As

Saint-Florent

Saint-Florent

Saint-Florent

De vague en vague, galets et coquillages, une histoire de coeur.

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.

De vague en vague
galets et coquillages
une histoire de coeur

La plage de Saint-Florent dans le Cap Corse. Voir la Carte de Corse

Trois histoires de coeur émouvantes au travers des regards de Jane, d’Angèle Paoli et de Marc à qui je souhaite la bienvenue sur cette page.

Les paupières se sont closes
sur le monde aux couleurs atones
à l’intérieur des bruits résonnent

belle et cabalistique rose
ta mystérieuse corolle éclose
ta divine beauté m’étonne

Nos esprits et corps tourbillonnent
mes lèvres sur ton corps papillonnent
et par endroit s’y déposent

avant qu’à nouveau l’aube rose
se réveille et à porte sonne

Marc

LAISSES DE MER

Il faudra alors se satisfaire de l’extrême lenteur des jours
du parfum affadi des journées sans lumière
des coquillages vides sur les laisses de mer
du craquèlement des pas dans les pas de l’absent
du ricanement persistant des mouettes rieuses
des plumes abandonnées dans les recreux de dunes
des filins emmêlés dans les lagons d’oyats

Il faudra alors oublier la lueur du regard
et laisser au sourire le temps de s’estomper
de n’être plus qu’une ombre au coin de ta paupière
à peine un battement imperceptible des cils
la soie d’un cheveu pâle glissé entre deux pages
juste un mot évadé de tes courriers froissés
juste un nom éclipsé dans l’océan du ciel
une larme égarée dans l’infini silence

Angèle Paoli (son site)

As de Coeur

le coeur en miettes
je regarde vers l’horizon
j’aurais aimé te dire
encore des petits mots
sur de jolis sons
il me faut apprendre
le temps
l’éternité
la patience

mais ceux qui sont là
à côté de moi
me donneront de doux émois
des rires et d’autres chants
bientôt je vais t’appeler
bientôt tu me répondras
et la vie sera toujours là
comme l’as de coeur
apporte sa chance
dans la main de celui qui y croit

Jane (son site)

59 réflexions sur « As »

  1. Les coeurs purs / J-R Caussimon

    Ils ne sont pas encore amis
    Des notaires et des notables
    Ils ne sont pas encore admis
    A dîner, le soir, à leur table
    Ils ne sont pas encore polis
    Comme Papa le fut toujours
    Ils ne sont pas encore salis
    Par les combines au jour le jour…

    Mais on leur dit que ça viendra
    Et, bien sûr, ils ne le croient pas
    Les coeurs purs
    Les coeurs purs…

    Ils ne sont pas encore rusés
    Ni blasés d’être un peu bohèmes
    Ils ne sont pas encore usés
    Par le métro des matins blêmes
    Ils ne sont pas encore conscrits
    Bien qu’ils soient souvent « engagés »
    Ils ne sont pas encore inscrits
    Ni au chômage, ni aux congés…

    Mais on leur dit que ça viendra
    Et, bien sûr, ils ne le croient pas
    Les coeurs purs
    Les coeurs purs…

    Ils ne sont pas encore lassés
    D’écouter chanter leur idole
    Ils ne sont pas encore blessés
    Par le Temps qui tant nous désole
    Ils chantent des « songs » sur un banc
    Ils n’ont pas honte de la rue
    Ils ne sont pas encore perdants
    Ils ne sont pas encore perdus…

    Mais on leur dit que ça viendra
    Moi, bien sûr, je souhaite tout bas
    Que ça dure …
    Les coeurs purs…

  2. Coucou Maria,
    magnifique ce texte sur ‘les coeurs purs’. J’adore!

    S’endormir son dernier jour
    Se fermer son album de vie
    En coeur pur qui marcha son pas
    Son album rempli d’amour
    D’aucun intérêt mal voyant
    Ou par odeur de l’argent
    Juste refermer son oeil
    Sous une pluie d’étoiles d’amour
    Du premier jour à son dernier
    C’est un bien bel parcours
    Même si il fait rire les requins
    Les casseurs de la vie
    Les robots de leurs vies
    Vivre son coeur pur battant
    C’est se sentir vivant
    Vivant de vie si pleine
    Vivant à perdre haleine
    Vivant à se nicher d’amour
    Quel beau parcours en être

    Que cette journée pour le meilleur dans les souhaits pour chacun!

