à rebondir sur une dépêche d’agence qui annonce que yves bonnefoy (le poéte) vient de recevoir le prix kafka 2007.
Il avait donné une interview superbe dans le monde des livres il y a quelques mois, c’est une belle et bonne nouvelle.
Les équidés nous donnent tant d’idées
pas seulement pour les monter
mais simplement pour le suivre
Les équidés ne sont pas de simples montures
ils sont symbole de garnd air et d’aventure
ils ont de tout temps donner à l’homme
des lettres de noblesse en prime
et dans l’abord s’ils renaclent et soufflent
c’est pour montrer leur indépendance.
Le cheval a donné le caballero
mais le gentleman n’est pas loin
le cheval fougueux et rétif
a engendré de sombres héros
et si dans un modeste paseo
il donne à voir sans forcer
ses placements à l’amble
nul plus que lui ne tremble
flattant son encolure
on sent à fleur de poil
et presque à fleur de peau
ses frémissements légers
des oreilles au museau
Narines dilatées à l’extrème
longues bouffées qu’il aime
yeux attentifs et sans tromperie
il vous observe sans sauvagerie
le cheval a donner le chevalier
d’abord le romain qui par extraction
pouvait plus que de la main
se flatter de posséder l’étalon
puis dans la féodalité naissante
on lui a reconnu le droit
de se faire transporter
avec une armure pesante
tous ces fringants athlétes
qu’ils soient palefroi
haquennée ou encore esthètes
redoutable destrier pour le combat
ils aspirent à la même tranquilité
une fois rentrés ches soi
un superbe film tourné en irlande
donnait à voir en houppelande
un cheval blanc venu de la mer
chercher un quelconque amer
pour retrouver des points d’appui
et autres points de repére
la robe fauve ou bien fardée
de poussière sur le chemin
il secoue énergiquement
son échine et trépigne
pas alezan ni bai
il aime les baies
et si sa trace il donne
à voir en crottins
c’est clopin clopant
qu’il enlève son trot
sans trop forcer
sans harnachement
pour l’engoncer
avide de sentir
l’appel de la montagne
il fait étinceler
sous ses sabots
prodigues
les éclairs
du rocher
Le cheval est un continent
plus qu’un facteur
pas de bons au porteur
il délivre des messages
autrement plus décents
Encore une longue tirade
je me rattrape
mais vous m’avez tant inspiré
par vos angles variés
bonne soirée à tous
J’ai savouré chacun de vos textes…Le cheval évoque bien des choses pour moi..petite, je n’en avais pas peur, et courrais les carresser en plein champs au grand dam de ma mère..
Merci Ossiane, pour tes mots, oui, la camargue ( du moins ce qu’il en reste) est magnifique. Je me souviens de galops sur la plage,avec cette façon de monter, là bas, » en amazone »..quels souvenirs..J’irai un de ces quatre jeter un oeil sur le livre dont tu parles..Les prochains jours je n’aurai pas beaucoup de temps..
Douce soirée à vous tous
>Ossiane ; Comme Céliak , j’ai bien aimé le « ton » de ce billet…et la diversité des réponses
> Thierry: c’est une bonne nouvelle..pour Yves Bonnefoy
Bonne soirée à tous >))
annick je te cite
Quand le temps
se fait doux
complice
La vie semble
possible
si tendrement
merci pour tes mots si doux qui ponctue toujours ce blog
sinon ca va un peu emporté par le sujet
mais mon p’tit coeur c’est calmé
bonne soirée
mais c’est beau ce que tu as écrit Marc c’est bon de se laisser porter par les mots, on sent ton envolée et j’aime bien, c’est fort, mais qd c’est fort cela me pinceince , mais cela n empêche pas que cela soit beau..
la vie cela pince souvent.. aussi!
Jérôme Garcin
et la chute de cheval
voilà Géricault
>Guess who :
Ok Tiago, c’est une bonne nouvelle 😉 Je vais passer te voir.
>Nigra :
Belles sensations sur la complicité 😉 Chapeau à toi aussi Nigra 😉
>Annick :
Merci de m’avoir signalé cette coquille. Franchement, il ne faut pas hésiter à me le dire 😉
>Pam :
Hello Pam, grande chuchoteuse 😉 Je sais que tu connais bien ces sentiments que tu partages avec douceur avec tes ânes et tes chevaux. Complicité de nos deux regards sans s’être concertées 😉 Bonne soirée et merci d’étre passée.
>marc :
Quelle vitalité ! Tu continues tes belles chevauchées poétiques effrénées au triple galop ;-)) Une idée originale d’associer la naissance à ce coup de foudre éclair. Tu dois être très essouflé ce soir 😉 Merci pour ces partages.
>Franck/fauki :
Bonsoir, je suis désolée pour ce qui t‘arrive, j’espère que ce n’est pas trop grave.
Merci beaucoup pour cet attachement et ce bouche à oreille que tu fais auprès de tes amis. Du coup, ça m’intimide 😉 Je suis vraiment heureuse que tu te plaises ici et que tu trouves ici de l’élan, des réponses, des idées, des émotions, des rencontres. Je vais avoir du mal à m’habituer à ton nouveau pseudo 😉 Ce n’est pas très discret de le dire ici ; non 😉 Bon courage pour ce qui t’attend, je t’embrasse.
>Thierry :
Bonne nouvelle! Pfffiou ! Qel poème! On ne peut plus t’arrêter, Thierry;-) Je suis contente que mon petit cheval vous inspire tant. Oui, beaucoup d’angles d’attaque différents. Tu les connais bien ces chevaux, non ? Merci à toi.
>CéliaK :
Les Enfants de la Terre contiennent de nombreux tomes. J’en ai lu quatre ou cinq. J’ai adoré les deux premiers. Tu vis en Camargue ?
>Alix :
Oui Alix, ça a bien marché finalement 😉 Je trouve aussi que ce billet a pris une bonne tournure avec des choses inattendues, échevelées, haletantes, vivifiantes. J’aurais bien aimé te voir composer un poème sur le cheval pour voir comment tu aurais exprimé ces galopades que tu connais si bien 😉 Bises à toi.
>Le sid :
Bonsoir Yves, merci pour cette belle référence haïkiste 😉 Pour ma part, je n’ai lu que Théâtre Intime et Cavalier seul. Merci beaucoup.
>Alix:
Splendides vidéos sur le site du Théâtre du Centaure! Celle sur la plage est spectaculaire avec ce sable qui ressemble à de l’eau. Merci à toi
Bonjour Ossiane,
…Je reviens sur cette page pour répondre à ta question..non ce ne sont que de simples souvenirs de passage en camargue..
Je vis dans le Nord de Paris..mais je suis heureuse d’y trouver la compagnie des chevaux lors de mes ballades matinales ( il ya une photo de mon préféré, sur mon blog, c’est le blanc..il a un museau magnifiquement doux, qu’il laisse posé dans ma main..)
Je reviens sur cette page ce matin..besoin de me réchauffer , sans doute , après ces quelques jours empruntés au ciel d’ Espagne..
J’ai lu tes soucis avec le principe du droit d’auteur , je n’imaginais pas à ce point là..Formidable « Oeil ouvert » sur le monde , il n’empêche que le net cache bien des aspérités… Bon courage à toi et merci d’apporter autant de soin à sauvegarder nos mots et ton travail qui est remarquable par sa qualité..
Et deux cadeaux, à partager évidemment , avec tous les contributeurs de ce blog:
http://www.beatricebulteau.com/
Un monde de douceur :)..dans la plus pure tradition des azuleros du Portugal (où elle est installée)
– Ne touchez pas l’épaule
Du cavaliet qui passe,
Il se retournerait
Et ce serait la nuit,
Une nuit sans étoiles,
Sans courbe ni nuages.
-Alors que deviendrait
Tout ce qui fait le ciel
La lune et son passage,
Et le bruit du soleil ?
-Il faudrait attendre
Qu’un second cavalier
Aussi puissant que l’autre
Consentît à passer.
Jules Supervielle .