  3. As de Coeur

    le coeur en miettes
    je regarde vers l’horizon
    j’aurais aimé te dire
    encore des petits mots
    sur de jolis sons
    il me faut apprendre
    le temps
    l’éternité
    la patience

    mais ceux qui sont là
    a côté de moi
    me donneront de doux émois
    des rires et d’autres chants
    bientôt je vais t’appeler
    bientôt tu me répondras
    et la vie sera toujours là
    comme l’as de coeur
    apporte sa chance
    dans la main de celui qui y croit

    jane

  4. Au gré du vent et des vagues
    Galets et coquillages s’entrechoquent
    Un grain de sable
    Et la vie se bloque
    On n’a pas toujours sous la main
    Un atout coeur

  5. Bonjour, Ossiane

    Ton titre, ton haïku……..et tes photos de plage abandonnée suscitent déjà bien de jolis poèmes, dont celui de Jane

    Ame esseulée
    Joue son as de coeur pour toi
    L’amour en quête

    Belle journée

  6. bonjour à tous
    merci pour ces photos et ces jolie textes
    j’apporte ma petite contribution

    Coeur de pierre
    éphémère présent
    si doux à nos âmes

  7. Sur la plage abandonnée
    L’amour s’en est allé
    Coquillages et galets
    Las, ont navigué
    Et de détresse ont échoué
    Sur la plage abandonnée
    Un coeur brisé à la dérive
    Attend sa chaloupe enflammée
    Pour s’amarrer à la rive
    Coeur de pique ou de trèfle
    Il joue sa carte maîtresse
    L’as de coeur

  8. Le pays d’où je viens
    est peuplé de montagnes
    et de lointains bleutés
    pur éveil
    et rivages
    aux grèves amoncelées
    enfances coquillages
    mémoire minutieuse
    entrechoquée de formes
    et de de notes crayeuses
    de rires clapotis
    et d’étoffes bruisseuses
    une robe à volants
    dont le frou-frou s’entend

    J’ai choisi une à une les pierres de mon coeur
    fragments de lunes blanches
    et d’écumes d’ailleurs
    Posées presque perdues
    livrées à l’inconnu
    Tant de secrets s’épanchent
    des âmes échouées
    ou des tendres offrandes

    et des vents nous entendent
    portent voix
    vers le large
    où tremblent en échos
    des mots au fil de soi
    des caresses en marge
    d’incroyables bateaux

  9. LAISSES DE MER

    Il faudra alors se satisfaire de l’extrême lenteur des jours
    du parfum affadi des journées sans lumière
    des coquillages vides sur les laisses de mer
    du craquèlement des pas dans les pas de l’absent
    du ricanement persistant des mouettes rieuses
    des plumes abandonnées dans les recreux de dunes
    des filins emmêlés dans les lagons d’oyats

    Il faudra alors oublier la lueur du regard
    et laisser au sourire le temps de s’estomper
    de n’être plus qu’une ombre au coin de ta paupière
    à peine un battement imperceptible des cils
    la soie d’un cheveu pâle glissé entre deux pages
    juste un mot évadé de tes courriers froissés
    juste un nom éclipsé dans l’océan du ciel
    une larme égarée dans l’infini silence

  10. Sur la plage de galets
    Un cœur ouvert
    Au ciel
    En grand
    En pur
    Comme le visage de l’âme
    Là-bas au loin sur les vagues de nacre
    Des perles appellent
    Des gouttes de sève
    Comme des diamants
    Viennent murmurer
    A l’oreille de ce cœur ouvert
    Sur le monde
    Sur la vie
    Sur l’amour
    Sur la mort
    Appelant les nuages
    Jamais à la même place
    Toujours en partance
    Toujours en transhumance
    Peut-être un de ces anges voyageurs
    A-t-il brossé son âme
    Et une blanche porcelaine
    Est venue se poser là
    Sur la grève
    En cœur ouvert
    En cœur offert au ciel
    D’où tombe la lumière
    En colonnes
    En graines microscopiques
    Lancées à la volée
    Par un semeur céleste…