Très bonne journée à toi Ossiane >)
C’est magnifique Alix, merci (je suis aussi complètement bleue des azulejos… :))
Ossiane, difficile de concilier la belle approche de création que tu as initiée sur ton blog et l’amoralité de ce monde virtuel… Bon courage et merci de te soucier avec tellement de bienveillance de nos humbles écrits !
Belle journée à tous 🙂
>Alix:
Bonsoir Alix, contente de ton retour avec tes deux beaux cadeaux que tu as déposés avec délicatesse sur une note bien appropriée;-) C’est splendide! Légèreté, fluidité bien à l’image de ce bel animal. Je ne connaissais pas ce peintre. L’intro animée est une vétitable splendeur, peut-être que Pam la connait… Il faudrait que je lui indique ton lien. Bonne soirée et merci.
Béatrice Bulteau :
magique.
« Art » et « Artiste », ces mots prennent toute leur consistance…
Merci, Alix.
Alix magnifique tu as une plume incomparable
et merci pour le lien vers beatrice Bulteau
Merci à vous quatre :)..Ossiane , il est probable que ton amie Pam connaisse cette artiste , elle a exposé à l’espace Art du dernier salon du Cheval à Paris, peut -être sera t-elle présente au prochain !
Bonne fin de soirée à vous;)
Bonsoir Alix,
merci pour ce lien vers Béatrice Bulteau que je ne connaissais pas mais dont je découvre ainsi les multiples talents. Et l’animation à mon goût superbe de son site m’a immédiatement révélé cette simple pensée personnelle:
» ce que j’aime chez le cheval, c’est qu’il vienne vers moi. Mais aussi qu’il repart ».
Et son galop joyeux, son museau en balance et sa crinière au vent y sont pour quelque chose!
Bonjour Bernard ..
>Ossiane , je me permets d’utiliser cette page , pour relayer une petite info artistique comme tu les aimes:)
–
Comme chaque année , le Salon ar(T)cheval de Saumur a accueilli de nombreux visiteurs au sein de la galerie Bouvet- Ladubay.
Ce salon offre l’occasion de rencontrer et de découvrir des artistes qui travaillent sur le thème équestre, artistes primés par un jury hautement sélectif.
Cette année le premier prix de peinture a été attribué à Bénédicte Gelé pour son huile sur bois « RegardVIII » (tu la connais , me semble t-il ?)
D’autres artistes ont également été « reconnus », Philippe Seené a reçu le premier prix de sculpture pour « EquusXIX », une oeuvre réalisée en terre cuite et en acier.
Jeanne Marty pour son oeuvre photographique »Ballet », tirée sur papier baryté contrecollé sur plaque d’aluminium.
La mention spéciale du jury revient à Charles Sauvat pour sa gravure « Ecuries » et à Yanos pour son animation numérique « Métamorphoses »
–
Et toutes ces oeuvres sont visibles ici: http://www.saumur.org/salon/2007/accueil.html
–
Bon week end à toi Ossiane, pose toi un peu ..J’en profite pour t’offrir mes meilleurs voeux pour l’année à venir >))
__
Oh, Alix … dans quelle superbe ballade à cheval tu viens de m’entraîner, là …
Merci.
___
>Alix:
Coucou Alix, retrouvailles sur cette note bien particulière;-) Je suis preneuse de toute info sur les chevaux;-) Merci de nous offrir à découvrir tous ces peintres équestres passionnés. Je n’en reviens pas qu’il en existe tant qui arrivent à vivre de l’art équestrre. Non, je ne connais pas Bénédicte Gelé. En revanche Pam discute avec elle sur son blog. Je vais lui signaler ton post. J’ai eu la joie de rencontrer Pam cet été dans une galerie d’art atypique du pays d’Auge (pays du cheval par excellence) où elle exposait avec d’autres artistes équestres. Un bel espace où ses grandes scuptures prenaient toute leur ampleur. BIses vers toi. http://www.galeriedetourgeville.com/
La Guitare
Pour celui qui l’entend s’exprimer en mesure
elle est comme le cheval à la noble stature
et dont le cavalier parlant à sa monture
d’une main tenant les rênes vient flatter l’encolure
Alain