  11. Silence impérial
    Des mouettes
    Sur la plage
    Muettes
    Pâtinent,
    La mer s’élance,
    En d’opale volutes
    Flux et reflux balancent
    Là , au creux d’une vague
    L’ailleurs,
    Un coeur de cristal
    Bercé par les remous
    Fidèle à son idéal
    Magnifié de beauté
    Pour l’éternité

  12. Bonjour Ossiane … un petit peu de lecture attendant ma réunion ne fait pas de mal …

    Dis, les touristes ? Tu en as fait quoi ? Y a pas un seul sur la plage !

  13. pour jane toujours …

    Ô toi que j’ai aimée que j’aime éperdument
    Sur le sable mouillé je marche dans tes pas
    Et la mer me console en murmurant tout bas
    Ton nom légère écume et mouette dans le vent

    Les embruns à mes pleurs se mêlent doucement
    Entre mes doigts serrés le temps aussi s’en va
    Grain à grain sur la laisse où mon amour se bat
    La douleur de l’absence avivant son tourment

    Sur la plage déserte une main a tracé
    Symbole d’une vie par la vague effacé
    Un cœur dessin naïf à la marée livré

    Les jours heureux d’avant chantent dans la mémoire
    Qui jamais ne voudrait en être délivrée
    Quand le souvenir luit la nuit en est moins noire

  14. Limites grainées de galets
    Traîne des temps ultramarins
    Qui roulent leur tête de pierre
    Dans les noces hallucinées
    Eau vent terre marées

    Limites grainées de galets
    Notre espace est un leurre
    Etendons-nous sur l’étroitesse
    De ses espoirs d’estran

  15. >>>>Un petit souci de santé m’a retenu loin du blog d’où mon silence. Je sors ce soir, je vais mieux 😉

    >Brigetoun :
    Merci pour ces deux jolis haïkus, Brigitte. Cette plage malgré la chaleur était déserte. Est-ce la présence de galets plutôt que de sable qui dissuade les baigneurs, je ne sais pas vraiment… Bien à toi.

    >Annick :
    Merci Annick. Oui c’est un beau texte Les Cœurs Purs. Ton poème est plein de vie et d’amour. Comme il te ressemble !

    >Maria-D :
    Et oui Maria, ce cœur de coquillages t’a tout de suite tapé dans l’œil 😉 A moi aussi d’ailleurs 😉 Je vous promets que ce n’est pas moi qui l’ai fait. Je crois qu’il m’attendait 😉 Ton poème à cœur ouvert est plein de légèreté et de grâce ; tes mots vibrent à l’unisson. Je t’embrasse.

    >Bourrache :
    Beau poème, Bourrache ! Beaucoup de générosité dans tes mots. La bise.

    >Sylvie :
    Merci Sylvie, c’est beau. D’ailleurs je me demande si c’est un homme ou une femme qui a fait ce cœur. Je t’embrasse.

    >Jane, Angèle, Marc :
    Merci pour vos belles approches dfférentes.
    Jane, j’ai déposé ce cœur pour toi afin que tu puisses entrouvrir une nouvelle porte. Ton poème est splendide d’émotion.
    Angèle, votre plume chargée de votre vécu dans cette région, est puissante et sensible. J’aime beaucoup votre style.
    Marc, très touchée de te voir si présent et enthousiaste ; tes mots ne demandent qu’à s’épancher; tu écris et ressens bien.

    >bonbonze :
    C’est vrai sauf que j’ai pris ces photos au mois de mai 😉 Bises.

    >Pierre (2) :
    Ah ! Voilà un grand retour qui me fait très plaisir 😉 1 mois c’est long ! Tu nous manquais, tu sais. Belle inspiration pour cette rentrée ! Je suis sûre que tu joues aux cartes, 😉 J’aime beaucoup ton premier poème avec ce grain de sable ; c’est bien vu ! Je t’embrasse et te remercie.

    >Claudie :
    Bonjour Claudie, tu démarres en douceur et mélancolie pour finir en feu d’artifice 😉 On dirait que tu vas t’envoler 😉 Quelle belle plume tu as ! Bises.

    >Guess Who :
    Coucou Tiago, toujours entre deux avions à arpenter la planète 😉 Sympa de penser à moi 😉
    Je t’en bouche un coin avec cette plage déserte 😉 On est très loin des plages de la Côte d’azur 😉 Mis à part le coin de Porto Vecchio qui est très touristique, je ne sais pas pourquoi on ne voit personne sur la plupart des plages corses mais j’aimerais connaître la raison. Help ! Good luck for your meeting !

    >Noisette :
    Pas de problème Noisette, je savais que ça vous ferait plaisir. Je vous embrasse.

    >amichel :
    A nouveau un très beau poème pour jane qui va beaucoup la toucher. Chapeau Michel pour avoir intégré si délicatement tous les éléments des photos (mis à part le sable 😉 Tu t’es vraiment immergé dans le paysage ; j’aime ce dessin. Un grand merci, je t’embrasse.

  16. >Bernard:
    Splendide, Bernard! Belles associations entre ces pierres, lunes, âmes, secrets, vents, échos. Que de finesse et sensiblité dans le choix de tes mots. Je te vois bien agenouillé devant ce coeur;-) Je t’embrasse.

    >Johal:
    Ton poème est d’eune beauté toute minérale. Ton oeil a retenu ces grains de galets qui roulent sur cette étendue limitée. Belle originalité de ton évocation. Bises à toi et merci.

  17. Quelle image

    Sur l’été disparu

    Et ce parfum d’encens

    En marge de la coupe du soleil

    Que souffle

    Et cette clarté opaque

    Cherchera le

    Le jardin

    Et

    Ses tessons de givre

    Derrière les jours heureux

    Les désirs retenus

    Et

    Leur doux luminaire

    On croit savoir

    Les ombres

    Enhardies de chaleur

    Sur le sillage

    Du vent

    Si libre

    Que le torrent lui-même

    S’égare

    Si bref

    Que le rythme d’une cascade

    S’enchante d’un trésor

    De galets

    Déposé par l’océan

    Si vif

    Que l’habitude des heures

    Tremble de ce vent de sable

    A l’équilibre d’un mur

    Et les racines

    Des saules

    Comme unique perspective

    Au bout de la jetée…

    Sous le pont

    Une dune s’est évadée

    Et le vertige

    D’un versant délicieux ..

  18. Et doucement me revient, fredonnante, la petite cantate de Barbara :

    « Une petite cantate du bout des doigts
    Obsédante et maladroite monte vers toi.
    Une petite cantate que nous jouions autrefois,
    Seule je la joue maladroite, Si Mi La Re Sol Do Fa. »

  19. a Ossiane

    mon petit poème sur scène!
    merci ça me fait plaisir

    ce coeur délicatement posé
    pour aller de l’autre côté
    vers ma douce …aimée

    Amichel
    « ….Les jours heureux d’avant chantent dans la mémoire
    Qui jamais ne voudrait en être délivrée
    Quand le souvenir luit la nuit en est moins noire …. »

    ce vers est puissant pour moi
    je veux garder toute ma mémoire
    tout ce que j’ai partagé avec ma douce absente

    merci
    depuis que j’ai ouvert mon coeur ici
    les vagues de vos douces phrases
    apportent l’onde d’une cicatrice

    jane

  20. Cailloux

    Te souviens-tu ma belle quand nous jouions enfant,
    Au bord de l’océan ? Tu marchais dans mes pas
    Et nous ne faisions qu’un, tu n’avais pas seize ans.
    C’était chacun son tour le temps ne comptait pas.

    A marée montante quand se creuse la vague
    Aux courants des baïnes nous courrions imprudents
    Surfer sur l’écume, dessiner des zigzags
    Voler des émotions pour se sentir plus grands.

    La Méditerranée parfois comme aire de jeu
    Nous régalait aussi de ses rives acérées
    Nous forçant chaque jour à un choix épineux
    Matin plage de sable, après-midi galets.

    Quand mon cœur pleure ces souvenirs si doux
    Que l’iode si vivifiant fait défaut à mes sens
    Je tire de sous mon lit ma belle boite à cailloux
    Je respire un bon coup pour remonter le temps.

  21. >Alix:
    Bonsoir Alix, fille de l’océan;-) Tes mots coulent en cascade frissonnante; je me demande comment te viennet toutes ces sensations et mots d’affilée. Tu te projettes très loin dans les images sur chaque bout de nature. Quelle sensibilité et délicatesse dans tes évocations éthérées! Merci Alix, bonne fin de soirée.

    >Michel B:
    Bonsoir Michel, j’ai été la première surprise de découvrir ce coeur esseulé à portée de main. IL y a de multiples histoire de coeur dans ce dessin. Bien à toi et merci.

    >Nath:
    Ton vide se remplit soudain de sens dans les mots que tu viens de déposer. Je comprends ta peine, Nath. Courage à toi mais sache te préserver aussi. Je t’embrasse.

    >Fugitive:
    Merci pour cette jolie cantate qui monte en fragilité. Elle se fond dans le chant des vagues. Bises du soir.

    >jane:
    Ce coeur ne pouvait pas mieux tomber pour toi. C’est un pur hasard car j’avais ma progression dans ma tête depuis longtemps. Douces pensées, jane, à demain.

    >Jean-Louis:
    Encore un beau cadeau de mots tu nous offres! Tu projettes sans doute une partie de toi. Douceur nostalgique des souvenirs d’enfance, insouciance et légèreté. Voilà une délicate façon d’introduire ces galets. Belle trouvaille cette boîte que l’on respire pour faire remonter les souvenirs. Merci Jean-Louis, je te souhaite une bonne fin de soirée.

  22. Un petit coeur tout tendre
    Se glisse le bord d’écume
    Il avance petits patés de vie
    Et se pose en repose

    Sa vie s’aime son goût de vie
    Et son coeur goûte sa part
    De frange en bord de bleus
    Transparents et turquoises

    En méditerranée si bleue
    Un petit coeur se palpite

  23. Coeur au bord de l’eau
    Toutes les larmes du monde
    Galets façonnés
    ___________

    5 – 7 – 5 : serait-ce mon premier haïku ?

    Sourire et bonne journée à tous.

  24. Une petite fantaisie

    Je marchais sur la plage,
    Seul.
    Le vent du nord me faisait pleurer.
    Pour me protéger je me suis retourné.
    Et là j’ai sursauté !
    Rien, pas une trace
    Je devais être si vide,
    Que j’étais trop léger,
    Pour imprimer le sable.
    Apeuré je me suis retourné,
    Ce n’étaient que galets,
    Brillants sous le soleil.

  25. bonsoir OSSIANE

    me revoilà ce soir pour lire les poésie ça et là

    il y en a tant que je n’ai pas pu lire ces dernieres semaines….
    hélas les jours ne se ressemblent en rien
    parfois joyeux
    puis bien chagrin
    j’ai eu une journée bien occupée
    l’esprit en est plus occupé
    et celà fait plaisir de se retrouver au calme

    – dans ma petite poésie ( au début du blog)
    il manque une phrase
    je te la souligne :

    ….et la vie sera toujours là
    —–__comme____ l’as___ de__ coeur___—–
    apporte sa chance,
    dans la main de celui qui y croit….

    j’en ai profité aussi pour voir d’autres blogs
    qui circulent ici
    c’est agréable de découvrir
    des talents si nombreux

    bises
    a demain
    jane

  26. Bonsoir Jane,
    vos mots m’ont beaucoup touchée, ainsi que ceux de Marc et Angèle.

    mais j’ai tellement l’impression d’être un perroquet, c’est tellement beau ce qui se vit ici, et Là en tout dedans…
    je vous embrasse tendresse.
    je vous souhaite une bonne soirée.

  27. Petits soucis de santé, beaucoup de retard dans mes réponses, veuillez m’en excuser.

    >andrée :
    Tes haïkus sont tournés vers le minéral. Tes mots crissent avec émotion et évoquent des choses tristes sur cette multitude de galets. Merci beaucoup.

    >fred :
    Tout comme andrée, tes poèmes chantent le blues. Un beau choix de mots émouvants. Bises.

    >Maria-D :
    Même tonalité mélancolique que dans les commentaires précédents. J’aime ton cœur berlingot. Je t’embrasse.

    >Annick :
    Un perroquet ??? Et puis quoi encore 😉 Pas de ça Annick, tu es une poétesse sensible.

    >François :
    Je te promets que je n’ai pas dessiné ce cœur 😉 Les cairns, je ne me suis pas encore lancée mais j’y pense sérieusement 😉 Je t’enverrai des photos !

    >Bourrache :
    Bienvenue au club ;-)) Et oui Bourrache, c’est sans doute ton premiers haïku et je l’aime beaucoup. Belle manière de conjuguer le cœur, les larmes et la pierre façonnée. Un vers en appelle un autre. Bises vers ton nord où il fait sans doute beau.

    >Marline :
    Bel haïku ! C’est bien de t’être concentrée sur ces lignes horizontales qui te parlent si fort et à nous aussi 🙂 Bises.

    >marc :
    Une autre façon originale d’appréhender la photo ; cette offrande fonctionne bien. Merci !

    >Bernard :
    Joli haïku en vue aérienne ! Que de belles images dans tes mots ! Bises.

    >Claudie :
    Beaucoup de belles variations autour de ce cœur ! Ca tangue fort sur l’Oeil Ouvert 😉 merci Claudie, je t’embrasse.

    >Clara :
    Encore une autre belle approche, l’imagination est toujours débridée. Merci beaucoup Clara.

    >un taxi parisien :
    Bonjour et bienvenue sur le blog 😉 Je connais bien sûr le beau blog de Véronique et l’écriture alerte de amichel qui écrit sans relâche sur L’Oœil Ouvert depuis plus de deux ans maintenant. Il n’y a aucune obligation d’écrire de la poésie. Toutes les contributions sont bien accueillies. Je serais ravie si vous laissez échapper vos réflexions quand bon vous semblera et comme elles vous viennent. Bien à vous, amitié.

    >Jean-Louis :
    Beaucoup d’émotion et de légèreté dans cette évocation. Quelle belle inspiration tu as ! Merci beaucoup.

    >Alix :
    Nouvelle belle interprétation avec cette étoile échouée. J’aime ! Merci Alix.

    >jane :
    Bonjour jane, contente de te voir reprendre le cours de la vie avec un peu plus d’assurance et de sérénité. C’est une bonne chose que ton esprit soit occupé en ce moment. T’accorder des moments de pause paisible te permet de respirer en allant au devant du regard des autres. De très belles choses sensibles à découvrir sur d’autres blogs également. Je t’embrasse fort.

  28. bonjour Ossiane ,bonjour TLM

    mon coeur ???
    l’as le pique
    laissant le vague à l’ame

    que de talents à decouvrir sur ton blog …
    @ bientôt

  29. >Ghis:
    Bonjour Ghis, bienvenue sur le blog! Merci pour ce poème sensible. Vous êtes le premier à suggérer cet as de pique. Au plaisir de vous lire à nouveau si vous aimez la photo et la poésie Bonne soirée!

  30. coucou
    je passe regulierement en silence ,mais n’ayant pas la plume aisée ,je file en silence pour revenir sur la pointe des pieds
    au plaisir

  31. >Ghis:
    Coucou Ghis, c’est gentil de revenir. Aller et retours, un peu de timidité, fais comme tu le sens mais sache que tu es la bienvenue même si tu n’écris pas de poésie. Bien à toi.

  32. La nacre

    Quand un voilier vient faire escale dans une anse
    Le bateau à l’arrêt au gré des flots balance
    Au sein des mêmes eaux au sein même du silence
    Entre l’ancre et la nacre se font des confidences

    Alain

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